Najia, ou l'apprentissage de l'adultère (2ème partie)
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2011 dans la catégorie Plus on est
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Najia, ou l'apprentissage de l'adultère (2ème partie)
La nuit avait été très longue. Mouloud, mon adorable pirate, s’était montré à la hauteur des promesses qu’il m’avait faites la veille au téléphone. C’était vraiment un super coup : vigoureux et infatigable. Il m’avait fait découvrir le monde merveilleux de l’érotisme. Un monde que je n’aurais jamais connu sans lui. Jusque là le sexe ne représentait presque rien pour moi. Je ne me rappelais pas avoir eu auparavant de vrais besoins sexuels : de ces besoins qui vous submergeaient complètement et qui s’imposaient à vous à toutes heures du jour et de la nuit. De ces besoins qui ne pouvaient trouver de satisfaction que dans les bras et sous les coups de boutoir d’un homme ; un vrai. Pas d’un mari. Et la satisfaction des désirs érotiques qui m’obsédaient et m’envahissaient depuis la nuit dernière, ne pouvait provenir que d’une relation adultère. Peut-être parce que je connaissais trop mon mari, je ne pensais pas que je pouvais avoir autant de jouissance et de plaisir avec lui. Même en admettant qu’il soit aussi bien monté que Mouloud et qu’il ait les même capacités et compétences érotiques que mon amant du moment, ce qui est loin d’être le cas! Je crois que c’était aussi parce que j’étais dans une situation de cocufiage de mon mari - acceptée et assumée par lui - que je me sentais transportée dans ce monde merveilleux que je venais de découvrir. Bien entendu, les compétences en matière de sexe de celui qui venait de m’ouvrir les portes de ce nouveau monde, étaient la raison principale de ma nouvelle passion pour l’érotisme. J’avais une vingtaine d’années de plus que Mouloud, mais en matière d’amour, j’étais une vraie novice, comparée à lui qui, à trente ans à peine, avait le comportement d’un maître. Un maître es-érotisme. Et moi, je me découvrais - au cours de cette première nuit passée à me faire tirer dans toutes les positions et à travers tous mes trous - une âme de chienne soumise à la volonté du maître du moment.
Parce que Mouloud - et plus tard Rachid qui, sans me le dire explicitement, m’avait fait comprendre qu’il apprécierait que j’offre mon corps à d’autres hommes – n’était pas du genre possessif et exclusif. Il m’avait très vite annoncé qu’il allait me partager avec d’autres hommes ; des connaissances à lui qui ne vivaient que pour et par le sexe. Il m’avait expliqué qu’il faisait partie d’un groupe – hommes et femmes – qui ne concevaient l’amour que libre et sans tabous et qui ne vivaient leurs relations amoureuses que dans ce cadre presque libertin. Il m’avait promis de me présenter aux membres du groupe et il était convaincu qu’ils allaient m’accueillir les bras ouverts. J’étais, m’avait-il dit, très douée pour l’érotisme débridé.
Pour en revenir à cette première nuit d’adultère, je dois dire que j’en avais eu pour mon argent.
Sans avoir prémédité quoi que ce soit, j’avais fait cette nuit là – et toute la matinée du lendemain – connaissance avec toutes les facettes de l’érotisme. Je suis totalement incapable de décrire toutes les sensations – parfois douloureuses – que je connus au cours de ces heures passées à me faire tirer par l’immense membre de Mouloud.
Après avoir pris une douche rapide pour me débarrasser de tout le sperme dont mon corps était totalement enduit, avoir changé de tenue (la nouvelle était toute aussi coquine que la première) et préparé un en cas pour nous sustenter, nous allâmes directement dans la chambre à coucher pour poursuivre nos ébats. Mouloud, avait fait preuve d’une vigueur et d’une résistance à vraiment extraordinaires. A ce jour, je n’ai pas encore rencontré – parmi tous les amants qui l’ont suivi – d’hommes aussi résistant que mon pirate. Et je ne parle pas de son immense membre ! Il a tout détruit sur son passage : ma gorge, qui m’a fait mal des journées entières (j’avais du mal à parler, tant il avait pesé sur mes cordes vocales au cours de la fellation passée) ; ma vulve qu’il avait élargie au-delà de tout ce que je pouvais penser ; et surtout, mon anus, qu’il avait inauguré et…dynamité !
C’est, aujourd’hui encore, le souvenir de cette folle nuit qui m’a le plus marqué : ma première sodomisation. Après avoir mangé rapidement dans la cuisine - j’avais préparé en quelques minutes un steak et une salade – nous rejoignîmes la chambre à coucher. Moi devant et lui derrière moi. Je sentais qu’il mâtait mes fesses avec son regard de prédateur. J’avais encore très envie de faire l’amour, malgré que j’avais joui très fort, à peine trois quart d’heure auparavant. J’étais entrain de me découvrir une âme de nymphomane. Je n’étais jamais rassasiée ! J’avais toujours envie de baiser ! Et Mouloud, n’attendait que cela. Il bandait en permanence (il était resté presque nu, vêtu de sa seule chemise - totalement déboutonnée - qui ne cachait rien de son intimité. Et son intimité, c’était cet immense glaive, toujours debout et toujours menaçant.
Arrivé au pied du grand lit - notre lit conjugal à Rachid et à moi – Mouloud qui était derrière moi, m’attrapa par la taille pour me coller contre son corps. Il me susurra à l’oreille : - Je vais maintenant t’enculer ! Je vais te défoncer le cul ! Je vais te faire mal ! Je vais te faire hurler de douleur – et de plaisir !
Les mots crus qu’il prononçait me procuraient d’étranges sensations : des picotements au niveau du bas-ventre et sur le bout de mes seins. Je m’étais remise à couler. Je m’étais arrêtée au bord du lit et je m’étais plaquée contre le corps de Mouloud, qui frottait son pubis contre le bas de mon dos. Il était beaucoup plus grand que moi et je sentais son manche, dressé et dur comme du bois, frémir contre le bas de ma colonne vertébrale. Il enleva une de ses mains de ma taille et l’envoya s’emparer de mon sein droit, qu’il se mit à presser et à caresser. Mon excitation, déjà très forte, commençait à devenir insupportable. J’avais mal au bas ventre. Il me fallait une pénétration immédiate pour me calmer. Mais malgré cela, je ne dis rien : j’attendais la suite. Une suite que j’appréhendais, mais que j’attendais avec impatience. L’impatience de découvrir de nouvelles sensations. Je sentais le souffle chaud de mon amant sur mon cou. Et je l’entendais m’annoncer, dans un mélange de kabyle et d’arabe, ce qui m’attendait.
- Akmeqough essdhefir ! En-nikek melour ! Amerzagh akerkour-im ! En-kasserlek gaârek ! Akem felqagh ! En-wedj’aâk ! (Je vais te niquer par derrière ! Je vais te démolir le cul ! Je vais t’éclater! Je vais te faire mal !)Il m’annonçait que j’allais passer un mauvais moment et que beaucoup de douleur m’attendait. Mais au lieu d’avoir peur, de me cabrer, de refuser, ce que j’entendais me mettait en émoi ! J’avais hâte que mon pirate me défonce le cul ! J’avais hâte de connaître cette nouvelle sensation d’être dépucelée par derrière et…par un engin monstrueux ! J’étais dans un autre monde : un monde de soumission et d’attente. Soumission à la volonté du maître. Et en attente de la saillie. Comme une jument ! Ou comme une génisse ! Ou, plus justement, comme une chienne ! J’étais une chienne en chaleur, qui attendait impatiemment d’être pénétrée !
Mouloud qui continuait de me susurrer ses mots crus à l’oreille, m’attrapa par la taille pour m’indiquer la position qu’il voulait que je prenne. Il me fit mettre à quatre pattes en travers du lit, les hanches remontées au maximum pour être à la hauteur de son engin. Je tournais la tête pour essayer d’apercevoir ce qu’il était entrain de faire : il était resté debout au bord du lit, le sexe dressé, tel un sabre menaçant. Il voulait me tirer debout ! Je le voyais qui contemplait le spectacle impudique qu’il avait sous les yeux : j’étais là devant lui, le cul en l’air, offert à sa concupiscence. Au bout de quelques secondes, je le vis qui tendit sa main droite vers mes fesses.
Et à partir de là, tout en moi sombra : j’étais tombée dans un autre monde. J’avais enfoncé ma tête profondément dans un oreiller et je m’étais mise à attendre. Attendre, écouter et sentir ce qui allait advenir. Tout mon être était tendu et attendait ! Une attente, en même temps douloureuse et délicieuse !
Je sentis une main calleuse et ferme écarter mes fesses pour dégager la rondelle de mon anus. Une rondelle très serrée, mais que je sentais palpiter (de peur ou de désir, je ne savais pas trop).
Mouloud ne se pressait pas : il admirait le spectacle qu’il avait sous les yeux : il avait une vue imprenable sur les grandes lèvres de ma chatte. Il voyait que je coulais comme une fontaine. Je sentis deux doigts qui écartèrent mes grandes lèvres et qui plongèrent à l’intérieur du vagin. Je me mis à trembler comme une feuille. La sensation que me procurèrent ces doigts à l’intérieur de mon intimité était indescriptible. Je pensais qu’il n’avait pas pu résister à l’envie de me caresser la chatte, et qu’il allait me tirer par là. J’avais tout faux ! Il était seulement entrain de ramasser le plus de cyprine possible pour essayer de lubrifier mon anus. Je sentis, en effet, ses doigts qui enduisaient l’entrée de mon anus avec le liquide qu’ils venaient de ramasser. Ils s’y reprirent à plusieurs fois, jusqu’à ce que je les sentis qui pénétrèrent - difficilement - à l’intérieur du rectum. Ils allaient et venaient dans le boyau et essayaient d’élargir l’anneau pour faciliter la pénétration du monstre qui attendait impatiemment son tour pour occuper la place.
Mouloud se positionna derrière moi, prit son engin dans une main et plaça le gland au centre de l’anneau. Je sentis immédiatement la dureté du gland et son diamètre trop grand pour pouvoir pénétrer facilement à l’intérieur de mon rectum. Je savais qu’il allait me faire atrocement mal. Il agrippa mes hanches avec ses deux mains et je sentis qu’il exerçait une poussée – d’abord légère, puis de plus en plus puissante, face à la résistance qu’opposait l’anneau trop étroit. Le bout du gland finit par pénétrer légèrement. Je le sentis ressortir. Je devinais que Mouloud cherchait à le lubrifier encore plus, pour lui permettre une pénétration plus aisée. Je l’entendis qui crachait dans sa main et je devinai qu’il s’enduisait le manche avec sa salive.
Et effectivement moins d’une seconde après, je sentis la menace revenir sur mon anneau, qui était resté dans la même position d’attente. Mouloud refit une deuxième tentative pour faire pénétrer le gland à l’intérieur. La poussée de ses hanches était plus forte. Le gland pénétra presque totalement. Il avait encore du mal à dépasser le sphincter. Je sentis les énormes paluches de mon maître agripper plus fermement mes hanches et tirer brutalement sur ses bras. La douleur que je ressentis en ce moment était la pire des douleurs que j’avais connues dans ma vie. J’avais ressenti mon anneau s’étirer, s’étirer encore, pour atteindre le maximum de son élasticité. Et puis, il lâcha et se déchira, provoquant cette douleur atroce que je ressentis.
- Aie !!! Bellââqel ! Doucement ! Kessartli gaâri ! Tu m’as éclaté le cul ! N’oublie pas que je suis vierge de ce côté !
Mouloud fit celui qui n’avait pas entendu. Il ne prêta aucune attention à mes protestations et continuait de pousser très fort, de manière à aller jusqu’au fond de mon boyau. Ce ne fut que quand son pubis vint cogner contre mes fesses qu’il arrêta de pousser sur ses hanches. Mais même à ce moment-là, il ne s’arrêta pas pour permettre à la douleur de se calmer. Il fit refaire à son engin le chemin inverse jusqu’à l’entrée de mon anus, qu’il ne dépassa pourtant pas. Il entreprit un furieux va-et-vient, qui me fit hurler de douleur. Et malgré cela, malgré le mal atroce qu’il provoquait en moi, je ne voulais pas qu’il s’arrêtât. Je voulais qu’il continue. Je ressentais du plaisir à avoir mal ! La sensation était vraiment bizarre: douleur et plaisir en même temps ! Mouloud continuait de pilonner mon cul en poussant des han de bûcheron. Il prenait son pied et me le faisait sentir en accélérant ses coups de boutoir et en soliloquant – de manière presque inaudible – avec des bouts de phrases en kabyle, arabe et français, qui indiquaient tout le plaisir qu’il prenait.
- Ach’hal yel‘ha ou khouzzidhim ! Akhouzzidh ajdhidh ! Ach’ha mlih ! En-hab en-nik en-nsa melour ! En-hab en-kessar ! Dhel djeneth ! Dhel djeneth bou bouchiw ! (Comme ton cul est délicieux ! Un cul tout neuf ! Comme c’est bon ! J’adore niquer les femmes par derrière ! J’adore démolir ! C’est le paradis ! C’est le paradis pour mon zob !) Et moi je continuais de crier de douleur à chacun de ses assauts. Mais mes cris devenaient de plus en plus faibles et se transformaient progressivement en gémissements, dans lesquels se mêlaient plaisir et douleur. C’est le moment que choisit ce diable d’homme pour me faire connaître une nouvelle sensation. Il lança sa main droite vers ma chatte et, après quelques secondes de réglage, y fit pénétrer deux doigts pour me masturber en même temps qu’il continuait de m’enculer. Quelle sensation ! Je ne pus m’empêcher de hurler un « Ouiii ! » retentissant, pour faire savoir à mon maître que j’aimais ce qu’il me faisait. Je voulais faire durer cette nouvelle sensation de plaisir le plus longtemps possible. Je voulais même en, accroître l’intensité en bougeant mes hanches de manière à accompagner et les coups de boutoir du zob dans mon cul, et le mouvement de ses doigts dans sa chatte. Je me mis même à lâcher des bribes de phrases crues, qui en fait n’étaient destinées qu’à accroitre l’intensité du plaisir que j’étais entrain de prendre.
- Zid ! Ma tahbesch ! Ach’hal mlih ki et-nikni ‘hakdha melour ou et’hekli saouti ! Ach’hal the sneddh atseqouddh ! Ach’hal yelha oubouchikh ! (Continue ! Ne t’arrête pas ! C’est merveilleux d’être enculée et masturbée en même temps ! Comme tu sais niquer ! Comme ton zob est merveilleux !) Mouloud était le Diable en personne ! Il était entrain de me faire adorer la sodomisation ! J’étais maintenant sure de ne plus pouvoir m’en passer. Je sentais que j’allais avoir un orgasme vraiment exceptionnel. D’une intensité que je n’avais pas encore atteinte jusque là. Et pourtant, il m’avait semblé que j’avais déjà joui très fort cette nuit. Je sentais aussi que mon homme était sur le point d’éjaculer. Il accélérait encore plus ses va-et-vient dans mon cul et son souffle se faisait de plus en plus haletant. Il cria qu’il n’allait pas tarder à jouir et à m’inonder de sperme. Tout en continuant de soliloquer, Mouloud accélérait les furieux allers-retours de son sabre dans mon boyau et de ses doigts dans mon vagin.
Ce fut lui qui céda le premier. J’entendis un râle d’enfer et je sentis comme une brulure à l’intérieur de mon cul : la brulure d’une première giclée de sperme épais et visqueux. Il continuait de pilonner mon anus pour se vider complètement, en rugissant comme un lion. Je pris la main qui me masturbait et lui fis accélérer le mouvement de manière à ce que l’immense orgasme que je sentais débouler en moi, arrive au moment même où Mouloud aura fini d’éjaculer. Et je tombais en tournoyant dans un immense puits de jouissance. Je me sentais sortir de mon corps, pourrejoindre le monde merveilleux du plaisir sexuel. Ce que je ressentais dépassait de loin tout ce que j’avais ressenti jusque là. Je hurlais que j’étais entrain de jouir ! (comme si ce n’était pas visible et que cela ne s’entendait pas !) Je criais que je voulais recommencer toute de suite après !
- En-3âwdou en-nikou ! Goul-li ett-3awed et-nik-ni ! ‘hak-dha melour ! Es-dheffir ! Seg khouzzidh ! (Nous recommencerons de niquer ! Dis-moi que tu recommenceras de me niquer ! Comme cela, par derrière ! Par derrière ! Par le cul !)Et, vaincue par la fatigue, je m’affalai, fourbue sur le lit, entraînant mon homme avec moi.
Mouloud resta un long moment sur mon dos, son membre toujours en forme, planté dans mon anus. Je sentais qu’il en voulait encore. Plus que moi qui étais vraiment fourbue et qui avait mal partout. Mais je ne voulais pas en rester là : je me disais que le désir de mon homme n’était pas totalement assouvi et que je me devais de rester à sa disposition. D’ailleurs, c’était exactement ce qu’il pensait. Je restais sa chose – sa kelba (sa chienne), me dit-il. En sortant sa queue, toujours en érection, il se remit debout au bord du lit, me retourna pour que je lui fasse face, et m’ordonna de venir sucer sa queue, pleine de mes sécrétions anales.
- Lahssi-li zebi ! Ghaslih be-foumek ! (Lèche-moi le zob ! Lave-le ave ta bouche !)J’eus une hésitation à obéir à un tel ordre. Il ne me demandait rien de moins que de sucer et avaler mon caca. Mais en voyant son regard qui devenait sombre, je compris qu’il ne plaisantait pas et qu’il me fallait en passer par là. Vaincue et soumise, je me mis à nettoyer la superbe queue de Mouloud avec ma langue. J’avalai - avec un peu de dégout au départ, puis de plus en plus consciencieusement- tout ce que ma langue ramassait sur le mât de mon homme, entre le reste de foutre et les produits de mon cul. De temps en temps, je levai la tête et jetait un regard inquiet sur le visage de Mouloud pour voir s’il appréciait. Il souriait aux anges ! Il était heureux ! Il adorait ce que j’étais entrain de lui faire ! J’étais sa chienne obéissante et il adorait ça ! Et moi aussi j’aimais cette situation avilissante pour moi ! J’étais vraiment devenue sa chose ! Il pouvait faire de moi tout ce qu’il voulait. Je crois – mais je ne lui dis jamais – que s’il m’avait demandé d’aboyer, je l’aurais fait sans hésiter.
Pour lui démontrer que j’étais à l’écoute du moindre de ses désirs, j’ouvris très grand ma bouche et y fis pénétrer la queue pour une nouvelle fellation. D’une part je voulais finir de nettoyer complètement l’engin et je ne trouvais pour cela rien de mieux qu’une pipe, et d’autre part, je voulais qu’il jouisse encore une fois. Mouloud accepta le cadeau que je venais de lui faire – sans qu’il n’ait eu à me le demander – et me laissa mener la fellation à mon rythme et à mon goût. Il ne me fallut pas plus de deux minutes pour l’entendre rugir et pour recevoir une giclée de sperme à l’intérieur de ma bouche. Le jus n’était plus aussi abondant et épais que les autres fois. Cette fois-ci j’avalais le tout. Je sortis l’engin de ma bouche – il avait complètement ramolli – et, fière comme si je venais d’accomplir un exploit, je levai la tête pour regarder mon homme dans les yeux et lui envoyai un sourire éclatant en lui demandant :- Et hab-ni ? (Tu m’aimes ?) - Hemlagh-kem ! En-habek ! (Je t’aime !) Rassurée, je m’endormis presque immédiatement après cette déclaration d’amour. Je dormis comme une buche pendant quelques heures, avec Mouloud à mes côtés. Je me réveillais très tôt le matin. C’était comme si je sortais d’un épais brouillard. Je mis un long moment pour reprendre complètement mes esprits et me remémorer tout ce que j’avais fait pendant la nuit. Et devinez ce qui m’avait le plus frappé au réveil ! Je venais de me rappeler que Mouloud m’avait baisé de partout, sauf par ma chatte ! Avouez tout de même que c’est assez exceptionnel de penser à ce détail, alors que je venais de passer une nuit complètement folle. Tout ce qui me venait en tête, c’était que mon amant ne m’avait pas encore possédée par devant.
Je venais de faire une nouvelle fixation. Il me fallait absolument réveiller mon amant, qui dormait à poings fermés à mes côtés et l’obliger à me tirer encore une fois. Je voulais sentir son zob me défoncer la chatte. Comme je n’osais pas le réveiller brutalement, je me mis à embrasser doucement sa poitrine velue et nue. Je promenais lentement mes lèvres et ma langue sur ses tétons et entre ses mamelons. Je descendis jusqu’à son nombril que je titillais avec le bout de ma langue. J’espérais ainsi réveiller son désir et le faire bander à nouveau. Je voulais qu’il bande ferme. Je voulais voir son sabre se dresser vers le plafond. Je voulais m’empaler sur lui. Je ne savais pas s’il en était conscient, ou s’il était entrain de rêver, mais je pus rapidement admirer le résultat de mes caresses labiales et linguales : je vis le monstre se réveiller lentement. Il grandissait et grossissait à vue d’œil. C’était un spectacle divin ! Il fallut moins d’une minute pour qu’il atteigne sa taille normale d’érection. Il était maintenant dressé comme le grand mât d’un bateau.
Je le pris dans ma main pour le caresser doucement. Je ne voulais pas réveiller l’homme. Je voulais le grimper dans son sommeil. C’était comme si j’allais le violer ! Quel délice ! Rien que d’y penser j’étais complètement mouillée. Je me mis à califourchon sur les cuisses de Mouloud, qui avait gardé les yeux fermés. Je positionnais ma chatte au dessus de la bête que je sentais frémir dans ma main et l’introduisis entre mes grandes lèvres qui s’écartèrent pour laisser passer le gland. Je rabaissai brusquement mon bassin et ma chatte vint s’empaler totalement sur le mât.
Cela réveilla totalement Mouloud qui m’envoya son sourire de fauve prédateur. Il envoya ses mains pour m’attraper par la taille et accompagna ainsi le mouvement montant et descendant de ma chatte sur son magnifique zob. Un zob qui remplissait complètement mon vagin. Je me forçais à faire monter très haut mon bassin et à le faire descendre brusquement pour faire pénétrer l’engin le plus loin possible. Je fis ainsi une dizaine d’allers-retours, avant de donner des signes de fatigue. Mouloud prit tout de suite le relais. Il me força à maintenir mes hanches immobiles, à une quinzaine de centimètres au dessus de son membre et se mit à pilonner furieusement ma chatte. C’était merveilleux ! Je sentais le manche aller et venir dans mon tunnel en limant très fort les parois. Et plus il limait, plus il m’arrachait des cris de plaisir qui devenaient de plus en plus sonores.
Inconsciemment, je m’étais mise à soliloquer sur le plaisir que me procurait le zob qui prenait possession de ma chatte.
- N’heb zebek fi saouti ! N’heb zebek ! N’heb zboub ! Abouche ! Abouche boughioul ! Abouche iqarihan ! (J’adore ton zob dans ma chatte ! J’adore ton zob ! j’adore les zobs ! Zob ! Un zob d’âne ! Un zob qui fait mal !) Je le voyais, en dessous de moi, qui regardait son zob entrer et sortir de mon vagin. Il avait les yeux qui brillaient de plaisir. Il aimait le spectacle qu’il voyait. Il en bavait même. Et il souriait aux mots qu’il entendait et qui sortaient presque inconsciemment de ma bouche. J’eus un immense orgasme. Je sentais que je ne contrôlais plus rien ; ma tête partait dans tous les sens ; de ma bouche sortait des litres de bave, qui allaient s’étaler sur la poitrine velue de mon maître. Ma respiration était devenue tellement rapide que je me sentais étouffer. Le plaisir était tellement intense ! C’était tellement bon ! Je suivais le cheminement de l’orgasme depuis l’intérieur de mon vagin, jusqu’à ma colonne vertébrale en passant par mon bas-ventre, en me faisant la réflexion que j’allais mourir de plaisir !
Mouloud, lui ahanait comme un bucheron. Je voyais son visage qui commençait à se figer et ses lèvres qui s’étiraient et qui blanchissaient à vue d’œil. Il était lui-même au bord de l’apoplexie. Il allait jouir. Nous allions jouir ensemble. Et effectivement nous poussâmes tous les deux en même temps, un long râle de mourants. Je déchargeai en criant des insanités et en m’effondrant sur mon homme. Lui continuait à maintenir mes hanches à la bonne hauteur et pilonnait ma chatte jusqu’à ce qu’il termine de tout éjaculer. Je sentais le sperme chaud ressortir de ma chatte et aller s’étaler sur le pubis de mon amant. Quand il se vida complètement, il relâcha brusquement mes hanches et je retombais sur lui, la chatte toujours empalée sur son mât qui avait perdu un peu de sa rigidité.
Nous passâmes le reste de la matinée au lit. Je m’étais levée un moment pour me doucher et préparer un petit déjeuner gargantuesque que nous prîmes au lit. Nous continuâmes de flirter jusque vers midi. Nous refîmes même l’amour une dernière fois, plus sagement cette fois-ci. Enfin, c’est une manière de parler : parce que le diable d’homme m’avait tirée en levrette et à la hussarde. Il déchargea ce qui lui restait de sperme dans mon vagin. Je décidais – je ne savais pas encore pourquoi je faisais ça – de ne pas me laver et de garder le sperme en moi ; y compris celui qui ressortit et s’était étalé entre mes cuisses.
C’était le moment de me lever et de me préparer pour aller chercher Rachid, mon mari, de l’aéroport. Je le dis à Mouloud, qui accepta de se lever, se laver, se rhabiller et quitter l’appartement. Il me donna rendez-vous pour le surlendemain, mais cette fois-ci, chez un de ses amis. J’acceptais avec empressement, tout en me posant la question sur la réaction de mon mari quand je lui raconterai ce que je venais de faire et ce que je projetais de faire le surlendemain. Je me disais que rien, absolument rien – pas même le refus catégorique de mon mari – ne pouvait m’empêcher de continuer mes nouvelles expériences érotiques. Je venais de découvrir le monde merveilleux du plaisir sexuel sans bornes et il n’était pas question que je le quitte comme cela. Je voulais revoir Mouloud – et faire la connaissance de ses amis – et connaître d’autres expériences sexuelles, qui m’emmèneront au septième ciel.
Je retrouvais Rachid, juste à l’heure, dans l’aérogare. Il m’envoya de loin un sourire rayonnant – le sourire qu’il avait toujours quand il était heureux – et m’embrassa tendrement sur les deux joues, dès qu’il arriva devant moi. J’étais un peu gênée, ne sachant pas trop quoi lui dire. Il ne m’avait jamais réellement dit qu’il voulait que je le fasse cocu (sauf au téléphone la pendant la journée précédente) et maintenant qu’il l’est vraiment devenu, comment allait-il prendre la chose ?
- Tu as passée une bonne nuit ?
- Excellente !
- Avec Mouloud ?
- Oui !
- Ça a été bien ?
- Oui !
- Tu me raconteras ?
- Plus tard.
Nous n’en dîmes pas plus, tout au long du trajet. Mais je sentais que Rachid me regardait d’un air bizarre. Non pas que je sentais un quelconque mécontentement chez lui – il me semblait bien que c’était le contraire qu’il montrait – mais il y avait quelque chose de changé dans son comportement.
Un peu comme s’il était curieux de voir ce qui avait changé en moi. Mais il ne me demanda rien jusqu’au moment où nous rejoignîmes la maison. Il déposa son sac de voyage devant la porte d’entrée et me prit la main pour m’emmener vers le canapé du salon. Il s’assit le premier et me fit assoir à côté de lui.
- Tu as aimé te faire tirer par un autre homme ? Tu en as éprouvé beaucoup de plaisir ?
- …- N’aie pas peur, je ne suis pas du tout mécontent ; ni jaloux. Je veux seulement savoir si tu as été heureuse de me faire porter des cornes ? Si tu as pris beaucoup de plaisir à te faire tirer par un homme exceptionnellement membré. Si tu as aimé sa manière de te tirer. Si tu es devenue accro au sexe. Si tu comptes continuer sur cette voie. Si tu te sens l’âme d’une pute.
- Pourquoi tu veux que je devienne une pute ? Un qahba ? Une femme qui cherchera à se faire tirer par tous les hommes qu’elle rencontrera ?
- Oui ! Je voudrais que chaque jour tu aies un amant - ou même plusieurs - que tu prennes ton pied avec lui – ou avec eux – et que tu me reviennes le soir me raconter et m’offrir à mon tour un peu de bonheur. Tu veux ? Dis-moi oui !
- Oui ! D’ailleurs après-demain, j’ai encore rendez-vous avec Mouloud, qui doit me présenter à son groupe. Il parait qu’ils ne vivent que pour, et par, l’amour libre.
Bizarrement, je venais de faire connaissance du nouveau Rachid. Un Rachid, complètement différent de celui qui avait été mon mari pendant vingt-cinq ans. Un mari qui se découvrait une vocation de cocu et qui adorait cette situation. D’ailleurs ce jour là, il me démontra à quel point il était content de moi. Il me fit l’amour, comme jamais il ne me l’avait fait auparavant. Il me fit même jouir ! Une vraie jouissance d’amant et de maîtresse ! Pas de mari et de femme ! Je crois que ce qui avait déclenché l’excitation paroxysmique de Rachid, c’était l’odeur de sperme que j’avais encore sur moi.
C’était du moins comme cela qu’avaient commencé nos ébats ce jour-là.
- Il y a en toi comme une odeur bizarre de sperme, me dit-il en m’embrassant.
- C’est vrai, je n’ai pas eu le temps de me doucher ce matin. J’ai gardé ma chatte avec le sperme qu’avait éjaculé Mouloud. Je vais me doucher tout de suite.
- Ah non ! Certainement pas ! Je veux voir ! Je veux toucher ! Je veux lécher !
Et c’est comme cela que mon mari me fit un super cunnilingus qui me transporta au paradis. Il me fit jouir comme une folle, en me suçant la chatte encore pleine du sperme de mon amant de la nuit. Il se permit même de m’enculer – et de réveiller la douleur du brutal dépucelage de la veille – et de jouir dans mon cul en criant qu’il m’adorait et qu’il adorait me baiser à la suite de mes amants.
Et c’est comme cela qu’aujourd’hui encore je me comporte en vraie pute, en offrant mon corps à toutes sortes d’amants, qui me donnent chaque fois un plaisir sexuel toujours renouvelé. Et que chaque fois, en rentrant le soir, j’offre à mon mari mon corps « sali » par mes amants et dont il tire un maximum de plaisir érotique.
Parce que Mouloud - et plus tard Rachid qui, sans me le dire explicitement, m’avait fait comprendre qu’il apprécierait que j’offre mon corps à d’autres hommes – n’était pas du genre possessif et exclusif. Il m’avait très vite annoncé qu’il allait me partager avec d’autres hommes ; des connaissances à lui qui ne vivaient que pour et par le sexe. Il m’avait expliqué qu’il faisait partie d’un groupe – hommes et femmes – qui ne concevaient l’amour que libre et sans tabous et qui ne vivaient leurs relations amoureuses que dans ce cadre presque libertin. Il m’avait promis de me présenter aux membres du groupe et il était convaincu qu’ils allaient m’accueillir les bras ouverts. J’étais, m’avait-il dit, très douée pour l’érotisme débridé.
Pour en revenir à cette première nuit d’adultère, je dois dire que j’en avais eu pour mon argent.
Sans avoir prémédité quoi que ce soit, j’avais fait cette nuit là – et toute la matinée du lendemain – connaissance avec toutes les facettes de l’érotisme. Je suis totalement incapable de décrire toutes les sensations – parfois douloureuses – que je connus au cours de ces heures passées à me faire tirer par l’immense membre de Mouloud.
Après avoir pris une douche rapide pour me débarrasser de tout le sperme dont mon corps était totalement enduit, avoir changé de tenue (la nouvelle était toute aussi coquine que la première) et préparé un en cas pour nous sustenter, nous allâmes directement dans la chambre à coucher pour poursuivre nos ébats. Mouloud, avait fait preuve d’une vigueur et d’une résistance à vraiment extraordinaires. A ce jour, je n’ai pas encore rencontré – parmi tous les amants qui l’ont suivi – d’hommes aussi résistant que mon pirate. Et je ne parle pas de son immense membre ! Il a tout détruit sur son passage : ma gorge, qui m’a fait mal des journées entières (j’avais du mal à parler, tant il avait pesé sur mes cordes vocales au cours de la fellation passée) ; ma vulve qu’il avait élargie au-delà de tout ce que je pouvais penser ; et surtout, mon anus, qu’il avait inauguré et…dynamité !
C’est, aujourd’hui encore, le souvenir de cette folle nuit qui m’a le plus marqué : ma première sodomisation. Après avoir mangé rapidement dans la cuisine - j’avais préparé en quelques minutes un steak et une salade – nous rejoignîmes la chambre à coucher. Moi devant et lui derrière moi. Je sentais qu’il mâtait mes fesses avec son regard de prédateur. J’avais encore très envie de faire l’amour, malgré que j’avais joui très fort, à peine trois quart d’heure auparavant. J’étais entrain de me découvrir une âme de nymphomane. Je n’étais jamais rassasiée ! J’avais toujours envie de baiser ! Et Mouloud, n’attendait que cela. Il bandait en permanence (il était resté presque nu, vêtu de sa seule chemise - totalement déboutonnée - qui ne cachait rien de son intimité. Et son intimité, c’était cet immense glaive, toujours debout et toujours menaçant.
Arrivé au pied du grand lit - notre lit conjugal à Rachid et à moi – Mouloud qui était derrière moi, m’attrapa par la taille pour me coller contre son corps. Il me susurra à l’oreille : - Je vais maintenant t’enculer ! Je vais te défoncer le cul ! Je vais te faire mal ! Je vais te faire hurler de douleur – et de plaisir !
Les mots crus qu’il prononçait me procuraient d’étranges sensations : des picotements au niveau du bas-ventre et sur le bout de mes seins. Je m’étais remise à couler. Je m’étais arrêtée au bord du lit et je m’étais plaquée contre le corps de Mouloud, qui frottait son pubis contre le bas de mon dos. Il était beaucoup plus grand que moi et je sentais son manche, dressé et dur comme du bois, frémir contre le bas de ma colonne vertébrale. Il enleva une de ses mains de ma taille et l’envoya s’emparer de mon sein droit, qu’il se mit à presser et à caresser. Mon excitation, déjà très forte, commençait à devenir insupportable. J’avais mal au bas ventre. Il me fallait une pénétration immédiate pour me calmer. Mais malgré cela, je ne dis rien : j’attendais la suite. Une suite que j’appréhendais, mais que j’attendais avec impatience. L’impatience de découvrir de nouvelles sensations. Je sentais le souffle chaud de mon amant sur mon cou. Et je l’entendais m’annoncer, dans un mélange de kabyle et d’arabe, ce qui m’attendait.
- Akmeqough essdhefir ! En-nikek melour ! Amerzagh akerkour-im ! En-kasserlek gaârek ! Akem felqagh ! En-wedj’aâk ! (Je vais te niquer par derrière ! Je vais te démolir le cul ! Je vais t’éclater! Je vais te faire mal !)Il m’annonçait que j’allais passer un mauvais moment et que beaucoup de douleur m’attendait. Mais au lieu d’avoir peur, de me cabrer, de refuser, ce que j’entendais me mettait en émoi ! J’avais hâte que mon pirate me défonce le cul ! J’avais hâte de connaître cette nouvelle sensation d’être dépucelée par derrière et…par un engin monstrueux ! J’étais dans un autre monde : un monde de soumission et d’attente. Soumission à la volonté du maître. Et en attente de la saillie. Comme une jument ! Ou comme une génisse ! Ou, plus justement, comme une chienne ! J’étais une chienne en chaleur, qui attendait impatiemment d’être pénétrée !
Mouloud qui continuait de me susurrer ses mots crus à l’oreille, m’attrapa par la taille pour m’indiquer la position qu’il voulait que je prenne. Il me fit mettre à quatre pattes en travers du lit, les hanches remontées au maximum pour être à la hauteur de son engin. Je tournais la tête pour essayer d’apercevoir ce qu’il était entrain de faire : il était resté debout au bord du lit, le sexe dressé, tel un sabre menaçant. Il voulait me tirer debout ! Je le voyais qui contemplait le spectacle impudique qu’il avait sous les yeux : j’étais là devant lui, le cul en l’air, offert à sa concupiscence. Au bout de quelques secondes, je le vis qui tendit sa main droite vers mes fesses.
Et à partir de là, tout en moi sombra : j’étais tombée dans un autre monde. J’avais enfoncé ma tête profondément dans un oreiller et je m’étais mise à attendre. Attendre, écouter et sentir ce qui allait advenir. Tout mon être était tendu et attendait ! Une attente, en même temps douloureuse et délicieuse !
Je sentis une main calleuse et ferme écarter mes fesses pour dégager la rondelle de mon anus. Une rondelle très serrée, mais que je sentais palpiter (de peur ou de désir, je ne savais pas trop).
Mouloud ne se pressait pas : il admirait le spectacle qu’il avait sous les yeux : il avait une vue imprenable sur les grandes lèvres de ma chatte. Il voyait que je coulais comme une fontaine. Je sentis deux doigts qui écartèrent mes grandes lèvres et qui plongèrent à l’intérieur du vagin. Je me mis à trembler comme une feuille. La sensation que me procurèrent ces doigts à l’intérieur de mon intimité était indescriptible. Je pensais qu’il n’avait pas pu résister à l’envie de me caresser la chatte, et qu’il allait me tirer par là. J’avais tout faux ! Il était seulement entrain de ramasser le plus de cyprine possible pour essayer de lubrifier mon anus. Je sentis, en effet, ses doigts qui enduisaient l’entrée de mon anus avec le liquide qu’ils venaient de ramasser. Ils s’y reprirent à plusieurs fois, jusqu’à ce que je les sentis qui pénétrèrent - difficilement - à l’intérieur du rectum. Ils allaient et venaient dans le boyau et essayaient d’élargir l’anneau pour faciliter la pénétration du monstre qui attendait impatiemment son tour pour occuper la place.
Mouloud se positionna derrière moi, prit son engin dans une main et plaça le gland au centre de l’anneau. Je sentis immédiatement la dureté du gland et son diamètre trop grand pour pouvoir pénétrer facilement à l’intérieur de mon rectum. Je savais qu’il allait me faire atrocement mal. Il agrippa mes hanches avec ses deux mains et je sentis qu’il exerçait une poussée – d’abord légère, puis de plus en plus puissante, face à la résistance qu’opposait l’anneau trop étroit. Le bout du gland finit par pénétrer légèrement. Je le sentis ressortir. Je devinais que Mouloud cherchait à le lubrifier encore plus, pour lui permettre une pénétration plus aisée. Je l’entendis qui crachait dans sa main et je devinai qu’il s’enduisait le manche avec sa salive.
Et effectivement moins d’une seconde après, je sentis la menace revenir sur mon anneau, qui était resté dans la même position d’attente. Mouloud refit une deuxième tentative pour faire pénétrer le gland à l’intérieur. La poussée de ses hanches était plus forte. Le gland pénétra presque totalement. Il avait encore du mal à dépasser le sphincter. Je sentis les énormes paluches de mon maître agripper plus fermement mes hanches et tirer brutalement sur ses bras. La douleur que je ressentis en ce moment était la pire des douleurs que j’avais connues dans ma vie. J’avais ressenti mon anneau s’étirer, s’étirer encore, pour atteindre le maximum de son élasticité. Et puis, il lâcha et se déchira, provoquant cette douleur atroce que je ressentis.
- Aie !!! Bellââqel ! Doucement ! Kessartli gaâri ! Tu m’as éclaté le cul ! N’oublie pas que je suis vierge de ce côté !
Mouloud fit celui qui n’avait pas entendu. Il ne prêta aucune attention à mes protestations et continuait de pousser très fort, de manière à aller jusqu’au fond de mon boyau. Ce ne fut que quand son pubis vint cogner contre mes fesses qu’il arrêta de pousser sur ses hanches. Mais même à ce moment-là, il ne s’arrêta pas pour permettre à la douleur de se calmer. Il fit refaire à son engin le chemin inverse jusqu’à l’entrée de mon anus, qu’il ne dépassa pourtant pas. Il entreprit un furieux va-et-vient, qui me fit hurler de douleur. Et malgré cela, malgré le mal atroce qu’il provoquait en moi, je ne voulais pas qu’il s’arrêtât. Je voulais qu’il continue. Je ressentais du plaisir à avoir mal ! La sensation était vraiment bizarre: douleur et plaisir en même temps ! Mouloud continuait de pilonner mon cul en poussant des han de bûcheron. Il prenait son pied et me le faisait sentir en accélérant ses coups de boutoir et en soliloquant – de manière presque inaudible – avec des bouts de phrases en kabyle, arabe et français, qui indiquaient tout le plaisir qu’il prenait.
- Ach’hal yel‘ha ou khouzzidhim ! Akhouzzidh ajdhidh ! Ach’ha mlih ! En-hab en-nik en-nsa melour ! En-hab en-kessar ! Dhel djeneth ! Dhel djeneth bou bouchiw ! (Comme ton cul est délicieux ! Un cul tout neuf ! Comme c’est bon ! J’adore niquer les femmes par derrière ! J’adore démolir ! C’est le paradis ! C’est le paradis pour mon zob !) Et moi je continuais de crier de douleur à chacun de ses assauts. Mais mes cris devenaient de plus en plus faibles et se transformaient progressivement en gémissements, dans lesquels se mêlaient plaisir et douleur. C’est le moment que choisit ce diable d’homme pour me faire connaître une nouvelle sensation. Il lança sa main droite vers ma chatte et, après quelques secondes de réglage, y fit pénétrer deux doigts pour me masturber en même temps qu’il continuait de m’enculer. Quelle sensation ! Je ne pus m’empêcher de hurler un « Ouiii ! » retentissant, pour faire savoir à mon maître que j’aimais ce qu’il me faisait. Je voulais faire durer cette nouvelle sensation de plaisir le plus longtemps possible. Je voulais même en, accroître l’intensité en bougeant mes hanches de manière à accompagner et les coups de boutoir du zob dans mon cul, et le mouvement de ses doigts dans sa chatte. Je me mis même à lâcher des bribes de phrases crues, qui en fait n’étaient destinées qu’à accroitre l’intensité du plaisir que j’étais entrain de prendre.
- Zid ! Ma tahbesch ! Ach’hal mlih ki et-nikni ‘hakdha melour ou et’hekli saouti ! Ach’hal the sneddh atseqouddh ! Ach’hal yelha oubouchikh ! (Continue ! Ne t’arrête pas ! C’est merveilleux d’être enculée et masturbée en même temps ! Comme tu sais niquer ! Comme ton zob est merveilleux !) Mouloud était le Diable en personne ! Il était entrain de me faire adorer la sodomisation ! J’étais maintenant sure de ne plus pouvoir m’en passer. Je sentais que j’allais avoir un orgasme vraiment exceptionnel. D’une intensité que je n’avais pas encore atteinte jusque là. Et pourtant, il m’avait semblé que j’avais déjà joui très fort cette nuit. Je sentais aussi que mon homme était sur le point d’éjaculer. Il accélérait encore plus ses va-et-vient dans mon cul et son souffle se faisait de plus en plus haletant. Il cria qu’il n’allait pas tarder à jouir et à m’inonder de sperme. Tout en continuant de soliloquer, Mouloud accélérait les furieux allers-retours de son sabre dans mon boyau et de ses doigts dans mon vagin.
Ce fut lui qui céda le premier. J’entendis un râle d’enfer et je sentis comme une brulure à l’intérieur de mon cul : la brulure d’une première giclée de sperme épais et visqueux. Il continuait de pilonner mon anus pour se vider complètement, en rugissant comme un lion. Je pris la main qui me masturbait et lui fis accélérer le mouvement de manière à ce que l’immense orgasme que je sentais débouler en moi, arrive au moment même où Mouloud aura fini d’éjaculer. Et je tombais en tournoyant dans un immense puits de jouissance. Je me sentais sortir de mon corps, pourrejoindre le monde merveilleux du plaisir sexuel. Ce que je ressentais dépassait de loin tout ce que j’avais ressenti jusque là. Je hurlais que j’étais entrain de jouir ! (comme si ce n’était pas visible et que cela ne s’entendait pas !) Je criais que je voulais recommencer toute de suite après !
- En-3âwdou en-nikou ! Goul-li ett-3awed et-nik-ni ! ‘hak-dha melour ! Es-dheffir ! Seg khouzzidh ! (Nous recommencerons de niquer ! Dis-moi que tu recommenceras de me niquer ! Comme cela, par derrière ! Par derrière ! Par le cul !)Et, vaincue par la fatigue, je m’affalai, fourbue sur le lit, entraînant mon homme avec moi.
Mouloud resta un long moment sur mon dos, son membre toujours en forme, planté dans mon anus. Je sentais qu’il en voulait encore. Plus que moi qui étais vraiment fourbue et qui avait mal partout. Mais je ne voulais pas en rester là : je me disais que le désir de mon homme n’était pas totalement assouvi et que je me devais de rester à sa disposition. D’ailleurs, c’était exactement ce qu’il pensait. Je restais sa chose – sa kelba (sa chienne), me dit-il. En sortant sa queue, toujours en érection, il se remit debout au bord du lit, me retourna pour que je lui fasse face, et m’ordonna de venir sucer sa queue, pleine de mes sécrétions anales.
- Lahssi-li zebi ! Ghaslih be-foumek ! (Lèche-moi le zob ! Lave-le ave ta bouche !)J’eus une hésitation à obéir à un tel ordre. Il ne me demandait rien de moins que de sucer et avaler mon caca. Mais en voyant son regard qui devenait sombre, je compris qu’il ne plaisantait pas et qu’il me fallait en passer par là. Vaincue et soumise, je me mis à nettoyer la superbe queue de Mouloud avec ma langue. J’avalai - avec un peu de dégout au départ, puis de plus en plus consciencieusement- tout ce que ma langue ramassait sur le mât de mon homme, entre le reste de foutre et les produits de mon cul. De temps en temps, je levai la tête et jetait un regard inquiet sur le visage de Mouloud pour voir s’il appréciait. Il souriait aux anges ! Il était heureux ! Il adorait ce que j’étais entrain de lui faire ! J’étais sa chienne obéissante et il adorait ça ! Et moi aussi j’aimais cette situation avilissante pour moi ! J’étais vraiment devenue sa chose ! Il pouvait faire de moi tout ce qu’il voulait. Je crois – mais je ne lui dis jamais – que s’il m’avait demandé d’aboyer, je l’aurais fait sans hésiter.
Pour lui démontrer que j’étais à l’écoute du moindre de ses désirs, j’ouvris très grand ma bouche et y fis pénétrer la queue pour une nouvelle fellation. D’une part je voulais finir de nettoyer complètement l’engin et je ne trouvais pour cela rien de mieux qu’une pipe, et d’autre part, je voulais qu’il jouisse encore une fois. Mouloud accepta le cadeau que je venais de lui faire – sans qu’il n’ait eu à me le demander – et me laissa mener la fellation à mon rythme et à mon goût. Il ne me fallut pas plus de deux minutes pour l’entendre rugir et pour recevoir une giclée de sperme à l’intérieur de ma bouche. Le jus n’était plus aussi abondant et épais que les autres fois. Cette fois-ci j’avalais le tout. Je sortis l’engin de ma bouche – il avait complètement ramolli – et, fière comme si je venais d’accomplir un exploit, je levai la tête pour regarder mon homme dans les yeux et lui envoyai un sourire éclatant en lui demandant :- Et hab-ni ? (Tu m’aimes ?) - Hemlagh-kem ! En-habek ! (Je t’aime !) Rassurée, je m’endormis presque immédiatement après cette déclaration d’amour. Je dormis comme une buche pendant quelques heures, avec Mouloud à mes côtés. Je me réveillais très tôt le matin. C’était comme si je sortais d’un épais brouillard. Je mis un long moment pour reprendre complètement mes esprits et me remémorer tout ce que j’avais fait pendant la nuit. Et devinez ce qui m’avait le plus frappé au réveil ! Je venais de me rappeler que Mouloud m’avait baisé de partout, sauf par ma chatte ! Avouez tout de même que c’est assez exceptionnel de penser à ce détail, alors que je venais de passer une nuit complètement folle. Tout ce qui me venait en tête, c’était que mon amant ne m’avait pas encore possédée par devant.
Je venais de faire une nouvelle fixation. Il me fallait absolument réveiller mon amant, qui dormait à poings fermés à mes côtés et l’obliger à me tirer encore une fois. Je voulais sentir son zob me défoncer la chatte. Comme je n’osais pas le réveiller brutalement, je me mis à embrasser doucement sa poitrine velue et nue. Je promenais lentement mes lèvres et ma langue sur ses tétons et entre ses mamelons. Je descendis jusqu’à son nombril que je titillais avec le bout de ma langue. J’espérais ainsi réveiller son désir et le faire bander à nouveau. Je voulais qu’il bande ferme. Je voulais voir son sabre se dresser vers le plafond. Je voulais m’empaler sur lui. Je ne savais pas s’il en était conscient, ou s’il était entrain de rêver, mais je pus rapidement admirer le résultat de mes caresses labiales et linguales : je vis le monstre se réveiller lentement. Il grandissait et grossissait à vue d’œil. C’était un spectacle divin ! Il fallut moins d’une minute pour qu’il atteigne sa taille normale d’érection. Il était maintenant dressé comme le grand mât d’un bateau.
Je le pris dans ma main pour le caresser doucement. Je ne voulais pas réveiller l’homme. Je voulais le grimper dans son sommeil. C’était comme si j’allais le violer ! Quel délice ! Rien que d’y penser j’étais complètement mouillée. Je me mis à califourchon sur les cuisses de Mouloud, qui avait gardé les yeux fermés. Je positionnais ma chatte au dessus de la bête que je sentais frémir dans ma main et l’introduisis entre mes grandes lèvres qui s’écartèrent pour laisser passer le gland. Je rabaissai brusquement mon bassin et ma chatte vint s’empaler totalement sur le mât.
Cela réveilla totalement Mouloud qui m’envoya son sourire de fauve prédateur. Il envoya ses mains pour m’attraper par la taille et accompagna ainsi le mouvement montant et descendant de ma chatte sur son magnifique zob. Un zob qui remplissait complètement mon vagin. Je me forçais à faire monter très haut mon bassin et à le faire descendre brusquement pour faire pénétrer l’engin le plus loin possible. Je fis ainsi une dizaine d’allers-retours, avant de donner des signes de fatigue. Mouloud prit tout de suite le relais. Il me força à maintenir mes hanches immobiles, à une quinzaine de centimètres au dessus de son membre et se mit à pilonner furieusement ma chatte. C’était merveilleux ! Je sentais le manche aller et venir dans mon tunnel en limant très fort les parois. Et plus il limait, plus il m’arrachait des cris de plaisir qui devenaient de plus en plus sonores.
Inconsciemment, je m’étais mise à soliloquer sur le plaisir que me procurait le zob qui prenait possession de ma chatte.
- N’heb zebek fi saouti ! N’heb zebek ! N’heb zboub ! Abouche ! Abouche boughioul ! Abouche iqarihan ! (J’adore ton zob dans ma chatte ! J’adore ton zob ! j’adore les zobs ! Zob ! Un zob d’âne ! Un zob qui fait mal !) Je le voyais, en dessous de moi, qui regardait son zob entrer et sortir de mon vagin. Il avait les yeux qui brillaient de plaisir. Il aimait le spectacle qu’il voyait. Il en bavait même. Et il souriait aux mots qu’il entendait et qui sortaient presque inconsciemment de ma bouche. J’eus un immense orgasme. Je sentais que je ne contrôlais plus rien ; ma tête partait dans tous les sens ; de ma bouche sortait des litres de bave, qui allaient s’étaler sur la poitrine velue de mon maître. Ma respiration était devenue tellement rapide que je me sentais étouffer. Le plaisir était tellement intense ! C’était tellement bon ! Je suivais le cheminement de l’orgasme depuis l’intérieur de mon vagin, jusqu’à ma colonne vertébrale en passant par mon bas-ventre, en me faisant la réflexion que j’allais mourir de plaisir !
Mouloud, lui ahanait comme un bucheron. Je voyais son visage qui commençait à se figer et ses lèvres qui s’étiraient et qui blanchissaient à vue d’œil. Il était lui-même au bord de l’apoplexie. Il allait jouir. Nous allions jouir ensemble. Et effectivement nous poussâmes tous les deux en même temps, un long râle de mourants. Je déchargeai en criant des insanités et en m’effondrant sur mon homme. Lui continuait à maintenir mes hanches à la bonne hauteur et pilonnait ma chatte jusqu’à ce qu’il termine de tout éjaculer. Je sentais le sperme chaud ressortir de ma chatte et aller s’étaler sur le pubis de mon amant. Quand il se vida complètement, il relâcha brusquement mes hanches et je retombais sur lui, la chatte toujours empalée sur son mât qui avait perdu un peu de sa rigidité.
Nous passâmes le reste de la matinée au lit. Je m’étais levée un moment pour me doucher et préparer un petit déjeuner gargantuesque que nous prîmes au lit. Nous continuâmes de flirter jusque vers midi. Nous refîmes même l’amour une dernière fois, plus sagement cette fois-ci. Enfin, c’est une manière de parler : parce que le diable d’homme m’avait tirée en levrette et à la hussarde. Il déchargea ce qui lui restait de sperme dans mon vagin. Je décidais – je ne savais pas encore pourquoi je faisais ça – de ne pas me laver et de garder le sperme en moi ; y compris celui qui ressortit et s’était étalé entre mes cuisses.
C’était le moment de me lever et de me préparer pour aller chercher Rachid, mon mari, de l’aéroport. Je le dis à Mouloud, qui accepta de se lever, se laver, se rhabiller et quitter l’appartement. Il me donna rendez-vous pour le surlendemain, mais cette fois-ci, chez un de ses amis. J’acceptais avec empressement, tout en me posant la question sur la réaction de mon mari quand je lui raconterai ce que je venais de faire et ce que je projetais de faire le surlendemain. Je me disais que rien, absolument rien – pas même le refus catégorique de mon mari – ne pouvait m’empêcher de continuer mes nouvelles expériences érotiques. Je venais de découvrir le monde merveilleux du plaisir sexuel sans bornes et il n’était pas question que je le quitte comme cela. Je voulais revoir Mouloud – et faire la connaissance de ses amis – et connaître d’autres expériences sexuelles, qui m’emmèneront au septième ciel.
Je retrouvais Rachid, juste à l’heure, dans l’aérogare. Il m’envoya de loin un sourire rayonnant – le sourire qu’il avait toujours quand il était heureux – et m’embrassa tendrement sur les deux joues, dès qu’il arriva devant moi. J’étais un peu gênée, ne sachant pas trop quoi lui dire. Il ne m’avait jamais réellement dit qu’il voulait que je le fasse cocu (sauf au téléphone la pendant la journée précédente) et maintenant qu’il l’est vraiment devenu, comment allait-il prendre la chose ?
- Tu as passée une bonne nuit ?
- Excellente !
- Avec Mouloud ?
- Oui !
- Ça a été bien ?
- Oui !
- Tu me raconteras ?
- Plus tard.
Nous n’en dîmes pas plus, tout au long du trajet. Mais je sentais que Rachid me regardait d’un air bizarre. Non pas que je sentais un quelconque mécontentement chez lui – il me semblait bien que c’était le contraire qu’il montrait – mais il y avait quelque chose de changé dans son comportement.
Un peu comme s’il était curieux de voir ce qui avait changé en moi. Mais il ne me demanda rien jusqu’au moment où nous rejoignîmes la maison. Il déposa son sac de voyage devant la porte d’entrée et me prit la main pour m’emmener vers le canapé du salon. Il s’assit le premier et me fit assoir à côté de lui.
- Tu as aimé te faire tirer par un autre homme ? Tu en as éprouvé beaucoup de plaisir ?
- …- N’aie pas peur, je ne suis pas du tout mécontent ; ni jaloux. Je veux seulement savoir si tu as été heureuse de me faire porter des cornes ? Si tu as pris beaucoup de plaisir à te faire tirer par un homme exceptionnellement membré. Si tu as aimé sa manière de te tirer. Si tu es devenue accro au sexe. Si tu comptes continuer sur cette voie. Si tu te sens l’âme d’une pute.
- Pourquoi tu veux que je devienne une pute ? Un qahba ? Une femme qui cherchera à se faire tirer par tous les hommes qu’elle rencontrera ?
- Oui ! Je voudrais que chaque jour tu aies un amant - ou même plusieurs - que tu prennes ton pied avec lui – ou avec eux – et que tu me reviennes le soir me raconter et m’offrir à mon tour un peu de bonheur. Tu veux ? Dis-moi oui !
- Oui ! D’ailleurs après-demain, j’ai encore rendez-vous avec Mouloud, qui doit me présenter à son groupe. Il parait qu’ils ne vivent que pour, et par, l’amour libre.
Bizarrement, je venais de faire connaissance du nouveau Rachid. Un Rachid, complètement différent de celui qui avait été mon mari pendant vingt-cinq ans. Un mari qui se découvrait une vocation de cocu et qui adorait cette situation. D’ailleurs ce jour là, il me démontra à quel point il était content de moi. Il me fit l’amour, comme jamais il ne me l’avait fait auparavant. Il me fit même jouir ! Une vraie jouissance d’amant et de maîtresse ! Pas de mari et de femme ! Je crois que ce qui avait déclenché l’excitation paroxysmique de Rachid, c’était l’odeur de sperme que j’avais encore sur moi.
C’était du moins comme cela qu’avaient commencé nos ébats ce jour-là.
- Il y a en toi comme une odeur bizarre de sperme, me dit-il en m’embrassant.
- C’est vrai, je n’ai pas eu le temps de me doucher ce matin. J’ai gardé ma chatte avec le sperme qu’avait éjaculé Mouloud. Je vais me doucher tout de suite.
- Ah non ! Certainement pas ! Je veux voir ! Je veux toucher ! Je veux lécher !
Et c’est comme cela que mon mari me fit un super cunnilingus qui me transporta au paradis. Il me fit jouir comme une folle, en me suçant la chatte encore pleine du sperme de mon amant de la nuit. Il se permit même de m’enculer – et de réveiller la douleur du brutal dépucelage de la veille – et de jouir dans mon cul en criant qu’il m’adorait et qu’il adorait me baiser à la suite de mes amants.
Et c’est comme cela qu’aujourd’hui encore je me comporte en vraie pute, en offrant mon corps à toutes sortes d’amants, qui me donnent chaque fois un plaisir sexuel toujours renouvelé. Et que chaque fois, en rentrant le soir, j’offre à mon mari mon corps « sali » par mes amants et dont il tire un maximum de plaisir érotique.
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11 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Elle devient une kahba car elle apprend a aimer se faire niquees dans tout ces trous avec d autres personnes c cela une kahba
Les femmes qui font de adultères ou de tant à autre des aventures sans lendemain ce n est pas des putes (kahba)
Les femmes qui font de adultères ou de tant à autre des aventures sans lendemain ce n est pas des putes (kahba)
franchement ,je vous tire mon chapeau pour vos histoires si bien racontées.Je mouille
et je jouis à chaque fois que je vous lis.J'ai envie de vous connaitre et de goutter au
sexe avec vous.comment vous contacter?
et je jouis à chaque fois que je vous lis.J'ai envie de vous connaitre et de goutter au
sexe avec vous.comment vous contacter?
Merci pour cette histoire hyper excitante d'un candauliste qui s'accepte tel qu'il est
! Une remarque cependant : on ne peut être un maître ès érotisme mais un maître en
érotisme car ès (qui se prononce comme l' "esse") signifie : en les ; ainsi, on doit
dire licencié ès lettres ou ès sciences, mais docteur en droit...
! Une remarque cependant : on ne peut être un maître ès érotisme mais un maître en
érotisme car ès (qui se prononce comme l' "esse") signifie : en les ; ainsi, on doit
dire licencié ès lettres ou ès sciences, mais docteur en droit...
je me suis imaginé à la place de Mouloud!!!!Aaahhh !!quel bonheur le langage vulgaire pendant la baise et en termes populaires s'il vous plait!!!! Mr GUERRACHE , vous avez contribué à l'effervescence de ma Libido!!!Merci encore!!!Mais je voudrais que NAJIA reste à l'individuel pas de BANG BANG !!!!ce n'est pas encoreAlgérien et puis s'eloigne de la réalité metaphorique plus palpable et plus concrète!!!
j'ai eu peur mon couple a les memes prenoms. c'est tres exitant
Quelle magnifique histoire de baise. Tu es le meilleur !
L effet des mots en arabe c est magique
merci et continu.
merci et continu.
Une histoire très excitante, j'aime la femme chaude qui aime avoir le zeb fel souwa,
dakhel kharej .....ahhhh
Momo
dakhel kharej .....ahhhh
Momo
TRES EMOUVANT ET C'EST BIEN RACONTé
Vous savez tres bien raconter. Tu es devenue une as de la baise. Quelle chance a Mouloud qui demeure également maitre. Bonne continuation et à la prochaine.
Merci de publier cette magnifique histoire