Nassima et ses filles: Deuxième partie: Nawal
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nassima et ses filles: Deuxième partie: Nawal
NASSIMA ET SES FILLES
Deuxième partie
NAWAL
La cérémonie de mariage se déroula simplement dans une de ces salles des fêtes qui pullulaient dans Alger. Nassima me présenta, en tant qu’ami de la famille, à son mari, un petit vieux tout défraîchi, qui était aux anges, puis l’envoya s’occuper des invités qui venaient d’arriver. Elle profita de son absence temporaire pour me présenter les deux filles qui se tenaient à ses côtés : Nawal, une magnifique brune, grande et élancée, le teint mat, de grands yeux noirs, une immense bouche entourée de lèvres pulpeuses, un petit nez droit, un montant volontaire, un cou très long, lisse et brillant et un sourire provocant sur les lèvres. C’était la sensualité personnifiée ! Il me paraissait évident qu’elle cultivait cette apparence de sensualité provocante et qu’elle en jouait pour aguicher le mâle.
Amal, sa deuxième fille était elle aussi très belle, bien que paraissant plus sage. Elle devait avoir vingt et un ou vingt deux ans. Elle était le sosie de sa maman quand elle était plus jeune. La même corpulence, bien que moins prononcée ; la même poitrine envahissante et provocante ; les mêmes rondeurs là où il fallait, la même peau blanche. J’avais plus flashé sur Amal que sur Nawal. Elle me rappelait tant sa mère ! Etant au courant de mes sentiments pour sa maman, elle avait été aux petits soins pour moi, tout le temps que je restai là. Nawal, elle, passait le plus clair de son temps à tortiller son popotin au cours de danses lascives et provocantes. Elle n’eut pas un regard pour moi. Et c’est pourtant elle que je revis la première. Devinez où ?
Dans mon bureau, quelques semaines plus tard. Soraya, mon assistante vint m’annoncer la visite de quelqu’un que je connaissais mais qu’elle, elle ne connaissait pas (c’était sa manière à elle de me reprocher la chose).
- C’est une bombe ! dit-elle ; j’ai bien peur qu’elle ne t’explose dans les mains. Fais bien attention à elle. Tu veux la recevoir ?
- C’est qui ? » lui dis-je.
- Une certaine Nawal.
Je mis un temps pour me rappeler de qui il s’agissait et puis me souvenant de la magnifique plante, à la sensualité torride que j’avais croisée au cours du mariage de sa mère, j’ai hésité un moment pour la recevoir. Peut être que c’est Nassima qui me l’envoyait pensai-je, feignant d’oublier qu’elles ne se parlaient pas.
- Fais la entrer ! lui dis-je.
Soraya avait raison. C’était bien une bombe qui pénétrait dans mon bureau. Une petite robe blanche très courte et très collante (au moins deux tailles en dessous la normale!) mettant en valeur tout ce qu’elle voulait montrer : une poitrine volumineuse dont les seins pointaient vers l’avant, tels des obus de très gros calibre. Faisant contrepoids à la poitrine, un fessier tout aussi volumineux, rond et bombé. Une taille de guêpe. Des hanches larges. Des jambes longues, fortes et faites au moule. Des genoux ronds qui exciteraient un aveugle. Et son visage qui rayonnait de sensualité : avec ses grands yeux noirs provocants, son immense bouche pulpeuse et son sourire aguicheur, elle était capable de détourner du droit chemin n’importe qui, y compris un saint. Je ne connais personne capable de la regarder sans éprouver l’envie de la tirer. Elle avait, posé sur son bras, un long manteau noir, me faisant penser qu’elle le portait à l’extérieur et qu’elle n’avait dû l’enlever qu’au moment d’entrer dans le bureau de Soraya. Je m’avançais vers elle, le bras tendu devant moi, pour lui offrir une poignée de main franche et amicale. Elle ignora ma main et préféra me faire la bise. Cela commençait bien !
Je la fis asseoir sur le grand fauteuil en faisant une prière pour que sa robe n’éclatât pas. Elle résista mais remonta tellement haut qu’elle découvrit et ses cuisses et son entrecuisse. Et le petit triangle de son string rouge qui laissait tout deviner de son jardin parfumé. J’essayais de ne pas regarder, mais mes yeux étaient attirés comme un aimant par le spectacle. Elle savait qu’elle était entrain de me faire bander et son sourire s’accentua en me regardant bien dans les yeux.
- Je suis belle, n’est-ce pas ? Tu as envie de me tirer, là tout de suite ! Je suis venue pour cela. J’ai appris récemment que tu as été l’amant de maman. Or tous les amants de maman doivent devenir les miens. Les amants précédents, je les lui ai tous enlevés ! Toi, elle t’a gardé au secret ! Je ne l’ai su que pendant la fête, en voyant la manière dont tu la regardais et ton air malheureux. J’ai cuisiné Amal et elle a fini par m’avouer votre relation, en me disant qu’elle était heureuse que je n’aie rien pu faire pour vous séparer. Mais qu’importe, elle souffrira beaucoup quand elle apprendra que tu m’as sautée, comme m’ont sautée tous ceux qu’elle a aimés, son mari y compris.
J’étais totalement abasourdi par cette entrée en matière. Je ne savais absolument pas quoi dire ou faire. Elle continua son soliloque :
- Elle t’a raconté pour son mari ? Bien sûr ! Mais c’est son histoire à elle qu’elle t’a racontée ; pas la vérité ! Elle t’a dit que son mari m’avait violée et qu’à la suite de cela je suis tombée enceinte ; et qu’elle m’a fait avorter. La réalité est toute autre. Tu veux que je te la raconte ? Tu veux que je te raconte comment je me suis fait dépuceler par mon beau père ! Tous les amants de ma mère ont bandé comme des ânes quand je la leur ai racontée. Voila ce qui s’est réellement passé : à dix huit ans, j’étais une femme. J’avais tout ce qu’il fallait : une belle croupe ; des jambes magnifiques; des seins qui avaient déjà un volume appréciable, la bouche que j’ai maintenant ! Et par dessus tout une envie très forte de faire l’amour ! Toutes les nuits, pendant des années, depuis que j’avais l’âge de quatorze ans, j’entendais maman et mon beau père s’envoyer en l’air comme des bêtes. J’entendais ma mère prendre son pied et crier son plaisir. Je l’entendais dire des cochonneries sur la taille du zob de son mari ; sur tout le bien qu’il lui faisait quand il la pénétrait de partout.
- Arrête, s’il te plait, je ne veux pas connaître la suite. Cela ne m’intéresse pas. Ma relation avec ta maman a pris fin le jour de son mariage. Il n’y a donc aucune raison pour que tu me racontes, ce qui s’est passé, il y a si longtemps.
Sans m’écouter, elle continua son histoire, semblant prendre un malin plaisir, à décrire les détails les plus scabreux et les plus croustillants.
- Cela m’excitait beaucoup et je mouillais ma culotte en les écoutant. J’essayais même de me rapprocher pour tenter de les voir entrain de copuler comme des bêtes ; je n’y arrivais pas, la porte était toujours fermée. Je passai mon temps à me masturber et à jouir en imaginant tout ce qu’ils faisaient. Je rêvais d’être à la place de ma mère et de me faire enfiler par mon beau père. Je le trouvais beau et superbe ; un étalon qui était fait pour moi, pas pour elle. Et puis un matin, j’ai décidé de ne pas aller au lycée et de rester à la maison avec lui. Il ne travaillait plus et faisait tous les jours la grasse matinée. Maman partie à son travail, je rentrais dans la chambre à coucher, feignant de chercher quelque chose dans l’armoire. Je savais qu’il ne dormait pas et qu’il me regardait. Je n’avais rien sur moi, sinon un grand tee-shirt qui m’arrivait au dessus des genoux. Je savais qu’il laissait tout deviner de mon corps. Je savais qu’il me regardait et qu’il bandait et qu’il avait envie de me tirer. Il n’osait pas bouger ; il faisait toujours semblant de dormir. Je m’approchais du lit et je remarquais la tente que faisait son sexe dressé avec le drap. Je soulevais doucement le drap pour le contempler à mon aise.
« Il n’y tint plus et me tira par le bras et me balança sur le lit. J’étais folle de joie ; j’allais connaître les mêmes sensations que celles que connaissait maman toutes les nuits. Il m’allongea brutalement sur le lit, déchira mon tee-shirt et se plaça entre mes jambes « tu en veux salope, et bien je vais t’en donner ! » ne cessait il de répéter. Il n’avait aucune douceur ; il avait envie de me défoncer la vulve, sans plus. J’étais contente ; j’attendais le moment de la pénétration avec impatience ! Je savais qu’il allait me faire mal, mais je m’en foutais totalement ! Je voulais jouir, comme maman ! Il me pénétra en force, faisant éclater mon pucelage, sans aucun ménagement ! Je criais de douleur, mais il n’en avait cure ! Il continuait son mouvement de démolition, sans s’arrêter ! Et puis petit à petit la douleur s’estompa, vaincue par le plaisir ! Je me mis à aimer ce qu’il me faisait ! Je m’agrippais à lui pour qu’il ne sorte pas de mon vagin ensanglanté ! Je voulais qu’il continue, qu’il me fasse crier comme il le faisait pour ma mère. Et effectivement, je criais comme une folle « fais-moi jouir ! Fais-moi jouir ! » Jusqu’à ce que j’éclate et que je me mette à décharger comme une folle. C’était merveilleux ! J’ai adoré me faire dépuceler comme cela, par une brute. »
« Quand il eut fini, après avoir déversé une tonne de sperme dans mon vagin, il sortit son sexe tout rouge de sang et regarda le drap qui en était rempli. Il prit peur et ne savait plus quoi faire. Je lui ai dit de ne pas s’en faire. Je me levais, le sang encore coulant de mon sexe, pris le drap du lit, m’essuyai avec et alla le porter dans ma chambre. Je changeai le drap du lit de maman en en prenant un autre dans l’armoire et allai me recoucher près de mon beau père. Comme si c’était moi sa femme ! Il joua le jeu et me prit dans ses bras. J’étais encore toute nue. Je sentais qu’il me désirait encore. Moi aussi j’en voulais encore ; mais pas par le vagin qui ne pouvait pas supporter une seconde pénétration, ce jour là. Non par le cul ! Je savais qu’il aimait cela et que maman aussi aimait beaucoup qu’il la baise par derrière. Moi aussi j’en voulais ma part ! Et je le lui dis, aussi simplement »
« Son sexe qu’il avait entre temps lavé du sang qui le souillait, avait repris sa belle taille d’animal en rut. Il frétillait à l’idée qu’il allait défoncer un cul vierge, après avoir éclaté une chatte. Je lui demandais de m’expliquer la position que je devais prendre pour qu’il m’encule, comme il le faisait avec maman. Il me fit mettre à quatre patte au bord du lit, resta debout derrière moi, m’écarta les fesses, mit un peu de salive sur son sexe et sur mon anus, y plaça le gland de son énorme gourdin et me l’enfonça d’un seul coup. J’ai hurlé de douleur. Je crois que je n’avais jamais eu autant mal. Même quand il m’avait dépucelée tantôt. Mais il ne s’est même pas arrêté un instant, en m’entendant crier ; il continua de pilonner mon cul en force en faisant de longs mouvement de va et vient. Mon cul était très serré. Il a fallu longtemps pour que son gourdin l’élargisse et qu’il pénètre plus facilement. Quand mon cul fut bien lubrifié et que son zob y évoluait plus facilement, je sentais monter l’excitation en moi. Surtout qu’à ce moment là il s’est aussi occupé des mes seins qu’il massait en même temps qu’il m’enculait. Le plaisir devenait de plus en plus intense. Je me rappelais les cris de ma mère entrain de se faire pilonner le cul. Je les reproduisis presque inconsciemment. J’avais pris sa place ; c’était moi qu’il baisait; pas elle ! Cela me faisait jouir encore plus fort. Il déchargea dans mon cul aussi fort qu’il l’avait fait dans ma chatte. J’ai joui en même temps que lui. J’ai rejeté tout son foutre à l’extérieur. Heureusement qu’il était tombé par terre, pas sur le lit ; sinon j’aurai dû changer le drap une seconde fois. »
« Cette fois-ci mon beau père m’embrassa tendrement, comme si j’étais sa femme. Je me blottis contre lui et lui dis que maintenant, il m’appartenait. Qu’il n’appartenait plus à ma mère ! Cela l’avait un peu contrarié. Il m’expliqua que j’étais trop jeune ; et que si quelqu’un apprenait ce qui venait de se passer, cela irait très mal pour lui. Il fallait rester comme cela ; faire l‘amour de temps en temps en cachette et prendre le plus de plaisir possible. Lui il était content, il avait la mère et la fille en même temps. Cela dura comme cela presque une année. Une année où j’étais heureuse et au cours de laquelle, j’étais devenue une vraie femme ; sa femme ! Jusqu’au moment de cette maudite grossesse que maman découvrit, parce que mon amant ne savait pas quoi faire. Il était perdu et paniquait à l’idée du scandale. J’ai fini par dire à maman que j’étais enceinte tout en refusant de lui dire de qui. Elle me fit avorter et puis après m’avoir traité de tous les noms de putes qui pouvaient lui passer par la tête, elle m’ordonna de lui dire qui lui avait fait cela. Elle m’insulta tellement pour m’humilier que j’ai fini par lui dire fièrement que j’étais la maîtresse de son mari. Comme une furie, elle m’a frappée et frappée encore jusqu’à ce qu’elle en tombe par terre, harassée. Et puis la suite tu la connais : elle a chassé son mari et m’a chassée de sa vie en m’envoyant vivre chez ma grand-mère. Elle ne m’a jamais pardonné l’affaire et moi de même, je lui en veux encore plus. Nous sommes devenues des ennemies. J’ai décidé depuis ce jour que je lui volerai tous ses amoureux. C’est ce que j’ai fait jusqu’à maintenant. Tu es le premier qui ait pu m’échapper. Son mari actuel, ne compte pas parce qu’elle ne l’aime pas et qu’il est vieux. Elle ne baisera pas avec lui pour prendre son pied. Si elle le fait c’est seulement pour lui faire plaisir.
« Mais toi, malgré tout je te veux. Je sais maintenant qu’elle a été heureuse avec toi. Que tu l’as faite grimper aux rideaux ! J’en veux ma part ! Soit ici tout de suite ; soit tout à l’heure chez toi ! Soit à n’importe quel autre moment ! Tu ne peux pas refuser ! Je ne te lâcherai pas ! Même si tu me fais chasser par le cerbère qui est dans le bureau à côté et qui est certainement entrain de nous épier, je reviendrais et reviendrais encore jusqu’à ce que j’atteigne mon objectif : jouir avec toi, comme tu as fait jouir maman ! »
Pendant tout son récit, je me disais qu’elle n’était pas normale. Qu’elle était folle. En vouloir à ce point à sa mère relevait de la psychanalyse, si ce n’est de la psychiatrie. Chercher à tout prix à se substituer à sa maman dans ses moments de plaisir sexuel, c’est soit une espèce de complexe d’oedipe non encore réglé, soit de la perversité totale. La deuxième partie de l’équation me semblait plus juste. Cette fille était totalement perverse. Sa seule manière de prendre son pied, c’est de faire l’amour avec les amants de sa maman. Je me posais la question de ce que je devais faire.
La fille était superbe et bandante. Et vraiment j’avais envie d’elle. D’un autre côté, je me disais que Nassima ne méritait pas cela ; que je la remplace par sa fille, devenue son ennemie. Il y avait bien la solution de la faire mettre à la porte par Soraya qui, bien entendu, surveillait tout ce qui se passait. Mais cela ne servirait à rien ; elle remettrait ça d’une autre façon. Je suis sûr qu’elle ferait le siège de chez moi, jusqu’à ce que je la fasse monter. La solution, c’est elle qui a fini par me la donner : elle enleva son string, me montrant au passage sa superbe chatte velue, et me la donna en me disant :
- garde ma culotte, jusqu’au moment où tu auras tellement envie de me tirer que tu m’appelleras. Cette culotte te rappellera cette chatte que tu viens d’entrevoir qui est la garantie des tonnes de plaisir qui t’attendent. Je suis sûr que tu ne l’oublieras pas jusqu’à ce que tu la possèdes. Même quand tu baiseras une autre fille, ou une autre femme, tu repenseras à cette chatte offerte qui n’attend que ton gros zob.
Elle me refila son numéro de portable et sans autre forme de procès, tourna les talons et, en dandinant du cul, elle quitta le bureau, salua Soraya en lui envoyant une œillade moqueuse et s’en alla.
Soraya vint aux nouvelles. Elle savait déjà tout, puisqu’elle avait tout écouté et entendu. Mais elle me fit quand même répéter toute l‘histoire et me demanda ce que j’allais faire de la culotte d’une part et de la fille d’autre part.
- Garder la culotte et me taper le fille ! lui répondis-je agacé.
En vérité je ne savais pas ce que je voulais faire. La fille m’attirait comme un aimant et, par ailleurs, elle me faisait peur. Elle était belle et devait faire l’amour comme une déesse. D’un autre côté, c’était une vraie malade. Je ne voulais absolument pas que sa mère apprenne qu’il s’est passé quelque chose entre nous. Car s’il se passait quelque chose, elle se dépêcherait de le lui faire savoir. C’était uniquement cela le but de la manœuvre. Je dis à Soraya que je me donnais un peu de temps pour réfléchir et quand j’aurai décidé de quoi que ce soit, je l’en informerai.
- Tu vas la baiser ! dit-elle. Je te connais, tant que tu ne l’auras pas sautée, tu ne seras pas tranquille ; et elle non plus. C’est certainement la meilleure des choses à faire : désamorcer la bombe en la faisant éclater ! Le seul problème, c’est comment l’empêcher de le faire savoir à sa maman. C’est à ça que tu devrais réfléchir, pas à si tu la tireras ou pas. Cela, c’est déjà réglé dans ta tête depuis longtemps.
Je laissai passer quelques jours, au cours desquels je n’arrêtais pas de penser à Nawal et à sa chatte. J’ai gardé sur moi son string que de temps en temps je sortais de ma poche pour renifler son odeur. Il n’avait pas l’odeur de chatte en chaleur que naïvement je m’imaginais et à laquelle je m’attendais; il avait celle de son parfum fort et entêtant, un parfum envoûtant qui collait à ses vêtements et à ses sous vêtements. Cette odeur me remettait en mémoire sa beauté et sa sensualité et me donnait envie de l’appeler. Je résistais un temps et puis me décidai à l’appeler pour la faire venir chez moi et passer avec elle tout un week-end. C’était compter sans son côté pervers. Sachant que maintenant elle me tenait, elle me laissa mijoter toute la semaine, en prétextant qu’elle était très occupée avec son nouvel amant et qu’elle ne pouvait le quitter tout de suite.
En fait, ce qu’elle disait était vrai : elle ne travaillait pas et se faisait entretenir par des hommes riches qui bandaient pour elle et qui dépensaient sans compter. Elle habitait un bel appartement que lui avait acheté un industriel, très âgé, qui était tombé amoureux fou d’elle et, bien que ne pouvant pas faire grand-chose avec elle (malgré une consommation effrénée des fameuses petites pilules bleues), s’était presque ruiné pour lui faire plaisir. Jusqu’à ce que ses enfants ayant eu vent de la chose l’aient obligé à la quitter et à aller laver ses pécher dans un pèlerinage à la Mecque. Elle n’en souffrit pas beaucoup et ne tarda pas à mettre le grappin sur d’autres hommes âgés et riches, toujours mariés, qui prenaient en charge ses folies, contre quelques instants de plaisir intense, une fois par semaine ou par mois. Nawal était une femme entretenue, et fière de l’être.
Et là, elle venait de se trouver une nouvelle victime : un de ces rois du conteneur, spécialisé dans l’importation, à partir du port de Dubai, de tout ce qui pouvait se vendre en Algérie. Il devait avoir la cinquantaine et était immensément riche. Comme beaucoup des ses collègues importateurs, il avait l’allure extérieure du bon musulman : barbe taillée, cheveux coupés très courts, tenue islamique. C’était en quelque sorte un uniforme ou un signe de reconnaissance de toute une corporation. Politiquement, cette corporation servait au financement des partis politiques de la mouvance islamiste. Dans la réalité, cet homme était un jouisseur invétéré qui avait deux vies parallèles : une vie officielle avec femme et enfants et une vie plus clandestine avec les putes de toutes sortes. Nawal l’avait ensorcelé. Il était prêt à toutes les folies pour l’avoir, y compris la plus grande, celle de la prendre pour deuxième épouse. Elle manœuvrait dans cette direction, sachant tout le bénéfice qu’une femme comme elle pouvait tirer de cette situation : de l’argent à la pelle et une liberté, que son statut de deuxième épouse, lui permettrait (sachant qu’il vivrait principalement avec sa première famille). Elle calculait aussi qu’elle aurait un enfant avec lui, ce qui était un gage pour l’avenir. Sans compter que cet homme là, était un taureau au lit !
Elle ne vint me rendre visite, qu’une semaine après mon coup de téléphone. Elle paraissait radieuse. Tout de go, elle m’annonça qu’elle allait bientôt se marier en me racontant toute l’histoire. Je ne savais pas si j’en étais content pour elle, désolé pour le mari ou tout simplement jaloux. Ce que je sus par contre immédiatement, c’est que la menace qu’elle allait tout raconter à sa mère tombait d’elle-même. Elle venait de me donner l’antidote : mon silence contre le sien. Si elle avait encore envie de tout raconter à sa mère, je la menacerais d’informer son futur mari de ses relations avec moi et avec d’autres hommes. J’en acceptais donc l’augure et je décidais de passer aux choses sérieuses ; m’occuper du cul de ma belle.
Elle était toujours vêtue de la même manière : robe très courte, très serrée, ne cachant pratiquement rien de ses appâts, qu’elle avait en abondance. Je la pris par la main et l’entraînai vers le grand divan du salon. Je lui dis que je n’avais pas cessé de penser à elle tout ce temps et que l’image de sa chatte poilue m’était restée dans la tête. Je lui dis aussi qu’avant de faire quoi que ce soit, je voudrai la revoir, comme cela sous sa robe. Je voulais qu’elle enlève sa culotte et qu’elle ouvre ses cuisses pour me laisser l’admirer à ma guise. Elle eut un rire moqueur, remonta le bas de sa robe encore plus haut, écarta ses cuisses et exposa à ma vue sa superbe chatte poilue. Elle ne portait pas de culotte !
- Je suis venue reprendre mon string ! me dit-elle, en riant de bon cœur à sa blague.
Je sentais mon cœur battre la chamade. J’étais excité comme un bouc devant le trésor qui s’offrait à ma vue, de façon si impudique. Sa chatte était proéminente et longue. Elle était entourée d’une touffe de poils noirs, savamment entretenue pour aiguiser le désir de celui ou ceux qui la regardaient. En fait, avec l’art consommé de l’érotisme qui était devenu son fonds de commerce, elle savait qu’elle devait accorder à cette partie de son corps une attention particulière. Elle pouvait garder le désir de ses amants à un niveau toujours très élevé, et beaucoup plus longtemps, avec une chatte belle et soignée. Elle savait, d’instinct ou par expérience, qu’un homme même fatigué, reprend de l’énergie à la vue d’une belle chatte, poilue juste ce qu’il faut, laissant entrevoir de grandes lèvres charnues, ouvertes sur des petites lèvres roses et une entrée de vagin sombre et mystérieuse. Pour elle, sa chatte était un trésor qu’elle devait chérir et entretenir.
J’avais envie de la prendre, là tout de suite, sans la déshabiller et sans me déshabiller. Elle comprit mes intentions et cela ne semblait pas lui déplaire. Elle s’enfonça plus profondément dans le divan, releva encore plus haut sa robe, remonta les genoux de manière à poser ses pieds à plat sur le rebord du fauteuil, me fit le sourire le plus aguicheur qui soit et tendant les bras vers moi, dit de sa voix rauque.
- Viens vite !
Sans plus attendre je retirai le pantalon et le slip et restai en chemise. Mon sexe était devenu énorme. Il frétillait d’impatience d’aller faire connaissance avec cette superbe chatte. Je me mis bien vite entre ses genoux relevés, l’engin tendu comme un sabre pointé vers le ciel. Elle le prit dans une main et le guida vers la fente légèrement ouverte. Elle était encore trop basse. J’appuyai mes mains sur le fauteuil pour avoir une meilleure assise, allongeai mes jambes par terre et mit ainsi mon gourdin au niveau de sa chatte. J’étais ainsi plus à l’aise pour la pénétrer. Elle me regardait faire avec ses immenses yeux noirs, qui annonçaient mille promesses de jouissance, et un sourire, toujours aussi provocateur, sur les lèvres. Je savais que les préliminaires étaient superflus avec cette femme.
J’exerçai une forte poussée sur ses grandes lèvres pour les ouvrir totalement et surtout ouvrir le passage vers le paradis. Mon sexe entra très facilement dans son vagin qui était déjà bien lubrifié. Elle eut un petit cri de satisfaction et m’attrapa les hanches pour m’obliger à aller plus au fond. Malgré tous les sexes qu’il avait accueillis, qui l’avaient frotté et limé vigoureusement et certainement beaucoup élargi, son vagin avait gardé toute son élasticité. Il serrait fortement mon membre, donnant une très agréable impression d’étroitesse. C’était divin ! Il était chaud, visqueux et d’une telle douceur ! J’en bavais de plaisir ! Et je gémissais doucement à chacune de mes pénétrations ! Je goûtais chaque seconde, comme si c’était la dernière qui me restait à vivre ! Contrairement à ce que je voulais lui faire auparavant, la tirer en force comme une brute, c’était en douceur que je la baisais. J’y prenais un plaisir fou. Surtout qu’elle aussi semblait aimer la manière dont je la traitais. Elle s’était préparée à une pénétration en force, à une charge de taureau ou de bélier. Elle eut droit, bien involontairement il faut le dire, à un coït tout en douceur. Elle gémissait doucement, bavant elle aussi de plaisir, faisant faire à ses hanches de lents mouvements verticaux en accompagnement de mes lents coups de reins. Nous sentions le plaisir monter doucement en nous, au rythme des va-et-vient de mon sexe.
Elle ne parlait pas. Elle avait fermé les yeux pour mieux goûter le plaisir qu’elle prenait. Elle avait la bouche ouverte et dégoulinante de salive. Et elle gémissait sans bruit, comme si elle avait peur d’arrêter l’instant magique qu’elle vivait, en disant quelque chose ou en criant. Elle jouissait intérieurement ; presque intellectuellement. Je voulais faire durer ce moment toute une éternité, tellement c’était merveilleux. Le plaisir allait crescendo, mais à un rythme lent. Mon sexe continuait de gonfler en elle. Il était si bien dans ce vagin qui le moulait parfaitement et lui donnait l’impression d’une très douce masturbation. Nawal se mit subitement à faire faire à ses hanches un mouvement circulaire qui venait augmenter notre excitation à tous les deux. Elle semblait avoir atteint le moment où elle devait absolument décharger et qu’elle ne pouvait résister plus longtemps. C’était un appel pour que j’accélère mes coups de rein et que je les transforme en coups de boutoir. Je retirai mon sexe du fond de son vagin dans lequel il tournait doucement depuis un moment, et entrepris de longs va-et-vient de plus en plus forts et de plus en plus rapides. Je les accompagnai d’un fort ahanement de bûcheron. Je sentais que mon sexe allait bientôt exploser.
Elle se mit à gémir de plus en plus fort. Ses gémissements se transformèrent en petits cris de plaisir. Tout son corps était tendu vers la jouissance qu’elle sentait arriver comme une déferlante. Sa tête partait de tous les côtés dans des mouvements incontrôlés, accompagnant les sensations de plaisir qui irradiaient de son clitoris vers tout le reste de son corps. Elle n’en pouvait plus, elle voulait jouir. Jouir tout de suite. Jouir très fort. Et soudain elle cria plus fort qu’elle allait décharger. Que c’était bon ! Que c’était merveilleux ! Qu’elle adorait jouir et décharger ! Que mon zob était divin ! Et elle arrêta de crier pour pousser un long râle et décharger violemment. Je continuai à aller et venir en elle pour la faire jouir encore une fois et jouir moi-même. Je retins l’arrivée de ma jouissance autant que je pus, pour l’emmener vers un autre orgasme. Le second orgasme vint très vite en même temps que je me vidais en elle. La jouissance que j’eus avec elle, je peux la décrire encore maintenant, tellement elle était forte et violente. Elle venait des tréfonds de mon ventre et irradiait sur tout mon corps en vagues successives de plus en plus fortes. Je me sentais défaillir. Quand j’explosai en elle, j’eus une merveilleuse sensation de délivrance et de bien être. Tous mes muscles tendus à l’extrême se relâchèrent d’un coup et mon corps s’affala sur le sien. J’étais heureux, de ce bonheur béat qui fait qu’on ne ressent rien d’autre, bien longtemps après l’acte.
Au bout d’un moment, je relevais la tête pour la regarder. A mon énorme surprise, elle pleurait doucement, silencieusement ! Je m’allongeai à côté d’elle et la pris dans mes bras tendrement.
- J’ai fais quelque chose qui t’a blessée, lui dis-je, d’une voix un peu inquiète ?
Elle essuya ses larmes avec ses mains, me fit un sourire un peu triste, me regarda longuement dans les yeux et me dit :
- Au contraire ! C’est la première fois qu’un homme a de la douceur et de la tendresse pour moi ! Je croyais que tu étais comme tous les autres ! Que tu voulais me tirer comme tu tirerais une pute ! Je suis réellement surprise, heureusement surprise par ton comportement ! Pourtant je n’ai rien fait pour te dissuader que je n’étais rien qu’une salope, qui devait être traitée comme une salope ! Je voulais moi-même te traiter comme je traite d’habitude les hommes avec lesquels je couche, les tenir par leur queue et faire d’eux tout ce que je veux ! Toi tu es différent ! Tu sais traiter une femme sans lui faire sentir qu’elle est méprisable ; comme une vraie personne humaine. Je comprends pourquoi ma mère est tombée amoureuse de toi. Et je la plains fortement de t’avoir quitté pour mener une vie terne et sans couleurs avec son mari.
Je n’ai pas voulu la dissuader que je n’étais en vérité qu’un salaud comme un autre. Que j’avais vraiment dans l’idée de la traiter comme une salope et que ce n’était qu’en cours d’action, qu’une forte intuition m’avait persuadé d’agir avec douceur et tendresse (en fait j’ai toujours agi selon de fortes intuitions qui m’ont très rarement trompé). Je me suis mis à lui caresser la nuque de manière à l’apaiser un peu plus. Elle se laissa aller contre moi, la tête posée sur mon épaule, goûtant le plaisir simple d’une caresse pleine de tendresse. Au bout d’un moment, je lui pris le visage entre mes mains, plongeai mon regard dans ses immenses yeux, lui fis un large sourire et lui dis :
- Tu es merveilleuse !
- Non ne dis pas cela ! Ce n’est pas vrai ! Je suis une salope ! J’aime faire le mal ! Alors ne me dis pas que je suis merveilleuse !
- Oui, tu es merveilleuse ! Ce n’est pas parce que la vie ne t’a pas gâtée, ou que tu as fait de mauvais choix, que tu es mauvaise. Tu as un problème avec ta mère à qui tu ne pardonnes pas de t’avoir chassée de la maison. Elle a un problème avec toi, parce que tu as brisé l’amour de sa vie (qui de toutes les façons se serait brisé tout seul, vu le manque de maturité de l’homme). Tu as eu besoin de te venger d’elle en lui choppant ses amoureux. Ce n’était pas très fair-play de ta part, mais enfin c’est du passé. Il est temps pour toi et elle d’enterrer la hache de guerre et de reprendre des relations normales fille/mère.
- Mais tu as vu comment je vis ! répondit-elle. Je ne travaille pas et vis aux crochets d’hommes riches. Je vais même me marier avec l’un d’eux, en tant que deuxième épouse, rien que pour m’assurer un avenir matériel, sachant pertinemment que je serais malheureuse avec lui, qui ne voit en moi qu’une femme de plaisir. Sans compter qu’il est de tendance islamiste qui n’annonce pas que des beaux jours pour moi. Je compte même faire un enfant pour mieux me garantir une place au soleil. Et tu me trouves merveilleuse !
- Oui ! La preuve tu es totalement consciente de tes égarements et tu sais que ce que tu fais ne te ressemble pas ! Tu peux donc remonter la pente, si tu le veux et si tu y trouves ton compte. Le choix que tu as fait d’être la seconde épouse d’un homme riche, beaucoup de jeunes filles l’ont fait avant toi. La législation le permet et le nombre de filles à marier est tellement immense que c’en est devenu une panacée pour ne pas rester vieille fille. Même si moralement la bigamie est condamnable, tant qu’elle est légale et acceptée par les femmes concernées, pourquoi pas ! Personnellement, je n’aimerais pas que tu épouses cet homme parce que j’aurais peur des conséquences pour toi et ton enfant si tu en fais un, mais si toi tu trouves que c’est la solution, pourquoi pas ! Et puis arrêtons cette discussion et cesse une fois pour toutes de te rabaisser. Tu aimes baiser, ce n’est pas une tare ! Bien au contraire ! Et puis tu es un si bon coup !
- Je voudrais bien trouver un homme comme toi, pour faire ma vie avec lui ! Je crois que je lui serai fidèle et le chérirai toute ma vie ! Mais pas toi ! D’abord tu as aimé maman et puis, sachant tout de moi, tu finiras un jour par me reprocher ma vie dissolue !
- Le problème n’est pas dans ta vie dissolue. Il est dans le fait que je n’ai pas l’âme d’un homme rangé. Je ne compte pas me marier et la vie ensemble sans mariage ne permet pas de fonder une famille en Algérie. Il est impossible de faire un enfant et de l’élever dans ces conditions. Par ailleurs je ne suis pas sûr que tu tiendras ta promesse de fidélité. Tu aimes trop le sexe pour cela. Tu as l’âme d’une maîtresse, pas d’une épouse ! Et surtout pas d’une Pénélope ! Alors vis ta vie ! Prends du plaisir et donnes-en ! Tu es faite pour cela ! Seulement arrête ta vendetta avec ta maman ! Tu y trouveras la paix, je te le garantis !
Elle se serra très fort dans mes bras et me dit à l’oreille :
- Allons dans la chambre !
Elle se leva d’un bond, me prit par la main et me tira vers la chambre et l’immense lit qui nous tendait les bras. Elle enleva totalement sa robe et se présenta à moi dans toute sa splendeur ! Cette femme est vraiment une merveille, un monstre de sensualité, un cadeau pour l’érotisme ! Elle ferait bander un mort, rien qu’en passant devant lui ! Il n’y a absolument aucune fausse note dans ce corps et dans sa tenue ! Tout en elle est tendu vers l’érotisme le plus torride ! Elle appréciait de se faire admirer et désirer ! Elle le montrait en souriant de toutes ses dents, en suivant mon regard, admiratif et salace en même temps, qui se posait sur son corps, s’arrêtant longuement sur ses fesses fermes et rebondies. Elle avait remarqué mon intérêt subit pour ses fesses.
- Elles te plaisent ? Tu veux m’enculer, n’est-ce pas ?
- Oui ! fis-je dans un souffle en me débarrassant de la chemise que je portais encore.
Sans attendre elle se mit à quatre pattes sur le bord du lit, offrant ainsi à mon regard concupiscent sa croupe de pouliche en attente de saillie. Sa chatte et son anus me faisaient face, tout aussi désirables l’un que l’autre. J’aurais voulu avoir deux sexes pour les enfiler les deux à la fois. Pris d’une inspiration soudaine, je lui dis à l’oreille :
- Je vais te baiser par tes deux trous à la fois.
- Oui ! fit-elle, d’une voix gloutonne.
Je n’avais pas besoin de faire un effort quelconque pour bander. Depuis qu’elle était nue, mon sexe était dressé vers le plafond, comme un étendard. Je m’approchai du fessier de ma belle, introduisis un doigt entre ses grandes lèvres, vérifiai l’état de mouille satisfaisant de sa vulve et introduisis le gland de mon sexe entre ses petites lèvres. Je poussai lentement pour introduire tout le bâton à l’intérieur du vagin et entreprit en douceur un lent mouvement de va et vient.
- C’est bon dit-elle, cette manière de me baiser en douceur !
- Attends, lui répondis-je dès que çà sera bien mouillé, je changerai de rythme et te tirerai plus en force !
C’est en effet ce que je fis, dès que mon sexe sentit que tout le vagin était bien lubrifié, il s’est mis presque seul à aller et venir de manière plus franche et plus puissante. Elle eut un petit soupir (peut être de déception quand j’ai abandonné le mode douceur) et accompagna le mouvement avec ses hanches que je tenais fermement entre mes mains. Elle commença à gémir et voulut que je m’occupe en même temps de son énorme poitrine aux seins si fermes. D’une main je continuai à la tenir par les hanches, tandis que mon autre main alla lui palper un sein et jouer avec son téton. Je me rendis compte soudainement que je ne lui avais encore jamais caressé les seins. Ils étaient d’une douceur infinie, en même temps qu’ils étaient fermes et élastiques. La rencontre de ma main avec ses seins et ses tétons a eu comme conséquence de gonfler encore plus mon sexe et de tirer de moi un petit gémissement de plaisir.
Craignant de jouir sans plus tarder, je sortis mon gourdin tout plein de mouille et le dirigeai vers son anus qui attendait en palpitant. Je n’eus aucune difficulté à le faire pénétrer d’un seul coup dans son cul et à le faire aller et venir à l’intérieur. Le cul de ma belle n’était plus vierge depuis longtemps, mais tout comme son vagin, il avait gardé une très forte élasticité qui lui faisait serrer mon sexe, le menant à une félicité absolue. Il m’était difficile de résister à l’envie de jouir immédiatement dans ce cul. C’est pour cela que je donnais un rythme lent au mouvement d’allers-retours de mon gourdin. Elle aima cette sensation d’un engin qui se déplaçait doucement dans son cul et me le fit savoir en adoptant le même rythme avec ses hanches et en gémissant doucement, chaque fois que mes couilles venaient cogner sur ses fesses. Cela lui plaisait fortement. Elle balançait sa tête doucement dans tous les sens en bavant de plaisir. Elle ne parlait pas. Elle fermait les yeux et entra en elle, pour se mettre à l’écoute de ses sens et du plaisir qu’elle prenait.
Et puis subitement je sortis de son cul pour retourner dans son vagin que j’entrepris d’occuper complètement en la tirant fort et en imprimant un mouvement circulaire à mon bassin. Après un très court moment de déception pour m’être retiré de son cul, elle eut une autre sensation de plaisir, différente de l’autre, mais toute aussi forte.
- Tu vas me tuer de plaisir ! dit-elle, en commençant à gémir et à balancer sa tête dans tous les sens tout en laissant passer un filet de salive entre ses lèvres. C’est bon comme tu me baises, devant et derrière en même temps ! Je n’ai jamais rien senti d’aussi bon ! Continue à me tirer comme ça ! Je sens que je ne vais pas tarder à jouir !
- Non ! lui dis-je, ne jouis pas tout de suite !
Je ressortis de son vagin et allai immédiatement m’introduire dans son cul. Je refis la manœuvre quatre ou cinq fois, jusqu’à ce que je ne fusse plus capable de tenir. J’accélérai le rythme des allers-retours de mon membre dans son trou (je ne savais plus dans quel trou je me trouvais !) et très vite je la sentis se raidir sous mes coups de boutoir et éclater dans un long râle de mourante. Elle déchargea très longuement et plusieurs fois, remplissant le lit de jus épais.
Moi-même j’explosai bruyamment, envoyant un énorme premier jet de sperme dans le trou dans lequel j’étais. Je sortis immédiatement du trou pour investir le deuxième dans lequel j’envoyais le reste du sperme que je continuais d’éjaculer. A bout de force, je m’affalais sur son dos et je restais ainsi jusqu’à ce que ma respiration ait repris son rythme normal. Nawal aussi était à bout de force. Elle étouffait littéralement sous mon poids. Je me levai et m’allongeai à côté d’elle, tout en restant collé à son dos. Mon sexe, n’avait plus la vigueur d’avant le coït mais était resté debout. Il alla se fourrer entre les fesses de ma belle, tandis que je l’embrassai partout sur le dos et la nuque et lui caressai les seins à tour de rôle. Elle se laissa faire en ronronnant, telle une lionne apaisée et repue.
Je la retournai pour qu’elle soit en face de moi et l’embrassai très longuement sur la bouche. Pas un baiser torride, non un baiser apaisé et tendre, comme celui que donnerait un amoureux à son amoureuse. Elle me rendit le baiser en y mettant autant de tendresse que moi.
- Tu es un homme merveilleux ! » dit-elle. Tu ne veux pas rester avec moi et me donner autant de bonheur qu’aujourd’hui ?
Elle connaissait ma réponse. Elle me fit un triste sourire et se blottit dans mes bras. Nous nous reposâmes un moment. Puis nous allâmes prendre une douche ensemble. Nous nous retrouvâmes ensuite dans la cuisine, où à deux, nous préparâmes et dégustâmes un copieux repas. Nous retournâmes dans la chambre pour faire encore l’amour ensemble et dormir.
Nous restâmes ensemble tout le week-end. Nous nous revîmes le week-end suivant que nous passâmes en Kabylie (comme avec sa maman !). Puis encore deux week-ends. Et puis, un jour, elle me dit qu’elle était enceinte (de moi affirma-t-elle !) et que son prétendant, croyant qu’il était de lui, insistait de plus en plus pour qu’ils se marient. Elle finit par accepter et très rapidement elle devint sa deuxième épouse. Contrairement à ce que je croyais, il était vraiment amoureux d’elle. Il fut aux petits soins pour elle, jusqu’à l’accouchement. Il vivait pratiquement tout le temps avec elle, dans le grand appartement qu’il lui avait acheté, soulevant, au passage les protestations de son autre famille. Il n’en tint aucun compte et se comporta avec elle et le garçon qui naquit comme un mari et un père modèles. Aujourd’hui encore ils vivent ensemble et forment un couple soudé. C’est elle qui de temps en temps me donne de ses nouvelles (et de celles de mon fils !) par téléphone. Le seul accroc qu’elle fait à sa nouvelle vie d’épouse et de femme fidèle !
Aujourd’hui encore, j’ai un très fort serrement au cœur quand je pense à Nawal, à ce que l’on aurait pu être l’un pour l’autre. Mais je ne regrette rien, d’autant qu’elle avait repris des relations normales avec sa mère et sa sœur. « Grâce à toi ! » me dit-elle chaque fois qu’elle m’appelle. C’est aussi grâce à moi, affirme-t-elle qu’elle avait pris confiance en elle et qu’elle avait su qu’elle était autre chose que cette femme qui aguichait tous les hommes et se faisait tirer comme une chienne.
- Mon mari est bon, généreux, aimant et… il baise comme un Dieu !
Deuxième partie
NAWAL
La cérémonie de mariage se déroula simplement dans une de ces salles des fêtes qui pullulaient dans Alger. Nassima me présenta, en tant qu’ami de la famille, à son mari, un petit vieux tout défraîchi, qui était aux anges, puis l’envoya s’occuper des invités qui venaient d’arriver. Elle profita de son absence temporaire pour me présenter les deux filles qui se tenaient à ses côtés : Nawal, une magnifique brune, grande et élancée, le teint mat, de grands yeux noirs, une immense bouche entourée de lèvres pulpeuses, un petit nez droit, un montant volontaire, un cou très long, lisse et brillant et un sourire provocant sur les lèvres. C’était la sensualité personnifiée ! Il me paraissait évident qu’elle cultivait cette apparence de sensualité provocante et qu’elle en jouait pour aguicher le mâle.
Amal, sa deuxième fille était elle aussi très belle, bien que paraissant plus sage. Elle devait avoir vingt et un ou vingt deux ans. Elle était le sosie de sa maman quand elle était plus jeune. La même corpulence, bien que moins prononcée ; la même poitrine envahissante et provocante ; les mêmes rondeurs là où il fallait, la même peau blanche. J’avais plus flashé sur Amal que sur Nawal. Elle me rappelait tant sa mère ! Etant au courant de mes sentiments pour sa maman, elle avait été aux petits soins pour moi, tout le temps que je restai là. Nawal, elle, passait le plus clair de son temps à tortiller son popotin au cours de danses lascives et provocantes. Elle n’eut pas un regard pour moi. Et c’est pourtant elle que je revis la première. Devinez où ?
Dans mon bureau, quelques semaines plus tard. Soraya, mon assistante vint m’annoncer la visite de quelqu’un que je connaissais mais qu’elle, elle ne connaissait pas (c’était sa manière à elle de me reprocher la chose).
- C’est une bombe ! dit-elle ; j’ai bien peur qu’elle ne t’explose dans les mains. Fais bien attention à elle. Tu veux la recevoir ?
- C’est qui ? » lui dis-je.
- Une certaine Nawal.
Je mis un temps pour me rappeler de qui il s’agissait et puis me souvenant de la magnifique plante, à la sensualité torride que j’avais croisée au cours du mariage de sa mère, j’ai hésité un moment pour la recevoir. Peut être que c’est Nassima qui me l’envoyait pensai-je, feignant d’oublier qu’elles ne se parlaient pas.
- Fais la entrer ! lui dis-je.
Soraya avait raison. C’était bien une bombe qui pénétrait dans mon bureau. Une petite robe blanche très courte et très collante (au moins deux tailles en dessous la normale!) mettant en valeur tout ce qu’elle voulait montrer : une poitrine volumineuse dont les seins pointaient vers l’avant, tels des obus de très gros calibre. Faisant contrepoids à la poitrine, un fessier tout aussi volumineux, rond et bombé. Une taille de guêpe. Des hanches larges. Des jambes longues, fortes et faites au moule. Des genoux ronds qui exciteraient un aveugle. Et son visage qui rayonnait de sensualité : avec ses grands yeux noirs provocants, son immense bouche pulpeuse et son sourire aguicheur, elle était capable de détourner du droit chemin n’importe qui, y compris un saint. Je ne connais personne capable de la regarder sans éprouver l’envie de la tirer. Elle avait, posé sur son bras, un long manteau noir, me faisant penser qu’elle le portait à l’extérieur et qu’elle n’avait dû l’enlever qu’au moment d’entrer dans le bureau de Soraya. Je m’avançais vers elle, le bras tendu devant moi, pour lui offrir une poignée de main franche et amicale. Elle ignora ma main et préféra me faire la bise. Cela commençait bien !
Je la fis asseoir sur le grand fauteuil en faisant une prière pour que sa robe n’éclatât pas. Elle résista mais remonta tellement haut qu’elle découvrit et ses cuisses et son entrecuisse. Et le petit triangle de son string rouge qui laissait tout deviner de son jardin parfumé. J’essayais de ne pas regarder, mais mes yeux étaient attirés comme un aimant par le spectacle. Elle savait qu’elle était entrain de me faire bander et son sourire s’accentua en me regardant bien dans les yeux.
- Je suis belle, n’est-ce pas ? Tu as envie de me tirer, là tout de suite ! Je suis venue pour cela. J’ai appris récemment que tu as été l’amant de maman. Or tous les amants de maman doivent devenir les miens. Les amants précédents, je les lui ai tous enlevés ! Toi, elle t’a gardé au secret ! Je ne l’ai su que pendant la fête, en voyant la manière dont tu la regardais et ton air malheureux. J’ai cuisiné Amal et elle a fini par m’avouer votre relation, en me disant qu’elle était heureuse que je n’aie rien pu faire pour vous séparer. Mais qu’importe, elle souffrira beaucoup quand elle apprendra que tu m’as sautée, comme m’ont sautée tous ceux qu’elle a aimés, son mari y compris.
J’étais totalement abasourdi par cette entrée en matière. Je ne savais absolument pas quoi dire ou faire. Elle continua son soliloque :
- Elle t’a raconté pour son mari ? Bien sûr ! Mais c’est son histoire à elle qu’elle t’a racontée ; pas la vérité ! Elle t’a dit que son mari m’avait violée et qu’à la suite de cela je suis tombée enceinte ; et qu’elle m’a fait avorter. La réalité est toute autre. Tu veux que je te la raconte ? Tu veux que je te raconte comment je me suis fait dépuceler par mon beau père ! Tous les amants de ma mère ont bandé comme des ânes quand je la leur ai racontée. Voila ce qui s’est réellement passé : à dix huit ans, j’étais une femme. J’avais tout ce qu’il fallait : une belle croupe ; des jambes magnifiques; des seins qui avaient déjà un volume appréciable, la bouche que j’ai maintenant ! Et par dessus tout une envie très forte de faire l’amour ! Toutes les nuits, pendant des années, depuis que j’avais l’âge de quatorze ans, j’entendais maman et mon beau père s’envoyer en l’air comme des bêtes. J’entendais ma mère prendre son pied et crier son plaisir. Je l’entendais dire des cochonneries sur la taille du zob de son mari ; sur tout le bien qu’il lui faisait quand il la pénétrait de partout.
- Arrête, s’il te plait, je ne veux pas connaître la suite. Cela ne m’intéresse pas. Ma relation avec ta maman a pris fin le jour de son mariage. Il n’y a donc aucune raison pour que tu me racontes, ce qui s’est passé, il y a si longtemps.
Sans m’écouter, elle continua son histoire, semblant prendre un malin plaisir, à décrire les détails les plus scabreux et les plus croustillants.
- Cela m’excitait beaucoup et je mouillais ma culotte en les écoutant. J’essayais même de me rapprocher pour tenter de les voir entrain de copuler comme des bêtes ; je n’y arrivais pas, la porte était toujours fermée. Je passai mon temps à me masturber et à jouir en imaginant tout ce qu’ils faisaient. Je rêvais d’être à la place de ma mère et de me faire enfiler par mon beau père. Je le trouvais beau et superbe ; un étalon qui était fait pour moi, pas pour elle. Et puis un matin, j’ai décidé de ne pas aller au lycée et de rester à la maison avec lui. Il ne travaillait plus et faisait tous les jours la grasse matinée. Maman partie à son travail, je rentrais dans la chambre à coucher, feignant de chercher quelque chose dans l’armoire. Je savais qu’il ne dormait pas et qu’il me regardait. Je n’avais rien sur moi, sinon un grand tee-shirt qui m’arrivait au dessus des genoux. Je savais qu’il laissait tout deviner de mon corps. Je savais qu’il me regardait et qu’il bandait et qu’il avait envie de me tirer. Il n’osait pas bouger ; il faisait toujours semblant de dormir. Je m’approchais du lit et je remarquais la tente que faisait son sexe dressé avec le drap. Je soulevais doucement le drap pour le contempler à mon aise.
« Il n’y tint plus et me tira par le bras et me balança sur le lit. J’étais folle de joie ; j’allais connaître les mêmes sensations que celles que connaissait maman toutes les nuits. Il m’allongea brutalement sur le lit, déchira mon tee-shirt et se plaça entre mes jambes « tu en veux salope, et bien je vais t’en donner ! » ne cessait il de répéter. Il n’avait aucune douceur ; il avait envie de me défoncer la vulve, sans plus. J’étais contente ; j’attendais le moment de la pénétration avec impatience ! Je savais qu’il allait me faire mal, mais je m’en foutais totalement ! Je voulais jouir, comme maman ! Il me pénétra en force, faisant éclater mon pucelage, sans aucun ménagement ! Je criais de douleur, mais il n’en avait cure ! Il continuait son mouvement de démolition, sans s’arrêter ! Et puis petit à petit la douleur s’estompa, vaincue par le plaisir ! Je me mis à aimer ce qu’il me faisait ! Je m’agrippais à lui pour qu’il ne sorte pas de mon vagin ensanglanté ! Je voulais qu’il continue, qu’il me fasse crier comme il le faisait pour ma mère. Et effectivement, je criais comme une folle « fais-moi jouir ! Fais-moi jouir ! » Jusqu’à ce que j’éclate et que je me mette à décharger comme une folle. C’était merveilleux ! J’ai adoré me faire dépuceler comme cela, par une brute. »
« Quand il eut fini, après avoir déversé une tonne de sperme dans mon vagin, il sortit son sexe tout rouge de sang et regarda le drap qui en était rempli. Il prit peur et ne savait plus quoi faire. Je lui ai dit de ne pas s’en faire. Je me levais, le sang encore coulant de mon sexe, pris le drap du lit, m’essuyai avec et alla le porter dans ma chambre. Je changeai le drap du lit de maman en en prenant un autre dans l’armoire et allai me recoucher près de mon beau père. Comme si c’était moi sa femme ! Il joua le jeu et me prit dans ses bras. J’étais encore toute nue. Je sentais qu’il me désirait encore. Moi aussi j’en voulais encore ; mais pas par le vagin qui ne pouvait pas supporter une seconde pénétration, ce jour là. Non par le cul ! Je savais qu’il aimait cela et que maman aussi aimait beaucoup qu’il la baise par derrière. Moi aussi j’en voulais ma part ! Et je le lui dis, aussi simplement »
« Son sexe qu’il avait entre temps lavé du sang qui le souillait, avait repris sa belle taille d’animal en rut. Il frétillait à l’idée qu’il allait défoncer un cul vierge, après avoir éclaté une chatte. Je lui demandais de m’expliquer la position que je devais prendre pour qu’il m’encule, comme il le faisait avec maman. Il me fit mettre à quatre patte au bord du lit, resta debout derrière moi, m’écarta les fesses, mit un peu de salive sur son sexe et sur mon anus, y plaça le gland de son énorme gourdin et me l’enfonça d’un seul coup. J’ai hurlé de douleur. Je crois que je n’avais jamais eu autant mal. Même quand il m’avait dépucelée tantôt. Mais il ne s’est même pas arrêté un instant, en m’entendant crier ; il continua de pilonner mon cul en force en faisant de longs mouvement de va et vient. Mon cul était très serré. Il a fallu longtemps pour que son gourdin l’élargisse et qu’il pénètre plus facilement. Quand mon cul fut bien lubrifié et que son zob y évoluait plus facilement, je sentais monter l’excitation en moi. Surtout qu’à ce moment là il s’est aussi occupé des mes seins qu’il massait en même temps qu’il m’enculait. Le plaisir devenait de plus en plus intense. Je me rappelais les cris de ma mère entrain de se faire pilonner le cul. Je les reproduisis presque inconsciemment. J’avais pris sa place ; c’était moi qu’il baisait; pas elle ! Cela me faisait jouir encore plus fort. Il déchargea dans mon cul aussi fort qu’il l’avait fait dans ma chatte. J’ai joui en même temps que lui. J’ai rejeté tout son foutre à l’extérieur. Heureusement qu’il était tombé par terre, pas sur le lit ; sinon j’aurai dû changer le drap une seconde fois. »
« Cette fois-ci mon beau père m’embrassa tendrement, comme si j’étais sa femme. Je me blottis contre lui et lui dis que maintenant, il m’appartenait. Qu’il n’appartenait plus à ma mère ! Cela l’avait un peu contrarié. Il m’expliqua que j’étais trop jeune ; et que si quelqu’un apprenait ce qui venait de se passer, cela irait très mal pour lui. Il fallait rester comme cela ; faire l‘amour de temps en temps en cachette et prendre le plus de plaisir possible. Lui il était content, il avait la mère et la fille en même temps. Cela dura comme cela presque une année. Une année où j’étais heureuse et au cours de laquelle, j’étais devenue une vraie femme ; sa femme ! Jusqu’au moment de cette maudite grossesse que maman découvrit, parce que mon amant ne savait pas quoi faire. Il était perdu et paniquait à l’idée du scandale. J’ai fini par dire à maman que j’étais enceinte tout en refusant de lui dire de qui. Elle me fit avorter et puis après m’avoir traité de tous les noms de putes qui pouvaient lui passer par la tête, elle m’ordonna de lui dire qui lui avait fait cela. Elle m’insulta tellement pour m’humilier que j’ai fini par lui dire fièrement que j’étais la maîtresse de son mari. Comme une furie, elle m’a frappée et frappée encore jusqu’à ce qu’elle en tombe par terre, harassée. Et puis la suite tu la connais : elle a chassé son mari et m’a chassée de sa vie en m’envoyant vivre chez ma grand-mère. Elle ne m’a jamais pardonné l’affaire et moi de même, je lui en veux encore plus. Nous sommes devenues des ennemies. J’ai décidé depuis ce jour que je lui volerai tous ses amoureux. C’est ce que j’ai fait jusqu’à maintenant. Tu es le premier qui ait pu m’échapper. Son mari actuel, ne compte pas parce qu’elle ne l’aime pas et qu’il est vieux. Elle ne baisera pas avec lui pour prendre son pied. Si elle le fait c’est seulement pour lui faire plaisir.
« Mais toi, malgré tout je te veux. Je sais maintenant qu’elle a été heureuse avec toi. Que tu l’as faite grimper aux rideaux ! J’en veux ma part ! Soit ici tout de suite ; soit tout à l’heure chez toi ! Soit à n’importe quel autre moment ! Tu ne peux pas refuser ! Je ne te lâcherai pas ! Même si tu me fais chasser par le cerbère qui est dans le bureau à côté et qui est certainement entrain de nous épier, je reviendrais et reviendrais encore jusqu’à ce que j’atteigne mon objectif : jouir avec toi, comme tu as fait jouir maman ! »
Pendant tout son récit, je me disais qu’elle n’était pas normale. Qu’elle était folle. En vouloir à ce point à sa mère relevait de la psychanalyse, si ce n’est de la psychiatrie. Chercher à tout prix à se substituer à sa maman dans ses moments de plaisir sexuel, c’est soit une espèce de complexe d’oedipe non encore réglé, soit de la perversité totale. La deuxième partie de l’équation me semblait plus juste. Cette fille était totalement perverse. Sa seule manière de prendre son pied, c’est de faire l’amour avec les amants de sa maman. Je me posais la question de ce que je devais faire.
La fille était superbe et bandante. Et vraiment j’avais envie d’elle. D’un autre côté, je me disais que Nassima ne méritait pas cela ; que je la remplace par sa fille, devenue son ennemie. Il y avait bien la solution de la faire mettre à la porte par Soraya qui, bien entendu, surveillait tout ce qui se passait. Mais cela ne servirait à rien ; elle remettrait ça d’une autre façon. Je suis sûr qu’elle ferait le siège de chez moi, jusqu’à ce que je la fasse monter. La solution, c’est elle qui a fini par me la donner : elle enleva son string, me montrant au passage sa superbe chatte velue, et me la donna en me disant :
- garde ma culotte, jusqu’au moment où tu auras tellement envie de me tirer que tu m’appelleras. Cette culotte te rappellera cette chatte que tu viens d’entrevoir qui est la garantie des tonnes de plaisir qui t’attendent. Je suis sûr que tu ne l’oublieras pas jusqu’à ce que tu la possèdes. Même quand tu baiseras une autre fille, ou une autre femme, tu repenseras à cette chatte offerte qui n’attend que ton gros zob.
Elle me refila son numéro de portable et sans autre forme de procès, tourna les talons et, en dandinant du cul, elle quitta le bureau, salua Soraya en lui envoyant une œillade moqueuse et s’en alla.
Soraya vint aux nouvelles. Elle savait déjà tout, puisqu’elle avait tout écouté et entendu. Mais elle me fit quand même répéter toute l‘histoire et me demanda ce que j’allais faire de la culotte d’une part et de la fille d’autre part.
- Garder la culotte et me taper le fille ! lui répondis-je agacé.
En vérité je ne savais pas ce que je voulais faire. La fille m’attirait comme un aimant et, par ailleurs, elle me faisait peur. Elle était belle et devait faire l’amour comme une déesse. D’un autre côté, c’était une vraie malade. Je ne voulais absolument pas que sa mère apprenne qu’il s’est passé quelque chose entre nous. Car s’il se passait quelque chose, elle se dépêcherait de le lui faire savoir. C’était uniquement cela le but de la manœuvre. Je dis à Soraya que je me donnais un peu de temps pour réfléchir et quand j’aurai décidé de quoi que ce soit, je l’en informerai.
- Tu vas la baiser ! dit-elle. Je te connais, tant que tu ne l’auras pas sautée, tu ne seras pas tranquille ; et elle non plus. C’est certainement la meilleure des choses à faire : désamorcer la bombe en la faisant éclater ! Le seul problème, c’est comment l’empêcher de le faire savoir à sa maman. C’est à ça que tu devrais réfléchir, pas à si tu la tireras ou pas. Cela, c’est déjà réglé dans ta tête depuis longtemps.
Je laissai passer quelques jours, au cours desquels je n’arrêtais pas de penser à Nawal et à sa chatte. J’ai gardé sur moi son string que de temps en temps je sortais de ma poche pour renifler son odeur. Il n’avait pas l’odeur de chatte en chaleur que naïvement je m’imaginais et à laquelle je m’attendais; il avait celle de son parfum fort et entêtant, un parfum envoûtant qui collait à ses vêtements et à ses sous vêtements. Cette odeur me remettait en mémoire sa beauté et sa sensualité et me donnait envie de l’appeler. Je résistais un temps et puis me décidai à l’appeler pour la faire venir chez moi et passer avec elle tout un week-end. C’était compter sans son côté pervers. Sachant que maintenant elle me tenait, elle me laissa mijoter toute la semaine, en prétextant qu’elle était très occupée avec son nouvel amant et qu’elle ne pouvait le quitter tout de suite.
En fait, ce qu’elle disait était vrai : elle ne travaillait pas et se faisait entretenir par des hommes riches qui bandaient pour elle et qui dépensaient sans compter. Elle habitait un bel appartement que lui avait acheté un industriel, très âgé, qui était tombé amoureux fou d’elle et, bien que ne pouvant pas faire grand-chose avec elle (malgré une consommation effrénée des fameuses petites pilules bleues), s’était presque ruiné pour lui faire plaisir. Jusqu’à ce que ses enfants ayant eu vent de la chose l’aient obligé à la quitter et à aller laver ses pécher dans un pèlerinage à la Mecque. Elle n’en souffrit pas beaucoup et ne tarda pas à mettre le grappin sur d’autres hommes âgés et riches, toujours mariés, qui prenaient en charge ses folies, contre quelques instants de plaisir intense, une fois par semaine ou par mois. Nawal était une femme entretenue, et fière de l’être.
Et là, elle venait de se trouver une nouvelle victime : un de ces rois du conteneur, spécialisé dans l’importation, à partir du port de Dubai, de tout ce qui pouvait se vendre en Algérie. Il devait avoir la cinquantaine et était immensément riche. Comme beaucoup des ses collègues importateurs, il avait l’allure extérieure du bon musulman : barbe taillée, cheveux coupés très courts, tenue islamique. C’était en quelque sorte un uniforme ou un signe de reconnaissance de toute une corporation. Politiquement, cette corporation servait au financement des partis politiques de la mouvance islamiste. Dans la réalité, cet homme était un jouisseur invétéré qui avait deux vies parallèles : une vie officielle avec femme et enfants et une vie plus clandestine avec les putes de toutes sortes. Nawal l’avait ensorcelé. Il était prêt à toutes les folies pour l’avoir, y compris la plus grande, celle de la prendre pour deuxième épouse. Elle manœuvrait dans cette direction, sachant tout le bénéfice qu’une femme comme elle pouvait tirer de cette situation : de l’argent à la pelle et une liberté, que son statut de deuxième épouse, lui permettrait (sachant qu’il vivrait principalement avec sa première famille). Elle calculait aussi qu’elle aurait un enfant avec lui, ce qui était un gage pour l’avenir. Sans compter que cet homme là, était un taureau au lit !
Elle ne vint me rendre visite, qu’une semaine après mon coup de téléphone. Elle paraissait radieuse. Tout de go, elle m’annonça qu’elle allait bientôt se marier en me racontant toute l’histoire. Je ne savais pas si j’en étais content pour elle, désolé pour le mari ou tout simplement jaloux. Ce que je sus par contre immédiatement, c’est que la menace qu’elle allait tout raconter à sa mère tombait d’elle-même. Elle venait de me donner l’antidote : mon silence contre le sien. Si elle avait encore envie de tout raconter à sa mère, je la menacerais d’informer son futur mari de ses relations avec moi et avec d’autres hommes. J’en acceptais donc l’augure et je décidais de passer aux choses sérieuses ; m’occuper du cul de ma belle.
Elle était toujours vêtue de la même manière : robe très courte, très serrée, ne cachant pratiquement rien de ses appâts, qu’elle avait en abondance. Je la pris par la main et l’entraînai vers le grand divan du salon. Je lui dis que je n’avais pas cessé de penser à elle tout ce temps et que l’image de sa chatte poilue m’était restée dans la tête. Je lui dis aussi qu’avant de faire quoi que ce soit, je voudrai la revoir, comme cela sous sa robe. Je voulais qu’elle enlève sa culotte et qu’elle ouvre ses cuisses pour me laisser l’admirer à ma guise. Elle eut un rire moqueur, remonta le bas de sa robe encore plus haut, écarta ses cuisses et exposa à ma vue sa superbe chatte poilue. Elle ne portait pas de culotte !
- Je suis venue reprendre mon string ! me dit-elle, en riant de bon cœur à sa blague.
Je sentais mon cœur battre la chamade. J’étais excité comme un bouc devant le trésor qui s’offrait à ma vue, de façon si impudique. Sa chatte était proéminente et longue. Elle était entourée d’une touffe de poils noirs, savamment entretenue pour aiguiser le désir de celui ou ceux qui la regardaient. En fait, avec l’art consommé de l’érotisme qui était devenu son fonds de commerce, elle savait qu’elle devait accorder à cette partie de son corps une attention particulière. Elle pouvait garder le désir de ses amants à un niveau toujours très élevé, et beaucoup plus longtemps, avec une chatte belle et soignée. Elle savait, d’instinct ou par expérience, qu’un homme même fatigué, reprend de l’énergie à la vue d’une belle chatte, poilue juste ce qu’il faut, laissant entrevoir de grandes lèvres charnues, ouvertes sur des petites lèvres roses et une entrée de vagin sombre et mystérieuse. Pour elle, sa chatte était un trésor qu’elle devait chérir et entretenir.
J’avais envie de la prendre, là tout de suite, sans la déshabiller et sans me déshabiller. Elle comprit mes intentions et cela ne semblait pas lui déplaire. Elle s’enfonça plus profondément dans le divan, releva encore plus haut sa robe, remonta les genoux de manière à poser ses pieds à plat sur le rebord du fauteuil, me fit le sourire le plus aguicheur qui soit et tendant les bras vers moi, dit de sa voix rauque.
- Viens vite !
Sans plus attendre je retirai le pantalon et le slip et restai en chemise. Mon sexe était devenu énorme. Il frétillait d’impatience d’aller faire connaissance avec cette superbe chatte. Je me mis bien vite entre ses genoux relevés, l’engin tendu comme un sabre pointé vers le ciel. Elle le prit dans une main et le guida vers la fente légèrement ouverte. Elle était encore trop basse. J’appuyai mes mains sur le fauteuil pour avoir une meilleure assise, allongeai mes jambes par terre et mit ainsi mon gourdin au niveau de sa chatte. J’étais ainsi plus à l’aise pour la pénétrer. Elle me regardait faire avec ses immenses yeux noirs, qui annonçaient mille promesses de jouissance, et un sourire, toujours aussi provocateur, sur les lèvres. Je savais que les préliminaires étaient superflus avec cette femme.
J’exerçai une forte poussée sur ses grandes lèvres pour les ouvrir totalement et surtout ouvrir le passage vers le paradis. Mon sexe entra très facilement dans son vagin qui était déjà bien lubrifié. Elle eut un petit cri de satisfaction et m’attrapa les hanches pour m’obliger à aller plus au fond. Malgré tous les sexes qu’il avait accueillis, qui l’avaient frotté et limé vigoureusement et certainement beaucoup élargi, son vagin avait gardé toute son élasticité. Il serrait fortement mon membre, donnant une très agréable impression d’étroitesse. C’était divin ! Il était chaud, visqueux et d’une telle douceur ! J’en bavais de plaisir ! Et je gémissais doucement à chacune de mes pénétrations ! Je goûtais chaque seconde, comme si c’était la dernière qui me restait à vivre ! Contrairement à ce que je voulais lui faire auparavant, la tirer en force comme une brute, c’était en douceur que je la baisais. J’y prenais un plaisir fou. Surtout qu’elle aussi semblait aimer la manière dont je la traitais. Elle s’était préparée à une pénétration en force, à une charge de taureau ou de bélier. Elle eut droit, bien involontairement il faut le dire, à un coït tout en douceur. Elle gémissait doucement, bavant elle aussi de plaisir, faisant faire à ses hanches de lents mouvements verticaux en accompagnement de mes lents coups de reins. Nous sentions le plaisir monter doucement en nous, au rythme des va-et-vient de mon sexe.
Elle ne parlait pas. Elle avait fermé les yeux pour mieux goûter le plaisir qu’elle prenait. Elle avait la bouche ouverte et dégoulinante de salive. Et elle gémissait sans bruit, comme si elle avait peur d’arrêter l’instant magique qu’elle vivait, en disant quelque chose ou en criant. Elle jouissait intérieurement ; presque intellectuellement. Je voulais faire durer ce moment toute une éternité, tellement c’était merveilleux. Le plaisir allait crescendo, mais à un rythme lent. Mon sexe continuait de gonfler en elle. Il était si bien dans ce vagin qui le moulait parfaitement et lui donnait l’impression d’une très douce masturbation. Nawal se mit subitement à faire faire à ses hanches un mouvement circulaire qui venait augmenter notre excitation à tous les deux. Elle semblait avoir atteint le moment où elle devait absolument décharger et qu’elle ne pouvait résister plus longtemps. C’était un appel pour que j’accélère mes coups de rein et que je les transforme en coups de boutoir. Je retirai mon sexe du fond de son vagin dans lequel il tournait doucement depuis un moment, et entrepris de longs va-et-vient de plus en plus forts et de plus en plus rapides. Je les accompagnai d’un fort ahanement de bûcheron. Je sentais que mon sexe allait bientôt exploser.
Elle se mit à gémir de plus en plus fort. Ses gémissements se transformèrent en petits cris de plaisir. Tout son corps était tendu vers la jouissance qu’elle sentait arriver comme une déferlante. Sa tête partait de tous les côtés dans des mouvements incontrôlés, accompagnant les sensations de plaisir qui irradiaient de son clitoris vers tout le reste de son corps. Elle n’en pouvait plus, elle voulait jouir. Jouir tout de suite. Jouir très fort. Et soudain elle cria plus fort qu’elle allait décharger. Que c’était bon ! Que c’était merveilleux ! Qu’elle adorait jouir et décharger ! Que mon zob était divin ! Et elle arrêta de crier pour pousser un long râle et décharger violemment. Je continuai à aller et venir en elle pour la faire jouir encore une fois et jouir moi-même. Je retins l’arrivée de ma jouissance autant que je pus, pour l’emmener vers un autre orgasme. Le second orgasme vint très vite en même temps que je me vidais en elle. La jouissance que j’eus avec elle, je peux la décrire encore maintenant, tellement elle était forte et violente. Elle venait des tréfonds de mon ventre et irradiait sur tout mon corps en vagues successives de plus en plus fortes. Je me sentais défaillir. Quand j’explosai en elle, j’eus une merveilleuse sensation de délivrance et de bien être. Tous mes muscles tendus à l’extrême se relâchèrent d’un coup et mon corps s’affala sur le sien. J’étais heureux, de ce bonheur béat qui fait qu’on ne ressent rien d’autre, bien longtemps après l’acte.
Au bout d’un moment, je relevais la tête pour la regarder. A mon énorme surprise, elle pleurait doucement, silencieusement ! Je m’allongeai à côté d’elle et la pris dans mes bras tendrement.
- J’ai fais quelque chose qui t’a blessée, lui dis-je, d’une voix un peu inquiète ?
Elle essuya ses larmes avec ses mains, me fit un sourire un peu triste, me regarda longuement dans les yeux et me dit :
- Au contraire ! C’est la première fois qu’un homme a de la douceur et de la tendresse pour moi ! Je croyais que tu étais comme tous les autres ! Que tu voulais me tirer comme tu tirerais une pute ! Je suis réellement surprise, heureusement surprise par ton comportement ! Pourtant je n’ai rien fait pour te dissuader que je n’étais rien qu’une salope, qui devait être traitée comme une salope ! Je voulais moi-même te traiter comme je traite d’habitude les hommes avec lesquels je couche, les tenir par leur queue et faire d’eux tout ce que je veux ! Toi tu es différent ! Tu sais traiter une femme sans lui faire sentir qu’elle est méprisable ; comme une vraie personne humaine. Je comprends pourquoi ma mère est tombée amoureuse de toi. Et je la plains fortement de t’avoir quitté pour mener une vie terne et sans couleurs avec son mari.
Je n’ai pas voulu la dissuader que je n’étais en vérité qu’un salaud comme un autre. Que j’avais vraiment dans l’idée de la traiter comme une salope et que ce n’était qu’en cours d’action, qu’une forte intuition m’avait persuadé d’agir avec douceur et tendresse (en fait j’ai toujours agi selon de fortes intuitions qui m’ont très rarement trompé). Je me suis mis à lui caresser la nuque de manière à l’apaiser un peu plus. Elle se laissa aller contre moi, la tête posée sur mon épaule, goûtant le plaisir simple d’une caresse pleine de tendresse. Au bout d’un moment, je lui pris le visage entre mes mains, plongeai mon regard dans ses immenses yeux, lui fis un large sourire et lui dis :
- Tu es merveilleuse !
- Non ne dis pas cela ! Ce n’est pas vrai ! Je suis une salope ! J’aime faire le mal ! Alors ne me dis pas que je suis merveilleuse !
- Oui, tu es merveilleuse ! Ce n’est pas parce que la vie ne t’a pas gâtée, ou que tu as fait de mauvais choix, que tu es mauvaise. Tu as un problème avec ta mère à qui tu ne pardonnes pas de t’avoir chassée de la maison. Elle a un problème avec toi, parce que tu as brisé l’amour de sa vie (qui de toutes les façons se serait brisé tout seul, vu le manque de maturité de l’homme). Tu as eu besoin de te venger d’elle en lui choppant ses amoureux. Ce n’était pas très fair-play de ta part, mais enfin c’est du passé. Il est temps pour toi et elle d’enterrer la hache de guerre et de reprendre des relations normales fille/mère.
- Mais tu as vu comment je vis ! répondit-elle. Je ne travaille pas et vis aux crochets d’hommes riches. Je vais même me marier avec l’un d’eux, en tant que deuxième épouse, rien que pour m’assurer un avenir matériel, sachant pertinemment que je serais malheureuse avec lui, qui ne voit en moi qu’une femme de plaisir. Sans compter qu’il est de tendance islamiste qui n’annonce pas que des beaux jours pour moi. Je compte même faire un enfant pour mieux me garantir une place au soleil. Et tu me trouves merveilleuse !
- Oui ! La preuve tu es totalement consciente de tes égarements et tu sais que ce que tu fais ne te ressemble pas ! Tu peux donc remonter la pente, si tu le veux et si tu y trouves ton compte. Le choix que tu as fait d’être la seconde épouse d’un homme riche, beaucoup de jeunes filles l’ont fait avant toi. La législation le permet et le nombre de filles à marier est tellement immense que c’en est devenu une panacée pour ne pas rester vieille fille. Même si moralement la bigamie est condamnable, tant qu’elle est légale et acceptée par les femmes concernées, pourquoi pas ! Personnellement, je n’aimerais pas que tu épouses cet homme parce que j’aurais peur des conséquences pour toi et ton enfant si tu en fais un, mais si toi tu trouves que c’est la solution, pourquoi pas ! Et puis arrêtons cette discussion et cesse une fois pour toutes de te rabaisser. Tu aimes baiser, ce n’est pas une tare ! Bien au contraire ! Et puis tu es un si bon coup !
- Je voudrais bien trouver un homme comme toi, pour faire ma vie avec lui ! Je crois que je lui serai fidèle et le chérirai toute ma vie ! Mais pas toi ! D’abord tu as aimé maman et puis, sachant tout de moi, tu finiras un jour par me reprocher ma vie dissolue !
- Le problème n’est pas dans ta vie dissolue. Il est dans le fait que je n’ai pas l’âme d’un homme rangé. Je ne compte pas me marier et la vie ensemble sans mariage ne permet pas de fonder une famille en Algérie. Il est impossible de faire un enfant et de l’élever dans ces conditions. Par ailleurs je ne suis pas sûr que tu tiendras ta promesse de fidélité. Tu aimes trop le sexe pour cela. Tu as l’âme d’une maîtresse, pas d’une épouse ! Et surtout pas d’une Pénélope ! Alors vis ta vie ! Prends du plaisir et donnes-en ! Tu es faite pour cela ! Seulement arrête ta vendetta avec ta maman ! Tu y trouveras la paix, je te le garantis !
Elle se serra très fort dans mes bras et me dit à l’oreille :
- Allons dans la chambre !
Elle se leva d’un bond, me prit par la main et me tira vers la chambre et l’immense lit qui nous tendait les bras. Elle enleva totalement sa robe et se présenta à moi dans toute sa splendeur ! Cette femme est vraiment une merveille, un monstre de sensualité, un cadeau pour l’érotisme ! Elle ferait bander un mort, rien qu’en passant devant lui ! Il n’y a absolument aucune fausse note dans ce corps et dans sa tenue ! Tout en elle est tendu vers l’érotisme le plus torride ! Elle appréciait de se faire admirer et désirer ! Elle le montrait en souriant de toutes ses dents, en suivant mon regard, admiratif et salace en même temps, qui se posait sur son corps, s’arrêtant longuement sur ses fesses fermes et rebondies. Elle avait remarqué mon intérêt subit pour ses fesses.
- Elles te plaisent ? Tu veux m’enculer, n’est-ce pas ?
- Oui ! fis-je dans un souffle en me débarrassant de la chemise que je portais encore.
Sans attendre elle se mit à quatre pattes sur le bord du lit, offrant ainsi à mon regard concupiscent sa croupe de pouliche en attente de saillie. Sa chatte et son anus me faisaient face, tout aussi désirables l’un que l’autre. J’aurais voulu avoir deux sexes pour les enfiler les deux à la fois. Pris d’une inspiration soudaine, je lui dis à l’oreille :
- Je vais te baiser par tes deux trous à la fois.
- Oui ! fit-elle, d’une voix gloutonne.
Je n’avais pas besoin de faire un effort quelconque pour bander. Depuis qu’elle était nue, mon sexe était dressé vers le plafond, comme un étendard. Je m’approchai du fessier de ma belle, introduisis un doigt entre ses grandes lèvres, vérifiai l’état de mouille satisfaisant de sa vulve et introduisis le gland de mon sexe entre ses petites lèvres. Je poussai lentement pour introduire tout le bâton à l’intérieur du vagin et entreprit en douceur un lent mouvement de va et vient.
- C’est bon dit-elle, cette manière de me baiser en douceur !
- Attends, lui répondis-je dès que çà sera bien mouillé, je changerai de rythme et te tirerai plus en force !
C’est en effet ce que je fis, dès que mon sexe sentit que tout le vagin était bien lubrifié, il s’est mis presque seul à aller et venir de manière plus franche et plus puissante. Elle eut un petit soupir (peut être de déception quand j’ai abandonné le mode douceur) et accompagna le mouvement avec ses hanches que je tenais fermement entre mes mains. Elle commença à gémir et voulut que je m’occupe en même temps de son énorme poitrine aux seins si fermes. D’une main je continuai à la tenir par les hanches, tandis que mon autre main alla lui palper un sein et jouer avec son téton. Je me rendis compte soudainement que je ne lui avais encore jamais caressé les seins. Ils étaient d’une douceur infinie, en même temps qu’ils étaient fermes et élastiques. La rencontre de ma main avec ses seins et ses tétons a eu comme conséquence de gonfler encore plus mon sexe et de tirer de moi un petit gémissement de plaisir.
Craignant de jouir sans plus tarder, je sortis mon gourdin tout plein de mouille et le dirigeai vers son anus qui attendait en palpitant. Je n’eus aucune difficulté à le faire pénétrer d’un seul coup dans son cul et à le faire aller et venir à l’intérieur. Le cul de ma belle n’était plus vierge depuis longtemps, mais tout comme son vagin, il avait gardé une très forte élasticité qui lui faisait serrer mon sexe, le menant à une félicité absolue. Il m’était difficile de résister à l’envie de jouir immédiatement dans ce cul. C’est pour cela que je donnais un rythme lent au mouvement d’allers-retours de mon gourdin. Elle aima cette sensation d’un engin qui se déplaçait doucement dans son cul et me le fit savoir en adoptant le même rythme avec ses hanches et en gémissant doucement, chaque fois que mes couilles venaient cogner sur ses fesses. Cela lui plaisait fortement. Elle balançait sa tête doucement dans tous les sens en bavant de plaisir. Elle ne parlait pas. Elle fermait les yeux et entra en elle, pour se mettre à l’écoute de ses sens et du plaisir qu’elle prenait.
Et puis subitement je sortis de son cul pour retourner dans son vagin que j’entrepris d’occuper complètement en la tirant fort et en imprimant un mouvement circulaire à mon bassin. Après un très court moment de déception pour m’être retiré de son cul, elle eut une autre sensation de plaisir, différente de l’autre, mais toute aussi forte.
- Tu vas me tuer de plaisir ! dit-elle, en commençant à gémir et à balancer sa tête dans tous les sens tout en laissant passer un filet de salive entre ses lèvres. C’est bon comme tu me baises, devant et derrière en même temps ! Je n’ai jamais rien senti d’aussi bon ! Continue à me tirer comme ça ! Je sens que je ne vais pas tarder à jouir !
- Non ! lui dis-je, ne jouis pas tout de suite !
Je ressortis de son vagin et allai immédiatement m’introduire dans son cul. Je refis la manœuvre quatre ou cinq fois, jusqu’à ce que je ne fusse plus capable de tenir. J’accélérai le rythme des allers-retours de mon membre dans son trou (je ne savais plus dans quel trou je me trouvais !) et très vite je la sentis se raidir sous mes coups de boutoir et éclater dans un long râle de mourante. Elle déchargea très longuement et plusieurs fois, remplissant le lit de jus épais.
Moi-même j’explosai bruyamment, envoyant un énorme premier jet de sperme dans le trou dans lequel j’étais. Je sortis immédiatement du trou pour investir le deuxième dans lequel j’envoyais le reste du sperme que je continuais d’éjaculer. A bout de force, je m’affalais sur son dos et je restais ainsi jusqu’à ce que ma respiration ait repris son rythme normal. Nawal aussi était à bout de force. Elle étouffait littéralement sous mon poids. Je me levai et m’allongeai à côté d’elle, tout en restant collé à son dos. Mon sexe, n’avait plus la vigueur d’avant le coït mais était resté debout. Il alla se fourrer entre les fesses de ma belle, tandis que je l’embrassai partout sur le dos et la nuque et lui caressai les seins à tour de rôle. Elle se laissa faire en ronronnant, telle une lionne apaisée et repue.
Je la retournai pour qu’elle soit en face de moi et l’embrassai très longuement sur la bouche. Pas un baiser torride, non un baiser apaisé et tendre, comme celui que donnerait un amoureux à son amoureuse. Elle me rendit le baiser en y mettant autant de tendresse que moi.
- Tu es un homme merveilleux ! » dit-elle. Tu ne veux pas rester avec moi et me donner autant de bonheur qu’aujourd’hui ?
Elle connaissait ma réponse. Elle me fit un triste sourire et se blottit dans mes bras. Nous nous reposâmes un moment. Puis nous allâmes prendre une douche ensemble. Nous nous retrouvâmes ensuite dans la cuisine, où à deux, nous préparâmes et dégustâmes un copieux repas. Nous retournâmes dans la chambre pour faire encore l’amour ensemble et dormir.
Nous restâmes ensemble tout le week-end. Nous nous revîmes le week-end suivant que nous passâmes en Kabylie (comme avec sa maman !). Puis encore deux week-ends. Et puis, un jour, elle me dit qu’elle était enceinte (de moi affirma-t-elle !) et que son prétendant, croyant qu’il était de lui, insistait de plus en plus pour qu’ils se marient. Elle finit par accepter et très rapidement elle devint sa deuxième épouse. Contrairement à ce que je croyais, il était vraiment amoureux d’elle. Il fut aux petits soins pour elle, jusqu’à l’accouchement. Il vivait pratiquement tout le temps avec elle, dans le grand appartement qu’il lui avait acheté, soulevant, au passage les protestations de son autre famille. Il n’en tint aucun compte et se comporta avec elle et le garçon qui naquit comme un mari et un père modèles. Aujourd’hui encore ils vivent ensemble et forment un couple soudé. C’est elle qui de temps en temps me donne de ses nouvelles (et de celles de mon fils !) par téléphone. Le seul accroc qu’elle fait à sa nouvelle vie d’épouse et de femme fidèle !
Aujourd’hui encore, j’ai un très fort serrement au cœur quand je pense à Nawal, à ce que l’on aurait pu être l’un pour l’autre. Mais je ne regrette rien, d’autant qu’elle avait repris des relations normales avec sa mère et sa sœur. « Grâce à toi ! » me dit-elle chaque fois qu’elle m’appelle. C’est aussi grâce à moi, affirme-t-elle qu’elle avait pris confiance en elle et qu’elle avait su qu’elle était autre chose que cette femme qui aguichait tous les hommes et se faisait tirer comme une chienne.
- Mon mari est bon, généreux, aimant et… il baise comme un Dieu !
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