Najia, ou l’apprentissage de l’adultère (7ème partie)

- Par l'auteur HDS GERACHE -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Najia, ou l’apprentissage de l’adultère  (7ème partie) Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2011 dans la catégorie Plus on est
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Najia, ou l’apprentissage de l’adultère (7ème partie)
Au bout de quinze jours de merveilleux moments érotiques vécus à trois couples (le mien, celui de Raïssa et celui de ma belle-sœur ), Horia et Frédéric, repartirent pour la France, laissant en nous un grand vide. Pour moi, Frédy avait été une véritable découverte. Il avait été pendant ces quinze jours mon amant attitré. C’était comme si j’en avais eu l’exclusivité, avec l’assentiment de tous - y compris de Horia, qui s’était accoquiné avec Mouloud, mon premier amant. J’avais découvert un homme dans toute sa splendeur : un homme qui parlait peu et qui baisait beaucoup. Et puis, j’étais vraiment tombée amoureuse de son immense sexe non circoncis. C’était un plaisir toujours renouvelé - et super excitant - de le regarder grossir et faire apparaître progressivement un gland turgescent, très large et brillant. Cela m’excitait et m’amusait énormément. Je redevenais une enfant qui jouait, en s’esclaffant et en exprimant bruyamment sa joie, avec son jouet préféré. Le bonheur et la joie puérils dont je faisais preuve amusaient aussi Frédéric qui avait fini par se prendre au jeu de la bandaison, suivi d’un assaut furieux d’un de mes trous, puis de la débandaison (je sais que ce mot n’existe pas, mais je n’en trouve pas d’autre pour décrire l’état de mollesse du sexe masculin repus) qui s’ensuivait obligatoirement et d’une autre érection phénoménale, que je déclenchais en l’excitant par tous les moyens en ma possession. .
Je le caressais, le léchais, le titillais avec la langue. Même que je lui parlais pour l’inciter à se réveiller, comme s’il avait une personnalité indépendante de l’homme qui le portait ! Et qu’il m’entendait et comprenait ce que je lui susurrais. Et ça marchait ! Je lui parlais, tantôt en arabe, tantôt en kabyle. Cela plaisait beaucoup à Frédy, qui ne comprenait pas la signification exacte des mots, mais en devinait le sens. Il m’avait avoué qu’il adorait quand je lui parlais comme cela, dans une langue qu’il ne comprenait pas, mais qui lui paraissait superbement érotique. Il pouvait, me disait-il, donner aux mots et aux phrases, le sens qu’il voulait, selon ce qu’il ressentait sur le moment. Il me disait que cela ajoutait une forte dose à son excitation et que même quand il était fatigué, il ne pouvait pas empêcher son membre de se réveiller, même si au bout du compte, son érection manquait de vigueur (même s’il bandait mou, pour dire les choses vulgairement).
L’homme était infatigable ! Je peux dire que pendant ces quinze jours qu’il passa chez nous, j’en avais eu pour mon argent ! Ce vocabulaire de pute, j’avais fini par me l’approprier, à force d’entendre mes amants – y compris, mon mari – l’utiliser. « Je vais te donner pour ton argent !» ; « tu en as eu pour ton argent ! » ; « tu en auras pour ton argent ! ». Chacun de mes amants l’utilisait soit - avant l’acte - pour se vanter de ses capacités sexuelles, soit, le plus souvent - après nos ébats - pour m’annoncer qu’ils avaient atteint leurs limites physiques. Sauf Frédéric ! Il n’était pratiquement jamais fatigué. C’était toujours moi, qui pourtant étais devenue une vraie nymphomane, qui criais merci, la première. Nous finissions tous les deux sur les rotules et à bout de souffle. Et nous terminions toujours nos ébats dans la salle de bain où nous passions près d’une heure à batifoler comme des gosses et à reprendre nos moyens physiques.
Le départ du couple, fut pour moi un drame. Il me semblait avoir perdu une partie essentielle de moi-même. Je savais que personne n’était capable de remplacer mon magnifique amant de quinze jours. J’en voulus même à Horia de me l’avoir repris. J’étais bien sûr injuste envers elle qui n’y était pour rien, mais je ne pouvais pas commander mon ressentiment. Je voulais le garder encore quelque temps ; une autre quinzaine de jours ; une semaine ; une journée ; et même une seule heure de plus ! J’avais fini par l’avoir dans la peau ! Comme je comprenais Horia, qui se l’était approprié ! Même si l’un et l’autre allaient voir de temps en temps ailleurs !
Je restais longtemps avec une boule sur le cœur. Mon mari, ainsi que Mouloud - qui lui aussi était en peine à cause du départ de Horia, avec laquelle il avait vécu de merveilleux moments - de même Mohand et Raïssa, avaient bien essayé de me réconforter. Ils m’ont fait l’amour, ils m’ont procuré du plaisir et m’ont même fait jouir ; mais il me manquait quelque chose de vraiment essentiel, pour que je redevienne comme avant. Il me manquait Frédy ! Il me manquait son magnifique jouet ! Je le voulais ! Je le réclamais ! Je voulais jouer avec son sexe non circoncis ! Je voulais le voir sortir de son chapeau ! Je voulais le sentir me limer le vagin et le cul ! Je voulais sentir mes trous s’enflammer sous les coups de boutoir de mon gaouri !
Je pense avoir été très injuste avec mes amants (Je considérais Raïssa comme mon amante, parce que régulièrement, nous finissions nos ébats avec les hommes par une magnifique séance de caresses et de broutage de chattes. Cela nous apaisait et mettait un peu de tendresse féminine, dans le monde de brutes masculines). Mais je n’arrivais pas me retenir de leur casser les pieds et même chercher à les complexer avec les capacités supérieures de Frédéric. Et puis le temps fit son affaire, et petit à petit Frédy s’évapora de mon esprit pour devenir un souvenir impalpable et une nostalgie. Les choses mirent un peu de temps à se remettre en place, mais petit à petit nous nous retrouvâmes comme auparavant. Nous recommençâmes à nous aimer à cinq.
…/…
Rachid avait fini par devenir un membre à part entière du groupe. Il assistait à pratiquement tous nos ébats et parfois y participaient. Il finit même par me faire une infidélité en tirant Raïssa comme un taureau. Faut dire que c’était elle qui l’avait chauffé à blanc, en lui léchant le sexe en érection maximale, qu’il était entrain de caresser doucement en observant Mohand entrain de me tirer en levrette. Elle s’était mise à genoux devant lui et prit d’autorité le manche de mon mari qu’elle lécha longuement, sans qu’il ne bouge : sans qu’il n’acquiesce, ni ne proteste .Il continuait de nous regarder Mohand et moi, avec ses yeux brillant de lubricité. Et de sa voix qui roulait fortement les « r », elle susurrait :
- Arrête de les regarder comme ça et viens me tirer ! Je veux goûter à ton manche ! Il m’a l’air très doux ! Je veux de la douceur ! Ces deux hommes ne sont que des brutes ! Viens leur montrer comment on peut faire plaisir à une femme ? en la baisant avec douceur et tendresse !
Tout en me faisant tirer en force par son mari – j’étais à quatre pattes, la tête dirigée vers le centre du salon, où ils se tenaient - je regardais avec curiosité la réaction de mon époux. Pour une fois, le gros engin de Mohand qui limait furieusement ma vulve, m’intéressait moins que le spectacle qui se déroulait sous mes yeux. J’étais prête à parier qu’il allait refuser : depuis que nous nous sommes mariés, il ne m’avait encore jamais trompé. Je lui avais toujours suffi. Et même depuis que je lui faisais porter des cornes, il n’avait jamais émis le besoin de tenter une expérience érotique avec une autre femme. Il n’aimait – me répétait-il souvent – faire l’amour qu’avec moi. Il ne prenait du plaisir qu’avec moi et ave mes souillures provenant de mes ébats antérieurs avec mes amants. Autant, il aimait que je parte avec d’autres hommes - et depuis quelques jours, il me parlait même de son envie de me voir avec des amants nouveaux – autant lui se contentait de moi seule. Ses fantasmes étaient bloqués sur ma seule personne.
Mais comment résister à Raïssa ? La magnifique plante ukrainienne qui avait un corps superbe et qui savait si bien s’en servir. Elle le titilla si bien avec sa langue, ses mains et ses paroles que Rachid finit par céder. Mais au lieu de faire ce qu’elle lui demandait – lui faire l’amour en douceur et non pas la titrer comme une brute – il fit exactement le contraire. Je le vis avec étonnement, soulever la femme aussi facilement que si elle ne pesait que quelques kilogrammes et la jeter brutalement sur le divan en la positionnant en levrette. Et il l’encula à sec, en la faisant hurler de douleur. Il ne tint aucun compte de la douleur qu’il provoquait en elle, et continua de la tirer en force en grommelant :
- Tu veux de la douceur ? Et bien je vais t’en donner de la douceur ! Tu veux de la tendresse ? Je n’en ai que pour Najia ! Toi je vais te tirer comme une pute ! Une salope !
- Salaud, tu es bien comme tous les hommes ! Une brute ! J’adore les brutes ! Je ne veux pas de douceur ! Ni de tendresse ! Je ne disais ça que pour t’appâter ! Et j’ai eu raison ! Je veux que tu continues à m’enculer comme ça,en force ! Je veux que tu m’arrache le boyau ! Que tu me défonces ! Que tu me fasses hurler ! Que tu me donnes du bonheur ! J’adore être enculée ! Oui ! Oui ! Encore ! Plus fort ! Comme ça !
Je regardais mon mari, dont le visage était devenu tout cramoisi à cause des efforts qu’il faisait pour tirer de plus en plus fort l’ukrainienne. Je regardais avec ravissement son air farouche et sa bouche grande ouverte, d’où sortaient des rugissements rauques. L était superbe de fureur ! De temps en temps, il tournait le visage vers moi, comme pour s’inquiétant de la manière dont je prenais les choses. Il craignait de m’offusquer par ce qu’il était entrain de faire - parce qu’il était entrain de me tromper ! Il craignait certainement une réaction violente de ma part. En fait, j’étais à mille lieues de penser de telles choses –pour moi, il était totalement naturel, que mon mari se fasse plaisir lui aussi en expérimentant un autre cul que le mien. Et j’étais même en admiration devant la manière dont il se comportait avec sa nouvelle maîtresse.
Il était le Taureau qui entreprenait la Vache (ave des majuscules)! Avec la même vigueur et la même brutalité ! Et il était tellement beau comme ça ! C’était comme si je découvrais un nouveau mari ! Un mari tout en puissance et en brutalité ! Un mari qui m’avait rarement habitué à une telle furie en amour ! Je crois que si ma chatte n’était pas occupée avec le gros bâton de Mohand, qui me tirait en levrette, je me serais élancée vers le couple, j’aurais arrachée Raïssa des bras du Taureau et j’aurais pris la place de la Vache! Sans pouvoir réellement me l’expliquer, il y avait en moi , en ce moment là, un énorme sentiment de fierté d’avoir un tel mari !
Et l’Ukrainienne continuait de pousser des « oui !!!! », des « encore !!!! », des « vas-y !! », des « plus fort !», jusqu’au moment où elle poussa un hurlement de folle et se mit à décharger. Je l’avais vu jouir un nombre incalculable de fois – avec Mouloud, avec Mohand, et marginalement, avec moi quand il nous arrivait de nous bouffer mutuellement la chatte – mais jamais encore de cette manière ; une jouissance animale. Je ne sais pas si dans la vraie vie, les chiennes – je parle des vraies chiennes – jouissent quand elles se font tirer par leurs mâles en rut, mais c’est réellement à cela que je pensais, en regardant Raïssa extérioriser tout le plaisir qu’elle prenait.
J’ai moi-même souvent eu des orgasmes très forts en me faisant tirer par mes amants; des orgasmes d’une intensité telle que je m’étais souvent retrouvée à la limite de l’évanouissement. Je hurlais toujours très fort pour extérioriser tout le plaisir que je prenais de me faire défoncer par des mecs super bien montés et d’une virilité à toute épreuve. Et si ce qui se déroulait sous mes yeux n’avait rien de nouveau en la matière, la manière qu’avait Raïssa de prendre son plaisir et de montrer la très forte intensité de l’orgasme qu’elle était entrain d’avoir, avait quelque chose de surnaturel. Ce n’était plus une femme, c’était une femelle ! Une femelle de félin ou de fauve ! Une panthère en chaleur qui feulait sous les coups brutaux de son mâle. Elle en avait le regard et le rictus. Elle avait les lèvres tirées et les dents menaçantes ! Il me semblait que si quelqu’un avait le malheur de trop s’approcher d’eux, elle le déchirerait à coups de griffes et de crocs. Et quand tout fut fini, elle avait l’air repu et heureux de la panthère! Elle devenait même câline !
Rachid continua un moment les va-et-vient de son manche dans le cul de Raïssa qui venait de décharger une énorme quantité de cyprine sur le fauteuil, et poussa lui aussi un long rugissement en éjaculant dans le rectum de la belle. Il regarda un moment tout le foutre qui ressortait de l’anus de sa maîtresse, et semblait satisfait de ce qu’il voyait et/ou de ce qu’il avait fait. Il ne manifesta pas plus de plaisir que cela ! Peut-être qu’il ne voulait pas me blesser en montrant à tout le monde tout le plaisir qu’il avait pris à enculer la belle ukrainienne ; ou peut-être que sa jouissance à lui n’avait pas été aussi intense que celle de la femme. Avec moi, il jouissait plus bruyamment et ne débandait pas de la nuit ! Je crois que cet après-midi là, j’eus la preuve que mon mari n’était vraiment heureux qu’avec moi. Et égoïstement, j’en étais vraiment heureuse !
…/…
Notre vie continua ainsi pendant quelque temps. Nous arrivâmes ainsi au début de l’été. Et les choses commencèrent à changer. Il nous sembla, à tous les cinq, que la monotonie commençait à s’installer dans notre vie et que bientôt, nous n’aurions plus autant de plaisir à nous retrouver. Il nous paraissait que nous avions fait le tour de ce chacun de nous pouvait donner au groupe et que nous ne faisions plus que nous répéter. Or la répétition, entrainait l’habitude ; et l’habitude est le plus efficace des « tue l’amour ». Il nous fallait absolument quelque chose de nouveau ; quelque chose – ou quelqu’un – pour remettre un peu de piment à notre vie. Ce fut Raïssa qui la première nous parla d’un homme qu’elle venait de rencontrer à l’ambassade de son pays, dans laquelle elle travaillait à temps partiel, comme interprète et sur lequel elle avait flashé.
L’homme en question était un de ses compatriotes qui venait d’être muté au service économique de l’ambassade ukrainienne en Algérie. Elle disait qu’il était magnifique et qu’il lui avait redonné la nostalgie de son pays. Qu’il avait certainement été un grand sportif, qui avait pratiqué longtemps un de ces sports de combat – judo ou karaté – qui donnait aux hommes qui les maîtrisaient une superbe musculature et une apparence de puissance physique extraordinaire. Elle l’avait trouvé à son goût ; non pas qu’il soit beau, charmant, élégant, ou quoi que ce soit de ce genre. Non, ce qui l’avait attiré, c’était la force et la puissance qui se dégageait de lui. Elle disait qu’il devait avoir la quarantaine et qu’il était très grand, avec des épaules très larges, une taille légèrement empâtée, un ventre plat, de très longues jambes surmontées de cuisses puissantes. Un vrai taureau ! disait-elle. Un taureau qui fonçait, sans réfléchir, sur le moindre chiffon rouge qu’on agitait devant lui. Et dès le départ, elle avait remarqué qu’elle lui plaisait. Elle devinait, au regard lubrique qu’il posait sur elle, qu’il avait envie de la tirer. Elle lui avait tapée dans l’œil et d’évidence, il bandait très fort pour elle.
Elle nous dit qu’elle avait été aussitôt intéressée par lui et qu’il lui paraissait être un homme à la hauteur de ses énormes besoins sexuels. Qu’il était certainement capable de lui donner tout le plaisir qu’elle cherchait chez un homme. Et puis qu’elle pourrait refaire l’amour, pour la première fois depuis des lustres, dans sa propre langue. Et que ça l’excitait au-delà de tout. Elle lui avait fait comprendre sans le lui dire franchement, qu’il lui plaisait et qu’elle pourrait être partante pour une aventure amoureuse avec lui. Mais elle voulait d’abord obtenir notre accord. Et si nous le lui donnons, elle l’inviterait le lendemain même à la maison. Elle avait déjà élaboré un scénario : elle amènerait Sergueï - il s’appelait comme cela - à la maison et ils se retrouveront un long moment seuls pour baiser. Mohand entrera en scène après les premiers ébats, et pourra - avec l’assentiment de l’ukrainien, qu’elle aurait auparavant averti des mœurs particulières du couple - participer à la scène. Et si tout se passe bien, nous pourrions apparaître quelques jours plus tard, Mouloud, Rachid et moi, pour prendre part au festin. Bien entendu, nous donnâmes le feu vert à Raïssa et son mari pour tenter l’aventure avec Sergueï, mais sans nous inscrire complètement dans le scénario tracé. Nous verrons plus tard si la chose valait la peine d’être tentée. Mouloud lui, était assez tenté par l’expérience : il disait qu’il rêvait, depuis longtemps, d’enculer Raïssa pendant qu’elle s’empalerait sur le manche d’un autre homme que Mohand. Et c’était là l’occasion de réaliser son rêve.
Mais Rachid et moi, voulions respirer un peu et prendre, pour quelque temps, de la distance par rapport à nos amis. Nous avions décidé de prendre une quinzaine de jours de vacances, pour nous ressourcer. Mon mari, était en contact permanent avec un ingénieur marocain avec lequel il avait tissé des relations d’affaires. Depuis le temps, ils avaient fini par devenir des amis. Djalil, était venus plusieurs fois en Algérie et avait chaque fois séjourné chez nous, de préférence qu’à l’hôtel. C’était un homme d’une cinquantaine d’années, vraiment charmant. Il nous invitait régulièrement à aller lui rendre visite dans on pays. Il habitait Safi une charmante petite ville côtière au sud de Casablanca, la capitale économique du pays. A chaque fois, nous déclinions poliment l’invitation : Rachid ne pouvait pas se libérer étant professionnellement très pris ; et moi je refusais de partir quelque part en vacance, sans mon mari.
Cette fois-ci nous, quoique cela coûtât en manque à gagner pour mon mari, nous étions décidés à prendre des vacances. Pour moi c’était facile, il y avait les vacances d’été. Pour Rachid, c’était un peu plus compliqué, son travail était plus contraignant, mais il était décidé à arranger les choses. Mais nous ne voulions pas passer les vacances à Safi chez notre ami. Nous ne voulions pas le contraindre et surtout, nous voulions garder notre totale liberté de mouvements. Nous avions projeté de descendre encore plus au sud que Safi, à Essaouira, un magnifique petit port sur l’Atlantique, pour y passer une quinzaine de jours. C’était une ville qui commençait à devenir très courue par les touristes, mais qui pour l’instant gardait encore son cachet d’authenticité (c’était du moins ce que disaient les sites internet qui en parlaient). Nous voulions utiliser notre ami Djalil pour nous réserver les chambres d’hôtel et venir nous accueillir à l’aéroport de Casablanca. Nous voulions aussi qu’il s’occupe de nous louer une voiture pour nous permettre de rejoindre notre lieu de villégiature. Il accepta avec plaisir de nous chaperonner et s’occupa de tout ce que nous lui avions demandé.
…/…
Nous arrivâmes au Maroc au tout début du mois d’août, en pleine canicule. Nous fûmes accueillis à l’aéroport de Casablanca, à bras ouverts par Djalil qui nous emmena directement à Safi. Nous passâmes deux journées dans sa magnifique demeure, traités comme des coqs-en-pâte par notre ami et sa nombreuse famille. Puis nous prîmes la route pour Essaouira, où notre hôte nous avait réservé une chambre dans le plus grand hôtel de la ville. Nous fûmes agréablement surpris par la situation géographique de l’établissement – carrément les pieds dans l’eau, face à l’océan - par le confort de la grande chambre et par la qualité du service. C’était réellement idéal pour nous reposer, et remettre nos idées en place. Le premier jour, nous partîmes en reconnaissance dans la ville, le port et les alentours et découvrîmes une région réellement magnifique, avec pleins de sites historiques.
Sans nous être auparavant consultés, nous décidâmes Rachid et moi de passer nos vacances, comme chacun de nous l’entendait : nous ne voulions pas rester ensemble en permanence. Chacun de nous devait avoir la liberté de faire ce qui lui plaisait vraiment. Cela devait être pour nous des vacances exceptionnelles ; inédites. Rachid me susurra à l’oreille que si jamais, une belle occasion - sous entendu, sexuelle - se présentait à moi, il fallait que je m’en saisisse. Il ne voulait pas que je me prive de quoi que ce soit qui pouvait me donner du bonheur. Il voulait que je profite au maximum de ces jours de vacances et de farniente. Rachid, qui avait la passion de la pêche, avait, avec l’aide de Djalil qui avait auparavant fait le nécessaire, loué un petit bateau afin de partir tous les jours, taquiner le gros poisson.
Moi, je voulus profiter du confort de l’hôtel pour me reposer. J’avais besoin de farniente pour me ressourcer et faire le vide en moi. Il fallait que je réfléchisse sérieusement sur notre mode de vie et les suites qu’il convenait de lui donner. Et puis je voulais lire. J’avais tellement de lectures en retard et voulais profiter du temps libre que j’aurai, pour les rattraper. J’avais ramené avec moi plein de livres – des romans surtout - et me promettaient de les lire, tout en profitant du soleil et de l’eau de la piscine. C’était ce que je voulais réellement faire. Je n’avais en tête aucun projet sexuel particulier. Je pensais avoir assez emmagasiné de plaisir pendant tout l’année écoulée, pour pouvoir m’en passer pendant une quinzaine de jours. Et si le besoin se faisait sentir, il y avait pour cela mon mari, avec lequel, je pouvais batifoler, toutes les nuits, sur l’énorme lit de la chambre. Mais le destin en décida autrement.
Le lendemain de notre arrivée à l’hôtel, j’étais allongée sur un transat au bord de la piscine, vers seize heures, entrain de lire le dernier roman de Paulo Coello. Je n’avais pour seule tenue, qu’un tout petit bikini de couleur noire, que je portais pour avoir le bronzage le plus étendu possible. J’étais totalement plongée dans la lecture du roman, quand mon attention fut attirée par les rires indiscrets d’un couple qui venait d’arriver et s’était installé sur deux des transats qui me faisaient face, de l’autre côté de la piscine.
Je vis un couple de jeunes européens, blonds et vraiment très beaux, qui devaient avoir trente cinq ans chacun. Ils étaient en tenue de bain, qui ne cachait rien de leurs anatomies. La femme était grande et toute en rondeurs : une vraie bimbo, me dis-je, avec une parfaite mauvaise foi. Je ne voyais en elle qu’une femme superficielle, ne s’occupant que de son apparence physique. Mais c’était surtout l’homme qui avait attiré mon attention. Un vrai viking ! Blond avec une longue tignasse bouclée et des yeux bleus. Il était très grand – probablement plus d’un mètre quatre-vingt-dix – avec un corps sculpté par des années de pratiques assidues d’un sport autre que le bodybuilding. Il n’était pas massif comme tous ces homme – et même maintenant des femmes – qui soulèvaient des tonnes de plomb par jour, pour se forger des muscles puissants et massifs. Ses muscles à lui étaient longs et harmonieux : il donnait une impression de grande force, mais une force tranquille et sereine. Et attirante ! Pas une force qui ne suscitait que de la crainte !
Je compris très vite qu’il s’agissait d’un couple qui venait du nord de l’Europe : Suède ou Danemark, pensais-je. Je sus par la suite que j’avais tout faux, puisque le couple était originaire des Pays Bas et habitait dans la proche banlieue de Rotterdam. Elle s’appelait Marja et lui Jan (Probablement les équivalents latins de Maria et Jean). C’était la langue qu’ils parlaient entre eux qui avait attiré mon attention : une langue aux intonations rugueuses, comme pouvaient l’être les langues à forte influence germanique.
Je n’arrivais plus à me concentrer sur mon livre. Je restais plusieurs minutes sans pouvoir lire une seule ligne du roman que j’avais entre les mains. Mon regard était attiré par l’homme, comme par un aimant. Et lui aussi me regardait. Je crus un moment qu’il me souriait discrètement. Plus je le regardais et plus je sentais mes sens se réveiller. Je sentis une douce chaleur s’emparer de mon corps, en partant de mon bas ventre pour se répandre, à travers ma colonne vertébrale, dans mes viscères. Je la sentis même sur mes joues, qui devaient avoir viré au rouge.
L’homme me regardait avec insistance. Je sentais son regard bleu ciel scruter ma poitrine et surtout mon entre-jambes, comme s’il cherchait à deviner la forme, la couleur et la fermeté de ma chatte. Il me regardait effrontément, sans fausse honte et avait, sur ses fines lèvres, un sourire moqueur. C’était comme s’il me disait très distinctement : « tu me plais et j’ai envie de te tirer ! ». C’était, j’en étais sûre, ce qu’il essayait de me faire comprendre, à travers son regard insistant et son sourire moqueur. Je sentis ma chatte frémir et je soutins, sans sourciller, le regard de l’homme. Ce fut lui, qui baissa les yeux le premier.
Les choses restèrent en l’état pendant environ une heure. Puis l’homme se leva subitement, pris sa compagne par la main pour la faire se lever de son transat et, tout en me jetant un regard coquin, passa son bras droit autour de la taille de la blonde et l’entraina vers l’hôtel. En passant devant moi, il me lança une œillade malicieuse et tapota doucement les fesses de son amie. Mon cerveau travaillait à la vitesse de la lumière. « Le salaud, me dis-je, il va aller la tirer ! Il est en chaleur ! ». J’avais le bas ventre qui me faisait mal et la chatte qui palpitait de désir. Je rentrai moi-aussi dans la chambre pour tenter de me calmer. Je pris une longue douche froide, mais le désir était toujours là.
Au retour de Rachid, avant même qu’il ne prenne sa douche pour enlever l’odeur de poisson qu’il avait sur lui, je lui sautai dessus pour qu’il me fasse l’amour.
- Nik-ni bezzour ! Rani skhouna ki el-kelba ! Laqit gaouri li red-ni ‘hakdha! Bghit en-nik ! Bghit te tteffi ennar li yehrag-ni! (Baise-moi en force ! Je suis en chaleur comme une chienne ! J’ai rencontré un européen qui m’a mise dans cet état ! J’ai envie de baiser ! Je veux que tu éteignes le feu qui me consume !)
- Il s’est passé quelque chose entre vous ?
- Non, mais je te promets, que demain, il me baisera ! Je le veux et je l’aurai ! Il faut seulement que je trouve le moyen de le séparer de la bimbo qui est avec lui. Et je trouverai.
Rachid était émerveillé. Il était aussi excité que moi par ce que je venais de lui dire. Pour lui, le simple fait de lui avouer avoir rencontré un autre homme et que je mouillais pour lui, avait réveillé son désir et avait porté son zob au maximum de l’érection. Je pouvais voir l’effet de mes mots sur le devant de son jean : une grosse bosse impudique, qui indiquait toute l’intensité de son excitation.
- Nahi houaïdjek ou arrouah tedjeb-ni ! Berred-ni ! Ma nendjemch nestena ! (Enlève tes habits et viens me tirer ! Refroidis-moi ! Je ne peux plus attendre !)
Il bandait tellement fort que son sexe était devenu énorme ! Il me tira en force en soufflant comme un phoque. Je me rendais compte qu’il essayait de ne pas faire trop de bruit, pour ne pas attirer l’attention des autres locataires de l’hôtel. Je venais soudain de me rendre compte, que nous étions dans un hôtel et cela accrut encore d’un cran mon excitation. Baiser dans une chambre d’hôtel avait été longtemps un de mes fantasmes sexuels. Peut-être à cause de l’idée que je me faisais des hôtels de passes, qui étaient le lieu de travail des prostituées. Ou peut-être parce que c’était aussi le lieu traditionnel des rencontres des couples illégitimes. Les femmes qui cocufiaient leurs époux, le faisaient le plus souvent dans des chambres d’hôtel.
- Nik qahba ! Martek woulet qahba ! Qahba li et-hab zboubs kbar ! Zboubs machi mkhatnin ! Edjbed-ni bezzour ! (Baise la pute ! Ta femme est devenue une pute ! Une pute qui adore les gros zobs ! Les zobs non circoncis ! Tire-moi en force !)
Il enleva frénétiquement son jean et son boxer et resta en tee-shirt. Il confirma ce que savais déjà : il bandait tellement fort que son sexe en tremblait. Il frétillait d’impatience. Il me souleva du sol pour me jeter sur le lit, écarta les pans de la sortie de bain que je portais, me fit relever les jambes pour que je puisse poser mes chevilles sur ses épaules et vint s’allonger sur moi, me cassant littéralement en deux. De sa main droite, il guida le gland de son manche pour lui faire prendre le bon chemin et, d’un coup de rein brusque, me pénétra en m’apostrophant, comme s’il s’adressait à une pute. Il avait compris que cela me donnerait encore plus de plaisir en me considérant, et en me traitant ainsi.
- Khoudhi ya qahba ! Khoudhi zebi ! Goulili en-heb zebek ! Rayeh en-kassarlek hatchounek ! Ou ki en-kmal ma3a souwtek, en kasserlek ga3rek ! En heb el hatchoun ! en-mout a’3la el hatchoun ! Hatchoun ! Hatchoun !!!! (Prends, espèce de pute ! Prends mon zob ! Dis-moi que tu aimes mon zob ! Je suis entrain de te détruire la chatte ! Et quand j’en aurai terminé avec ta chatte, je te démolirai le cul ! J’aime la chatte ! J’adore la chatte ! La chatte ! La chatte !!!)
Et Rachid allait et venait en moi avec une force de pénétration exceptionnelle. Dans la position dans laquelle j’étais, il pouvait pousser son manche jusqu’au plus profond de mes entrailles. Et il me faisait mal. Mal avec son zob et mal aussi avec tout le poids de son corps qui pesait très fort sur moi et me cassait en deux. Chaque fois qu’il me pénétrait, il poussait sur ses épaules pour obliger mes jambes à remonter jusqu’à mes propres épaules. Il me faisait très mal aux reins en m’obligeant à plier ainsi. Mais il n’en avait cure ! Il continuait son œuvre de sape. Il me pilonnait avec de plus en plus de force et me faisait crier de douleur et de plaisir. Contrairement à Rachid qui s’efforçait de ne pas faire trop de bruit, moi je m’en fichais totalement qu’on m’entende hurler. Au contraire, je voulais que l’on m’entende dans tout l’hôtel. Je voulais que tout le monde sache que j’étais entrain de me faire tirer et que je jouissais très fort ! Je voulais que mon viking, qui ne devait pas être très loin, sache ce qui l’attendait quand il allait à son tour me tirer.
- Tahhan rak touwdj’a3ni! Touwdja’3ni bezzaf ! Mlih! Hlou ! Zid edjebed ! Zid ! Werry-li qouwat zebek ! Qouwet ezzeb ! Ezzeb ! Ezzeeeeb !!!!! (Espèce de cocu, tu me fais mal ! Tu me fais très mal ! C’est bon ! C’est doux ! Continue de tirer ! Encore ! Montre-moi la puissance de ton zob ! La puissance du zob ! Zob ! Zoooob !!!!)
Je ne pus m’empêcher de décharger. J’étais un peu déçu d’avoir joui aussi vite ! Mais c’était tellement bon ! J’étais très essoufflée et la position dans laquelle j’étais m’avait beaucoup fatiguée. Le zob de Rachid était quant a lui, encore vigoureux. Il n’avait pas encore joui. Le connaissant comme je le connaissais, je savais qu’il se retenait pour pouvoir éjaculer dans ma bouche et sur mon visage. Il adorait cela. Il aimait me remplir de son foutre et me regarder, les yeux brillant de bonheur, boire ce qu’il éjaculait directement dans ma bouche et ramasser le reste avec mes doigts, pour ensuite les lécher et avaler le liquide visqueux.
Il sortit son manche de ma chatte et se retira d’entre mes cuisses pour me permettre de reposer mes jambes à plat sur le lit. Il vint se mettre à genoux, à quelques centimètres de mon visage et entama une furieuse branlette, qui transforma son manche en tison tout rouge. Il n’avait pas besoin de mouiller sa main pour la faire glisser plus facilement sur la hampe. Son zob était encore bien enduit du jus visqueux qu’il avait recueilli dans mon vagin, quand il me tirait. Je regardais avec gourmandise, sa main qui allait et venait furieusement le long de la hampe, dépasser le gland, le serrer fortement et prendre le chemin inverse jusqu’à la base du mât. Et elle repartait de plus belle. Pendant qu’il se branlait ainsi, il me regardait sans rien dire. Mais ses yeux brillants, sa bouche ouverte, la salive qui dégoulinait de ses lèvres, les petits sifflements qu’il poussait quand il inspirait l’air par la bouche, tout cela parlait pour lui. Ils disaient tout le plaisir qu’il prenait en pensant au moment où il allait exploser et m’envoyer des giclées de foutres brulant, visqueux et épais sur la bouche, le visage, le cou et les seins.
Il était aussi heureux en me voyant attendre impatiemment ce moment où je verrais son sperme gicler violemment de son zob et venir claquer sur mon visage. Et de fait j’étais dans une attente impatiente du moment où il poussera un rugissement, dont il n’arrivera pas à atténuer l’intensité, et se videra sur moi. Depuis le temps, j’avais fini par adorer être remplie de sperme. J’aimais cette sensation de liquide chaud, humide et visqueux qui s’étalait sur tout mon corps. J’aimais avaler le foutre par petite gorgées, tout en claquant la langue pour montrer à l’amant qui venait d’éjaculer sur moi, tout le plaisir gourmand que je prenais à le faire. J’aimais étaler, avec mes doigts, le sperme qui se trouvait sur mon cou, mes seins et même entre mes cuisses quand mon amant avait éjaculé à l’intérieur de ma chate et que le jus en était ressorti. Rachid avait inventé un néologisme pour qualifier ma relation bizarre avec le sperme : il disait que j’étais une spermophage (une bouffeuse de sperme).
Rachid accéléra soudainement le mouvement de va-et-vient de sa main sur son zob et tendit le bassin vers ma bouche, signe qu’il n’allait pas tarder à se libérer. Et effectivement au bout de quelques allers-retours supplémentaires de sa main sur la hampe, il figea tous ses muscles et poussa un puissant rugissement qui accompagna la première giclée de foutre qui pénétra directement dans ma bouche, grande ouverte. Elle la remplit presque totalement. Je me mis à l’avaler par petites gorgées, pendant qu’il continuait de se vider les couilles sur mon visage, mon cou et mes seins.
Quand il s’arrêta d’éjaculer, il se figea pour me regarder avec ravissement ramasser avec les doigts tout le sperme qui était sur moi et les lécher goulument tout en le regardant fixement dans les yeux. Il avait le sourire de l’homme heureux. Le sourire qu’il avait chaque fois que nous faisions l’amour et qu’il prenait un immense plaisir.
- Je t’aime tellement me, dit-il en venant s’allonger à côté de moi et en m’embrassant tendrement sur la bouche.
Cette nuit-là, nous refîmes l’amour deux fois encore, après que je l’eus excité en lui parlant de mon viking et de ma décision de me faire tirer par lui le lendemain. Je ne savais pas encore comment m’y prendre, mais j’étais sûre que le lendemain après-midi, je jouirai très fort sous les coups du zob non circoncis du gaouri.
…/…

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