Mourad 1/2

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
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Récit libertin : Mourad 1/2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mourad 1/2
Bonjour,
Bon je sais, je me répète car il me faut faire cette petite précision... J’ai toujours gardé pour moi, mes expériences que nous avons vécu, ma femme et moi, tout au fond de ma bulle (mon carnet intime), ou du moins je ne les ai pas exposé au grand jour, mais avec les années qui passent et surtout avec ou grâce à l’autorisation de la principale actrice de nos jeux, qui n'est autre que ma femme, je mets noir sur blanc quelques unes de nos histoires de sexe.

Au début je voulais vous exposer nos aventures par ordre chronologique, car ou parce que j'avais déjà noté nos aventures sur mon/mes journal(aux) intime et avec cette envie de vous exposer mes-nos aventures vécues, j'ai commencé à les romancer. J'en commence à rédiger une de nos histoires vécues et avant de finir je commence à romancer une autre histoire, que je redécouvre en feuilletant négligement mes carnets, et qui me paraît alors interessante à vous faire lire mais qui a eu lieu plus tard dans le temps. Une fois que je fini d'écrire pour une raison ou une autre que je ne publie pas, voulant respecter la chronologie des aventures, et donc je perds les pédales et l'histoire que j'avais commencé à écrire je n'arrive plus à la finir ou bien je la bâcle... Et je tarde alors à publier!
Bref,
Jusqu'à maintenant j'ai respecter la chronologie de nos histoires vécues et là, j'ai résolu que je vais à partir d'ici ne plus trop suivre la chronologie de mes aventures mais qu'à partir du 01.01.2025 je vais écrire mon journal intime (coquin) sur ce site... Vous serez alors aux premières loges, si je puis dire !

Voilà une première précision !

La deuxième toute aussi importante est un Rappel important :

Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
Protégez vous car c'est trop stupide de courir un risque rien que pour satisfaire un plaisir !


Maintenant voici l'histoire :

02 03.2001


Un de mes jeunes cousins, Mourad, le beau gosse de la famille, fait ses études à Londres. Il se doit de se rendre assez vite à Tunis pour le mariage d'un de ses meilleurs amis ce mardi, et la liaison aérienne Tunis-Londre-Tunis n'est effective que les jeudis alors que Tunis-Paris-Tunis est programmé 3 fois par jour.

C'est un cas typique de l'une des bases de l'économie : le marché de l'offre et la demande.

J'explique pour ceux qui ne savent pas de quoi il s'agit : la demande de voyager vers Paris et plus importante que celle vers Londre, c'est donc pour cela que les compagnies aériennes offrent plus de vol sur Paris que sur Londre.

Donc, mon cousin, est obligé de passer par Paris, et tant qu'à faire y passer le week-end avant de continuer sa route vers Tunis le lundi. D'où sa demande s'il m'étais possible de l'héberger le week-end.

Dans la famille de mon père, on a tous les yeux noirs ou couleur noisette, mais Mourad est le seul de mes cousins a avoir les yeux verts. On ne sait toujours pas avec qui sa mère a fauté ! Hihihi

Mourad fait plus de 1m80, pratique assez régulièrement du body-building et de la natation... Donc vous imaginez un peu le corps qu'il propose aux yeux de ces jeunes filles et de ces dames.

Caline, après notre mariage, l’avait rencontré à 2 ou 3 reprises, et avait marqué pour lui un petit faible qui m’avait semblé réciproque. Bien qu'il soit "craquant et à croquer", il a un petit défaut : Il est timide et un peu gauche. Toujours solitaire, n’ayant à priori jamais rencontré la petite amie qui lui donnerait de l’assurance et de l’audace.

Caline m’avait avouer la première fois où elle l'avait vu, qu’elle se dévouerait bien et craquerait sans peine sous ses biceps.
Je souhaitais, à ce moment-là, la prendre au mot, mais j'en avais jamais eu l'occasion.

Bref,

Je lui annonce alors :


— Mon cousin Mourad... Tu vois le beau gosse ? Il est de passage sur Paris et me demande si on peut l'heberger pour ce week-end, car il doit prendre le vol pour Tunis lundi...
— Pas de soucis !
— Et... Crois-tu qu’il rougira toujours lorsqu'il verra ton décolleté ou tes jambes ?
— J'espère bien !
— Crois tu qu'il soit encore puceau?
— Aucune idée... Mais je doute fort... Et si c'est le cas ?
— Si c’est le cas... Tu pourras te dévouer ?
— Me dévouer à faire quoi ?

Je me contente juste de lui mimer le mouvement que ferait un homme pour s'accoupler.

— On verra bien ! M’a-t-elle répondu en riant, habituée à ce genre de réflexion pas tout à fait innocente de ma part.

Caline est toujours de nature très sexy, avec en permanence un décolleté profond et plongeant, assez exhibitionniste, et généralement court vêtue.
Donc, ce vendredi soir, elle a préparé le dîner avec une bouteille de champagne pour accompagnement. C’est une boisson à laquelle elle est très sensible...
Quelques minutes avant que je ne parte chercher mon cousin à la gare, elle me demande :

— Comment tu voudrais me voir habillée ?

Pardon ? Est-ce une question "innocente" ou est-elle entrain de demander un accord ?
J’ai saisi la balle au bond :

— Puisque nous ne sortons pas, moins tu porteras de vêtements, mieux ce sera... Tant qu'à faire... Court et sexy !
— Je m’en doutais ! A-t-elle répondu en riant, avant d'ajouter.... Mais j’ai un peu peur de le choquer...
— J’espère bien que tu vas lui faire perdre la tête !
— Ça ne m’étonne pas de toi gros pervers... Allez file maintenant !

J’étais plutôt content de la voir d’humeur si coquine, et lorsque nous sommes arrivés à la maison, mon cousin et moi, Caline nous est apparue joliment coiffée et maquillée, vêtue d’une jupe jaune, assez... même très courte... sur des bas blancs (pour info : elle ne porte jamais de collants). Une veste jaune aussi, à même la peau, révélant un profond décolleté qui mettait en valeur sa superbe poitrine et la vallée qui sépare ses seins. Il m’a semblé qu’elle n’avait pas de soutient gorge. Elle est en tout cas jolie à croquer, et Mourad, est très... Ému, subjugué, quand il se penche pour l’embrasser.
Après avoir dîné et un peu bu, en racontant pas mal de bêtises, nous avons regagné le salon où nous attend une nouvelle bouteille de champagne.
Caline a les joues roses et on peut voir dans ses yeux ces petites bulles pétillantes, qui lui font tant d’effet et la rendent amoureuse et un peu plus que déchaînée dans nos jeux.
J’en profite pour lui caresser discrètement les fesses, ce qui l’a fait sourire.
Tout naturellement, elle est allée s’asseoir sur le canapé, qui a une assise un plus profonde que les fauteuils, ce qui l’oblige à tenir serrés ses genoux pour préserver son intimité. Mourad et moi nous sommes installés en face d’elle un verre de champagne à la main.
Lorsqu’elle s’est penchée pour poser son verre vide, nous avons eu une vision profonde et presque complète de sa superbe poitrine. J’ai, alors, remarqué que sa veste était déboutonnée jusqu’au-dessous de ses seins ("sûrement" volontairement ou accidentellement ?) et nous avions, la certitude, à ce moment-là qu’ils sont libre de tout soutien.
C’est après une coupe de champagne et quelques mouvements plus tard que sa jupe, largement remontée sur ses cuisses, nous dévoile sans équivoque le haut de ses bas et un morceau de peau nue.
Elle continu à parler et à rire, et sans que rien ne laisse supposer qu’elle s’en soit aperçu de cette (soudaine ?) remontée de tissu, ses genoux légèrement desserrés nous révélent le fond blanc d’un string de dentelle.
Son sourire angélique et son air serein et innocent rendaient cette exhibition terriblement excitante, et j’ai le sentiment d’être un voyeur profitant de trésors dévoilés par inadvertance.
Mourad ne sait plus où se mettre, le rose aux joues, un peu agité dans son fauteuil, semble faire de vains et surhumains efforts pour empêcher son regard de plonger directement entre les cuisses de ma petite chérie. Je me doute bien qu’elle est toute décidée à s’amuser, s'amuser à troubler le petit cousin, lui laissant par moment le temps de bien se rincer les yeux de la vue qu’elle lui offre, ouvrant encore un peu plus ses jambes en tournant franchement vers moi ses yeux brillants, pétillants et pervers.
La connaissant un tantinet, je sais qu'à ce moment-là qu’elle était toute trempée et assez ouverte, totalement déshinibée par cette demi-douzaine de verres de champagne.
Je laisse ce moment durer, et il assez évident pour Mourad que je ne cherche absolument pas à le priver des charmes de ma jolie compagne, en ne faisant rien, en ne rouspétant même pas après d’elle pour lui faire rectifier une attitude qu'on peut interpréter comme "un appel" à la faire jouir.
La tension dans la pièce était palpable. Mourad a de plus en plus de mal à cacher son trouble, et sans oser croiser mon regard, observe Caline directement entre les jambes. Et je sens que ce regard qui suit les courbes de ses cuisses, doit terriblement l’exciter, bien que seul son visage a un peu rosi. Euphorique qu'elle est, Caline joue la parfaite petite salope, comme si cela était innée chez elle.
Pour ma part, je suis dans un état d’excitation proche de l’orgasme tant cette exhibition est perverse, et j’imagine que Mourad ne doit plus savoir que penser. Il est tout évident que Caline me laisse prendre toute initiative et attend que je la guide, avec son consentement le plus... "total".
Alors je me suis levé pour resservir nos verres et suis revenu m’asseoir auprès d’elle. Elle a aussitôt posé sa tète sur mon épaule, les jambes tournées vers notre invité, légèrement ouvertes. J’ai sous les yeux ses cuisses, et sa jupe est remontée si haut que je n'ai plus besoin de deviner ni la couleur ni la nature de son.. String.
Du fauteuil de mon cousin, la vue doit être encore plus agréable à voir, et si au départ, mon cousin était un peu congestionné, il me semble que le champagne l'a bien aidé à détendre l'atmosphère en le rendant un peu plus complice aux jeux de ma bien-aimée. Nous sommes tous les trois biens partis dans nos envies, nos phantasme, et nos perversions peu avouables.
Le bras autour de ses épaules, ma main glisse sous sa veste pour empaumer un sein :

— Que ce sein est chaud et ferme ! Dis-je en fixant Mourad d'un regard coquin.

Elle n’a eu aucun mouvement de recul. s’appuyant plus lourdement sur moi. Dans cet abandon, ses fesses glissent de quelques centimètres sur le canapé, sa jupe nous découvre largement sa lingerie blanche, si fine et transparente qu’on voit nettement sa chatte toute lisse.
Bouche bée, Mourad ne perd pas une once du spectacle. Caline fait semblant de s’être endormie sur mon épaule. Seuls signes de vie, sa respiration un peu haletante et son téton qui durcit sous ma main. Nous ne parlons plus et un fond de musique berce une atmosphère irréelle.
Au bout de quelques instants, je me jette à l’eau, m’adressant à mon cousin :

— J’espère que je ne te choque pas?
— Oh non... Elle est belle ! Me répond-il d’une toute petite voix, sans faire aucun mouvement.

De ma main libre je défais délicatement les deux boutons restants de sa veste, et écarte lentement les pans offrir ces seins superbes aux médusés de notre spectateur, continuant à titiller le téton de celui que j’ai empaumé. Mourad est complètement figé.
N’osant bouger, je me contente d’attraper sa jupe pour tenter de la remonter, et à ma plus grand bonheur, elle souleve son bassin pour faciliter mon geste.
Troussée jusqu’à la taille, elle expose ses jambes gainées et son joli string blanc. Seins nus, elle est offerte et terriblement excitante, plus encore que si elle était nue.
Je me dégage un peu pour atteindre son ventre, et je posé la main sur sa chatte. Elle a très légèrement ouvert les cuisses. À travers le tissu, je sentais ses lèvres gonflées et humides. Le fond du slip est trempé. La situation l’excite bien autant que moi, et je la sens prête à subir un traitement beaucoup plus énergique.
Devant notre spectateur, je commence à la peloter du bout des doigts. Elle se met à gémir doucement, ouvrant lentement ses cuisses, jusqu’à poser une jambe sur l'accoudoir de se canapé.

Mourad ne semble pas vouloir bouger, malgré mon signe pour qu’il nous rejoigne. Il se contente d’apprécier ce superbe spectacle que lui offre Caline se laissant branler.
Sous mes doigts, je sens son clito se tendre à travers le tissu qui se loge très nettement dans sa fente. Elle ondule dans mes bras, sa jambe posée sur le canapé est agitée de tremblements. Elle a tourné la tète, le visage niché dans mon cou, et je sens ses lèvres m’embrasser sous l’oreille. Ses seins que je pelote tour à tour durcissent dans ma main, et je sens monter son plaisir.
Mourad ne bouge toujours pas, l’air très excité, alors sans plus me préoccuper de lui, j’ai crocheté le fond du slip de ma compagne et l’ai écarté. Ses grosses lèvres gonflées se sont ouvertes comme une fleur. J’ai plongé un doigt dans son sillon gluant de son jus d'amour et me suis attaqué à son clito dressé. Très vite, elle murmure à mon oreille :

— Mets-moi un doigt !

Cette voix rauque a agit sur moi comme une décharge électrique, et sa demande a failli me faire exploser. Je plonge l’index dans son nid à bites. Il est distendu, brûlant et trempé. Elle s’est arquebouté dans mes bras en geignant. Mon doigt entrant et sortant de son vagin produisait un clapotement obscène, et Mourad, tétanisé, crispé sur le bord de son fauteuil, les yeux rivés à l’entrejambe de ma petite salope, semble prêt à basculer en avant.
Je branle Caline avec force, enragé que je suis, car je sens la montée de son plaisir, jusqu’à ce qu’elle explose en feulant comme une chienne, tremblante, me déchargeant son jus dans la main. La présence de ce spectateur lui a (me semble-t-il) procuré un plaisir plus fort que d'habitude. Elle est retombée inerte dans mes bras, le visage toujours niché au creux de mon cou, cuisses grandes ouvertes.
Semblant m’interroger du regard, et encouragé par mon silence, Mourad se léve, s'agenouille entre ses cuisses qu'il caresse de sa main, jusqu’à atteindre sa chatte à travers le slip humide. Il a posé ses deux mains sur les hanches de Caline et approche son visage jusqu’à l’écraser sur la motte. Je sens ma chérie se tendre et avancer son bassin à la rencontre de cette nouvelle caresse, les doigts de Mourad passent sous la ceinture de la culotte blanche. Il la déculotte lentement, mettant à jour la totalité de sa petite chatte, et après l’avoir contemplée quelques instant, il a, à nouveau, approché son visage pour la sucer, pour tromper ses lèvres avec ce jus qui lui est supposé interdit
Elle s’est écartelée, et à ma stupéfaction, s’est redressée à demi dans mes bras pour regarder la tète de mon cousin entre ses cuisses, elle lui a posé sa main sur la joue pour l’encourager. Il s’est mis à lui bouffer la chatte avec frénésie, les deux mains passées sous ses fesses, et je vois son bassin avancer par accoups à la rencontre de cette langue qui la fouille, pendant que je lui pelote les nichons à pleines mains, elle est, à nouveau, au bord de l’orgasme, tant il lui est excitant de se sentir prise dans mes bras protecteurs alors elle sent une autre langue la sucer.
Soudain, elle décolle ses pieds du sol, remontant ses jambes, cuisses ouvertes au maximum. J'abandonne aussitôt ses seins pour la saisir sous le plis du genou, et l’ouvrir en grand. Je la maintiens écartelée, totalement indécente, lui décollant presque les fesses du canapé. J’ai sous les yeux sa fente béante et ruisselante.
Après s’être écarté quelques seconde pour mieux se remplir les yeux de ce spectacle inédit, inimaginable, Mourad a plongé, à nouveau, sur son coquillage, et j’ai vu sa langue pénétrer les portes de son vagin, qui sont sensée lui être infranchissable. Son nez frottant sur le clito tendu. Elle s’est mise à délirer, gémir... Son corps est parcourue de tremblements, tétanisée qu'elle est sous la force de ses jouissances, elle a jouit en hurlant :

— Ouiiiiii.... Mourad... Bouffes... Bouffes-moi cette chatte à bites... Fais... Moi... Ahhhhh !!!

Mourad n'a d'autre choix que de se coller encore plus au sexe de la femelle en chaleur et continu à la lécher avec frénésie.
Au bout d’un moment qui m’a semblé une éternité, je l’ai sentie se détendre dans mes bras et je la vois reposé doucement jambes à terre.
Le visage de mon cousin bouffeur de moules, est barbouillé, trempé de ce jus qu'on rêve secrètement de le lui boire.
Toujours assise sur mes genoux, elle se penche sur son amant, lui saisi le visage de ses mains et l’a embrassé à pleine bouche, en lui disant :

— Tu m'as fais vivre un superbe feu d'artifice... Merci ! Avant de se lèver et quitté la pièce.

Un peu sonné qu'il est de par cet incroyable événement que je viens de lui faire vivre, Mourad reste quelques instants sans parler, finissant sa coupe de champagne. Pour rompre le silence, je lui propose :

— Viens ! Je crois qu’elle nous attend... Avant de rajouter un grand mensonge... C’est la première fois que nous faisons cela, mais elle avait très envie de toi et je t’avoue que je ne peux rien lui refuser... Je l'aime trop... Tu ne connais pas encore ça toi ?
— Heuuuu... non pas encore !
— Cela viendra plus vite que tu ne l'image mec... Alors profite avant de mettre la bague au doigt de ta femme.
— Mais je te dis que j'en ai pas,!
— De ta future meuf gros bétà !
— Ahhh... OK !!
— Bin cousin... Ce qu'on vient de vivre là et tout se qui peut arriver ici cela doit rester notre secret car... notre famille au bled ne comprendra jamais... Cela ne fait par parti de leurs largesses d'esprit. Dis-je le plus sérieusement possible (Biensur Mourad ne connaît pas la coutume de vie de mes parents).
— Don't worry Bro !
— Bon... Moi j'en ai bien envie là... Tu as envie de venir avec moi lui faire l’amour ?
— Oh oui ! Mais tu crois qu’elle va accepter ?
— Allez viens... Et tu verras bien qu’elle n'attend que ça !

Cote à cote nous nous dirigeons vers notre chambre où Caline effectivement nous attend totalement nue, allongée au milieu de notre lit, le regard brillant à la lueur des bougies qu'elle avait pris oa peine d'allumer.

— Vous en avez mis du temps messieurs ! Je n'y croyais plus ! Nous dit-elle alors que nous prenions place chacun d'un côté de son corps enflammé de désir.

Lorsque j’ai accompagné mon cousin à l'aéroport pour qu'il puisse prendre le vol en direction de la capitale de patrie qui nous a vu naître le lundi matin, Mourad n’était plus puceau... Mais ceci est une histoire que je vous en ferais part dans la prochaine épisode de cet extraordinaire week-end.
Alors...

À suivre...

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Texte coquin : Mourad 1/2
Histoire sexe : Une rose rouge
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