Najia, ou l’apprentissage de l’adultère (5ème Partie)
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Najia, ou l’apprentissage de l’adultère (5ème Partie)
Quand Rachid revint à la maison, vers dix-neuf heures, il ne nous trouva qu’à trois – Horia, Fredy et moi. Comme à son habitude, Mouloud s’était défilé avant le retour de mon mari. Horia avait même commenté la chose en exprimant son incompréhension.
- Je ne comprends pas pourquoi vous vous comportez comme ça. Cela me parait très hypocrite. Rachid est au courant de ce qui se passe entre toi et Mouloud. Je crois même savoir que c’est lui qui est à l’origine de la situation. Alors pourquoi refuser qu’ils se retrouvent tous les deux avec toi, après vos séances de cul ?
Je ne répondis rien à Horia. D’ailleurs qu’aurais-je pu lui répondre ? Je ne comprenais pas moi-même la raison de ce contrat tacite que nous avions passé tous les trois : Rachid savait ce que je faisais avec son ami ; je lui racontais même dans le détail tout ce que nous avions fait ensemble, avant qu’il ne revienne du travail. Et il s’en excitait tellement qu’il se comportait avec moi, à l’mage du taureau qui montait à l’assaut de la vache pour laquelle il était en rut. Et tous les deux nous n’en tirions que du plaisir ! Je me promettais de trouver très vite une réponse plausible à cette question ou de changer la donne, si la réponse ne me satisfaisait pas. Mais ce n’était nullement le moment pour cela, me dis-je, hypocritement. On verra cela demain. Ou un autre jour !
Rachid ouvrit la porte d’entrée avec ses propres clés. Il n’aimait pas sonner, pour me déranger. Il nous trouva, nos invités et moi, réunis dans la cuisine. Comme, il était au courant de la présence de sa sœur et de son compagnon, il ne feint pas l’étonnement. Il serra très fort sa sœur dans ses bras en l’embrassant tendrement sur les joues, et serra chaudement la main de Frédéric. Quant à moi, il me réserva un léger baiser sur la bouche.
- Elle est bien comme je te l’avais toujours décrite ? (Il s’adressait à moi en me montrant sa sœur) Aussi charmante et sympathique ? Ça a été une bonne surprise pour toi ?
- Oui, mais tu aurais quand même dû m’en parler. Je leur aurais préparé un meilleur accueil.
- Et tu aurais empêché Mouloud d’être présent ! N’est-ce pas mieux comme cela. Tout le monde connaît tout le monde et je suppose que tout le monde a profité de tout le monde ! J’ai tort ?
Ni Horia, ni moi ne répondîmes à la question. C’était inutile. Il connaissait sa sœur (qu’il aimait tendrement et dont il appréciait et les positions de principe et le mode de vie) et il me connaissait. Il savait qu’avec nous, tout irait dans le sens qu’il avait prévu : Frédéric pour moi et Mouloud pour elle. C’était écrit dans le marbre et rien n’aurait pu y déroger.
Rachid, qui ne connaissait pas Fredy auparavant, se mit à l’étudier longuement du regard. D’une manière inconvenante, presque gênante. Gênante, pour moi seule, parce que ni Horia, ni son compagnon ne semblaient trouver quelque chose à redire sur les manières un peu cavalières de mon mari. Horia avait parlé à son frère – ils étaient en contact permanent, par téléphone et internet – de son « mec » en des termes très flatteurs, aussi bien sur son physique de top-model que sur son tempérament au lit. Elle trouvait donc normal qu’il le dévisage ainsi sans vergogne, cherchant en lui les détails qui confirmeraient ou infirmeraient tout le bien que lui en avait dit sa sœur.
Quant à Frédéric, il semblait avoir l’habitude d’être l’objet des regards interrogatifs et jaloux des hommes et ceux, plus concupiscents des femmes qu’il rencontrait. Il faut dire que mon amant de l’après-midi, n’était pas du genre loquace : il parlait très peu. Peut-être par timidité, que même le succès, jamais démenti, qu’il avait auprès de la gent féminine, n’arrivait pas effacer. Ou peut-être parce qu’il n’avait pas poursuivi très loin ses études – il avait commencé à travailler à l’âge de dix-neuf ans, comme agent d’accueil dans un grand hôtel, pour en devenir une dizaine d’années plus tard, le directeur/gérant - et qu’il pensait avoir une culture générale insuffisante pour participer à nos discussions trop intellectuelles à son goût. Depuis que nous étions dans la cuisine, nous avions abordé ma belle-sœur et moi, pleins de sujets relevant de la situation politco-socio-économique algérienne et française qu’il ne semblait pas maîtriser, contrairement à sa compagne qui avait une culture générale véritablement encyclopédique.
…/…
Nous passâmes à table – parce que malgré les souillures que j’avais gardées entre mes cuisses, j’avais tenu à préparer un léger dîner – et nous mangeâmes tous les quatre avec appétit. Nous parlâmes de choses et d’autres pendant l’heure que dura le repas. Ce furent surtout Horia et Rachid, qui parlèrent : ils avaient beaucoup de choses à se dire ; plein de souvenirs communs à se remémorer; plein de nouvelles à s’échanger sur des parents ou des amis d’enfance. Frédy et moi ne participions à la discussion que quand l’un ou l’autre s’adressait à nous et nous questionnait sur une chose précise.
Rachid, tout en parlant avec sa sœur ne pouvait s’empêcher de lancer des regards curieux sur Fréderic et sur moi. Le connaissant, je savais qu’il était entrain de se poser des tas de questions sur nos ébats de l’après-midi. Il regardait l’homme en l’imaginant, tout nu, entrain de se faire sucer la bite par sa femme. Il imaginait la taille et la vigueur de cette bite qui allait s’occuper de mes divers orifices. Il essayait d’imaginer toute l’intensité du plaisir que je prenais entre les bras de l’apollon qu’il avait en face de lui, ainsi que la manière dont je l’exprimais et les mots crus et impudiques que j’utilisais en ces moment de plaisir intense. Comme il était assis à côté de moi, je pouvais voir la tente indécente qui était entrain de se former entre ses jambes sur le devant de son pantalon. Ce qu’il était entrain d’imaginer et de se décrire en pensées, le faisait bander comme un âne.
J’avais envie d’y mettre la main, pour palper le mât de tente qui se cachait sous le pantalon. Peut-être à cause d’un reste d’éducation bourgeoise, je me retins de le faire. Mais j’avais hâte que le repas finisse pour que nous puisions nous retirer dans nos chambres. Horia et Fréderic étaient visiblement fatigués : le voyage d’abord et les ébats amoureux de l’après-midi ensuite, les avaient lessivés. Je me disais donc, qu’il ne serait pas impoli des les envoyer se reposer dans la chambre d’amis, pendant que Rachid et moi allions batifoler dans notre chambre. Et cela se passa exactement comme cela : nos invités allèrent directement se coucher. J’eus un petit pincement au cœur, en les voyant partir vers la chambre, bras dessus, bras dessous, en imaginant Horia, profitant du bel engin de son mec, que je désirais me réserver pendant toute la durée de leur séjour.
Mais dans la vie, on ne peut pas tout avoir. Pour le moment, j’avais mon mari qui était aussi excité qu’un bouc et qui me promettait une nuit d’amour exceptionnelle. Je savais qu’il allait me faire jouir très fort, malgré tout le plaisir que j’avais eu toute l’après-midi. Depuis un certain temps, je me posais des questions – presque existentielles – sur mon appétit sexuel qui devenait énorme et envahissant. Je n’étais jamais rassasiée. Même après avoir joui comme une folle plusieurs fois dans la journée, il suffisait que quelqu’un m’allume, pour que cela m’excite fortement et que ma chatte se remette à couler comme une fontaine. J’étais très étonnée, moi-même de l’évolution qui s’était déroulée en moi, en si peu de temps. Il a fallu moins d’une année, pour que l’épouse et la mère de famille qui avait été tellement sage pendant une vingtaine d’années, devienne une vraie nymphomane, ne pensant qu’à se faire tirer par tous les hommes beaux et virils qu’elle rencontre.
J’étais toujours en manque ! Et dans mes moments de lucidité, je m’en inquiétais un peu. Pas trop, il faut le dire ! Parce que pour le moment tout se déroulait à merveille. J’avais des amants vraiment merveilleux qui – pour parler vulgairement – me « donnaient mon compte », et un mari « compréhensif » qui lui aussi, « me donnait mon compte », après celui de mes amants. Tout était parfait ! Pourquoi assombrir la situation ? Profitons-en tant que nous pouvons le faire ; sans fausse honte et surtout sans sentiment de culpabilité!
Et cette nuit-là, j’en ai profité au-delà de l’imaginable. Rachid était dans un état d’excitation que je ne lui avais encore jamais vu. Il bandait tellement fort qu’il en avait mal au bas-ventre. Peut-être me dis-je, que c’est à cause de la présence dans la maison de celui qui m’avait tirée toute l’après-midi. Peut-être aussi qu’en reniflant le sperme de Frédy que j’avais gardé sur les cuisses et tout autour et dans la chatte, l’image du gaouri entrain de se vider sur et dans moi, était plus nette, parce qu’il était dans la chambre à côté. Peut-être…
Mais en fait ce n’était pas cela qui l’excitait si fort. J’en eus la réponse, on ne peut plus claire, au moment où il commença de se laisser aller à parler pour exprimer ses sensations. En fait, il ne faisait que soliloquer. Car même s’il s’adressait à moi, c’était surtout à lui-même qu’il s’adressait. Il le faisait tantôt en kabyle et tantôt en arabe :
- Yel’ha woubouche ouroumi ! Mlih zeb el-gaouri ! Zeb machi em-khaten ! Moqar oubouchiss ? yeghlev wouina en-mouloud ? Kbir zebbou ? Kthar men enta’3 mouloud ? Yenssan adh-yeqou ? Am mouloud? Ya’3ref i-nik ? Kima mouloud? (Il est bon le zob de l’européen! Un zob non circoncis! Il est grand son zob ? Plus grand que celui de Mouloud ? Il baise bien ? Comme Mouloud ?)
Dans tout ce qu’il disait, pendant qu’il me léchait et avalait goulument toutes les souillures qu’il trouvait sur en dans moi, il parlait comme cela. Dans toutes ses phrases, je retrouvais Mouloud. C’était pour lui comme une obsession. Un étalon avec lequel, il voulait mesurer l’intensité du savoir faire de mon nouvel amant et du plaisir qu’il m’avait donné. Il flashait aussi sur la qualité d’européen – plus exactement de non musulman – du mec, qui avait un sexe « nature », non « étêté » ; qui avait gardé son prépuce.
…/…
Et mon homme, tout en humant, léchant, suçant et avalant, bandait tellement fort, que je crus que son sexe allait exploser. Il s’était déshabillé à la hâte et était resté uniquement avec sa chemise et ses chaussettes. Il était vraiment magnifique ! Il m’entreprenait avec fureur ! Ses mouvements étaient saccadés. Il passait frénétiquement d’un endroit à l’autre de mon corps, comme s’il ne savait pas ce qu’il voulait me faire en priorité. Il embrassait mes seins, passait immédiatement à mon cou, puis redescendait vers ma chatte, qu’il léchait et suçait pendant quelques secondes, avant de mettre un doigt dans mon cul. Et il recommençait !
- Yeqakem ouroumi! Nakek el-gaouri! I tchouri-kem sezzel-is! 3’amrek bezzel! La the tsrihidh sezzel ouroumi! Rani en-chem ezzel elgaouri ! The swidh ezzel-is ? Echrabti ezzel enta’3’ou ? Zzidh’ ezzel-is? Hlou ezzel en-ta3’ou ? (Il t’a baisée, l’européen ! Il t’a remplie de son sperme ! Tu embaumes le sperme de l’européen ! Tu as bu son sperme ? Il a bon goût son sperme ?)
Il continuait comme cela à soliloquer, sans attendre aucune réponse de moi. Il était totalement dans son plaisir. Et j’avoue avoir été moi-même très sensible à ses baisers, ses caresses, ses branlettes à l’intérieure de ma chatte, et…ses mots ! Je coulais aussi fort qu’une fontaine ! Je voulais qu’il s’arrête d’aller aussi frénétiquement, sans s’y attarder, d’un endroit de mon corps à un autre. J’étais pressée qu’il s’occupe d’un de mes trous. N’importe lequel ! Qu’il m’enfile avec son manche que, de temps en temps - quand il se levait pour changer de position, ou quand il le prenait dans sa main pour le caresser et le faire patienter - je voyais frétiller devant moi, et qui avait atteint des dimensions que je ne lui avais encore jamais vues. Au bout d’un temps, qui m’avait paru une éternité, je ne tins plus et lui dis en arabe :
- Dakhel ‘hou li ! Wach testenna ? Hatt ‘hou-li fi sawti! Oula fi ga’3ri! Nik-ni bezzour! Werri-li qouwet zebbek ! Kessarli hatchouni ! Koun radjel ! Kima elgaouri ! Khir men el-gaouri ! Nik-ni ya tehhan ! Ya tehhan ! (Pénètre-moi ! Qu’est-ce que tu attends ? Mets-le-moi dans la chatte ! Ou dans le cul ! Baise-moi en force ! Montre-moi la puissance de ton zob ! Détruit-moi la chatte ! Sois un homme ! Comme l’européen ! Mieux que l’européen ! Nique-moi espèce de cocu ! Cocu !)
Il ne se fit pas prier pour me faire lever brutalement les jambes et positionner mes chevilles sur ses épaules – une des positions qu’il adorait, parce qu’elle lui permettait d’aller au plus profond de mon vagin, de me faire mal en me cassant en deux et en transformant ma paroi vaginale en brasier incandescent – et il me pénétra brutalement en me faisant pousser un petit cri de douleur, rapidement transformé en une série de « ouiiii !!! » dont le volume augmentait au fur et à mesure qu’augmentait l’intensité du plaisir que je ressentais. Et lui, tout en soufflant bruyamment, continuait son soliloque dans les deux langues :
- Khoudhi ya kelba ! Ou goulili achkoun i-nik kheir ; ana oula el gaouri ? Hebiti zeb el gaouri ! Et-habbi zebi kthar ! Khoudhi ezzeb en-t’a3 radjlek ! Zeb etahhan ! Gouli-li tahhan ! Tahhan !(Prend espèce de pute ! Et dis-moi qui est meilleur; moi ou l’européen ? Tu as aimé le zob de l’européen ! Tu aimeras encore plus le mien! Prends le zob de ton mari ! Le zob d’un cocu ! Dis-moi cocu ! Cocu !)
- Tahhan ! Tahhan ! Tahhan ! Tahhan ! Tahhaaaaaan !!!! (Cocu! Cocu ! Cocu ! Cocuuu !!!)
Je ne sais pas si c’était le mot “cocu” – dit en arabe algérien - qui avait sur nous cet effet intensificateur et accélérateur de jouissance, mais dès que nous nous mîmes à le prononcer sur tous les tons, nous ne tardâmes pas sentir arriver l’un des plus magnifiques orgasmes que avions eus ensemble. Un orgasme tellement intense que je me sentis défaillir. Je crus même avoir perdu connaissance un court moment. Mon mari aussi semblait être dans un autre monde. Il s’était arrêté de respirer un moment, pour se mettre à lancer un long rugissement de lion en même temps qu’il déversait tout son foutre, en une très longue giclée, dans ma chatte. Il continua les furieux allers-retours de son manche dans mon vagin, jusqu’à ce qu’il se vidât de sa dernière goutte de sperme. Une grande partie ressortît de ma chatte pour s’étaler sur le drap du lit.
Il sortit l’engin, beaucoup moins fringant après l’assaut, et me permit de reposer mes jambes qui s’étaient ankylosées sous l’effort. Il regarda entre mes jambes et vit tout le sperme qu’il avait éjaculé – mélangé au jus que j’avais déchargé au cours de l’orgasme – et tout en reprenant sa respiration, fit la remarque suivante :
- J’aurais aimé éjaculer tout ce sperme dans ta bouche pour que tu le boives et que tu en compares le goût à celui du gaouri !
- Tu veux que je te suce pour que tu éjacule dans ma bouche ?
- Non, je n’en aurai pas autant ! Je crois que j’ai tout versé en une seule fois ! Je voudrais que tu lèches le drap, rien que pour comparer ! Tu veux ?
Je n’avais rien à lui refuser. Bien que je connaissais parfaitement le goût du foutre de mon mari – j’en avais avalé des litres depuis le temps que nous faisions l’amour de cette manière – je me mis à quatre pattes, et comme une chienne le ferait pour laper de l’eau, je léchai soigneusement l’endroit du drap qui avait reçu le produit de nos deux orgasmes. Je mis même un zèle exagéré à lui montrer combien j’aimais ça : à chaque fois que j’avalai une lampée du mélange, je levai la tête vers lui et en souriant de manière provocante, je faisais claquer ma langue pour lui montrer combien j’aimais son sperme.
- Quahba, (salope !) tu es entrain de me provoquer pour que je te tire encore une fois ! reste comme cela en position de levrette, je vais te montrer que mon zob est aussi puissant que ceux des amants que tu as eus jusqu’ici !
- Nik-ni ya tahhan ! Nik martek ! Nik qahba en-ta’3ek ! Nik Wahiba ! Ou goul’ha ach-hal et-hab’ha ! (Tire-moi, espèce de cocu ! Nique ta femme ! Nique ta pute ! Et dis-lui combien tu l’aimes !)
Et tout en positionnant au bord du lit de manière à ce qu’il puisse me tirer en restant debout sur le carrelage, il me pénétra toujours avec autant de furie que tantôt, non pas dans la chatte, comme il me l’avait fait croire, mais dans le cul. Il me fit encore une fois très mal, mais ne s’en préoccupa pas pour autant. Et tout en m’enculant brutalement, il sifflait entre ses dents des mots et des phrases que j’avais du mal à distinguer clairement, mais dont je connaissais maintenant parfaitement la teneur.
- En-mout a’3la el-qahba en-ta’3i ! En-mout a’3la ga’3ar’ha ! En-mout a’3la souwet’ha ! En-hab groun li daret’houm-li ! En-hab en-koun tahhan ! Goulili ma tehabsich etniki m’a3a redjal ! Ou tekemli et-diri-li groun ! Nhab groun ! En-mout a’3la groun ! (J’adore ma pute à moi ! J’adore son cul ! J’adore sa chatte ! J’adore les cornes qu’elle me fait porter ! J’adore être cocu ! Dis-moi que tu n’arrêteras pas de baiser avec des hommes ! Et que tu continueras à me faire porter des cornes ! J’aime les cornes ! J’adore les cornes ! )
Je ne faisais que deviner le détail de ce qu’il disait entre ses dents – il ne disait pas les choses aussi distinctement que je le rapporte ci-dessus – mais je suis sûre d’être dans le vrai. Il me parlait souvent – après nos ébats – de son statut de cocu. Il l’assumait parfaitement et il me disait que depuis que je m’offrais à d’autres hommes, il était devenu le plus heureux des maris. Un mari cocu et heureux de l’être ! Il me disait qu’il avait pour moi un amour infini, encore plus grand qu’auparavant. Avant, disait-il, il m’aimait énormément, mais il savait qu’au fond de lui, il lui manquait quelque chose de fondamental pour un bonheur parfait : l’image de sa femme entre les bras puissants d’autres hommes. L’image de la femme qu’il adore entrain de subir les assauts brutaux et furieux de ses amants ! Et maintenant que la chose était arrivée, il était au paradis ! Et il me remerciait en m’embrassant tendrement et en me prenant dans ses bras pour me serrer très fort.
Et une fois encore, nous eûmes ensemble, et même temps, un bel orgasme. Il n’avait pas la même intensité que le précédent, mais il avait un goût tout aussi savoureux. Exténué, nous nous enlaçâmes et sombrâmes presqu’immédiatement dans un profond sommeil. Nous ne nous débarrassâmes même pas de nos souillures, trop fatigués pour aller nous laver dans la salle de bain. Ce sera pour demain, avions-nous décidé.
…/…
Le lendemain matin c’était un vendredi, donc jour de congé hebdomadaire, et d’habitude nous faisions la grasse matinée. Jusqu’à neuf heures ou parfois même jusqu’à dix heures, quand nous avions eu une semaine vraiment fatigante. Ce matin là nous ne fîmes pas exception, même si nous nous posions la question tous les deux de savoir ce que faisait le couple qui avait passé la nuit dans la chambre à côté. De toutes les façons, nous dîmes-nous, s’ils se lèvent avant nous, ils trouveront le petit déjeuner tout prêt et encore chaud. Ils n’auront qu’à se débrouiller
En effet c’était toujours Rachid qui se levait le premier, aussi bien pour occuper la salle de bain aussi longtemps qu’il le souhaitait – il prenait toujours beaucoup de temps pour se doucher, se raser et se faire beau – que pour préparer le petit déjeuner. Cette fois-ci il devait préparer un petit déjeuner pour quatre personnes. Il se leva donc vers huit heures et après sa douche, il sortit - emmitouflé dans une robe de chambre, qu’il portait sur son pyjama - pour aller acheter des beignets chauds chez le Tunisien d’à côté. C’était depuis des lustres une espèce de rite chez nous : le matin nous consommons chacun un grand bol de café au lait (ou de chocolat au lait pour les enfants quant ils étaient encore là) accompagnés de deux ou trois beignets encore fumants, que préparait le vendeur de pâtisseries tunisiennes installé dans le quartier depuis des temps immémoriaux. Il ne viendrait pas à l’esprit de l’un d’entre nous de déroger à la règle du petit déjeuner avec des beignets chauds.
Une fois que le petit déjeuner était prêt, il mit le lait et le café dans des thermos et les beignets sous cloche pour qu’ils gardent leur chaleur le plus longtemps possible, et revint s’allonger auprès de moi, qui dormais encore. Il ne me réveilla pas. Il se contenta de se coller contre moi et de me regarder dormir. Quand je me réveillais - je venais de finir un rêve tout plein de Frédéric, de Mouloud et de Mohand qui me tiraient tous ensemble devant Rachid qui regardait la scène en souriant et en se branlant furieusement – je le trouvais qui me regardait avec une tendresse infinie. Il me fit un superbe sourire et me dit bonjour en déposant un petit baiser sur mes lèvres. Je lui rendis son sourire et lui racontai le rêve que je venais de faire.
Son sourire s’accentua et il me fit la réflexion qu’il serait vraiment heureux d’assister à une telle scène.
- C’est vrai que tu aimerais bien assister à une de mes parties de jambes en l’air avec Mouloud, ou Frédéric, ou Mohand, ou même avec les trois ensembles. Peut-être même en présence Raïssa et de Horia ?
- Ce serait vraiment extraordinaire ! C’est mon rêve !
- Et tu veux vraiment qu’il devienne réalité ? Cela ne te gênera pas d’être là à nous regarder baiser comme des bêtes ? Sans y participer ? En y participant ?
- J’en rêve, mais je ne sais pas comment je me comporterais si cela venait à se réaliser. Je ne suis pas encore très sûr de prendre cela très bien ! J’ai peur que la honte – devant ton ou tes amants et peut-être devant leurs femmes – l’emporte sur le plaisir. La jalousie, non ! Je suis sûr que je ne serais pas jaloux ! Mais la honte, je ne sais pas encore !
- Il faudra qu’un de ces jours, on essaie, en commençant avec un seul homme ! Peut-être Frédéric, si j’arrive à le séparer de Horia !
Et voilà comment, sans même y avoir réfléchi à l’avance et échafauder quelque plan machiavélique que ce soit, j’en étais arrivée à cette conclusion que bientôt je me ferai baiser par le gaouri qui était chez nous, avec mon mari comme spectateur. Il ne me restait plus qu’à trouver la solution pour éloigner pour quelques heures ma belle-sœur de la maison, tout en y gardant son mec.
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- Je ne comprends pas pourquoi vous vous comportez comme ça. Cela me parait très hypocrite. Rachid est au courant de ce qui se passe entre toi et Mouloud. Je crois même savoir que c’est lui qui est à l’origine de la situation. Alors pourquoi refuser qu’ils se retrouvent tous les deux avec toi, après vos séances de cul ?
Je ne répondis rien à Horia. D’ailleurs qu’aurais-je pu lui répondre ? Je ne comprenais pas moi-même la raison de ce contrat tacite que nous avions passé tous les trois : Rachid savait ce que je faisais avec son ami ; je lui racontais même dans le détail tout ce que nous avions fait ensemble, avant qu’il ne revienne du travail. Et il s’en excitait tellement qu’il se comportait avec moi, à l’mage du taureau qui montait à l’assaut de la vache pour laquelle il était en rut. Et tous les deux nous n’en tirions que du plaisir ! Je me promettais de trouver très vite une réponse plausible à cette question ou de changer la donne, si la réponse ne me satisfaisait pas. Mais ce n’était nullement le moment pour cela, me dis-je, hypocritement. On verra cela demain. Ou un autre jour !
Rachid ouvrit la porte d’entrée avec ses propres clés. Il n’aimait pas sonner, pour me déranger. Il nous trouva, nos invités et moi, réunis dans la cuisine. Comme, il était au courant de la présence de sa sœur et de son compagnon, il ne feint pas l’étonnement. Il serra très fort sa sœur dans ses bras en l’embrassant tendrement sur les joues, et serra chaudement la main de Frédéric. Quant à moi, il me réserva un léger baiser sur la bouche.
- Elle est bien comme je te l’avais toujours décrite ? (Il s’adressait à moi en me montrant sa sœur) Aussi charmante et sympathique ? Ça a été une bonne surprise pour toi ?
- Oui, mais tu aurais quand même dû m’en parler. Je leur aurais préparé un meilleur accueil.
- Et tu aurais empêché Mouloud d’être présent ! N’est-ce pas mieux comme cela. Tout le monde connaît tout le monde et je suppose que tout le monde a profité de tout le monde ! J’ai tort ?
Ni Horia, ni moi ne répondîmes à la question. C’était inutile. Il connaissait sa sœur (qu’il aimait tendrement et dont il appréciait et les positions de principe et le mode de vie) et il me connaissait. Il savait qu’avec nous, tout irait dans le sens qu’il avait prévu : Frédéric pour moi et Mouloud pour elle. C’était écrit dans le marbre et rien n’aurait pu y déroger.
Rachid, qui ne connaissait pas Fredy auparavant, se mit à l’étudier longuement du regard. D’une manière inconvenante, presque gênante. Gênante, pour moi seule, parce que ni Horia, ni son compagnon ne semblaient trouver quelque chose à redire sur les manières un peu cavalières de mon mari. Horia avait parlé à son frère – ils étaient en contact permanent, par téléphone et internet – de son « mec » en des termes très flatteurs, aussi bien sur son physique de top-model que sur son tempérament au lit. Elle trouvait donc normal qu’il le dévisage ainsi sans vergogne, cherchant en lui les détails qui confirmeraient ou infirmeraient tout le bien que lui en avait dit sa sœur.
Quant à Frédéric, il semblait avoir l’habitude d’être l’objet des regards interrogatifs et jaloux des hommes et ceux, plus concupiscents des femmes qu’il rencontrait. Il faut dire que mon amant de l’après-midi, n’était pas du genre loquace : il parlait très peu. Peut-être par timidité, que même le succès, jamais démenti, qu’il avait auprès de la gent féminine, n’arrivait pas effacer. Ou peut-être parce qu’il n’avait pas poursuivi très loin ses études – il avait commencé à travailler à l’âge de dix-neuf ans, comme agent d’accueil dans un grand hôtel, pour en devenir une dizaine d’années plus tard, le directeur/gérant - et qu’il pensait avoir une culture générale insuffisante pour participer à nos discussions trop intellectuelles à son goût. Depuis que nous étions dans la cuisine, nous avions abordé ma belle-sœur et moi, pleins de sujets relevant de la situation politco-socio-économique algérienne et française qu’il ne semblait pas maîtriser, contrairement à sa compagne qui avait une culture générale véritablement encyclopédique.
…/…
Nous passâmes à table – parce que malgré les souillures que j’avais gardées entre mes cuisses, j’avais tenu à préparer un léger dîner – et nous mangeâmes tous les quatre avec appétit. Nous parlâmes de choses et d’autres pendant l’heure que dura le repas. Ce furent surtout Horia et Rachid, qui parlèrent : ils avaient beaucoup de choses à se dire ; plein de souvenirs communs à se remémorer; plein de nouvelles à s’échanger sur des parents ou des amis d’enfance. Frédy et moi ne participions à la discussion que quand l’un ou l’autre s’adressait à nous et nous questionnait sur une chose précise.
Rachid, tout en parlant avec sa sœur ne pouvait s’empêcher de lancer des regards curieux sur Fréderic et sur moi. Le connaissant, je savais qu’il était entrain de se poser des tas de questions sur nos ébats de l’après-midi. Il regardait l’homme en l’imaginant, tout nu, entrain de se faire sucer la bite par sa femme. Il imaginait la taille et la vigueur de cette bite qui allait s’occuper de mes divers orifices. Il essayait d’imaginer toute l’intensité du plaisir que je prenais entre les bras de l’apollon qu’il avait en face de lui, ainsi que la manière dont je l’exprimais et les mots crus et impudiques que j’utilisais en ces moment de plaisir intense. Comme il était assis à côté de moi, je pouvais voir la tente indécente qui était entrain de se former entre ses jambes sur le devant de son pantalon. Ce qu’il était entrain d’imaginer et de se décrire en pensées, le faisait bander comme un âne.
J’avais envie d’y mettre la main, pour palper le mât de tente qui se cachait sous le pantalon. Peut-être à cause d’un reste d’éducation bourgeoise, je me retins de le faire. Mais j’avais hâte que le repas finisse pour que nous puisions nous retirer dans nos chambres. Horia et Fréderic étaient visiblement fatigués : le voyage d’abord et les ébats amoureux de l’après-midi ensuite, les avaient lessivés. Je me disais donc, qu’il ne serait pas impoli des les envoyer se reposer dans la chambre d’amis, pendant que Rachid et moi allions batifoler dans notre chambre. Et cela se passa exactement comme cela : nos invités allèrent directement se coucher. J’eus un petit pincement au cœur, en les voyant partir vers la chambre, bras dessus, bras dessous, en imaginant Horia, profitant du bel engin de son mec, que je désirais me réserver pendant toute la durée de leur séjour.
Mais dans la vie, on ne peut pas tout avoir. Pour le moment, j’avais mon mari qui était aussi excité qu’un bouc et qui me promettait une nuit d’amour exceptionnelle. Je savais qu’il allait me faire jouir très fort, malgré tout le plaisir que j’avais eu toute l’après-midi. Depuis un certain temps, je me posais des questions – presque existentielles – sur mon appétit sexuel qui devenait énorme et envahissant. Je n’étais jamais rassasiée. Même après avoir joui comme une folle plusieurs fois dans la journée, il suffisait que quelqu’un m’allume, pour que cela m’excite fortement et que ma chatte se remette à couler comme une fontaine. J’étais très étonnée, moi-même de l’évolution qui s’était déroulée en moi, en si peu de temps. Il a fallu moins d’une année, pour que l’épouse et la mère de famille qui avait été tellement sage pendant une vingtaine d’années, devienne une vraie nymphomane, ne pensant qu’à se faire tirer par tous les hommes beaux et virils qu’elle rencontre.
J’étais toujours en manque ! Et dans mes moments de lucidité, je m’en inquiétais un peu. Pas trop, il faut le dire ! Parce que pour le moment tout se déroulait à merveille. J’avais des amants vraiment merveilleux qui – pour parler vulgairement – me « donnaient mon compte », et un mari « compréhensif » qui lui aussi, « me donnait mon compte », après celui de mes amants. Tout était parfait ! Pourquoi assombrir la situation ? Profitons-en tant que nous pouvons le faire ; sans fausse honte et surtout sans sentiment de culpabilité!
Et cette nuit-là, j’en ai profité au-delà de l’imaginable. Rachid était dans un état d’excitation que je ne lui avais encore jamais vu. Il bandait tellement fort qu’il en avait mal au bas-ventre. Peut-être me dis-je, que c’est à cause de la présence dans la maison de celui qui m’avait tirée toute l’après-midi. Peut-être aussi qu’en reniflant le sperme de Frédy que j’avais gardé sur les cuisses et tout autour et dans la chatte, l’image du gaouri entrain de se vider sur et dans moi, était plus nette, parce qu’il était dans la chambre à côté. Peut-être…
Mais en fait ce n’était pas cela qui l’excitait si fort. J’en eus la réponse, on ne peut plus claire, au moment où il commença de se laisser aller à parler pour exprimer ses sensations. En fait, il ne faisait que soliloquer. Car même s’il s’adressait à moi, c’était surtout à lui-même qu’il s’adressait. Il le faisait tantôt en kabyle et tantôt en arabe :
- Yel’ha woubouche ouroumi ! Mlih zeb el-gaouri ! Zeb machi em-khaten ! Moqar oubouchiss ? yeghlev wouina en-mouloud ? Kbir zebbou ? Kthar men enta’3 mouloud ? Yenssan adh-yeqou ? Am mouloud? Ya’3ref i-nik ? Kima mouloud? (Il est bon le zob de l’européen! Un zob non circoncis! Il est grand son zob ? Plus grand que celui de Mouloud ? Il baise bien ? Comme Mouloud ?)
Dans tout ce qu’il disait, pendant qu’il me léchait et avalait goulument toutes les souillures qu’il trouvait sur en dans moi, il parlait comme cela. Dans toutes ses phrases, je retrouvais Mouloud. C’était pour lui comme une obsession. Un étalon avec lequel, il voulait mesurer l’intensité du savoir faire de mon nouvel amant et du plaisir qu’il m’avait donné. Il flashait aussi sur la qualité d’européen – plus exactement de non musulman – du mec, qui avait un sexe « nature », non « étêté » ; qui avait gardé son prépuce.
…/…
Et mon homme, tout en humant, léchant, suçant et avalant, bandait tellement fort, que je crus que son sexe allait exploser. Il s’était déshabillé à la hâte et était resté uniquement avec sa chemise et ses chaussettes. Il était vraiment magnifique ! Il m’entreprenait avec fureur ! Ses mouvements étaient saccadés. Il passait frénétiquement d’un endroit à l’autre de mon corps, comme s’il ne savait pas ce qu’il voulait me faire en priorité. Il embrassait mes seins, passait immédiatement à mon cou, puis redescendait vers ma chatte, qu’il léchait et suçait pendant quelques secondes, avant de mettre un doigt dans mon cul. Et il recommençait !
- Yeqakem ouroumi! Nakek el-gaouri! I tchouri-kem sezzel-is! 3’amrek bezzel! La the tsrihidh sezzel ouroumi! Rani en-chem ezzel elgaouri ! The swidh ezzel-is ? Echrabti ezzel enta’3’ou ? Zzidh’ ezzel-is? Hlou ezzel en-ta3’ou ? (Il t’a baisée, l’européen ! Il t’a remplie de son sperme ! Tu embaumes le sperme de l’européen ! Tu as bu son sperme ? Il a bon goût son sperme ?)
Il continuait comme cela à soliloquer, sans attendre aucune réponse de moi. Il était totalement dans son plaisir. Et j’avoue avoir été moi-même très sensible à ses baisers, ses caresses, ses branlettes à l’intérieure de ma chatte, et…ses mots ! Je coulais aussi fort qu’une fontaine ! Je voulais qu’il s’arrête d’aller aussi frénétiquement, sans s’y attarder, d’un endroit de mon corps à un autre. J’étais pressée qu’il s’occupe d’un de mes trous. N’importe lequel ! Qu’il m’enfile avec son manche que, de temps en temps - quand il se levait pour changer de position, ou quand il le prenait dans sa main pour le caresser et le faire patienter - je voyais frétiller devant moi, et qui avait atteint des dimensions que je ne lui avais encore jamais vues. Au bout d’un temps, qui m’avait paru une éternité, je ne tins plus et lui dis en arabe :
- Dakhel ‘hou li ! Wach testenna ? Hatt ‘hou-li fi sawti! Oula fi ga’3ri! Nik-ni bezzour! Werri-li qouwet zebbek ! Kessarli hatchouni ! Koun radjel ! Kima elgaouri ! Khir men el-gaouri ! Nik-ni ya tehhan ! Ya tehhan ! (Pénètre-moi ! Qu’est-ce que tu attends ? Mets-le-moi dans la chatte ! Ou dans le cul ! Baise-moi en force ! Montre-moi la puissance de ton zob ! Détruit-moi la chatte ! Sois un homme ! Comme l’européen ! Mieux que l’européen ! Nique-moi espèce de cocu ! Cocu !)
Il ne se fit pas prier pour me faire lever brutalement les jambes et positionner mes chevilles sur ses épaules – une des positions qu’il adorait, parce qu’elle lui permettait d’aller au plus profond de mon vagin, de me faire mal en me cassant en deux et en transformant ma paroi vaginale en brasier incandescent – et il me pénétra brutalement en me faisant pousser un petit cri de douleur, rapidement transformé en une série de « ouiiii !!! » dont le volume augmentait au fur et à mesure qu’augmentait l’intensité du plaisir que je ressentais. Et lui, tout en soufflant bruyamment, continuait son soliloque dans les deux langues :
- Khoudhi ya kelba ! Ou goulili achkoun i-nik kheir ; ana oula el gaouri ? Hebiti zeb el gaouri ! Et-habbi zebi kthar ! Khoudhi ezzeb en-t’a3 radjlek ! Zeb etahhan ! Gouli-li tahhan ! Tahhan !(Prend espèce de pute ! Et dis-moi qui est meilleur; moi ou l’européen ? Tu as aimé le zob de l’européen ! Tu aimeras encore plus le mien! Prends le zob de ton mari ! Le zob d’un cocu ! Dis-moi cocu ! Cocu !)
- Tahhan ! Tahhan ! Tahhan ! Tahhan ! Tahhaaaaaan !!!! (Cocu! Cocu ! Cocu ! Cocuuu !!!)
Je ne sais pas si c’était le mot “cocu” – dit en arabe algérien - qui avait sur nous cet effet intensificateur et accélérateur de jouissance, mais dès que nous nous mîmes à le prononcer sur tous les tons, nous ne tardâmes pas sentir arriver l’un des plus magnifiques orgasmes que avions eus ensemble. Un orgasme tellement intense que je me sentis défaillir. Je crus même avoir perdu connaissance un court moment. Mon mari aussi semblait être dans un autre monde. Il s’était arrêté de respirer un moment, pour se mettre à lancer un long rugissement de lion en même temps qu’il déversait tout son foutre, en une très longue giclée, dans ma chatte. Il continua les furieux allers-retours de son manche dans mon vagin, jusqu’à ce qu’il se vidât de sa dernière goutte de sperme. Une grande partie ressortît de ma chatte pour s’étaler sur le drap du lit.
Il sortit l’engin, beaucoup moins fringant après l’assaut, et me permit de reposer mes jambes qui s’étaient ankylosées sous l’effort. Il regarda entre mes jambes et vit tout le sperme qu’il avait éjaculé – mélangé au jus que j’avais déchargé au cours de l’orgasme – et tout en reprenant sa respiration, fit la remarque suivante :
- J’aurais aimé éjaculer tout ce sperme dans ta bouche pour que tu le boives et que tu en compares le goût à celui du gaouri !
- Tu veux que je te suce pour que tu éjacule dans ma bouche ?
- Non, je n’en aurai pas autant ! Je crois que j’ai tout versé en une seule fois ! Je voudrais que tu lèches le drap, rien que pour comparer ! Tu veux ?
Je n’avais rien à lui refuser. Bien que je connaissais parfaitement le goût du foutre de mon mari – j’en avais avalé des litres depuis le temps que nous faisions l’amour de cette manière – je me mis à quatre pattes, et comme une chienne le ferait pour laper de l’eau, je léchai soigneusement l’endroit du drap qui avait reçu le produit de nos deux orgasmes. Je mis même un zèle exagéré à lui montrer combien j’aimais ça : à chaque fois que j’avalai une lampée du mélange, je levai la tête vers lui et en souriant de manière provocante, je faisais claquer ma langue pour lui montrer combien j’aimais son sperme.
- Quahba, (salope !) tu es entrain de me provoquer pour que je te tire encore une fois ! reste comme cela en position de levrette, je vais te montrer que mon zob est aussi puissant que ceux des amants que tu as eus jusqu’ici !
- Nik-ni ya tahhan ! Nik martek ! Nik qahba en-ta’3ek ! Nik Wahiba ! Ou goul’ha ach-hal et-hab’ha ! (Tire-moi, espèce de cocu ! Nique ta femme ! Nique ta pute ! Et dis-lui combien tu l’aimes !)
Et tout en positionnant au bord du lit de manière à ce qu’il puisse me tirer en restant debout sur le carrelage, il me pénétra toujours avec autant de furie que tantôt, non pas dans la chatte, comme il me l’avait fait croire, mais dans le cul. Il me fit encore une fois très mal, mais ne s’en préoccupa pas pour autant. Et tout en m’enculant brutalement, il sifflait entre ses dents des mots et des phrases que j’avais du mal à distinguer clairement, mais dont je connaissais maintenant parfaitement la teneur.
- En-mout a’3la el-qahba en-ta’3i ! En-mout a’3la ga’3ar’ha ! En-mout a’3la souwet’ha ! En-hab groun li daret’houm-li ! En-hab en-koun tahhan ! Goulili ma tehabsich etniki m’a3a redjal ! Ou tekemli et-diri-li groun ! Nhab groun ! En-mout a’3la groun ! (J’adore ma pute à moi ! J’adore son cul ! J’adore sa chatte ! J’adore les cornes qu’elle me fait porter ! J’adore être cocu ! Dis-moi que tu n’arrêteras pas de baiser avec des hommes ! Et que tu continueras à me faire porter des cornes ! J’aime les cornes ! J’adore les cornes ! )
Je ne faisais que deviner le détail de ce qu’il disait entre ses dents – il ne disait pas les choses aussi distinctement que je le rapporte ci-dessus – mais je suis sûre d’être dans le vrai. Il me parlait souvent – après nos ébats – de son statut de cocu. Il l’assumait parfaitement et il me disait que depuis que je m’offrais à d’autres hommes, il était devenu le plus heureux des maris. Un mari cocu et heureux de l’être ! Il me disait qu’il avait pour moi un amour infini, encore plus grand qu’auparavant. Avant, disait-il, il m’aimait énormément, mais il savait qu’au fond de lui, il lui manquait quelque chose de fondamental pour un bonheur parfait : l’image de sa femme entre les bras puissants d’autres hommes. L’image de la femme qu’il adore entrain de subir les assauts brutaux et furieux de ses amants ! Et maintenant que la chose était arrivée, il était au paradis ! Et il me remerciait en m’embrassant tendrement et en me prenant dans ses bras pour me serrer très fort.
Et une fois encore, nous eûmes ensemble, et même temps, un bel orgasme. Il n’avait pas la même intensité que le précédent, mais il avait un goût tout aussi savoureux. Exténué, nous nous enlaçâmes et sombrâmes presqu’immédiatement dans un profond sommeil. Nous ne nous débarrassâmes même pas de nos souillures, trop fatigués pour aller nous laver dans la salle de bain. Ce sera pour demain, avions-nous décidé.
…/…
Le lendemain matin c’était un vendredi, donc jour de congé hebdomadaire, et d’habitude nous faisions la grasse matinée. Jusqu’à neuf heures ou parfois même jusqu’à dix heures, quand nous avions eu une semaine vraiment fatigante. Ce matin là nous ne fîmes pas exception, même si nous nous posions la question tous les deux de savoir ce que faisait le couple qui avait passé la nuit dans la chambre à côté. De toutes les façons, nous dîmes-nous, s’ils se lèvent avant nous, ils trouveront le petit déjeuner tout prêt et encore chaud. Ils n’auront qu’à se débrouiller
En effet c’était toujours Rachid qui se levait le premier, aussi bien pour occuper la salle de bain aussi longtemps qu’il le souhaitait – il prenait toujours beaucoup de temps pour se doucher, se raser et se faire beau – que pour préparer le petit déjeuner. Cette fois-ci il devait préparer un petit déjeuner pour quatre personnes. Il se leva donc vers huit heures et après sa douche, il sortit - emmitouflé dans une robe de chambre, qu’il portait sur son pyjama - pour aller acheter des beignets chauds chez le Tunisien d’à côté. C’était depuis des lustres une espèce de rite chez nous : le matin nous consommons chacun un grand bol de café au lait (ou de chocolat au lait pour les enfants quant ils étaient encore là) accompagnés de deux ou trois beignets encore fumants, que préparait le vendeur de pâtisseries tunisiennes installé dans le quartier depuis des temps immémoriaux. Il ne viendrait pas à l’esprit de l’un d’entre nous de déroger à la règle du petit déjeuner avec des beignets chauds.
Une fois que le petit déjeuner était prêt, il mit le lait et le café dans des thermos et les beignets sous cloche pour qu’ils gardent leur chaleur le plus longtemps possible, et revint s’allonger auprès de moi, qui dormais encore. Il ne me réveilla pas. Il se contenta de se coller contre moi et de me regarder dormir. Quand je me réveillais - je venais de finir un rêve tout plein de Frédéric, de Mouloud et de Mohand qui me tiraient tous ensemble devant Rachid qui regardait la scène en souriant et en se branlant furieusement – je le trouvais qui me regardait avec une tendresse infinie. Il me fit un superbe sourire et me dit bonjour en déposant un petit baiser sur mes lèvres. Je lui rendis son sourire et lui racontai le rêve que je venais de faire.
Son sourire s’accentua et il me fit la réflexion qu’il serait vraiment heureux d’assister à une telle scène.
- C’est vrai que tu aimerais bien assister à une de mes parties de jambes en l’air avec Mouloud, ou Frédéric, ou Mohand, ou même avec les trois ensembles. Peut-être même en présence Raïssa et de Horia ?
- Ce serait vraiment extraordinaire ! C’est mon rêve !
- Et tu veux vraiment qu’il devienne réalité ? Cela ne te gênera pas d’être là à nous regarder baiser comme des bêtes ? Sans y participer ? En y participant ?
- J’en rêve, mais je ne sais pas comment je me comporterais si cela venait à se réaliser. Je ne suis pas encore très sûr de prendre cela très bien ! J’ai peur que la honte – devant ton ou tes amants et peut-être devant leurs femmes – l’emporte sur le plaisir. La jalousie, non ! Je suis sûr que je ne serais pas jaloux ! Mais la honte, je ne sais pas encore !
- Il faudra qu’un de ces jours, on essaie, en commençant avec un seul homme ! Peut-être Frédéric, si j’arrive à le séparer de Horia !
Et voilà comment, sans même y avoir réfléchi à l’avance et échafauder quelque plan machiavélique que ce soit, j’en étais arrivée à cette conclusion que bientôt je me ferai baiser par le gaouri qui était chez nous, avec mon mari comme spectateur. Il ne me restait plus qu’à trouver la solution pour éloigner pour quelques heures ma belle-sœur de la maison, tout en y gardant son mec.
…/…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
c'est plus que magnifique c'est le mari qui a le plus de chance d'avoir une femme aussi salope.vivement la suite.merci
Merci d avoir répondu à mes doléances, c magnifique
Extraordinaire, bandant ! Je suis devenu accro à ces histoires ! On en redemande ! Félicitations ! Encoooore !