Najia, ou l'apprentissage de l'adultère
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Najia, ou l'apprentissage de l'adultère
Avant propos : Depuis quelque temps, mon rôle d’auteur d’historiettes érotiques devient de plus en plus facile. En fait je n’écris presque plus rien; je ne fais que servir d’intermédiaire entre des auteurs (es) et d’éventuels (elles) lecteurs (trices) en reprenant, presque sans y toucher, des histoires vécues par des hommes et des femmes qui veulent profiter de l’espace que m’offre gentiment HDS pour raconter, faire connaître et partager leurs expériences érotiques particulières.
L’histoire qui suit m’a été envoyée par mail, par la femme – Najia – qui l’a vécue (et continue de la vivre aujourd’hui encore). Au début, elle n’avait fait que réagir à une de mes petites histoires érotique en y apportant un commentaire élogieux se terminant par ces mots qui avaient attirés mon attention: « je suis entrain de vivre quelque chose d’analogue. Et si vous le voulez bien, je pourrais vous raconter une expérience, que jusque là, je croyais seule dans ce pays à avoir vécue. » HDS, qui m’avait transmis le commentaire, avait ajouté l’adresse mail de la lectrice.
Je répondis donc à la dame en lui précisant que j’étais vraiment curieux de connaitre l’histoire qu’elle était entrain de vivre, tout en étant presque sûr qu’il ne pouvait s’agir que d’une histoire ordinaire d’adultère mal assumée. Mais l’histoire qui me parvint - pratiquement par retour de courrier – m’avait sidérée. Et je suis convaincu que rien – qu’aucun détail – n’avait été inventé. A ce jour, je n’ai pas encore fait la connaissance de Najia, mais elle m’avait donné les coordonnées de son mari pour que je prenne contact avec lui pour m’assurer de la véracité des propos tenus. Bien entendu, je n’ai pas cherché à joindre Rachid, le mari cocu (je ne savais pas trop quoi lui dire, ni comment le lui dire), mais le simple fait qu’elle m’avait laissé la possibilité de vérifier les faits avait suffi à me convaincre.
Voici donc, sans pratiquement aucune retouche, l’histoire d’un adultère assez spécial, racontée à la première personne par sa protagoniste principale.
Gérache
Je m’appelle Najia (un prénom un peu spécial qui doit être une contraction, ou une manière de prononcer, le prénom plus usité de Nadjia). Je viens d’avoir cinquante ans. Je suis mariée depuis vingt-cinq ans à un homme que je n’ai pas peur de qualifier de « parfait ». Il a cinq ans de plus que moi, bien de sa personne, sans être ni trop beau, ni trop grand, ni trop musclé, ni… Un homme normal en somme. Sauf qu’il est trop gentil, trop brave, trop calme, trop intelligent, trop… !
Jusque là, nous avions vécu une vie de couple que je qualifierai de normale. Vingt-cinq ans de vie commune, avec à la clé deux magnifiques enfants (un garçon et une fille) et une relation de couple dans laquelle le sentiment de tendresse - qui avait été le socle de notre couple - a pu venir à bout des nombreux problèmes qui avaient parsemé notre vie de famille. Nous avions toujours vécus seuls - loin de nos parents respectifs (nos belles familles) qui auraient pu nous empoisonner la vie – et avions fait absolument tout ce que nous voulions. Nous avions élevés nos enfants comme nous le voulions. Ils ont tous les deux fait de brillantes études supérieures et ont émigré au Canada, où ils semblent se plaire.
Nous sommes depuis restés seuls ; tel un vieux couple. Du moins c’était ce que je croyais au moment où Lila, notre fille avait pris l’avion à destination de Montréal, pour y retrouver son frère, installé depuis deux ans. J’avoue que j’appréhendais beaucoup ce moment où Rachid et moi allions rester seuls, sans les enfants, qui avaient complètement occupé notre vie de parents. Qu’allions-nous faire de nos journées ? Comment allions-nous faire pour trouver d’autres occupations, et compenser l’absence des enfants ?
Je n’ai pas encore parlé de notre vie amoureuse à Rachid et à moi. C’était un vrai long fleuve tranquille ! Rien de vraiment extraordinaire ! Nous faisions l’amour assez régulièrement, mais je ne crois pas que ni lui, ni moi avions une seule fois atteint le nirvana en faisant l’amour ! Nous avions des jouissances « normales » ; aujourd’hui - l’expérience d’autre chose aidant - je peux dire que c’étaient de toutes petites jouissances ; je ne sais même pas si je peux parler d’orgasmes pour qualifier ces petits plaisirs que nous prenions Rachid et moi au cours de nos étreintes. Mais ni lui, ni moi n’avions conscience d’un manque quelconque ! La tendresse que nous avions l’un pour l’autre, suffisait amplement à notre bonheur. Et nous avions conscience que nous étions heureux. Il avait fallu que nous nous retrouvassions seuls, après le départ de nos enfants, pour que les choses changeassent et prissent une direction insoupçonnée. Pour moi tout avait commencé par un coup de fil, vers vingt-trois heures. J’étais seule dans mon lit – Rachid était parti pour une mission de quelques jours à Hassi Messaoud et ne devait revenir que le surlendemain – et somnolais en essayant de m’intéresser à un épisode de je ne sais quelle stupide série américaine. Je pensais que c’était Rachid qui me rappelait, parce que lui aussi ne parvenait pas à dormir.
- Allo, Rachid ! Que se passe-t-il ?
- Ah non ce n’est pas Rachid ! C’est Moussa !
- ….
- Oui je sais que tu ne me connais pas ! Mais moi je te connais très bien ! Je suis un collègue de Rachid ! Un ami !
J’avais remarqué le tutoiement. Je me disais que le Moussa en question ne manquait pas de toupet : non seulement, il m’appelait au milieu de la nuit, mais en plus, il me tutoyait comme si j’étais sa petite amie. J’allais répliquer méchamment avant de raccrocher. Mais quelque chose de plus fort que moi me retenait de le faire. Peut-être la curiosité de connaître les tenants et aboutissants du coup de fil. Ou sa voix ! Cette voix particulière, grave et chaude, qui susurrait les mots. Une voix vraiment sensuelle. Je sentais quelque chose en moi qui se réveillait. Quelque chose de totalement enfoui dans mes tréfonds. Quelque chose que je n’avais encore jamais ressenti. Je prêtais donc une oreille plus attentive à cette voix.
- Tu sais Rachid n’arrête pas de me parler de toi. Pour ne dire que du bien : que tu es la plus belle femme qu’il connaisse ! Que tu es la plus gentille ! Que tu mérite de nager dans le bonheur !
- Arrête tes salades ! Rachid ne parle pas de sa femme avec des inconnus ! C’est un homme discret et pudique !
- C’est vrai, mais moi je ne suis pas un inconnu ! Je pense même être devenu son ami ! Nous nous connaissons depuis quelques mois et entre nous le courant passe très bien. Nous travaillons ensemble et nous nous voyons quotidiennement. Et je te jure que depuis quelques jours, il ne me parle que de toi ! Il m’a même montré une photo de toi. Une photo prise au cours d’une fête où tu étais en robe de soirée qui met en valeur toute ta plastique. Et je dois dire que tu es canon !
- Arrête ! Je vais raccrocher !
- Non ne raccroche pas ! Cela ne fera pas plaisir à Rachid ! Il sait que je t’appelle (c’est même lui qui m’a refilé ton numéro de portable) ! Et tu sais pourquoi, il voulait que je t’appelle ?
- Non ! Et cela ne m’intéresse pas ! Tu ne racontes que des bêtises ! Rachid n’est pas comme ça ! Il ne donne pas le numéro de téléphone de sa femme à un étranger ! Et il ne peut pas lui avoir demandé de l’appeler en pleine nuit ! Et pourquoi l’aurait-il fait ?
- Parce que c’est ton anniversaire vendredi et qu’il veut te faire un superbe cadeau ! Un cadeau qui va changer tout le cours de votre vie de couple !
- …Je tombais des nues. C’était vrai que mon anniversaire – mes cinquante ans – tombait le vendredi suivant. Rachid m’avait toujours offert des cadeaux de valeur pour chacun de mes anniversaires; mais de là à m’offrir quelque chose qui allait changer le cours de notre vie de couple, par l’intermédiaire d’un étranger… Je n’arrivais pas à comprendre. D’ailleurs que signifiait le fait de vouloir changer notre vie de couple ? J’étais très bien comme ça et je n’avais jamais fait la moindre remarque qui pouvait montrer que j’avais envie de changer quoi que ce soit dans ma vie.
Qu’est-ce qui n’allait pas dans notre vie de couple pour vouloir la changer ?
- Je ne comprends absolument rien à ce que tu racontes. Il n’y a rien à changer dans notre vie de couple ! Nous sommes très heureux comme cela !
- Bien sûr que vous êtes heureux ! C’est ce qu’il n’arrête pas de me dire ! Mais il vous manque quelque chose de fondamental et lui s’en est rendu compte depuis quelque temps !
- Quoi ?
- Une vie sexuelle vraiment à la hauteur ! A la hauteur de vos désirs ! De vos fantasmes ! Rachid pense qu’il ne t’a encore jamais donné tout le plaisir auquel tu avais droit. Il pense qu’il a manqué à son devoir de mari : il n’a pas pu – ou su – être un amant à la hauteur. Il pense avoir manqué de courage pour te mener sur la voie de l’érotisme. Il avait toujours eu peur de te scandaliser en te proposant certaines choses que tu aurais prises pour des perversions ou des déviations contraires à la morale. Il a toujours pensé que ton éducation kabyle traditionnelle t’empêchait de t’ouvrir sur le vrai plaisir du sexe.
J’écoutais ce que disait Mouloud, sans trop comprendre ce qui se passait. C’était comme si le ciel me tombait sur la tête ! Je n’avais encore jamais imaginé Rachid pensant de telles choses ; et surtout les avouer à un autre homme ! J’avais bien remarqué que mon mari était tenté de faire, de temps en temps, certaines choses avec moi pendant nos ébats. Il n’avait jamais trop insisté – peut-être parce qu’il me voyait me cabrer et croyait que j’étais foncièrement opposée à ces choses là.
J’avais, par exemple souvent remarqué qu’il aurait bien voulu me sodomiser - certaines approches pendant nos ébats me le suggéraient fortement – mais il n’allait jamais trop loin en voyant que je me crispais, ce qu’il interprétait comme un refus de ma part d’aller sur ce terrain. Les seules incartades qu’il se permettait – et qui me mettaient en joie quand elles se produisaient – c’était des moments de cunnilingus torrides qui me procuraient un plaisir intense que je n’osais pourtant pas trop montrer, de peur d’être mal jugée.
Je me permettais moi aussi, de temps en temps, de tenter une petite fellation, pensant que Rachid allait aimer (et il aimait, mais sans oser me le dire) mais qui s’arrêtait toujours à mi-chemin : il n’osait pas aller trop loin dans ma gorge et surtout, il se retenait de jouir dans ma bouche (ou sur mon visage) pensant certainement que je n’aurais pas aimé.
Je venais de découvrir, en écoutant Moussa parler du couple que nous formions depuis plus de vingt-cinq ans Rachid et moi, que nous sommes passé à côté de beaucoup de choses. Et, à mon grand étonnement je sentais mon corps qui se réveillait. C’était comme s’il sortait d’un long – très long – sommeil. Mon cœur commençait à battre très fort ; le bout de mes seins durcissait ; mon bas-ventre me titillait ; et, à mon grand étonnement, je sentais que ma chatte se mettait à couler et à mouiller ma culotte. Une douce chaleur s’emparait de moi et irradiait sur tout mon corps. Je n’avais encore jamais ressenti cette sensation de désir irrépressible s’emparer ainsi de tout mon corps. Ou bien c’était il y a tellement longtemps - quand j’étais encore une jeune fille en fleurs et avant que ne commençât ma vie de couple.
La voix grave et sensuelle de Moussa ne faisait qu’accentuer cette sensation de désir qui m’étreignait et ce besoin de me toucher. Inconsciemment ma main droite se promenait sur mes seins : tout en écoutant les paroles qui me parvenaient du téléphone portable, j’étais entrain de me caresser. Mes doigts palpaient doucement un téton puis l’autre en les enroulant comme s’ils étaient deux billes faites de chair ferme. Mais au lieu de me calmer, cela ne faisait qu’accroitre mon envie de faire l’amour. Une envie dont je commençais à me rendre compte et qui me mettait mal à l’aise.
Mais rien n’y faisait : j’avais de plus en plus envie.
A cette époque, je n’osais pas encore mettre les mots qu’il fallait sur mes sensations. Je n’osais pas m’avouer que je voulais être tirée, baisée, niquée... Je me disais seulement que j’avais envie !
J’avais envie que l’homme qui était à l’autre bout du fil apparaisse soudain devant moi et me fasse l’amour. J’avais envie qu’il me dise que je lui plaisais et qu’il voulait venir me rejoindre dans mon lit. J’avais envie qu’il me fasse tout ce que lui avait envie de me faire ; même les choses inavouables pour une femme éduquée de manière aussi traditionnelle que moi. Moussa lui continuait de me parler sans élever la voix ; comme s’il voulait que je me concentre sur elle pour saisir tout ce qu’il était entrain de dire.
- Rachid pense que vous avez trop perdu de temps avec la morale ambiante. Qu’il est temps que lui et toi passiez aux choses sérieuses. Que vos corps et vos âmes exultent ! L’un avec l’autre !
L’un grâce à l’autre ! Et même avec d’autres ! Je vais te dire quelque chose qui va t’étonner - et peut-être même te choquer - Rachid désirerait te faire vivre une vraie expérience sexuelle avec un autre homme : moi !
- …Je ne disais toujours rien. J’allais de surprise en surprise. Mon mari voulait m’offrir à un autre homme ! A Moussa ! Afin que je vive une expérience érotique torride et inoubliable ! Que j’apprenne ce qu’est réellement le sexe ! Que j’en devienne accro ! Et Moussa était ce cadeau d’anniversaire exceptionnel que voulait me faire mon mari pour mes cinquante ans. J’étais très partagée : d’un côté j’en voulais à Rachid de se comporter ainsi. Je me disais que pour en arriver là, il fallait qu’il n’y ait plus chez lui un seul gramme d’amour envers moi. S’il m’aimait toujours, il ne pouvait pas penser une seule seconde à m’offrir à un autre homme. S’il m’aimait, il ne pouvait qu’être jaloux et chercherait à me garder pour lui tout seul.
D’un autre côté, tout ce que disait Moussa me remplissait d’un sentiment bizarre : le sentiment d’être importante et de plaire. Le sentiment de susciter du désir chez les hommes. Le sentiment d’être devenu un objet sexuel. Et c’était loin de me déplaire. Je voulais plaire aux hommes. Je voulais qu’ils me désirent ! Je voulais qu’ils bandent pour moi ! Je voulais être celle qui les empêcherait de dormir ! Celle sur qui ils se branleraient la nuit ! Et Moussa continuait de parler.
- Je suis ton cadeau d’anniversaire ! Et je te promets que tu en seras très contente ! Je suis un vrai bon coup ! D’abord je suis bien monté ! Tu comprends ? J’ai un sexe de bonne taille ! Tu n’as encore jamais été tirée par une queue comme la mienne ! Une fois que tu y auras goutté, tu ne pourras plus t’en passer ! Ensuite, je suis quelqu’un de résistant. Je peux passer une nuit entière à baiser sans me fatiguer. Ma queue est en acier ! Elle n’est jamais au repos !
- Arrête de te vanter ! Je ne crois pas un mot de tout ce que tu racontes ! Rachid ne peut pas t’avoir raconté tout ce que tu dis. Et surtout, il ne peut pas avoir pensé une seule seconde à m’offrir à un autre homme ! Il m’aime trop pour cela !
- C’est bien parce qu’il t’aime qu’il veut pour toi ce qu’il y a de mieux ! C’est-à-dire moi ! Il ne me l’a pas dit comme cela, mais je crois que ton mari fait partie de ces hommes qui prennent du plaisir à porter des cornes ! Je suis sûr que son bonheur serait de te regarder te faire tirer par un autre homme ! Et jouir comme une folle devant lui ! Mais pour le moment, il se contentera de t’imaginer subir les assauts de son ami Moussa et y prendre un immense plaisir ! Quand est-ce que je viens ?
- Tu es fou ! Il n’est pas question que tu viennes ! Ni qu’il se passe quoi que ce soit entre nous ! D’abord qu’est-ce qui te dit que tu es mon genre d’homme ? Que j’ai envie de faire l’amour avec toi ?
- Je sais que tu en as très envie ! Je sais qu’en ce moment même tu es entrain de te caresser ! J’entends presque le bruit que font tes doigts à l’intérieur de ta chatte qui coule de désir! J’entends le clapotis ! Ose me dire que ce n’est pas vrai ! Je voudrais que tu te lâches et que tu te mettes à gémir ! Je sais que tu as envie de gémir ! De crier ! Laisse-toi aller !
Ce diable d’homme avait deviné juste. Après les petites caresses presque inconscientes sur mes seins et mes tétons, j’étais passée, tout aussi inconsciemment, à mon entrecuisse. D’abord je me caressais discrètement par-dessus la culotte (comme si j’avais peur que l’homme me voit entrain de me masturber) puis plus franchement en faisant pénétrer trois doigts à l’intérieur de mon vagin et en m’y prenant avec vigueur. Comme il l’avait deviné, je m’efforçais de me retenir de gémir. Alors que l’envie de le faire se faisait de plus en plus pressante. Ma chatte était pleine de jus et mes doigts faisaient effectivement un bruit de clapotis à l’intérieur. Je voulais m’arrêter de me masturber - j’avais honte de ce que je faisais - mais une force supérieure m’empêchait de le faire.
Je continuais de plus belle, en écoutant la voix envoutante de Moussa.
- Ne te retiens surtout pas ! Laisse-toi aller ! Continue de faire aller tes doigts à l’intérieur de ton vagin ! Combien as-tu mis de doigts ?
- Trois !
J’avais répondu instinctivement ; sans réfléchir. J’étais maintenant prise au piège. Je ne pouvais plus reculer. Et puis je n’avais absolument pas envie de reculer. Je voulais jouir très fort! Et rien ne pouvait plus m’en empêcher. Et Moussa n’avait certainement pas envie de m’en empêcher.
- C’est bien ! Continue ! Dis-moi à quoi, ou à qui, tu penses en te caressant. A moi ? A ma grande queue ?
- Oui ! A une grosse queue qui me remplit complètement le vagin et qui me pilonne comme une brute ! Je veux une queue que je sente bien en moi ! Une queue qui me fait très mal en me possédant ! Une queue qui devient mon seigneur et maître ! Un vrai zob d’homme !
- Comme le mien ! Un vrai zob d’homme ! Ferme les yeux et imagine-moi entre tes cuisses. Imagine un immense zob à l’entrée de tes grandes lèvres qui s’ouvre la voie royale entre elle et qui s’apprête à entrer dans le tunnel. Imagine la poussée brutale de mes hanches et la douleur quand mon zob prend possession de ton tunnel. Tu sens toute sa force ? Tu sens comme il lime la paroi de ton vagin ? Tu sens comme il est heureux à l’intérieur ?
- Oui ! Il me fait atrocement mal ! Mais quel plaisir et quel bonheur que cette douleur ! Encore ! Continue d’aller et venir comme cela ! Comme une brute ! J’aime être niquée comme ça : en force ! Continue, nique-moi ! Nique-moi ! Nique-moi ! Je vais jouir ! Je jouiiis !
Et effectivement j’avais joui comme jamais je n’avais joui auparavant. Une jouissance qui dévala des tréfonds de mon corps, qui se positionna un moment sur tout mon bas-ventre puis qui irradia vers ma poitrine et mon cœur, qui faillit s’arrêter, tant il battait trop vite. J’avais vaguement conscience qu’il venait de se passer quelque chose d’exceptionnel et d’anormal. Mais au fond de moi, je n’en avais cure. J’étais encore toute à mon bonheur d’avoir joui. D’avoir vraiment joui ! Rien qu’en me caressant et en écoutant un homme me parler.
Puis petit à petit je sortis du brouillard dans lequel j’étais et je pris conscience de la situation. J’eus un peu honte de mon comportement. Mais je me retenais bien de le dire à mon partenaire. Ce fut lui qui parla le premier. Non pas pour se vanter ou se féliciter, ou me reprocher quoi que ce soit, mais pour me répéter que j’étais une femme exceptionnelle et que mon mari Rachid avait raison de dire que je méritais de connaître le vrai bonheur; le bonheur qui provient de relations sexuelles débridées et d’une vie érotique libérée.
- J’aurais bien voulu te rejoindre cette nuit, mais il est trop tard. Je le ferai demain soir, après le travail, vers dix-neuf heures. Je veux que tu sois prête à accueillir ton cadeau d’anniversaire. Tu verras, tu n’y trouveras que du bonheur !
Et il raccrocha subitement; sans me laisser le temps de refuser sa proposition. Ma première réaction était en effet de lui dire non. Il n’était pas question pour moi de l’accueillir chez moi - chez nous - sous notre toit conjugal ; dans notre chambre conjugale ; sur notre lit conjugal ! Mais cet état d’esprit ne dura que quelques secondes (quelques minutes au plus !) Rapidement le souvenir de la jouissance de tout à l’heure vint s’imposer à moi et m’empêcha de penser à toute autre chose qui ne soit pas le plaisir qui m’attendait la nuit prochaine. J’y pensais tellement que j’avais du mal à trouver le sommeil. Je m’étais même remise à me masturber pour calmer le désir qui continuait de m’étreindre. Je n’eus pas un orgasme identique à celui que je vécus quelque temps auparavant, mais cela suffit à calmer mes nerfs. Je pus enfin plonger dans un profond sommeil. Un sommeil plein de gros zobs qui me prenaient de toutes parts.
En me réveillant le matin, le souvenir de Moussa revint brutalement occuper ma pensée. Il ne me quittera plus de toute la journée. Au travail – je suis professeur de français dans un lycée d’Alger – je vaquais comme un zombie, l’esprit occupé par les évènements de la nuit passée et ceux qui allaient advenir la nuit prochaine. Vers midi, comme à son habitude, Rachid m’appela pour s’enquérir de mon état de santé et pour me demander, sans avoir l’air d’y toucher, s’il n’y avait rien eu d’exceptionnel la nuit précédente.
- Si j’ai reçu un appel, tard dans la nuit, d’un homme qui se prétend ton ami et qui m’a dit des choses étonnantes sur notre couple.
- Tu as apprécié ? Moussa est un gars vraiment bien ! Un homme totalement différent de ceux que nous connaissons et fréquentons. Je crois que tu aimeras sa compagnie.
- Y compris qu’il soit mon cadeau d’anniversaire ?
- Oui ! Je sais qu’il te plait déjà. Il m’a appelé pour me raconter votre discussion et le rendez-vous pris pour cette nuit. Cela me fait plaisir. J’espère que tu vivras des instants merveilleux.
- Tu veux dire que tu veux vraiment que je couche avec lui ? Que tu n’es pas jaloux ? Que tu ne m’en voudras pas de te tromper ? Tu m’aimes donc si peu ?
- Au contraire, je t’aime beaucoup plus ! C’est pour cela que je veux que tu vives complètement ces instants d’érotisme intense ! Il n’y a pas eu jusqu’ici beaucoup de moments érotiques entre nous. Et je sais que c’est un vrai manque dans notre vie. Je veux que cela change et que notre vie prenne une nouvelle direction : celle du sexe libre ; du sexe débridé. Cela ne veut pas dire que nous n’avions pas été heureux auparavant. Nous avons eu beaucoup de bonheur. Mais aujourd’hui, il nous faut aller plus loin ; il nous faut atteindre le Paradis.
- Et tu penses qu’en couchant avec ton ami, nous atteindrons le Paradis ? Je peux imaginer que moi je sois heureuse (en admettant que ton ami soit vraiment un super coup), mais toi, où sera ton plaisir ?
- Dans le tien ! Je serais très heureux de savoir que tu as atteint des sommets de plaisir sexuel avec Moussa (ou même avec un autre homme). Ton bonheur sera le mien. Surtout, si après tu me racontes tout ce que tu as ressenti ! Je te dégoute ?
Je n’ai pas su quoi répondre à sa dernière question. J’ai marmonné quelque chose d’inaudible et j’ai raccroché. Je ne voulais pas lui dire que j’étais impatiente de rencontrer Moussa. Que j’étais vraiment sur des charbons ardents. Que plus l’heure approchait et plus mon cœur battait plus vite et plus fort. Et plus l’émotion qui m’avait étreinte la nuit dernière revenait à grand pas et mettait mon corps en émoi. Je quittai le lycée vers quinze heures et rentrai directement à la maison. Je passais tout le reste du temps à me préparer à recevoir Moussa, comme si j’étais une nouvelle mariée. Non seulement je pris un bain très chaud et m’épilai avec soin partout – y compris mon intimité que je débarrassai de tous les poils qui pouvaient s’y trouver – mais encore je choisis la tenue la plus affriolante que j’avais dans ma garde-robe : une petite nuisette super coquine et un ensemble culotte/soutien-gorge en soie noire qui mettait en évidence la blancheur laiteuse de ma peau. Par-dessus, je mis un kimono en soie bleue qui moulait mon corps et mettait en valeur mes rondeurs. Et j’attendis avec impatience que la sonnette de la porte d’entrée tintât. Je n’arrêtais pas de me regarder – et de m’admirer - dans la grande glace du salon. Sans forfanterie je me trouvais belle. C’est vrai que je n’avais plus la fraicheur de mes vingt ans ; ni la fermeté des chairs que j’avais à cet âge. Mais je trouvais que j’étais toujours une superbe plante.
Pour me décrire rapidement, je dirais que je suis une femme plantureuse, avec toutes les rondeurs – encore fermes – qu’il faut, là où il faut. J’ai surtout un superbe fessier qui faisait fantasmer tous les hommes que je croisais dans la rue. Je suis très blanche de peau – une Kabyle du Djurdjura – avec un visage long se terminant par un menton volontaire, un nez droit – un peu trop grand à mon goût – des yeux marron-clairs et une grande bouche gourmande. Mes dents, sans être celle d’une publicité pour un dentifrice, sont blanches, bien plantées et régulières. En somme, un physique plutôt agréable, que même les garçons du Lycée trouvent bandant (c’est du moins ce que mes collègues femmes, n’arrêtent pas de me répéter depuis des lustres que j’enseigne dans cet établissement).
Pendant tout le temps que j’attendais son arrivée, je me posais des tas de questions sur Moussa : surtout sur son physique et son âge. Si je devais me fier à sa voix, il ne devait pas avoir plus de trente-cinq ans. Sa voix était celle d’un homme mûr ; d’un homme avec un vécu avéré, mais pas encore blasé. Au maximum, me dis-je – comme pour me rassurer – il devait avoir quarante ans. Pour la beauté, je ne savais pas trop ; la voix ne donne aucune indication. Mais j’avais l’espoir que c’était un bel homme ; même si ce n’était pas un Apollon. J’en étais là dans mes réflexions quand la sonnette de la porte d’entrée retentit. Mon cœur se mit à battre la chamade. J’avais l’impression qu’il allait exploser. Je m’efforçai de me calmer un peu, avant d’aller ouvrir. Je n’y arrivai pas totalement et ce fut en tremblant un peu que j’ouvris la porte et me trouvai en face de Moussa.
La première réflexion qui me vint en tête à ce moment précis est que je venais d’ouvrir à un pirate – les pirates que l’on voit dans les films hollywoodiens. Il en avait la prestance et la dégaine.
D’abord, il était très grand et mince - presque maigre – avec des épaules larges, une taille fine, des hanches étroites et des jambes qui n’en finissaient pas. Il avait cette fameuse barbe de trois jours - dont je me demande aujourd’hui encore comment il faisait pour la maintenir en l’état – des cheveux noirs, raides et longs, qui lui tombaient sur la nuque ; et un visage basané, anguleux, comme taillé par une serpe. Son long nez droit et son menton volontaire accentuait encore plus cette impression de plus en plus présente que j’avais affaire à un pirate. Sans parler de ses petits yeux noirs au regard brillant et du sourire moqueur qu’il avait – en permanence – sur les lèvres. Je ne parle pas non plus de son immense bouche gourmande et des canines de prédateur qui apparaissaient sous ses fines lèvres, constamment ouvertes. Et pour confirmer cette apparence, il portait un costume en toile légère de couleur grise, dont la veste déboutonnée laissait apparaître une chemise à petits carreaux bleus, négligemment ouverte sur un poitrail velu.
- Bonsoir ma grande ! fit-il avec un sourire de carnassier qui présageait d’une suite des plus torrides. Je vois que tu m’attendais ! Tu es super mignonne ! Mieux que dans la photo !
- Bonsoir ! répondis-je d’une toute petite voix.
J’étais vraiment intimidée. D’abord l’homme était à l’aise. Trop à l’aise par rapport à moi qui me sentais comme un petit lapin prise au piège. En plus, il était beau. De cette beauté virile qui n’avait rien avoir avec la régularité ou la finesse des traits. La beauté du Diable ! Il donnait l’air d’avoir environ trente-cinq ans, mais j’étais sure qu’il se vieillissait volontairement par sa manière de se tenir et de s’habiller. Il ne devait pas avoir plus de trente ans. Un enfant ! Du moins comparé à moi, qui allais avoir cinquante ans, le lendemain. J’étais encore plus intimidée. Je lui fis signe gauchement de me suivre vers le grand salon qui se trouvait au fond du couloir. Je le devançais pour lui indiquer le chemin. Mais avant d’avoir fait un mètre, je sentis sa main qui venait de se poser sur mes fesses. J’eus une crispation involontaire, comme pour réagir à un geste incongru, mais me repris très vite, en me disant que c’était normal qu’il se comporte ainsi : s’il était là, si je l’avais laissé entrer, si je le précédais vers le grand fauteuil du salon, c’était uniquement pour cela : pour me tirer ! Et je ne pouvais être que consentante.
- Rachid a vraiment raison ; tu as un cul superbe ! Il ne faut pas te scandaliser, c’est de ma part un vrai compliment !
- …Je ne répondis rien. D’ailleurs qu’aurais-je pu répondre qui aurait pu changer le cours des choses. Et puis avais-je vraiment envie que le cours des choses changeât ? Non ! Mille fois non ! Au contraire je voulais – j’espérais – que les choses s’accélèrent et que mon pirate me saute dessus.
Je voulais qu’il exerce sa force sur moi et me soulève du sol pour me jeter sur le divan. Je voulais qu’il déchire mon kimono et ma nuisette et mes dessous. Je voulais… Mais Mouloud continuait de me caresser les fesses, sans se presser, tout en marchant derrière moi. Je sentais son énorme paluche qui malaxait une fesse et puis l’autre; en insérant de temps en temps un doigt entre elles, pour aller à la recherche de mon anus. Il m’est aujourd’hui encore très difficile de décrire les sentiments qui me traversaient en ce moment précis. C’était un mélange d’excitation – excitation provoquée surtout par la situation bizarre dans laquelle je me trouvais, seule chez moi avec un homme que je ne connaissais pas encore et qui était là pour me tirer – et de gêne. Le reste de mon éducation puritaine me commandait de résister à tout ce qui se passait en moi et de chasser l’homme de ma maison.
Mais au lieu de ça, je me laissais faire. Et j’étais heureuse de me laisser faire. Même son doigt, qui se faisait de plus en plus insistant sur l’anneau de mon anus me procurait une merveilleuse sensation d’excitation. La promesse de quelque chose d’inconnu et de nouveau pour moi. La promesse d’une sodomisation que je n’avais encore jamais pratiquée, mais qu’au fond de moi j’avais toujours voulu essayer. Et surtout la promesse d’une sodomisation à la hussarde; brutale et douloureuse. Je me découvrais soudainement une vraie tendance au masochisme. Je voulais connaître – et aimer – la douleur d’une pénétration anale brutale. Mais là encore, ce n’était que le fruit de mon imagination ; ou de mes désirs les plus profonds. Dans la réalité de la scène qui se déroulait en ce moment là, c’était Mouloud – et lui seul – qui était le maître du jeu. Qui faisait ce qu’il voulait et qui me l’imposait, sans même dire un mot.
Arrivé devant la porte du salon, Mouloud me prit par la taille et me souleva aussi facilement qu’un fétu de paille. Il me porta vers le grand divan et m’y déposa délicatement. Moi j’attendais à ce qu’il me jette sur le divan, me débarrasse brutalement de mon kimono, relève le bas de ma nuisette et écarte ma culotte pour découvrir mes fesses et mon anus. Je m’attendais à ce qu’il sorte son engin et, sans précaution aucune, m’encule à me faire hurler de douleur. Au lieu de cela, il n’utilisa que de la douceur. Il m’allongea sur le dos; écarta les pans de mon kimono, resta un moment à regarder – à admirer – le panorama qu’il avait sous les yeux et se mit à me caresser les genoux, puis l’intérieur des cuisses, puis mon entrecuisse – par dessus le tissu de ma culotte.
Ses mains étaient électrisées. Chacune des ses caresses produisait en moi des petites décharges électriques; de toutes petites décharges, qui tétanisaient mes muscles et me faisaient légèrement mal. Un mal qui accroissait l’intensité de mon désir. Le désir qu’il m’arrache la culotte et s’occupe exclusivement de ma chatte, qui dégoulinait de mouille. Je ne voulais plus qu’il m’encule !
Je voulais qu’il me tire par la chatte. Là ! Tout de suite ! Brutalement ! Mais Mouloud poursuivait le fil du scénario qu’il avait tracé. Sa main allait et venait autour de ma chatte, sans insister et sans s’y arrêter plus d’une seconde. Le bougre savait dans quel état j’étais. Car même si je ne disais rien, si je m’efforçais à résister à l’envie que j’avais de gémir, ou de prendre sa main pour la forcer à s’occuper plus franchement de ma chatte, il était évident que je voulais qu’il continue et qu’il aille plus loin. J’avais envie de hurler. De lui hurler en arabe, ou même en kabyle, d’être un homme et de me baiser. De me tirer ! De me piner ! De pilonner ma chatte ! Je regardais Mouloud qui continuait de me caresser doucement, en plongeant ses yeux dans les miens, avec un rictus de carnassier sur les lèvres.
- Ne te retiens pas ! Laisse-toi aller ! Dis-moi ce que tu veux que je te fasse et je te promets de le faire !
- Nik-ni ! Eqou-yi ! Bghit ett-nik ni ! Dhork ! Thoura ! (Nique-moi ! Je veux que tu me niques ! Tout de suite !)C’était la première fois de ma vie de femme que je lâchais de telles paroles crues (en arabe et en kabyle). Jamais avec Rachid, je ne m’étais permise – l’envie ne m’en était même jamais venue – de dire de telles choses. Avec Mouloud, elles venaient naturellement. Et je n’en avais même pas honte.
Au contraire, ces paroles crues ajoutaient à mon excitation et accroissaient le désir que j’avais d’être baisée par cet homme, qui pour le moment se contentait de pousser mon désir vers son paroxysme. Il ne tint pas la promesse qu’il m’avait faite d’obéir à n’importe quel désir que j’aurais exprimé. Il suivait son propre scénario. Il écarta le bord de ma culotte pour mieux avoir accès à ma chatte. Il la regarda un long moment; il avait accentué son sourire de prédateur et je vis ses narines trembloter de désir. Je sus qu’il aimait le spectacle qui se présentait devant ses yeux.
- Ach-hal thezzienn! Ach-hal thel ‘ha! (Comme elle est belle ! comme elle est bonne!) Fkiyits atsmechagh ! Atsetchagh ! Atssoudnagh ! (Offre-la moi, je vais la lécher ! Je vais la bouffer ! Je vais l’embrasser !)Le bougre était lui aussi kabyle ! Comme moi, il utilisait sa langue maternelle pour accroitre son excitation et donner plus d’intensité à son désir. Sans attendre que je l’autorise à quoi que ce soit, il plongea sa tête entre mes cuisses et se mit à embrasser, lécher et sucer ma chatte. C’était divin ! Bien plus excitant que les cunnilingus de Rachid ! Mouloud y allait franchement, faisait pénétrer sa langue profondément dans mon vagin, léchait les parois et ramassait tout le jus qu’il pouvait et qu’il avalait goulument.
Sa bouche se comportait comme une véritable ventouse; elle embrassait, suçait, léchait et aspirait tout le jus qui était à l’intérieur de mon vagin. Parfois même, il mordait doucement mes petites lèvres et mon clitoris, me faisant pousser un tout petit ri de douleur. Une douleur tellement agréable ! C’était délicieux ! Merveilleux ! J’aimais vraiment le mouvement d’aller-retour de ses lèvres et de sa langue entre mes grandes et petites lèvres et dans mon vagin. Je voulais que sa langue fût plus grande et plus rigide pour qu’elle se comportât comme un vrai zob. Je voulais que toute sa tête pénétrât à l’intérieur de mon vagin. J’attrapais sa nuque avec mes deux mains pour forcer Mouloud à entreprendre un mouvement montant et descendant entre mes cuisses, allant du mont de vénus, jusqu’à l’anus et vice-versa. Il s’appliqua à faire ce que je lui imposais, m’arrachant des petits cris de plaisir.
J’adorais ce qu’il me faisait et je le lui faisais savoir en soulevant très haut mon bassin pour mieux coller ma chatte sur sa bouche et pour que sa langue qui farfouillait à l’intérieur de mon vagin, allât le plus loin possible. J’avais refermé mes cuisses sur sa tête et bougeais maintenant mes hanches au rythme des allées et venues de ses lèvres et de sa langue à l’intérieur de mes grandes et petites lèvres. Il léchait, suçait et buvait le jus que je produisais en quantité. Je n’arrivais plus à retenir les mots et phrases crues qui sortaient de ma bouche (en kabyle et en arabe) - Etch thahetchountiw ! Koul-li saouti ! Mech-hits ! Echrab ! Essaw ! Ach-hal m’lih ! (Bouffe ma chatte ! Lèche-la ! Bois ! Comme c’est bon !) Ra‘hi djaya ! Ad-tsass ! Thoussad ! Thoussaaaaaad ! (Je vais jouir! Je jouis ! Je jouiiiiis !) Je relevais un plus mes hanches, écartai mes cuisses, attrapai sa tête à deux mains et appuyai sur elle pour l’obliger à bouger de plus en plus vite sur ma chatte. Puis je poussai un long râle de jouissance, puissant et sonore, en déchargeant des litres de jus dans sa bouche.
- Echrab ! Essaw ! Essaw dhi thalaw ! (Bois ! Bois ! Bois dans ma source!) Et je m’affalai, fourbue et heureuse sur le canapé, appuyant toujours sur la nuque de mon homme pour que sa tête ne sorte pas d’entre mes cuisses. Je ne lâchai prise qu’une fois avoir repris presque totalement mon souffle. Mouloud leva la tête pour me regarder. Il avait toujours son sourire de prédateur. Il semblait content de lui.
- Tu apprends vite ! C’est excellent ! Continue comme cela et tu verras, nous allons passer une nuit inoubliable. Une nuit qui sera pour toi le début d’une nouvelle vie amoureuse. Tu ne voudras plus jamais revenir en arrière. Et tu en remercieras toute ta vie Rachid qui a permis cela.
Pour dire vrai, je n’étais pas très sensible à ce qu’il racontait; ce n’était pour moi que de la philosophie à la petite semaine; et en ce moment là j’étais à mille lieues de m’intéresser à la philosophie; même si celle-ci me concernait au plus haut point. Ce que je voulais pour l’instant, c’est que cette nuit qui avait si bien commencé ne s’arrête pas en si bon chemin. Je voulais continuer de jouir comme une bête ; comme une chienne. J’avais pris goût à la jouissance sexuelle : depuis la nuit d’hier, je jouissais avec une intensité de plus en plus grande. Et je voulais maintenant connaître le paroxysme de la jouissance; celle que me procurera la queue de mon homme. Je ne l’avais pas encore vue, mais j’étais sure qu’elle était énorme. D’abord, il m’avait dit, la nuit dernière, qu’il avait une superbe queue. Et puis je voyais l’immense bosse qu’elle faisait sur le devant de son pantalon. Je voulais la voir !
- Bright enn-chouf zebek! Emliyi-thid! Werri‘hou li! Kherdjouh! Soufghi-thid ! (Je veux voir to zob! Montre-le-moi! Sors-le !)J’essayai maladroitement d’ouvrir sa braguette, sans y parvenir. J’avais les doigts qui tremblaient trop. Il s’occupa lui-même de dégrafer la ceinture, puis le bouton qui tenait le pantalon et d’ouvrir la braguette. Tout cela en moins de temps qu’il me fallu pour le lui demander. Il rabaissa son pantalon sur ses genoux et resta en slip. Il bandait comme un âne. Je voyais le gland de son sexe, large et brillant, qui apparaissait en dessous de l’élastique du slip. Je ne résistai pas à l’envie de tendre la main pour le sortir complètement de sa prison. De ma vie, je n’avais encore jamais vu une bite aussi belle! Aussi longue! Aussi grosse! Je n’avais vu, en vrai, que celle de mon mari ; et elle était beaucoup plus petite que celle que j’avais sous les yeux. Mais même dans les photos et vidéos que j’avais pu voir ça et là, j’avais rarement rencontré une queue aussi grande et aussi puissante. Et aussi bien entretenue !
- Wagui dha bouch ! Hadha zeb ! (Ça c’est un zob !) ne pus-je me retenir de dire.Elle était vraiment magnifique ! Je me fis la réflexion qu’avec un tel engin, il allait me déchirer la vulve. Et si jamais, il me sodomisait, je ne pourrais plus m’assoir avant au moins un mois. Mais au lieu que cela me fît peur et ne tempérât mon excitation, ce fut le contraire qui se passât : j’avais encore plus envie de me faire tirer. Je le pris dans ma main droite pour le tâter et le caresser; il était chaud et dur; et tellement doux au toucher ! J’eus tout de suite envie de l’embrasser.
- Vghigh ath-soudhnagah ! Bghit en-boussou ! Vghigh ath-mech-hagh ! Bghit en-lahsou ! (J’ai envie de l’embrasser ! J’ai envie de le lécher !)Il ne me répondit pas. Mais je vis à son sourire satisfait, qu’il n’attendait que ça. Je tombais à genoux devant mon homme et me mis à embrasser l’énorme engin. Et à le titiller avec la langue. Je me comportais comme une femme qui avait fait cela toute sa vie. Pourtant, mis à part les quelques pauvres fellations que j’avais faites à mon mari, je ne m’étais encore jamais comporté de la sorte.
Cela me paraissait tellement naturel de faire ce que j’étais entrain de faire ! Tellement normal ! Je promenais mes lèvres sur toute la longueur de la queue et m’arrêtais un moment sur ses couilles, qui étaient aussi dures qu’une pierre. Il devait se raser, parce qu’il n’y avait aucune trace de poils, ni sur son pubis, si sur son sexe, ni sur ses couilles.
- Ett-dhith ! (Tète-le !) fit-il d’une voix qui ne souffrait pas que je lui résiste. Et pourquoi résister, quant tout mon corps me criait d’obéir ? Je savais que j’allais passer un mauvais quart d’heure avec un tel engin dans ma bouche, mais j’étais prête à tout. J’ouvris la bouche et fis pénétrer l’énorme queue dans ma bouche. Je pensais lui administrer une superbe fellation. Je me disais que j’arriverai à satisfaire mon amant avec ma bouche, ma langue et mes lèvres. Mais lui, ne l’entendait pas de cette oreille : il ne voulait pas se contenter d’une simple fellation ! Il voulait me baiser par la bouche! Il me le fit comprendre en m’attrapant par la tête et en faisant pénétrer son gros engin jusque dans ma gorge. J’avais un grande bouche; je n’eus donc pas trop de mal à laisser pénétrer le monstre à l’intérieur. Mais lui, il voulait aller plus loin : bien au-delà de ma gorge. Dès que le gland atteignit ma gorge, je me sentis étouffer. L’engin était trop gros et ne me laissait aucun espace pour respirer. Mouloud n’en avait cure. Il poussait avec son bassin pour forcer le passage. Il me tenait fermement par les cheveux, pour que je n’aie aucune possibilité de fuir. Et il poussait très fort.
J’essayais de le repousser un peu pour pouvoir respirer. Et puis l’idée me vint de prendre la hampe du monstre à sa base pour l’empêcher d’aller trop loin. Je réussis plus ou moins à trouver un équilibre entre nous : lui qui voulait aller le plus loin possible – avec force et brutalité – et moi qui voulait garder un espace pour pouvoir respirer et aussi pour ne pas vomir. Mais même comme cela, son sexe était encore trop long et dépassait la glotte et me donnait à chaque fois envie de vomir. J’entendais mon homme qui ahanait et marmonnait des bouts de phrases en kabyle. Des phrases dont je ne saisissais que des bribes. Il était question de douceur de ma bouche ; de ma langue électrifiée ; de chaleur et d’humidité de ma cavité buccale; et de la jouissance qu’il allait avoir dans ma bouche. Et pendant qu’il marmonnait, il continuait de me démolir la gorge.
Il faisait sortir complètement l’engin de ma bouche et, après une seconde de répit qu’il me laissait pour respirer, il le faisait repartir aussitôt à l’assaut. J’avais la paroi de la gorge qui me faisait atrocement mal. Mes yeux étaient plein de larmes et coulaient comme des fontaines. Mon nez, lui aussi, coulait à flots. Et chaque fois que le monstre sortait de ma bouche, je lâchais sur lui un flot de salive – et parfois de vomis - que les va-et-vient forcenés qu’il m’appliquait, me faisaient produire en quantité industrielle. J’entendais, comme s’il était à des kilomètres de moi, Mouloud gémir de plaisir. Il ne lâchait pas ma tête; au contraire il tirait sur mes cheveux, comme s’il voulait me faire mal. Soudain, il se mit à accélérer le rythme des va-et-vient dans ma bouche et à pousser des petits cris de plaisirs. Puis il déchargea un flot de foutre brûlant, qui arriva avec force au fond de ma gorge.
- Essew ezzel bourguez ! Esswith awk ! Essouw ezzel yahmane ! Ezzel yerghane ! (Bois le sperme d’un homme ! Bois-le en entier ! Bois du sperme bien chaud ! Du sperme brulant !) Je n’avais encore jamais reçu du sperme dans ma bouche. Ni même sur le visage ! C’était la première fois que j’en recevais au fond de ma gorge, et que j’étais obligé de l’avaler. J’avoue que je n’avais aimé ni le goût, ni l’odeur, ni la viscosité du produit ; mais je m’efforçais de faire ce que me commandait mon homme. Avaler son sperme ! Et le fait qu’il me l’ordonne dans notre langue maternelle, ajoutait à l’obligation de le faire. J’essayais donc, sans complètement y réussir, de boire la première giclée. J’avais failli étouffer ; je dus donc en recracher une grande partie sur mon menton et mon cou. Voyant cela, Mouloud décida de lâcher le reste de son foutre sur mon visage, en se masturbant. J’avais du sperme partout : sur les yeux, le nez, les joues, les cheveux, le cou, les seins. J’étais heureuse ! Car même si je n’avais pas pris beaucoup de plaisir dans l’opération, j’étais heureuse d’avoir fait jouir mon homme. Je voyais à son visage éclatant de lumière, qu’il avait été heureux. Il avait le sourire béat de l’homme qui venait d’avoir un orgasme intense. Quand il arrêta de se masturber et qu’il essuya son sexe sur mes lèvres et mes joues, il vint se mettre à genoux devant moi pour me dire :- Tu es merveilleuse ! Et vaillante ! Et c’est la première fois que tu fais cela ! Je ne connais pas beaucoup de femmes qui auraient accepté un tel traitement. Tu es vraiment magnifique avec tout ce sperme sur le visage et sur le cou ! Mais la prochaine fois, il faudra que tu t’efforces de tout boire. Tu verras que tu finiras par aimer son goût et que ce sera toi qui en redemanderas.
- Tu ne m’as pas encore baisée ! Je veux que tu le fasses par devant et par derrière. Je veux tout essayer cette nuit. Je veux être ta chienne. Avant que je ne retrouve Rachid, je voudrais avoir tout fait. Pour lui raconter. Tu te sens d’attaque ?
C’était moi qui maintenant devenait exigeante. J’avais goûté à l’adultère et je voulais aller jusqu’au bout. J’étais fatiguée par tout ce qui venait de se passer, mais je ne voulais pas que la nuit finisse sans que mon merveilleux amant ne me donne un avant goût de ce que sera ma nouvelle vie. Une vie de plaisirs érotiques sans limites. Une vie que Rachid, mon mari partagera avec moi – en participant de temps en temps à mes ébats avec Mouloud, puis plus tard avec d’autres homme, mais le plus souvent, en restant à l’écart à me regarder jouir comme une folle.
Mais, pour l’instant, ma première nuit adultère n’est pas encore terminée.
L’histoire qui suit m’a été envoyée par mail, par la femme – Najia – qui l’a vécue (et continue de la vivre aujourd’hui encore). Au début, elle n’avait fait que réagir à une de mes petites histoires érotique en y apportant un commentaire élogieux se terminant par ces mots qui avaient attirés mon attention: « je suis entrain de vivre quelque chose d’analogue. Et si vous le voulez bien, je pourrais vous raconter une expérience, que jusque là, je croyais seule dans ce pays à avoir vécue. » HDS, qui m’avait transmis le commentaire, avait ajouté l’adresse mail de la lectrice.
Je répondis donc à la dame en lui précisant que j’étais vraiment curieux de connaitre l’histoire qu’elle était entrain de vivre, tout en étant presque sûr qu’il ne pouvait s’agir que d’une histoire ordinaire d’adultère mal assumée. Mais l’histoire qui me parvint - pratiquement par retour de courrier – m’avait sidérée. Et je suis convaincu que rien – qu’aucun détail – n’avait été inventé. A ce jour, je n’ai pas encore fait la connaissance de Najia, mais elle m’avait donné les coordonnées de son mari pour que je prenne contact avec lui pour m’assurer de la véracité des propos tenus. Bien entendu, je n’ai pas cherché à joindre Rachid, le mari cocu (je ne savais pas trop quoi lui dire, ni comment le lui dire), mais le simple fait qu’elle m’avait laissé la possibilité de vérifier les faits avait suffi à me convaincre.
Voici donc, sans pratiquement aucune retouche, l’histoire d’un adultère assez spécial, racontée à la première personne par sa protagoniste principale.
Gérache
Je m’appelle Najia (un prénom un peu spécial qui doit être une contraction, ou une manière de prononcer, le prénom plus usité de Nadjia). Je viens d’avoir cinquante ans. Je suis mariée depuis vingt-cinq ans à un homme que je n’ai pas peur de qualifier de « parfait ». Il a cinq ans de plus que moi, bien de sa personne, sans être ni trop beau, ni trop grand, ni trop musclé, ni… Un homme normal en somme. Sauf qu’il est trop gentil, trop brave, trop calme, trop intelligent, trop… !
Jusque là, nous avions vécu une vie de couple que je qualifierai de normale. Vingt-cinq ans de vie commune, avec à la clé deux magnifiques enfants (un garçon et une fille) et une relation de couple dans laquelle le sentiment de tendresse - qui avait été le socle de notre couple - a pu venir à bout des nombreux problèmes qui avaient parsemé notre vie de famille. Nous avions toujours vécus seuls - loin de nos parents respectifs (nos belles familles) qui auraient pu nous empoisonner la vie – et avions fait absolument tout ce que nous voulions. Nous avions élevés nos enfants comme nous le voulions. Ils ont tous les deux fait de brillantes études supérieures et ont émigré au Canada, où ils semblent se plaire.
Nous sommes depuis restés seuls ; tel un vieux couple. Du moins c’était ce que je croyais au moment où Lila, notre fille avait pris l’avion à destination de Montréal, pour y retrouver son frère, installé depuis deux ans. J’avoue que j’appréhendais beaucoup ce moment où Rachid et moi allions rester seuls, sans les enfants, qui avaient complètement occupé notre vie de parents. Qu’allions-nous faire de nos journées ? Comment allions-nous faire pour trouver d’autres occupations, et compenser l’absence des enfants ?
Je n’ai pas encore parlé de notre vie amoureuse à Rachid et à moi. C’était un vrai long fleuve tranquille ! Rien de vraiment extraordinaire ! Nous faisions l’amour assez régulièrement, mais je ne crois pas que ni lui, ni moi avions une seule fois atteint le nirvana en faisant l’amour ! Nous avions des jouissances « normales » ; aujourd’hui - l’expérience d’autre chose aidant - je peux dire que c’étaient de toutes petites jouissances ; je ne sais même pas si je peux parler d’orgasmes pour qualifier ces petits plaisirs que nous prenions Rachid et moi au cours de nos étreintes. Mais ni lui, ni moi n’avions conscience d’un manque quelconque ! La tendresse que nous avions l’un pour l’autre, suffisait amplement à notre bonheur. Et nous avions conscience que nous étions heureux. Il avait fallu que nous nous retrouvassions seuls, après le départ de nos enfants, pour que les choses changeassent et prissent une direction insoupçonnée. Pour moi tout avait commencé par un coup de fil, vers vingt-trois heures. J’étais seule dans mon lit – Rachid était parti pour une mission de quelques jours à Hassi Messaoud et ne devait revenir que le surlendemain – et somnolais en essayant de m’intéresser à un épisode de je ne sais quelle stupide série américaine. Je pensais que c’était Rachid qui me rappelait, parce que lui aussi ne parvenait pas à dormir.
- Allo, Rachid ! Que se passe-t-il ?
- Ah non ce n’est pas Rachid ! C’est Moussa !
- ….
- Oui je sais que tu ne me connais pas ! Mais moi je te connais très bien ! Je suis un collègue de Rachid ! Un ami !
J’avais remarqué le tutoiement. Je me disais que le Moussa en question ne manquait pas de toupet : non seulement, il m’appelait au milieu de la nuit, mais en plus, il me tutoyait comme si j’étais sa petite amie. J’allais répliquer méchamment avant de raccrocher. Mais quelque chose de plus fort que moi me retenait de le faire. Peut-être la curiosité de connaître les tenants et aboutissants du coup de fil. Ou sa voix ! Cette voix particulière, grave et chaude, qui susurrait les mots. Une voix vraiment sensuelle. Je sentais quelque chose en moi qui se réveillait. Quelque chose de totalement enfoui dans mes tréfonds. Quelque chose que je n’avais encore jamais ressenti. Je prêtais donc une oreille plus attentive à cette voix.
- Tu sais Rachid n’arrête pas de me parler de toi. Pour ne dire que du bien : que tu es la plus belle femme qu’il connaisse ! Que tu es la plus gentille ! Que tu mérite de nager dans le bonheur !
- Arrête tes salades ! Rachid ne parle pas de sa femme avec des inconnus ! C’est un homme discret et pudique !
- C’est vrai, mais moi je ne suis pas un inconnu ! Je pense même être devenu son ami ! Nous nous connaissons depuis quelques mois et entre nous le courant passe très bien. Nous travaillons ensemble et nous nous voyons quotidiennement. Et je te jure que depuis quelques jours, il ne me parle que de toi ! Il m’a même montré une photo de toi. Une photo prise au cours d’une fête où tu étais en robe de soirée qui met en valeur toute ta plastique. Et je dois dire que tu es canon !
- Arrête ! Je vais raccrocher !
- Non ne raccroche pas ! Cela ne fera pas plaisir à Rachid ! Il sait que je t’appelle (c’est même lui qui m’a refilé ton numéro de portable) ! Et tu sais pourquoi, il voulait que je t’appelle ?
- Non ! Et cela ne m’intéresse pas ! Tu ne racontes que des bêtises ! Rachid n’est pas comme ça ! Il ne donne pas le numéro de téléphone de sa femme à un étranger ! Et il ne peut pas lui avoir demandé de l’appeler en pleine nuit ! Et pourquoi l’aurait-il fait ?
- Parce que c’est ton anniversaire vendredi et qu’il veut te faire un superbe cadeau ! Un cadeau qui va changer tout le cours de votre vie de couple !
- …Je tombais des nues. C’était vrai que mon anniversaire – mes cinquante ans – tombait le vendredi suivant. Rachid m’avait toujours offert des cadeaux de valeur pour chacun de mes anniversaires; mais de là à m’offrir quelque chose qui allait changer le cours de notre vie de couple, par l’intermédiaire d’un étranger… Je n’arrivais pas à comprendre. D’ailleurs que signifiait le fait de vouloir changer notre vie de couple ? J’étais très bien comme ça et je n’avais jamais fait la moindre remarque qui pouvait montrer que j’avais envie de changer quoi que ce soit dans ma vie.
Qu’est-ce qui n’allait pas dans notre vie de couple pour vouloir la changer ?
- Je ne comprends absolument rien à ce que tu racontes. Il n’y a rien à changer dans notre vie de couple ! Nous sommes très heureux comme cela !
- Bien sûr que vous êtes heureux ! C’est ce qu’il n’arrête pas de me dire ! Mais il vous manque quelque chose de fondamental et lui s’en est rendu compte depuis quelque temps !
- Quoi ?
- Une vie sexuelle vraiment à la hauteur ! A la hauteur de vos désirs ! De vos fantasmes ! Rachid pense qu’il ne t’a encore jamais donné tout le plaisir auquel tu avais droit. Il pense qu’il a manqué à son devoir de mari : il n’a pas pu – ou su – être un amant à la hauteur. Il pense avoir manqué de courage pour te mener sur la voie de l’érotisme. Il avait toujours eu peur de te scandaliser en te proposant certaines choses que tu aurais prises pour des perversions ou des déviations contraires à la morale. Il a toujours pensé que ton éducation kabyle traditionnelle t’empêchait de t’ouvrir sur le vrai plaisir du sexe.
J’écoutais ce que disait Mouloud, sans trop comprendre ce qui se passait. C’était comme si le ciel me tombait sur la tête ! Je n’avais encore jamais imaginé Rachid pensant de telles choses ; et surtout les avouer à un autre homme ! J’avais bien remarqué que mon mari était tenté de faire, de temps en temps, certaines choses avec moi pendant nos ébats. Il n’avait jamais trop insisté – peut-être parce qu’il me voyait me cabrer et croyait que j’étais foncièrement opposée à ces choses là.
J’avais, par exemple souvent remarqué qu’il aurait bien voulu me sodomiser - certaines approches pendant nos ébats me le suggéraient fortement – mais il n’allait jamais trop loin en voyant que je me crispais, ce qu’il interprétait comme un refus de ma part d’aller sur ce terrain. Les seules incartades qu’il se permettait – et qui me mettaient en joie quand elles se produisaient – c’était des moments de cunnilingus torrides qui me procuraient un plaisir intense que je n’osais pourtant pas trop montrer, de peur d’être mal jugée.
Je me permettais moi aussi, de temps en temps, de tenter une petite fellation, pensant que Rachid allait aimer (et il aimait, mais sans oser me le dire) mais qui s’arrêtait toujours à mi-chemin : il n’osait pas aller trop loin dans ma gorge et surtout, il se retenait de jouir dans ma bouche (ou sur mon visage) pensant certainement que je n’aurais pas aimé.
Je venais de découvrir, en écoutant Moussa parler du couple que nous formions depuis plus de vingt-cinq ans Rachid et moi, que nous sommes passé à côté de beaucoup de choses. Et, à mon grand étonnement je sentais mon corps qui se réveillait. C’était comme s’il sortait d’un long – très long – sommeil. Mon cœur commençait à battre très fort ; le bout de mes seins durcissait ; mon bas-ventre me titillait ; et, à mon grand étonnement, je sentais que ma chatte se mettait à couler et à mouiller ma culotte. Une douce chaleur s’emparait de moi et irradiait sur tout mon corps. Je n’avais encore jamais ressenti cette sensation de désir irrépressible s’emparer ainsi de tout mon corps. Ou bien c’était il y a tellement longtemps - quand j’étais encore une jeune fille en fleurs et avant que ne commençât ma vie de couple.
La voix grave et sensuelle de Moussa ne faisait qu’accentuer cette sensation de désir qui m’étreignait et ce besoin de me toucher. Inconsciemment ma main droite se promenait sur mes seins : tout en écoutant les paroles qui me parvenaient du téléphone portable, j’étais entrain de me caresser. Mes doigts palpaient doucement un téton puis l’autre en les enroulant comme s’ils étaient deux billes faites de chair ferme. Mais au lieu de me calmer, cela ne faisait qu’accroitre mon envie de faire l’amour. Une envie dont je commençais à me rendre compte et qui me mettait mal à l’aise.
Mais rien n’y faisait : j’avais de plus en plus envie.
A cette époque, je n’osais pas encore mettre les mots qu’il fallait sur mes sensations. Je n’osais pas m’avouer que je voulais être tirée, baisée, niquée... Je me disais seulement que j’avais envie !
J’avais envie que l’homme qui était à l’autre bout du fil apparaisse soudain devant moi et me fasse l’amour. J’avais envie qu’il me dise que je lui plaisais et qu’il voulait venir me rejoindre dans mon lit. J’avais envie qu’il me fasse tout ce que lui avait envie de me faire ; même les choses inavouables pour une femme éduquée de manière aussi traditionnelle que moi. Moussa lui continuait de me parler sans élever la voix ; comme s’il voulait que je me concentre sur elle pour saisir tout ce qu’il était entrain de dire.
- Rachid pense que vous avez trop perdu de temps avec la morale ambiante. Qu’il est temps que lui et toi passiez aux choses sérieuses. Que vos corps et vos âmes exultent ! L’un avec l’autre !
L’un grâce à l’autre ! Et même avec d’autres ! Je vais te dire quelque chose qui va t’étonner - et peut-être même te choquer - Rachid désirerait te faire vivre une vraie expérience sexuelle avec un autre homme : moi !
- …Je ne disais toujours rien. J’allais de surprise en surprise. Mon mari voulait m’offrir à un autre homme ! A Moussa ! Afin que je vive une expérience érotique torride et inoubliable ! Que j’apprenne ce qu’est réellement le sexe ! Que j’en devienne accro ! Et Moussa était ce cadeau d’anniversaire exceptionnel que voulait me faire mon mari pour mes cinquante ans. J’étais très partagée : d’un côté j’en voulais à Rachid de se comporter ainsi. Je me disais que pour en arriver là, il fallait qu’il n’y ait plus chez lui un seul gramme d’amour envers moi. S’il m’aimait toujours, il ne pouvait pas penser une seule seconde à m’offrir à un autre homme. S’il m’aimait, il ne pouvait qu’être jaloux et chercherait à me garder pour lui tout seul.
D’un autre côté, tout ce que disait Moussa me remplissait d’un sentiment bizarre : le sentiment d’être importante et de plaire. Le sentiment de susciter du désir chez les hommes. Le sentiment d’être devenu un objet sexuel. Et c’était loin de me déplaire. Je voulais plaire aux hommes. Je voulais qu’ils me désirent ! Je voulais qu’ils bandent pour moi ! Je voulais être celle qui les empêcherait de dormir ! Celle sur qui ils se branleraient la nuit ! Et Moussa continuait de parler.
- Je suis ton cadeau d’anniversaire ! Et je te promets que tu en seras très contente ! Je suis un vrai bon coup ! D’abord je suis bien monté ! Tu comprends ? J’ai un sexe de bonne taille ! Tu n’as encore jamais été tirée par une queue comme la mienne ! Une fois que tu y auras goutté, tu ne pourras plus t’en passer ! Ensuite, je suis quelqu’un de résistant. Je peux passer une nuit entière à baiser sans me fatiguer. Ma queue est en acier ! Elle n’est jamais au repos !
- Arrête de te vanter ! Je ne crois pas un mot de tout ce que tu racontes ! Rachid ne peut pas t’avoir raconté tout ce que tu dis. Et surtout, il ne peut pas avoir pensé une seule seconde à m’offrir à un autre homme ! Il m’aime trop pour cela !
- C’est bien parce qu’il t’aime qu’il veut pour toi ce qu’il y a de mieux ! C’est-à-dire moi ! Il ne me l’a pas dit comme cela, mais je crois que ton mari fait partie de ces hommes qui prennent du plaisir à porter des cornes ! Je suis sûr que son bonheur serait de te regarder te faire tirer par un autre homme ! Et jouir comme une folle devant lui ! Mais pour le moment, il se contentera de t’imaginer subir les assauts de son ami Moussa et y prendre un immense plaisir ! Quand est-ce que je viens ?
- Tu es fou ! Il n’est pas question que tu viennes ! Ni qu’il se passe quoi que ce soit entre nous ! D’abord qu’est-ce qui te dit que tu es mon genre d’homme ? Que j’ai envie de faire l’amour avec toi ?
- Je sais que tu en as très envie ! Je sais qu’en ce moment même tu es entrain de te caresser ! J’entends presque le bruit que font tes doigts à l’intérieur de ta chatte qui coule de désir! J’entends le clapotis ! Ose me dire que ce n’est pas vrai ! Je voudrais que tu te lâches et que tu te mettes à gémir ! Je sais que tu as envie de gémir ! De crier ! Laisse-toi aller !
Ce diable d’homme avait deviné juste. Après les petites caresses presque inconscientes sur mes seins et mes tétons, j’étais passée, tout aussi inconsciemment, à mon entrecuisse. D’abord je me caressais discrètement par-dessus la culotte (comme si j’avais peur que l’homme me voit entrain de me masturber) puis plus franchement en faisant pénétrer trois doigts à l’intérieur de mon vagin et en m’y prenant avec vigueur. Comme il l’avait deviné, je m’efforçais de me retenir de gémir. Alors que l’envie de le faire se faisait de plus en plus pressante. Ma chatte était pleine de jus et mes doigts faisaient effectivement un bruit de clapotis à l’intérieur. Je voulais m’arrêter de me masturber - j’avais honte de ce que je faisais - mais une force supérieure m’empêchait de le faire.
Je continuais de plus belle, en écoutant la voix envoutante de Moussa.
- Ne te retiens surtout pas ! Laisse-toi aller ! Continue de faire aller tes doigts à l’intérieur de ton vagin ! Combien as-tu mis de doigts ?
- Trois !
J’avais répondu instinctivement ; sans réfléchir. J’étais maintenant prise au piège. Je ne pouvais plus reculer. Et puis je n’avais absolument pas envie de reculer. Je voulais jouir très fort! Et rien ne pouvait plus m’en empêcher. Et Moussa n’avait certainement pas envie de m’en empêcher.
- C’est bien ! Continue ! Dis-moi à quoi, ou à qui, tu penses en te caressant. A moi ? A ma grande queue ?
- Oui ! A une grosse queue qui me remplit complètement le vagin et qui me pilonne comme une brute ! Je veux une queue que je sente bien en moi ! Une queue qui me fait très mal en me possédant ! Une queue qui devient mon seigneur et maître ! Un vrai zob d’homme !
- Comme le mien ! Un vrai zob d’homme ! Ferme les yeux et imagine-moi entre tes cuisses. Imagine un immense zob à l’entrée de tes grandes lèvres qui s’ouvre la voie royale entre elle et qui s’apprête à entrer dans le tunnel. Imagine la poussée brutale de mes hanches et la douleur quand mon zob prend possession de ton tunnel. Tu sens toute sa force ? Tu sens comme il lime la paroi de ton vagin ? Tu sens comme il est heureux à l’intérieur ?
- Oui ! Il me fait atrocement mal ! Mais quel plaisir et quel bonheur que cette douleur ! Encore ! Continue d’aller et venir comme cela ! Comme une brute ! J’aime être niquée comme ça : en force ! Continue, nique-moi ! Nique-moi ! Nique-moi ! Je vais jouir ! Je jouiiis !
Et effectivement j’avais joui comme jamais je n’avais joui auparavant. Une jouissance qui dévala des tréfonds de mon corps, qui se positionna un moment sur tout mon bas-ventre puis qui irradia vers ma poitrine et mon cœur, qui faillit s’arrêter, tant il battait trop vite. J’avais vaguement conscience qu’il venait de se passer quelque chose d’exceptionnel et d’anormal. Mais au fond de moi, je n’en avais cure. J’étais encore toute à mon bonheur d’avoir joui. D’avoir vraiment joui ! Rien qu’en me caressant et en écoutant un homme me parler.
Puis petit à petit je sortis du brouillard dans lequel j’étais et je pris conscience de la situation. J’eus un peu honte de mon comportement. Mais je me retenais bien de le dire à mon partenaire. Ce fut lui qui parla le premier. Non pas pour se vanter ou se féliciter, ou me reprocher quoi que ce soit, mais pour me répéter que j’étais une femme exceptionnelle et que mon mari Rachid avait raison de dire que je méritais de connaître le vrai bonheur; le bonheur qui provient de relations sexuelles débridées et d’une vie érotique libérée.
- J’aurais bien voulu te rejoindre cette nuit, mais il est trop tard. Je le ferai demain soir, après le travail, vers dix-neuf heures. Je veux que tu sois prête à accueillir ton cadeau d’anniversaire. Tu verras, tu n’y trouveras que du bonheur !
Et il raccrocha subitement; sans me laisser le temps de refuser sa proposition. Ma première réaction était en effet de lui dire non. Il n’était pas question pour moi de l’accueillir chez moi - chez nous - sous notre toit conjugal ; dans notre chambre conjugale ; sur notre lit conjugal ! Mais cet état d’esprit ne dura que quelques secondes (quelques minutes au plus !) Rapidement le souvenir de la jouissance de tout à l’heure vint s’imposer à moi et m’empêcha de penser à toute autre chose qui ne soit pas le plaisir qui m’attendait la nuit prochaine. J’y pensais tellement que j’avais du mal à trouver le sommeil. Je m’étais même remise à me masturber pour calmer le désir qui continuait de m’étreindre. Je n’eus pas un orgasme identique à celui que je vécus quelque temps auparavant, mais cela suffit à calmer mes nerfs. Je pus enfin plonger dans un profond sommeil. Un sommeil plein de gros zobs qui me prenaient de toutes parts.
En me réveillant le matin, le souvenir de Moussa revint brutalement occuper ma pensée. Il ne me quittera plus de toute la journée. Au travail – je suis professeur de français dans un lycée d’Alger – je vaquais comme un zombie, l’esprit occupé par les évènements de la nuit passée et ceux qui allaient advenir la nuit prochaine. Vers midi, comme à son habitude, Rachid m’appela pour s’enquérir de mon état de santé et pour me demander, sans avoir l’air d’y toucher, s’il n’y avait rien eu d’exceptionnel la nuit précédente.
- Si j’ai reçu un appel, tard dans la nuit, d’un homme qui se prétend ton ami et qui m’a dit des choses étonnantes sur notre couple.
- Tu as apprécié ? Moussa est un gars vraiment bien ! Un homme totalement différent de ceux que nous connaissons et fréquentons. Je crois que tu aimeras sa compagnie.
- Y compris qu’il soit mon cadeau d’anniversaire ?
- Oui ! Je sais qu’il te plait déjà. Il m’a appelé pour me raconter votre discussion et le rendez-vous pris pour cette nuit. Cela me fait plaisir. J’espère que tu vivras des instants merveilleux.
- Tu veux dire que tu veux vraiment que je couche avec lui ? Que tu n’es pas jaloux ? Que tu ne m’en voudras pas de te tromper ? Tu m’aimes donc si peu ?
- Au contraire, je t’aime beaucoup plus ! C’est pour cela que je veux que tu vives complètement ces instants d’érotisme intense ! Il n’y a pas eu jusqu’ici beaucoup de moments érotiques entre nous. Et je sais que c’est un vrai manque dans notre vie. Je veux que cela change et que notre vie prenne une nouvelle direction : celle du sexe libre ; du sexe débridé. Cela ne veut pas dire que nous n’avions pas été heureux auparavant. Nous avons eu beaucoup de bonheur. Mais aujourd’hui, il nous faut aller plus loin ; il nous faut atteindre le Paradis.
- Et tu penses qu’en couchant avec ton ami, nous atteindrons le Paradis ? Je peux imaginer que moi je sois heureuse (en admettant que ton ami soit vraiment un super coup), mais toi, où sera ton plaisir ?
- Dans le tien ! Je serais très heureux de savoir que tu as atteint des sommets de plaisir sexuel avec Moussa (ou même avec un autre homme). Ton bonheur sera le mien. Surtout, si après tu me racontes tout ce que tu as ressenti ! Je te dégoute ?
Je n’ai pas su quoi répondre à sa dernière question. J’ai marmonné quelque chose d’inaudible et j’ai raccroché. Je ne voulais pas lui dire que j’étais impatiente de rencontrer Moussa. Que j’étais vraiment sur des charbons ardents. Que plus l’heure approchait et plus mon cœur battait plus vite et plus fort. Et plus l’émotion qui m’avait étreinte la nuit dernière revenait à grand pas et mettait mon corps en émoi. Je quittai le lycée vers quinze heures et rentrai directement à la maison. Je passais tout le reste du temps à me préparer à recevoir Moussa, comme si j’étais une nouvelle mariée. Non seulement je pris un bain très chaud et m’épilai avec soin partout – y compris mon intimité que je débarrassai de tous les poils qui pouvaient s’y trouver – mais encore je choisis la tenue la plus affriolante que j’avais dans ma garde-robe : une petite nuisette super coquine et un ensemble culotte/soutien-gorge en soie noire qui mettait en évidence la blancheur laiteuse de ma peau. Par-dessus, je mis un kimono en soie bleue qui moulait mon corps et mettait en valeur mes rondeurs. Et j’attendis avec impatience que la sonnette de la porte d’entrée tintât. Je n’arrêtais pas de me regarder – et de m’admirer - dans la grande glace du salon. Sans forfanterie je me trouvais belle. C’est vrai que je n’avais plus la fraicheur de mes vingt ans ; ni la fermeté des chairs que j’avais à cet âge. Mais je trouvais que j’étais toujours une superbe plante.
Pour me décrire rapidement, je dirais que je suis une femme plantureuse, avec toutes les rondeurs – encore fermes – qu’il faut, là où il faut. J’ai surtout un superbe fessier qui faisait fantasmer tous les hommes que je croisais dans la rue. Je suis très blanche de peau – une Kabyle du Djurdjura – avec un visage long se terminant par un menton volontaire, un nez droit – un peu trop grand à mon goût – des yeux marron-clairs et une grande bouche gourmande. Mes dents, sans être celle d’une publicité pour un dentifrice, sont blanches, bien plantées et régulières. En somme, un physique plutôt agréable, que même les garçons du Lycée trouvent bandant (c’est du moins ce que mes collègues femmes, n’arrêtent pas de me répéter depuis des lustres que j’enseigne dans cet établissement).
Pendant tout le temps que j’attendais son arrivée, je me posais des tas de questions sur Moussa : surtout sur son physique et son âge. Si je devais me fier à sa voix, il ne devait pas avoir plus de trente-cinq ans. Sa voix était celle d’un homme mûr ; d’un homme avec un vécu avéré, mais pas encore blasé. Au maximum, me dis-je – comme pour me rassurer – il devait avoir quarante ans. Pour la beauté, je ne savais pas trop ; la voix ne donne aucune indication. Mais j’avais l’espoir que c’était un bel homme ; même si ce n’était pas un Apollon. J’en étais là dans mes réflexions quand la sonnette de la porte d’entrée retentit. Mon cœur se mit à battre la chamade. J’avais l’impression qu’il allait exploser. Je m’efforçai de me calmer un peu, avant d’aller ouvrir. Je n’y arrivai pas totalement et ce fut en tremblant un peu que j’ouvris la porte et me trouvai en face de Moussa.
La première réflexion qui me vint en tête à ce moment précis est que je venais d’ouvrir à un pirate – les pirates que l’on voit dans les films hollywoodiens. Il en avait la prestance et la dégaine.
D’abord, il était très grand et mince - presque maigre – avec des épaules larges, une taille fine, des hanches étroites et des jambes qui n’en finissaient pas. Il avait cette fameuse barbe de trois jours - dont je me demande aujourd’hui encore comment il faisait pour la maintenir en l’état – des cheveux noirs, raides et longs, qui lui tombaient sur la nuque ; et un visage basané, anguleux, comme taillé par une serpe. Son long nez droit et son menton volontaire accentuait encore plus cette impression de plus en plus présente que j’avais affaire à un pirate. Sans parler de ses petits yeux noirs au regard brillant et du sourire moqueur qu’il avait – en permanence – sur les lèvres. Je ne parle pas non plus de son immense bouche gourmande et des canines de prédateur qui apparaissaient sous ses fines lèvres, constamment ouvertes. Et pour confirmer cette apparence, il portait un costume en toile légère de couleur grise, dont la veste déboutonnée laissait apparaître une chemise à petits carreaux bleus, négligemment ouverte sur un poitrail velu.
- Bonsoir ma grande ! fit-il avec un sourire de carnassier qui présageait d’une suite des plus torrides. Je vois que tu m’attendais ! Tu es super mignonne ! Mieux que dans la photo !
- Bonsoir ! répondis-je d’une toute petite voix.
J’étais vraiment intimidée. D’abord l’homme était à l’aise. Trop à l’aise par rapport à moi qui me sentais comme un petit lapin prise au piège. En plus, il était beau. De cette beauté virile qui n’avait rien avoir avec la régularité ou la finesse des traits. La beauté du Diable ! Il donnait l’air d’avoir environ trente-cinq ans, mais j’étais sure qu’il se vieillissait volontairement par sa manière de se tenir et de s’habiller. Il ne devait pas avoir plus de trente ans. Un enfant ! Du moins comparé à moi, qui allais avoir cinquante ans, le lendemain. J’étais encore plus intimidée. Je lui fis signe gauchement de me suivre vers le grand salon qui se trouvait au fond du couloir. Je le devançais pour lui indiquer le chemin. Mais avant d’avoir fait un mètre, je sentis sa main qui venait de se poser sur mes fesses. J’eus une crispation involontaire, comme pour réagir à un geste incongru, mais me repris très vite, en me disant que c’était normal qu’il se comporte ainsi : s’il était là, si je l’avais laissé entrer, si je le précédais vers le grand fauteuil du salon, c’était uniquement pour cela : pour me tirer ! Et je ne pouvais être que consentante.
- Rachid a vraiment raison ; tu as un cul superbe ! Il ne faut pas te scandaliser, c’est de ma part un vrai compliment !
- …Je ne répondis rien. D’ailleurs qu’aurais-je pu répondre qui aurait pu changer le cours des choses. Et puis avais-je vraiment envie que le cours des choses changeât ? Non ! Mille fois non ! Au contraire je voulais – j’espérais – que les choses s’accélèrent et que mon pirate me saute dessus.
Je voulais qu’il exerce sa force sur moi et me soulève du sol pour me jeter sur le divan. Je voulais qu’il déchire mon kimono et ma nuisette et mes dessous. Je voulais… Mais Mouloud continuait de me caresser les fesses, sans se presser, tout en marchant derrière moi. Je sentais son énorme paluche qui malaxait une fesse et puis l’autre; en insérant de temps en temps un doigt entre elles, pour aller à la recherche de mon anus. Il m’est aujourd’hui encore très difficile de décrire les sentiments qui me traversaient en ce moment précis. C’était un mélange d’excitation – excitation provoquée surtout par la situation bizarre dans laquelle je me trouvais, seule chez moi avec un homme que je ne connaissais pas encore et qui était là pour me tirer – et de gêne. Le reste de mon éducation puritaine me commandait de résister à tout ce qui se passait en moi et de chasser l’homme de ma maison.
Mais au lieu de ça, je me laissais faire. Et j’étais heureuse de me laisser faire. Même son doigt, qui se faisait de plus en plus insistant sur l’anneau de mon anus me procurait une merveilleuse sensation d’excitation. La promesse de quelque chose d’inconnu et de nouveau pour moi. La promesse d’une sodomisation que je n’avais encore jamais pratiquée, mais qu’au fond de moi j’avais toujours voulu essayer. Et surtout la promesse d’une sodomisation à la hussarde; brutale et douloureuse. Je me découvrais soudainement une vraie tendance au masochisme. Je voulais connaître – et aimer – la douleur d’une pénétration anale brutale. Mais là encore, ce n’était que le fruit de mon imagination ; ou de mes désirs les plus profonds. Dans la réalité de la scène qui se déroulait en ce moment là, c’était Mouloud – et lui seul – qui était le maître du jeu. Qui faisait ce qu’il voulait et qui me l’imposait, sans même dire un mot.
Arrivé devant la porte du salon, Mouloud me prit par la taille et me souleva aussi facilement qu’un fétu de paille. Il me porta vers le grand divan et m’y déposa délicatement. Moi j’attendais à ce qu’il me jette sur le divan, me débarrasse brutalement de mon kimono, relève le bas de ma nuisette et écarte ma culotte pour découvrir mes fesses et mon anus. Je m’attendais à ce qu’il sorte son engin et, sans précaution aucune, m’encule à me faire hurler de douleur. Au lieu de cela, il n’utilisa que de la douceur. Il m’allongea sur le dos; écarta les pans de mon kimono, resta un moment à regarder – à admirer – le panorama qu’il avait sous les yeux et se mit à me caresser les genoux, puis l’intérieur des cuisses, puis mon entrecuisse – par dessus le tissu de ma culotte.
Ses mains étaient électrisées. Chacune des ses caresses produisait en moi des petites décharges électriques; de toutes petites décharges, qui tétanisaient mes muscles et me faisaient légèrement mal. Un mal qui accroissait l’intensité de mon désir. Le désir qu’il m’arrache la culotte et s’occupe exclusivement de ma chatte, qui dégoulinait de mouille. Je ne voulais plus qu’il m’encule !
Je voulais qu’il me tire par la chatte. Là ! Tout de suite ! Brutalement ! Mais Mouloud poursuivait le fil du scénario qu’il avait tracé. Sa main allait et venait autour de ma chatte, sans insister et sans s’y arrêter plus d’une seconde. Le bougre savait dans quel état j’étais. Car même si je ne disais rien, si je m’efforçais à résister à l’envie que j’avais de gémir, ou de prendre sa main pour la forcer à s’occuper plus franchement de ma chatte, il était évident que je voulais qu’il continue et qu’il aille plus loin. J’avais envie de hurler. De lui hurler en arabe, ou même en kabyle, d’être un homme et de me baiser. De me tirer ! De me piner ! De pilonner ma chatte ! Je regardais Mouloud qui continuait de me caresser doucement, en plongeant ses yeux dans les miens, avec un rictus de carnassier sur les lèvres.
- Ne te retiens pas ! Laisse-toi aller ! Dis-moi ce que tu veux que je te fasse et je te promets de le faire !
- Nik-ni ! Eqou-yi ! Bghit ett-nik ni ! Dhork ! Thoura ! (Nique-moi ! Je veux que tu me niques ! Tout de suite !)C’était la première fois de ma vie de femme que je lâchais de telles paroles crues (en arabe et en kabyle). Jamais avec Rachid, je ne m’étais permise – l’envie ne m’en était même jamais venue – de dire de telles choses. Avec Mouloud, elles venaient naturellement. Et je n’en avais même pas honte.
Au contraire, ces paroles crues ajoutaient à mon excitation et accroissaient le désir que j’avais d’être baisée par cet homme, qui pour le moment se contentait de pousser mon désir vers son paroxysme. Il ne tint pas la promesse qu’il m’avait faite d’obéir à n’importe quel désir que j’aurais exprimé. Il suivait son propre scénario. Il écarta le bord de ma culotte pour mieux avoir accès à ma chatte. Il la regarda un long moment; il avait accentué son sourire de prédateur et je vis ses narines trembloter de désir. Je sus qu’il aimait le spectacle qui se présentait devant ses yeux.
- Ach-hal thezzienn! Ach-hal thel ‘ha! (Comme elle est belle ! comme elle est bonne!) Fkiyits atsmechagh ! Atsetchagh ! Atssoudnagh ! (Offre-la moi, je vais la lécher ! Je vais la bouffer ! Je vais l’embrasser !)Le bougre était lui aussi kabyle ! Comme moi, il utilisait sa langue maternelle pour accroitre son excitation et donner plus d’intensité à son désir. Sans attendre que je l’autorise à quoi que ce soit, il plongea sa tête entre mes cuisses et se mit à embrasser, lécher et sucer ma chatte. C’était divin ! Bien plus excitant que les cunnilingus de Rachid ! Mouloud y allait franchement, faisait pénétrer sa langue profondément dans mon vagin, léchait les parois et ramassait tout le jus qu’il pouvait et qu’il avalait goulument.
Sa bouche se comportait comme une véritable ventouse; elle embrassait, suçait, léchait et aspirait tout le jus qui était à l’intérieur de mon vagin. Parfois même, il mordait doucement mes petites lèvres et mon clitoris, me faisant pousser un tout petit ri de douleur. Une douleur tellement agréable ! C’était délicieux ! Merveilleux ! J’aimais vraiment le mouvement d’aller-retour de ses lèvres et de sa langue entre mes grandes et petites lèvres et dans mon vagin. Je voulais que sa langue fût plus grande et plus rigide pour qu’elle se comportât comme un vrai zob. Je voulais que toute sa tête pénétrât à l’intérieur de mon vagin. J’attrapais sa nuque avec mes deux mains pour forcer Mouloud à entreprendre un mouvement montant et descendant entre mes cuisses, allant du mont de vénus, jusqu’à l’anus et vice-versa. Il s’appliqua à faire ce que je lui imposais, m’arrachant des petits cris de plaisir.
J’adorais ce qu’il me faisait et je le lui faisais savoir en soulevant très haut mon bassin pour mieux coller ma chatte sur sa bouche et pour que sa langue qui farfouillait à l’intérieur de mon vagin, allât le plus loin possible. J’avais refermé mes cuisses sur sa tête et bougeais maintenant mes hanches au rythme des allées et venues de ses lèvres et de sa langue à l’intérieur de mes grandes et petites lèvres. Il léchait, suçait et buvait le jus que je produisais en quantité. Je n’arrivais plus à retenir les mots et phrases crues qui sortaient de ma bouche (en kabyle et en arabe) - Etch thahetchountiw ! Koul-li saouti ! Mech-hits ! Echrab ! Essaw ! Ach-hal m’lih ! (Bouffe ma chatte ! Lèche-la ! Bois ! Comme c’est bon !) Ra‘hi djaya ! Ad-tsass ! Thoussad ! Thoussaaaaaad ! (Je vais jouir! Je jouis ! Je jouiiiiis !) Je relevais un plus mes hanches, écartai mes cuisses, attrapai sa tête à deux mains et appuyai sur elle pour l’obliger à bouger de plus en plus vite sur ma chatte. Puis je poussai un long râle de jouissance, puissant et sonore, en déchargeant des litres de jus dans sa bouche.
- Echrab ! Essaw ! Essaw dhi thalaw ! (Bois ! Bois ! Bois dans ma source!) Et je m’affalai, fourbue et heureuse sur le canapé, appuyant toujours sur la nuque de mon homme pour que sa tête ne sorte pas d’entre mes cuisses. Je ne lâchai prise qu’une fois avoir repris presque totalement mon souffle. Mouloud leva la tête pour me regarder. Il avait toujours son sourire de prédateur. Il semblait content de lui.
- Tu apprends vite ! C’est excellent ! Continue comme cela et tu verras, nous allons passer une nuit inoubliable. Une nuit qui sera pour toi le début d’une nouvelle vie amoureuse. Tu ne voudras plus jamais revenir en arrière. Et tu en remercieras toute ta vie Rachid qui a permis cela.
Pour dire vrai, je n’étais pas très sensible à ce qu’il racontait; ce n’était pour moi que de la philosophie à la petite semaine; et en ce moment là j’étais à mille lieues de m’intéresser à la philosophie; même si celle-ci me concernait au plus haut point. Ce que je voulais pour l’instant, c’est que cette nuit qui avait si bien commencé ne s’arrête pas en si bon chemin. Je voulais continuer de jouir comme une bête ; comme une chienne. J’avais pris goût à la jouissance sexuelle : depuis la nuit d’hier, je jouissais avec une intensité de plus en plus grande. Et je voulais maintenant connaître le paroxysme de la jouissance; celle que me procurera la queue de mon homme. Je ne l’avais pas encore vue, mais j’étais sure qu’elle était énorme. D’abord, il m’avait dit, la nuit dernière, qu’il avait une superbe queue. Et puis je voyais l’immense bosse qu’elle faisait sur le devant de son pantalon. Je voulais la voir !
- Bright enn-chouf zebek! Emliyi-thid! Werri‘hou li! Kherdjouh! Soufghi-thid ! (Je veux voir to zob! Montre-le-moi! Sors-le !)J’essayai maladroitement d’ouvrir sa braguette, sans y parvenir. J’avais les doigts qui tremblaient trop. Il s’occupa lui-même de dégrafer la ceinture, puis le bouton qui tenait le pantalon et d’ouvrir la braguette. Tout cela en moins de temps qu’il me fallu pour le lui demander. Il rabaissa son pantalon sur ses genoux et resta en slip. Il bandait comme un âne. Je voyais le gland de son sexe, large et brillant, qui apparaissait en dessous de l’élastique du slip. Je ne résistai pas à l’envie de tendre la main pour le sortir complètement de sa prison. De ma vie, je n’avais encore jamais vu une bite aussi belle! Aussi longue! Aussi grosse! Je n’avais vu, en vrai, que celle de mon mari ; et elle était beaucoup plus petite que celle que j’avais sous les yeux. Mais même dans les photos et vidéos que j’avais pu voir ça et là, j’avais rarement rencontré une queue aussi grande et aussi puissante. Et aussi bien entretenue !
- Wagui dha bouch ! Hadha zeb ! (Ça c’est un zob !) ne pus-je me retenir de dire.Elle était vraiment magnifique ! Je me fis la réflexion qu’avec un tel engin, il allait me déchirer la vulve. Et si jamais, il me sodomisait, je ne pourrais plus m’assoir avant au moins un mois. Mais au lieu que cela me fît peur et ne tempérât mon excitation, ce fut le contraire qui se passât : j’avais encore plus envie de me faire tirer. Je le pris dans ma main droite pour le tâter et le caresser; il était chaud et dur; et tellement doux au toucher ! J’eus tout de suite envie de l’embrasser.
- Vghigh ath-soudhnagah ! Bghit en-boussou ! Vghigh ath-mech-hagh ! Bghit en-lahsou ! (J’ai envie de l’embrasser ! J’ai envie de le lécher !)Il ne me répondit pas. Mais je vis à son sourire satisfait, qu’il n’attendait que ça. Je tombais à genoux devant mon homme et me mis à embrasser l’énorme engin. Et à le titiller avec la langue. Je me comportais comme une femme qui avait fait cela toute sa vie. Pourtant, mis à part les quelques pauvres fellations que j’avais faites à mon mari, je ne m’étais encore jamais comporté de la sorte.
Cela me paraissait tellement naturel de faire ce que j’étais entrain de faire ! Tellement normal ! Je promenais mes lèvres sur toute la longueur de la queue et m’arrêtais un moment sur ses couilles, qui étaient aussi dures qu’une pierre. Il devait se raser, parce qu’il n’y avait aucune trace de poils, ni sur son pubis, si sur son sexe, ni sur ses couilles.
- Ett-dhith ! (Tète-le !) fit-il d’une voix qui ne souffrait pas que je lui résiste. Et pourquoi résister, quant tout mon corps me criait d’obéir ? Je savais que j’allais passer un mauvais quart d’heure avec un tel engin dans ma bouche, mais j’étais prête à tout. J’ouvris la bouche et fis pénétrer l’énorme queue dans ma bouche. Je pensais lui administrer une superbe fellation. Je me disais que j’arriverai à satisfaire mon amant avec ma bouche, ma langue et mes lèvres. Mais lui, ne l’entendait pas de cette oreille : il ne voulait pas se contenter d’une simple fellation ! Il voulait me baiser par la bouche! Il me le fit comprendre en m’attrapant par la tête et en faisant pénétrer son gros engin jusque dans ma gorge. J’avais un grande bouche; je n’eus donc pas trop de mal à laisser pénétrer le monstre à l’intérieur. Mais lui, il voulait aller plus loin : bien au-delà de ma gorge. Dès que le gland atteignit ma gorge, je me sentis étouffer. L’engin était trop gros et ne me laissait aucun espace pour respirer. Mouloud n’en avait cure. Il poussait avec son bassin pour forcer le passage. Il me tenait fermement par les cheveux, pour que je n’aie aucune possibilité de fuir. Et il poussait très fort.
J’essayais de le repousser un peu pour pouvoir respirer. Et puis l’idée me vint de prendre la hampe du monstre à sa base pour l’empêcher d’aller trop loin. Je réussis plus ou moins à trouver un équilibre entre nous : lui qui voulait aller le plus loin possible – avec force et brutalité – et moi qui voulait garder un espace pour pouvoir respirer et aussi pour ne pas vomir. Mais même comme cela, son sexe était encore trop long et dépassait la glotte et me donnait à chaque fois envie de vomir. J’entendais mon homme qui ahanait et marmonnait des bouts de phrases en kabyle. Des phrases dont je ne saisissais que des bribes. Il était question de douceur de ma bouche ; de ma langue électrifiée ; de chaleur et d’humidité de ma cavité buccale; et de la jouissance qu’il allait avoir dans ma bouche. Et pendant qu’il marmonnait, il continuait de me démolir la gorge.
Il faisait sortir complètement l’engin de ma bouche et, après une seconde de répit qu’il me laissait pour respirer, il le faisait repartir aussitôt à l’assaut. J’avais la paroi de la gorge qui me faisait atrocement mal. Mes yeux étaient plein de larmes et coulaient comme des fontaines. Mon nez, lui aussi, coulait à flots. Et chaque fois que le monstre sortait de ma bouche, je lâchais sur lui un flot de salive – et parfois de vomis - que les va-et-vient forcenés qu’il m’appliquait, me faisaient produire en quantité industrielle. J’entendais, comme s’il était à des kilomètres de moi, Mouloud gémir de plaisir. Il ne lâchait pas ma tête; au contraire il tirait sur mes cheveux, comme s’il voulait me faire mal. Soudain, il se mit à accélérer le rythme des va-et-vient dans ma bouche et à pousser des petits cris de plaisirs. Puis il déchargea un flot de foutre brûlant, qui arriva avec force au fond de ma gorge.
- Essew ezzel bourguez ! Esswith awk ! Essouw ezzel yahmane ! Ezzel yerghane ! (Bois le sperme d’un homme ! Bois-le en entier ! Bois du sperme bien chaud ! Du sperme brulant !) Je n’avais encore jamais reçu du sperme dans ma bouche. Ni même sur le visage ! C’était la première fois que j’en recevais au fond de ma gorge, et que j’étais obligé de l’avaler. J’avoue que je n’avais aimé ni le goût, ni l’odeur, ni la viscosité du produit ; mais je m’efforçais de faire ce que me commandait mon homme. Avaler son sperme ! Et le fait qu’il me l’ordonne dans notre langue maternelle, ajoutait à l’obligation de le faire. J’essayais donc, sans complètement y réussir, de boire la première giclée. J’avais failli étouffer ; je dus donc en recracher une grande partie sur mon menton et mon cou. Voyant cela, Mouloud décida de lâcher le reste de son foutre sur mon visage, en se masturbant. J’avais du sperme partout : sur les yeux, le nez, les joues, les cheveux, le cou, les seins. J’étais heureuse ! Car même si je n’avais pas pris beaucoup de plaisir dans l’opération, j’étais heureuse d’avoir fait jouir mon homme. Je voyais à son visage éclatant de lumière, qu’il avait été heureux. Il avait le sourire béat de l’homme qui venait d’avoir un orgasme intense. Quand il arrêta de se masturber et qu’il essuya son sexe sur mes lèvres et mes joues, il vint se mettre à genoux devant moi pour me dire :- Tu es merveilleuse ! Et vaillante ! Et c’est la première fois que tu fais cela ! Je ne connais pas beaucoup de femmes qui auraient accepté un tel traitement. Tu es vraiment magnifique avec tout ce sperme sur le visage et sur le cou ! Mais la prochaine fois, il faudra que tu t’efforces de tout boire. Tu verras que tu finiras par aimer son goût et que ce sera toi qui en redemanderas.
- Tu ne m’as pas encore baisée ! Je veux que tu le fasses par devant et par derrière. Je veux tout essayer cette nuit. Je veux être ta chienne. Avant que je ne retrouve Rachid, je voudrais avoir tout fait. Pour lui raconter. Tu te sens d’attaque ?
C’était moi qui maintenant devenait exigeante. J’avais goûté à l’adultère et je voulais aller jusqu’au bout. J’étais fatiguée par tout ce qui venait de se passer, mais je ne voulais pas que la nuit finisse sans que mon merveilleux amant ne me donne un avant goût de ce que sera ma nouvelle vie. Une vie de plaisirs érotiques sans limites. Une vie que Rachid, mon mari partagera avec moi – en participant de temps en temps à mes ébats avec Mouloud, puis plus tard avec d’autres homme, mais le plus souvent, en restant à l’écart à me regarder jouir comme une folle.
Mais, pour l’instant, ma première nuit adultère n’est pas encore terminée.
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18 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ohhhhhhh putain j'adore vraiment
Est-ce Mouloud ou moussa ? L histoire est bien écrite les mots en kabyle étaient justes Najia a bien jouer son rôle pour assouvir sa faim d erotisme et de sex néanmoins les pénétrations vaginales et anales manques pour apprécier le savoir faire de Mouloud ,j espère qu il y aura une suite
C’est un plaisir j’ai vécu avec un couple au blade une histoire pareille le marie ma demande de couche avec sa femme c’était un plaisir le mec il voulait même me payé lol c’est sa femme qui fantasme sur moi du coup il m’a offert pour elle comme cadeau que nous deux putain on se bien amusé
j avoue que cette histoire est magnifique sexy j ai trop appreciee bravo et j ai deduit que najia etait vraiment en manque elle avait besoin d experimenter qq chose de nouveau plus intense ah si au moins j etais a la place de mouloud bisous
Il y a plus de mecs -d'origine arabes aussi- que vous ne pouvez imaginer et qui ont ce
genre de fantasmes. Leurs épouses aussi! Alors jouisez de ces textes avec modération
mais sans hashma.
genre de fantasmes. Leurs épouses aussi! Alors jouisez de ces textes avec modération
mais sans hashma.
à si j étais à la place de moussa .
c est supperbe tu as franchi l obstacle avec ton autorisation de ton époux,ah si j
étais MOUSSA
étais MOUSSA
Najia, vous êtes une belle femme au corps bien en chair et vouys avez décrit vos
relations charnelles avec beauté concernant le vocabulaire qu'aiment certains hommes
pendant le désir surtout quand une femme me dit prend moi comme chienne et la désirer
à la hussarde, j'aime cette manière de désirer une femme mais malheureusement j'ai des
attributs conséquents et une forte virilité et pour me décrire, je suis poilu sur tout
le corps, j'ai la corpulence de Roch Hudson et de faux airs à Richard burton, quelle
chance il a eu cet homme de vous désirer, j'ai une femme depuis quelques années qui me
désire plus et je pense souvent à avoir la même attitude malgré mon éducation comme la
votre, c'est frustrant quand il n y a plus de désir. J'ai été toujours aimé les femmes
de l'afrique du nord, elles belles et désirables.georges
relations charnelles avec beauté concernant le vocabulaire qu'aiment certains hommes
pendant le désir surtout quand une femme me dit prend moi comme chienne et la désirer
à la hussarde, j'aime cette manière de désirer une femme mais malheureusement j'ai des
attributs conséquents et une forte virilité et pour me décrire, je suis poilu sur tout
le corps, j'ai la corpulence de Roch Hudson et de faux airs à Richard burton, quelle
chance il a eu cet homme de vous désirer, j'ai une femme depuis quelques années qui me
désire plus et je pense souvent à avoir la même attitude malgré mon éducation comme la
votre, c'est frustrant quand il n y a plus de désir. J'ai été toujours aimé les femmes
de l'afrique du nord, elles belles et désirables.georges
parfait et surtout bien écrit, sans gène ni tabou oui mais comment avoir la 2ème
partie?...?...
partie?...?...
histoire bandante; merçi je pense à toutes les pauvres mal baisées par leur maris
il n y a pas trace de la 2em parti des aventure de najia...ou est la suite de cette
premiere partie ?
premiere partie ?
enfin voila une tres belle histoire,
incroyable les kabyles font ça je n'accepte jamais ça à ma femme dites vous que c'est à ta soeure que cela arrive
super excitante histoire, je suis sure que ma femme refuserait une telle aventure, il a de la chance rachid de t'avoir.
histoire bandante, bien racontée, tu as du courrage, tu as sauté la barriere. J'aimerai
bien être à la place de Moussa
bien être à la place de Moussa
super
histoire bandante et bien racontée en attente déja de la 2iem partie
magnifik histoire j ai adoré le langage cru c est superbe et Bandant