Murielle et Adeline 2 - histoire érotique

Adeline regarde tendrement Murielle, puis s'assoit à côté d'elle, elle pose sa main sur sa cuisse et la passe sous sa jupe. Elle la plaque fortement contre l'entrejambe, Murielle sursaute. Adeline constate que la culotte est trempée, elle sourit et dit :

-Oh ma chérie, tu es trempée, le spectacle t'a excité, laisse Luc te prendre, c'est un bon amant, il sait être doux lorsqu'il le faut, il va te faire oublier la brute épaisse qui t'a fait du mal !

Tout en rassurant son amie, Adeline s'accroupit devant Murielle, passe ses mains sous la jupe et fait descendre la culotte sur le sol. La jupe ne tarde pas à suivre le même chemin, ainsi que le t-shirt et le soutien-gorge. Murielle serre les cuisses pour ne pas montrer que son fruit trop mûr, qui rejette son jus. Adeline lui prend la main et l'entraine jusqu'à la table basse. Doucement, elle la bascule dessus, lui ouvre doucement les jambes, et avance sa tête entre les cuisses ouvertes. Elle pose sa bouche sur la vulve détrempée, et lape tout le jus qu'elle rejette.


Elle veut que son amie soit en bonne condition pour recevoir la verge de Luc. Elle lui dévore la chatte à grands coups de langues, lui agace le clito à la limite de la douleur, avant de libérer la place. Elle fait un clin d'œil à Luc qui a totalement retiré ses vêtements et exhibe sa verge bien raide. Il se place entre les cuisses ouvertes, et approche du temple de l'amour son épais mandrin, il le décalotte en regardant les formes de la femme qu'il convoite. Mais dès qu'il le pose contre la fente. Murielle se cabre et repousse brutalement Luc, elle replie les jambes en hurlant :

-Non, non, pas ça, pas ça, je t'en prie Luc !

Adeline s'approche, caresse doucement son amie et lui dit tendrement :

-Ma chérie, Luc ne veut pas te violer, au contraire, il veut te donner du plaisir avec les moyens qu'il a, détends-toi, laisse-toi aller !

En tremblant, Murielle étend ses jambes, et lentement ouvre ses jambes. Luc reprend place entre le compas ouvert, et pose contre la fente humide son gland violacé. Il pousse, les grandes lèvres s'écrasent et cèdent le passage à l'intrus. Progressivement, le membre gorgé de sang s'engage dans la gaine brûlante. Murielle souffle comme un animal blessé, elle s'agrippe à son amant, en lui plantant ses ongles dans la chair. Sans brusquerie, la verge progresse dans le ventre de Murielle, qui ne peut retenir de faibles gémissements.

La gaine, dilatée, finie par accepter la verge puissante qui progresse doucement en elle. Murielle souffle, comme une bête malade, sa respiration est rapide. Enfin Les bourses velues entre en contacte avec la chatte dégoulinante de cyprine. Les yeux de Murielle sont écarquillés, le pieu qui la cloue sur la table la rend délirante :

-Adeline, Adeline, mon Dieu, il va m'ouvrir en deux, avec sa grosse bite !

Adeline lui passe la main sur le ventre et saisit son clito, comme pour lui faire oublier le pieu qui est planté en elle, commence un branlage soutenu. Murielle défaille en marmonnant :

-Oh Adeline, Adeline !

Luc commence un très lent va-et-vient, sa queue rabote les parois de la gaine vaginale, fait couiner Murielle. La cadence augmente, les gémissements de Murielle aussi. Luc s'accroche à elle en donnant des coups de reins de plus en plus violents. Les gémissements que pousse Murielle ne sont pas simulés, elle grogne comme une bête malade. Elle se met à agiter son bassin, en donnant des coups de reins. Luc devient plus sauvage, sa queue voyage dans l'étui de chair en prenant encore plus de vitesse. Adeline sent que son amie est au bord de l'explosion, elle lui écrase le clito fortement. L'effet est immédiat, Murielle se cabre en criant sa jouissance. Adeline reprend le branlage de la boule magique. Murielle croit perdre la tête, elle divague :

-Oui, oui, oh mon Dieu, encore, encore !

Pour Adeline, c'est gagné, Murielle accepte de se faire baiser par un homme, c'est une belle avancée. Luc est au maximum de sa vitesse, il veut encore faire jouir Murielle, il lui doit bien ça, après ce qu'elle avait enduré étant jeune, il se doit de la faire jouir encore et encore. Le pilonnage est violent, le branlage du clito aussi, Murielle maintenant se donne à fond, elle jouit encore en gémissant de plaisir sous les yeux illuminés de son amie Adeline.
Ses yeux sont presque hors de leurs orbites, un rictus déforme son visage, un filet de salive s'échappe à la commissure de ses lèvres. Elle grogne comme une agonisante, il suffit de quelques estocades pour qu'elle gicle comme un geyser. Adeline reste sans voix en voyant son amie réagir aux assauts dévastateurs de Luc. Les corps sont en sueurs, les souffles rapides. Une ultime jouissance, fait hurler Murielle avant qu'elle ne s'écroule quasiment inconsciente sur la table. Luc la cramponne aux hanches et la défonce sauvagement, il souffle comme un animal en rut. Enfin, il se raidit, se bloque et envoie dans le ventre de Murielle un flot de semence épaisse.

Il donne encore quelques coups de reins avant de retirer sa verge du corps qu'il vient dévaster. Adeline félicite son amie pour sa performance. Murielle, haletante encore dans les vapes, réussie à lui sourire. Peu à peu, Murielle refait surface, elle semble plus détendue. Adeline l'embrasse fougueusement et lui dit en arborant un grand sourire :

-Je suis fière de toi ma chérie, enfin, tu as repris le dessus, maintenant, il faut que ce soit toi qui prennes l'initiative, je te suggère de chevaucher Luc et de lui faire cracher tout son jus !


Il faut encore un moment pour que Murielle soit opérationnelle, enfin après quelques petites caresses de ses deux amis, Murielle décide de prendre les rennes. Luc s'allonge sur la table, Murielle l'enjambe, elle saisit la verge qu'Adeline avait maintenue en forme en l'agitant, et la dirige vers son puits d'amour. Lentement, elle descend son corps fiévreux et commence à se pénétrer le vagin. En cours de descente, Adeline puis appuie fortement sur les épaules pour que la pénétration soit totale. Le long râle que pousse Murielle prouve qu'elle est entièrement empalée. Elle commence à faire l'ascenseur, mais à chaque descente, Adeline lui pèse de tout son poids sur les épaules, à chaque fois les couilles de Luc frappent la chatte avaleuse de bite.


Murielle se lâche totalement, elle s'agite comme une forcenée sur le pal, qui lui fore les entrailles. Elle geint, couine comme une agonisante. Sa jouissance est monstrueuse, mais avec courage, elle continue de s'agiter, elle veut, comme lui a demandé son amie, vidé Luc de son jus. Le résultat ne se fait pas attendre. En grognant comme un fauve, Luc répand dans le ventre de Murielle sa semence brûlante. Adeline attend son tour avec impatience.