NA Leslie TR 81 - histoire érotique

Leslie à Paris – P81 – Stéphanie, mon amante.

Après s’être retrouvées avec Stéphanie nous ne nous quittons plus essayant de nous voir le plus possible chez l’une ou chez l’autre, avec Laure nous avons parlées de Stéphanie et de la relation qui m’attachait à elle et aussi de mes sentiments.
Il est vrai que mes sentiments sont partagés entre deux être totalement différents, Laure d’abord, une femme jolie et attirante avec qui je vis depuis plusieurs années et que j’aime, je pense que c’est un restant de mon côté masculin qui parle en moi et puis il y a Stéphanie, une transexuelle comme moi avec qui j’ai beaucoup d’affinités, que j’aime aussi mais de façon différente, c’est mon côté féminin là qui parle.
Mon ambigüité physique ne me laisse pas grand choix dans mes relations, je sais que je ne pourrais jamais me passer de Stéphanie avec qui je vis des instants merveilleux et où je n’est pas à me cacher de ma transsexualité et Laure que j’aime et avec qui je ne me vois pas fonder une famille et avoir des enfants sans la présence se Stéphanie auprès de moi.
Il est vrai que je suis jeune et jolie, mais quel avenir s’offre à moi, alors j’essaye de concilier mes deux relations en expliquant à Laure cet état. Je ne veux pas avoir pour le moment à faire le choix entre l’une ou l’autre de mes amantes, je veux simplement être libre et heureuse dans les instant que m‘offre la vie er ce sans me poser trop de questions auxquelles je ne pourrais de toutes façon pas répondre.
Laure maintenant conçoit que je puisse partager ma vie entre elle et ma nouvelle amante, je ne sais pas pourquoi mais Stéphanie me trouble terriblement, son air de coquine et sa façon d’être toujours disponible me plaisent.
Entre les bras de Stéphanie et lorsqu’elle me fait l’amour je retrouve les émois du premier jour où je m’étais offerte à elle. Au début de notre relation Stéphanie ne s’était pas offerte à moi, mais le lendemain de nos retrouvaille, lorsque Stéphanie m’a ouverte ses reins sans retenue, reste un moment inoubliable et je suis heureuse et sans retenue avec ma belle amante transexuelle.
Nous vivons des moments intenses et exceptionnels ensembles.

Ce soir là Stéphanie près de moi reposait, nous avions passes un long moment à nous caressées pour se donner du plaisir retardant l’instant où l’une de nous offrirait en première ses reins à l’autre, nous étions nues toutes les deux nos sexes bandés par les caresses et le désir.
Je me sentais bien près de Stéphanie et ses caresses sur mon corps me procuraient des frissons, en effleurant du bout des doigts mon sexe Stéphanie réveillait en moi les désirs, je bandais comme une dingue et soupirais sous les caresses, Stéphanie se releva et se pencha au dessus de moi à la hauteur de mon sexe, les lèvres légèrement entrouvertes, je relevais légèrement le bassin et m’enfonçais entre ses lèvres dans sa bouche.
Stéphanie prit plaisir à me sucer lentement me faisant gémir sous les caresses de sa bouche, ses mains sur mon corps étaient douces et chaudes. Stéphanie de temps à autre n’hésitant pas à me pincer les tétons entre ses doigts et me faisant gémir au bord de la douleur, puis par moment elle m’embrassait le gland avec le bout de ses lèvres.
Sa douceur m’affolait, elle remonta sa tête vers mon visage et nos lèvres se frôlèrent, puis se soudèrent pendant un long moment, n’en pouvant plus je demandais grâce à Stéphanie.

Elle me retourna pour me mettre sur le ventre et se placer à califourchon sur moi en restant immobile quelques secondes, Je me sentais tellement amoureuse que j’étais à l’abandon, désireuse d’offrir mon corps à cette amante merveilleuse, alors je la laissais faire.
Elle descendit un peu pour se poser sur mes cuisses et poser ses deux mains sur mes deux lobes, puis elle écarta mon petit cul, et y glissa sa bouche, elle trouva rapidement le chemin de mon œillet avec sa langue et commença à me lécher le petit trou.
Ses coups de langue circulaires me faisaient chavirer. Je n’en pouvais plus de ce bonheur.
- Mets-toi à quatre pattes.
À nouveau elle glissa sa langue entre mes fesses, la faisant coulisser sur mon anus désormais humidifié. Elle m’obligea à descendre sur les avant-bras, les reins cambrés, le cul offert, comme une chienne.
Et elle força de la pointe de sa langue mon œillet, petit à petit mon anus se dilatait et les sphincters devenaient moins résistants.
Elle m’enfonça alors son index dans le cul, instantanément sous le coup de la surprise je me cambrais encore plus et je me mis à jouir, enserrant son doigt de mes sphincters.
- Ohhh, Stéphanie, m’écriais-je.
- Maintenant, je vais t’enculer ! lança-t-elle en e mettant bien derrière moi.
- Oui, je suis à toi, lui dis-je.
Elle se positionna derrière moi entre mes jambes, je sentais indécemment offerte dans la position dans laquelle je me trouvais, Stéphanie positionna le gland de son sexe sur mon œillet frémissant et le rentra dans une douceur extrême qui me fit frissonner.
Je sentais son sexe entré en moi et distendre progressivement mes chairs intimes, je gémissais de plaisir en sentant ce sexe frotté sur mes parois intimes. Bientôt Stéphanie fut entièrement en moi, elle resta un instant immobile le sexe au fond de mas entrailles, alors je me redressais pour coller mon dos à son ventre et en retournant ma tête je cherchais ses lèvres.
Stéphanie posa ses mains sur mes seins et me sera contre elle en me disant dans l’oreille :
- J’adore t’enculer ma chérie.
Nos lèvres se sont jointent tandis que mon bassin descendait encore un peu sur le sexe de Stéphanie fixé en moi, je fus parcourue d’un frisson et jouis parcourue de spasmes, Stéphanie me repoussa doucement pour que je reprenne la position initiale et se mit à me sodomiser à grands coups de reins.
Pendant de longues minutes elle me prit telle une chienne en chaleur, je criais de plaisir et d’amour.

Puis t’elle une camée, je fus à nouveau prise de spasmes internes, une jouissance extrême m’empêchant de me contrôler, jamais je n’avais connu une telle jouissance et je tombais quasi inconsciente sur le lit le cul embroché par le sexe de mon amante.
Quand je repris mes esprits Stéphanie était encore en moi le sexe dur, elle n’avait pas joui et me dis :
- Je pense je vais jouir en toi.
- Je n’en peu plus ma chérie, lui dis-je.
Ne m’écoutant pas elle me pilonna à nouveau réveillant mes sens et me faisant jouir, pendant cette sodomie Stéphanie se mit à me branler et quand elle se rependit dans mes entrailles j’inondais sa main de ma semence.
Nous nous sommes endormies heureuses et prêtes à recommencer.

A suivre…