Najia, ou l’apprentissage de l’adultère (6ème Partie)

- Par l'auteur HDS GERACHE -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Najia, ou l’apprentissage de l’adultère  (6ème Partie) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-12-2011 dans la catégorie Plus on est
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Najia, ou l’apprentissage de l’adultère (6ème Partie)
Quand je me levai, vers neuf heures trente, ce vendredi là, j’allais directement prendre une douche très chaude, pour nettoyer mon corps encore plein de toutes sortes de sécrétions. Je retournais dans la chambre pour mettre une tenue suffisamment sobre pour ne pas donner de moi l’image de la salope que j’avais été toute l’après-midi passée et la nuit ave Rachid. J’évitai de mettre une djebba identique à celle que j’avais portée la veille – trop sensuelle, me dis-je avec une pointe d’hypocrisie – et optai pour un kimono en soie bleue, très près du corps. Inutile de dire que je ne portai rien en dessous.
J’en profitais pour mettre de l’ordre dans la chambre et changer les draps souillés qui rejoignirent la corbeille à linge sal, dont je devrai m’occuper plus tard. Pour l’instant il fallait que je rejoigne Rachid et nos invités qui étaient déjà dans la cuisine entrain de prendre le petit déjeuner qu’il avait préparé une heure plus tôt. Et je réfléchissais au meilleur stratagème qui pourrait éloigner ma belle-sœur Horia, de la maison en nous laissant seuls Frédéric et moi – ave bien entendu mon mari Rachid dont je voulais qu’il soit spectateur de mes ébats avec mon amant. Je voulais vraiment savoir comment il allait réagir au spectacle de sa femme se faisant tirer par un autre homme. Jusque là, je n’avais fait que lui raconter ce que je faisais avec les autres hommes. Et, à chaque fois, il avait adoré et me l’avait prouvé en me tirant comme e un taureau et en me donnant un plaisir vraiment intense.
Je voulais savoir – et ça, c’était une suggestion de Horia sa sœur, qui ne comprenait pas pourquoi Mouloud devait à chaque fois partir de la maison, avant que ne revienne mon mari. En en parlant ave lui, je lui avais fait accepter, du bout des lèvres de tenter l’expérience au moins une fois et j’avais choisi de le faire avec le gaouri qui était à la maison. La nuit, je lui avais raconté, comment j’avais passé l’après-midi avec Frédéric et tout ce qu’il m’avait fait. Je lui avais raconté la puissance du mec et la force de pénétration et de destruction de son engin. Rachid avait bandé comme un âne et m’avait l’amour presque toute la nuit, en comparant sa puissance sexuelle à celle de mon amant au sexe non circoncis. Et il en avait tiré un plaisir d’une intensité non égalée, jusque là.
Mon mari avait peur, s’il assistait à une séance de cocufiage, d’avoir honte : honte surtout du regard de mépris que porterait (aient) sur lui mon ou mes amants. Il savait qu’il ne le supporterait pas. Moi de ce côté, j’étais plutôt rassurée : les amants que j’avais eus jusque-là (Mouloud, Mohand et maintenant Frédy) n’était pas du genre à se formaliser qu’un mari veuille offrir sa femme à d’autres hommes. Ils étaient eux-mêmes cocus depuis des lustres et ils l’assumaient parfaitement. Du moins pour ceux qui étaient en couple. Quant à Mouloud, il était avant tout un ami très proche de Rachid et ce fut même lui qui le mit dans mon lit. La crainte de Rachid d’être honteux devant mes amants me paraissait donc puérile. J’étais convaincue que l’expérience allait très bien se passer et que chacun d’entre-nous allaient y prendre son pied.
Le seul problème qui se posait à moi, c’était de trouver le moyen d’éloigner Horia, sans la choquer. Et puis la lumière se fit subitement dans ma tête ! Nous étions le vendredi, le jour de mes rencontres hebdomadaires avec le couple Mohand / Raïssa. Nous avions pris l’habitude de nous rencontrer à quatre les vendredis après-midi et de faire l’amour ensemble jusqu’à la tombée de la nuit. Parfois même plus tard. Au cours de ces rencontres je faisais tirer dans toutes les positions par Mohand le militaire, tandis que Mouloud s’occupait des fesses de Raîssa sa femme ukrainienne. En fin de partie, nous nous échangions nos partenaires et repartions dans d’autres séances de jambes en l’air aussi torrides que les premières. Et souvent je finissais la journée entre les bras de Raïssa qui savait si bien me remettre d’aplomb après les séances brutales avec les hommes.
Je me disais qu’en racontant cela à Horia, j’allais titiller sa libido et sa curiosité. Et j’étais certaine que si je lui proposais de me remplacer cette après-midi, elle serait partante. Ce n’était pas la première fois qu’elle faisait porter des cornes à Frédéric, et celui-ci le savait parfaitement. D’ailleurs, hier après-midi, elle l’avait fait presque devant lui en baisant avec Mouloud. Je lui racontais donc que j’avais normalement un rendez-vous galant l’après-midi avec un couple algéro-ukrainien vraiment exceptionnel, en compagnie de Mohand qui ne tardera pas à arriver pour m’y accompagner. Je lui racontais, avec maints détails coquins tout ce que nous faisions au cours de ces après-midis. Je voyais ses yeux qui commençaient à briller et un sourire carnassier se posait sur ses lèvres, découvrant ses magnifiques quenottes pointues.
Je savais que j’avais fait mouche. Horia n’arrêtait pas de poser des questions sur le couple Mohand / Raïssa. Elle connaissait déjà la force des coups de reins de Mouloud, qu’elle avait expérimentée la veille qui lui avaient donné tant de plaisir. Elle voulait essayer celle de Mohand, dont la qualité d’officier supérieur de l’armée avait titillé sa libido tellement sensible à la nouveauté.
- Ecoute tu sais ce qu’on va faire : tu me remplaces. C’est toi qui partiras avec Mouloud chez le couple et je te promets que tu passeras un après-midi de rêve. Je me charge d’en avertir Mouloud et Mohand, qui ne trouveront que du bonheur dans une nouvelle expérience. Raïssa jouera le jeu avec plaisir elle en pince pour Mouloud, et ce qui ne gâte rien, elle adore les belles nanas. Tu es partante ?
Avant de me répondre, elle jeta un regard interrogateur à son frère. Il ne dit rien, mais le sourire béat qu’il avait sur les lèvres indiquait qu’il en était ravi pour elle. Elle ne regarda même pas du côté de Frédéric : il lui était totalement acquis. Et puis, il semblait lui-même ravi de rester avec moi. Il avait gardé un excellent souvenir de l’après-midi torride qu’il avait passé avec moi.
- Banco ! C’est une expérience qui m’emballe ! Pourvu que tu dises vrai sur les capacités sexuelles des mecs ! Quant à la femme, si elle aussi belle que tu les dis, j’en ferais mon dessert. J’adore batifoler avec les belles plantes, une fois rassasiée par mes homes.
Horia était vraiment comme çà ! Elle démarre au quart de tour. Rachid lui ne disait rien. Il attendait en silence que les choses arrivent. Il ne laissait rien paraître de ses sentiments : ni crainte, ni angoisse, ni impatience, ni bonheur. Il attendait et c’est tout. Nous passâmes la matinée à des occupations banales : moi téléphonant à Mouloud et Mohand pour les informer du changement de programme (Mouloud m’avait paru enthousiaste de retrouver Horia et Mohand ne fit aucune objection, attendant de juger sur pièce). Je fis un peu de ménage et préparai le repas de midi. Les autres faisaient ce qu’ils pouvaient pour passer le temps. Rachid et Frédéric sortent ensemble pour faire le marché et Horia fit un peu de lessive.
Mouloud arriva vers quatorze heures. Il ne monta pas dans l’appartement ; il se contenta de m’appeler sur mon portable pour m’annoncer sa présence devant l’entrée du bâtiment et me demander de lui envoyer Horia. Elle partit en dandinant du cul pour nous montrer son contentement. Nous restâmes donc à trois dans le salon entrain de siroter un café très fort qu’avait préparé Rachid. Nous étions tous les trois un peu gênés, ne sachant pas trop comment entamer les hostilités. Ce fut Rachid qui le premier se manifesta en disant qu’il devait aller acheter des cigarettes (lui qui ne fumait pas !). C’était pour moi le signal que je pouvais m’occuper de mon gaouri. Il voulait nous mettre à l’aise en nous débarrassant de sa présence pour le début ; il reviendra discrètement pour assister à nos ébats quand ils auront atteint les sommets.
…/…
Dès qu’il quitta le salon je tendis la main pour signifier à Frédéric de venir me rejoindre sur le canapé. Il se leva et vint se mettre à genoux devant moi en cherchant immédiatement à défaire la ceinture en soie qui retenait les pans du kimono que je portais. Il voulait avoir accès tout de suite à mon intimité. Il était pressé, comme s’il avait peur du retour de mon mari.
- Calme-toi, nous avons tout le temps. Même si Rachid revient, il n’interviendra pas. Il ne fera que regarder ! Bouffe-moi la chatte ! Elle est toute propre ! Je l’ai préparée pour toi ! Bouffe-là ! Je veux connaître ce que tu sais faire avec ta bouche et ta langue ! Vas-y !
Il ne se fit pas prier pour m’écarter les genoux et me relever les cuisses en me collant au dossier de fauteuil. J’étais là devant lui, la chatte palpitante, complètement offerte à sa bouche gourmande. Il plongea subitement la tête entre mes cuisses et ses lèvres s’emparèrent goulument de mes grandes lèvres. Elles leur appliquèrent un sublime baiser, à l’image d’un baiser qu’il m’aurait donné sur la bouche. Un baiser humide, avec une langue agile, qui cherchait une voie pour pénétrer à l’intérieur de ma chatte. Je la sentais qui cherchait mon clitoris entre les grandes et les petites lèvres. Quand elle le trouva – il était devenu aussi dur qu’un petit zob d’homme et aussi sensible – elle le titilla en lui envoyant de toutes petites décharges électriques qui me firent pousser une série de forts gémissements de plaisir et me firent serrer les cuisses sur la tête du mec, pour qu’elle ne s’éloigne pas.
Il continua ainsi de fourrager dans ma chatte en faisant bouger toute sa tête, dans un mouvement montant et descendant qui faisait monter de plusieurs degrés le plaisir que je prenais. Le mouvement saccadé de la tête, la bouche collée telle une ventouse contre mes grandes lèvres, la langue qui entraient et sortait de mon vagin en se comportant comme un petit zob et qui titillaient au passage mon petit zob à moi, tout cela m’emmenait progressivement vers les sommets du plaisir. Au bord de l’explosion. Le cunnilingus dura une éternité. Je sentais que mon mec commençait à fatiguer ; qu’il respirait difficilement entre mes cuisses qui serraient sa tête comme un étau ; que même sa langue avait du mal à pénétrer dans mon vagin. Mais c’était tellement bon, que je ne voulais pas qu’il s’arrêtât.
Je voulais jouir dans sa bouche. Je voulais qu’il boive tout le jus que ma chatte produisait à profusion et qui remplissait sa bouche. Je savais qu’il serait obligé, à un moment ou un autre de tout avaler, s’il ne voulait pas étouffer. Je jouissais rien qu’à l’idée qu’il boira ma cyprine, tout comme moi j’avais bu son foutre l’après-midi d’hier. Je voulais qu’il s’en délecte. Je ne cherchais même pas à savoir s’il aimait ou pas le goût du jus. Il fallait qu’il l’avale, c’était tout !
- Achrab, ya 3attaye! Achrab ya rkhiss! Achrab a’3çel Wahiba! Bela’3 koulech! Ma et-kheli walou berra! Achrab ! Achraaaaab !!! (Bois, espèce de pédé ! Bois espèce de salaud ! Bois le miel de Wahiba ! Ne laisse rien dehors ! Bois ! Boiiiis !!!)
Je m’étais remis à lui parler en arabe, tout en sachant qu’il ne comprenait pas un traitre mot de ce que je lui disais. En fait c’était à Rachid que je m’adressais. Je l’avais vu entrer discrètement dans le salon et aller s’assoir dans le fauteuil qui était devant moi, à droite. Il me regardait, avec un petit sourire timide sur les lèvres. Il ne semblait pas encore à son aise. C’était l’une des raisons qui faisaient que je ne voulais pas lâcher la tête de mon amant prise en étau entre mes cuisses, et que je voulais faire durer le plaisir. Je voulais habituer mon mari à la scène avant de mettre au courant Frédéric de sa présence.
Je voulais aussi l’exciter très fort. Aussi fort que quand je lui racontais mes ébats avec mes amants. Et les mots et les phrases que je prononçais en arabe devaient avoir sur lui le même effet aphrodisiaque qu’ils avaient sur moi. La langue arabe, mieux que le kabyle et le français a sur moi – et probablement sur tous ses locuteurs – un effet érotique particulier. Je ne saurais pas l’expliquer rationnellement, mais c’est une réalité avérée. Tous ceux qui parlent cette langue et l’utilisent dans leurs relations érotiques en tirent une jouissance beaucoup plus intense. Peut-être parce que c’est leur langue maternelle (ce qui n’est pas le cas pour moi, qui suis kabyle), celle qu’ils utilisent dans leurs moments les plus intimes. Peut-être aussi parce qu’elle a une sonorité particulière dans la prononciation des mots interdits. Une sonorité rauque (rustre, même) avec des consonnes au son dédoublé et parfois même triplé : le son « z », par exemple est très appuyé dans les mots « zeb » ou « zel » (zob ou foutre). Ils se prononcent zzzeb ou zzzel en appuyant fortement sur la première consonne. Cela semble plus viril et plus érotique.
Je ne sais pas si c’est la bonne explication, mais pour moi, c’est une évidence que la langue arabe (algérienne), utilisée dans les relations avec mes amants, accroissait l’intensité des sensations d’excitation, de désir et de plaisir que je ressentais au cours de mes ébats amoureux. Et je savais qu’il en était de même avec Rachid, mon mari. C’était donc aussi à lui que j’adressais les remarques et commentaires indécents qui sortaient de ma bouche pendant que je me faisais bouffer la chatte par Frédy. Y compris les qualificatifs de “3attaye!” (Pédé) et de “rkhiss” (moins que rien, salaud) que je lui lançais à la tête ; ils ne signifiaient pas que mon amant en était l’un ou l’autre. C’étaient mes mots à moi qui étaient le pendant de « qahba » (pute, salope) et de « kelba » (chienne) que mes amants prononçaient quand ils me baisaient, simplement pour accroître leurs sensations de désir et de plaisir en ces moments-là.
Frédéric continuait, un peu forcé, la séance de cunnilingus qu’il m’appliquait avec fougue. Il était obligé d’avaler tout le jus que je produisais à profusion, parce que je lui laissais pas l’occasion de sortir sa tête d’entre me cuisses pour le recracher à l’extérieur. Je voulais qu’il avale et je le lui criais dans une langue qu’il ne comprenait pas, mais dont il devinait le sens à la force que je mettais en serrant sa tête entre mes cuisses et à la forte pression de ma main sur sa nuque pour l’empêcher de sortir du lieu. Et puis tout bascula. Je sentis débouler une rivière de jouissance qui descendit de ma nuque et suivit ma colonne vertébrale pour venir se répandre dans mon bas ventre, et s’écouler, sous forme de cyprine de mon vagin directement dans la bouche de mon amant.
Je poussais des « oui ! », des « encore ! » et des « achrab ! » (bois ! »), tout en tirant sur les cheveux du mec, pour obliger sa tête et sa bouche à accélérer leur mouvement sur ma chatte. Je regardais Rachid, pour voir ce qu’il faisait pendant que moi je sombrais dans un puissant orgasme. Il nous regardait avec des yeux qui brillaient plus que d’habitude de concupiscence et de d’excitation. Il se caressait doucement le sexe à travers le tissu du pantalon. J’étais sûre qu’il bandait comme un âne, bien qu’il n’osait pas encore sortir son manche pour le caresser plus à son aise. Il avait l’air encore un peu intimidé. Mais l’excitation commençait à prendre le dessus. Et bientôt, il ne pensera plus à rien d’autre, qu’à prendre du plaisir sans aucune contrainte.
…/…

Harassé, Fréderic réussit à sortir sa tête d’entre mes cuisses. Il respirait difficilement et mit du temps à reprendre la totalité de son souffle. Il avait la bouche grande ouverte pour avaler le maximum d’air possible. Ses lèvres portaient encore les traces du jus que mon vagin avait produit pendant la séance de cunnilingus et qu’il avait été obligé de boire. Je souriais béatement en le regardant et je jubilais de l’avoir obligé à me boire.
- Tu n’as pas aimé mon jus ? Il n’a pas bon goût ! Moi j’ai adoré celui de ton foutre !
- Si j’ai aimé, mais tu as failli m’étouffer ! La prochaine fois, laisse-moi faire, et tu verras que tu jouiras tout aussi fort ! Je boirais volontiers ton jus, sans pour autant souffrir d’étouffement ! Tu promets ?
- Oui ! Viens maintenant me baiser comme un homme ! Un vrai ! Montre à Wahiba ! que tu es un vrai mec ! Un vrai baiseur !
- Tu veux voir si je suis un vrai mec ! Et bien tu vas voir ! Je vais te baiser dans cette position ! Ne bouge pas ! Reste comme cela, les cuisses écartées et relevées !
Et il descendit, jusqu’aux genoux, le pantalon de jogging qu’il portait et positionna son magnifique engin – aussi dur que de la pierre - devant l’entrée de ma chatte. Il me tint fermement par la taille et sans ménagement aucun, il me pénétra d’un seul coup jusqu’au fond du tunnel.
- Prends salope ! Prends le zob d’un vrai mec ! Certainement le plus gros et le plus puissant qui soit entré dans ton con ! Après je vais aussi t’enculer ! Te défoncer le fion !
Et pour mon plus grand bonheur – et celui de mon mari, qui avait maintenant sorti son manche pour le caresser doucement et le maintenir dans un état d’érection maximale – le mec limait furieusement ma paroi vaginale et créait un moi un océan de plaisir. Du feu, de la force et du plaisir ! C’était cela que je ressentais ! Ce zob immense, qui allait et venait en maître absolu au plus profond de mon intimité, me faisait hurler de plaisir. Et je me remis à utiliser mes mots particuliers pour montrer l’étendue du bonheur d’être la proie consentante du maître en attente une délivrance finale véritablement explosive.
- Edjbed ya tehhan ! Edjbed-ni bezzour ! Kthrar men ‘hakdha! Zid edjbed qahba! Zid! Zid! (Tire espèce de cocu! Tire-moi en force! Plus fort que ça ! Continue de tirer la pute ! Encore ! Encore !)
- Prends salope ! Prends la bite de Frédo ! Elle va tout démolir sur son passage ! Dis que tu aimes ! Que tu aimes sa force ! Que tu aimes son zob ! Que c’est le plus beau que tu n’aie jamais eu dans ton con ! Le plus fort !
- Rachid, arrouah et-chouf martek ach-hal et-hab zeb el gaouri ! Zeb machi mkheten ! Arrouah ! Arrouah et-bousni ! Warri-li zebek en-boussou ! (Rachid, viens voir ta femme, combien elle aime le zob de l’européen ! Un zob, non circoncis ! Viens ! Viens m’embrasser ! Montre-moi ton zob, je vais l’embrasser !)
Pendant que Frédéric avait tous les sens tendus vers l’explosion finale, mon mari s’était rapproché de nous pour ne rien perdre du spectacle qu’il avait sous les yeux. Il avait toujours son zob dans sa main droite et continuait de le caresser doucement en ouvrant très grand sa bouche, comme s’il avait du mal à respirer. Je le regardais à travers un voile ; comme s’il était irréel. Comme s’il ne s’agissait que d’une image qui s’était formée dans mon esprit, tellement je désirais la chose. Je voulais encore accroitre le plaisir que je prenais sous les coups de boutoir de mon amant, en faisant participer mon mari à mon bonheur du moment. Je voulais que cela devienne une réalité concrète et que Rachid se rapproche de nous. Qu’il se tienne debout à côté de mon amant, tout occupé à pilonner furieusement ma chatte, et qu’il me présente son zob pour que je le suce ou que je le branle. Je voulais le voir jouir en même temps que moi et que mon amant. Je voulais qu’il éjacule sur mon visage, en même temps que Frédy le ferait dans mon vagin (ou sur mon visage, si l’envie l’en prenait d’imiter mon mari).
- Arrouah 3azizi ! Arrrouah et-faregh foug wadj’h martek ! Arrouah ta3’til’ha a’3cel en-ta’3ek ! (Viens mon chéri ! Viens te vider sur le visage de ta femme ! Viens lui donner ton miel !)
- Tiens salope ! Tiens ! Tiens ! Je vais venir ! Je sens que je vais venir !
Frédéric était au bord de l’apoplexie. Je le sentais qui allait exploser ! Il allait éjaculer ! Moi aussi je sentais venir un orgasme plus violent encore que celui de tout à l’heure. Et je voyais le visage de Rachid qui se figeait et se lèvres s’étirer et devenir blêmes comme si tout le sang s’était retiré d’elles. Il sa branlait maintenant avec vigueur. Il rapprochait son membre le plus près possible de mon visage. Il allait éjaculer, en même temps que Frédy - qui venait de se rendre compte de la présence de mon mari, mais que plus rien ne pouvait retenir de se libérer de l’immense pression qu’il avait dans le sexe - et en même temps que moi, qui allais sombrer dans un immense orgasme très sonore.
- Ferghou a3liya ! Ferghou ga’3 zel en-ta3koum ! Zel el gaouri ou zel kbaili fiya ! (Déversez sur moi ! Déversez tout votre foutre ! Du foutre d’européen et du foutre de kabyle en moi ! )
Je terminais à peine ma phrase que je partis dans un hurlement de démente ! Je me sentais emportée par un tourbillon de jouissance irrésistible. Il m’élevait au dessus de nos trois corps et me permettait d’observer ce qui se passait en dessous, tout en y participant pleinement. Frédy se mit à éjaculer un premier jet de foutre – brulant et puissant – dans ma chatte, avant de se raviser et de venir déverser le reste dans ma bouche. Il avait vu mon mari qui faisait cela et l’imita.
- Tiens salope ! Je vais te faire boire du bon foutre, bien chaud et épais ! Tu m’en diras des nouvelles !
- Echarbi zel en-ta’3 radjlek ! Khalti’h m3a zel el gaouri ! Echarbi koulech!
Et comme s’ils étaient en compétition, tous les deux se branlèrent furieusement devant mon visage et déversèrent en même temps des quantités incroyables de foutre qu’ils me poussaient de la voix à avaler sans rien en laisser. Y compris la partie qui s’était étalée sur mon visage, mon cou et ma poitrine. Je relevais le défi en les regardant tous les deux de manière provocante. J’avalais par petites gorgées le foutre mélangé de mes deux hommes, qui était entré directement dans ma bouche en claquant de la langue de manière indécente, pour leur montrer que j’en aimais le goût. Je ramassais avec les doigts, tout celui qui était venu s’étaler sur mon visage, mon cou et ma poitrine, et léchais mes doigts avec ostentation tout en les défiant du regard.
- En-heb zel en-ta3koum ! Sukar ! A’3cel ! (J’aime votre sperme ! Du sucre ! Du miel)
Ce fut Rachid qui le premier réagit, après avoir repris son souffle. Il fit un geste tellement tendre, que j’en eus les larmes aux yeux. Il se pencha vers moi et me donna le plus tendre des baisers sur la bouche. Une bouche qui sentait encore son foutre et celui de Frédéric. Et en plus il me murmura à l’oreille, qu’il m’aimait plus que tout au monde et que je lui donnais énormément de bonheur. Et qu’il voudrait que cela dure toute notre vie !
Frédéric, lui resta abasourdi quelque temps –peut-être l’intensité de l’orgasme – puis vint s’assoir à côté de moi, pour m’enlacer et me susurrer lui aussi à l’oreille que j’étais un formidable coup. Qu’il ne voulait pas s’en arrêter là et que si mon mari le permettait, il allait encore me baiser plusieurs fois. Il ajouta même qu’il était prêt à me partager avec lui, mais seulement pour une double pénétration ! Quel toupet ! Mais, j’adorais ça !
- Cette après-midi tu es à moi ! A moi seul ! Allons dans la chambre, nous y serons plus à l’aise. Ton mari nous rejoindra quand nous l’appellerons pour s’occuper d’un de tes trous.
Et voilà comment se termina la première après-midi où mon mari assista et participa à mes ébats avec un de mes amants. Il entra dans la chambre à mon appel, après que Frédy m’ait enculée deux fois de suite et que j’étais empalé sur le magnifique zob du gaouri. Il vint lui aussi m’enculer – c’était la troisième fois en une après-midi que je recevais un manche dans le cul – et me fait profiter, par la même occasion à une superbe double pénétration.
La première fois que mon mari participa à mes ébats avec mes amants, c’était donc avec une double pénétration. Depuis, il y en eu beaucoup d’autres. Rachid avait fini par assister, chaque fois que son travail le lui permettait, à la plupart de mes aventures extraconjugales. Il participa directement à plusieurs d’entre-elles. La plupart du temps, il se contentait de se caresser le sexe, pendant toute la durée de mes ébats, puis venait se masturber furieusement devant moi pour éjaculer. Souvent, il éjaculait directement dans ma bouche et insistait pour que je boive son jus chaud et épais.
Parfois, il lui arrivait d’exiger d’avoir sa part, en me baisant à tour de rôle, ou même en même temps, avec mon amant du moment. Et, une fois, une seule, il baisa la femme qui était ce jour là avec nous : Raïssa. Mais ceci est une autre histoire !
…/…

Les avis des lecteurs

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MERCI POUR TOUTES TES HISTOIRES BANDANTES ET MAGNIFIQUEMENT RACONTEES. J'ai l'eau à la
bouche et je veux vous supplier pour vous demander si vous pouvez m'orienter à alger
pour trouver une belle KAHBA pour me marier avec. Contacter moi sur mon Email et grand
merci pour le service

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BELLE HISTOIRE BANDANTE ....MAIS Où EST LA SUITE DES AVENTURES DE WAHIDA ????

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Merci encore, mais ma femme c'est Najia, Wahiba n'est pas mienne



Texte coquin : Najia, ou l’apprentissage de l’adultère  (6ème Partie)
Histoire sexe : Une rose rouge
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