Mûr mûr
Récit érotique écrit par Australe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Mûr mûr
Le restaurant est relativement calme. La déco est sobre. Autour, deux-trois couples parlent à voix basse. Je tourne mon regard de nouveau vers l’homme devant moi. Enfin « l’homme », c’est un bien grand mot, je dirais plutôt le garçon. Je fais mine de l’écouter, souriante, faisant oui de la tête, parfois plaçant un « ah, bon ? » mais en réalité je me contre fiche de ce qu’il raconte. Nous nous sommes rencontrés sur une appli. Il m’avait l’air mignon, il l’est. Mais qu’est-ce qu’il est lourd. Et puis je me sens un peu ridicule. Je porte une robe légère, des talons et me suis maquillée juste pour ce garçon vêtu d’un simple t-shirt et jeans. Alors qu’il continu son monologue, un couple s’assied à la table derrière nous. L’homme doit avoir la cinquantaine, bedonnant, en costume. Elle cependant, ne doit pas avoir plus de vingt ans. Elle est svelte, brune, et a un beau visage. Comme moi elle porte une robe bustière mais la sienne épouse parfaitement sa silhouette. Elle ne porte pas de soutien gorge. C’est une escorte ou une sugar baby, pas de doute. J’ai perdu tout intérêt pour le jeune homme devant moi à présent et j’observe ce couple inattendu qui à présent se tiennent la main. Lui semble être captivé par sa jeune compagne.
Nous mangeons – mon jeune compagnon toujours à déverser son effluve de paroles vides, pendant que je continue d’observer le couple. Elle flirte avec lui, touchant sa main, son bras, et même, j’aperçois sa jambe monter le long de la sienne. Elle se lève à présent et se dirige vers les dames. Sans attendre, je m’excuse et fait de même.
Je retrouve la jeune femme se remaquillant devant un des grands miroirs qui longent le mur du fond au dessus des lavabos. Je m’approche, fascinée.
« Excuses moi, mais je voulais te dire, ta robe est vraiment superbe, tu l’as acheté où ? »
Elle se retourne vers moi, un sourire aux lèvres, elle est vraiment sublime, « Oh merci ! C’est mon homme qui me l’a offerte. Elle vient de chez Vogue. »
« Ton homme – celui avec qui tu passes la soirée ? »
« Oui bien sur. » Elle me sourit toujours.
« Désolée si c’est indiscret, mais je me demandais, il est beaucoup plus âgé non ? »
Elle rit, « Oui oui, il a cinquante quatre ans. »
« Et toi ? »
« Dix-neuf. »
« Mais – » Elle me coupe,
« Je n’aime pas les mecs de mon âge ? Comme celui avec qui t’es venu ? »
« Oui. »
« Si bien sur, mais je les trouve trop immatures. »
« Oui enfin il y a des hommes plus jeunes et matures. »
« Tu dois penser que je suis avec lui pour son argent. »
« Je ne juge pas, c’est juste que je vois pas trop d’autre raison. »
« Et non ! Il est vraiment très drôle, intelligent et… »
« Et ? »
« Il fait l’amour comme un dieux. Si on devait me faire choisir entre lui et ton « date », je n’hésiterais pas une seconde. »
« Là-dessus tu n’as pas tort. »
Nous rions ensemble.
« Et il est toujours aux petits soins pour moi, en plus d’une libido débordante. Ma satisfaction passe toujours avant la sienne avec lui. »
« Mon dernier amant ne savait même pas défaire mon soutien gorge. Remarque je vois que t’as trouvé la solution à sa aussi.»
Elle rit de nouveau, « Je ne porte pas de culotte non plus. Jean me préfère sans. Il a juste à soulever ma robe ou la baisser. Il appelle ça me libérer, comme ça - » D’un coup de main elle tire sa robe vers le bas, en effet libérant ses seins. Lourds et fermes, aucun doute pourquoi il aime tant la voir sans soutif. Elle a de petits tétons roses. Elle me sourit toujours.
« Je découvre encore la vie, alors pourquoi ne pas la découvrir avec un homme qui sait m’apprécier plutôt qu’un jeune con ? » Elle remonte le tissu de sa robe, dissimulant de nouveau son buste.
« Tu as sans doute raison. Je suis même jalouse. » C’est la vérité. J’avais suivi cette jeune femme par curiosité, voulant savoir comment et pourquoi elle supportait cet homme et à présent je me trouvais à l’envier.
« Tu sais, Jean a des amis. Ils sont tous très cultivés. Demain soir nous dinons avec l’un d’entre eux, pourquoi ne viendrais-tu pas avec nous ? Au pire s’il ne t’intéresse pas, tu passeras juste une soirée sympathique à discuter. Pas comme ce soir. »
Je ris, « Bon, ok. »
Elle sourit, ravie « Super ! Moi c’est Calypso au faite, mais tout le monde m’appelle Caly, et toi ? »
« Céline. »
Nous échangeons nos numéros et sortons des toilettes. Avant de retourner à ma table, Caly me présente à Jean.
« Céline vient diner avec nous demain soir, chéri. Elle s’entendra à merveille avec Simon. »
« Ah génial, on se voit demain alors. »
Je n’ai pas envi de retourner au monologue sourd de ce mec sans intérêt alors je prétexte la fatigue, laisse un billet de vingt euros et sans attendre une réponse quitte le restaurant. Avant de passer le seuil de la porte cependant je me retourne, Caly m’aperçoit et me fait un petit sourire que je lui rends.
Le lendemain vient et je n’arrive pas à me sortir de la tête le fait que ce soir, je vais diner avec deux quinquagénaires, et même peut-être me laisser séduire par l’un d’entre eux. La journée passe lentement. Nous sommes un Samedi et je n’ai quasiment rien à faire. Mon compagnon du restaurant essaye en vain de me recontacter mais je l’ignore.
J’ai rendez-vous à vingt heures, rue de Rivoli. C’est à environ vingt minutes de chez moi mais déjà à dix-neuf heures je suis prête. J’ai mis longtemps à choisir ma tenue, hésitant entre une robe longue mais fine, bustière, ou une plus dans le style de celle que portait Calypso. C’est celle-ci que je choisis. Elle épouse parfaitement mes formes, s’arrêtant juste au-dessus des seins. Je me décide également à ne pas porter de soutien gorge. De toute manière celui-ci aurait été incompatible avec ma robe. J’opte tout de même pour un string noir – je ne me sens pas encore de m’initier totalement aux habitudes vestimentaires de Caly. Celle-ci m’envoi plusieurs textos pendant la journée, me disant qu’elle a hâte de me revoir. A présent, alors que viens de terminer de m’habiller, mon téléphone vibre à nouveau.
- Alors, prête pour ce soir ?
- Oui, un peu nerveuse quand même.
- T’inquiètes, tu verras, Simon est un mec bien, très intelligent et courtois.
- Et toi, tu as passé une bonne journée ?
Calypso me répond presque immédiatement.
- Oui, excellente – j’ai passé la journée au lit !
- Ah bon ? Mais pourquoi ?
- Jean ne souhaitait pas que j’en sorte ;)
Sa réponse me fait sourire.
- Ah oui quand même, sacré libido.
- Oh oui ! Bon je te laisse, il faut que je m’habille, à tout à l’heure.
Je pose mon téléphone et me contemple mon reflet dans le miroir de ma chambre. Je ressemble à la jeune femme que je croyais escorte. Mes seins, lourds mais fermes, semblent sur le point de déborder de ma robe, si je devais en effet me laisser séduire, Simon n’aurait pas un grand effort à fournir pour me déshabiller. Je me retourne et contemple mon fessier. Sans vraiment réfléchir, je fais remonter ma robe doucement le long de mes cuisses jusqu’à apercevoir la ligne de mes fesses.
J’ai toujours été quelqu’un de sportive et je suis plutôt fière de mon corps. Je faisais fondre mon ex avec mes fesses, qu’il adorait peloter.
Je continue de remonter ma robe, révélant ainsi tout mon bassin. Je me lance un regard coquin dans le miroir mais n’arrive pas à me prendre au sérieux alors je baisse de nouveau le tissu de ma robe et m’assieds sur le lit, attendant de pouvoir partir.
Je suis en avance. Un soleil couchant inonde la rue de Rivoli et le parc des Tuileries d’une douce chaleur printanière. J’ai prit le métro et me suis fait aborder trois fois. La première fut par un sans abri qui me suivit le long du quai de la ligne onze à République – une fois la rame arrivée cependant il me lâcha. Les deux fois suivantes cependant, deux groupes de jeunes hommes – environ mon âge, me firent des compliments. Un peu brusques mais cela ne me gêna pas. Je leur souris et même fit un clin d’œil au plus beau d’entre eux. Ses compagnons le charia tandis que je quittais la rame pour prendre la une à Hôtel de Ville. J’étais en confiance.
Mais à présent, devant la vitrine de la brasserie, déjà pleine de belles gens en costumes et robes de soirées, j’ai de nouveau les papillons au ventre. Alors que j’observe ce petit monde qui me semble si distant, j’entends une voix grave derrière moi,
« Céline ? »
Je me retourne. Un homme, grand, brun, comme Jean un peu bedonnant mais tout de même non sans un petit charme bien à lui, me contemple, un sourire aux lèvres. Il porte un beau costume gris foncé.
« Simon ? »
Son sourire, s’enhardit, « Exacte ! Enchanté. Tu es encore plus belle que ce que m’a vanté Jean tout à l’heure. »
Je sens que je rougis, « Merci. »
« Et bien, qu’attendons nous ? Rentrons ! » Il me tend son bras, que je passe au travers le mien me laissant guider.
Le maître D nous accueil, prenant la veste de Simon et m’adressant un sourire éclatant,
« Votre table est prête, veuillez me suivre. »
Nous avons une table au fond du restaurant, contre l’un des murs richement décoré de dorures et d’un grand miroir.
Une fois assis, un serveur vient prendre la place du maître D et Simon, sans attendre, commande un Saint Emillion, ‘82. Je n’ose imaginer le prix. Le serveur nous quitte et Simon pose de nouveau son regard sur moi. Il a les yeux brun foncés, noirs presque, qui ne laissent en rien deviner ses pensées. Mais à cet instant je me sens vulnérable.
« Savais-tu qu’il existe un projet de reconstruire l’hôtel des Tuileries ? »
Un peu surprise par la question – j’aurais cru que des thèmes tels que l’architecture et l’histoire se trouvaient loin des pensées de mon compagnon de table – je réponds que non je n’étais pas au courant.
Simon continue sur sa lancée, divergeant sur l’état du patrimoine à Paris et le débat autour d’une possible muséification de la capitale. Peu à peu mes nerfs se calment et je me retrouve captivée par cet homme, qui, deux fois mon âge, est devenu bien plus sexy que mon jeune homme d’hier. Simon me captive tellement que je ne remarque pas l’arrivée de Calypso, sa robe encore plus courte qu’hier et son amant Jean. Jean et Simon se font la bise tandis que Calypso, sans aucune gêne m’embrasse à pleine bouche. Elle me sourit et les deux hommes rient.
La soirée prend son cours. Nous mangeons, buvons et discutons. Simon continu de me séduire à travers son langage élégant. Nous sommes à présent assis l’un à côté de l’autre sur la banquette longeant le mur. Je sens sa main se poser sur ma cuisse tandis que Jean nous parle d’un projet personnel de maison dans le sud-ouest. La main de Simon reste immobile sur le haut de ma cuisse. Mais sa chaleur au travers le tissu fin de ma robe, suffit à faire naitre en moi une touche d’excitation. Je me retrouve à désirer cet homme qui doit avoir le double de mon âge.
Nous quittons le restaurant aux environs de vingt-trois heures. Jean et Simon nous laissent entre filles à bavarder alors que nous attendons l’arrivée de leurs chauffeurs. Calypso me prend la main,
« Alors, tu vas rentrer avec lui ? »
« Je ne devrais pas. »
« Et pourquoi donc ? J’ai bien vu qu’il t’attire. »
« C’est vrai mais je ne sais pas… »
« Si le jeune homme hier soir t’avait plu – tu l’aurais laissé en plan ? »
« Non. Non je ne pense pas. »
« Alors, pourquoi maintenant ? Simon est un mec génial. Et je vois bien qu’il t’excite – je te parie qu’il est aussi doué au lit que mon Jean. »
C’est à cet instant qu’une berline noire vient se garer le long des arcades haussmanniennes. Jean appelle Caly, leur chauffeur les attend. Le couple nous souhaite une excellente soirée, Calypso, alors que Jean et Simon se serrent la main, me fait un signe de tête vers mon compagnon – m’encourageant.
La voiture s’éloigne et Simon se rapproche de moi. Il pose une main sur ma taille. Une Mercedes, noire également, vient prendre la place de celle de Jean. Un chauffeur nous ouvre la portière arrière.
« Tu viens ? » Simon me demande simplement.
Je ne résiste pas, et fait oui de la tête.
Le trajet se fait en silence. Mais Simon a de nouveau posé sa main sur ma cuisse. Mon potentiel amant habite dans le seizième arrondissement – un grand appartement avec une vue prenante sur le Trocadéro. Simon nous sert un vers de champagne tandis que je contemple le panorama. Je le sens s’approcher derrière moi. Je me retourne et il me tend une coupe. Je déguste lentement.
« Tu as une très belle vue. »
Simon, son regard fixé sur moi, me répond avec un sourire en coin, « Oui, très. »
Je me sens rougir.
« Tu es encore plus belle quand tu prends des couleurs. »
Je baisse le regard, ne sachant quoi dire.
« Enlève ta robe. »
Sa demande, d’une voix autoritaire mais douce, me surprend.
« Pardon ? »
« Tu m’as bien entendu. Enlève ta robe. »
Puis, sans prévenir, il pose une main sur le bord de ma robe bustière et la tire fermement mais sans violence vers le bas. Mes seins, « libérés » comme dirait Caly, se révèle à la lumière tamisée du salon. Je ne sais quoi faire, restant figée. Simon pose une main délicate mais également ferme, sur mon sein droit. Il le malaxe, le pelote.
« Hmm, tu es vraiment sublime. » Il pose sa coupe de champagne sur une commode près de la fenêtre, et de sa main libre, me prend la mienne. Puis il me prend dans ses bras, sa bouche venant se coller à la mienne. Il me serre à lui. Je sens sa langue se frayer un chemin entre mes lèvres, et, sans réfléchir, la mienne l’accepter. Nous nous embrassons longuement, mes mains à présent explorant son dos. Il me serre fermement à lui. Une main vient se saisir de ma fesse droite à travers ma robe. Puis d’un coup, il me repousse, me fait tourner sur moi même – me collant à la vitre – et d’une main, remonte ma robe, qui ne dissimule plus qu’une bande de peau au niveau de ma taille.
« Hmm, quel fessier ! »
Claque ! Une fessée.
« Tu es tellement sexy. »
Claque ! Une autre. Je gémis sans le vouloir. Ses mains m’explorent le corps, se baladant le long de mon torse, contre mes seins, ma nuque, puis de nouveau mes fesses. Il me murmure à l’oreille,
« Ce soir tu es à moi. »
Mon amant me prend par la main et me guide vers une porte. Derrière, une grande chambre, décorée sobrement et garni d’un lit somptueux. Simon me pousse contre les draps, me cambrant sur le bord du lit. Il me caresse une nouvelle fois les fesses, les reins, puis, lentement, tire mon string vers le bas. Il m’enlève également ma robe, soulevant délicatement mes pieds. Je suis nue, cambrée devant lui. Simon se met à genoux et je sens ses mains qui m’écartent les cuisses. Je ne lui résiste pas. Puis, il m’embrasse la vulve. Ses lèvres sont tendres contre les miennes. Je sens sa langue qui vient titiller mon clitoris. J’inspire à la première caresse. Il fait de petits vas et viens avec sa langue entre mes lèvres. Je gémis. Je suis trempée.
Simon me prouve sa dévotion en me léchant longuement. Il me fait monter, monter. Je jouis une première fois alors qu’il combine à sa caresse linguale les deux dernières phalanges de son index et du majeur. Je sens également son pouce venir taquiner mon anus. On ne m’a jamais touché, ou même léché comme cela auparavant. Et je me surprends à désirer sa venture anale.
Puis Simon se lève.
« Ne bouge pas. »
Je n’en ai aucunement l’intention. J’entends sa braguette se dé zipper, sa ceinture se défaire. Je tourne la tête, souhaitant voir à quoi j’ai à faire. Mon dieu ! Entre ses cuisses une barre raide, longue et épaisse se dresse fièrement. Mon regard se dirige vers son visage.
« Demande moi de te prendre. » Sa voix est grave et autoritaire.
« S’il te plait – »
« Au lit, tu me vouvoie. »
« S’il vous plait, Simon, prenez moi. »
Sans attendre, mon amant quinquagénaire place une main sur mes reins, me tirant un peu vers lui. L’autre oriente son sexe. Je le sens se plaquer entre mes fesses. Il se frotte d’abord à moi. Son gland vient se lover entre mes lèvres. Je sens un mélange de cyprine et de salive lubrifier ses attentions. Enfin, alors que je ne souhaite plus qu’une chose : l’avoir en moi, son gland se positionne. Simon me tire en arrière, tendrement mais fermement. Il s’enfonce en moi. Son gland peine quelques instants à entrer mais je me détends et le sens glisser en moi. Je gémis sans le vouloir. Simon s’initie totalement en moi, jusqu’à venir se coller entre mes cuisses.
Mon amant accélère la cadence, son bassin venant claquer contre mes fesses. Je sens également son ventre balloter contre mes reins. Mais ça ne me répugne pas, au contraire. Je gémis sans m’en rendre compte à présent. Simon m’attribue fessée sur fessée. Il commence à fatiguer au bout de quelques longues minutes. Le quinquagénaire ralenti, puis s’arrête et se retire. Je me retourne.
Simon m’embrasse, farouche. Ma main droite joue avec son sexe, lourd entre mes doigts. J’ai envie de le récompenser de son effort. Je me laisser tomber à genoux. Sans attendre, mon amant avance son bassin, sa queue venant frôler mes lèvres. J’entre ouvre celles-ci et vient lécher sa verge raide, faisant courir ma langue le long de son membre. Il frémit contre mon toucher. Je tiens son sexe d’une main, l’autre jouant avec ses testicules. Enfin, sentant qu’il s’impatiente, j’ouvre ma bouche entièrement et globe son gland enflé. Je le titille, puis le suce, mon regard levé vers le sien. Parfois je m’aventure à tenter de le gober totalement. La fellation dure et dure. Puis, soudainement, ayant repris son souffle, mon amant me soulève, son sexe quittant mes lèvres. Il me retourne et me plaque contre les draps. A plat ventre, je le sens se positionner derrière moi. Il entre en moi sans attendre. Les minutes qui suivent sont une symphonie de gémissements, soupirs, grognements et claquements de peaux. Il est au plus profonde de mon ventre. Je jouis une nouvelle fois.
Cette fois, lorsque je sens qu’il fatigue, je me dérobe pour venir le chevaucher. Simon me plaque fermement le bassin vers le bas, ses mains autour de ma taille. Puis il appuie encore plus fermement, m’immobilisant.
« Attends ma belle, j’ai envi de jouir, mais sur tes fesses, elles sont parfaites. »
Je fais oui de la tête, à bout de souffle. Il me fait basculer et je me retourne sur mon ventre une dernière fois. Cet homme qui pourrait être mon père, lourd et velu, se positionne derrière moi. Sa main frotte la peau de mes fesses tandis qu’il se masturbe. Il suffit d’à peine quelques coups de mains et je le sens s’immobiliser, se tendre. Son foutre fait irruption, chaud et épais, s’étalant contre ma peau, entre mes fesses, coulant contre mes lèvres. Sperme, cyprine et sueur se mélangent. Simon, haletant, me donne une dernière fessée. Je laisse échapper un petit cri.
Nous prenons une douche, l’eau coulant entre nos deux corps. Simon me savonne, ses mains douces et attentionnées. Je lui rend la faveur, et, ma main se dirigeant vers son bas ventre, je le sens durcir à nouveau. Souhaitant le remercier, je me mets de nouveau à genoux. Cette fois la caresse buccale est lente mais déterminée. J’use de tout mon savoir, lui titillant et rassurant les boulles, gobant son gland en entier. Je suis récompensé par une irruption de foutre, s’étalant au fond de ma gorge.
Il me sèche avec la même attention que ses caresses sous la douche puis me guide à nouveau vers le lit. Nous nous endormons, ma tête posée sur son tors, nos corps nus blottis l’un contre l’autre.
Nous mangeons – mon jeune compagnon toujours à déverser son effluve de paroles vides, pendant que je continue d’observer le couple. Elle flirte avec lui, touchant sa main, son bras, et même, j’aperçois sa jambe monter le long de la sienne. Elle se lève à présent et se dirige vers les dames. Sans attendre, je m’excuse et fait de même.
Je retrouve la jeune femme se remaquillant devant un des grands miroirs qui longent le mur du fond au dessus des lavabos. Je m’approche, fascinée.
« Excuses moi, mais je voulais te dire, ta robe est vraiment superbe, tu l’as acheté où ? »
Elle se retourne vers moi, un sourire aux lèvres, elle est vraiment sublime, « Oh merci ! C’est mon homme qui me l’a offerte. Elle vient de chez Vogue. »
« Ton homme – celui avec qui tu passes la soirée ? »
« Oui bien sur. » Elle me sourit toujours.
« Désolée si c’est indiscret, mais je me demandais, il est beaucoup plus âgé non ? »
Elle rit, « Oui oui, il a cinquante quatre ans. »
« Et toi ? »
« Dix-neuf. »
« Mais – » Elle me coupe,
« Je n’aime pas les mecs de mon âge ? Comme celui avec qui t’es venu ? »
« Oui. »
« Si bien sur, mais je les trouve trop immatures. »
« Oui enfin il y a des hommes plus jeunes et matures. »
« Tu dois penser que je suis avec lui pour son argent. »
« Je ne juge pas, c’est juste que je vois pas trop d’autre raison. »
« Et non ! Il est vraiment très drôle, intelligent et… »
« Et ? »
« Il fait l’amour comme un dieux. Si on devait me faire choisir entre lui et ton « date », je n’hésiterais pas une seconde. »
« Là-dessus tu n’as pas tort. »
Nous rions ensemble.
« Et il est toujours aux petits soins pour moi, en plus d’une libido débordante. Ma satisfaction passe toujours avant la sienne avec lui. »
« Mon dernier amant ne savait même pas défaire mon soutien gorge. Remarque je vois que t’as trouvé la solution à sa aussi.»
Elle rit de nouveau, « Je ne porte pas de culotte non plus. Jean me préfère sans. Il a juste à soulever ma robe ou la baisser. Il appelle ça me libérer, comme ça - » D’un coup de main elle tire sa robe vers le bas, en effet libérant ses seins. Lourds et fermes, aucun doute pourquoi il aime tant la voir sans soutif. Elle a de petits tétons roses. Elle me sourit toujours.
« Je découvre encore la vie, alors pourquoi ne pas la découvrir avec un homme qui sait m’apprécier plutôt qu’un jeune con ? » Elle remonte le tissu de sa robe, dissimulant de nouveau son buste.
« Tu as sans doute raison. Je suis même jalouse. » C’est la vérité. J’avais suivi cette jeune femme par curiosité, voulant savoir comment et pourquoi elle supportait cet homme et à présent je me trouvais à l’envier.
« Tu sais, Jean a des amis. Ils sont tous très cultivés. Demain soir nous dinons avec l’un d’entre eux, pourquoi ne viendrais-tu pas avec nous ? Au pire s’il ne t’intéresse pas, tu passeras juste une soirée sympathique à discuter. Pas comme ce soir. »
Je ris, « Bon, ok. »
Elle sourit, ravie « Super ! Moi c’est Calypso au faite, mais tout le monde m’appelle Caly, et toi ? »
« Céline. »
Nous échangeons nos numéros et sortons des toilettes. Avant de retourner à ma table, Caly me présente à Jean.
« Céline vient diner avec nous demain soir, chéri. Elle s’entendra à merveille avec Simon. »
« Ah génial, on se voit demain alors. »
Je n’ai pas envi de retourner au monologue sourd de ce mec sans intérêt alors je prétexte la fatigue, laisse un billet de vingt euros et sans attendre une réponse quitte le restaurant. Avant de passer le seuil de la porte cependant je me retourne, Caly m’aperçoit et me fait un petit sourire que je lui rends.
Le lendemain vient et je n’arrive pas à me sortir de la tête le fait que ce soir, je vais diner avec deux quinquagénaires, et même peut-être me laisser séduire par l’un d’entre eux. La journée passe lentement. Nous sommes un Samedi et je n’ai quasiment rien à faire. Mon compagnon du restaurant essaye en vain de me recontacter mais je l’ignore.
J’ai rendez-vous à vingt heures, rue de Rivoli. C’est à environ vingt minutes de chez moi mais déjà à dix-neuf heures je suis prête. J’ai mis longtemps à choisir ma tenue, hésitant entre une robe longue mais fine, bustière, ou une plus dans le style de celle que portait Calypso. C’est celle-ci que je choisis. Elle épouse parfaitement mes formes, s’arrêtant juste au-dessus des seins. Je me décide également à ne pas porter de soutien gorge. De toute manière celui-ci aurait été incompatible avec ma robe. J’opte tout de même pour un string noir – je ne me sens pas encore de m’initier totalement aux habitudes vestimentaires de Caly. Celle-ci m’envoi plusieurs textos pendant la journée, me disant qu’elle a hâte de me revoir. A présent, alors que viens de terminer de m’habiller, mon téléphone vibre à nouveau.
- Alors, prête pour ce soir ?
- Oui, un peu nerveuse quand même.
- T’inquiètes, tu verras, Simon est un mec bien, très intelligent et courtois.
- Et toi, tu as passé une bonne journée ?
Calypso me répond presque immédiatement.
- Oui, excellente – j’ai passé la journée au lit !
- Ah bon ? Mais pourquoi ?
- Jean ne souhaitait pas que j’en sorte ;)
Sa réponse me fait sourire.
- Ah oui quand même, sacré libido.
- Oh oui ! Bon je te laisse, il faut que je m’habille, à tout à l’heure.
Je pose mon téléphone et me contemple mon reflet dans le miroir de ma chambre. Je ressemble à la jeune femme que je croyais escorte. Mes seins, lourds mais fermes, semblent sur le point de déborder de ma robe, si je devais en effet me laisser séduire, Simon n’aurait pas un grand effort à fournir pour me déshabiller. Je me retourne et contemple mon fessier. Sans vraiment réfléchir, je fais remonter ma robe doucement le long de mes cuisses jusqu’à apercevoir la ligne de mes fesses.
J’ai toujours été quelqu’un de sportive et je suis plutôt fière de mon corps. Je faisais fondre mon ex avec mes fesses, qu’il adorait peloter.
Je continue de remonter ma robe, révélant ainsi tout mon bassin. Je me lance un regard coquin dans le miroir mais n’arrive pas à me prendre au sérieux alors je baisse de nouveau le tissu de ma robe et m’assieds sur le lit, attendant de pouvoir partir.
Je suis en avance. Un soleil couchant inonde la rue de Rivoli et le parc des Tuileries d’une douce chaleur printanière. J’ai prit le métro et me suis fait aborder trois fois. La première fut par un sans abri qui me suivit le long du quai de la ligne onze à République – une fois la rame arrivée cependant il me lâcha. Les deux fois suivantes cependant, deux groupes de jeunes hommes – environ mon âge, me firent des compliments. Un peu brusques mais cela ne me gêna pas. Je leur souris et même fit un clin d’œil au plus beau d’entre eux. Ses compagnons le charia tandis que je quittais la rame pour prendre la une à Hôtel de Ville. J’étais en confiance.
Mais à présent, devant la vitrine de la brasserie, déjà pleine de belles gens en costumes et robes de soirées, j’ai de nouveau les papillons au ventre. Alors que j’observe ce petit monde qui me semble si distant, j’entends une voix grave derrière moi,
« Céline ? »
Je me retourne. Un homme, grand, brun, comme Jean un peu bedonnant mais tout de même non sans un petit charme bien à lui, me contemple, un sourire aux lèvres. Il porte un beau costume gris foncé.
« Simon ? »
Son sourire, s’enhardit, « Exacte ! Enchanté. Tu es encore plus belle que ce que m’a vanté Jean tout à l’heure. »
Je sens que je rougis, « Merci. »
« Et bien, qu’attendons nous ? Rentrons ! » Il me tend son bras, que je passe au travers le mien me laissant guider.
Le maître D nous accueil, prenant la veste de Simon et m’adressant un sourire éclatant,
« Votre table est prête, veuillez me suivre. »
Nous avons une table au fond du restaurant, contre l’un des murs richement décoré de dorures et d’un grand miroir.
Une fois assis, un serveur vient prendre la place du maître D et Simon, sans attendre, commande un Saint Emillion, ‘82. Je n’ose imaginer le prix. Le serveur nous quitte et Simon pose de nouveau son regard sur moi. Il a les yeux brun foncés, noirs presque, qui ne laissent en rien deviner ses pensées. Mais à cet instant je me sens vulnérable.
« Savais-tu qu’il existe un projet de reconstruire l’hôtel des Tuileries ? »
Un peu surprise par la question – j’aurais cru que des thèmes tels que l’architecture et l’histoire se trouvaient loin des pensées de mon compagnon de table – je réponds que non je n’étais pas au courant.
Simon continue sur sa lancée, divergeant sur l’état du patrimoine à Paris et le débat autour d’une possible muséification de la capitale. Peu à peu mes nerfs se calment et je me retrouve captivée par cet homme, qui, deux fois mon âge, est devenu bien plus sexy que mon jeune homme d’hier. Simon me captive tellement que je ne remarque pas l’arrivée de Calypso, sa robe encore plus courte qu’hier et son amant Jean. Jean et Simon se font la bise tandis que Calypso, sans aucune gêne m’embrasse à pleine bouche. Elle me sourit et les deux hommes rient.
La soirée prend son cours. Nous mangeons, buvons et discutons. Simon continu de me séduire à travers son langage élégant. Nous sommes à présent assis l’un à côté de l’autre sur la banquette longeant le mur. Je sens sa main se poser sur ma cuisse tandis que Jean nous parle d’un projet personnel de maison dans le sud-ouest. La main de Simon reste immobile sur le haut de ma cuisse. Mais sa chaleur au travers le tissu fin de ma robe, suffit à faire naitre en moi une touche d’excitation. Je me retrouve à désirer cet homme qui doit avoir le double de mon âge.
Nous quittons le restaurant aux environs de vingt-trois heures. Jean et Simon nous laissent entre filles à bavarder alors que nous attendons l’arrivée de leurs chauffeurs. Calypso me prend la main,
« Alors, tu vas rentrer avec lui ? »
« Je ne devrais pas. »
« Et pourquoi donc ? J’ai bien vu qu’il t’attire. »
« C’est vrai mais je ne sais pas… »
« Si le jeune homme hier soir t’avait plu – tu l’aurais laissé en plan ? »
« Non. Non je ne pense pas. »
« Alors, pourquoi maintenant ? Simon est un mec génial. Et je vois bien qu’il t’excite – je te parie qu’il est aussi doué au lit que mon Jean. »
C’est à cet instant qu’une berline noire vient se garer le long des arcades haussmanniennes. Jean appelle Caly, leur chauffeur les attend. Le couple nous souhaite une excellente soirée, Calypso, alors que Jean et Simon se serrent la main, me fait un signe de tête vers mon compagnon – m’encourageant.
La voiture s’éloigne et Simon se rapproche de moi. Il pose une main sur ma taille. Une Mercedes, noire également, vient prendre la place de celle de Jean. Un chauffeur nous ouvre la portière arrière.
« Tu viens ? » Simon me demande simplement.
Je ne résiste pas, et fait oui de la tête.
Le trajet se fait en silence. Mais Simon a de nouveau posé sa main sur ma cuisse. Mon potentiel amant habite dans le seizième arrondissement – un grand appartement avec une vue prenante sur le Trocadéro. Simon nous sert un vers de champagne tandis que je contemple le panorama. Je le sens s’approcher derrière moi. Je me retourne et il me tend une coupe. Je déguste lentement.
« Tu as une très belle vue. »
Simon, son regard fixé sur moi, me répond avec un sourire en coin, « Oui, très. »
Je me sens rougir.
« Tu es encore plus belle quand tu prends des couleurs. »
Je baisse le regard, ne sachant quoi dire.
« Enlève ta robe. »
Sa demande, d’une voix autoritaire mais douce, me surprend.
« Pardon ? »
« Tu m’as bien entendu. Enlève ta robe. »
Puis, sans prévenir, il pose une main sur le bord de ma robe bustière et la tire fermement mais sans violence vers le bas. Mes seins, « libérés » comme dirait Caly, se révèle à la lumière tamisée du salon. Je ne sais quoi faire, restant figée. Simon pose une main délicate mais également ferme, sur mon sein droit. Il le malaxe, le pelote.
« Hmm, tu es vraiment sublime. » Il pose sa coupe de champagne sur une commode près de la fenêtre, et de sa main libre, me prend la mienne. Puis il me prend dans ses bras, sa bouche venant se coller à la mienne. Il me serre à lui. Je sens sa langue se frayer un chemin entre mes lèvres, et, sans réfléchir, la mienne l’accepter. Nous nous embrassons longuement, mes mains à présent explorant son dos. Il me serre fermement à lui. Une main vient se saisir de ma fesse droite à travers ma robe. Puis d’un coup, il me repousse, me fait tourner sur moi même – me collant à la vitre – et d’une main, remonte ma robe, qui ne dissimule plus qu’une bande de peau au niveau de ma taille.
« Hmm, quel fessier ! »
Claque ! Une fessée.
« Tu es tellement sexy. »
Claque ! Une autre. Je gémis sans le vouloir. Ses mains m’explorent le corps, se baladant le long de mon torse, contre mes seins, ma nuque, puis de nouveau mes fesses. Il me murmure à l’oreille,
« Ce soir tu es à moi. »
Mon amant me prend par la main et me guide vers une porte. Derrière, une grande chambre, décorée sobrement et garni d’un lit somptueux. Simon me pousse contre les draps, me cambrant sur le bord du lit. Il me caresse une nouvelle fois les fesses, les reins, puis, lentement, tire mon string vers le bas. Il m’enlève également ma robe, soulevant délicatement mes pieds. Je suis nue, cambrée devant lui. Simon se met à genoux et je sens ses mains qui m’écartent les cuisses. Je ne lui résiste pas. Puis, il m’embrasse la vulve. Ses lèvres sont tendres contre les miennes. Je sens sa langue qui vient titiller mon clitoris. J’inspire à la première caresse. Il fait de petits vas et viens avec sa langue entre mes lèvres. Je gémis. Je suis trempée.
Simon me prouve sa dévotion en me léchant longuement. Il me fait monter, monter. Je jouis une première fois alors qu’il combine à sa caresse linguale les deux dernières phalanges de son index et du majeur. Je sens également son pouce venir taquiner mon anus. On ne m’a jamais touché, ou même léché comme cela auparavant. Et je me surprends à désirer sa venture anale.
Puis Simon se lève.
« Ne bouge pas. »
Je n’en ai aucunement l’intention. J’entends sa braguette se dé zipper, sa ceinture se défaire. Je tourne la tête, souhaitant voir à quoi j’ai à faire. Mon dieu ! Entre ses cuisses une barre raide, longue et épaisse se dresse fièrement. Mon regard se dirige vers son visage.
« Demande moi de te prendre. » Sa voix est grave et autoritaire.
« S’il te plait – »
« Au lit, tu me vouvoie. »
« S’il vous plait, Simon, prenez moi. »
Sans attendre, mon amant quinquagénaire place une main sur mes reins, me tirant un peu vers lui. L’autre oriente son sexe. Je le sens se plaquer entre mes fesses. Il se frotte d’abord à moi. Son gland vient se lover entre mes lèvres. Je sens un mélange de cyprine et de salive lubrifier ses attentions. Enfin, alors que je ne souhaite plus qu’une chose : l’avoir en moi, son gland se positionne. Simon me tire en arrière, tendrement mais fermement. Il s’enfonce en moi. Son gland peine quelques instants à entrer mais je me détends et le sens glisser en moi. Je gémis sans le vouloir. Simon s’initie totalement en moi, jusqu’à venir se coller entre mes cuisses.
Mon amant accélère la cadence, son bassin venant claquer contre mes fesses. Je sens également son ventre balloter contre mes reins. Mais ça ne me répugne pas, au contraire. Je gémis sans m’en rendre compte à présent. Simon m’attribue fessée sur fessée. Il commence à fatiguer au bout de quelques longues minutes. Le quinquagénaire ralenti, puis s’arrête et se retire. Je me retourne.
Simon m’embrasse, farouche. Ma main droite joue avec son sexe, lourd entre mes doigts. J’ai envie de le récompenser de son effort. Je me laisser tomber à genoux. Sans attendre, mon amant avance son bassin, sa queue venant frôler mes lèvres. J’entre ouvre celles-ci et vient lécher sa verge raide, faisant courir ma langue le long de son membre. Il frémit contre mon toucher. Je tiens son sexe d’une main, l’autre jouant avec ses testicules. Enfin, sentant qu’il s’impatiente, j’ouvre ma bouche entièrement et globe son gland enflé. Je le titille, puis le suce, mon regard levé vers le sien. Parfois je m’aventure à tenter de le gober totalement. La fellation dure et dure. Puis, soudainement, ayant repris son souffle, mon amant me soulève, son sexe quittant mes lèvres. Il me retourne et me plaque contre les draps. A plat ventre, je le sens se positionner derrière moi. Il entre en moi sans attendre. Les minutes qui suivent sont une symphonie de gémissements, soupirs, grognements et claquements de peaux. Il est au plus profonde de mon ventre. Je jouis une nouvelle fois.
Cette fois, lorsque je sens qu’il fatigue, je me dérobe pour venir le chevaucher. Simon me plaque fermement le bassin vers le bas, ses mains autour de ma taille. Puis il appuie encore plus fermement, m’immobilisant.
« Attends ma belle, j’ai envi de jouir, mais sur tes fesses, elles sont parfaites. »
Je fais oui de la tête, à bout de souffle. Il me fait basculer et je me retourne sur mon ventre une dernière fois. Cet homme qui pourrait être mon père, lourd et velu, se positionne derrière moi. Sa main frotte la peau de mes fesses tandis qu’il se masturbe. Il suffit d’à peine quelques coups de mains et je le sens s’immobiliser, se tendre. Son foutre fait irruption, chaud et épais, s’étalant contre ma peau, entre mes fesses, coulant contre mes lèvres. Sperme, cyprine et sueur se mélangent. Simon, haletant, me donne une dernière fessée. Je laisse échapper un petit cri.
Nous prenons une douche, l’eau coulant entre nos deux corps. Simon me savonne, ses mains douces et attentionnées. Je lui rend la faveur, et, ma main se dirigeant vers son bas ventre, je le sens durcir à nouveau. Souhaitant le remercier, je me mets de nouveau à genoux. Cette fois la caresse buccale est lente mais déterminée. J’use de tout mon savoir, lui titillant et rassurant les boulles, gobant son gland en entier. Je suis récompensé par une irruption de foutre, s’étalant au fond de ma gorge.
Il me sèche avec la même attention que ses caresses sous la douche puis me guide à nouveau vers le lit. Nous nous endormons, ma tête posée sur son tors, nos corps nus blottis l’un contre l’autre.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle histoire, bien écrite et racontée. Je suis envieux d'une telle rencontre. Difficile de rester indifférent et de ne pas bander à la lecture de ce récit. Une suite ?
Bonjour
Je viens de lire tes 2 recits, il sont très bien écrits
J'aimerais bien entrer en communication avec toi pour peut être avoir aussi des idées de recits
Je viens de lire tes 2 recits, il sont très bien écrits
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Très agréable à lire d'autant que bien écrit.Le baiser de Caly laisserait-il présager une aventure saphique ?
Jolie histoire sensuelle très bien écrite comme je les aime, rare