Moscou, les plaines d’Ukraine, et les Champs-Elysées…
Récit érotique écrit par lelivredejeremie [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Moscou, les plaines d’Ukraine, et les Champs-Elysées…
24 décembre 2022, centre de détention de Chernihiv, Ukraine non-occupée.
Un soldat Russe capturé et un militaire Ukrainien, nus sur le même lit…
Je suis le premier, allongé sur le dos, tétant avidement le sexe bandé du second, couché tête-bêche sur mon corps, qui détache sa langue du sphincter qu’il vient de détendre et abondamment couvrir de salive, avant de se redresser, se tourner vers moi, et prendre de ses doigts mes chevilles fines pour doucement les poser sur ses épaules.
- Tout est délicat en toi, Alexeï, j’adorerais te posséder sans latex, mais je sais que le HIV fait des ravages en Russie, et compte tenu de ce que tu m’as des bizutages dans votre armée, un minimum de protection s’impose dit-il, en déchirant la pochette d’un préservatif.
Son torse parfait domine le mien, plus chétif, alors que son sexe bandé m’hypnotise… Bientôt, il me possèdera et – il me l’a assuré – me fera l’amour. Je le recevrai en moi, et tirerai le meilleur du plaisir qu’il m’offrira. Le plaisir dont je ne me souviens même plus…
Deux ennemis, surréaliste, non ? Il y a un contexte…
***
- Étonnant… Lors de mes interrogatoires, la plupart de tes compatriotes restent mutiques, les plus lâches pleurnichent, et les plus téméraires m’insultent, rien qui m’inspire le moindre sentiment d’empathie envers votre peuple de vatniks décérébrés. Mais toi… pas de colère, pas de peur apparente, non, tu… chantonnes, petit Russki.
- Colère ? Peur ? Pourquoi ? ai-je murmuré avec un sourire triste. ‘’J’ai déjà vu et subi le pire. Vous me haïssez pour ce que mon pays fait au vôtre… Je ne suis ni courageux, ni stupide, j’ai juste un fond de dignité qui m’empêche de mendier.
- Je peux respecter cela, sache que je ne te hais pas personnellement, et que, pour ce que ça vaut, je regrette ces conditions humiliantes.
- J’ai connu pire, capitaine, ai-je soufflé, en abaissant le regard sur mon corps émacié, seulement couvert du slip règlementaire, mes jambes trop maigres, et mes pieds nus posés sur le carrelage de la pièce, pensant que ce ne l’est pas tellement, à peine embarrassant, et encore, le sentiment est mitigé par le regard gourmand qu’il essaie de dissimuler, à l’inverse des barbares de notre armée.
- La dedovshchina, les viols collectifs, c’est donc vrai… Raconte-moi, veux-tu, Alexeï ? Et appelle-moi Dmitri. Ça a dû être horrible, surtout pour un garçon innocent ! Tu as des mains de pianiste, pas de soldat…
- Amusant que vous disiez cela, capitaine… mon professeur de piano m’enseignait des chansons françaises, dont celle que je murmurais, justement. Quand j’ai maitrisé cette partition-là, comme faveur, Vassili m’avait traduit les paroles… ‘’Moscou, les plaines d’Ukraine… et les Champs-Elysées’’… Il m’avait promis de me faire visiter ces derniers, je n’ai connu que les premiers, c’est cruellement ironique. Quant à être innocent, capitaine… Dmitri… Au point où j’en suis, quitte à ajouter au mépris que vous avez probablement pour moi, je peux vous l’avouer, ma véritable récompense pour avoir exécuté un morceau parfaitement, c’était l’amour qu’il me faisait.
- Tu as donc couché avec un homme mature…
À ce moment, j’ai supputé que la lueur dans le regard du capitaine trahissait peut-être une légère excitation et que, foutu pour foutu, s’il partageait un minimum mon intérêt pour l’amour entre mâles, qui sait, en l’entretenant, je pourrais adoucir mon sort.
- Vassili n’était pas âgé, votre âge je pense, et il vous ressemblait un peu, en fait…
Là, j’ai compris que j’avais capté plus que son intérêt… son attention !
Alors, j’ai raconté l’intimité qu’avait créée le partage d’un siège de piano partagé, ses doigts posés sur les miens pour les accords plus compliqués, les regards, les baisers, les mains qui couraient sur le corps de l’autre, ma curiosité juvénile qui m’avait poussé à passer la main sous la ceinture de son pantalon pour saisir son sexe, et lui appliquer un mouvement répété du poignet, sa jouissance… Que j’avais reçue en bouche lors de la leçon suivante, et dans mon rectum après un mois.
Le jugeant presque à point, j’ai murmuré du ton le plus innocent et rêveur que j’ai pu ‘’Je crois que j’associerai toujours l’orgasme foudroyant que j’ai ressenti la dernière fois, à l’accord en fa mineur, lorsqu’il a éjaculé, et que ma main s’est posée sur le clavier, fa… la bémol, do…’’
Si, au souvenir du sexe partagé avec mon professeur de piano, mon sous-vêtement ne cachait pas ma mi-molle, le pantalon du jeune capitaine ukrainien était alors tendu d’une érection bien plus imposante, et qui ne tenait probablement pas à mon exécution d’un accord parfait au piano.
- Il a… joui… en toi… sans protection ? a-t-il ânonné, en déglutissant difficilement.
Je l’ai achevé en soufflant ‘’Après la douleur initiale, c’était doux… profond… puis le plaisir… Alors, la semence de Vassili qui m’a coulé le long de la jambe, je l’ai accueillie comme un cadeau.’’
Pour ne l’avoir vu que dans des vidéos porno, je l’ai imaginé au bord de l’éjaculation spontanée, en bon étudiant en en fac de psychologie à Saint-Pétersbourg, j’ai conclu que c’était le moment idéal pour une mise à mort. Virtuelle, bien sûr, il me plaisait trop…
- Ensuite, il y a eu la conscription, le centre de recrutement, et ce médecin militaire vicieux, qui nous faisait recevait un par un, nus… Il m’a décalotté, une dizaine de fois et… j’ai réagi. Il m’a traité de tous les noms, avant de sortir son sexe dégoûtant, luisant encore de son sperme et d’autres dépôts douteux après la… visite… pratiquée sur le milicien précédent. Il m’a écrasé sur le bureau et m’a…
Le capitaine ukrainien résiste difficilement à l’envie de porter la main sur son pantalon, et son sexe dressé.
- Après, l’instruction… Et chaque soir, parfois l’un de nos officiers, sinon l’un des soldats de ma chambrée… Je me forçais à penser à Dimitri, sa douceur, le plaisir qu’il me donnait, mais sans plus jamais le ressentir, juste la douleur, et l’humiliation de veiller, incapable de dormir paisiblement, mon anus dilaté suintant leur sperme dégoûtant…
- Dégoûtant… a-t-il répété. ‘’Horrible, vraiment horrible… Des animaux… Et toi, si délicat… Je peux t’assurer que seras mieux traité comme notre prisonnier que comme soldat dans cette armée de dégénérés.
Des chants de Noël ont résonné dans la caserne.
- Hmmm… Je n’apprendrai rien de toi, cet entretien ne nous apportera rien. Les couloirs doivent être déserts, tu dois avoir envie d’une douche chaude, et j’en mérite aussi une, puis je vais te trouver des vêtements propres, suis-moi, Alexeï.
Il m’a posé la main sur l’épaule en sortant de la pièce d’interrogatoire, j’ai simulé un tressaillement.
- Désolé, capitaine… Dmitri… Ce n’est rien de personnel, mais après tout ce que j’ai vécu…
- Je comprends, c’est moi qui suis désolé.
Le jet d’eau tiède nous asperge, mais je suis resté figé, les bras croisés, les mains posés sur mes épaules.
- Il y a du savon, là…
- Je ne pourrai jamais laver ce qu’ils ont fait de moi, ai-je gémi en tombant à genoux devant lui.
Il n’a pas reculé, mais à l’inverse, s’est insensiblement rapproché ‘’Alexei… jeune Aliosha, ta vie commence, cette guerre finira, tu pourras être heureux !’’
- Plus jamais, ai-je murmuré, regardant le sol carrelé, avant de jeter les mains sur ses hanches, avant de lentement les faire glisser sur sa peau, à se rejoindre au-dessus de son pubis.
Il s’était légèrement accroupi, mais s’est redressé, plaçant sa queue encore à moitié gonflée entre mes doigts, pour entamer un lent mouvement qui faisait éclore son gland de son prépuce épais.
J’ai levé mon regard implorant dans le sien, j’ai murmuré ‘’Pourquoi êtes-vous si gentil, capitaine… Dmitri… Et pourquoi ressemblez-vous tant à Vassili ? J’ai tellement envie de ses bras rassurants.’’
Avec un sourire apaisant, de deux doigts, il a délicatement écarté mes mâchoires pour présenter l’extrémité de son sexe à mes lèvres, qui l’ont accueilli.
Oubliées les fellations forcées des animaux de mon bataillon ! Il a accompagné la caresse de ma langue de pénétrations lentes et retenues de son sexe dans ma bouche, mais si Vassili, puceau autant que je l’étais, avait très vite déversé son sperme dans ma gorge…
- Pas ici… pas ainsi… je te veux… je veux te réconcilier avec les sensations douces du sexe entre hommes, mais avec le respect qu’un garçon comme toi mérite.
- Après tout ce que je vous ai avoué, vous… vous me désirez un peu, capitaine ?
- C’est Dmitri, je te l’ai dit. Et oui, Alexeï, tu es terriblement désirable, alors si tu le souhaites…
- Je… je vous fais confiance, ai-je bafouillé, avec le regard presque larmoyant de ce manipulateur de Chat Potté dans la version piratée de Shrek que j’avais regardée avec Vassili.
***
- J’ai terriblement envie de toi, mais un minimum de protection s’impose, tu comprends…
Les chevilles posées sur ses épaules, j’admire son torse juste assez musclé, couvert d’un poil châtain déjà mêlé de sueur, avant d’abaisser le regard sur son sexe qu’il applique sur mon intimité, avant de l’enfoncer en quatre lents mouvements.
- Oh ! Tu es si serré… Tu as mal ?
- Un peu, mais reste en moi ! Doucement… Oui, ainsi… Là, juste lààà ! Aaaaah…
- Tu veux que je me retire ?
- Nooon ! Non… comme ça, c’est… Oooh… Ce plaisir, je ne…
Profitant de ce que son regard était vrillé dans le mien, j’ai pressé le doigt le long de mon urètre, mon gland décalotté et luisant a émis le filet de liquide translucide bien connu de me longues masturbations en solitaire devant les vidéos de Bellamy ou XNXX.
- Dmitri… je… je jouis !
- C’est juste du pré-sperme, la stimulation de ta prostate par mon gland, a-t-il soufflé, un peu fier, avant d’ajouter ‘’mais ça peut être mieux, et plus fort’’ en s’enfonçant entièrement en moi.
- Oooooh !
En une trentaine de pénétrations profondes, il m’a amené à un plaisir inédit, me laissant incapable de la moindre pensée cohérente, mon esprit étant focalisé sur la jouissance imminente, qui ne venait pourtant pas.
- Touche-toi, Alexeï, agite tes doigts sur ta queue, jouis pour moi, montre-moi le plaisir que je te donne !
Dans un état second, je lui ai obéi, pour très vite répandre sept jets de sperme fluide sur mon torse, et m’abandonner à un orgasme foudroyant, qui m’a laissé pantelant, à l’exception de mes jambes serrées sur sa taille, et de mes talons enfoncés sous ses fesses, réflexe animal qui le retient en moi, pour faire perdurer la sensation…
Il a gémi en se répandant dans le préservatif, avant de me demander de relâcher ma prise sur son corps, se retirer et se redresser… ‘’Oh et puis merde pour la protection’’ a-t-il dit, en avalant ma bite encore agitée de soubresauts, et de la nettoyer de sa langue, pour peut-être en tirer les dernières gouttes de mon sperme salé…
***
24 février 2023
En deux mois de captivité, ma connaissance de la langue ukrainienne, pas si différente du russe, c’est beaucoup améliorée. Et pas si accessoirement, en soixante-deux jours, Dmitri m’a fait l’amour et fait jouir soixante-deux fois, les dernières sans capote, mon test HIV est définitivement négatif.
Je suis la pute russki du capitaine, mais vu qu’avant son affectation à Chernihiv, il s’est avéré être un héros, personne ne dit rien.
Pour le ministère de la défense russe, je dois être considéré mort au combat, je sens que je pourrais rester ici, tant que Dmitri aura envie de mon corps, ça m’irait plutôt.
Un soldat Russe capturé et un militaire Ukrainien, nus sur le même lit…
Je suis le premier, allongé sur le dos, tétant avidement le sexe bandé du second, couché tête-bêche sur mon corps, qui détache sa langue du sphincter qu’il vient de détendre et abondamment couvrir de salive, avant de se redresser, se tourner vers moi, et prendre de ses doigts mes chevilles fines pour doucement les poser sur ses épaules.
- Tout est délicat en toi, Alexeï, j’adorerais te posséder sans latex, mais je sais que le HIV fait des ravages en Russie, et compte tenu de ce que tu m’as des bizutages dans votre armée, un minimum de protection s’impose dit-il, en déchirant la pochette d’un préservatif.
Son torse parfait domine le mien, plus chétif, alors que son sexe bandé m’hypnotise… Bientôt, il me possèdera et – il me l’a assuré – me fera l’amour. Je le recevrai en moi, et tirerai le meilleur du plaisir qu’il m’offrira. Le plaisir dont je ne me souviens même plus…
Deux ennemis, surréaliste, non ? Il y a un contexte…
***
- Étonnant… Lors de mes interrogatoires, la plupart de tes compatriotes restent mutiques, les plus lâches pleurnichent, et les plus téméraires m’insultent, rien qui m’inspire le moindre sentiment d’empathie envers votre peuple de vatniks décérébrés. Mais toi… pas de colère, pas de peur apparente, non, tu… chantonnes, petit Russki.
- Colère ? Peur ? Pourquoi ? ai-je murmuré avec un sourire triste. ‘’J’ai déjà vu et subi le pire. Vous me haïssez pour ce que mon pays fait au vôtre… Je ne suis ni courageux, ni stupide, j’ai juste un fond de dignité qui m’empêche de mendier.
- Je peux respecter cela, sache que je ne te hais pas personnellement, et que, pour ce que ça vaut, je regrette ces conditions humiliantes.
- J’ai connu pire, capitaine, ai-je soufflé, en abaissant le regard sur mon corps émacié, seulement couvert du slip règlementaire, mes jambes trop maigres, et mes pieds nus posés sur le carrelage de la pièce, pensant que ce ne l’est pas tellement, à peine embarrassant, et encore, le sentiment est mitigé par le regard gourmand qu’il essaie de dissimuler, à l’inverse des barbares de notre armée.
- La dedovshchina, les viols collectifs, c’est donc vrai… Raconte-moi, veux-tu, Alexeï ? Et appelle-moi Dmitri. Ça a dû être horrible, surtout pour un garçon innocent ! Tu as des mains de pianiste, pas de soldat…
- Amusant que vous disiez cela, capitaine… mon professeur de piano m’enseignait des chansons françaises, dont celle que je murmurais, justement. Quand j’ai maitrisé cette partition-là, comme faveur, Vassili m’avait traduit les paroles… ‘’Moscou, les plaines d’Ukraine… et les Champs-Elysées’’… Il m’avait promis de me faire visiter ces derniers, je n’ai connu que les premiers, c’est cruellement ironique. Quant à être innocent, capitaine… Dmitri… Au point où j’en suis, quitte à ajouter au mépris que vous avez probablement pour moi, je peux vous l’avouer, ma véritable récompense pour avoir exécuté un morceau parfaitement, c’était l’amour qu’il me faisait.
- Tu as donc couché avec un homme mature…
À ce moment, j’ai supputé que la lueur dans le regard du capitaine trahissait peut-être une légère excitation et que, foutu pour foutu, s’il partageait un minimum mon intérêt pour l’amour entre mâles, qui sait, en l’entretenant, je pourrais adoucir mon sort.
- Vassili n’était pas âgé, votre âge je pense, et il vous ressemblait un peu, en fait…
Là, j’ai compris que j’avais capté plus que son intérêt… son attention !
Alors, j’ai raconté l’intimité qu’avait créée le partage d’un siège de piano partagé, ses doigts posés sur les miens pour les accords plus compliqués, les regards, les baisers, les mains qui couraient sur le corps de l’autre, ma curiosité juvénile qui m’avait poussé à passer la main sous la ceinture de son pantalon pour saisir son sexe, et lui appliquer un mouvement répété du poignet, sa jouissance… Que j’avais reçue en bouche lors de la leçon suivante, et dans mon rectum après un mois.
Le jugeant presque à point, j’ai murmuré du ton le plus innocent et rêveur que j’ai pu ‘’Je crois que j’associerai toujours l’orgasme foudroyant que j’ai ressenti la dernière fois, à l’accord en fa mineur, lorsqu’il a éjaculé, et que ma main s’est posée sur le clavier, fa… la bémol, do…’’
Si, au souvenir du sexe partagé avec mon professeur de piano, mon sous-vêtement ne cachait pas ma mi-molle, le pantalon du jeune capitaine ukrainien était alors tendu d’une érection bien plus imposante, et qui ne tenait probablement pas à mon exécution d’un accord parfait au piano.
- Il a… joui… en toi… sans protection ? a-t-il ânonné, en déglutissant difficilement.
Je l’ai achevé en soufflant ‘’Après la douleur initiale, c’était doux… profond… puis le plaisir… Alors, la semence de Vassili qui m’a coulé le long de la jambe, je l’ai accueillie comme un cadeau.’’
Pour ne l’avoir vu que dans des vidéos porno, je l’ai imaginé au bord de l’éjaculation spontanée, en bon étudiant en en fac de psychologie à Saint-Pétersbourg, j’ai conclu que c’était le moment idéal pour une mise à mort. Virtuelle, bien sûr, il me plaisait trop…
- Ensuite, il y a eu la conscription, le centre de recrutement, et ce médecin militaire vicieux, qui nous faisait recevait un par un, nus… Il m’a décalotté, une dizaine de fois et… j’ai réagi. Il m’a traité de tous les noms, avant de sortir son sexe dégoûtant, luisant encore de son sperme et d’autres dépôts douteux après la… visite… pratiquée sur le milicien précédent. Il m’a écrasé sur le bureau et m’a…
Le capitaine ukrainien résiste difficilement à l’envie de porter la main sur son pantalon, et son sexe dressé.
- Après, l’instruction… Et chaque soir, parfois l’un de nos officiers, sinon l’un des soldats de ma chambrée… Je me forçais à penser à Dimitri, sa douceur, le plaisir qu’il me donnait, mais sans plus jamais le ressentir, juste la douleur, et l’humiliation de veiller, incapable de dormir paisiblement, mon anus dilaté suintant leur sperme dégoûtant…
- Dégoûtant… a-t-il répété. ‘’Horrible, vraiment horrible… Des animaux… Et toi, si délicat… Je peux t’assurer que seras mieux traité comme notre prisonnier que comme soldat dans cette armée de dégénérés.
Des chants de Noël ont résonné dans la caserne.
- Hmmm… Je n’apprendrai rien de toi, cet entretien ne nous apportera rien. Les couloirs doivent être déserts, tu dois avoir envie d’une douche chaude, et j’en mérite aussi une, puis je vais te trouver des vêtements propres, suis-moi, Alexeï.
Il m’a posé la main sur l’épaule en sortant de la pièce d’interrogatoire, j’ai simulé un tressaillement.
- Désolé, capitaine… Dmitri… Ce n’est rien de personnel, mais après tout ce que j’ai vécu…
- Je comprends, c’est moi qui suis désolé.
Le jet d’eau tiède nous asperge, mais je suis resté figé, les bras croisés, les mains posés sur mes épaules.
- Il y a du savon, là…
- Je ne pourrai jamais laver ce qu’ils ont fait de moi, ai-je gémi en tombant à genoux devant lui.
Il n’a pas reculé, mais à l’inverse, s’est insensiblement rapproché ‘’Alexei… jeune Aliosha, ta vie commence, cette guerre finira, tu pourras être heureux !’’
- Plus jamais, ai-je murmuré, regardant le sol carrelé, avant de jeter les mains sur ses hanches, avant de lentement les faire glisser sur sa peau, à se rejoindre au-dessus de son pubis.
Il s’était légèrement accroupi, mais s’est redressé, plaçant sa queue encore à moitié gonflée entre mes doigts, pour entamer un lent mouvement qui faisait éclore son gland de son prépuce épais.
J’ai levé mon regard implorant dans le sien, j’ai murmuré ‘’Pourquoi êtes-vous si gentil, capitaine… Dmitri… Et pourquoi ressemblez-vous tant à Vassili ? J’ai tellement envie de ses bras rassurants.’’
Avec un sourire apaisant, de deux doigts, il a délicatement écarté mes mâchoires pour présenter l’extrémité de son sexe à mes lèvres, qui l’ont accueilli.
Oubliées les fellations forcées des animaux de mon bataillon ! Il a accompagné la caresse de ma langue de pénétrations lentes et retenues de son sexe dans ma bouche, mais si Vassili, puceau autant que je l’étais, avait très vite déversé son sperme dans ma gorge…
- Pas ici… pas ainsi… je te veux… je veux te réconcilier avec les sensations douces du sexe entre hommes, mais avec le respect qu’un garçon comme toi mérite.
- Après tout ce que je vous ai avoué, vous… vous me désirez un peu, capitaine ?
- C’est Dmitri, je te l’ai dit. Et oui, Alexeï, tu es terriblement désirable, alors si tu le souhaites…
- Je… je vous fais confiance, ai-je bafouillé, avec le regard presque larmoyant de ce manipulateur de Chat Potté dans la version piratée de Shrek que j’avais regardée avec Vassili.
***
- J’ai terriblement envie de toi, mais un minimum de protection s’impose, tu comprends…
Les chevilles posées sur ses épaules, j’admire son torse juste assez musclé, couvert d’un poil châtain déjà mêlé de sueur, avant d’abaisser le regard sur son sexe qu’il applique sur mon intimité, avant de l’enfoncer en quatre lents mouvements.
- Oh ! Tu es si serré… Tu as mal ?
- Un peu, mais reste en moi ! Doucement… Oui, ainsi… Là, juste lààà ! Aaaaah…
- Tu veux que je me retire ?
- Nooon ! Non… comme ça, c’est… Oooh… Ce plaisir, je ne…
Profitant de ce que son regard était vrillé dans le mien, j’ai pressé le doigt le long de mon urètre, mon gland décalotté et luisant a émis le filet de liquide translucide bien connu de me longues masturbations en solitaire devant les vidéos de Bellamy ou XNXX.
- Dmitri… je… je jouis !
- C’est juste du pré-sperme, la stimulation de ta prostate par mon gland, a-t-il soufflé, un peu fier, avant d’ajouter ‘’mais ça peut être mieux, et plus fort’’ en s’enfonçant entièrement en moi.
- Oooooh !
En une trentaine de pénétrations profondes, il m’a amené à un plaisir inédit, me laissant incapable de la moindre pensée cohérente, mon esprit étant focalisé sur la jouissance imminente, qui ne venait pourtant pas.
- Touche-toi, Alexeï, agite tes doigts sur ta queue, jouis pour moi, montre-moi le plaisir que je te donne !
Dans un état second, je lui ai obéi, pour très vite répandre sept jets de sperme fluide sur mon torse, et m’abandonner à un orgasme foudroyant, qui m’a laissé pantelant, à l’exception de mes jambes serrées sur sa taille, et de mes talons enfoncés sous ses fesses, réflexe animal qui le retient en moi, pour faire perdurer la sensation…
Il a gémi en se répandant dans le préservatif, avant de me demander de relâcher ma prise sur son corps, se retirer et se redresser… ‘’Oh et puis merde pour la protection’’ a-t-il dit, en avalant ma bite encore agitée de soubresauts, et de la nettoyer de sa langue, pour peut-être en tirer les dernières gouttes de mon sperme salé…
***
24 février 2023
En deux mois de captivité, ma connaissance de la langue ukrainienne, pas si différente du russe, c’est beaucoup améliorée. Et pas si accessoirement, en soixante-deux jours, Dmitri m’a fait l’amour et fait jouir soixante-deux fois, les dernières sans capote, mon test HIV est définitivement négatif.
Je suis la pute russki du capitaine, mais vu qu’avant son affectation à Chernihiv, il s’est avéré être un héros, personne ne dit rien.
Pour le ministère de la défense russe, je dois être considéré mort au combat, je sens que je pourrais rester ici, tant que Dmitri aura envie de mon corps, ça m’irait plutôt.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Que de poncifs partisans sur la situation en Ukraine... comme si les Ukrainiens étaient des anges et les Russes étaient tous des monstres. Il serait bon d'ouvrir les yeux une bonne fois pour toutes. Le Mal est partout, dans les deux camps, et surtout en Occident !
Belle histoire d'actualité, faites l'amour, pas la guerre !