Nadège et Pierrot
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2013 dans la catégorie Plus on est
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Nadège et Pierrot
Dans mes bras, elle atterrit dans mes bras après avoir buté sur le trottoir. Nous
regardions la vitrine du fleuriste de l’angle de la rue. Elle se reprend quand elle
sens qu’elle tombe. Sa longue chevelure rousse m’enveloppe presque me donne son odeur
à sentir. Elle a les bras encombrés de paquets, pas facile de se remettre dans le
bon sens.
Je l’aide pour lui proposer de l’accompagner chez elle, ce qu’elle accepte volontiers.
Nous marchons cote à cote comme des copines. Nous sommes vite arrivées. Elle me fait
entrer pour que je pose mes paniers et surtout m’offrir une récompense: un verre de
madère. Pour moi le madère est un vin de dessert, pour elle un apéritif. Nous sommes
bien assises dans son séjour, nous bavardons du beau temps, de la longueur des jours,
de cuisine, et d’amour. Entre filles c’est un sujet largement abordé. Nous en sommes à
expliquer comment nous aimons que nos maris d’occupent de nous. C’est là que nous nous
apercevons que nous avons les même goûts: la masturbation, les cunnilingus, la
fellation, l’amour dans le puits et la sodomie. Nous en rions bien sur. Nous en sommes
à nous tutoyer et nous appeler par nos prénoms: elle s’appelle Nadège, et moi Lucie.
- Pourquoi ne resterais tu pas pour déjeuner ?
- Personne ne m’attend, oui, pourquoi pas. Ton mari sera là ?
- Comme tous les jours, vers 12 heure 30.
- Je vais t’aider.
Nadège se lève pour aller à la cuisine. Je l’y suis pour aider à la préparation d’une
salade verte, pendant qu’elle remet sur le feu un plat à réchauffer. Nous retournons
au séjour pour mettre le couvert.
- Ne t’étonne pas si mon mari Pierrot a des geste un peu osé, il adore me caresser
quand nous sommes à table, la suite se passe généralement au lit: il adore me baiser
après manger.
- Il ne saura pas se tenir un peu devant moi ,
- Au contraire, tu l’exciteras.
- Ne dis pas qu’il voudrai me baiser ?
- Je n’y mets pas ma tête à couper.
- Je n’ai jamais fait j’amour à trois.
- Si ça arrive, tu verra, c’est très agréable, surtout quand les filles s’amusent.
- Tu veux dire que dans ce cas nous deux ….
- Oui, nous nous ferrions du bien, c’est très bon, tu verra.
Elle m’intrique, en m’excitant. Baiser en trio, j’y pense des fois, quand je baise ou
me branle. Je pense plutôt à une fille: elle a dit que nous finirions ensemble.
Pourquoi refuser ce qui est bon. Si j’en parle à mon mari, il ne me dira rien, il sera
envieux du plaisir que j’ai pris sans lui: ça lui passera vite quand il m’aura
enculée.
Pierrot arrive: c’est un bel homme en effet qui me semble capable de satisfaire
plusieurs femmes. Cérémonieusement il me fait un baise main. J’en suis émoustillée.
Nous commençons le repas, rien ne se passe de particulier. Sinon les platitudes
habituelles. Pas possible Nadège m’a raconté des histoires. Au milieu du repas, la
main droite de Pierrot se pose sur la cuisse de sa femme: ça y est, il commence. Il
commence fort, sans trop s’occuper de moi, je le vois mettre sa main bien haut sous
la robe de sa femme. Il doit être sur sa chatte pour la branler. J’interprète ainsi
les mouvements de son bras. Je ne me trompe pas: le visage de Nadège est transfiguré:
elle doit être sur le point de jouir. C’est fait!
- Oui, c’est bon , encore !!!!!
- Si je suis de trop dites le moi, je m’en vais.
- Pas du tout reste avec nous.
Tout revient au calme jusqu’aux cafés qui à peine bus semblent donner le signal de la
baise. Il embrasse sa femme sur la bouche, lui caresse les seins. Je sens sur mon
mollet un pied qui monte vers ma cuisse. Ainsi j’ai droit moi aussi à des
préliminaires. Je ne sais à qui est-ce pied: il monte sur ma cuisse, puis se place
entre les deux, il monte toujours. J’écarte les jambes avec cette question: qui ?
Quand Pierrot se lève j’ai toujours le pied presque sur ma chatte. C’est donc Nadège
qui s’amusait. Pierrot tend une main à sa femme tout en me donnant l’autre. Je suis
déjà intégrée dans un trio. Je ne fais que suivre le couple vers la chambre. Il n’as
pas le temps, ou ne le prend pas, il déshabille Nadège très vite. Il faut avouer
qu’enlever une seule robe est facile. Je regarde ce corps avec envie, il me semble
plus beau est développé que le mien. Sa fourrure rousse est délicatement taillée en
cœur. Sa poitrine me semble plus forte que la mienne. Il me semble sentir son odeur de
rousse qui m’excite un peu. Pierrot s’attaque à moi, il me déshabille rapidement,
m’embrasse sur la bouche, me met un main sur le chatte avant de me coucher. Nadège
nous regarde en souriant, pourtant elle connait la suite; il va me baiser. Il vient
sur moi, m’embrasse encore avant d’entrer son sexe dans le mien. Sa queue est de la
bonne grosseur mais, sans préliminaires, je suis bien obligée de simuler un plaisir
qui se réveille quand même juste avant qu’il jouisse: sa décharge entraine mon
orgasme, pas un orgasme inoubliable. Nadège connait assez son mari pour venir se
coucher juste à mes cotés. Ce qui m’étonne est qu’il bande encore toujours autant. Il
ne fait que changer d’endroit; il est maintenant entre les jambes de sa femme qui
prend la queue encore pleine de ma cyprine pour bien la placer. Il la baise comme il
m’a fait. Si j’ai attendu pour sentir quelque chose, elle sent de suite le plaisir
dans son ventre. Ses jambes entourent les reins de Pierrot. Elle gémit avant de crier
sa jouissance. Elle me fait mouiller encore: j’ai envie qu’il me prenne par derrière.
Le couple se sépare après une éjaculation qui met fin à l’accouplement. Nadège comme
moi avons encore envie. Sans me gêner je commence à me branler: je ferme les yeux en
pensant à la baise que je viens de voir. Soudain un bouche est sur la mienne; Nadège
m’embrasse, sa langue force à peine pour entrer contre la mienne. J’accepte son
baiser: le début d’une autre baise particulière: ma première avec une fille.
Nadège caresse mes seins, les embrasse un après l’autre, embrasse mon ventre, met sa
langue dans mon nombril, la passe sur ma fourrure naturelle et fond sur mon clitoris.
Drôle de réveil: sa langue est douce pour lécher, pas comme celle de mon mari quand il
me suce. J’étais chaude avant qu’elle commence, je le suis encore plus. J’ai envie de
jouir.
Si sa léchouille continu, ses mains ne restent pas immobiles. Je sens au moins deux
doigt dans le puits, puis presque aussitôt après deux autre sur mon fondement.
Pourquoi elle ne les rentre pas ? Je ne sais pas et comme j’en fait le vœu lentement
elle me sodomise. Nous en avions parlé avant, elle le savait que j’aime jouir par le
cul: d’abord c’est bon et surtout le plaisir n’est pas le même que dans le con.
Nadège se tourne complètement pour me donner sa chatte sur la bouche. La première
chose qui me frappe est sa bonne odeur de rousse; elle m’excite toujours. Je ne
cherche pas longtemps son bouton, il est tellement gros que ma langue y est dessus
rapidement. J’aspire pour lécher. Je fais comme elle m’a fait; dans le con, dans le
cul. Elle jouit deux ou trois fois, comme moi. Quand nous nous séparons Pierrot est
bien remis: il bande plus fort. Il nous tourne toutes les deux en levrette. Il pose sa
bite sur le cul de Nadège, normal, c’est sa femme, je regarde avec curiosité la bite
entrer facilement dans l’anus. Je regarde également les couilles venir frapper contre
les fesses.
Au début de cette sodomie, je n’avais droit à rien, sinon de regarder, maintenant
Pierrot me branle le cul, sans y entrer. Je force mes fesses pour aller vers lui, il
le sait que j’ai envie de sa bite dans l’anus. Il ne me fait rien, il attend, il
attend que Nadège jouisse ce qui heureusement pour moi ne tarde pas. Maintenant il
change de cavale: je sens son gland contre l’anus. Je l’ouvre comme je peux. Il entre
assez facilement. Je le sens entrer lentement comme pour me faire languir, pourquoi ?
Je n’en sais rien. Par contre mon plaisir monte vite; je jouis avant qu’il soit à mi
chemin.
Il l’a mise au fond, je jouis encore une fois, il va et vient, je jouis toujours: il
jette son sperme: je jouis une dernière fois.
Il doit repartir au travail: il a les couilles vides. Nadège me propose une petite
partie entre nous: j’accepte: elle sort un double godemiché. Nous sommes en levrette,
presque fesses contre fesses. C’est Nadège qui s’occupe de tout: elle entre un bout
dans mon vagin, entre l’autre dans le sien.
Nous remuons sans trop nous occuper de l’autre. Les vas et viens nous donnent de
nombreux orgasme. C’est entendu, je reviendrai chez elle pour nous contenter à deux
filles.
regardions la vitrine du fleuriste de l’angle de la rue. Elle se reprend quand elle
sens qu’elle tombe. Sa longue chevelure rousse m’enveloppe presque me donne son odeur
à sentir. Elle a les bras encombrés de paquets, pas facile de se remettre dans le
bon sens.
Je l’aide pour lui proposer de l’accompagner chez elle, ce qu’elle accepte volontiers.
Nous marchons cote à cote comme des copines. Nous sommes vite arrivées. Elle me fait
entrer pour que je pose mes paniers et surtout m’offrir une récompense: un verre de
madère. Pour moi le madère est un vin de dessert, pour elle un apéritif. Nous sommes
bien assises dans son séjour, nous bavardons du beau temps, de la longueur des jours,
de cuisine, et d’amour. Entre filles c’est un sujet largement abordé. Nous en sommes à
expliquer comment nous aimons que nos maris d’occupent de nous. C’est là que nous nous
apercevons que nous avons les même goûts: la masturbation, les cunnilingus, la
fellation, l’amour dans le puits et la sodomie. Nous en rions bien sur. Nous en sommes
à nous tutoyer et nous appeler par nos prénoms: elle s’appelle Nadège, et moi Lucie.
- Pourquoi ne resterais tu pas pour déjeuner ?
- Personne ne m’attend, oui, pourquoi pas. Ton mari sera là ?
- Comme tous les jours, vers 12 heure 30.
- Je vais t’aider.
Nadège se lève pour aller à la cuisine. Je l’y suis pour aider à la préparation d’une
salade verte, pendant qu’elle remet sur le feu un plat à réchauffer. Nous retournons
au séjour pour mettre le couvert.
- Ne t’étonne pas si mon mari Pierrot a des geste un peu osé, il adore me caresser
quand nous sommes à table, la suite se passe généralement au lit: il adore me baiser
après manger.
- Il ne saura pas se tenir un peu devant moi ,
- Au contraire, tu l’exciteras.
- Ne dis pas qu’il voudrai me baiser ?
- Je n’y mets pas ma tête à couper.
- Je n’ai jamais fait j’amour à trois.
- Si ça arrive, tu verra, c’est très agréable, surtout quand les filles s’amusent.
- Tu veux dire que dans ce cas nous deux ….
- Oui, nous nous ferrions du bien, c’est très bon, tu verra.
Elle m’intrique, en m’excitant. Baiser en trio, j’y pense des fois, quand je baise ou
me branle. Je pense plutôt à une fille: elle a dit que nous finirions ensemble.
Pourquoi refuser ce qui est bon. Si j’en parle à mon mari, il ne me dira rien, il sera
envieux du plaisir que j’ai pris sans lui: ça lui passera vite quand il m’aura
enculée.
Pierrot arrive: c’est un bel homme en effet qui me semble capable de satisfaire
plusieurs femmes. Cérémonieusement il me fait un baise main. J’en suis émoustillée.
Nous commençons le repas, rien ne se passe de particulier. Sinon les platitudes
habituelles. Pas possible Nadège m’a raconté des histoires. Au milieu du repas, la
main droite de Pierrot se pose sur la cuisse de sa femme: ça y est, il commence. Il
commence fort, sans trop s’occuper de moi, je le vois mettre sa main bien haut sous
la robe de sa femme. Il doit être sur sa chatte pour la branler. J’interprète ainsi
les mouvements de son bras. Je ne me trompe pas: le visage de Nadège est transfiguré:
elle doit être sur le point de jouir. C’est fait!
- Oui, c’est bon , encore !!!!!
- Si je suis de trop dites le moi, je m’en vais.
- Pas du tout reste avec nous.
Tout revient au calme jusqu’aux cafés qui à peine bus semblent donner le signal de la
baise. Il embrasse sa femme sur la bouche, lui caresse les seins. Je sens sur mon
mollet un pied qui monte vers ma cuisse. Ainsi j’ai droit moi aussi à des
préliminaires. Je ne sais à qui est-ce pied: il monte sur ma cuisse, puis se place
entre les deux, il monte toujours. J’écarte les jambes avec cette question: qui ?
Quand Pierrot se lève j’ai toujours le pied presque sur ma chatte. C’est donc Nadège
qui s’amusait. Pierrot tend une main à sa femme tout en me donnant l’autre. Je suis
déjà intégrée dans un trio. Je ne fais que suivre le couple vers la chambre. Il n’as
pas le temps, ou ne le prend pas, il déshabille Nadège très vite. Il faut avouer
qu’enlever une seule robe est facile. Je regarde ce corps avec envie, il me semble
plus beau est développé que le mien. Sa fourrure rousse est délicatement taillée en
cœur. Sa poitrine me semble plus forte que la mienne. Il me semble sentir son odeur de
rousse qui m’excite un peu. Pierrot s’attaque à moi, il me déshabille rapidement,
m’embrasse sur la bouche, me met un main sur le chatte avant de me coucher. Nadège
nous regarde en souriant, pourtant elle connait la suite; il va me baiser. Il vient
sur moi, m’embrasse encore avant d’entrer son sexe dans le mien. Sa queue est de la
bonne grosseur mais, sans préliminaires, je suis bien obligée de simuler un plaisir
qui se réveille quand même juste avant qu’il jouisse: sa décharge entraine mon
orgasme, pas un orgasme inoubliable. Nadège connait assez son mari pour venir se
coucher juste à mes cotés. Ce qui m’étonne est qu’il bande encore toujours autant. Il
ne fait que changer d’endroit; il est maintenant entre les jambes de sa femme qui
prend la queue encore pleine de ma cyprine pour bien la placer. Il la baise comme il
m’a fait. Si j’ai attendu pour sentir quelque chose, elle sent de suite le plaisir
dans son ventre. Ses jambes entourent les reins de Pierrot. Elle gémit avant de crier
sa jouissance. Elle me fait mouiller encore: j’ai envie qu’il me prenne par derrière.
Le couple se sépare après une éjaculation qui met fin à l’accouplement. Nadège comme
moi avons encore envie. Sans me gêner je commence à me branler: je ferme les yeux en
pensant à la baise que je viens de voir. Soudain un bouche est sur la mienne; Nadège
m’embrasse, sa langue force à peine pour entrer contre la mienne. J’accepte son
baiser: le début d’une autre baise particulière: ma première avec une fille.
Nadège caresse mes seins, les embrasse un après l’autre, embrasse mon ventre, met sa
langue dans mon nombril, la passe sur ma fourrure naturelle et fond sur mon clitoris.
Drôle de réveil: sa langue est douce pour lécher, pas comme celle de mon mari quand il
me suce. J’étais chaude avant qu’elle commence, je le suis encore plus. J’ai envie de
jouir.
Si sa léchouille continu, ses mains ne restent pas immobiles. Je sens au moins deux
doigt dans le puits, puis presque aussitôt après deux autre sur mon fondement.
Pourquoi elle ne les rentre pas ? Je ne sais pas et comme j’en fait le vœu lentement
elle me sodomise. Nous en avions parlé avant, elle le savait que j’aime jouir par le
cul: d’abord c’est bon et surtout le plaisir n’est pas le même que dans le con.
Nadège se tourne complètement pour me donner sa chatte sur la bouche. La première
chose qui me frappe est sa bonne odeur de rousse; elle m’excite toujours. Je ne
cherche pas longtemps son bouton, il est tellement gros que ma langue y est dessus
rapidement. J’aspire pour lécher. Je fais comme elle m’a fait; dans le con, dans le
cul. Elle jouit deux ou trois fois, comme moi. Quand nous nous séparons Pierrot est
bien remis: il bande plus fort. Il nous tourne toutes les deux en levrette. Il pose sa
bite sur le cul de Nadège, normal, c’est sa femme, je regarde avec curiosité la bite
entrer facilement dans l’anus. Je regarde également les couilles venir frapper contre
les fesses.
Au début de cette sodomie, je n’avais droit à rien, sinon de regarder, maintenant
Pierrot me branle le cul, sans y entrer. Je force mes fesses pour aller vers lui, il
le sait que j’ai envie de sa bite dans l’anus. Il ne me fait rien, il attend, il
attend que Nadège jouisse ce qui heureusement pour moi ne tarde pas. Maintenant il
change de cavale: je sens son gland contre l’anus. Je l’ouvre comme je peux. Il entre
assez facilement. Je le sens entrer lentement comme pour me faire languir, pourquoi ?
Je n’en sais rien. Par contre mon plaisir monte vite; je jouis avant qu’il soit à mi
chemin.
Il l’a mise au fond, je jouis encore une fois, il va et vient, je jouis toujours: il
jette son sperme: je jouis une dernière fois.
Il doit repartir au travail: il a les couilles vides. Nadège me propose une petite
partie entre nous: j’accepte: elle sort un double godemiché. Nous sommes en levrette,
presque fesses contre fesses. C’est Nadège qui s’occupe de tout: elle entre un bout
dans mon vagin, entre l’autre dans le sien.
Nous remuons sans trop nous occuper de l’autre. Les vas et viens nous donnent de
nombreux orgasme. C’est entendu, je reviendrai chez elle pour nous contenter à deux
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les acteurs s'y connaissent en ébats réels ! mu
Dommage d'émailler le texte de fautes d'orthographe