Murielle et Adeline
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Murielle et Adeline
Murielle, violée à treize ans par un voisin, qui heureusement à été condamné. Ne se remet pas de ce rapport non consentit, qui de plus très brutal. Elle a culpabilisée dès cette agression commise, elle ce demandait si ce n'etait pas elle qui inconsciemment avait provoqué se prédateur. Depuis, elle évite le contacte avec les hommes. Elle ne sent bien qu'avec son papa et sa maman. La années passent, la douleur psychologique est toujours présente. Elle vient d'avoir trente-ans, mais hélas, elle perd ses parents. Pour Murielle c'est une catastrophe. Elle se raccroche à son travail et ne vit que pour lui. Mais depuis peu, elle fait la connaissance d'une nouvelle employée, Adeline. les deux femmes presque du même âge sympatisent, en peu de temps, elles deviennent presque inséparables.
Le peu de sorties, elles le font ensemble. Au fil des mois elle deviennent très fusionnelles, et envisagent comme les salaires ne sont terribles, de vivre ensemble dans la même maison, et de partager tous les frais.
Chez Murielle, bien que la maison ne soit pas trop grande, elle à tout le confort possible, elle a même une petite piscine dans la pelouse derrière la maison. Le choix d'Adeline est vite fait. Elle emménage rapidement, depuis les deux femmes sont heureuses, chacune leur chambres, c'est l'idéal. Souvent apres la douche du soir, les deux jeunes femmes en petite tenue, regardent la télé blottit l'une contre l'autre dans le canapé. Adeline et Murielle, se posent beaucoup de questions sur leur famille, leurs amis. Mais lorsque Adeline, parle d'homme et de relations sexuelles, Murielle se referme sur elle même, et refuse de répondre aux questions de son amie. Adeline, n'insiste pas, mais fait la moue.
Murielle monte se coucher la premiére, Quant à Adeline elle veut voire les infos. Murielle, retire ses sous vétêments, enfile sa nuisette est s'allonge sur son lit, elle semble ailleurs. Enfin les infos terminés, Adeline monte rejoindre sa chambre, en passant devant la porte de son amie, elle voit un ray de lumière passer sous la porte. Elle pose son oreille contre la porte, elle sursaute, elle entend Mariette sangloter. Doucement elle entrouvre la porte et passe la tête par l'ouverture. Murielle est assise sur son lit, elle a les jambes repliées, elle les emprisonne de ses bras, sa tête est posée sur ses genoux, elle sanglote. Adeline toujours en sous vêtements, s'assoit à côté de son amie, et en lui caressant le tibia, elle lui demande :
-Qu'est-ce qui ne va pas Murielle ?
En reniflant fortement elle répond :
-Je pensais à mes parents, parti trop tôt, ils me manquent tant !
Adeline l'enlace et la serre contre elle, elle sent contre sa poitrine l'épaule de Murielle. Les deux amies restent dans cette position un bon moment. Puis Lentement Murielle allonge ses jambes, sa nuisette très courte ne cache pratiquement pas ses cuisses admirables. Tout en rassurance son amie, avec de douces paroles, Adeline pose sa main sur la cuisse dénudée de son amie. C'est avec une douceur extrême, qu'elle glisse ses doigts sous le fin tissu et caresse la peau lisse, en montant de plus en plus vers l'aine. Murielle reste sans réagir. Adeline pose un regard tendre sur Murielle, les regards se croisent. Les têtes sont près l'une de l'autre. Les souffles se mélent. Doucement les lèvres d'Adeline s'approchent de celles de Murielle. Elles se frôlent, les souffles chauds caressent comme une brise légère les visages. Plusieurs soupirs se font entendre.
La main audacieuse d'Adeline monte sur le ventre de Murielle, le caresse avec douceur. Murielle se met à frissonner. C'est la première fois qu'elle se trouve dans cet état de fébrilité, sans savoir pourquoi. Les lèvres sont si près, qu'Adeline passe doucement la pointe de sa langue sur les lèvres biens dessinées de son amie. Murielle semble hypnotisée, elle accepte cet attouchement étrange qui la trouble. Les lèvres se soudent, C'est le premièr baiser sur les lèvres que Murielle reçoit, mise a part quelques baisers de ses parents qui ont involontairement dérapés. Mais lorsque la langue d'Adeline s'engouffre dans sa bouche, elle sursaute, se contracte, mais ne repousse pas son amie. Les deux langues finissent pas se nouer comme deux reptiles qui s'accouplent.
Pour Murielle c'est incroyable, elle qui n'avait jamais était embrassée de cette façon, elle trouve cela agréable. Mais elle à plus de mal à avaler la salive que son amie lui offre généreusement. Elle répond, en reproduisant exactement à l'identique le baiser que lui fait subir Adeline. Enfin le baiser cesse, les yeux de Murielle brillent, malgré la buée qui les remplisse. Elle reste sans voix un long moment, mais respire bruyamment. La main d'Adeline s'approche de son entre jambe. Caresse avec une extrême douceur la fente garnit d'une fine toison soyeuse. les doigts agiles glissent plusieurs fois sur les grandes lèvres, en faisant frémir Murielle. Depuis son agression, elle ne se touchait la vulve qui pour faire sa toilette intime. Jamais elle ne c'était caresser, à chaque tentative, elle revoyait son bourreau sur elle, donc elle renonçait. Elle s'interdissait tous plaisirs digitaux.
Elle veut rugir, se cabrer, mais son amie est si douce qu'elle fond de bonheur. Elle ferme les yeux, en poussant de nombreux soupirs. Les doigts d'Adeline se font plus précis. Ils s'emparent de sa boule de chair, qui rapidement se met à grossir. Et sans brusquerie, elle commence une masturbation que Murielle n'est pas prêtre d'oublier. De sa main libre, Adeline remonte le plus possible la nuisette tout en branlant la perle des plaisirs, elle regarde en souriant la vulve rejeter son trop plein de cyprine. Le branlage devient plus intense, Murielle geint comme une bête blessée. Il se passe quelque chose étrange dans son corps, elle commence à trembler, sa vulve est brûlante. Soudain elle ressent comme une décharge électrique lui traverser le ventre, elle se cabre fortement en geignant, elle croit mourir, sa jouissance est terrible. C'est si intense qu'elle serre les cuisses fortement en repoussant son amie. Elle jouit pour la premiére fois de sa vie.
Elle regarde avec étonnement son amie, elle se demande ce qu'il lui est arrivée. Adeline se penche sur elle est lui dit en souriant :
-Oh la vache qu'elle jouissance, j'en reste sur mon cul, Murielle c'est extra-ordinaire comment tu jouis !
Murielle, n'ose dire à son amie que c'est sa premier jouissance, elle tremble de tous ses membres. Adeline attend un instant avant de lui remonter lentement la nuisette au-dessus des seins, puis donne quelques baisers sur les lobs charnus, qui font frémir Murielle. Ses mains habiles, rafermissent les demi-sphéres mammaires en les malaxant longuement. Sa bouche fait dresser les mamelons comme jamais ils ne l'ont été. Murielle fond de bonheur, elle ignorait comment une femme pouvait lui donner autant de plaisir. Adeline suce et tète les petits mats, en les mordillants de temps en temps. Murielle geint et soupire continuellement. Son fruit devient de plus en plus juteux, un doux filet ininterrompu s'échappe de la fente brûlante. Adeline se fait douce, sans brusquer son amie, elle se place face à elle, lui ouvre délicatement les jambes et approche sa tête du puits d'amour. Mais dès qu'elle pose sa bouche dessus, Murielle se cabre et repousse son amie. Adeline ne comprend pas la réaction de son amie, elle la regarde et lui demande avec douceur :
-Qu'est-ce que tu as ma chérie, tu sembles paniquée, tu ne veux plus que je te touche !
Murielle très crispée, lui raconte le viol qu'elle a subit en étant jeune. Adeline comprend et se fait caline, elle embrasse langoureusement Murielle et lui dit tendrement :
-Je ne veux pas te forcer à quoi que ce soit, je veux juste te donner du plaisir, oublie cet ordure qui t'a fait tant de mal, et laisse moi te mener au paradis de l'amour lesbien !
Murielle ravale sa salive, petit à petit elle semble se détendre, elle se croise les doigts les serre très fort puis, reprend lentement, la position initiale. Adeline sourit et reprend place face à Murielle, elle pose délicatement sa bouche sur le fruit trop mûr, aspire doucement le liquide suave qui s'échappe, avant de poser sa langue la vulve brûlante. Habilement, mais avec lenteur, elle passe sa langue sur les grandes lèvres plusieurs. Murielle ne peut que geindre de plaisir, elle agite doucement son bassin, en respirant bruyamment. Elle pousse un long râle en se cabrant, lorsque l'appendice lingual s'enfonce dans son vagin. Elle gémit encore plus lorsque la langue se met à lui fouiller la gaine le plus profondement possible.
Adeline est très douée, la coquine sait se servir de sa langue, et en fait profiter pleinement son amie, qui ne cesse de s'agiter. La langue ressort de son étui de chair, et se met à taquiner le clitoris, le bougre a déjà pris du volume. Pour Murielle, Adeline est le diable en personne, la coquine vient de lui aspirer la boule enflée, et la suce comme un bonbon. Murielle serre les dents, elle voudrer crier son bonheur, mais elle n'ose hurler son plaisir. Elle se mord le poignet, en geignant comme une bête malade, elle ne tient plus. Elle se cambre fortement et explose de jouissance. C'est si fort qu'elle repousse fortement son amie et replie les jambes en serrant les cuisses, elle tremble de tous ses membres, ses yeux sont presques retournés dans leurs orbites.
Il lui faut un bon moment à Murielle pour récupérer, les deux amies se regardent sans se dire un mot. Lentement Adeline retire sa culotte et son soutien-gorge. Elle attend de son amie le même service. lentement Murielle ose caresser le corps d'Adeline, ses mains s'attardent sur ses parties intimes. Tout en lui caresse l'abricot, elle lui suce les mamelons. Rapidement Adeline se met à geindre, Murielle apprend vite, elle pratique sur son amie tous ce qu'elle vient de vivre. La coquine semble aimer, car elle s'acharne sur sa vulve en la lui dévorant. Adeline est au somment de l'excitation, elle se cabre en poussant un cri rauque et jouit, en appuyant sur la tête de son amie pour qu'elle continue de lui sucer le clito. Un second orgasme la fait hurler de jouissance. Enfin elle lâche Murielle et l'enlace, les deux s'embrassent fougueusement et se font l'amour jusqu'à l'épuisement. Les jours passent le bonheur et total entre eux.
Pour tant un jour Adeline fait la connaissance d'un homme, Luc, il devient son amant, elle le présente à Murielle qui est heureuse pour elle, souvent Adeline l'invite à diner, les trois s'entendent parfaitement. Quelques fois les deux amants disparaissent dans la chambre pour prend du plaisir. Mureille entend crier Adeline, la coquine est très expresive, cela met Murielle dans tous ses états. Lorsqu'ils redescendent, Murielle est pâle ses mains sont moites elle tremble. Adeline s'approche d'elle est l'embrasse fougueusement devant Luc qui reste bouche bée. Une fois la baiser terminé, Adeline fait un clin d'oeil à Luc, qui dodeline de la tête en souriant, il comprend qu'elles sont amantes.
Au fil des jours, Luc vit pratiquement avec les deux femmes, tous les week-end, ils les passe avec Adeline son amante, et Murielle la spectatrice. Le trio s'entend parfaitement bien. Connaissant les relations qui lient les deux femmes, Luc ne s'accapare pas totalement Adeline. Il passe une bonne partie de la journée dans la piscine pour laisser les femmes seules.
C'est le week-end, Luc a passsé la nuit avec Adeline. Le matin, il se lève en boxer, et se dirige vers la salle de bain. Il trouve Murielle en culotte et soutien-gorge, en train de se brosser les dents devant le lavabo. Elle le voit dans le miroir, il lui sourit et l'observe. Puis il s'avance vers elle il lui murmure à l'oreille :
-Tu sais que tu as un beau cul Murielle, je suis sûre que tu fais bander les hommes !
Tout en se brossant, Murielle hausse les épaules. Luc l'enlace et se frotte contre elle, il la prend par les hanches et agite doucment son bassin contre les fesses bien rebondies de la proie qu'il convoite. Murielle cesse de se brosser les dents, pousse plusieurs soupirs. Ses yeux s'emplissent de larmes. Elle sent contre sa croupe la verge qui prend du volume. Murielle se crispe, elle se remémore ce qu'elle a vécue. Elle se retourne et pousse brutalement Luc et s'enfuit la bouche pleine de dentifrice. Luc sursaute, il culpabilise, et rejoint Murielle qui c'est refugiée sans la cuisine. Il s'approche d'elle, elle tremble de tous ses membres. C'est juste à ce moment là qu'Adeline apparait. Elle fronce les osurcils et demande :
-Qu'est-ce qui se passe ici ?
Luc lui raconte ce qu'il vient de se produire. Adeline pousse un gros soupir et se met à raconter le drame qu'a subit Murielle. Luc frémit en entendant ce récit, il enlace Murielle et lui donne un gros baiser sur le front pour ce faire pardonner. Enfin Murielle peut terminer sa toilette.
La journée, c'est piscine et promenade dans la nature, les trois bras dessus bras dessous déambulent sur le chemins en riant comme des enfants. le soir après le diner comme le lendemain c'est dimanche donc pas de travail. Les trois prennent place devant la télé, Luc se blottit contre Adeline, le seul lien qui les unit, c'est le sexe et l'amitié. Rapidement les mains se font baladeuses, Adeline se laisse caresser les cuisses sans sourciller. Rapidement les doigts agiles de Luc atteignent l'entrejambe, et glisse plusieurs fois sur la fente qui n'a que comme seule protection, le fin tissu de la culotte.
les soupirs que pousse Adeline attirent l'attention de Murielle, qui tourne la tête vers le couple qui semble très occupé. Sans se soucier de la présence de Murielle, Adeline ouvre la braguette de Luc et en sort la verge encore endormit. Murielle écarquille les yeux, et regarde avec angoisse le membre mou que son amie commence à agiter. Plus elle l'agite plus l'engin devient impréssionnant. De temps en temps Adeline jette un coup d'oeil discret vers son amie, qui ne cesse de regarder le membre prendre de la grosseur. La verge atteint son plus gros volume. Adeline le décalotte, elle croise le regard de son amie et en lui souriant, donne quelques coups de langue bien ajustées sur le gland marbré. Murielle n'en crois pas ses yeux. Elle sursaute lorsque Adeline gobe le gland.
La bouche de son amie s'active sur le manche de chair, Murielle ravale sa salive. Lorsque Adeline avale la verge de Luc jusqu'aux couilles, pour faire une gorge profonde, un filet de salive s'échappe à la commissure de ses lèvres. Elle ressort la verge de sa gorge, et commence à lécher le tour du gland, titille le frein, en faisant gémir Luc. Enfin elle cesse d'agacer le gland, relève la tête vers Murielle, lui prend doucement la main et la pose sur la verge gorgée de sang. La main d'Adeline appuie sur celle de Murielle, pour l'obliger à saisir le membre. La main de Murielle enserre le membre chaud, elle sent dans les grosses veines apparentes le sang battre. Adeline, en ne lâchant pas la main de Murielle commence à branler l'engin. A chaque descente des poignets, les coquines découvrent le gland violacé, qui laisse échapper quelques perles de rosées, par le méat ouvert.
Murielle ne quitte pas la verge des yeux. Elle semble fascinée par l'engin qu'elle branle avec l'aide de son amie. Adeline lui lâche la main, inconsciemment Murielle continue de branler la verge vivante, qui vibre dans sa main. Elle l'agite plus vite, Luc geint comme une bête. Adeline encourage son amie :
-Branle-le plus vite ma chérie !
Murielle accélère, soudain Luc se cabre en poussant un râle rauque, il envoie sur la main de Murielle un flot de sperme. Sans savoir pour quoi, elle continue de branler la queue gluante. Soudain, elle la presse fortement pour vider la hampe du jus qui s'y cache encore. Mureille lâche la bête cracheuse. Elle regarde ses doigts englués, en faisant une grimace. Adeline gobe le gland et le suce pour récupérer le jus qui le recouvre. Sa langue monte et descend sur la hampe épaisse pour la nettoyer de la semence qui la recouvre.
Doucement Adeline caresse les couilles de Luc, les triture de plus en plus fort. Luc grimace. Soudain elle les aspire une après l'autre, et les suce avidement. Murielle regarde sans broncher. Adeline lâche les tributs de Luc et, retire sa culotte et sa jupe. Elle enjambe Luc et s'empale violement sur sa queue encore raide. Son corps fait l'ascenseur sur le mat qui est planté en elle. Elle geint comme une bête malade, en s'agitant férocement. Murielle reste scotchée sur le couple emboité. Elle voit la verge puissante voyager dans le corps de son amie, jusqu'à l'explosion finale.
Lui pose la main sur la cuisse et la caresse, en regardant Murielle dans les yeux, elle passe sa main sous la jupe et la plaque fortement sur l'entrejambe. Elle sourit et dit :
-Tu mouilles tu es toute excitée hein, laisse-toi prendre par Luc c'est un amant merveilleux, il te fera oublier la brute épaisse qui t'a fait tant de mal, reprends le dessus ma chérie donne-toi à lui !
Elle lui pose la main sur la cuisse et la caresse, en regardant Murielle dans les yeux, elle passe l'intruse sous la jupe et la plaque fortement sur l'entrejambe. Elle sourit et dit :
-Tu mouilles tu es toute excitée hein, laisse-toi prendre par Luc c'est un amant merveilleux, il te fera oublier la brute épaisse qui t'a fait tant de mal, reprends le dessus ma chérie donne-toi à lui !
Le peu de sorties, elles le font ensemble. Au fil des mois elle deviennent très fusionnelles, et envisagent comme les salaires ne sont terribles, de vivre ensemble dans la même maison, et de partager tous les frais.
Chez Murielle, bien que la maison ne soit pas trop grande, elle à tout le confort possible, elle a même une petite piscine dans la pelouse derrière la maison. Le choix d'Adeline est vite fait. Elle emménage rapidement, depuis les deux femmes sont heureuses, chacune leur chambres, c'est l'idéal. Souvent apres la douche du soir, les deux jeunes femmes en petite tenue, regardent la télé blottit l'une contre l'autre dans le canapé. Adeline et Murielle, se posent beaucoup de questions sur leur famille, leurs amis. Mais lorsque Adeline, parle d'homme et de relations sexuelles, Murielle se referme sur elle même, et refuse de répondre aux questions de son amie. Adeline, n'insiste pas, mais fait la moue.
Murielle monte se coucher la premiére, Quant à Adeline elle veut voire les infos. Murielle, retire ses sous vétêments, enfile sa nuisette est s'allonge sur son lit, elle semble ailleurs. Enfin les infos terminés, Adeline monte rejoindre sa chambre, en passant devant la porte de son amie, elle voit un ray de lumière passer sous la porte. Elle pose son oreille contre la porte, elle sursaute, elle entend Mariette sangloter. Doucement elle entrouvre la porte et passe la tête par l'ouverture. Murielle est assise sur son lit, elle a les jambes repliées, elle les emprisonne de ses bras, sa tête est posée sur ses genoux, elle sanglote. Adeline toujours en sous vêtements, s'assoit à côté de son amie, et en lui caressant le tibia, elle lui demande :
-Qu'est-ce qui ne va pas Murielle ?
En reniflant fortement elle répond :
-Je pensais à mes parents, parti trop tôt, ils me manquent tant !
Adeline l'enlace et la serre contre elle, elle sent contre sa poitrine l'épaule de Murielle. Les deux amies restent dans cette position un bon moment. Puis Lentement Murielle allonge ses jambes, sa nuisette très courte ne cache pratiquement pas ses cuisses admirables. Tout en rassurance son amie, avec de douces paroles, Adeline pose sa main sur la cuisse dénudée de son amie. C'est avec une douceur extrême, qu'elle glisse ses doigts sous le fin tissu et caresse la peau lisse, en montant de plus en plus vers l'aine. Murielle reste sans réagir. Adeline pose un regard tendre sur Murielle, les regards se croisent. Les têtes sont près l'une de l'autre. Les souffles se mélent. Doucement les lèvres d'Adeline s'approchent de celles de Murielle. Elles se frôlent, les souffles chauds caressent comme une brise légère les visages. Plusieurs soupirs se font entendre.
La main audacieuse d'Adeline monte sur le ventre de Murielle, le caresse avec douceur. Murielle se met à frissonner. C'est la première fois qu'elle se trouve dans cet état de fébrilité, sans savoir pourquoi. Les lèvres sont si près, qu'Adeline passe doucement la pointe de sa langue sur les lèvres biens dessinées de son amie. Murielle semble hypnotisée, elle accepte cet attouchement étrange qui la trouble. Les lèvres se soudent, C'est le premièr baiser sur les lèvres que Murielle reçoit, mise a part quelques baisers de ses parents qui ont involontairement dérapés. Mais lorsque la langue d'Adeline s'engouffre dans sa bouche, elle sursaute, se contracte, mais ne repousse pas son amie. Les deux langues finissent pas se nouer comme deux reptiles qui s'accouplent.
Pour Murielle c'est incroyable, elle qui n'avait jamais était embrassée de cette façon, elle trouve cela agréable. Mais elle à plus de mal à avaler la salive que son amie lui offre généreusement. Elle répond, en reproduisant exactement à l'identique le baiser que lui fait subir Adeline. Enfin le baiser cesse, les yeux de Murielle brillent, malgré la buée qui les remplisse. Elle reste sans voix un long moment, mais respire bruyamment. La main d'Adeline s'approche de son entre jambe. Caresse avec une extrême douceur la fente garnit d'une fine toison soyeuse. les doigts agiles glissent plusieurs fois sur les grandes lèvres, en faisant frémir Murielle. Depuis son agression, elle ne se touchait la vulve qui pour faire sa toilette intime. Jamais elle ne c'était caresser, à chaque tentative, elle revoyait son bourreau sur elle, donc elle renonçait. Elle s'interdissait tous plaisirs digitaux.
Elle veut rugir, se cabrer, mais son amie est si douce qu'elle fond de bonheur. Elle ferme les yeux, en poussant de nombreux soupirs. Les doigts d'Adeline se font plus précis. Ils s'emparent de sa boule de chair, qui rapidement se met à grossir. Et sans brusquerie, elle commence une masturbation que Murielle n'est pas prêtre d'oublier. De sa main libre, Adeline remonte le plus possible la nuisette tout en branlant la perle des plaisirs, elle regarde en souriant la vulve rejeter son trop plein de cyprine. Le branlage devient plus intense, Murielle geint comme une bête blessée. Il se passe quelque chose étrange dans son corps, elle commence à trembler, sa vulve est brûlante. Soudain elle ressent comme une décharge électrique lui traverser le ventre, elle se cabre fortement en geignant, elle croit mourir, sa jouissance est terrible. C'est si intense qu'elle serre les cuisses fortement en repoussant son amie. Elle jouit pour la premiére fois de sa vie.
Elle regarde avec étonnement son amie, elle se demande ce qu'il lui est arrivée. Adeline se penche sur elle est lui dit en souriant :
-Oh la vache qu'elle jouissance, j'en reste sur mon cul, Murielle c'est extra-ordinaire comment tu jouis !
Murielle, n'ose dire à son amie que c'est sa premier jouissance, elle tremble de tous ses membres. Adeline attend un instant avant de lui remonter lentement la nuisette au-dessus des seins, puis donne quelques baisers sur les lobs charnus, qui font frémir Murielle. Ses mains habiles, rafermissent les demi-sphéres mammaires en les malaxant longuement. Sa bouche fait dresser les mamelons comme jamais ils ne l'ont été. Murielle fond de bonheur, elle ignorait comment une femme pouvait lui donner autant de plaisir. Adeline suce et tète les petits mats, en les mordillants de temps en temps. Murielle geint et soupire continuellement. Son fruit devient de plus en plus juteux, un doux filet ininterrompu s'échappe de la fente brûlante. Adeline se fait douce, sans brusquer son amie, elle se place face à elle, lui ouvre délicatement les jambes et approche sa tête du puits d'amour. Mais dès qu'elle pose sa bouche dessus, Murielle se cabre et repousse son amie. Adeline ne comprend pas la réaction de son amie, elle la regarde et lui demande avec douceur :
-Qu'est-ce que tu as ma chérie, tu sembles paniquée, tu ne veux plus que je te touche !
Murielle très crispée, lui raconte le viol qu'elle a subit en étant jeune. Adeline comprend et se fait caline, elle embrasse langoureusement Murielle et lui dit tendrement :
-Je ne veux pas te forcer à quoi que ce soit, je veux juste te donner du plaisir, oublie cet ordure qui t'a fait tant de mal, et laisse moi te mener au paradis de l'amour lesbien !
Murielle ravale sa salive, petit à petit elle semble se détendre, elle se croise les doigts les serre très fort puis, reprend lentement, la position initiale. Adeline sourit et reprend place face à Murielle, elle pose délicatement sa bouche sur le fruit trop mûr, aspire doucement le liquide suave qui s'échappe, avant de poser sa langue la vulve brûlante. Habilement, mais avec lenteur, elle passe sa langue sur les grandes lèvres plusieurs. Murielle ne peut que geindre de plaisir, elle agite doucement son bassin, en respirant bruyamment. Elle pousse un long râle en se cabrant, lorsque l'appendice lingual s'enfonce dans son vagin. Elle gémit encore plus lorsque la langue se met à lui fouiller la gaine le plus profondement possible.
Adeline est très douée, la coquine sait se servir de sa langue, et en fait profiter pleinement son amie, qui ne cesse de s'agiter. La langue ressort de son étui de chair, et se met à taquiner le clitoris, le bougre a déjà pris du volume. Pour Murielle, Adeline est le diable en personne, la coquine vient de lui aspirer la boule enflée, et la suce comme un bonbon. Murielle serre les dents, elle voudrer crier son bonheur, mais elle n'ose hurler son plaisir. Elle se mord le poignet, en geignant comme une bête malade, elle ne tient plus. Elle se cambre fortement et explose de jouissance. C'est si fort qu'elle repousse fortement son amie et replie les jambes en serrant les cuisses, elle tremble de tous ses membres, ses yeux sont presques retournés dans leurs orbites.
Il lui faut un bon moment à Murielle pour récupérer, les deux amies se regardent sans se dire un mot. Lentement Adeline retire sa culotte et son soutien-gorge. Elle attend de son amie le même service. lentement Murielle ose caresser le corps d'Adeline, ses mains s'attardent sur ses parties intimes. Tout en lui caresse l'abricot, elle lui suce les mamelons. Rapidement Adeline se met à geindre, Murielle apprend vite, elle pratique sur son amie tous ce qu'elle vient de vivre. La coquine semble aimer, car elle s'acharne sur sa vulve en la lui dévorant. Adeline est au somment de l'excitation, elle se cabre en poussant un cri rauque et jouit, en appuyant sur la tête de son amie pour qu'elle continue de lui sucer le clito. Un second orgasme la fait hurler de jouissance. Enfin elle lâche Murielle et l'enlace, les deux s'embrassent fougueusement et se font l'amour jusqu'à l'épuisement. Les jours passent le bonheur et total entre eux.
Pour tant un jour Adeline fait la connaissance d'un homme, Luc, il devient son amant, elle le présente à Murielle qui est heureuse pour elle, souvent Adeline l'invite à diner, les trois s'entendent parfaitement. Quelques fois les deux amants disparaissent dans la chambre pour prend du plaisir. Mureille entend crier Adeline, la coquine est très expresive, cela met Murielle dans tous ses états. Lorsqu'ils redescendent, Murielle est pâle ses mains sont moites elle tremble. Adeline s'approche d'elle est l'embrasse fougueusement devant Luc qui reste bouche bée. Une fois la baiser terminé, Adeline fait un clin d'oeil à Luc, qui dodeline de la tête en souriant, il comprend qu'elles sont amantes.
Au fil des jours, Luc vit pratiquement avec les deux femmes, tous les week-end, ils les passe avec Adeline son amante, et Murielle la spectatrice. Le trio s'entend parfaitement bien. Connaissant les relations qui lient les deux femmes, Luc ne s'accapare pas totalement Adeline. Il passe une bonne partie de la journée dans la piscine pour laisser les femmes seules.
C'est le week-end, Luc a passsé la nuit avec Adeline. Le matin, il se lève en boxer, et se dirige vers la salle de bain. Il trouve Murielle en culotte et soutien-gorge, en train de se brosser les dents devant le lavabo. Elle le voit dans le miroir, il lui sourit et l'observe. Puis il s'avance vers elle il lui murmure à l'oreille :
-Tu sais que tu as un beau cul Murielle, je suis sûre que tu fais bander les hommes !
Tout en se brossant, Murielle hausse les épaules. Luc l'enlace et se frotte contre elle, il la prend par les hanches et agite doucment son bassin contre les fesses bien rebondies de la proie qu'il convoite. Murielle cesse de se brosser les dents, pousse plusieurs soupirs. Ses yeux s'emplissent de larmes. Elle sent contre sa croupe la verge qui prend du volume. Murielle se crispe, elle se remémore ce qu'elle a vécue. Elle se retourne et pousse brutalement Luc et s'enfuit la bouche pleine de dentifrice. Luc sursaute, il culpabilise, et rejoint Murielle qui c'est refugiée sans la cuisine. Il s'approche d'elle, elle tremble de tous ses membres. C'est juste à ce moment là qu'Adeline apparait. Elle fronce les osurcils et demande :
-Qu'est-ce qui se passe ici ?
Luc lui raconte ce qu'il vient de se produire. Adeline pousse un gros soupir et se met à raconter le drame qu'a subit Murielle. Luc frémit en entendant ce récit, il enlace Murielle et lui donne un gros baiser sur le front pour ce faire pardonner. Enfin Murielle peut terminer sa toilette.
La journée, c'est piscine et promenade dans la nature, les trois bras dessus bras dessous déambulent sur le chemins en riant comme des enfants. le soir après le diner comme le lendemain c'est dimanche donc pas de travail. Les trois prennent place devant la télé, Luc se blottit contre Adeline, le seul lien qui les unit, c'est le sexe et l'amitié. Rapidement les mains se font baladeuses, Adeline se laisse caresser les cuisses sans sourciller. Rapidement les doigts agiles de Luc atteignent l'entrejambe, et glisse plusieurs fois sur la fente qui n'a que comme seule protection, le fin tissu de la culotte.
les soupirs que pousse Adeline attirent l'attention de Murielle, qui tourne la tête vers le couple qui semble très occupé. Sans se soucier de la présence de Murielle, Adeline ouvre la braguette de Luc et en sort la verge encore endormit. Murielle écarquille les yeux, et regarde avec angoisse le membre mou que son amie commence à agiter. Plus elle l'agite plus l'engin devient impréssionnant. De temps en temps Adeline jette un coup d'oeil discret vers son amie, qui ne cesse de regarder le membre prendre de la grosseur. La verge atteint son plus gros volume. Adeline le décalotte, elle croise le regard de son amie et en lui souriant, donne quelques coups de langue bien ajustées sur le gland marbré. Murielle n'en crois pas ses yeux. Elle sursaute lorsque Adeline gobe le gland.
La bouche de son amie s'active sur le manche de chair, Murielle ravale sa salive. Lorsque Adeline avale la verge de Luc jusqu'aux couilles, pour faire une gorge profonde, un filet de salive s'échappe à la commissure de ses lèvres. Elle ressort la verge de sa gorge, et commence à lécher le tour du gland, titille le frein, en faisant gémir Luc. Enfin elle cesse d'agacer le gland, relève la tête vers Murielle, lui prend doucement la main et la pose sur la verge gorgée de sang. La main d'Adeline appuie sur celle de Murielle, pour l'obliger à saisir le membre. La main de Murielle enserre le membre chaud, elle sent dans les grosses veines apparentes le sang battre. Adeline, en ne lâchant pas la main de Murielle commence à branler l'engin. A chaque descente des poignets, les coquines découvrent le gland violacé, qui laisse échapper quelques perles de rosées, par le méat ouvert.
Murielle ne quitte pas la verge des yeux. Elle semble fascinée par l'engin qu'elle branle avec l'aide de son amie. Adeline lui lâche la main, inconsciemment Murielle continue de branler la verge vivante, qui vibre dans sa main. Elle l'agite plus vite, Luc geint comme une bête. Adeline encourage son amie :
-Branle-le plus vite ma chérie !
Murielle accélère, soudain Luc se cabre en poussant un râle rauque, il envoie sur la main de Murielle un flot de sperme. Sans savoir pour quoi, elle continue de branler la queue gluante. Soudain, elle la presse fortement pour vider la hampe du jus qui s'y cache encore. Mureille lâche la bête cracheuse. Elle regarde ses doigts englués, en faisant une grimace. Adeline gobe le gland et le suce pour récupérer le jus qui le recouvre. Sa langue monte et descend sur la hampe épaisse pour la nettoyer de la semence qui la recouvre.
Doucement Adeline caresse les couilles de Luc, les triture de plus en plus fort. Luc grimace. Soudain elle les aspire une après l'autre, et les suce avidement. Murielle regarde sans broncher. Adeline lâche les tributs de Luc et, retire sa culotte et sa jupe. Elle enjambe Luc et s'empale violement sur sa queue encore raide. Son corps fait l'ascenseur sur le mat qui est planté en elle. Elle geint comme une bête malade, en s'agitant férocement. Murielle reste scotchée sur le couple emboité. Elle voit la verge puissante voyager dans le corps de son amie, jusqu'à l'explosion finale.
Lui pose la main sur la cuisse et la caresse, en regardant Murielle dans les yeux, elle passe sa main sous la jupe et la plaque fortement sur l'entrejambe. Elle sourit et dit :
-Tu mouilles tu es toute excitée hein, laisse-toi prendre par Luc c'est un amant merveilleux, il te fera oublier la brute épaisse qui t'a fait tant de mal, reprends le dessus ma chérie donne-toi à lui !
Elle lui pose la main sur la cuisse et la caresse, en regardant Murielle dans les yeux, elle passe l'intruse sous la jupe et la plaque fortement sur l'entrejambe. Elle sourit et dit :
-Tu mouilles tu es toute excitée hein, laisse-toi prendre par Luc c'est un amant merveilleux, il te fera oublier la brute épaisse qui t'a fait tant de mal, reprends le dessus ma chérie donne-toi à lui !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un préambule très délicat pour une femme mais encore une fois, tu as réussi à en faire une histoire extrêmement excitante...
Merci Linsee
Cyrille
Merci Linsee
Cyrille
Encore un récit excitant...
Linsee, vous êtes douée dans l'écriture...
Lolo
Linsee, vous êtes douée dans l'écriture...
Lolo