Murielle la voisine mariée

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Récit libertin : Murielle la voisine mariée Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Murielle la voisine mariée
Murielle est ma nouvelle voisine. Mariée, comme moi. Pourtant, dès notre première rencontre, il y eut quelque chose, une nuance presque imperceptible, un éclat dans ses yeux ou dans son sourire, qui me firent comprendre que cette femme n’était pas tout à fait comme les autres.

C’était un dimanche matin. Je bricolais dans mon garage, une habitude que j’avais prise pour occuper mes week-ends. Le portail de la maison voisine, que je n’avais encore jamais vu s’ouvrir, grinça légèrement. En me retournant, je la vis pour la première fois.

Elle avançait doucement, portant un panier rempli de fruits qu’elle déposa sur le rebord du muret séparant nos jardins. Ses cheveux châtain, courts et légèrement ébouriffés, encadraient un visage chaleureux, marqué par des années de sourires et de vie vécue. Une robe d’été, simple mais élégante et courte, soulignait ses courbes de femme mature avec cette grâce discrète qui rend une femme inoubliable.

Je fis semblant de me concentrer sur ma tâche, mais mon regard glissa malgré moi dans sa direction. Elle semblait s’amuser de cette attention furtive. Un léger sourire apparut sur ses lèvres, comme si elle avait perçu quelque chose en moi, une fragilité ou un désir que je n’avais pas conscience d’exprimer.

— Bonjour, dit-elle en se penchant un peu plus sur le muret, ce qui fit bailler son petit décolleté. Vous devez être Nicolas.

Sa voix était douce, teintée d’une pointe de malice. Je me redressai, légèrement pris au dépourvu.

— Oui, c’est moi. Et vous devez être… ma nouvelle voisine ?

— Murielle, répondit-elle, son sourire s’élargissant. Je m’installe avec mon mari dans cette maison voisine de la vôtre. Enfin… il n’est pas souvent là, mais moi, je suis là pour de bon.

Il y avait quelque chose dans sa façon de parler, une légèreté, presque une insouciance, qui tranchait avec l’image d’une femme mariée installée dans une petite maison tranquille. Elle me détailla un peu trop longuement pour que ce soit tout à fait innocent, et je sentis une chaleur monter en moi.

Je ne sus quoi répondre. Le silence s’étira, mais il n’était pas gênant. Elle sembla s’en amuser.

— Et vous, votre femme est là ? demanda-t-elle finalement, d’un ton qui se voulait détaché mais qui trahissait une curiosité sous-jacente.

— Non, elle travaille souvent les week-ends.

Elle hocha la tête, comme si ma réponse confirmait quelque chose qu’elle soupçonnait déjà. Puis elle détourna les yeux, laissant son regard errer sur mon garage et mes outils, avant de revenir vers moi, comme par hasard.

Elle effleura du doigt le rebord du muret, comme pour s’occuper les mains, avant de me lancer un nouveau regard, cette fois plus direct. Je remarquai ses seins assez généreux sous sa robe.

— Alors, vous devez avoir du temps pour vous.

Sa remarque m’étonna. Je ne savais pas trop si elle cherchait à faire la conversation ou à tester quelque chose.

— Un peu, répondis-je prudemment. Et vous, vous êtes… installée depuis longtemps ?

— Trois jours. Mais je prends vite mes marques, dit-elle en souriant. Enfin, je m’occupe. Mon mari travaille beaucoup, alors…

Elle haussa les épaules avec une désinvolture qui cachait peut-être plus qu’elle ne voulait le montrer. Elle devait porter un soutien-gorge bien rempli !

— Et vous, Nicolas ? Qu’est-ce que vous faites dans la vie ?

— Je suis écrivain.

Ses yeux s’éclairèrent d’un intérêt immédiat.

— Oh ! Alors vous devez avoir une imagination débordante, non ?

Je haussai les épaules, un peu gêné par cette remarque qui sonnait presque comme un compliment.

— On essaie.

— J’ai toujours eu une admiration pour les gens qui savent jouer avec les mots, reprit-elle, son ton légèrement plus bas, presque intime. Peut-être que vous me raconterez ce que vous écrivez, un jour. Je crus deviner des frissons sur ses avant-bras.

Je souris, incertain de ce qu’elle cherchait à dire exactement. C’était peut-être juste une conversation banale, mais la façon dont elle s’attardait, le léger frémissement de ses lèvres lorsqu’elle parlait… il y avait autre chose.

— Peut-être, oui. Si ça vous intéresse.

Elle rit doucement.

— Ça pourrait.

Un silence s’installa de nouveau. Elle semblait hésiter, comme si elle cherchait à prolonger cet échange sans savoir comment. Finalement, elle pointa le panier de fruits.

— Vous aimez les pêches ?

— Les pêches ?

— Oui. J’en ai trop acheté. Je me suis dit que ce serait une bonne excuse pour rencontrer mon voisin.

Je souris, touché par sa franchise.

— Dans ce cas, je ne vais pas refuser.

Elle passa le panier par-dessus le muret, et nos mains se frôlèrent brièvement. Ce fut presque rien, mais je ressentis une décharge légère, un contact qui semblait en dire bien plus que les mots qu’elle venait de prononcer. Je sentais aussi un légère odeur de transpiration provenant de ses aisselles.

— Bonne journée, Nicolas, dit-elle finalement, en reculant lentement.

Je la regardai s’éloigner, sa robe dansant légèrement au rythme de ses pas. Ce n’était qu’une rencontre banale, presque anodine. Et pourtant, quelque chose en moi savait que cette femme allait bouleverser mon quotidien.

Quelques jours après notre première rencontre, alors que ma femme était absente, la sonnette retentit. En ouvrant la porte, je tombai sur Murielle. Elle portait une robe rouge moulante, sans manches et courte, qui soulignait avec audace ses courbes généreuses. Elle avait un décolleté en v qui montrait le sillon de ses seins. Ses cheveux châtains, un peu plus apprêtés que la dernière fois, encadraient son visage, et un parfum enivrant flottait autour d’elle.

Je pris un instant pour l’observer, m’attardant volontairement sur les détails : la manière dont le tissu suivait la ligne de ses hanches, la forme en poire de ses seins, la délicatesse de son maquillage, et surtout, ce regard légèrement malicieux qu’elle essayait de cacher derrière une expression innocente.

— Bonjour, Nicolas, dit-elle doucement, son sourire légèrement hésitant. Vous auriez un tire-bouchon ?

Je la fixai, silencieux pendant une seconde de trop, la mettant délibérément mal à l’aise. Puis, un sourire en coin, je répondis :

— Un tire-bouchon, hein ? Vous aimez le vin, Murielle ?

Elle sembla déstabilisée par ma question, mais elle hocha la tête.

— Oui, enfin… pas tout le temps. Mais là, j’avais envie.

Je m’appuyai contre l’encadrement de la porte, croisant les bras.

— Et vous avez pensé que j’aurais ce qu’il vous faut. Intéressant.

Son sourire vacilla légèrement. Elle jouait à un jeu, mais elle ne s’attendait peut-être pas à ce que je prenne les rênes.

— Entrez, dis-je en me redressant. Je vais voir si je peux vous aider.

Je m’écartai, et elle entra. Tandis qu’elle s’avançait dans le couloir, je refermai la porte derrière elle, un geste calme mais volontairement lent.

— Vous avez une belle maison, dit-elle, jetant un coup d’œil autour d’elle.

— Merci. Mais je doute que vous soyez venue pour la décoration.

Elle se retourna vers moi, surprise par mon ton direct. Je m’approchai, réduisant légèrement la distance entre nous.

— Vous voulez une visite ? proposai-je, ma voix légèrement plus basse.

Elle cligna des yeux, comme si elle hésitait. Puis, avec un petit sourire, elle répondit :

— Pourquoi pas.

Je la guidai à travers les pièces du rez-de-chaussée, mais je pris soin de ralentir mes gestes, de la regarder un peu trop longtemps à chaque fois qu’elle s’attardait sur un détail. Je voulais qu’elle ressente cette tension, qu’elle comprenne que je savais exactement ce qu’elle cherchait, même si elle n’osait pas encore l’admettre.

Quand nous montâmes à l’étage, je la précédai, me retournant de temps à autre pour capter son regard. Dans une des pièces, j’ouvris une porte et laissai apparaître ma table de massage, placée au centre de la pièce.

— Et ça, qu’en pensez-vous ? demandai-je en me tournant vers elle.

Elle resta immobile un instant, ses yeux rivés sur la table. Puis, lentement, elle s’avança, ses doigts glissant sur le cuir.

— Vous… vous êtes masseur ? demanda-t-elle, sa voix un peu plus basse, presque hésitante.

Je m’approchai, réduisant à nouveau la distance entre nous, et me postai juste derrière elle.

— Pas professionnel, répondis-je, mon ton volontairement calme. Mais j’ai appris. Vous seriez surprise de ce qu’on peut faire avec un peu de technique et… d’imagination.

Elle tourna légèrement la tête vers moi, mais ne bougea pas davantage. Je sentis qu’elle hésitait entre rester immobile et se retourner complètement. Son visage était rouge, ses petits poils des bras se dressaient.

— Vous voulez essayer ? murmurai-je, mon souffle effleurant son oreille.

Elle sembla frissonner, mais elle fit un effort pour garder son calme.

— Essayer quoi ? demanda-t-elle, sa voix trahissant une pointe d’émotion.

Je fis un pas de côté pour lui faire face, prenant le temps de capturer son regard. Puis, d’un geste lent mais assuré, je désignai la table.

— Vous allonger ici. Et me laisser vous montrer.

Elle resta immobile, ses yeux accrochés aux miens. La tension dans la pièce était presque palpable, et je savais qu’elle sentait le contrôle glisser lentement de ses mains vers les miennes. Sa poitrine semblait s'être tendue, durcie, gonflée sous la robe.

— Vous êtes sûre d’être prête, Murielle ? demandai-je enfin, avec un sourire en coin.

Cette fois, elle rougit légèrement. Sa voix était à peine audible lorsqu’elle répondit :

— Peut-être.

Je hochai la tête, lentement, avant d’ajouter :

— Alors, détendez-vous. Je m’occupe du reste.

Murielle resta silencieuse un instant, ses doigts toujours posés sur le bord de la table de massage. Ses yeux, hésitants mais curieux, se relevèrent vers moi. Je m’approchai lentement, réduisant encore la distance entre nous, et laissai ma voix tomber dans un registre plus grave, plus posé.

— Pour que ce soit vraiment efficace, il faudrait enlever votre robe, Murielle.

Elle écarquilla légèrement les yeux, surprise par ma franchise. Mais je ne bougeai pas, la fixant avec un calme désarmant, mon ton volontaire mais courtois.

— Vous voulez essayer, non ? Alors faites-moi confiance.

Elle sembla hésiter, son souffle légèrement plus court. Puis, comme pour tester mes intentions, elle inclina légèrement la tête, un sourire provocant effleurant ses lèvres.

— Vous êtes sûr que ça fait partie du massage ?

— Absolument, répondis-je sans flancher, mon regard ancré dans le sien.

Il y eut un long silence. Puis, lentement, presque théâtralement, elle porta ses mains à l’arrière de son cou, saisissant la fermeture éclair de sa robe. Elle la fit glisser, le tissu rouge s’ouvrant pour révéler un soutien-gorge noir délicat qui soutenait une poitrine généreuse, et une culotte assortie qui épousait parfaitement ses hanches.

Murielle laissa la robe glisser jusqu’à ses pieds, puis se redressa, me faisant face, son regard planté dans le mien.

— Comme ça ? demanda-t-elle, un mélange de défi et de curiosité dans la voix.

Je pris un moment pour l’observer, laissant mon regard parcourir son corps, lentement, délibérément.

— Parfait, dis-je enfin. Allongez-vous sur la table, sur le ventre.

Elle obéit après avoir retiré ses chaussures, mais je pouvais sentir sa provocation dans la lenteur de ses mouvements. Une fois allongée, elle tourna légèrement la tête pour me regarder, un sourire à peine perceptible au coin des lèvres.

Je pris une bouteille d’huile posée sur une étagère, et en fis couler un filet entre mes mains, chauffant le liquide avant de l’appliquer sur ses épaules.

— Détendez-vous, murmurai-je. C’est moi qui contrôle, maintenant.

Mes mains commencèrent à travailler ses épaules avec des mouvements assurés, appuyant juste assez pour soulager les tensions tout en maintenant une intimité presque troublante. Elle ne dit rien, mais je sentis son corps se relâcher légèrement sous mes doigts.

Au fil des minutes, mes mains descendirent lentement le long de son dos, effleurant parfois sa peau avec une délicatesse presque provocante, avant d’appuyer à nouveau, plus fermement.

— Vous êtes tendue, Murielle, observai-je d’un ton presque accusateur.

Elle laissa échapper un léger rire.

— C’est vous qui me rendez tendue, Nicolas.

Je souris, bien qu’elle ne puisse pas me voir, et mes mains descendirent jusqu’à la courbe de ses hanches, puis remontèrent, effleurant volontairement les attaches de son soutien-gorge.

— Vous voulez vraiment que je vous détende ? demandai-je, mon ton devenant plus autoritaire.

— Oui, murmura-t-elle après une brève hésitation.

— Alors arrêtez de résister.

Je défaisis lentement l'attache de son soutien-gorge, libérant sa peau de la légère contrainte du tissu. Elle ne protesta pas, mais je sentis un frisson parcourir son dos. Mes mains reprirent leur travail, cette fois sur la totalité de son dos, mes mouvements devenant plus intimes, plus exploratoires.

Je glissai mes doigts jusqu’à la base de ses fesses, appuyant doucement mais fermement.

— Vous aimez ça, Murielle ? demandai-je, sans lui laisser de temps pour réfléchir.

Elle répondit d’une voix à peine audible, presque étranglée :

— Oui…

Je laissai le silence s’installer, amplifiant la tension, avant de poursuivre :

— Alors retournez-vous.

Elle se raidit légèrement, surprise par mon ordre, mais obéit après une brève pause. Ses yeux étaient fixés aux miens, cherchant à déchiffrer mes intentions, mais je ne flanchai pas.

— Bien. Maintenant, laissez-moi vous montrer ce que ça fait d’être vraiment détendue.


Murielle s’allongea sur le dos, sa poitrine généreuse que je découvrais se soulevait légèrement au rythme de sa respiration. Son regard restait fixé sur le mien, un mélange de provocation et d’attente. Je pris un moment pour la contempler, savourant le pouvoir que je savais avoir sur elle. J'admirais sa poitrine, ses aréoles, ses tétons.

Je fis couler un peu d’huile dans mes mains et commençai à la masser à nouveau, cette fois en partant de ses épaules, mais mes mouvements étaient plus lents, plus appuyés. Mes doigts glissèrent le long de ses bras, puis redescendirent sur sa poitrine, contournant délibérément ses seins qui étaient gonflés sans les toucher directement.

Murielle ferma les yeux, son souffle devenant légèrement plus profond. Je pris cela comme une invitation à aller plus loin. Mes mains effleurèrent la courbe de ses côtes, puis descendirent doucement sur son ventre, décrivant des cercles légers.

— Vous êtes magnifique, Murielle, murmurai-je, ma voix grave et posée.

Elle rouvrit les yeux, un léger sourire flottant sur ses lèvres.

— Vous êtes très sûr de vous, Nicolas ?

Je ne répondis pas, mais mes mains continuèrent leur exploration, glissant lentement jusqu’à la limite de sa culotte. Je marquai une pause, laissant la tension monter, avant de murmurer :

— Est-ce que je peux continuer ?

Elle hocha la tête, presque imperceptiblement, mais je vis dans ses yeux qu’elle en voulait plus.

Je glissai mes doigts sous l’élastique de sa culotte, la faisant glisser lentement le long de ses hanches. Lorsque le tissu dévoila enfin son intimité, je remarquai qu’elle n’était pas épilée, son triangle de poils chatain et naturel contrastant avec la blancheur de sa peau.

Je laissai mes doigts effleurer sa toison pubienne, appréciant sa texture, avant de me pencher légèrement, rapprochant mon visage de son bas-ventre. Je respirai doucement, capturant son odeur, une fragrance intime et légèrement musquée, profondément féminine.

Murielle tressaillit légèrement, mais ne bougea pas. Je savais qu’elle sentait mon souffle sur sa peau, et je pris mon temps, savourant cet instant d’intimité brutale et intense.

— Vous avez une odeur… unique, dis-je finalement, d’une voix rauque.

Elle rougit, mais un léger sourire trahissait son excitation.

— C’est… gênant, murmura-t-elle mais j'ai chaud, je transpire.

Je relevai la tête, plantant mon regard dans le sien.

— Non. C’est naturel. Et terriblement excitant.

Je laissai mes lèvres frôler l’intérieur de sa cuisse, y déposant un baiser léger mais chargé de promesses. Elle laissa échapper un soupir, et je sentis son corps se détendre davantage sous mes mains.

Mes doigts continuèrent leur exploration, glissant doucement sur la chaleur de sa peau, effleurant ses plis intimes sans jamais les toucher directement.

— Vous aimez ça, Murielle ? murmurai-je, mes lèvres à quelques centimètres de son bas-ventre.

Elle acquiesça, incapable de parler, son souffle s’accélérant au rythme de mes caresses

Mon toucher, tantôt ferme, tantôt délicat, traçait des lignes invisibles sur sa peau, éveillant en elle des frissons qu’elle ne cherchait même plus à dissimuler.

Quand mes doigts glissèrent doucement vers ses cuisses, remontant lentement jusqu’à effleurer ses lèvres intimes, elle laissa échapper un soupir incontrôlé. Je sentais sa chaleur et son désir grandir sous mes doigts, son corps réagissant à chaque pression, chaque mouvement.

Je m’arrêtai soudain, brisant la montée de plaisir, la forçant à ouvrir les yeux et à chercher mon regard.

— Tu en veux plus, Murielle ? murmurai-je, mon ton grave et autoritaire.

Elle hocha la tête, incapable de parler, son souffle court trahissant son impatience.

— Alors dis-le, ordonnai-je en m’approchant de son oreille, ma voix un murmure rauque.

— Oui… Nicolas… s’il te plaît, continua-t-elle dans un gémissement presque suppliant.

Satisfait de sa soumission, je laissai mes doigts reprendre leur exploration, cette fois avec plus d’insistance. Je trouvai son point le plus sensible, jouant avec des mouvements précis et calculés. Murielle s’agrippa au bord de la table, son dos se cambrant sous l’intensité des sensations. Son plaisir atteignit bientôt un point de non-retour, et elle cria mon nom, son corps se contractant violemment autour de mes doigts alors qu’elle jouissait avec une intensité désarmante.

Mais je n’avais pas fini. Tandis qu’elle reprenait son souffle, ses joues rouges et son regard encore embué de désir, je me redressai lentement, défaisant les boutons de mon pantalon. Ses yeux se fixèrent sur mes gestes, captivée, presque hypnotisée.

— Tu m’as excité, Murielle, déclarai-je d’un ton calme mais ferme. Maintenant, c’est à toi de m’aider.

Elle ne protesta pas, comprenant immédiatement ce que j’attendais. À genoux devant moi, ses doigts tremblants effleurèrent ma peau avant qu’elle ne prenne les choses en main. Je laissai échapper un soupir de satisfaction alors qu’elle s’appliquait, son regard alternant entre mes yeux et son action.

Mais bientôt, ce fut moi qui repris le contrôle. Je relevai son menton, ancrant mon regard dans le sien.

— Ne bouge pas, ordonnai-je doucement mais fermement.

Elle obéit, immobile, tandis que je me rapprochai. Mon souffle s’accéléra alors que la tension atteignait son paroxysme. Quelques instants plus tard, avec un dernier grognement rauque, je me libérai sur son visage, laissant une chaleur intense marquer sa peau.

Murielle ne détourna pas le regard. Elle resta là, à genoux, un sourire subtil et complice apparaissant sur ses lèvres. Elle leva doucement une main pour essuyer une goutte qui coulait le long de sa joue, puis la porta à ses lèvres, ses yeux brillants de défi.

— Alors, Nicolas… c’est ça ton idée de détente ? murmura-t-elle, son ton à la fois amusé et provocateur.

Je laissai échapper un rire grave, satisfait et amusé par sa réaction.

— Tu n’as encore rien vu, Murielle, répondis-je en me penchant pour déposer un baiser sur son front. Mais je pense qu’on a tout le temps devant nous.

Elle se releva, encore troublée mais rayonnante, et s’éloigna lentement, un dernier regard chargé de promesses dans ma direction.

Les avis des lecteurs

Ici John La Semelle qui a pris un plaisir particulier à la lecture de ce sublime récit en ce mardi 18 février 2025.

Histoire Erotique
Quelle belle plume, une superbe découverte !

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Une écriture qui nous emporte totalement dans ce récit très sensuel. Bravo...j'attends la suite avec impatience

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Bien écrit, assez subtil mais naturellement on en attend un peu plus…

La suite arrive :)

Texte très intéressant, Nicolas. Une suite?

Histoire Erotique
Très belle histoire qui mérite une suite. Quand viendra-t-elle ?

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Superbe description tellement détaillée qu’on participe on voit le corps de Muriel et l’excitation nous envahi et nous fait bander.Daniel

superbe

Très bien écrit, très belle histoire !



Texte coquin : Murielle la voisine mariée
Histoire sexe : Une rose rouge
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