NA Lelslie TR 26
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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NA Lelslie TR 26
Leslie à Paris – P26 – Collocation, Sophie.
Devant faire un stage de trois mois à Toulouse, je fus obligée de chercher un appartement et compte tenu de la courte période du stage seul la collocation me paraissait possible.
Alors je me mis en recherche dès mon premier jour à Toulouse, la chance voulant sourire je tombais sur une annonce d’une jeune femme cherchant une collocatrice.
Dans son annonce elle cherchait une collocatrice, dans un appartement meublé, pour une période indéterminée, alors j’ai répondue à son annonce en me disant que cela serait l’occasion de trouver rapidement et chez une jeune fille il serait possible lier connaissance plus facilement sans avoir à subir les avances d’un jeune homme quelque peu entreprenant.
Je n’ai pas eu à regretter cette démarche.
En effet Sophie était un joli brin de fille qui devait avoir deux ou trois ans de plus que moi, à cette époque j’en avais vingt et un, elle était de la même taille que moi et d’un style très cool.
Le lendemain matin à notre rendez-vous elle portait une robe portefeuille grise avec un tee-shirt blanc, ses cheveux blonds lui arrivaient sur les épaules et j’avais devant moi une fille mince, jolie et peu maquillée.
Je lui ai fait bonne impression dès qu’elle a ouvert la porte et son appartement démontrait qu’elle était ordonnée sans être trop méticuleuse, en fait une fille vouée à être une bonne collocatrice.
Elle savait mettre à l’aise en montrant une grande simplicité.
Sophie me faisant visiter l’appartement me fit remarquer qu’on était à l’abri des regards indiscrets et des bruits de la ville, spacieux il donnait des espaces intéressant pour deux filles désireuses de cohabiter.
L’appartement était meublé et comportait le minimum pour passer trois mois sans se poser de question, un petit vestibule ouvrant sur un salon avec de part et d’autres deux chambres autonomes, une sales de bains commune et un cuisine tout à fait convenable.
Nous nous sommes entendues sans problème et je me suis installée dès le lendemain matin trop heureuse d’avoir trouvée rapidement et ce d’autant plus que la jeune femme avec qui j’allais cohabiter étant sympathique et jolie en plus.
Je n’avais pas beaucoup d’affaires, une valise et un sac de sport de vêtements et de lingerie, la pièce que j’allais habitée étant meublée comportait le confort minimum pour un séjour de courte durée, mon installation me prit un minimum de temps.
Dès le début nous nous sommes bien entendues et la vie en collocation avec Sophie fut un véritable bonheur, discrète et peu bruyante nous nous croisions que le matin lors de nos préparatifs pour aller bosser et prendre parfois le petit déjeuner et le soir lorsque nous n’avions pas de sorties prévues, lors de ces moments nous pouvions parlées ou partagées un DVD.
Ces premiers jours de cette vie en commun nous à apprit à mieux connaitre l’autre et aussi ses habitudes, c’est ainsi que je remarquais que Sophie ne se levais pas très tôt, particulièrement le week-end, mais pouvais veiller tard le soir. La première quinzaine de jours se passa ainsi et c’est le vendredi soir suivant qu’en rentrant du cinéma, vers une heure du matin que j’ai découvert Sophie en tee-shirt et culotte se faisant couler un bain.
Elle fut surprise en me disant :
- Déjà rentrée ?
- Oui mais je ne vais pas traînée car je suis crevée, bonne nuit, dis-je.
- Bonne nuit.
En me couchant je ne pus m’empêcher de m’imagine Sophie, nue, rentrant dans le bain et c’est tout naturellement qu’avant de m’endormir que mes mains descendirent le long de mon corps pour remonter remontai mon tee-shirt sur mon ventre et que je m’ouvris impudiquement à mes caresses en pensant à Sophie.
Le lendemain Sophie vint me retrouver pour le petit déjeuner en débardeur et petite culotte, de mon côté je n’avais qu’un tee-shirt long sans rien dessous.
En la voyant arriver, je dois l’avouer, Sophie me fit de l’effet, surtout qu’en s’asseyant elle largement ses cuisses, provoquant en moi un certain émoi. Je passais la journée avec cette vision dans la tête, les cuisses de Sophie largement ouvertes à mon regard, me laissant voir sur sa petite culotte qui devait cacher un pubis taillé voire même complètement épilé.
Le soir après le diner nous sommes parties dans nos chambres, peu de temps après me relevant pour aller boire un verre d’eau dans la cuisine je m’aperçus que Sophie n’avait pas fermée la porte de sa chambre, je rejoignis la mienne pour tenter de trouver le sommeil.
Quelques temps plus tard de petits gémissements étouffés retinrent mon attention, cela venait de la chambre de Sophie et me demandant curieuse ce qu’elle faisait je me sui levée pour aller voir.
Sophie n’était pas couchée et de l’embrasure de la porte je la découvris devant son ordinateur assise dans son fauteuil. Elle me tournait pratiquement le dos, mais une jambe était posée sur le bureau et l’autre pendait, Sophie les jambes largement écartées se donnait du plaisir, Sophie était en train de se masturber.
La gorge serrée, je l’ai regardée sans faire de bruit, j’ai attendue qu’elle se crispe et jouisse sous ses doigts, puis je suis retournée dans ma chambre et allongée sur le lit je me suis masturbée à mon tour ;
Le lendemain matin, alors que j’allais prendre ma douche, Sophie vint me retrouver dans la salle de bains, habillée encore de mon peignoir en regardant dans la glace je vis ses yeux implorants, elle croisa mon regard et dis :
- Pourquoi n’es tu pas rentrée pour me rejoindre hier soir.
- Je n’ai pas osée, dis-je.
- J’aimerais bien que tu oses maintenant, me dit’ elle.
Sophie avait la main dans sa culotte et se caressait tout en me parlant, je me retournais et lui ôtais son débardeur mettant son torse à nu et mes mains prirent possession de ses petits seins aux bouts tendus, Sophie gémit doucement.
Puis tout s’accéléra, Sophie ôta sa culotte, puis ouvrit mon peignoir pour coller sa nudité à la mienne, sa main prenant possession de mon intimité elle commença à me branler le clitoris en me demandant :
- J’espère que tu aimes les filles.
Nos seins se frottaient, nos caressaient frénétiquement nos entrejambes et nos bouches se sont trouvées et ce fut notre premier baiser, long et intense.
Longuement nous nous sommes caressées dans la salle de bains tout en nous embrassant avec fougue, comme si nous attendions ce moment depuis longtemps, puis nous nous sommes agenouillées sur le tapis nos jambes largement ouvertes pour les caresses de l’autre, nos mains caressant nos intimités déjà humides afin d’apaiser les désirs qui montaient en nous.
J’ai senti les doigts de Sophie entrer plus profond en moi, toute humide ses doigts glissaient su mon clitoris et me faisaient frémir, pendant que son majeur explorait l’entrée de mon anus.
Je lui ai rendue ses caresses la faisant soupirer et gémir en sentant son petit bouton pointer sous le bout de mes doigts alors que sa rosette s’ouvrait à mes caresses.
Nous sommes passées sous la douche enlacées dans nos désirs profitant de chaque minute pour explorer nos corps, puis nous nous sommes retrouvées dans la chambre de Sophie où nous nous sommes aimées sur le lit enlacées, vibrant des caresses sur nos corps.
Nous nous sommes pénétrées des godes que Sophie disposait dans le tiroir de sa commode et avons jouis ensemble en hurlant notre plaisir, puis nous avons reposées un moment nous laissant aller dans le bonheur d’avoir hurlées notre plaisir mutuel.
Lorsque je me sui levée pour aller boire Sophie somnolait sur le ventre les cuisses ouvertes et la jambe droite légèrement repliée laissait voir la naissance de sa vulve et les petits plis qui convergeaient vers son petit trou, une envie soudaine de posséder ce petit trou monta en moie te je me dis qu’à mon retour je m’en occuperais sérieusement.
A mon retour de la cuisine Sophie n’avait pas bougée reposant encore sur le ventre son joli petit cul toujours bien en vue, exposé indécent comme une invite.
Je suis allée dans ma chambre pour prendre mon gode-ceinture et m’équipée avec avant de rejoindre Sophie, puis doucement je me suis approchée d’elle et après avoir prit place sur le lit entre ses jambes j’ai commencée à lui caressée sa petite rondelle, aussitôt Sophie s’est mise à gémir en relevant légèrement les fesses, lorsque j’ai accentuée ma caresse jusqu’à rentrer un doigt dans son joli petit trou plissé Sophie s’est réveillée et tout en feulant et en relevant encore plus son joli postérieur, elle me dit :
- Sois douce, chérie.
Alors je me suis placée derrière elle en pointant le gland du gode contre sa rosette après l’avoir enduit de gel. Sophie à frémit au contact de sa rosette et du bout du gode, Sophie se cambre encore plus offrant sans pudeur son petit trou plissé, je la prends par les hanches et m’enfonce en elle doucement.
- Ohhh, s’exclame Sophie.
Je relève Sophie pour la maintenir les mains sur ses seins pendant que je m’active dans ses entrailles, Sophie à l’air d’apprécier et feule de plaisir en ballotant la tête dans tous les sens.
- Ohhh ma chérie, comme c’est bon, me dit Sophie.
Pendant un long j’ai sodomisée Sophie en lui caressant ses seins, Sophie à jouis plusieurs fois jusqu’au moment où elle s’est effondrée su le lit emportée pas les spasmes de sa jouissance.
Le reste de la journée nous l’avons passée à nous aimer tendrement en se promettant de s’aimer longtemps. Ce jour là nous avons dormies notre première nuit ensemble.
Le lendemain je me suis réveillée en sentant Sophie se levée, mais je n’ai pas bougée, Sophie à prit sa douche et en revenant dans la chambre elle m’à trouvée allongée sur le ventre.
Je suis certaine qu’elle m’à regardée nue allongée sur le ventre les jambes ouvertes laissant mon intimité livrée à son regard. Je l’ai entendue se rapprocher du lit, les yeux mi-clos faisant semblant de dormir, j’ai entendue le tiroir de la commode s’ouvrir et un instant plus tard Sophie s’est assise au bord du lit et elle a posé le bout de ses doigts sur le sillon de mes fesses.
Elle a parcouru ma raie d’un doigt, lentement du haut vers le bas, j’ai entrouvert lentement mes jambes pour lui permettre d’aller plus loin et ses doigts se sont insinués jusqu’à l’entrée toute mouillée de mon vagin. Sophie à dit doucement :
- Tu mouilles bien ma salope !
Je me suis ouverte encore davantage pour faciliter sa caresse et j’ai sentie le lit bouger, Sophie montait sur le lit pour s’installer entre mes jambes et j’ai sentie les deux mains de Sophie m’ouvrir les fesses et le contact froid du ode-ceinture à l’orée de mon anus, puis une douleur me vrilla l’anus, Sophie me sodomisait.
Elle m’a pénétrée, doucement, excitée comme jamais je ne l’ai sentie et pendant qu’elle se démenait en allant et venant en moi, je l’ai entendue dire :
- Une sodomie pour être quitte !
Et pendant qu’elle me pénétrait je pensais que nous allions bien nous entendre ensemble.
A suivre….
Devant faire un stage de trois mois à Toulouse, je fus obligée de chercher un appartement et compte tenu de la courte période du stage seul la collocation me paraissait possible.
Alors je me mis en recherche dès mon premier jour à Toulouse, la chance voulant sourire je tombais sur une annonce d’une jeune femme cherchant une collocatrice.
Dans son annonce elle cherchait une collocatrice, dans un appartement meublé, pour une période indéterminée, alors j’ai répondue à son annonce en me disant que cela serait l’occasion de trouver rapidement et chez une jeune fille il serait possible lier connaissance plus facilement sans avoir à subir les avances d’un jeune homme quelque peu entreprenant.
Je n’ai pas eu à regretter cette démarche.
En effet Sophie était un joli brin de fille qui devait avoir deux ou trois ans de plus que moi, à cette époque j’en avais vingt et un, elle était de la même taille que moi et d’un style très cool.
Le lendemain matin à notre rendez-vous elle portait une robe portefeuille grise avec un tee-shirt blanc, ses cheveux blonds lui arrivaient sur les épaules et j’avais devant moi une fille mince, jolie et peu maquillée.
Je lui ai fait bonne impression dès qu’elle a ouvert la porte et son appartement démontrait qu’elle était ordonnée sans être trop méticuleuse, en fait une fille vouée à être une bonne collocatrice.
Elle savait mettre à l’aise en montrant une grande simplicité.
Sophie me faisant visiter l’appartement me fit remarquer qu’on était à l’abri des regards indiscrets et des bruits de la ville, spacieux il donnait des espaces intéressant pour deux filles désireuses de cohabiter.
L’appartement était meublé et comportait le minimum pour passer trois mois sans se poser de question, un petit vestibule ouvrant sur un salon avec de part et d’autres deux chambres autonomes, une sales de bains commune et un cuisine tout à fait convenable.
Nous nous sommes entendues sans problème et je me suis installée dès le lendemain matin trop heureuse d’avoir trouvée rapidement et ce d’autant plus que la jeune femme avec qui j’allais cohabiter étant sympathique et jolie en plus.
Je n’avais pas beaucoup d’affaires, une valise et un sac de sport de vêtements et de lingerie, la pièce que j’allais habitée étant meublée comportait le confort minimum pour un séjour de courte durée, mon installation me prit un minimum de temps.
Dès le début nous nous sommes bien entendues et la vie en collocation avec Sophie fut un véritable bonheur, discrète et peu bruyante nous nous croisions que le matin lors de nos préparatifs pour aller bosser et prendre parfois le petit déjeuner et le soir lorsque nous n’avions pas de sorties prévues, lors de ces moments nous pouvions parlées ou partagées un DVD.
Ces premiers jours de cette vie en commun nous à apprit à mieux connaitre l’autre et aussi ses habitudes, c’est ainsi que je remarquais que Sophie ne se levais pas très tôt, particulièrement le week-end, mais pouvais veiller tard le soir. La première quinzaine de jours se passa ainsi et c’est le vendredi soir suivant qu’en rentrant du cinéma, vers une heure du matin que j’ai découvert Sophie en tee-shirt et culotte se faisant couler un bain.
Elle fut surprise en me disant :
- Déjà rentrée ?
- Oui mais je ne vais pas traînée car je suis crevée, bonne nuit, dis-je.
- Bonne nuit.
En me couchant je ne pus m’empêcher de m’imagine Sophie, nue, rentrant dans le bain et c’est tout naturellement qu’avant de m’endormir que mes mains descendirent le long de mon corps pour remonter remontai mon tee-shirt sur mon ventre et que je m’ouvris impudiquement à mes caresses en pensant à Sophie.
Le lendemain Sophie vint me retrouver pour le petit déjeuner en débardeur et petite culotte, de mon côté je n’avais qu’un tee-shirt long sans rien dessous.
En la voyant arriver, je dois l’avouer, Sophie me fit de l’effet, surtout qu’en s’asseyant elle largement ses cuisses, provoquant en moi un certain émoi. Je passais la journée avec cette vision dans la tête, les cuisses de Sophie largement ouvertes à mon regard, me laissant voir sur sa petite culotte qui devait cacher un pubis taillé voire même complètement épilé.
Le soir après le diner nous sommes parties dans nos chambres, peu de temps après me relevant pour aller boire un verre d’eau dans la cuisine je m’aperçus que Sophie n’avait pas fermée la porte de sa chambre, je rejoignis la mienne pour tenter de trouver le sommeil.
Quelques temps plus tard de petits gémissements étouffés retinrent mon attention, cela venait de la chambre de Sophie et me demandant curieuse ce qu’elle faisait je me sui levée pour aller voir.
Sophie n’était pas couchée et de l’embrasure de la porte je la découvris devant son ordinateur assise dans son fauteuil. Elle me tournait pratiquement le dos, mais une jambe était posée sur le bureau et l’autre pendait, Sophie les jambes largement écartées se donnait du plaisir, Sophie était en train de se masturber.
La gorge serrée, je l’ai regardée sans faire de bruit, j’ai attendue qu’elle se crispe et jouisse sous ses doigts, puis je suis retournée dans ma chambre et allongée sur le lit je me suis masturbée à mon tour ;
Le lendemain matin, alors que j’allais prendre ma douche, Sophie vint me retrouver dans la salle de bains, habillée encore de mon peignoir en regardant dans la glace je vis ses yeux implorants, elle croisa mon regard et dis :
- Pourquoi n’es tu pas rentrée pour me rejoindre hier soir.
- Je n’ai pas osée, dis-je.
- J’aimerais bien que tu oses maintenant, me dit’ elle.
Sophie avait la main dans sa culotte et se caressait tout en me parlant, je me retournais et lui ôtais son débardeur mettant son torse à nu et mes mains prirent possession de ses petits seins aux bouts tendus, Sophie gémit doucement.
Puis tout s’accéléra, Sophie ôta sa culotte, puis ouvrit mon peignoir pour coller sa nudité à la mienne, sa main prenant possession de mon intimité elle commença à me branler le clitoris en me demandant :
- J’espère que tu aimes les filles.
Nos seins se frottaient, nos caressaient frénétiquement nos entrejambes et nos bouches se sont trouvées et ce fut notre premier baiser, long et intense.
Longuement nous nous sommes caressées dans la salle de bains tout en nous embrassant avec fougue, comme si nous attendions ce moment depuis longtemps, puis nous nous sommes agenouillées sur le tapis nos jambes largement ouvertes pour les caresses de l’autre, nos mains caressant nos intimités déjà humides afin d’apaiser les désirs qui montaient en nous.
J’ai senti les doigts de Sophie entrer plus profond en moi, toute humide ses doigts glissaient su mon clitoris et me faisaient frémir, pendant que son majeur explorait l’entrée de mon anus.
Je lui ai rendue ses caresses la faisant soupirer et gémir en sentant son petit bouton pointer sous le bout de mes doigts alors que sa rosette s’ouvrait à mes caresses.
Nous sommes passées sous la douche enlacées dans nos désirs profitant de chaque minute pour explorer nos corps, puis nous nous sommes retrouvées dans la chambre de Sophie où nous nous sommes aimées sur le lit enlacées, vibrant des caresses sur nos corps.
Nous nous sommes pénétrées des godes que Sophie disposait dans le tiroir de sa commode et avons jouis ensemble en hurlant notre plaisir, puis nous avons reposées un moment nous laissant aller dans le bonheur d’avoir hurlées notre plaisir mutuel.
Lorsque je me sui levée pour aller boire Sophie somnolait sur le ventre les cuisses ouvertes et la jambe droite légèrement repliée laissait voir la naissance de sa vulve et les petits plis qui convergeaient vers son petit trou, une envie soudaine de posséder ce petit trou monta en moie te je me dis qu’à mon retour je m’en occuperais sérieusement.
A mon retour de la cuisine Sophie n’avait pas bougée reposant encore sur le ventre son joli petit cul toujours bien en vue, exposé indécent comme une invite.
Je suis allée dans ma chambre pour prendre mon gode-ceinture et m’équipée avec avant de rejoindre Sophie, puis doucement je me suis approchée d’elle et après avoir prit place sur le lit entre ses jambes j’ai commencée à lui caressée sa petite rondelle, aussitôt Sophie s’est mise à gémir en relevant légèrement les fesses, lorsque j’ai accentuée ma caresse jusqu’à rentrer un doigt dans son joli petit trou plissé Sophie s’est réveillée et tout en feulant et en relevant encore plus son joli postérieur, elle me dit :
- Sois douce, chérie.
Alors je me suis placée derrière elle en pointant le gland du gode contre sa rosette après l’avoir enduit de gel. Sophie à frémit au contact de sa rosette et du bout du gode, Sophie se cambre encore plus offrant sans pudeur son petit trou plissé, je la prends par les hanches et m’enfonce en elle doucement.
- Ohhh, s’exclame Sophie.
Je relève Sophie pour la maintenir les mains sur ses seins pendant que je m’active dans ses entrailles, Sophie à l’air d’apprécier et feule de plaisir en ballotant la tête dans tous les sens.
- Ohhh ma chérie, comme c’est bon, me dit Sophie.
Pendant un long j’ai sodomisée Sophie en lui caressant ses seins, Sophie à jouis plusieurs fois jusqu’au moment où elle s’est effondrée su le lit emportée pas les spasmes de sa jouissance.
Le reste de la journée nous l’avons passée à nous aimer tendrement en se promettant de s’aimer longtemps. Ce jour là nous avons dormies notre première nuit ensemble.
Le lendemain je me suis réveillée en sentant Sophie se levée, mais je n’ai pas bougée, Sophie à prit sa douche et en revenant dans la chambre elle m’à trouvée allongée sur le ventre.
Je suis certaine qu’elle m’à regardée nue allongée sur le ventre les jambes ouvertes laissant mon intimité livrée à son regard. Je l’ai entendue se rapprocher du lit, les yeux mi-clos faisant semblant de dormir, j’ai entendue le tiroir de la commode s’ouvrir et un instant plus tard Sophie s’est assise au bord du lit et elle a posé le bout de ses doigts sur le sillon de mes fesses.
Elle a parcouru ma raie d’un doigt, lentement du haut vers le bas, j’ai entrouvert lentement mes jambes pour lui permettre d’aller plus loin et ses doigts se sont insinués jusqu’à l’entrée toute mouillée de mon vagin. Sophie à dit doucement :
- Tu mouilles bien ma salope !
Je me suis ouverte encore davantage pour faciliter sa caresse et j’ai sentie le lit bouger, Sophie montait sur le lit pour s’installer entre mes jambes et j’ai sentie les deux mains de Sophie m’ouvrir les fesses et le contact froid du ode-ceinture à l’orée de mon anus, puis une douleur me vrilla l’anus, Sophie me sodomisait.
Elle m’a pénétrée, doucement, excitée comme jamais je ne l’ai sentie et pendant qu’elle se démenait en allant et venant en moi, je l’ai entendue dire :
- Une sodomie pour être quitte !
Et pendant qu’elle me pénétrait je pensais que nous allions bien nous entendre ensemble.
A suivre….
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Les avis des lecteurs
C'est une belle histoire, comme j'aime en lire et qui me donne beaucoup d'effet.