Montpellier
Récit érotique écrit par Lispyick [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Montpellier
Bonjour amis lecteurs, cette fois-ci, je partagerai des faits et une histoire réelle, mais avant quelques interrogations ou j'aimerais quelques réponses de votre part, qu'une interactivité se produise.
J'adore le sexe, vous l'avez compris. La découverte de nouveaux corps est agréable, même si parfois, il y a des échecs. J'ai consigné toutes mes rencontres dans un livre d'or que je tiens à jour. Il y a actuellement 614 hommes et quatre femmes avec lesquels je me suis laissé aller à la débauche.
La définition que je donne à « coucher », pour les hommes, ce sont tous ceux qui m'ont pénétré ou arrosé de leurs spermes. De plus, je n'ai pas pris en compte tous ceux qui ont essayé, que j'ai repoussés après les avoir touchés, soit le contact de leurs peaux ne me donnait pas envie, soit leurs sexes étaient petits et ne bandaient pas,
Par ailleurs, je suis très rarement en mesure de me laisser aller aux plaisirs lesbiens. Quand cela arrive, c'est une belle expérience et j'en garde un excellent souvenir.
Dans mon livre, tout y est consigné, lieu, prénom, comment la rencontre s'est faite, note de 1 à 10. L'envie ou pas de le revoir, sachant que si c'est le cas, ce sera la dernière rencontre et celle-ci sera espacée d'au moins six mois. Les hommes ont tellement tendance à vouloir s'approprier leurs conquêtes que cela devient vite malsain. Je ne cherche pas l'amour ni un amant, j'ai tout ce qu'il me faut.
Après la lecture de ce chapitre, qu'en pensez-vous Mesdames, Messieurs ? Un homme tiendrait un tel livre de bord, ce serait un tombeur, un étalon à voir, un gentleman qui sait vivre. Une femme qui ose et qui l'écrit, ne serait-elle pas plutôt une salope, une trainée, ou d'autres petits noms d'oiseaux. Je compte encore et encore profiter, tout au moins tant que mon corps me le permet et que je provoque encore une envie.
Qu'est-ce qu'un adultère ? Quel est votre avis sur cela, ça m'intéresse ?
Pour nous, si un de nous rencontre une personne ou plusieurs après avoir demandé l'avis à l'autre, que celui-ci soit positif ou négatif, il n'y a pas d'adultère, la règle d'une seule fois s'applique. Toutefois, si un ou l'autre le fait dans le dos, il y a cocufiage. Je l'ai fait une fois pour réaliser ce fantasme, pensant que le risque de se faire prendre, de l'interdit, apporterai du piment. Je suis ressortie de cette expérience déçue que j'ai avouée rapidement à mon Doudou.
Nous pouvons aussi tenter des expériences, que pensez-vous Mesdames ?
Maintenant, rentrons dans la seule rencontre que j'ai donné la note de 10. Oui, vous allez me trouver sévère dans mes notes, mais beaucoup ont des scores de 7 à 9.
Cette histoire s'est passée en mai il y a quelques années. Nous allons au Cap d'Agde pour la semaine de l'ascension, comme d'habitude. Ainsi, nous partons toujours le vendredi en sachant que nous récupérerons les clés de l'appartement le samedi matin, ce qui nous permet de nous faire une soirée sur la route de notre destination.
Cette année, nous ferons notre pose à Montpellier. Doudou a trouvé une soirée sur un des sites libertins, chez un homme d'origine sénégalaise qui se prénomme Adama.
Le trajet se passe bien, un peu d'exhibition qui me vaut quelques coups de klaxon et appels de phare de nos amis routiers. J'ai fait une sieste, à mon réveil, j'ai des doutes qui traversent ma tête concernant notre soirée qui arrive. Je rencontrerai bientôt un homme que je n'ai jamais vu auparavant. Si tout se déroule correctement, je finirai avec sa queue au fond de moi dans les heures à venir. Avouez que cela peut -être perturbant ?
J'ai consulté sur sa fiche son profil, son album privé, il m'a attiré sur le champ et j'ai validé la rencontre. Néanmoins, je suis méfiante, l'expérience nous a montré que certains trafiquent leurs photos, ou celles-ci ont vingt ans en arrière. Ainsi, je vais apprécier si c'est la réalité, car il a un boa dans son caleçon. Je salive d'avance ou plus explicitement, je mouille.
Nous arrivons à l'hôtel, le GPS nous indique que nous sommes à quatre kilomètres de chez notre hôte, quinze minutes de route. Nous l'appelons pour lui faire part de notre arrivée, le temps de prendre une douche et nous arrivons. Ne connaissant pas le quartier dans lequel nous nous rendons, je ne m'habille pas trop provocante. Je choisis une minijupe en jean et un top pour mettre en évidence la naissance de mes seins, ainsi qu'un léger maquillage, car il risque de couler rapidement.
Au moment de notre arrivée, il est là et nous ouvre la grille puis nous guide sur une place de parking.
– Bonjour à vous, Adama.
– Bonjour, Patricia, enchanté Adama.
– Bonjour, Pascal, enchanté, c'est un plaisir de te rencontrer.
Ma première impression est bonne, l'homme est élégant, 1.80 mètre, cheveux grisonnants, je remarque son petit cul en montant les escaliers. Nous lui donnons les mignardises que nous avons achetées dans la boulangerie du coin. En effet, notre hôte nous avait prévenus qu'il ferait un petit repas, d'ailleurs une bonne odeur se dégage de l'intérieur de la cuisine.
Nous nous rendons dans le salon, où trois coupes nous attendent, le champagne est ouvert et nous trinquons à notre venue. Il nous sert des petits fours, chaud et froid, l'ambiance est bonne, je suis détendue.
– Je vous laisse quelques minutes, juste le temps de passer sous la douche, car j'ai transpiré en cuisine, surtout servez-vous.
Il nous quitte en nous promettant de faire vite.
– Tu as vu Doudou, il n'a pas trafiqué ses photos, je passerai bientôt une excellente soirée.
– Tu doutes toujours.
Notre hôte revient, torse nu, juste vêtu d'un short, je remarque immédiatement la trompe qui se dessine sous le tissu. Il s'assied sur le divan, je viens m'installer à côté. Je suis subjuguée par ce tuyau qui vient courir sur sa cuisse, je n'ai jamais vu un sexe de cette taille. N'y tenant plus, je remonte la main sur sa cuisse, et je viens toucher cette queue, quel diamètre.
Je baisse son short, saisit le membre qui attise mes désirs, je le branle lentement, faisant courir sur toute la longueur et quelle longueur. Tu vas déguster ma fille, quand il va te la mettre, ma chatte en coule d'envie.
Mon Doudou est pourtant bien équipé, combien de femmes qu'il baisait lui demandait « va doucement, tu es bien monté ». Aujourd'hui, la taille de dame buche n'est pas aussi grande que celle que j'embouche une fois agenouillée devant ma proie. Je dois forcer sur ma mâchoire pour que l'ouverture de ma bouche soit assez grande pour enfourner ce gland dans celle-ci.
Ma langue parcourt toute la longueur de cette queue imposante, ce qui me permet de reprendre ma respiration. Je joue avec ces grosses couilles épilées et gorgées de jus. Je remonte et m'arrête sur le frein que je claque à l'aide de ma langue avant de reprendre en bouche ce gland que j'aime déjà. Il apprécie ma façon de le sucer, il se raidit de plaisir à chaque assaut.
Je suis aux anges, je ne suis pas novice, mais c'est du jamais vu un aussi gros membre, j'ai hâte qu'il me perfore la chatte. Doudou regarde le spectacle, me laissant profiter de ce moment.
Adama me relève et nous invite à le suivre dans la chambre, où il me couche sur le lit et plonge entre mes cuisses. Dès le premier coup de langue, je comprends qu'il est doué de ce côté-là. Il jongle entre mon clito et glisse vers ma grotte ou il enfonce celle-ci comme une petite bite.
Adama enfonce un doigt dans ma petite porte tout en continuant son cuni, Doudou me présente dame buche à sucer, je ne me fais pas prier pour l'engloutir. Ce traitement est diabolique, les vagues de plaisir se succèdent. Il me fait grimper, mais quand il sent que je suis prête à exploser, il s'arrête ou ralentit, c'est même légèrement agaçant, mais agréable.
– T'arrêtes plus, fais-moi jouir, dépêche-toi, je veux sentir ta grosse queue dans ma chatte.
Malgré mes demandes, Adama reste sur le même tempo, je soulève mon bassin tout en appuyant sur sa tête pour aller chercher mon orgasme tant attendu.
– Surtout ne t'arrête plus, ça monte, vas-y ça monte, ouiiiiiiii.
Mon orgasme est dévastateur, Adama ne me laisse pas le temps de redescendre, il enfonce son pieu d'une traite dans ma minette qui pleure de plaisir.
– Oh putain, je la sens bien, vas-y bouge, laboure-moi.
– Aimes-tu ma queue ?
– Oui, tais-toi et défonce-moi.
Il se met à me pilonner, je lève les jambes, en tenant mes cuisses avec mes mains pour bien m'écarter. Je sens ses couilles venir taper, il me rentre tout. Incroyable, il arrive à tout me mettre et j'adore cela. L'orgasme ne tarde pas à revenir à la charge, sous les secousses de celui-ci, mes jambes tombent. Mon corps frissonne, je frappe dès qu'un des hommes essaie de me toucher, mais je récupère vite et en redemande.
Je me place en levrette, demande à Doudou de me donner dame buche à sucer. Adama est venue se positionner pour me la mettre et je le guide. Il s'enfonce en moi, je le sens mieux dans cette position, écartelée la fille, j'en crie de joie.
– Vas-y lime, défonce-moi.
– À vos ordres, madame.
Il se déchaîne, alternant des coups rapides, puis plus lent, ressortant complétement son membre pour me la remettre d'une traite. Mes orgasmes sont de plus en plus rapprochés, je peine à garder dame buche en bouche sous les assauts que je subis. Je sens Adama, rentrer un doigt dans ma rosette, tout va bien tant que ce n'est pas son monstrueux engin.
– Nous allons la prendre tous les deux, lance Doudou.
– Tu vas lui prendre le cul pour me la préparer, dit Adama.
Adama se met sur le lit, m'invite à venir m'empaler, guidant avec ma main sa bite, je descends jusqu'à que mon cul soit en appui sur ses cuisses. Je fais quelques rotations du bassin pour bien sentir et profiter de ce sexe. Doudou me penche en avant, a mis son gland sur ma rosette, appuie et s'enfonce dans mon cul. Les garçons doivent être serrés, au vu de mes sensations, ils ne tiendront pas longtemps, moi non plus.
Ils me baisent dans une entente diabolique, c'est divin, je deviens une chienne qui crie.
– Putain, bouger tous les deux, défoncez-moi, éclatez-moi. Je veux votre foutre.
- Adama, tu jouiras sur ses seins, dit Doudou.
– Laisse le tranquille, il jouira ou il veut, et mets-moi là bien au fond que je sente le chaud dans mon cul.
Doudou accélère et ne tient pas longtemps avant de me mettre la purée bien au fond, je jouis. Je sens Adama se raidir, dans un long râle, il remplit sa capote, me voilà reparti dans le tourbillon du plaisir.
– Messieurs, venez et donnez-moi vos queues.
Ainsi, ils se retirent et viennent se présenter à moi, Adama retire sa capote et me la vide sur mes seins, je frissonne de plaisir. J'étale le jus sur mes seins tout en passant d'une queue à l'autre pour saisir les quelques gouttes de sperme restantes de chacun.
Adama se dégage d'un seul coup, en criant « merde le poulet ».
Nous sommes surpris, il a sauté du lit, la bite à l'air, et court. Une odeur âcre de bruler apparaît. Nous le rejoignons à la cuisine, le poulet a reçu aussi, quelques morceaux seront sauvés. Après une bonne douche prise ensemble. Nous nous installons pour déguster ce qui a pu être sauvé de notre poulet, tout en rassurant notre hôte.
Je n'ai pas spécialement faim, après avoir avalé un peu de taboulé et de poulet, j'ai envie d'autres choses.
Adama est assis à côté de moi, nu, j'ai la main posée sur son sexe, je joue avec son gland.
– Ta femme ne me laissera pas manger.
– C'est une gourmande, répond Doudou.
– Certes, je suis en admiration, ton sexe est beau avec un gland magnifique. De nombreuses femmes ne trouvent pas cela beau, moi, j'adore les belles queues qui savent me faire jouir.
Je sens le sexe de mon amant palpiter sous mes caresses et reprendre de la vigueur.
– Je souhaiterais vous faire une demande, dit Adama.
– Nous t'écoutons.
– J'aimerais te reprendre.
– Rassure-toi, j'y compte bien.
– Je guide nos ébats, et ton Doudou n'intervient pas, juste pour que tu le suces.
– J'approuve, n'est-ce pas Doudou.
– Bien entendu, c'est ta soirée.
– J'ai remarqué que tu es un peu fontaine.
– Excuse-moi, je t'ai pourri tes draps.
– Non, rassure-toi, ce n'est pas ce que j'avais envie de dire. Je vais te faire gicler comme jamais.
Il me prend la main et m'attire vers la chambre, Doudou nous suit. Je m'assois sur le bord du lit, Adama présente sa queue à ma bouche. Je le suce, son bazooka se redresse, reprenant une forme monstrueuse me remplissant la bouche. Il invite Doudou à prendre sa place dans ma bouche, il profite pour venir s'occuper de mes seins, pinçant mes tétons.
Il m'allonge sur le lit, mon cul est au bord du lit, les jambes sont pliées, cette position est obscène et j'apprécie. Adama m'enfonce un doigt puis deux et trois pour finir tout en appuyant avec son autre main sur mon bas ventre. Il me doigte rapidement en tournant la main parfois.
– Alors, tu aimes salope.
– Oui, tourne la main, c'est bon.
– Laisse-toi aller.
Je sens la pression de sa main sur mon ventre qui me donne une sensation bizarre, l'impression que mon vagin veut sortir.
– Écoutes ma voix qui te guide, laisse-toi aller, ne te retiens pas. Je veux voir ta chatte giclée son foutre, vas-y.
Ses paroles me mettent en confiance et je m'abandonne totalement, mon corps vibre, c'est profond, il me fourre les doigts de plus en plus vite. Je sens l'orgasme monté, je pisse, je gicle, j'ai l'impression de me vider.
– Regarde ta salope de femme, comme elle gicle, elle en a mis partout. Passe-moi un oreiller et glisse-le sous son dos.
Sa bite vient remplacer les doigts, l'oreiller sous mon dos me met dans une position qui me donne l'impression que sa bite va encore plus profondément. N'étant pas remis du dernier orgasme, ceux-ci s'enchainent, Doudou me tiens la tête, en me parlant.
– Laisse-toi aller mon Bébé, profite de cette grosse queue que te bourre. Il va te défoncer le cul.
Adama est infatigable, il s'acharne sur moi, en me défonçant, j'enroule les jambes autour de sa taille, pour le sentir encore mieux. Je râle de plaisir et lui demande de continuer, mais il s'arrête.
Il s'enduit les doigts de cyprine pour lubrifier ma rosette et me préparer à la sodomie, il doit encore rester du sperme de mon homme dans mon fourreau.
– Vas-y doucement, vu le calibre que tu vas m'enfoncer.
– Je suis un vrai piston de velours, tu vas adorer.
– Viens me prendre le cul, j'en ai tellement envie.
Adama se place à l'entrée de ma petite porte, et pousse pour passer le gland, je hurle et les larmes me montent aux yeux.
– Veux-tu que j'arrête ?
– Non, encule-moi.
Mes propos l'ont motivé, il s'enfonce en moi, il se retire et recommence. À chaque fois, il va plus loin, je le veux entier en moi. J'avance mon bassin pour lui faire comprendre qu'il doit aller au fond. Je me sens complètement dilaté sans aucune douleur.
– Vas-y baise-moi, mais fait vite, je ne tiendrai pas longtemps avec ta grosse queue.
Il joue avec toute la longueur de sa queue pour limer mon boyau, je jouis du cul au bout de trois aller-retour. Il demande à Doudou de me branler le clito, le salaud ne se fait pas prier. Ce double traitement me fait vaciller, je jouis comme jamais à m'évanouir. Mes tortionnaires s'arrêtent pour me laisser reprendre mes esprits, mais reprennent aussi vite dès que je suis revenue à moi. Mon cul commence d'être en surchauffe. Je leur demande de venir se finir sur moi et dans ma bouche.
Les deux hommes se placent de chaque côté, j'essaie de les branler et de les sucer, mais je n'ai plus de force. Alors, ils se masturbent, j'ouvre la bouche, attendant l'offrande qui va me refaire jouir. Adama sera le premier à se vider sur mon visage. Je saisis sa bite et le pompe, le gisement n'est pas épuisé, j'avale tout ce que je peux. Doudou d'approche à son tour, me saisit la tête, j'ouvre la bouche et reçois une nouvelle dose, je rejoins de nouveau le septième ciel.
Après avoir pris une douche, nous prenons le dessert et un petit café. Nous remercions notre hôte pour cette charmante soirée, je souhaiterais aller me coucher après toutes ces péripéties.
Nous avons rejoint le Cap le lendemain matin, je vous avouerais que j'ai eu mal mon petit cul quelques jours, la sodomie a été interdite au début de notre séjour.
Depuis 2021, nous n'avons pas retourné au Cap, mais bonne nouvelle, nous y serons mi-septembre. Devinez, où je souhaite passer notre première soirée ?
J'adore le sexe, vous l'avez compris. La découverte de nouveaux corps est agréable, même si parfois, il y a des échecs. J'ai consigné toutes mes rencontres dans un livre d'or que je tiens à jour. Il y a actuellement 614 hommes et quatre femmes avec lesquels je me suis laissé aller à la débauche.
La définition que je donne à « coucher », pour les hommes, ce sont tous ceux qui m'ont pénétré ou arrosé de leurs spermes. De plus, je n'ai pas pris en compte tous ceux qui ont essayé, que j'ai repoussés après les avoir touchés, soit le contact de leurs peaux ne me donnait pas envie, soit leurs sexes étaient petits et ne bandaient pas,
Par ailleurs, je suis très rarement en mesure de me laisser aller aux plaisirs lesbiens. Quand cela arrive, c'est une belle expérience et j'en garde un excellent souvenir.
Dans mon livre, tout y est consigné, lieu, prénom, comment la rencontre s'est faite, note de 1 à 10. L'envie ou pas de le revoir, sachant que si c'est le cas, ce sera la dernière rencontre et celle-ci sera espacée d'au moins six mois. Les hommes ont tellement tendance à vouloir s'approprier leurs conquêtes que cela devient vite malsain. Je ne cherche pas l'amour ni un amant, j'ai tout ce qu'il me faut.
Après la lecture de ce chapitre, qu'en pensez-vous Mesdames, Messieurs ? Un homme tiendrait un tel livre de bord, ce serait un tombeur, un étalon à voir, un gentleman qui sait vivre. Une femme qui ose et qui l'écrit, ne serait-elle pas plutôt une salope, une trainée, ou d'autres petits noms d'oiseaux. Je compte encore et encore profiter, tout au moins tant que mon corps me le permet et que je provoque encore une envie.
Qu'est-ce qu'un adultère ? Quel est votre avis sur cela, ça m'intéresse ?
Pour nous, si un de nous rencontre une personne ou plusieurs après avoir demandé l'avis à l'autre, que celui-ci soit positif ou négatif, il n'y a pas d'adultère, la règle d'une seule fois s'applique. Toutefois, si un ou l'autre le fait dans le dos, il y a cocufiage. Je l'ai fait une fois pour réaliser ce fantasme, pensant que le risque de se faire prendre, de l'interdit, apporterai du piment. Je suis ressortie de cette expérience déçue que j'ai avouée rapidement à mon Doudou.
Nous pouvons aussi tenter des expériences, que pensez-vous Mesdames ?
Maintenant, rentrons dans la seule rencontre que j'ai donné la note de 10. Oui, vous allez me trouver sévère dans mes notes, mais beaucoup ont des scores de 7 à 9.
Cette histoire s'est passée en mai il y a quelques années. Nous allons au Cap d'Agde pour la semaine de l'ascension, comme d'habitude. Ainsi, nous partons toujours le vendredi en sachant que nous récupérerons les clés de l'appartement le samedi matin, ce qui nous permet de nous faire une soirée sur la route de notre destination.
Cette année, nous ferons notre pose à Montpellier. Doudou a trouvé une soirée sur un des sites libertins, chez un homme d'origine sénégalaise qui se prénomme Adama.
Le trajet se passe bien, un peu d'exhibition qui me vaut quelques coups de klaxon et appels de phare de nos amis routiers. J'ai fait une sieste, à mon réveil, j'ai des doutes qui traversent ma tête concernant notre soirée qui arrive. Je rencontrerai bientôt un homme que je n'ai jamais vu auparavant. Si tout se déroule correctement, je finirai avec sa queue au fond de moi dans les heures à venir. Avouez que cela peut -être perturbant ?
J'ai consulté sur sa fiche son profil, son album privé, il m'a attiré sur le champ et j'ai validé la rencontre. Néanmoins, je suis méfiante, l'expérience nous a montré que certains trafiquent leurs photos, ou celles-ci ont vingt ans en arrière. Ainsi, je vais apprécier si c'est la réalité, car il a un boa dans son caleçon. Je salive d'avance ou plus explicitement, je mouille.
Nous arrivons à l'hôtel, le GPS nous indique que nous sommes à quatre kilomètres de chez notre hôte, quinze minutes de route. Nous l'appelons pour lui faire part de notre arrivée, le temps de prendre une douche et nous arrivons. Ne connaissant pas le quartier dans lequel nous nous rendons, je ne m'habille pas trop provocante. Je choisis une minijupe en jean et un top pour mettre en évidence la naissance de mes seins, ainsi qu'un léger maquillage, car il risque de couler rapidement.
Au moment de notre arrivée, il est là et nous ouvre la grille puis nous guide sur une place de parking.
– Bonjour à vous, Adama.
– Bonjour, Patricia, enchanté Adama.
– Bonjour, Pascal, enchanté, c'est un plaisir de te rencontrer.
Ma première impression est bonne, l'homme est élégant, 1.80 mètre, cheveux grisonnants, je remarque son petit cul en montant les escaliers. Nous lui donnons les mignardises que nous avons achetées dans la boulangerie du coin. En effet, notre hôte nous avait prévenus qu'il ferait un petit repas, d'ailleurs une bonne odeur se dégage de l'intérieur de la cuisine.
Nous nous rendons dans le salon, où trois coupes nous attendent, le champagne est ouvert et nous trinquons à notre venue. Il nous sert des petits fours, chaud et froid, l'ambiance est bonne, je suis détendue.
– Je vous laisse quelques minutes, juste le temps de passer sous la douche, car j'ai transpiré en cuisine, surtout servez-vous.
Il nous quitte en nous promettant de faire vite.
– Tu as vu Doudou, il n'a pas trafiqué ses photos, je passerai bientôt une excellente soirée.
– Tu doutes toujours.
Notre hôte revient, torse nu, juste vêtu d'un short, je remarque immédiatement la trompe qui se dessine sous le tissu. Il s'assied sur le divan, je viens m'installer à côté. Je suis subjuguée par ce tuyau qui vient courir sur sa cuisse, je n'ai jamais vu un sexe de cette taille. N'y tenant plus, je remonte la main sur sa cuisse, et je viens toucher cette queue, quel diamètre.
Je baisse son short, saisit le membre qui attise mes désirs, je le branle lentement, faisant courir sur toute la longueur et quelle longueur. Tu vas déguster ma fille, quand il va te la mettre, ma chatte en coule d'envie.
Mon Doudou est pourtant bien équipé, combien de femmes qu'il baisait lui demandait « va doucement, tu es bien monté ». Aujourd'hui, la taille de dame buche n'est pas aussi grande que celle que j'embouche une fois agenouillée devant ma proie. Je dois forcer sur ma mâchoire pour que l'ouverture de ma bouche soit assez grande pour enfourner ce gland dans celle-ci.
Ma langue parcourt toute la longueur de cette queue imposante, ce qui me permet de reprendre ma respiration. Je joue avec ces grosses couilles épilées et gorgées de jus. Je remonte et m'arrête sur le frein que je claque à l'aide de ma langue avant de reprendre en bouche ce gland que j'aime déjà. Il apprécie ma façon de le sucer, il se raidit de plaisir à chaque assaut.
Je suis aux anges, je ne suis pas novice, mais c'est du jamais vu un aussi gros membre, j'ai hâte qu'il me perfore la chatte. Doudou regarde le spectacle, me laissant profiter de ce moment.
Adama me relève et nous invite à le suivre dans la chambre, où il me couche sur le lit et plonge entre mes cuisses. Dès le premier coup de langue, je comprends qu'il est doué de ce côté-là. Il jongle entre mon clito et glisse vers ma grotte ou il enfonce celle-ci comme une petite bite.
Adama enfonce un doigt dans ma petite porte tout en continuant son cuni, Doudou me présente dame buche à sucer, je ne me fais pas prier pour l'engloutir. Ce traitement est diabolique, les vagues de plaisir se succèdent. Il me fait grimper, mais quand il sent que je suis prête à exploser, il s'arrête ou ralentit, c'est même légèrement agaçant, mais agréable.
– T'arrêtes plus, fais-moi jouir, dépêche-toi, je veux sentir ta grosse queue dans ma chatte.
Malgré mes demandes, Adama reste sur le même tempo, je soulève mon bassin tout en appuyant sur sa tête pour aller chercher mon orgasme tant attendu.
– Surtout ne t'arrête plus, ça monte, vas-y ça monte, ouiiiiiiii.
Mon orgasme est dévastateur, Adama ne me laisse pas le temps de redescendre, il enfonce son pieu d'une traite dans ma minette qui pleure de plaisir.
– Oh putain, je la sens bien, vas-y bouge, laboure-moi.
– Aimes-tu ma queue ?
– Oui, tais-toi et défonce-moi.
Il se met à me pilonner, je lève les jambes, en tenant mes cuisses avec mes mains pour bien m'écarter. Je sens ses couilles venir taper, il me rentre tout. Incroyable, il arrive à tout me mettre et j'adore cela. L'orgasme ne tarde pas à revenir à la charge, sous les secousses de celui-ci, mes jambes tombent. Mon corps frissonne, je frappe dès qu'un des hommes essaie de me toucher, mais je récupère vite et en redemande.
Je me place en levrette, demande à Doudou de me donner dame buche à sucer. Adama est venue se positionner pour me la mettre et je le guide. Il s'enfonce en moi, je le sens mieux dans cette position, écartelée la fille, j'en crie de joie.
– Vas-y lime, défonce-moi.
– À vos ordres, madame.
Il se déchaîne, alternant des coups rapides, puis plus lent, ressortant complétement son membre pour me la remettre d'une traite. Mes orgasmes sont de plus en plus rapprochés, je peine à garder dame buche en bouche sous les assauts que je subis. Je sens Adama, rentrer un doigt dans ma rosette, tout va bien tant que ce n'est pas son monstrueux engin.
– Nous allons la prendre tous les deux, lance Doudou.
– Tu vas lui prendre le cul pour me la préparer, dit Adama.
Adama se met sur le lit, m'invite à venir m'empaler, guidant avec ma main sa bite, je descends jusqu'à que mon cul soit en appui sur ses cuisses. Je fais quelques rotations du bassin pour bien sentir et profiter de ce sexe. Doudou me penche en avant, a mis son gland sur ma rosette, appuie et s'enfonce dans mon cul. Les garçons doivent être serrés, au vu de mes sensations, ils ne tiendront pas longtemps, moi non plus.
Ils me baisent dans une entente diabolique, c'est divin, je deviens une chienne qui crie.
– Putain, bouger tous les deux, défoncez-moi, éclatez-moi. Je veux votre foutre.
- Adama, tu jouiras sur ses seins, dit Doudou.
– Laisse le tranquille, il jouira ou il veut, et mets-moi là bien au fond que je sente le chaud dans mon cul.
Doudou accélère et ne tient pas longtemps avant de me mettre la purée bien au fond, je jouis. Je sens Adama se raidir, dans un long râle, il remplit sa capote, me voilà reparti dans le tourbillon du plaisir.
– Messieurs, venez et donnez-moi vos queues.
Ainsi, ils se retirent et viennent se présenter à moi, Adama retire sa capote et me la vide sur mes seins, je frissonne de plaisir. J'étale le jus sur mes seins tout en passant d'une queue à l'autre pour saisir les quelques gouttes de sperme restantes de chacun.
Adama se dégage d'un seul coup, en criant « merde le poulet ».
Nous sommes surpris, il a sauté du lit, la bite à l'air, et court. Une odeur âcre de bruler apparaît. Nous le rejoignons à la cuisine, le poulet a reçu aussi, quelques morceaux seront sauvés. Après une bonne douche prise ensemble. Nous nous installons pour déguster ce qui a pu être sauvé de notre poulet, tout en rassurant notre hôte.
Je n'ai pas spécialement faim, après avoir avalé un peu de taboulé et de poulet, j'ai envie d'autres choses.
Adama est assis à côté de moi, nu, j'ai la main posée sur son sexe, je joue avec son gland.
– Ta femme ne me laissera pas manger.
– C'est une gourmande, répond Doudou.
– Certes, je suis en admiration, ton sexe est beau avec un gland magnifique. De nombreuses femmes ne trouvent pas cela beau, moi, j'adore les belles queues qui savent me faire jouir.
Je sens le sexe de mon amant palpiter sous mes caresses et reprendre de la vigueur.
– Je souhaiterais vous faire une demande, dit Adama.
– Nous t'écoutons.
– J'aimerais te reprendre.
– Rassure-toi, j'y compte bien.
– Je guide nos ébats, et ton Doudou n'intervient pas, juste pour que tu le suces.
– J'approuve, n'est-ce pas Doudou.
– Bien entendu, c'est ta soirée.
– J'ai remarqué que tu es un peu fontaine.
– Excuse-moi, je t'ai pourri tes draps.
– Non, rassure-toi, ce n'est pas ce que j'avais envie de dire. Je vais te faire gicler comme jamais.
Il me prend la main et m'attire vers la chambre, Doudou nous suit. Je m'assois sur le bord du lit, Adama présente sa queue à ma bouche. Je le suce, son bazooka se redresse, reprenant une forme monstrueuse me remplissant la bouche. Il invite Doudou à prendre sa place dans ma bouche, il profite pour venir s'occuper de mes seins, pinçant mes tétons.
Il m'allonge sur le lit, mon cul est au bord du lit, les jambes sont pliées, cette position est obscène et j'apprécie. Adama m'enfonce un doigt puis deux et trois pour finir tout en appuyant avec son autre main sur mon bas ventre. Il me doigte rapidement en tournant la main parfois.
– Alors, tu aimes salope.
– Oui, tourne la main, c'est bon.
– Laisse-toi aller.
Je sens la pression de sa main sur mon ventre qui me donne une sensation bizarre, l'impression que mon vagin veut sortir.
– Écoutes ma voix qui te guide, laisse-toi aller, ne te retiens pas. Je veux voir ta chatte giclée son foutre, vas-y.
Ses paroles me mettent en confiance et je m'abandonne totalement, mon corps vibre, c'est profond, il me fourre les doigts de plus en plus vite. Je sens l'orgasme monté, je pisse, je gicle, j'ai l'impression de me vider.
– Regarde ta salope de femme, comme elle gicle, elle en a mis partout. Passe-moi un oreiller et glisse-le sous son dos.
Sa bite vient remplacer les doigts, l'oreiller sous mon dos me met dans une position qui me donne l'impression que sa bite va encore plus profondément. N'étant pas remis du dernier orgasme, ceux-ci s'enchainent, Doudou me tiens la tête, en me parlant.
– Laisse-toi aller mon Bébé, profite de cette grosse queue que te bourre. Il va te défoncer le cul.
Adama est infatigable, il s'acharne sur moi, en me défonçant, j'enroule les jambes autour de sa taille, pour le sentir encore mieux. Je râle de plaisir et lui demande de continuer, mais il s'arrête.
Il s'enduit les doigts de cyprine pour lubrifier ma rosette et me préparer à la sodomie, il doit encore rester du sperme de mon homme dans mon fourreau.
– Vas-y doucement, vu le calibre que tu vas m'enfoncer.
– Je suis un vrai piston de velours, tu vas adorer.
– Viens me prendre le cul, j'en ai tellement envie.
Adama se place à l'entrée de ma petite porte, et pousse pour passer le gland, je hurle et les larmes me montent aux yeux.
– Veux-tu que j'arrête ?
– Non, encule-moi.
Mes propos l'ont motivé, il s'enfonce en moi, il se retire et recommence. À chaque fois, il va plus loin, je le veux entier en moi. J'avance mon bassin pour lui faire comprendre qu'il doit aller au fond. Je me sens complètement dilaté sans aucune douleur.
– Vas-y baise-moi, mais fait vite, je ne tiendrai pas longtemps avec ta grosse queue.
Il joue avec toute la longueur de sa queue pour limer mon boyau, je jouis du cul au bout de trois aller-retour. Il demande à Doudou de me branler le clito, le salaud ne se fait pas prier. Ce double traitement me fait vaciller, je jouis comme jamais à m'évanouir. Mes tortionnaires s'arrêtent pour me laisser reprendre mes esprits, mais reprennent aussi vite dès que je suis revenue à moi. Mon cul commence d'être en surchauffe. Je leur demande de venir se finir sur moi et dans ma bouche.
Les deux hommes se placent de chaque côté, j'essaie de les branler et de les sucer, mais je n'ai plus de force. Alors, ils se masturbent, j'ouvre la bouche, attendant l'offrande qui va me refaire jouir. Adama sera le premier à se vider sur mon visage. Je saisis sa bite et le pompe, le gisement n'est pas épuisé, j'avale tout ce que je peux. Doudou d'approche à son tour, me saisit la tête, j'ouvre la bouche et reçois une nouvelle dose, je rejoins de nouveau le septième ciel.
Après avoir pris une douche, nous prenons le dessert et un petit café. Nous remercions notre hôte pour cette charmante soirée, je souhaiterais aller me coucher après toutes ces péripéties.
Nous avons rejoint le Cap le lendemain matin, je vous avouerais que j'ai eu mal mon petit cul quelques jours, la sodomie a été interdite au début de notre séjour.
Depuis 2021, nous n'avons pas retourné au Cap, mais bonne nouvelle, nous y serons mi-septembre. Devinez, où je souhaite passer notre première soirée ?
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10/10 est une note assez faible à mon goût :))