Murs murs (3)

- Par l'auteur HDS Ducasse -
Récit érotique écrit par Ducasse [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Murs murs (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Murs murs (3)
Je retourne au salon me rhabiller, passe à la salle de bains pour y prendre mes bas que je fourre dans ma poche encore mouillés, ruminant intérieurement le fait que je ne suis pas un objet qu'on se prête, que je suis marié, qu'on me rende la clef usb contenant les images et que de toutes manières je ne céderai pas au chantage.
Je retrouve les 2 hommes discutant dans l'entrée, ma bouche s'ouvre et se referme aussi sec dès que celle de Joan s'ouvre pour moi.

- Suis moi !

Je le suis. La porte palière se referme dernière nous. Charles ne sera plus désormais qu'un souvenir.

- J'habite dans l'immeuble en face, me dit Joan, mais avant on va discuter un peu au café du bout de la rue "Le Bon Coin".

Pas grand monde au "Bon Coin", 3,4 personnes accoudées au bar, au fond d'une salle vide, nous nous installons dans un box, l'un en face de l'autre sur la moleskine rouge des banquettes, Joan me dévisage, hèle le serveur et commande d'autorité 2 cafés.

- Bon voilà, ce que je te propose, je te rends la clef usb contenant ton petit spectacle, tu en faits ce que tu veux, tu la prends et tu parts avec, note que tu peux aussi me la laisser et nous passons à des choses plus sérieuses, dit-il en la posant au centre de la table.

Je le regarde. Un regard dure et froid derrière ses lunettes, pas un sourire, pas une expression. Je déglutis difficilement, pose la main sur la clef usb, comme si je voulais la prendre mais je la fait glisser vers lui. J'abdique. Baisse les yeux sur la tasse à café que l'on vient de nous apporter et touille le café, sans y avoir mis le sucre.
Je ne sais pas si j'ai fait le bon choix, mais j'ai fait un choix.

Très bien, me dit Joan en mettant sa grosse main sur la mienne, nous allons vérifier tout de suite. Descends aux toilettes pour homme, prend la dernière cabine et mets-toi nu, pas la peine de fermer le verrou.

J'abandonne ma petite cuillère, le sucre, le café en l'état, et à regret, part rejoindre ma destinée en bas des marches de l'escalier descendant aux toilettes.
Homme, Femme. J'ouvre la porte "Homme", un lavabo, un urinoir, deux portes, je prends la plus éloignée, non sans m'être assuré que la première est bien libre avec sa porte ouverte, on ne sait jamais.

Je pousse la porte. Des toilettes à la turc, j'ôte mon blouson, ma chemise, mon pantalon et les pends à une patère sur le mur.
L'estomac noué, la tête vide, je suis nu, en chaussures délacés posées sur les repose-pieds de porcelaine, les jambes légèrement écartées. Pas besoin de vous dire que popaul n'en mène ni large ni long. La minuterie s'éteint, je la rallume et me vois blafarde dans le miroir fixé au dos de la porte.
J'entends des pas qui descendent l'escalier, la porte s'ouvre et laisse apparaitre le serveur. Surprise. Je tente de m'expliquer, j'ai oublié de fermer le verrou, je lui laisse la place dans 3 minutes, le temps de me rhabiller.

- Tourne-toi, regarde le carrelage du mur et branle-toi, j'attends, me dit-il en refermant la porte derrière lui.

Le regard abasourdi, machinalement, je me retourne et entame un va-et-vient sur mon pénis flasque. Ça a du mal à venir vu les circonstances, je redouble d'effort mais c'est insuffisant pour obtenir le résultat souhaité et dépité j'en fais part à mon interlocuteur.
Sans rien me répondre, ce dernier parcours d'un doigt profond le sillon de mes fesses, puis passant sa main entre mes jambes, me saisit les boules.
Ma réaction est immédiate, et je ne redresse pas que la tête. Ma main s'affaire plus vigoureusement, les gestes se font plus violent, je laisse échapper un gémisssement et puis tout part. L'anxiété disparait. Je décore le carrelage d'une faible trainée blanche.

- Et bien voilà ce n'était pas si difficile, te voilà tiré d'affaire. Je te laisse te rhabiller et rejoindre Joan.


Les jambes encore flageolantes, je remonte les marches. Joan est entrain de régler les cafés à la caisse. Je l'y rejoins.
Dehors, il me demande si j'ai apprécié, mais n'a pas l'air de s'interréssé à ma réponse.

- Bon je t'emmène chez moi, pour le pousse-café.

Effectivement il habite l'immeuble en face de celui de Charles, huitième et dernier étage. Une seul porte palière, l'appartement doit être grand.

- Tout ceci a du te questionner et je te dois quelques réponses mais avant tout une petite récompense s'impose me dit Joan.

Il faut bien qu'un soumis trouve aussi du plaisir et Joan enlève le bas. Chaussures, chaussettes, pantalon et slip atterrisent par terre. J'ai déjà vu des grands sexes et je peux vous affirmer que celui-ci est tout à fait moyen, petit serait un tantinet péjoratif, par contre ce qu'il n'est pas petit c'est sa paire de couilles. Jamais vu ça ! Pas mes pauvres valseuses à deux balles, non là c'est énorme, on se sent remplit d'humilité en les voyant. La naissance du monde, 2 oranges à jus qui j'espère ne demande qu'à être pressées.

- Maintenant fous-toi à poil et viens me sucer, m'ordona t-il en s'affalant sur le canapé de cuir noir situé en face d'un miroir.

En deux temps et trois mouvements je me retrouve à quatre pattes entre ses jambes grandes ouvertes.
Je hape la tige vigoureuse de Joan qui trésaute déjà dans ma bouche. Par pitié qu'il se retienne que j'en profite encore plus longuement.
Ouf, elle se calme me laissant le temps de faire jouer ma langue, d'abord sur ses bourses que je flatte, que j'essaye de gober mais j'y renonce bien vite, trop grosses. Dommage que ma position m'interdise l'usage de mes mains, car j'ai bien envie de tenir dans mes paumes ces fruits défendus.
Tel le serpent d'Eve, j'enlace son membre avec ma langue, recallotant son prépuce pour mieux le décalloter, aspirant sans respirer le champignon magique. Laissant le trop-plein de salive s'échapper du coin de mes lèvres, mais est-ce juste de la salive ?
Joan me saisit par les oreilles et force ma bouche au plus profond, l'envie de rendre me prend, je cherche mon souffle dans ses poils, je ne suis plus qu'un récipient quand dans un râle de jouissance il se déverse en moi. Des litres et des litres, pourrais-je dire en exagérant un peu, mais pas tant quand même. Tellement en tous cas que ça déborde de partout. Sur le canapé, sur la moquette, tout n'est plus que foutre, délice et orgue.
Je reprend mon souffle, avale ce qu'il me reste en bouche et entreprend un nettoyage sérieux du génitoire de Joan, ainsi que de son environnement proche.

- "Parfait, c'était très bien, mon petit Antoine", me dit-il, "maintenant que le meilleur est passé, passons au moins bon.
Je vais m'absenter une semaine, oui, tu as une semaine de tranquilité pour te préparer. Il va falloir que tu en fasses le maximum, tout d'abord les trucs normaux de soumis, je pense que tu pratiques déjà, sous-vêtements féminins, pas de regard directs, tu évacues assis, tu te rases soigneusement les poils, enfin bref je te laisse décider pour moi de la façon d'envisager ta soumission et aussi ta feminisation.
Par contre, tu as obligation absolu de me pas jouir et ni même de bander et surtout de ne pas élargir ton anus. Tu comprendras plus tard, mais saches que c'est pour son étroitesse que je t'ai choisi.
N'imagines pas un seul instant que je te préfère à de jeunes éphèbes, beaux et largement pourvus par la nature. Ce n'est pas l'envie d'une aventure avec un vieux à la nouille molle, ni pour la puissance d'avoir un larbin à disposition. Non, c'est pour ton étroitesse que tu es l'élu.
Figures-toi que j'organise des "combats" de soumis et n'ai pas encore de champion Sénior dans mon écurie. Ceci dit "combat" est un bien grand mot, car il n'y a pas de coups, je dirai plutôt "compétition de lutte" et l'étroitesse est une qualité primordiale pour gagner, je compte sur toi la semaine prochaine, on commencera ton entrainement ".

(A suivre ou pas ?)

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