Nancy et Lucie

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Nancy et Lucie Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2014 dans la catégorie Plus on est
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(7.0 / 10)

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Nancy et Lucie
Je profite de ma fatigue pour me reposer sur mon fauteuil en rotin au fond du jardin. Tranquille sans personne pour m’ennuyer, je suis dans une bulle agréable. J’ai pris un bon livre que j’ai posé sur les genoux : j’oublie de le lire. J’écoute surtout ces oiseux pépier sans cesse. Je ferme les yeux pour faire un léger somme : je suis heureux de vivre.
J’ai prévenue la gouvernante, une vielle dame que je conserve comme « servante » plus par habitude que par besoin : je ne suis là pour personne.
Vers 16 heures je suis dérangé : une jolie fille que je ne connais même pas s’autorise de venir me voir pour une urgence. J’allais éclater de colère quand je vois son minois bien beau avant d’apercevoir le reste de son corps. Une déesse de l’Olympe est descendue près de moi. Elle parle de je ne sais quoi, je ne l’écoute pas, je ne l’entends même pas. Je n’ai pas envie de bavarder avec elle, à moins qu’elle s’autorise à venir sur mes genoux pour, pourquoi au juste ?
Si, je sais je la caresserais longuement, l’embrasserais sur la bouche, les seins et le reste.
- Que désirez-vous ?
- Vous parler Monsieur.
- C’est bien de vouloir me parler. Vous êtes qui d’abord ?
- Votre voisine monsieur.
Tient j’ai une belle voisine que je ne connais pas ? Dommage d’ignorer cette jolie fille.
- Et que me veut votre visite ?
- C’est la faute à une branche de votre jardin qui surplombe le mien. Il faudrait la couper.
J’appelle ma gouvernante pour lui demander pourquoi elle a laissé entrer cette gamine.
- Elle a insisté vue l’urgence.
Bien il faut couper rapidement une branche. La jeune dame montre de qu’elle branche il s’agit. Tout juste une branchette.
Nous allons ensemble voir le litige. C’est bien ce que je pensais : il n’y a rien de grave ni d’urgent
J’invite l’inopportune à prendre un rafraichissement. Ce qu’elle accepte. Oh pas un alcool, simplement ce que je n’aime pas du tout, une espèce de bouteille sombre remplie d’une tisane américaine au mauvais gout pour moi en tout cas.
Elle m’explique qu’elle n’habite là que depuis peu, qu’elle prend possession des lieux.
Etant assise, je peux voir presque la moitié de ses cuisses : sa jupe est remontée pas mal. Si le reste est aussi agréable que ces jambes je suis preneur pour la suite. J’appends qu’elle a 25 ans, qu’elle a hérité de la maison, qu’elle cherche du travail et important pour moi, elle est célibataire. Je sais aussi qu’elle s’appelle Nancy. Elle me donne son nom de famille que je m’empresse d’oublier. Son corsage en dentelle est presque ouvert sur ses seins. J’aimerai bien y mettre ma main.
Elle s’aperçoit que je la regarde avec envie : elle en rougit un peu.
- Vous êtes agréable à regarder, voue êtes charmante.
- Oh Monsieur.
A ce moment là la gouvernante s’en va ailleurs dans la maison. Je la connais elle est dans sa chambre, connaissant la suite.
Je prends la paume de la main de la donzelle pour l’embrasser. Elle me laisse faire. Ou elle est subjuguée, ou elle a une forte envie cachée. Mes lèvres montent bien haut, jusqu’à son aisselle. Elle me regarde simplement. Ma bouche monte bien plus haut, jusqu’à toucher à peine des lèvres.
Je suis un peu surpris quand même, quand elle pose sa bouche sur la mienne. Je la prends par la nuque pour être bien contre elle. Mon mouvement est suivi du sien, je sens sa main derrière ma tête. Mes bras l’entourent simplement. Nous nous levons ensemble pour ne pas nous lâcher.
C’est mieux : nous sommes bien serrés, nos corps sont soudés. Je sens son ventre contre ma bite qui s’est réveillée. J’essaie de lui caresser les seins avec succès. Nancy ne se démonte pas en prenant ma bite à travers le pantalon. Elle n’est pas de la dernière couvée, je préfère ça à une vierge effarouchée.
Je la laisse faire, je vais lui toucher les fesses qu’elle tend vers mes mains. Un autre baiser au fond de sa bouche et je l’entraine dans la chambre.
Elle obéit parfaitement. Je ne suis pas son premier c’est certain. Le déshabillage est rapide, comme le mien. Nous sommes vite couchés l’un coutre l’autre. J’apprécie sa peau douce, la souplesse de ses cheveux longs. Ses seins sont déjà gonflés, passant ma main sur le ventre je la sens frémir.
Sa fourrure de la même couleur que sa chevelure est aussi douce que le reste. Pas possible, elle se peigne les poils chaque matin ! Je m’occupe de sa chatte, elle s’intéresse à ma bite, c’est de bonne guerre. Deux doigts trouvent son bouton, deux de ses doigts font le tour de ma bite. Je commence à la branler, elle aussi me branle plutôt bien. Je sens qu’elle est très mouillée. Sans rien dire je vais entre ses jambes : elle les écarte assez pour que j’y trouve ma place. Ma bite ne cherche plus d’abri : elle le trouve dans son puits rapidement et bien.
Ses jambes me font prisonnières en me tenant entre ses pieds sur mes reins. Je suis au fond de son ventre : elle gémit longuement tout le temps de la baise, disons plutôt pendant qu’elle baise entre des orgasmes violents. Je suis obligé de serrer les dents pour ne pas jouir avec elle. Je préfère qu’elle jouisse avec ma pine dans son con.
- Oui, recommence, baises moi encore.
- Tu ne veux pas que je change d’endroit ?
- Tu voudrais m’enculer ?
- Si tu aime pourquoi pas ?
- J’aime aussi ;
Pour me prouver son plaisir d’avoir une bite dans le cul Nancy me fait sortir de son vagin. Ma bite est pleine de son jus. J’en ai même trop. Quand elle se tourne sur le ventre, elle reste étendue dans l’attente de la scène 2.
Elle me plait sacrément avec ses fesses bien pleines en vue. Elle écarte les deux hémisphères avec ses mains. Je n’ai pas de difficulté pour aller sur son trou. Je pose lentement ma queue sur son cul j’entre doucement : ses chairs s’écartent lentement. Je sens bien mon gland qui pénètre en entier dans le rectum. Elle s’ouvre seule sans mon aide. Elle pousse surtout de longs gémissements.
Ses fesses suivent mes mouvements à moins que ce ne soit l’inverse. Elle est délicieusement bonne à baiser.
- Je vais jouir encore, arrête juste un instant.
Je sens les contractions de son cul pendant qu’elle jouit.
- Recommences.
Finit son orgasme anal. Je vais lui en donner encore cette fois en la branlant. Sa fente est totalement envahie de cyprine. J’entre deux doigts dans le vain et le pouce sur le clitoris la branle complètement. Là je ne me retiens plus ; j’ouvre ma sortie de sperme. Il coule au fond de son cul en quantité.
Je débande lentement. Nancy voudrait encore baiser. Voyant que je suis à sec pour le moment, elle se lève de rhabille et part sans rein dire.
Je reste sur ma faim. J’en aurais voulu encore : elle baise si bien. Je commence à me rhabiller quand elle revient habillée autrement. Cette fois elle porte une mini jupe « ras de la touffe », un débardeur presque remonté. Triomphalement elle m’annonce qu’elle est prête pour la nuit.
Je suis assis sur le lit, Nancy vient entre mes jambes, relève le peu de tissus de sa jupe, me donne aussitôt sa chatte à embrasser. La vache elle sait bien se faire faire du bien. Elle est toujours aussi mouillée. Je sens ma langue riper sur ses chairs intimes. Je reviens sur le clitoris : en l’aspirant dans ma bouche je ne pensais jamais lui faire découvrir une nouveauté. Il fut croire que personne ne l’a léchée comme moi. Elle parle pendant ce plaisir :
- Oui, lèches moi encore ; j’aime me faire lécher, j’aime me faire baiser et enculer. J’aimerai même qu’une autre fille soit là pour te baiser aussi. Tu n’aimerais pas une autre fille avec nous ?
Elle m’assomme avec ses bavardages : bien sur que j’aimerais avoir une autre nana avec elle. Je suis capable de faire jouir deux filles à la fois et même de les regarder se donner du plaisir.
Je réponds oui à tout. Elle y tient : elle sort son portable pour appeler une copine qui arrive moins de 5 minutes plus tard. Ainsi Nancy est bisexuelle. Son amie est au moins aussi sexy. Elles s’embrassent sur la bouche comme une chose normale. Son amie Lucie m’embrasse aussi sur la bouche. Sans rien demander elle pose sa main sur ma bite et s’adressant à Nancy :
- Tu as raison il est bien monté. Il a du bien te faire jouir, salope.
- Si tu veux tu le baise d’abord.
- Il a jouit combien de fois ?
- Quatre je crois.
Tout en parlant la nouvelle venue est nue. Elles se tiennent par la taille déjà réunies pour la suite. Dans la chambre j’ai affaire à des furies, amies du sexe, aimant et ma bite et le con de l’autre. Ainsi si elles ma caressent la bite leurs mains sont sur les abricots de l’autre : elles en jouissent parfaitement.
Elles ne tardent pas à se mettre en 69 : je bande encore plus de voir deux filles s’aimer ainsi. Je m’interpose comme je peux. Mes mains sont à la recherche de ce que je peux pendre. Je trouve chez l’une un cul et chez l’autre un sein. Je me contente de peu. Je les caresse toutes les deux sans en chercher une en particulier.
Quand leur étreinte est finie, c’est la nouvelle venue qui a l’honneur de prendre ma bite dans le cul. Lucie semble aimer au moins autant que Nancy une bite dans le cul. Je suis sur le dos, c’est donc volontairement qu’elle se fait enculer. Elle laisse ainsi la place à Lucie pour faire un 69. Je suis placé de telle façon que je vois la langue de Nancy s’agiter dans les fesses de Lucie. J’ai suffisamment de place pour entrer deux doigts dans l’autre cul.
Je sais que je jouis, sans débander ce qui me permet de continuer à les baiser ensemble à leur grande satisfaction.
Le nuit tombée les deux filles partent : je suis un peu fatigué. Pourtant le lendemain j’ai à nouveau à visite de Nancy, comme tous les soirs qui suivent.
La gouvernante me dit un jour: tu exagère avec ces jeunesses.

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