naissance d'un obsédé
Récit érotique écrit par Garlasto [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2005 dans la catégorie En solitaire
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naissance d'un obsédé
Voici la première histoire que je livre sur internet.
Je suis un homme pas grand, pas gros, pas laid pas con. Je pourrais dire petit, mince beau et intelligent, mais bon … je suis plutôt de nature modeste et rien que l’idée de me vanter me gêne.
Ce que je vais vous raconter est rigoureusement vrai. Depuis mon adolescence, je suis très porté sur tout ce qui a trait au sexe. Dans un premier temps, rien que la vue d’une paire de jambe, d’un bout de sein ou d’une petite culotte, me faisait bander comme un cerf. Je ne connaissais pas très bien ce que l’on entendait par « avoir une sexualité normale » mais il était clair que je me rangeais dans la catégorie des adolescents obsédés par le sexe. Pas un jour ne passait sans de grands moments d’excitation. Que ce soit en me faufilant sur le toit de ma chambre pour aller mater la voisine plus jeune que moi, ou en chipant les petites culottes dans le tiroir de la sœur de mon copain. Je me branlais plusieurs fois par jour et parfois c’était la seule chose que je faisais sur une journée. Je partais en chasse. Je ne mettais pas de slip et j’avais troué les deux fonds de mes poches. De cette façon je pouvais me branler partout. En rue, dans le bus, à l’école …… Je rentrais avec le jeans plein de sperme que je cachais avec de longs pulls ou un manteau. Rentré chez moi je me perdais dans des livres pornos de l’époque que j’avais piqué dans diverses librairies de la ville.
J’étais devenu un vrai perdu, un obsédé, un voyeur, un pervers, un fou de branle.
Puis j’ai rencontré les filles. Je veux dire « en vrai ». J’ai appris à les caresser les embrasser, les flâter, leur parler d’amour de tendresse. Bref j’ai appris à séduire.
J’ai vite compris que si je voulais séduire, je devais non seulement être agréable à regarder, à sentir, à toucher, mais surtout je devais être sympathique, souriant, intéressant et avoir des choses à dire, à faire partager.
Je suis donc devenu quelqu’un de cultivé, de gentil. Quelqu’un dont la compagnie était recherchée. Musicien également, j’ai vite tiré parti de mes talents pour séduire encore et encore.
J’étais donc devenu un homme apprécié en public et dans le lit de mes petites amies, mais je n’avais rien perdu de ma folie de sexe. J’en voulais encore et toujours plus.
Pendant cette période je n’ai pas arrêté de me branler devant des bouquins mais aussi des vidéos de cul ainsi que de m’astiquer dans les quelques cinémas pornos de la ville.
Un jour je suis allé à Paris pour traiter avec une maison de disque. Quand mon business a été terminé, je me suis engouffré dans un ciné porno du côté de Pigalle et j’y suis resté des heures et des heures. Il y avait là des mecs de la quarantaine qui venaient s’asseoir près de moi. Et là j’ai découvert que je n’étais pas le seul à avoir un comportement que l’on pourrait qualifier d’anormal. De vraies bêtes de sexe hantaient ces cinémas. Ca se branlait dans les coins, ça jutait, ça se masturbait mutuellement, se léchait, se suçait ! Une vraie délivrance et une déculpabilisation. J’ai sucé des queues, me suis branlé dans des bouches. J’ai recommencé encore et encore jusqu’à l’épuisement total. Je suis rentré à Bruxelles deux jours plus tard complètement vidé.
En prenant de l’âge, j’ai compris que dans la vie de tout homme il y en avait deux. La publique et la cachée. Quand on gratte un peu on se rend compte que la cachée peut être très mouvementée, bien perverse et parfois très active mais solitaire.
Et puis j’ai eu envie d’emmener mes conquêtes féminines dans cet univers noir mais tellement excitant….
Mais ça c’est une autre histoire
garlasto.
Je suis un homme pas grand, pas gros, pas laid pas con. Je pourrais dire petit, mince beau et intelligent, mais bon … je suis plutôt de nature modeste et rien que l’idée de me vanter me gêne.
Ce que je vais vous raconter est rigoureusement vrai. Depuis mon adolescence, je suis très porté sur tout ce qui a trait au sexe. Dans un premier temps, rien que la vue d’une paire de jambe, d’un bout de sein ou d’une petite culotte, me faisait bander comme un cerf. Je ne connaissais pas très bien ce que l’on entendait par « avoir une sexualité normale » mais il était clair que je me rangeais dans la catégorie des adolescents obsédés par le sexe. Pas un jour ne passait sans de grands moments d’excitation. Que ce soit en me faufilant sur le toit de ma chambre pour aller mater la voisine plus jeune que moi, ou en chipant les petites culottes dans le tiroir de la sœur de mon copain. Je me branlais plusieurs fois par jour et parfois c’était la seule chose que je faisais sur une journée. Je partais en chasse. Je ne mettais pas de slip et j’avais troué les deux fonds de mes poches. De cette façon je pouvais me branler partout. En rue, dans le bus, à l’école …… Je rentrais avec le jeans plein de sperme que je cachais avec de longs pulls ou un manteau. Rentré chez moi je me perdais dans des livres pornos de l’époque que j’avais piqué dans diverses librairies de la ville.
J’étais devenu un vrai perdu, un obsédé, un voyeur, un pervers, un fou de branle.
Puis j’ai rencontré les filles. Je veux dire « en vrai ». J’ai appris à les caresser les embrasser, les flâter, leur parler d’amour de tendresse. Bref j’ai appris à séduire.
J’ai vite compris que si je voulais séduire, je devais non seulement être agréable à regarder, à sentir, à toucher, mais surtout je devais être sympathique, souriant, intéressant et avoir des choses à dire, à faire partager.
Je suis donc devenu quelqu’un de cultivé, de gentil. Quelqu’un dont la compagnie était recherchée. Musicien également, j’ai vite tiré parti de mes talents pour séduire encore et encore.
J’étais donc devenu un homme apprécié en public et dans le lit de mes petites amies, mais je n’avais rien perdu de ma folie de sexe. J’en voulais encore et toujours plus.
Pendant cette période je n’ai pas arrêté de me branler devant des bouquins mais aussi des vidéos de cul ainsi que de m’astiquer dans les quelques cinémas pornos de la ville.
Un jour je suis allé à Paris pour traiter avec une maison de disque. Quand mon business a été terminé, je me suis engouffré dans un ciné porno du côté de Pigalle et j’y suis resté des heures et des heures. Il y avait là des mecs de la quarantaine qui venaient s’asseoir près de moi. Et là j’ai découvert que je n’étais pas le seul à avoir un comportement que l’on pourrait qualifier d’anormal. De vraies bêtes de sexe hantaient ces cinémas. Ca se branlait dans les coins, ça jutait, ça se masturbait mutuellement, se léchait, se suçait ! Une vraie délivrance et une déculpabilisation. J’ai sucé des queues, me suis branlé dans des bouches. J’ai recommencé encore et encore jusqu’à l’épuisement total. Je suis rentré à Bruxelles deux jours plus tard complètement vidé.
En prenant de l’âge, j’ai compris que dans la vie de tout homme il y en avait deux. La publique et la cachée. Quand on gratte un peu on se rend compte que la cachée peut être très mouvementée, bien perverse et parfois très active mais solitaire.
Et puis j’ai eu envie d’emmener mes conquêtes féminines dans cet univers noir mais tellement excitant….
Mais ça c’est une autre histoire
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