Murielle ma nouvelle maîtresse plus âgée devient ma chienne

Récit érotique écrit par Passions_secrètes [→ Accès à sa fiche auteur]
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Murielle ma nouvelle maîtresse plus âgée devient ma chienne
Murielle avait été directe. Quelques jours après notre première rencontre, elle m’avait glissé, d’un ton nonchalant mais chargé de sous-entendus :
— Il y a une petite boutique en ville que j’ai envie de visiter. Vous savez, ce genre de boutique… Je pense que ça pourrait être… intéressant. Rendez-vous demain, à 18 heures, si vous êtes curieux.
Je savais exactement de quoi elle parlait. Et elle savait que je ne pourrais pas résister.
Le lendemain, je me rendis à l’adresse indiquée. La façade du sex-shop était discrète, presque anodine, mais l’intérieur révélait un tout autre univers. Une lumière tamisée baignait l’espace, des rayons alignés avec une précision clinique présentaient jouets, accessoires, et lingeries aux promesses explicites.
Murielle était déjà là. Elle se tenait près d’un présentoir de lingerie, examinant une nuisette en dentelle noire avec une nonchalance troublante. Lorsqu’elle me vit, son sourire s’élargit.
— Nicolas, murmura-t-elle, comme si elle m’attendait depuis toujours. Vous êtes ponctuel.
Je m’approchai, mes yeux captant chaque détail de sa tenue : une robe moulante, noire, qui épousait ses courbes, et des talons qui accentuaient la cambrure naturelle de ses hanches.
— Je n’allais pas manquer ça, répondis-je, feignant l’assurance. Alors, qu’est-ce qui vous a amenée ici ?
Elle haussa les épaules, toujours ce sourire joueur sur les lèvres.
— La curiosité. Et vous, Nicolas ? Vous venez souvent ?
— Pas vraiment, admis-je. Mais aujourd’hui, je crois que ça valait le détour.
Elle rit doucement, puis me fit signe de la suivre. Nous parcourûmes les rayons, discutant avec une légèreté apparente, bien que chaque mot, chaque regard, soit chargé de sous-entendus. Elle s’arrêta devant un présentoir d’accessoires, saisissant un masque en satin noir.
— Vous aimez jouer, Nicolas ? demanda-t-elle en tenant le masque devant ses yeux.
Je m’approchai, réduisant la distance entre nous, et murmurai à son oreille :
— Ça dépend du partenaire.
Murielle ne recula pas. Au contraire, elle sembla apprécier ma proximité. Elle remit le masque à sa place, puis se tourna vers un autre rayon, où trônaient divers sextoys. Elle en prit un, un vibromasseur élégant, et le fit tourner entre ses doigts.
— Celui-ci, qu’en pensez-vous ? murmura-t-elle, son regard accroché au mien.
— Ça pourrait être… efficace, répondis-je, mon ton volontairement calme. Mais ça ne remplacera jamais un vrai contact.
Elle sembla frissonner à mes mots, mais elle conserva son sourire. Lentement, elle reposa l’objet, puis fit quelques pas pour rejoindre un petit coin d’essayage dissimulé à l’arrière du magasin. Elle jeta un coup d’œil derrière elle pour s’assurer que je la suivais.
— Venez, Nicolas. Je veux votre avis.
Je la suivis sans hésiter. Elle entra dans l’une des cabines et laissa la porte entrouverte, suffisamment pour que je puisse voir à l’intérieur. Je restai à l’entrée, regardant sans bouger alors qu’elle ôtait sa robe avec une lenteur calculée, révélant une lingerie fine qui laissait peu de place à l’imagination.
— Qu’est-ce que vous en pensez ? demanda-t-elle, se retournant pour me faire face.
Mon regard glissa sur son corps, détaillant chaque courbe, chaque dentelle qui semblait souligner sa peau nue.
— Magnifique, murmurai-je, ma voix rauque.
Elle avança d’un pas, comblant l’espace entre nous. Ses doigts effleurèrent ma chemise, traçant une ligne invisible sur mon torse.
— Vous n’avez pas encore vu le meilleur, Nicolas, murmura-t-elle.
Murielle referma doucement la porte de la cabine, nous enfermant dans ce petit espace qui devenait soudain étouffant de tension. Elle se tenait face à moi, ses joues légèrement rosées, son regard baissé dans une attitude qui contrastait avec la confiance qu’elle avait affichée jusque-là. Cette fragilité inattendue me troubla, éveillant une curiosité encore plus intense.
— Nicolas, murmura-t-elle, presque hésitante. Je… J’aimerais vous montrer quelque chose. Quelque chose de très intime.
Elle leva enfin les yeux vers moi, et dans son regard, je perçus une sincérité désarmante, mêlée d’une pointe d’audace. Ses doigts jouèrent nerveusement avec l’ourlet de sa nuisette, comme si elle cherchait le courage de continuer.
— Vous devez me promettre… de ne pas me juger, ajouta-t-elle dans un souffle.
Je m’approchai doucement, prenant soin de ne pas rompre cette délicate bulle qu’elle venait de créer. Mon ton se fit bas, presque rassurant.
— Je ne vous jugerai pas, Murielle. Montrez-moi.
Elle hocha la tête, une expression mêlant appréhension et excitation traversant son visage. Lentement, elle recula jusqu’au petit banc de la cabine et s’assit, ses jambes légèrement croisées. Ses mains glissèrent sur ses cuisses, remontant délicatement la fine dentelle de sa nuisette jusqu’à dévoiler une peau à la douceur parfaite.
Je restai immobile, captivé par ce spectacle empreint d’une sensualité pure, presque vulnérable. Murielle semblait en pleine lutte intérieure, comme si elle oscillait entre la timidité et un désir brûlant de se livrer complètement.
— L’odeur, Nicolas, reprit-elle doucement. Vous ne pouvez pas comprendre à quel point c’est intime… mais je veux que vous le découvriez. Que vous… sentiez.
Ses mots résonnèrent en moi comme une invitation unique, presque sacrée. Elle écarta légèrement ses jambes, dévoilant une lingerie délicate qui paraissait encore plus fragile dans cette lumière tamisée. Sa main glissa doucement, relevant la dentelle pour m’offrir une vision aussi explicite que désarmante.
Je m’accroupis instinctivement, me retrouvant à sa hauteur. Son parfum subtil me parvint avant même que je ne sois tout près. C’était une odeur naturelle, envoûtante, qui semblait condenser toute la féminité et la sensualité de Murielle en un instant. Je me sentis pris dans un mélange d’excitation brute et de fascination.
— Vous voyez ? murmura-t-elle, sa voix à peine audible. C’est moi, Nicolas. C’est ce que je veux partager avec vous.
Je ne répondis pas immédiatement. Je laissai mes sens s’imprégner de cette découverte, chaque respiration approfondissant cette connexion presque instinctive. Mon regard croisa le sien, et je vis qu’elle scrutait mes réactions, cherchant une approbation silencieuse dans mes gestes.
— Murielle, dis-je enfin, ma voix rauque, presque brisée. C’est magnifique… Vous êtes magnifique.
Elle esquissa un sourire timide, un mélange de soulagement et de fierté. Sa main effleura ma joue, douce et rassurante, comme pour sceller ce moment d’une complicité silencieuse.
— Merci, murmura-t-elle, simplement.
Murielle, les joues encore rosées, attrapa ma main avec une délicatesse presque hésitante, mais je lui adressai un regard décidé, un sourire au coin des lèvres.
— Rhabille-toi, soufflai-je doucement. Nous allons descendre.
Elle fronça légèrement les sourcils, visiblement intriguée.
— Descendre ? Où ça ?
Je me redressai lentement, mon regard captant le sien avec intensité.
— Au sous-sol. Les cabines vidéos. Je veux que tu me montres… jusqu’où tu es prête à aller.
Un mélange d’excitation et d’appréhension traversa son visage. Elle hocha la tête sans un mot, obéissante, presque soumise. Lentement, elle ajusta sa lingerie, puis fit glisser la nuisette sur ses hanches, couvrant à nouveau son corps dans un geste calculé. Ses doigts tremblaient légèrement, mais son regard restait rivé au mien, cherchant peut-être un signe de ma propre détermination.
Lorsque sa tenue fut en place, je lui tendis la main, l’aidant à se relever. Elle se laissa guider sans résistance, sa confiance totale me donnant un étrange sentiment de responsabilité. Nous quittâmes la cabine, laissant derrière nous l’intimité de cet espace confiné, et nous dirigeâmes vers l’escalier discret à l’arrière du magasin.
Le sous-sol était faiblement éclairé, une lumière rouge tamisée baignant les lieux d’une ambiance presque irréelle. Les cabines étaient alignées le long d’un couloir étroit, chaque porte portant un numéro. Les sons feutrés provenant de certaines d’entre elles ajoutaient à l’atmosphère un érotisme palpable.
Murielle me serra légèrement la main, ses yeux balayant les lieux avec une curiosité mêlée de nervosité.
— Tu es sûre de toi ? lui demandai-je doucement.
Elle inspira profondément, retrouvant une certaine assurance.
— Avec vous, Nicolas… oui. Montrez-moi.
Je choisis une cabine au hasard et ouvris la porte, révélant un espace exigu avec une chaise en cuir et un écran qui diffusait en boucle des scènes explicites. Je l’invitai à entrer en premier, refermant la porte derrière nous. L’air semblait encore plus chargé, comme si chaque mouvement, chaque respiration amplifiait la tension entre nous.
— Assieds-toi, lui murmurai-je en désignant la chaise.
Elle obéit sans un mot, ses yeux rivés sur moi. Je restai debout, la dominant légèrement de ma posture. Je me penchai pour ajuster l’écran, mais mon attention ne quittait pas son visage. Chaque micro-expression, chaque frémissement trahissait son excitation.
— Ici, tout est permis, Murielle, soufflai-je en m’approchant. Mais je veux que tu sois celle qui décide.
Elle esquissa un sourire, timide mais audacieux, et posa une main sur ma cuisse, remontant doucement.
— Alors, Nicolas… si tout est permis, je veux que vous restiez près de moi. Je veux… que vous guidiez mes gestes.
Sa voix était un murmure, mais ses mots étaient clairs. Elle me laissait les clés, tout en affirmant son désir de se perdre dans cette exploration.
Alors que l’atmosphère de la cabine devenait de plus en plus électrique, un frisson étrange parcourut mon échine. Ce n’était pas dû à Murielle, qui, assise face à moi, me regardait avec une confiance totale, mais à une présence subtile, presque imperceptible, venant de l’extérieur.
Je tendis l’oreille et captai des bruits à peine audibles : des pas hésitants, des murmures étouffés, des respirations trop lourdes. Mon regard se porta sur un des petits trous dans la paroi, si discrets qu’on pourrait presque les ignorer. Derrière, une ombre bougea imperceptiblement.
Murielle, absorbée par notre moment, ne sembla rien remarquer. Je me penchai légèrement vers elle, murmurant à voix basse :
— Ne bouge pas, soufflai-je. Je crois que nous avons de la compagnie.
Elle fronça les sourcils, surprise, mais obéit. Je me redressai légèrement, scrutant les parois. Une sensation désagréable monta en moi, un mélange de méfiance et d’agacement. Ces individus rôdaient autour de la cabine, leurs mouvements révélant une curiosité malsaine.
Murielle semblait commencer à comprendre. Son visage prit une teinte plus sérieuse, mais elle ne se déroba pas. Au contraire, une étrange lueur passa dans son regard.
— Ils nous regardent, murmura-t-elle, presque fascinée. Ils espionnent…
— Oui, répondis-je en la fixant. Et toi, ça te dérange ?
Un silence lourd s’installa. Ses joues s’empourprèrent, mais elle ne détourna pas les yeux. Au bout de quelques secondes, elle murmura, hésitante mais sincère :
— Pas si… vous êtes là. Avec moi.
Je posai une main ferme sur son genou, la rassurant.
— Très bien. Alors, jouons leur jeu, mais selon nos règles.
Je me levai légèrement, me plaçant de manière à obscurcir certains des trous avec ma silhouette, tout en continuant à captiver Murielle. Je voulais que ces intrus comprennent qu’ils n’avaient aucun contrôle sur la scène, que tout ce qui se déroulait ici était sous mon autorité.
Murielle sembla prendre confiance, ses mouvements devenant plus fluides. Ses doigts jouèrent avec le bas de sa robe, comme pour tester les limites de cette situation étrange. Ses yeux brillaient d’une lueur troublante, oscillant entre défi et abandon.
— Ils veulent voir, murmura-t-elle, plus pour elle-même que pour moi. Alors qu’ils regardent.
Sa voix avait une note provocante, une audace que je ne lui connaissais pas. Je souris, appréciant cette part d’elle qui émergeait dans cette situation inattendue.
— Alors montre-leur ce qu’ils ne pourront jamais avoir, soufflai-je, ma voix grave, presque autoritaire.
Murielle hocha la tête, prête à jouer ce rôle pour moi, pour nous, tout en gardant le contrôle de ce moment unique. Nous étions désormais les maîtres de cette scène clandestine, et ces intrus n’étaient que de simples spectateurs.
Murielle, galvanisée par la tension ambiante et par l’idée d’être observée, sembla soudain se transformer. Ses joues rosées et ses mouvements hésitants laissèrent place à une audace inattendue. Elle me fixa, son regard brûlant de désir et de défi.
Sans détourner les yeux, elle laissa ses doigts glisser lentement sur ses cuisses, remontant la fine robe qui couvrait encore son corps. Chaque geste était calculé, empreint d’une sensualité brute et délibérée. Elle voulait être vue — par moi, d’abord, mais aussi par ceux qui osaient épier à travers les trous.
— Nicolas, murmura-t-elle, sa voix légèrement tremblante mais emplie d’excitation. Est-ce que ça vous plaît… que je me montre ainsi ? Que je pousse le vice… juste pour vous ?
Je ne répondis pas tout de suite, absorbé par le spectacle qu’elle offrait. Elle dégageait une puissance étrange, mêlant abandon et contrôle, et je ne pouvais que l’encourager d’un regard intense.
— Continue, soufflai-je finalement, ma voix rauque. Fais-le pour moi. Fais-le pour nous.
Murielle esquissa un sourire en coin, presque triomphant, et fit glisser la robe au-delà de ses hanches, révélant à nouveau sa lingerie délicate. Elle posa ses mains sur ses cuisses, les écartant doucement, invitant les regards, mais toujours en gardant son attention fixée sur moi. Elle voulait que je sache que tout cela m’était destiné, même si les voyeurs en profitaient.
Ses doigts commencèrent à jouer avec la dentelle fine de son sous-vêtement, effleurant sa peau avec une lenteur calculée. Elle inspira profondément, visiblement stimulée par l’idée de franchir une limite supplémentaire.
— Vous voyez, murmura-t-elle, le souffle court. Ce n’est pas pour eux… C’est pour vous. Parce que je veux que vous sachiez jusqu’où je peux aller pour vous plaire.
Je restai immobile, la dominant du regard, ma présence silencieuse lui offrant un soutien invisible. Les ombres derrière les parois semblaient bouger frénétiquement, trahissant l’impatience des voyeurs. Mais Murielle, elle, ne leur accorda pas une seule attention. Elle ne jouait que pour moi.
Puis, dans un élan de provocation ultime, elle glissa doucement sa main sous la dentelle, ses doigts disparaissant lentement. Son souffle s’accéléra légèrement, et elle mordit sa lèvre, une lueur de défi brillant dans ses yeux.
— Ils regardent, Nicolas, murmura-t-elle, sa voix plus grave, plus rauque. Mais vous seul avez le droit de ressentir… ça.
Elle s’arrêta brusquement, comme pour savourer l’intensité du moment. Sa main se retira, mais elle approcha ses doigts de son visage, laissant planer une odeur légère mais indéniable. Ses yeux plongèrent dans les miens, et elle tendit doucement ses doigts vers moi.
— Sentez, dit-elle simplement, presque un ordre, mais teinté d’une vulnérabilité désarmante.
Je m’approchai, lentement, réduisant l’espace entre nous, mes lèvres à quelques centimètres de ses doigts. Je pris une inspiration profonde, et l’odeur intime et envoûtante de Murielle emplit mes sens. Mon regard s’assombrit, ma voix se fit grave et basse.
— Murielle, tu es… irrésistible.
Elle sourit, satisfaite, et se redressa légèrement, son expression mêlant provocation et triomphe. Les ombres derrière les murs semblaient bouger avec plus d’insistance, mais nous étions seuls dans notre bulle, maîtres de cette tension brûlante qui n’appartenait qu’à nous.
Murielle, encore rouge de sa propre audace, sembla suspendue dans l’instant, ses yeux rivés aux miens. Elle percevait le poids de mon regard, de mes attentes. Je m’approchai lentement, posant une main ferme sur son genou.
— Murielle, soufflai-je, ma voix grave et autoritaire. Tu as éveillé un désir profond chez eux. Et je crois que tu sais ce que je veux maintenant.
Elle écarquilla les yeux, hésitante, mais pas effrayée. Elle comprenait, peut-être déjà avant que je ne parle, ce que j’attendais d’elle. Ce jeu était devenu bien plus qu’une simple provocation. C’était un abandon total, une soumission consciente à mon autorité.
— Tu veux… que je leur permette de… finir ? murmura-t-elle, à peine audible.
Je passai un doigt sous son menton, l’obligeant à me regarder dans les yeux.
— Oui. Mais ce sera sous ma supervision, sous mon contrôle. Chaque geste, chaque regard sera pour moi. Tu comprends ?
Elle déglutit, son souffle se raccourcissant. Après un instant d’hésitation, elle hocha lentement la tête.
— Oui, Nicolas, murmura-t-elle. Si c’est ce que vous voulez… je le ferai.
Je lui adressai un sourire lent, satisfait, puis je me redressai, dominant la cabine exiguë. Avec une assurance calme, j’ouvris légèrement la porte, suffisamment pour que les silhouettes floues dans le couloir sachent qu’elles avaient été découvertes.
— Vous êtes là pour elle, déclarai-je, ma voix portant dans le silence pesant. Mais souvenez-vous : elle est à moi. Vous ne faites que regarder… et obéir.
Un murmure d’excitation monta parmi les voyeurs, des ombres impatientes se rapprochant de la porte entrouverte. Je refermai la porte à moitié, laissant juste assez d’espace pour qu’ils puissent observer. Puis, je me tournai vers Murielle, qui m’attendait, fébrile.
— À genoux, ordonnai-je doucement.
Elle obéit immédiatement, se glissant au sol avec une grâce presque cérémonieuse. Ses mains effleurèrent ses cuisses, puis elle leva les yeux vers moi, ses lèvres entrouvertes dans une soumission assumée.
— Maintenant, montre-leur ce que signifie vraiment leur place ici. Ils sont des spectateurs… rien de plus.
Murielle inclina la tête, ses gestes devenant lents et calculés. Elle glissa ses mains sur son corps, jouant avec sa robe et sa lingerie, sa respiration s’accélérant au fur et à mesure que les regards avides derrière les murs se concentraient sur elle. Elle ouvrit légèrement les jambes, offrant un spectacle d’une audace absolue.
Les voyeurs, rendus fous par ce qu’ils voyaient, commencèrent à bouger frénétiquement. Les murmures se firent plus lourds, plus pressants. L’atmosphère était électrique, tendue, presque irréelle.
— Quand ils auront terminé, soufflai-je en posant une main sur son épaule, tu viendras te réfugier contre moi. Et tu sauras que malgré tout… tu n’as agi que pour moi.
Murielle hocha la tête, soumise mais étrangement triomphante. Elle s’abandonna entièrement à ce moment, jouant son rôle avec une audace et une grâce qui me laissèrent sans voix. Tout autour de nous, le désir des autres montait, brut et incontrôlable, mais à l’intérieur de cette cabine, le pouvoir restait le nôtre.
Murielle, rouge d’excitation et de soumission, attendait, immobile mais frémissante, sous mon regard sévère et dominant. Elle savait qu’elle agissait selon ma volonté, qu’elle jouait ce rôle pour me satisfaire autant qu’elle-même. Les voyeurs, galvanisés par l’autorisation implicite, n’hésitèrent plus.
À travers les petits trous, des mains apparurent, maladroites, puis des corps qui se pressaient contre les parois, les hommes cherchant à capter chaque détail de cette scène. Ils respiraient fort, leurs souffles rauques emplissant la cabine exiguë d’une tension presque palpable. Murielle, le souffle court, lança un dernier regard vers moi. Je hochai la tête, un geste qui scellait l’accord.
— Tu es prête, dis-je d’un ton grave. Maintenant, montre-leur pourquoi ils te désirent autant.
Avec une lenteur calculée, elle se laissa glisser au sol, s’agenouillant dans une posture qui respirait la soumission assumée. Sa robe glissa de ses épaules, révélant la lingerie fine qui ornait encore son corps. Elle leva les yeux vers les petits trous, invitante et provocante, ses lèvres tremblantes d’anticipation.
Un premier homme, visiblement emporté par la scène, se pressa contre le mur, ses mouvements brusques et désordonnés trahissant son excitation incontrôlée. À travers l’ouverture, il libéra sa virilité, se caressant frénétiquement tout en fixant Murielle comme s’il ne voyait plus qu’elle. Elle, docile et offerte, tendit ses mains délicates sous l’ouverture, offrant sa peau comme une promesse muette.
— Tu fais bien, murmurai-je en la fixant. Continue. Montre-leur jusqu’où tu peux aller sous ma protection.
Elle acquiesça d’un hochement de tête, les joues en feu, avant de lever ses mains, prêtes à recevoir le fruit de leur désir. Le premier homme se cambra brusquement, un râle rauque s’échappant de sa gorge. Une première éclaboussure chaude et épaisse vint souiller la peau délicate de Murielle. Elle ne bougea pas, gardant son calme, ses yeux tournés vers moi comme pour chercher mon approbation. Je lui souris légèrement, satisfait.
Un second homme prit aussitôt le relais, suivi d’un troisième. À chaque nouvelle vague, Murielle acceptait tout, ses mains et sa poitrine se couvrant lentement de leurs marques de désir. Sa respiration s’accélérait, mélange d’excitation et de soumission totale, tandis que les hommes se vidaient sur elle sous mes yeux, obéissant à l’autorité silencieuse que j’exerçais sur la scène.
Lorsqu’enfin le dernier râle se tut, la cabine retomba dans un silence lourd. Murielle, à genoux, couverte de traces blanches et luisantes, releva lentement les yeux vers moi. Son regard était empreint de satisfaction, d’un mélange de honte et de fierté que seule une telle expérience pouvait provoquer. Je m’approchai d’elle, tendant une main pour l’aider à se relever.
— Tu as été parfaite, soufflai-je en l’attirant contre moi. Tout ce que j’attendais de toi… et bien plus encore.
Elle se blottit contre moi, fragile et docile, mais un sourire timide se dessina sur ses lèvres.
— C’est vous, Nicolas, murmura-t-elle, le souffle encore haletant. Vous m’avez donné la force de faire ça. Je suis à vous… entièrement.
Je la serrai contre moi, marquant ainsi la fin de ce moment unique. Les voyeurs s’étaient tus, probablement repus et dépassés par la puissance de ce qu’ils venaient de vivre. Mais entre Murielle et moi, un lien indéfectible s’était noué, un lien qui allait bien au-delà de cette scène sulfureuse.
— Il y a une petite boutique en ville que j’ai envie de visiter. Vous savez, ce genre de boutique… Je pense que ça pourrait être… intéressant. Rendez-vous demain, à 18 heures, si vous êtes curieux.
Je savais exactement de quoi elle parlait. Et elle savait que je ne pourrais pas résister.
Le lendemain, je me rendis à l’adresse indiquée. La façade du sex-shop était discrète, presque anodine, mais l’intérieur révélait un tout autre univers. Une lumière tamisée baignait l’espace, des rayons alignés avec une précision clinique présentaient jouets, accessoires, et lingeries aux promesses explicites.
Murielle était déjà là. Elle se tenait près d’un présentoir de lingerie, examinant une nuisette en dentelle noire avec une nonchalance troublante. Lorsqu’elle me vit, son sourire s’élargit.
— Nicolas, murmura-t-elle, comme si elle m’attendait depuis toujours. Vous êtes ponctuel.
Je m’approchai, mes yeux captant chaque détail de sa tenue : une robe moulante, noire, qui épousait ses courbes, et des talons qui accentuaient la cambrure naturelle de ses hanches.
— Je n’allais pas manquer ça, répondis-je, feignant l’assurance. Alors, qu’est-ce qui vous a amenée ici ?
Elle haussa les épaules, toujours ce sourire joueur sur les lèvres.
— La curiosité. Et vous, Nicolas ? Vous venez souvent ?
— Pas vraiment, admis-je. Mais aujourd’hui, je crois que ça valait le détour.
Elle rit doucement, puis me fit signe de la suivre. Nous parcourûmes les rayons, discutant avec une légèreté apparente, bien que chaque mot, chaque regard, soit chargé de sous-entendus. Elle s’arrêta devant un présentoir d’accessoires, saisissant un masque en satin noir.
— Vous aimez jouer, Nicolas ? demanda-t-elle en tenant le masque devant ses yeux.
Je m’approchai, réduisant la distance entre nous, et murmurai à son oreille :
— Ça dépend du partenaire.
Murielle ne recula pas. Au contraire, elle sembla apprécier ma proximité. Elle remit le masque à sa place, puis se tourna vers un autre rayon, où trônaient divers sextoys. Elle en prit un, un vibromasseur élégant, et le fit tourner entre ses doigts.
— Celui-ci, qu’en pensez-vous ? murmura-t-elle, son regard accroché au mien.
— Ça pourrait être… efficace, répondis-je, mon ton volontairement calme. Mais ça ne remplacera jamais un vrai contact.
Elle sembla frissonner à mes mots, mais elle conserva son sourire. Lentement, elle reposa l’objet, puis fit quelques pas pour rejoindre un petit coin d’essayage dissimulé à l’arrière du magasin. Elle jeta un coup d’œil derrière elle pour s’assurer que je la suivais.
— Venez, Nicolas. Je veux votre avis.
Je la suivis sans hésiter. Elle entra dans l’une des cabines et laissa la porte entrouverte, suffisamment pour que je puisse voir à l’intérieur. Je restai à l’entrée, regardant sans bouger alors qu’elle ôtait sa robe avec une lenteur calculée, révélant une lingerie fine qui laissait peu de place à l’imagination.
— Qu’est-ce que vous en pensez ? demanda-t-elle, se retournant pour me faire face.
Mon regard glissa sur son corps, détaillant chaque courbe, chaque dentelle qui semblait souligner sa peau nue.
— Magnifique, murmurai-je, ma voix rauque.
Elle avança d’un pas, comblant l’espace entre nous. Ses doigts effleurèrent ma chemise, traçant une ligne invisible sur mon torse.
— Vous n’avez pas encore vu le meilleur, Nicolas, murmura-t-elle.
Murielle referma doucement la porte de la cabine, nous enfermant dans ce petit espace qui devenait soudain étouffant de tension. Elle se tenait face à moi, ses joues légèrement rosées, son regard baissé dans une attitude qui contrastait avec la confiance qu’elle avait affichée jusque-là. Cette fragilité inattendue me troubla, éveillant une curiosité encore plus intense.
— Nicolas, murmura-t-elle, presque hésitante. Je… J’aimerais vous montrer quelque chose. Quelque chose de très intime.
Elle leva enfin les yeux vers moi, et dans son regard, je perçus une sincérité désarmante, mêlée d’une pointe d’audace. Ses doigts jouèrent nerveusement avec l’ourlet de sa nuisette, comme si elle cherchait le courage de continuer.
— Vous devez me promettre… de ne pas me juger, ajouta-t-elle dans un souffle.
Je m’approchai doucement, prenant soin de ne pas rompre cette délicate bulle qu’elle venait de créer. Mon ton se fit bas, presque rassurant.
— Je ne vous jugerai pas, Murielle. Montrez-moi.
Elle hocha la tête, une expression mêlant appréhension et excitation traversant son visage. Lentement, elle recula jusqu’au petit banc de la cabine et s’assit, ses jambes légèrement croisées. Ses mains glissèrent sur ses cuisses, remontant délicatement la fine dentelle de sa nuisette jusqu’à dévoiler une peau à la douceur parfaite.
Je restai immobile, captivé par ce spectacle empreint d’une sensualité pure, presque vulnérable. Murielle semblait en pleine lutte intérieure, comme si elle oscillait entre la timidité et un désir brûlant de se livrer complètement.
— L’odeur, Nicolas, reprit-elle doucement. Vous ne pouvez pas comprendre à quel point c’est intime… mais je veux que vous le découvriez. Que vous… sentiez.
Ses mots résonnèrent en moi comme une invitation unique, presque sacrée. Elle écarta légèrement ses jambes, dévoilant une lingerie délicate qui paraissait encore plus fragile dans cette lumière tamisée. Sa main glissa doucement, relevant la dentelle pour m’offrir une vision aussi explicite que désarmante.
Je m’accroupis instinctivement, me retrouvant à sa hauteur. Son parfum subtil me parvint avant même que je ne sois tout près. C’était une odeur naturelle, envoûtante, qui semblait condenser toute la féminité et la sensualité de Murielle en un instant. Je me sentis pris dans un mélange d’excitation brute et de fascination.
— Vous voyez ? murmura-t-elle, sa voix à peine audible. C’est moi, Nicolas. C’est ce que je veux partager avec vous.
Je ne répondis pas immédiatement. Je laissai mes sens s’imprégner de cette découverte, chaque respiration approfondissant cette connexion presque instinctive. Mon regard croisa le sien, et je vis qu’elle scrutait mes réactions, cherchant une approbation silencieuse dans mes gestes.
— Murielle, dis-je enfin, ma voix rauque, presque brisée. C’est magnifique… Vous êtes magnifique.
Elle esquissa un sourire timide, un mélange de soulagement et de fierté. Sa main effleura ma joue, douce et rassurante, comme pour sceller ce moment d’une complicité silencieuse.
— Merci, murmura-t-elle, simplement.
Murielle, les joues encore rosées, attrapa ma main avec une délicatesse presque hésitante, mais je lui adressai un regard décidé, un sourire au coin des lèvres.
— Rhabille-toi, soufflai-je doucement. Nous allons descendre.
Elle fronça légèrement les sourcils, visiblement intriguée.
— Descendre ? Où ça ?
Je me redressai lentement, mon regard captant le sien avec intensité.
— Au sous-sol. Les cabines vidéos. Je veux que tu me montres… jusqu’où tu es prête à aller.
Un mélange d’excitation et d’appréhension traversa son visage. Elle hocha la tête sans un mot, obéissante, presque soumise. Lentement, elle ajusta sa lingerie, puis fit glisser la nuisette sur ses hanches, couvrant à nouveau son corps dans un geste calculé. Ses doigts tremblaient légèrement, mais son regard restait rivé au mien, cherchant peut-être un signe de ma propre détermination.
Lorsque sa tenue fut en place, je lui tendis la main, l’aidant à se relever. Elle se laissa guider sans résistance, sa confiance totale me donnant un étrange sentiment de responsabilité. Nous quittâmes la cabine, laissant derrière nous l’intimité de cet espace confiné, et nous dirigeâmes vers l’escalier discret à l’arrière du magasin.
Le sous-sol était faiblement éclairé, une lumière rouge tamisée baignant les lieux d’une ambiance presque irréelle. Les cabines étaient alignées le long d’un couloir étroit, chaque porte portant un numéro. Les sons feutrés provenant de certaines d’entre elles ajoutaient à l’atmosphère un érotisme palpable.
Murielle me serra légèrement la main, ses yeux balayant les lieux avec une curiosité mêlée de nervosité.
— Tu es sûre de toi ? lui demandai-je doucement.
Elle inspira profondément, retrouvant une certaine assurance.
— Avec vous, Nicolas… oui. Montrez-moi.
Je choisis une cabine au hasard et ouvris la porte, révélant un espace exigu avec une chaise en cuir et un écran qui diffusait en boucle des scènes explicites. Je l’invitai à entrer en premier, refermant la porte derrière nous. L’air semblait encore plus chargé, comme si chaque mouvement, chaque respiration amplifiait la tension entre nous.
— Assieds-toi, lui murmurai-je en désignant la chaise.
Elle obéit sans un mot, ses yeux rivés sur moi. Je restai debout, la dominant légèrement de ma posture. Je me penchai pour ajuster l’écran, mais mon attention ne quittait pas son visage. Chaque micro-expression, chaque frémissement trahissait son excitation.
— Ici, tout est permis, Murielle, soufflai-je en m’approchant. Mais je veux que tu sois celle qui décide.
Elle esquissa un sourire, timide mais audacieux, et posa une main sur ma cuisse, remontant doucement.
— Alors, Nicolas… si tout est permis, je veux que vous restiez près de moi. Je veux… que vous guidiez mes gestes.
Sa voix était un murmure, mais ses mots étaient clairs. Elle me laissait les clés, tout en affirmant son désir de se perdre dans cette exploration.
Alors que l’atmosphère de la cabine devenait de plus en plus électrique, un frisson étrange parcourut mon échine. Ce n’était pas dû à Murielle, qui, assise face à moi, me regardait avec une confiance totale, mais à une présence subtile, presque imperceptible, venant de l’extérieur.
Je tendis l’oreille et captai des bruits à peine audibles : des pas hésitants, des murmures étouffés, des respirations trop lourdes. Mon regard se porta sur un des petits trous dans la paroi, si discrets qu’on pourrait presque les ignorer. Derrière, une ombre bougea imperceptiblement.
Murielle, absorbée par notre moment, ne sembla rien remarquer. Je me penchai légèrement vers elle, murmurant à voix basse :
— Ne bouge pas, soufflai-je. Je crois que nous avons de la compagnie.
Elle fronça les sourcils, surprise, mais obéit. Je me redressai légèrement, scrutant les parois. Une sensation désagréable monta en moi, un mélange de méfiance et d’agacement. Ces individus rôdaient autour de la cabine, leurs mouvements révélant une curiosité malsaine.
Murielle semblait commencer à comprendre. Son visage prit une teinte plus sérieuse, mais elle ne se déroba pas. Au contraire, une étrange lueur passa dans son regard.
— Ils nous regardent, murmura-t-elle, presque fascinée. Ils espionnent…
— Oui, répondis-je en la fixant. Et toi, ça te dérange ?
Un silence lourd s’installa. Ses joues s’empourprèrent, mais elle ne détourna pas les yeux. Au bout de quelques secondes, elle murmura, hésitante mais sincère :
— Pas si… vous êtes là. Avec moi.
Je posai une main ferme sur son genou, la rassurant.
— Très bien. Alors, jouons leur jeu, mais selon nos règles.
Je me levai légèrement, me plaçant de manière à obscurcir certains des trous avec ma silhouette, tout en continuant à captiver Murielle. Je voulais que ces intrus comprennent qu’ils n’avaient aucun contrôle sur la scène, que tout ce qui se déroulait ici était sous mon autorité.
Murielle sembla prendre confiance, ses mouvements devenant plus fluides. Ses doigts jouèrent avec le bas de sa robe, comme pour tester les limites de cette situation étrange. Ses yeux brillaient d’une lueur troublante, oscillant entre défi et abandon.
— Ils veulent voir, murmura-t-elle, plus pour elle-même que pour moi. Alors qu’ils regardent.
Sa voix avait une note provocante, une audace que je ne lui connaissais pas. Je souris, appréciant cette part d’elle qui émergeait dans cette situation inattendue.
— Alors montre-leur ce qu’ils ne pourront jamais avoir, soufflai-je, ma voix grave, presque autoritaire.
Murielle hocha la tête, prête à jouer ce rôle pour moi, pour nous, tout en gardant le contrôle de ce moment unique. Nous étions désormais les maîtres de cette scène clandestine, et ces intrus n’étaient que de simples spectateurs.
Murielle, galvanisée par la tension ambiante et par l’idée d’être observée, sembla soudain se transformer. Ses joues rosées et ses mouvements hésitants laissèrent place à une audace inattendue. Elle me fixa, son regard brûlant de désir et de défi.
Sans détourner les yeux, elle laissa ses doigts glisser lentement sur ses cuisses, remontant la fine robe qui couvrait encore son corps. Chaque geste était calculé, empreint d’une sensualité brute et délibérée. Elle voulait être vue — par moi, d’abord, mais aussi par ceux qui osaient épier à travers les trous.
— Nicolas, murmura-t-elle, sa voix légèrement tremblante mais emplie d’excitation. Est-ce que ça vous plaît… que je me montre ainsi ? Que je pousse le vice… juste pour vous ?
Je ne répondis pas tout de suite, absorbé par le spectacle qu’elle offrait. Elle dégageait une puissance étrange, mêlant abandon et contrôle, et je ne pouvais que l’encourager d’un regard intense.
— Continue, soufflai-je finalement, ma voix rauque. Fais-le pour moi. Fais-le pour nous.
Murielle esquissa un sourire en coin, presque triomphant, et fit glisser la robe au-delà de ses hanches, révélant à nouveau sa lingerie délicate. Elle posa ses mains sur ses cuisses, les écartant doucement, invitant les regards, mais toujours en gardant son attention fixée sur moi. Elle voulait que je sache que tout cela m’était destiné, même si les voyeurs en profitaient.
Ses doigts commencèrent à jouer avec la dentelle fine de son sous-vêtement, effleurant sa peau avec une lenteur calculée. Elle inspira profondément, visiblement stimulée par l’idée de franchir une limite supplémentaire.
— Vous voyez, murmura-t-elle, le souffle court. Ce n’est pas pour eux… C’est pour vous. Parce que je veux que vous sachiez jusqu’où je peux aller pour vous plaire.
Je restai immobile, la dominant du regard, ma présence silencieuse lui offrant un soutien invisible. Les ombres derrière les parois semblaient bouger frénétiquement, trahissant l’impatience des voyeurs. Mais Murielle, elle, ne leur accorda pas une seule attention. Elle ne jouait que pour moi.
Puis, dans un élan de provocation ultime, elle glissa doucement sa main sous la dentelle, ses doigts disparaissant lentement. Son souffle s’accéléra légèrement, et elle mordit sa lèvre, une lueur de défi brillant dans ses yeux.
— Ils regardent, Nicolas, murmura-t-elle, sa voix plus grave, plus rauque. Mais vous seul avez le droit de ressentir… ça.
Elle s’arrêta brusquement, comme pour savourer l’intensité du moment. Sa main se retira, mais elle approcha ses doigts de son visage, laissant planer une odeur légère mais indéniable. Ses yeux plongèrent dans les miens, et elle tendit doucement ses doigts vers moi.
— Sentez, dit-elle simplement, presque un ordre, mais teinté d’une vulnérabilité désarmante.
Je m’approchai, lentement, réduisant l’espace entre nous, mes lèvres à quelques centimètres de ses doigts. Je pris une inspiration profonde, et l’odeur intime et envoûtante de Murielle emplit mes sens. Mon regard s’assombrit, ma voix se fit grave et basse.
— Murielle, tu es… irrésistible.
Elle sourit, satisfaite, et se redressa légèrement, son expression mêlant provocation et triomphe. Les ombres derrière les murs semblaient bouger avec plus d’insistance, mais nous étions seuls dans notre bulle, maîtres de cette tension brûlante qui n’appartenait qu’à nous.
Murielle, encore rouge de sa propre audace, sembla suspendue dans l’instant, ses yeux rivés aux miens. Elle percevait le poids de mon regard, de mes attentes. Je m’approchai lentement, posant une main ferme sur son genou.
— Murielle, soufflai-je, ma voix grave et autoritaire. Tu as éveillé un désir profond chez eux. Et je crois que tu sais ce que je veux maintenant.
Elle écarquilla les yeux, hésitante, mais pas effrayée. Elle comprenait, peut-être déjà avant que je ne parle, ce que j’attendais d’elle. Ce jeu était devenu bien plus qu’une simple provocation. C’était un abandon total, une soumission consciente à mon autorité.
— Tu veux… que je leur permette de… finir ? murmura-t-elle, à peine audible.
Je passai un doigt sous son menton, l’obligeant à me regarder dans les yeux.
— Oui. Mais ce sera sous ma supervision, sous mon contrôle. Chaque geste, chaque regard sera pour moi. Tu comprends ?
Elle déglutit, son souffle se raccourcissant. Après un instant d’hésitation, elle hocha lentement la tête.
— Oui, Nicolas, murmura-t-elle. Si c’est ce que vous voulez… je le ferai.
Je lui adressai un sourire lent, satisfait, puis je me redressai, dominant la cabine exiguë. Avec une assurance calme, j’ouvris légèrement la porte, suffisamment pour que les silhouettes floues dans le couloir sachent qu’elles avaient été découvertes.
— Vous êtes là pour elle, déclarai-je, ma voix portant dans le silence pesant. Mais souvenez-vous : elle est à moi. Vous ne faites que regarder… et obéir.
Un murmure d’excitation monta parmi les voyeurs, des ombres impatientes se rapprochant de la porte entrouverte. Je refermai la porte à moitié, laissant juste assez d’espace pour qu’ils puissent observer. Puis, je me tournai vers Murielle, qui m’attendait, fébrile.
— À genoux, ordonnai-je doucement.
Elle obéit immédiatement, se glissant au sol avec une grâce presque cérémonieuse. Ses mains effleurèrent ses cuisses, puis elle leva les yeux vers moi, ses lèvres entrouvertes dans une soumission assumée.
— Maintenant, montre-leur ce que signifie vraiment leur place ici. Ils sont des spectateurs… rien de plus.
Murielle inclina la tête, ses gestes devenant lents et calculés. Elle glissa ses mains sur son corps, jouant avec sa robe et sa lingerie, sa respiration s’accélérant au fur et à mesure que les regards avides derrière les murs se concentraient sur elle. Elle ouvrit légèrement les jambes, offrant un spectacle d’une audace absolue.
Les voyeurs, rendus fous par ce qu’ils voyaient, commencèrent à bouger frénétiquement. Les murmures se firent plus lourds, plus pressants. L’atmosphère était électrique, tendue, presque irréelle.
— Quand ils auront terminé, soufflai-je en posant une main sur son épaule, tu viendras te réfugier contre moi. Et tu sauras que malgré tout… tu n’as agi que pour moi.
Murielle hocha la tête, soumise mais étrangement triomphante. Elle s’abandonna entièrement à ce moment, jouant son rôle avec une audace et une grâce qui me laissèrent sans voix. Tout autour de nous, le désir des autres montait, brut et incontrôlable, mais à l’intérieur de cette cabine, le pouvoir restait le nôtre.
Murielle, rouge d’excitation et de soumission, attendait, immobile mais frémissante, sous mon regard sévère et dominant. Elle savait qu’elle agissait selon ma volonté, qu’elle jouait ce rôle pour me satisfaire autant qu’elle-même. Les voyeurs, galvanisés par l’autorisation implicite, n’hésitèrent plus.
À travers les petits trous, des mains apparurent, maladroites, puis des corps qui se pressaient contre les parois, les hommes cherchant à capter chaque détail de cette scène. Ils respiraient fort, leurs souffles rauques emplissant la cabine exiguë d’une tension presque palpable. Murielle, le souffle court, lança un dernier regard vers moi. Je hochai la tête, un geste qui scellait l’accord.
— Tu es prête, dis-je d’un ton grave. Maintenant, montre-leur pourquoi ils te désirent autant.
Avec une lenteur calculée, elle se laissa glisser au sol, s’agenouillant dans une posture qui respirait la soumission assumée. Sa robe glissa de ses épaules, révélant la lingerie fine qui ornait encore son corps. Elle leva les yeux vers les petits trous, invitante et provocante, ses lèvres tremblantes d’anticipation.
Un premier homme, visiblement emporté par la scène, se pressa contre le mur, ses mouvements brusques et désordonnés trahissant son excitation incontrôlée. À travers l’ouverture, il libéra sa virilité, se caressant frénétiquement tout en fixant Murielle comme s’il ne voyait plus qu’elle. Elle, docile et offerte, tendit ses mains délicates sous l’ouverture, offrant sa peau comme une promesse muette.
— Tu fais bien, murmurai-je en la fixant. Continue. Montre-leur jusqu’où tu peux aller sous ma protection.
Elle acquiesça d’un hochement de tête, les joues en feu, avant de lever ses mains, prêtes à recevoir le fruit de leur désir. Le premier homme se cambra brusquement, un râle rauque s’échappant de sa gorge. Une première éclaboussure chaude et épaisse vint souiller la peau délicate de Murielle. Elle ne bougea pas, gardant son calme, ses yeux tournés vers moi comme pour chercher mon approbation. Je lui souris légèrement, satisfait.
Un second homme prit aussitôt le relais, suivi d’un troisième. À chaque nouvelle vague, Murielle acceptait tout, ses mains et sa poitrine se couvrant lentement de leurs marques de désir. Sa respiration s’accélérait, mélange d’excitation et de soumission totale, tandis que les hommes se vidaient sur elle sous mes yeux, obéissant à l’autorité silencieuse que j’exerçais sur la scène.
Lorsqu’enfin le dernier râle se tut, la cabine retomba dans un silence lourd. Murielle, à genoux, couverte de traces blanches et luisantes, releva lentement les yeux vers moi. Son regard était empreint de satisfaction, d’un mélange de honte et de fierté que seule une telle expérience pouvait provoquer. Je m’approchai d’elle, tendant une main pour l’aider à se relever.
— Tu as été parfaite, soufflai-je en l’attirant contre moi. Tout ce que j’attendais de toi… et bien plus encore.
Elle se blottit contre moi, fragile et docile, mais un sourire timide se dessina sur ses lèvres.
— C’est vous, Nicolas, murmura-t-elle, le souffle encore haletant. Vous m’avez donné la force de faire ça. Je suis à vous… entièrement.
Je la serrai contre moi, marquant ainsi la fin de ce moment unique. Les voyeurs s’étaient tus, probablement repus et dépassés par la puissance de ce qu’ils venaient de vivre. Mais entre Murielle et moi, un lien indéfectible s’était noué, un lien qui allait bien au-delà de cette scène sulfureuse.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Domination et adultère sont ici étroitement liés. jusqu'où ira Nicolas?
Erotiquement sublime que vus écrivez bien. Poursuivez.
Un texte d une grande finesse, une leçon d écriture
Très beau texte toujours intéressant et bien écrit on participe et on attend une suite Daniel

