NA Leslie TR 12 - histoire érotique

Leslie à Paris – P12 – Aline.

Cette aventure m’est revenue grâce à mon chéri Roberto, ce passionné bruxellois de mes récits avec qui j’entretiens une ardente correspondance cybernétique.
Un jour j’ai reçu un mail de Roberto me disant avoir apprécié mon récit avec Aïcha, à la réception du mail de Roberto un déclic se produisit en moi et je me suis souvenue d’Aline qui je crois fut mon premier véritable amour.
Je dois avouer que parfois je pense à elle, de notre rencontre et de nos ébats et c’est un plaisir pour moi de vous raconter ce passage de ma vie qui je le crois restera maintenant en ma mémoire pour toujours.

C’est lors d’un déplacement d’affaire m’amenant à Montréal dans un bureau d’architecte pour réaliser un projet en partenariat avec un associé de mon patron, Jacques, que cette aventure s’est réalisée.
C’était encore du temps ou je vivais à Cassis avec Chris.
Je suis partie pour trois mois en mission à Montréal pour boucler un projet, je travaillais dans un grand bureau d’architectes en plein centre de Montréal, au 2020 University et était loger dans un joli petit deux pièces tout près de mon travail, mis à ma disposition par le bureau d’architecte de Montréal.

Les premières semaines se sont passées en ne pensant qu’au projet, concentrée sur mon travail je travaillais dès le petit matin et en restant tard le soir et je ne prenais pas en compte de ce qui m’entourait et partageait mon quotidien au travail. Et dès ma longue journée terminée je rentrais directement à la dans mon appartement.
C’est au début de la quatrième semaine que je me suis rendu compte de l’intérêt que me portais une jolie jeune fille blonde au sein du bureau.
En effet un lundi matin prenant le temps de faire une pose j’ai relevée la tête pour rencontrer deus yeux bleus qui m’observaient, surprise je pris le temps de regarder à qui appartenait ce joli regard et découvrit une jeune fille de vingt ans belle comme le jour aux longs cheveux blonds.
Troublée je replongeais aussitôt dans mon travail en prenant le soin de vérifier de temps à autre si ce regard continuait à m’observer. La surprise pour moi fut de taille car le regard ne quittait pas d’une seconde ma personne et nos yeux se sont croisés plusieurs fois éveillant en moi une soudaine curiosité.
A dix heures je me levais pour aller prendre un café au coin repos et je remarquais que la jeune fille se levait pour me rejoindre au coin café.
Nous nous sommes retrouvées côte à côte près de la machine et c’est elle qui engagea la conversation :
- C’est la première fois que tu viens ici prendre un café ?
- Oui c’est la première fois, répondis-je la gorge serrée.
- Moi c’est Aline et toi ?
- Leslie.
- Je t’offre le café ? me demanda t’elle.
- Si tu veux, mais dis moi j’ai remarquée que tu me regardais, pourquoi, lui demandai-je.
- Tu as l’air si différente, dit-elle.
- Tu trouves ? lui dis-je
- Oui et comme j’adore la compagnie féminine nous devrions manger ensemble ce midi.
- D’accord

Notre déjeuner se passe merveilleusement bien et durant cet instant nous apprenons à mieux nous connaitre parlant de nos passions et de nos passe-temps, nous avons avec Aline plein de points communs et nous nous avouons que c’est incroyable de se sentir aussi bien ensemble.
Déjeuner le midi ensemble est vite devenue une habitude, chaque jour passant nous rapprochant l’une de l’autre, ce qui fait que c’est tout naturellement que j’ai invitée Aline à diner le vendredi soir dans un restaurant français.
Le vendredi soir venu après être rentrées chacune chez nous pour nous faire une beauté nous nous sommes retrouvées vers vingt et une heure dans le restaurant pour diner en tête à tête dans un cadre intimiste et feutré.
Quel merveilleux moment passé ensemble, les aiguilles ont tournées à une vitesse nous amenant à minuit sans que nous nous en rendions compte nous écoutions nos confidences dans un profond respect mutuel et durant ce repas je sentais quelque chose de beau et de fort naitre entre nous.
Mon cœur battait fort au creux de ma poitrine et mes yeux émerveillés n’avaient de cesse de contempler ma compagne du moment, des frissons par moment parcouraient mon corps et je restais là à me demander si Aline ressentait les mêmes choses que moi.

Nous sommes sorties du restaurant enchantées de l’instant passé et c’est tout naturellement qu’Aline se rapprochant de moi à prit mon bras pour marcher côte à côte dans la rue jusqu’à sa voiture.
Elle m’a proposée de me raccompagnée chez moi et en bas de l’immeuble nous sommes restées un moment à nous regarder sans oser un geste qui aurait pu troubler ce bien être dans lequel nous étions.
C’est Aline qui troubla le silence en me demandant :
- Tu ne me propose pas le dernier verre ?
Je lui ai répondue naturellement ce qui pour moi aujourd’hui reste encore incompréhensible :
- Ce n’est pas l’envie qui me manque mais l’instant est tellement magique qu’il est préférable d’en rester là pour ce soir, ne gâchons pas cela nous avons le temps.
Nous nous sommes embrassées du bout des lèvres, un baiser tendre et respectueux, et elle me dit :
- Merci Leslie pour ce respect, à demain.
Je suis descendue de sa voiture et après un petit signe je suis vite rentrée dans l’immeuble de peur de changer d’avis et de détruire cet instant remplit de magie.
Je dois vous avouer que ma nuit fut remplie de rêves avec Aline.

Le lundi nous avons reprit avec Aline nos déjeuners le midi, et nous n’avons pas reparlées de notre soirée et avant de retourner travailler Aline me dit :
- Leslie, ce soir j’ai envie de passer la soirée avec toi !
Le soir nous sommes parties du cabinet ensemble et avons été au cinéma, puis dinées ensemble, comme l’autre soir Aline prit le soin de me raccompagner, mais en nous disant bonne nuit nous sommes tombées dans les bras l’une de l’autre pour échanger un long baiser.
Aline dans un soupir me dit :
- Emmènes moi chez toi !
C’est ainsi que nous nous sommes retrouvées toutes les deux dans mon deux pièces enlacées l’une contre l’autre.

Jamais depuis le début de notre relation il n’avait été question de perler de ma transsexualité, mais ce soir là il allait bien falloir en parler et je redoutais cet instant.
Mais rien ne se passa comme j’aurais pu l’imaginer, car Aline me dit :
- Tu sais Leslie, depuis le début je t’ai dit que je te sentais différente et ce soir nous ne devons pas avoir de secret l’une pour l’autre, alors si tu pouvais me dire ce qui te rend si différente ?
- Que veux tu que je te dise ? lui dis-je.
- Simplement qui tu es, ma chérie, me dit Aline.
- Qui je suis, dis-je, Leslie une femme au corps d’homme et un homme désirant être femme, voila qui je suis.
Aline me regarda d’un air étonné en me disant :
- Ma chérie je ne comprends rien, c’est la première fois que je suis attirée par une femme et il est vrai que je te ressens pas ainsi, et parfois je me dis que tu es un homme tendre et romantique qui s’habille en femme, vit en femme et raisonne comme une femme, et je dois t’avouer que je suis perdue et troublée.
J’ai prit Aline dans mes bras pour la serrer fort contre moi, espérant qu’elle sente mon sexe d’homme sur son pubis et réaliser que j’étais ce qu’elle disait.
Mes lèvres se sont posées à nouveau sur les siennes pour un long baiser, me faisant montre les désirs en moi, mon sexe à cet instant était dur et bandé comme jamais.
Aline ressentit ce que j’espérais et me regardant dans les yeux elle me dit :
- Je t’aime telle que tu es, ne craint rien nous allons nous aimer et être heureuses.

Aline s’échappa de mon étreinte pour aller s’allonger sur le lit dans la chambre en me proposant de venir la rejoindre, allongées côte à côte nous avons prit le temps de nous caresser en nous déshabillant sans se presser, nous nous sommes retrouvées poitrine contre poitrine à genoux sur le lit échangeant des baisers où nos langues se mêlaient.
Puis Aline s’est mise nue devant moi en prenant le temps de retirer un à un ses habits, Aline cette jeune fille blonde aux cheveux mi-longs, à la bouche fine bien dessinée et aux yeux verts me laissait admirer son corps aux courbes juvéniles. Sa petite poitrine à peine formée me ravissait, son ventre plat et ses hanches étroites me donnaient des désirs, ses petites fesses à peine cachées par un string me faisaient bander comme une folle et lorsqu’Aline enleva son string elle me donna à découvrir un sexe entièrement épile aux lèvres fines me laissant penser qu’Aline devait être très étroite.
Une fois nue elle me laissa un instant admirer son physique puis commença à me déshabiller avec la même lenteur qu’elle avait mise pour elle, s’extasiant comme une gamine sur chaque partie de mon corps qu’elle découvrait.
Ma poitrine qu’elle embrassa en premier avec tendresse, puis mon ventre qu’elle embrassa, elle me goutait avec lenteur et gourmandise puis je me suis retrouvée en culotte devant elle, le devant déformée par mon sexe qui tentait de s’échapper de sa prison d’étoffe, alors Aline descendit ma culotte pour découvrir mon membre en me disant :
- Eh bien voila chérie tu es nue !
- Tu n’es pas choquée, lui demandais-je.
- Non pas du tout, ravie même.
Elle prit mon sexe en main et commença à me branler en m’invitant du regard à faire de même pour elle. Nous nous sommes caressées pendant un long moment, tendrement puis de plus en plus précisément avec la tension et les désirs qui nous envahissaient.
Après m’avoir sucée un moment nous nous sommes mis avec Aline en 69.
Peu de temps après Aline jouissait sous ma bouche en râlant, elle se relava et se mit sur le dos en ouvrant ses jambes en me disant :
- Fais-moi l’amour !
Je me suis alors mis au-dessus d’elle.
Elle m’a dit :
- Fait doucement je suis très étroite !
Alors doucement je l’ai pénétrée, comme si s’était une première fois. Effectivement Aline est très serrée et mon sexe à un peu de mal à rentrer, mais doucement au fur et à mesure que mon sexe entrait en elle Aline feulait, je sentais son sexe serré par le sien et en ressentait un immense plaisir qui m’envahissait.
Aline sentit que j’avais du plaisir et resserra encore plus son sexe autour du mien, comme pour me retenir prisonnière d’elle, instant fabuleux remplit de douceur durant lequel je me retenais afin de ne pas jouir, désireuse de faire de cet instant un moment inoubliable.
Bientôt Aline m’accepta en elle, mon sexe allant et venant en elle lui faisait pousser de petits cris de plaisir, Aline prit son premier plaisir avec des larmes aux bords des yeux en disant :
Oh mon dieu, ohhh !
Je faisais l’amour à Aline avec un rythme doux mais soutenu, lançant vers elle d’amples mouvements de bassin comme pour aller de plus en plus loin en elle, c’est ainsi que lorsque je jouis en Aline elle cria son orgasme en perdant un instant conscience.
Nous avons refait l’amour, nos corps réclamant encore et encore du plaisir, dans la nuit tendrement enlacées nous donnant du plaisir sans retenue plus rien n’existait sinon que notre plaisir.
Ce plaisir nous l’avons crier plusieurs fois dans la nuit avant de nous endormir tendrement enlacées dans les bras l’une de l’autre.

A suivre……