NA Leslie TR 88 - histoire érotique

Leslie à Paris – P88 – Mélanie, un souvenir.

Stéphanie était partie en Espagne rendre visite à sa famille pour quelques jours et je me retrouvais seule, Laure à ce moment vivant une histoire d’amour avec un homme, d’un certain âge, qui à en croire Laure la rendait heureuse et la faisait bien jouir, mais Laure rajoutait :
- Tu sais ce n’est qu’une aventure et cela ne durera pas, d’ailleurs il est marié et je sais que je ne suis rien pour lui.
Cette venture me donna du temps pendant que Stéphanie était loin de moi pour vivre une aventure d’un soir avec une connaissance rencontrée quelques temps auparavant avec mon amante.

En fait c'est dans mon petit resto favori où nous avions dinées toutes les deux avec Stéphanie que j’ai fait la connaissance de Mélanie.
Dans ce petit resto, l’accueil est excellent et les petits plats de cet établissement sont fins et toujours variés, en plus il a l'avantage d'être tout proche de mon appartement. Le patron est sympathique et surtout me connaissant reste muet sur mes relations que j’amène chez lui, à son grand plaisir d’ailleurs.
Nous étions en train de scruter la carte des desserts quand une très belle brune d'une trentaine d'année est venue saluer Stéphanie.
Stéphanie me présenta Mélanie, cette femme était magnifique, assez grande et très mince, aux traits fins avec un maquillage subtil relevant sa beauté je restais bouche bée et quand elle s'installa en face de moi, avec son compagnon, trois tables plus loin, je ne pus m'empêcher d'admirer ses jambes immenses gainées de bas noirs et ses fesses d'un galbe sublime , elle portait ce soir là un tailleur rouge à mi cuisse qui lui allait à la perfection.

Mais quand elle retira sa veste avant de s'asseoir, son chemisier tendu par sa poitrine ajouta une touche qui faisait de cette femme une créature à regarder sans modération, en plus elle croisa ses jambes me laissant le temps de deviner des bas tenus par un porte-jarretelles rouge.
Oui je l'avoue, Mélanie était très belle et attirait les regards et en particulier le mien.
Mes regards fréquents vers Mélanie n'échappèrent pas longtemps à Stéphanie et je remarquai très vite chez elle un sourire narquois.
- Stéphanie, dis moi ce qu'il y a de drôle ?
Se penchant vers moi elle me dit :
- C'est une transexuelle !
Je fus surprise d’apprendre qua Mélanie était transexuelle et j’avoue que je me serais fait avoir si l’on m’avait demandé de me prononcer sur le physique de Mélanie, j’aurais sans hésitée dit qu’elle était une femme sans aucun doute possible.
Tout en continuant ma conversation avec Stéphanie, je continuais à regarder discrètement cette femme en me demandant ce qui m’avait trompé au point de ne pas reconnaitre une transexuelle comme nous.
Ce petit rien qui nous trahit, mais je ne remarquais rien sinon que la féminité de Mélanie.
Lorsque nous avons quittées le restaurant, Mélanie nous à fait un petit signe de sa main.

Ce n’est qu’une fois à la maison que Stéphanie me dit :
- Si tu veux la revoir je peux te donner son numéro de téléphone et puis ce n’est pas difficile de la trouver car elle fréquente un bar à Saint Germain des Prés et tu es sûre de la trouver là le vendredi soir.
Je ne pus m’empêcher de questionner Stéphanie :
- Tu es sûre de toi ?
- Mais oui, c'est une ancienne amante d’une copine à moi et si tu veux tu n’auras qu’à vérifier par toi-même à l’occasion.
Et nous en sommes restées là.

Donc l’absence de Stéphanie et l’aventure de Laure à ce moment me donnaient l’occasion de vérifier ce que m’avait dit Stéphanie, et c’est comme cela que je me suis rendue ce vendredi soir au bar indiqué où je pourrais revoir Mélanie.
Aussitôt la porte d’entrée passée j’ai remarquée Mélanie attabler avec un couple dans un coin de la salle, Mélanie m’a aperçue elle aussi et s’est écriée :
- Oh Leslie, viens nous rejoindre.
Le temps de faire les quelques pas qui me séparaient de la table et Mélanie enchainait :
- Je te présente Claudine et Bertrand, un couple d’amis et voici Leslie rencontrée il ya peu dans un restaurant du quartier.
- Asseyez vous dit Bertrand, vous prendrez bien une coupe de champagne avec nous.
Je m'installais donc et trinquais avec eux dans un plaisir non dissimulé, car non seulement Mélanie était belle mais elle était d'une compagnie très agréable, cultivée et curieuse de tout.
Bertrand et Claudine nous ont laissés ayant ce soir là un spectacle et nous avons continuées avec Mélanie à parler de nous et faire connaissance.

Mélanie m'interrogea longuement sur mon métier, mes goûts, bref plein de question pour mieux me connaitre et enchainer pour parler d’elle sans équivoque, elle m'expliqua qu'enfant elle se sentait être une fille et qu'adolescence cela était pire et que ce fut les premiers instants de son travestissement.
Je me rendis compte à cet instant que même sa voix était féminine, elle avoua avoir beaucoup souffert durant sa jeunesse jusqu'au jour où elle avait décidée de changer son destin, après des études brillantes elle était entrée dans la peau de ce qu'on appelle une transexuelle, avait suivi un traitement hormonal, et était devenue la femme que j’avais devant moi.
Mélanie me comptant sa vie, identique à la mienne, d’ailleurs je n'ai pas vu le temps passer, par contre je commençais à ressentir les effets du champagne, ce qui fit que je ne dis rien quand Mélanie me prit ma main pour la tenir dans la sienne en me regardant dans les yeux.
Mélanie était à présent en train de me draguer ouvertement.
Elle me dit qu’elle avait remarqué que je la matais à table l’autre soir au restaurant, puis aussi qu’elle savait de la bouche de Stéphanie, qui n'avait pas tenue sa langue , que je l’a trouvait très belle, et pour finir elle me dit qu’elle savait aussi que tout comme elle et Stéphanie je faisais partie du troisième genre.

C’est très naturellement que Mélanie m’a demandée de la suivre chez elle, pour finir la soirée comme elle ma l’a dit en toute amitié, pourtant je sentais a main serrée plus fort la mienne et ses yeux en disaient plus que sas paroles à cet instant.
Arrivées chez elle quand elle m'a embrassée, je me suis sentie fondre dans ses bras, puis elle m'a emmenée dans sa chambre et m’a allongée sur le lit pour m’embrasser à nouveau et caresser. J’avais rarement sentie autant de douceur dans les caresses et Mélanie prenait son temps, elle m’emmenait doucement sur un petit nuage et cela sans oublier de me déshabiller et me retrouver nue dans ses bras.
Puis se fut à son tour de se mettre nue pour moi, tranquillement sans se presser me laissant découvrir petit à petit son corps magnifique, d’abord ses seins lorsqu’elle enleva son chemiser mettant à nu sa poitrine aux seins dressés d’envie.
Au contact de sa peau sur la mienne je fus parcourue de frisson, sa peau si douce m’électrisait et me faisait monter les désirs et doucement gémir, elle reprit possession de ma bouche pour de nouveaux baisers.
Puis elle s’allongea sur moi pour mettre en contact son bas ventre avec le mien et nos sexes rentrèrent en contact au travers de l’étoffe de sa jupe, Mélanie bandait et je fus heureuse de sentir son désir, puis après un instant se leva et je la vis enlever sa jupe de dos ne gardant que ses bas tenu par un porte jarretelles et puis elle a son tanga rouge me dévoilant ses superbes fesses.
Quand elle se tourna vers moi je vis son sexe imberbe, bandé et droit à l’horizontale, un sexe en forme de cône, circoncis pointu vers le gland et s'épaississant vers la base, d’un diamètre assez imposant vers les bourses déjà gonflées de désir.
Mélanie nue devant moi avec son sexe imposant qui contrastait avec la minceur de son corps était désirable et mes sens en éveil me faisaient chavirée dans un désir sui montait en moi.

C'est donc dans cet état que je la regardais
- Tu sais Leslie chérie dit elle, si tu veux je peux te faire l’amour, mais je ne veux rien t'imposer
Je n'hésitai pas une seconde pour lui répondre, d'ailleurs pouvais encore réfléchir ?
- Oui je sais Mélanie, mais j'ai terriblement envie de toi.
- Ne inquiètes pas Leslie, je ne te prendrais que si tu le veux.
Notre étreinte reprit de plus belle, elle maitrisait à perfection l'art de la caresse, aucun homme ne m'a ait à ce jour câlinée aussi longtemps, enfin ma mémoire à cet instant me faisait-elle défaut.
Au bout d'un temps infini, excitée au plus haut point, je la suppliai.
- Mélanie je veux que tu me prennes.
Je voulu aller gouter ce glaive, mais elle me dit :
- Non pas toi, je ne me laisse sucer que par les hommes en guise de soumission avant de les enculer, mais pas toi.
- Tu n’es qu’active, lui demandai-je.
- Oui, il est rare que je me laisse sodomiser, mais peut-être seras tu l’exception.
Quand elle se remit sur moi, ma respiration s'affola, mais le désir reprit le dessus.
- Détends toi Leslie chérie, si je te fais mal j'arrête, n'aie pas peur détends-toi.
Et elle eut encore une fois un élan de tendresse qui fit que très vite j'oubliais où j’étais, je me laissais aller à ces torrents d'émotion et me détendis.
Je ne sais même pas à quel moment, mais je réalisais soudain qu'elle avait commencé à me pénétrer.

Mais c'est quand elle me regarda droit dans les yeux interrompant toute caresse que je compris, elle allait me posséder de toute sa longueur. Les lents mouvements de son bas ventre en moi furent tellement mesurés que chaque centimètre de progression provoquait un feulement rauque venant de ma gorge, un son que je ne me connaissais pas.
Elle m'a prise vraiment avec une tendresse inouïe et nos ébats se sont prolongés très longtemps, je ne sais même pas combien de fois j'ai hurlée, pleurée, criée ou suppliée de bonheur d’être ainsi possédée.
Ni même combien de fois j'ai joui avant qu’elle se vide en moi.
A cet instant j'ai senti son membre gonflé de désir en moi remplir mes reins d’un doux liquide chaud.

Plus tard dans la nuit Mélanie m’a à nouveau sodomisée avec la même douceur et la même attention que quelques temps auparavant, avant de nous endormir elle m’a offerts ses reins et a crier son plaisir quand j’ai joui en elle et nous nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre.
Je n’ai jamais revue Mélanie.

Mélanie, tu m'as offert une nuit délicieuse et je te garde dans mes souvenirs.

A suivre…