Murielle cocufie son mari

- Par l'auteur HDS Passions_secrètes -
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Récit libertin : Murielle cocufie son mari Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Murielle cocufie son mari


Nicolas venait d’emménager dans ce quartier calme, typiquement résidentiel, où les maisons se faisaient face dans une symétrie presque parfaite. Tout le monde semblait se connaître, et il n’avait pas fallu longtemps pour qu’il fasse la rencontre de Murielle, sa voisine directe. Elle avait cette prestance naturelle, cette manière de parler avec assurance, son regard malicieux toujours agrémenté d’un sourire qui semblait avoir tout vécu. Elle avait soixante ans, mais portait cet âge avec une légèreté et une sensualité troublantes.

Ils s’étaient mis à discuter régulièrement, des banalités au départ, puis des conversations un peu plus profondes. Nicolas, quadragénaire et récemment installé avec sa femme, appréciait ces échanges. Il y avait dans la voix de Murielle une chaleur, une attention, et peut-être une once de provocation, à peine dissimulée sous des airs amicaux.

Un après-midi, alors qu’ils discutaient devant la haie qui séparait leurs deux jardins, Murielle apprit que la femme de Nicolas était partie pour quelques jours chez sa mère. Il ne s’attendait pas à sa réaction.
— Oh, alors tu es seul ? s’exclama-t-elle, feignant une indignation amusée. Eh bien, écoute, tu ne peux pas rester comme ça à tourner en rond. Demain soir, tu viens dîner à la maison. Mon mari sera ravi de te rencontrer.

Surpris par cette invitation, Nicolas hésita un instant avant d’accepter. Murielle lui adressa un sourire satisfait, presque complice, avant de se tourner pour rentrer chez elle, laissant dans l’air un léger parfum floral et musqué.

Le lendemain, Nicolas se présenta chez eux à l’heure convenue. La porte s’ouvrit sur Murielle, resplendissante. Elle portait une jupe courte qui s’arrêtait juste au-dessus de ses genoux et un débardeur moulant à fines bretelles, dont le décolleté plongeant soulignait ses formes généreuses. Sa poitrine était opulente, avec des seins en forme de poire. Il sentit son regard se poser involontairement sur cette ligne de peau nue, et lorsqu’il releva les yeux, il vit qu’elle l’observait avec un sourire subtil, presque imperceptible.

— Entre, fais comme chez toi, lança-t-elle en l’invitant à passer.

Son mari l’attendait dans le salon, une bière à la main et l’air jovial. L’ambiance était décontractée. Ils passèrent à table, et Murielle se révéla une hôtesse parfaite, attentive à chacun, mais aussi un peu plus tactile qu’il ne l’aurait attendu. Chaque fois qu’elle se penchait pour servir Nicolas, son débardeur glissait légèrement, offrant une vue discrète mais troublante sur ses courbes, sur le galbe de ses seins gonflés. Parfois, sa main se posait sur son épaule, ses doigts effleurant sa peau d’un geste presque innocent, mais toujours un peu trop prolongé pour ne pas être remarqué.

Au fil des plats et des verres, l’atmosphère devint plus détendue, plus intime. Murielle riait aux éclats, ses gestes devenant plus amples, plus désinvoltes. Nicolas ne pouvait s’empêcher de remarquer comment sa jupe remontait légèrement lorsqu’elle croisait les jambes, laissant entrevoir un fragment de peau nue, des cuisses bien fermes. Il sentit une chaleur monter en lui, mais il tâcha de garder une attitude neutre, bien que ses regards en disaient peut-être plus qu’il ne l’aurait voulu.

Une fois le dîner terminé, Murielle débarrassa la table avec l’aide de son mari. Nicolas, resté au salon, l’observa lorsqu’elle revint quelques instants plus tard. Cette fois, elle avait troqué sa tenue contre une nuisette légère et courte, légèrement translucide, si fine qu’elle laissait deviner la courbe de ses hanches et la rondeur de sa poitrine. On pouvait deviner ses tétons qui pointaient et même ses aréoles qui semblaient larges et sombres. Mais ce qui retint son attention, c’était autre chose : un détail à peine visible, mais suffisant pour troubler Nicolas. Juste sous le bord de la nuisette, dépassait une petite ombre sombre, sa toison pubienne. Elle ne portait rien en dessous, et ses poils pubiens s’échappaient discrètement du tissu, comme une provocation silencieuse.

Murielle s’installa près de Nicolas, cette fois encore plus proche, feignant la décontraction. Le parfum qu’elle portait, un mélange de notes florales et musquées, était enivrant, mais une autre odeur plus intime se mêlait subtilement à l’air ambiant, une odeur chaude et corporelle, presque animale. Nicolas sentit son cœur s’accélérer. Elle ne disait rien, mais le regard qu’elle lui lança, direct et appuyé, en disait long.

Elle se leva à nouveau, passant plusieurs fois devant lui pour ranger quelques objets. À chaque passage, elle s’approchait suffisamment pour qu’il capte son odeur. Une fois, elle s’arrêta juste à côté de lui, penchant légèrement le buste, ses cheveux frôlant son épaule, ses mamelles nues s'offrant à son regard.
— Tu ne veux pas rester dormir ici ce soir ? demanda-t-elle soudain, d’un ton léger mais sans équivoque. C’est tard, et ce serait plus prudent, vu ce qu’on a bu.

Son mari, déjà bien éméché, hocha la tête en signe d’approbation, ne voyant aucun problème à l’idée.
— Oui, reste donc, Nicolas. Ce sera plus sûr comme ça.

Murielle guida Nicolas jusqu’à leur chambre, tandis que son mari traînait encore dans le salon, une dernière bière à la main. Elle tamisa la lumière et l’invita à se déshabiller et à s’allonger. Lorsqu’il s’allongea derrière elle, il sentit immédiatement la chaleur de son corps à travers le tissu fin de la nuisette. Elle se pressa légèrement contre lui, et il sentit sa main chercher la sienne pour la guider. Murielle lui murmura doucement :
— Fais comme si on était seuls…

Allongé derrière Murielle, Nicolas sentait la chaleur de son corps, la douceur de sa peau sous le fin tissu de la nuisette. Elle s'était lovée contre lui, sa respiration calme mais légèrement saccadée trahissant une excitation latente. Sa main, qu'elle avait guidée sur sa hanche, glissait maintenant lentement, remontant sur son ventre, tandis qu'elle bougeait subtilement ses hanches pour accentuer le contact. Son parfum floral et musqué emplissait l'air, mais une autre odeur, plus intime, se mêlait à l'atmosphère, une odeur chaude et viscérale qui éveillait tous les sens de Nicolas.
Lorsque son mari entra dans la chambre, titubant légèrement après quelques bières de trop, Murielle se tourna légèrement vers lui pour lui sourire, comme si rien d'anormal ne se déroulait.
- Chéri, tu vas bien ? demanda-t-elle d'une voix douce et presque maternelle.
Il marmonna un vague « Oui », tout en se glissant dans le lit, face à sa femme. Sans le moindre soupçon, il posa une main sur sa hanche, la caressant machinalement, tandis que Nicolas, toujours derrière elle, restait immobile, mais toujours profondément uni à Murielle.

Lorsque son mari glissa sa main sous le drap pour caresser son ventre, puis plus bas, Murielle laissa échapper un soupir, mélange de plaisir et d’anticipation. Ses doigts atteignirent son intimité, chaude et humide, mais ce qu’il sentit le figea sur place. Une autre présence, ferme et bien là, pénétrait sa femme. Ses doigts effleurèrent le sexe de Nicolas, profondément ancré en elle, et il s’immobilisa, troublé par cette découverte.

Murielle ne lui laissa pas le temps de réagir. Elle attrapa doucement sa main, la guidant pour qu’il explore davantage.
— Tu sens ? souffla-t-elle, sa voix douce et sensuelle. Tu vois comme je suis comblée, chéri ?

Le mari, pris dans une confusion mêlée d’alcool, sembla hésiter, mais ses doigts continuèrent à caresser son épouse. Ils glissèrent le long de son sexe, rencontrant à la fois l’intimité de Murielle et la base du sexe de Nicolas, encore profondément en elle. L’humidité qu’il sentit était différente, épaisse et chaude, une texture visqueuse qui collait à ses doigts. Nicolas venait de se libérer dans Murielle, et son sperme, encore tiède, se mélangeait à l’excitation naturelle de sa femme.

— C’est ça… murmura Murielle, son souffle tremblant alors qu’elle atteignait son propre orgasme, ses muscles se contractant autour de Nicolas. Tu sens comme c’est bon ?

Son mari, abasourdi, retira sa main, mais Murielle la reprit fermement. Avec une autorité qui ne laissait pas place à la contestation, elle guida ses doigts couverts de sperme et de ses propres fluides vers sa bouche.
— Allez, goûte-moi, chéri. Goûte ce que ça fait de me voir comblée…

Il hésita, son visage exprimant une incompréhension mêlée de soumission, mais Murielle insista. Elle porta elle-même ses doigts à ses lèvres, pressant doucement pour qu’il les ouvre. L’odeur forte et saline du sperme de Nicolas se mêlait à celle, plus douce et intime, de Murielle.

— Vas-y, chuchota-t-elle, son ton à la fois tendre et implacable. C’est notre plaisir, à tous les trois.

Sous son insistance, il obéit. Sa langue effleura d’abord ses propres doigts, puis il goûta réellement, avalant lentement ce mélange chargé de la semence de Nicolas et de l’intimité de Murielle. Son regard se perdit dans celui de sa femme, comme s’il cherchait des réponses, mais elle, imperturbable, sourit doucement.
— Voilà… maintenant tu sais ce que c’est, murmura-t-elle en caressant sa joue.

Murielle se retourna légèrement, offrant un dernier regard à Nicolas, qui, toujours en elle, haletait encore de la tension et de l’interdit. Elle posa une main sur le torse de son mari pour le calmer, l’ancrer dans ce moment.
— Tu vois, tout est parfait, continua-t-elle en effleurant ses lèvres d’un baiser léger, presque maternel. On est bien, tous les trois

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Comme souvent pour ne pas dire toujours, je suis d'accord avec Olga ! Par contre, le "lecteur"

qui suit et trouve lamentable cette histoire de "P" , n'est-il pas cette "lectrice" qui me semble

être une "mal baisée ? Didier

Histoire Erotique
La suite est pour quand? Merci de répondre à vos nombreux lecteurs et lectrices

Histoire Erotique
J'attends une suite

linsee

Très bon début. Murielle jouit d’un autre dans les bras de son mari et c’est lui qui est le plus heureux

Muriel a contraint son mari à accepter son candaulisme. jusqu'où cela ira-t-il,

Histoire Erotique
C'est lamentable une grosse p aucun respect pour won mari

Histoire Erotique
Grande décision de Muriel qui amène son mari au candaulisme en lui faisant comprendre qu'il est cocu et lui fait lecher le sperme de son amant qu’arrivera t il le lendemain lorsque les esprits seront clairs. Daniel

Murielle a pris la décision unilatérale d’ouvrir son couple. À 60 ans je ne suis pas certain que ce soit l’idée du siècle. Son mari sous l’effet de l’alcool est hésitant mais il semble se conformer aux désirs de Murielle.
Demain serait un autre jour!
Certains accepteraient d’autres non et probablement en colère.
Peut-être à suivre?!

Histoire Erotique
Superbe histoire très réaliste qui mérite une suite. Murielle est sensuelle et a besoin d



Texte coquin : Murielle cocufie son mari
Histoire sexe : Une rose rouge
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