Natacha, La belle-sœur russe - 1/2
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Natacha, La belle-sœur russe - 1/2
Avertissement
L’histoire qui suit peut être très justement considérée comme une histoire de bistrot. Elle m’a été
racontée par un homme – la soixantaine bien sonnée – qui buvait seul à la terrasse d’un bar-
restaurant dans la petite station balnéaire du Figuier, à une cinquantaine de kilomètre à l’est
d’Alger. J’avais mes habitudes dans cet établissement dans lequel, je venais souvent m’évader pour
regarder la mer et boire quelques bières avec des amis.
Ce jour-là, j’étais seul. En arrivant - vers quatorze heures, bien plus tôt qu’à mon habitude -
j’avais remarqué un homme seul, attablé devant les restes d’un repas et sirotant un ballon de vin.
Je ne sais pas trop pourquoi, mais j’avais été immédiatement attiré par cet homme : peut-être parce
qu’il était seul ; peut-être parce qu’il avait l’air un peu perdu ; peut-être aussi parce qu’il
semblait totalement plongé dans des pensées qui ne devaient être toutes roses. Je voyais qu’il ne
s’intéressait à rien d’autre qu’à ses pensées et au contenu de son verre de vin qu’il sirotait
lentement. La mer, qui pourtant, était d’une beauté à couper le souffle, ne semblait pas
l’intéresser.
Je vins m’assoir à la table à côté de la sienne et ne put m’empêcher de le questionner sur la
qualité du vin qu’il buvait.
- Il est vraiment divin ! Je vous le conseille ! Vous m’en direz des nouvelles ! D’ailleurs
vous pouvez le goutter immédiatement !
Et sans autre forme de procès, il remplit un des verres à vin non utilisés qui se trouvaient sur sa
table, le remplit à moitié et me le tendit.
- Goûtez-moi ce nectar !
Et effectivement, il était délicieux. Moi qui ne suis pas un grand buveur de vin – je préférais la
bière – je commandais, à la grande surprise du serveur qui connaissait mes goûts et qui était sur
le point de me servir ma bière préférée, la même bouteille de vin que mon voisin. Ce fut comme cela
que s’enclencha entre Alilou et moi, la discussion qui l’amena, au bout d’une heure environ, à se
lancer dans la narration de l’histoire qui va suivre. Je n’en ai pratiquement rien changé, si ce
n’est quelques broderies concernant les scènes sexuelles que la pudeur de l’homme empêchait de
décrire.
Je n’en garantis pas la véracité totale de l’histoire – peut-être que les vapeurs d’alcool ont pu
déformer quelques unes des scènes racontées – mais je suis convaincu que l’aventure dans ses grandes
lignes – et même dans la plupart de ses détails – est véridique.
Au lecteur d’en juger.
Gérache
Quand Natacha (tout le monde, son mari en premier, l’appelait toujours comme cela, alors que ce
n’était que le diminutif de Natalia son véritable prénom) m’apparut pour la première fois – c’était
au début de l’été 1969 - je reçus une espèce de gifle, tant elle était belle et bandante. Elle était
fièrement accrochée au bras de Djaffar mon grand frère. Ils venaient de débarquer de Leningrad
(l’actuelle Saint Petersburg) en Russie – Alors URSS - où il venait de terminer des études
d’ingénieur et où il avait rencontré et épousé Natacha.
J’avais immédiatement flashé sur elle; bien que je comprisse, tout aussi immédiatement que j’étais
entrain de franchir une ligne rouge en ayant de mauvaises pensées envers celle qui était ma belle
sœur, la femme de mon frère. Mais aucune force au monde n’aurait pu m’empêcher d’admirer cette belle
plante que le hasard avait transformé en ma belle-sœur et avait transporté en Algérie, dans la
maison de mes parents.
Elle était excessivement belle; une vraie beauté slave : grande, blonde, plantureuse à souhait, avec
des rondeurs à faire bander un aveugle et…le nez en trompette, si caractéristique des slaves.
J’avais toujours trouvé que les nez retroussés dépareillaient les visages des femmes et les
enlaidissaient. Mais chez Natacha, c’était lui qui donnait du caractère à son visage ovale, avec
des pommettes saillantes, une grande bouche gourmande entourée de lèvres admirablement ourlée et
pleines. Elle avait aussi un menton nettement dessiné, donnant à la femme une très forte impression
de volonté et de vigueur. Elle avait aussi un long cou gracieux, blanc et lisse, négligemment posé
entre deux superbes épaules larges et rondes. Et sa peau était lumineuse, d’un blanc presque laiteux
et dont j’imaginais qu’elle était d’une douceur de soie.
Ils étaient venus habiter dans la grande maison familiale d’Alger dans laquelle nous vivions mes
parents et moi. Mes parents avaient gardé la chambre de Djaffar et l’avaient réaménagée pour qu’elle
accueille le couple. Il s’y installa jusqu’au moment où mon père qui venait de terminer la
construction d’une immense villa au village en Kabylie, et avait décidé d’y emménager avec ma mère
et d’y passer le reste de leur existence. Ils avaient laissé la maison d’Alger sous la
responsabilité de Djaffar et de sa femme. Moi j’étais encore trop jeune –j’étais encore lycéen -
pour pouvoir assumer la moindre responsabilité.
Tout le temps que mes parents étaient encore là, tout le monde vécut en parfaite harmonie. Enfin pas
si parfaite que cela, puisque dans la discrétion de mes nuits, la beauté aguichante de ma belle-sœur
m’avait amené très souvent à faire des rêves érotiques dans lesquelles elle était le personnage
principal. Je me réveillais baignant dans la sueur, avec le slip souillé. Au réveil, j’en éprouvais
de la honte, tout en ayant en moi la bizarre impression d’avoir été très heureux dans mon rêve. Et
pratiquement toutes les nuits, je m’endormais avec le secret espoir de rêver encore de Natacha.
…/…
Les choses avaient commencé à réellement mal tourner quand mes parents avaient déménagé et que je me
suis retrouvé seul face à Natacha. Pendant toute l’année qu’elle avait passée avec mes parents,
Natacha avait été très discrète dans sa manière de s’habiller à la maison ; elle ne portait que des
peignoirs ou des survêtements amples qui gommaient quelque peu ses formes aguichantes. Et même dans
son comportement avec son mari, elle évitait toutes formes d’exhibition. Elle avait été certainement
briefée par Djaffar qui lui avait expliqué que la pudeur était une des règles de base de notre
société.
Mais dès le lendemain du jour où mes parents avaient quitté les lieux, le comportement de Natacha
devenait volontairement – et pour des raisons, qu’aujourd’hui encore j’ignore - de plus en plus
aguichant. Elle ne portait plus que des robes d’intérieur très courtes, et très moulantes qui
laissaient entrevoir pratiquement tous ses appâts – et quels appâts ! Plus grave encore, pour mes
sens à fleur de peau, elle était devenue très bruyante quand elle faisait l’amour avec son mari.
Elle ne me laissait absolument rien ignorer de tout ce qu’ils faisaient au lit son mari et elle.
Elle parlait (la plupart du temps en russe !) et criait de manière à ce que j’entende absolument
tout. J’avais le sentiment qu’elle le faisait exprès pour que j’entende tout. Et que cela n’avait
d’autre but que de m’exciter et mettre mes nerfs à fleur de peau. J’entendais son mari – beaucoup
plus discret – lui demander de baisser la voix pour ne pas être entendue, mais cela ne produisait
aucun effet, sinon un effet pervers qui la faisait crier encore plus fort. Je ne comprenais pas
pourquoi elle faisait cela ; pourquoi elle aimait m’exciter comme cela. Mon frère était beaucoup
plus beau et plus fort que moi. Il savait certainement mieux faire l’amour que moi, qui était encore
un novice en la matière ; presque un puceau.
Je me disais qu’il s’agissait chez elle d’un jeu pervers qu’elle jouait pour m’exciter et m’amener à
penser à elle autrement que comme une parente intouchable. Elle voulait m’amener à penser à elle
comme à une femme fatale, un symbole sexuel, auquel je ne pouvais plus penser sans avoir envie
d’elle. Et de fait, je passais presque toutes mes nuits à me masturber énergiquement, en pensant à
elle ; rien qu’à elle. J’avais bien essayé quelques fois de penser à une autre femme – une copine de
classe, une belle cousine à qui je faisais la cour, ou même une vamp de cinéma – rien n’y faisait ;
Natacha revenait obstinément occuper mes pensées. Et même quand je m’endormais, c’était encore elle
qui venait squatter les rêves érotiques que je faisais à profusion.
Et les draps du lit portaient invariablement les stigmates de mes rêves érotiques et de mes
masturbations effrénées. Chaque matin, honteux, je mettais les draps dans la machine à laver,
espérant que Natacha, avant de la mettre en marche n’allait pas les en sortir pour admirer les
traces de souillures qui lui prouveraient le pouvoir qu’elle avait sur moi. Mais j’étais convaincu
qu’elle le faisait systématiquement et qu’elle jubilait en voyant le résultat de ses machinations
machiavéliques.
En effet, j’avais souvent remarqué qu’elle me regardait avec un sourire ironique et un regard en
coin provoquant. Je ne savais absolument pas comment me comporter avec elle. Chaque fois que je
pensais à elle, je bandais comme un âne. Et j’en avais honte. Et puis, goutte d’eau qui avait fait
déborder le vase – du moins en ce qui me concernait – un matin, après le départ de mon frère pour
son travail, elle était venue me provoquer dans ma chambre, vêtue d’une toute petite tenue – je me
appelle encore aujourd’hui de cette nuisette violette et transparente qui laissait absolument tout
voir de son merveilleux corps.
Dans son français encore approximatif elle m’avait dit qu’elle s’ennuyait à ne rien faire de toute
la journée. Elle ne m’avait pas dit directement qu’elle cherchait à avoir une aventure avec moi
mais, tout jeune et naïf que je fus, je savais qu’il ne pouvait s’agir que de cela. J’avais une
folle envie de céder à mes plus bas instincts : je voulais faire l’amour avec cette femme. Je
voulais la tirer comme une chienne. Je connaissais – pour l’avoir entendue presque toutes les nuits,
crier son désir et son plaisir à son mari, combien elle était chaude et combien elle adorait se
faire tirer en puissance. Je l’avais entendue gémir et hurler de plaisir tant de fois que je
connaissais absolument tout ce qu’elle aimait faire et qu’on lui fasse quand elle faisait l’amour.
J’étais convaincu que j’étais en mesure de la contenter et de la faire jouir au moins aussi bien que
mon frère.
Mais, je n’arrivais pas à oublier qu’elle était la femme de Djaffar, mon frère, et qu’il m’était
moralement interdit de faire quoi que ce soit avec elle. Pas même en pensée. Je me levai donc d’un
bond. Je dormais toujours torse nu et en pantalon de pyjama et je savais qu’elle ne pouvait pas ne
pas avoir vu – à la bosse indécente que faisait mon sexe sur le devant du pantalon de pyjama – que
je bandais très fortement pour elle. Je me sauvai littéralement vers la salle de bain, pour y
prendre une douche très froide pour me calmer et je revins en vitesse dans ma chambre pour y
chercher de quoi m’habiller. Natacha était encore dans la chambre, assise sur le bord du lit, les
jambes écartées pour me montrer qu’elle n’avait même pas mis de culotte et qu’elle était en chaleur.
Elle avait un sourire ironique sur les lèvres. Je ne pus m’empêcher de regarder cette superbe
chatte, offerte à mon regard d’adolescent encore boutonneux, que je voyais briller et palpiter sous
mes yeux exorbités. Je n’avais encore jamais rien vu de plus beau. La seule chatte que je voyais
assez régulièrement était celle de la petite amie que j’avais à cette époque. Mais elle n’avait rien
de comparable avec la vulve, longue, brune et totalement épilée de Natacha. Celle de ma petite amie
était encore une chatte de jeune fille, cachée totalement par sa toison noire et drue.
- Pourquoi toi fuir Natacha ? Pourquoi pas vouloir faire amour avec moi ?
- Tu es la femme de mon frère ! Je ne peux pas baiser ma belle-sœur !
- Toi vouloir baiser ! Toi bander très fort ! Toi vouloir chatte Natacha ! Regarde ! Très
belle ! Très mouillée ! Viens !
Je ne sais toujours pas d’où j’avais pu tirer la force de résister à mes pulsions sexuelles. Je
voulais vraiment lui faire l’amour; autant pour la satisfaire, elle, que pour prendre mon plaisir en
elle. J’avais ressenti cet appel à venir la tirer comme une prière : j’avais ressenti chez elle
comme un besoin irrépressible de faire l’amour, pour éteindre un incendie qui était entrain de la
consumer. Elle avait vraiment besoin d’un homme pour l’emmener vers les plus hauts sommets du
plaisir sexuel. Je plaignais secrètement mon frère qui n’arrivait pas à satisfaire complètement sa
femme. Peut-être me dis-je que Natacha était une nymphomane et qu’il était impossible à un homme
normalement constitué de la satisfaire. J’avais recommencé à bander très fortement. Mais ma
conscience prit le dessus : je ramassai en vitesses mes habits qui traînaient à côté de mon lit,
retournai dans la salle de bain pour m’habiller à l’abri du regard de Natacha et quittai
précipitamment la maison.
Depuis, je vécus un véritable enfer pour mes sens. Je n’arrêtais pas de penser au corps et à la
chatte de Natacha, dont l’image était restée profondément gravée dans mon esprit. Je bandais presque
en permanence et ne trouvais de repos que dans la masturbation effrénée, en ne pensant qu’à la femme
de mon frère. Mes draps étaient constamment souillés et je devais les changer quotidiennement. Je
continuais à les jeter chaque matin dans la machine à laver le linge, tout en sachant que c’était ma
belle-sœur qui la ferait marcher, et quelle découvrirait ainsi chaque jour combien, elle m’excitait
et combien j’avais, encore et toujours, envie d’elle.
J’évitais de me retrouver seul avec elle et je sortais très tôt le matin – en même temps que Djaffar
– et ne rentrais que tard le soir. Je vécus ainsi toute une année – l’année du bac – jusqu’au moment
où je partis en France faire des études d’ingéniorat. Pendant toute cette année, j’avais fait en
sorte de ne jamais me retrouver seul avec Natacha. Je n’avais donc pas eu à réprimer mon désir de
la sauter. Mais cela ne m’empêchait pas de penser constamment à elle et de ressentir un désir de
plus en plus fort pour ma belle-sœur. Cela devenait parfois insoutenable.
A l’époque j’avais une petite amie – une lycéenne comme moi – qui me trouvait à son goût et avec
laquelle je flirtais beaucoup. Chaque fois que cela était possible (quand elle acceptait de m’amener
chez elle, en l’absence de ses parents) j’essayais de prendre un peu de plaisir en la caressant et
en éjaculant sur elle, après une séance de pinceau (une sorte de masturbation de la chatte de la
fille avec mon engin) et une fellation d’enfer. Mais le plaisir, réel, que je prenais avec ma petite
amie n’arrivait pas à chasser de mon esprit l’image de la superbe chatte de Natacha et ne me
satisfaisait que très imparfaitement. Elle était toujours présente dans mon esprit et continuait à
mettre le feu à mes sens.
Natacha était entretemps tombée enceinte et avait mis au monde – deux mois à peine avant que je ne
parte en France – un petit garçon. Deux années plus tard, j’appris qu’elle venait de donner
naissance à un deuxième bébé : cette fois-ci, c’était une fille.
…/…
Je passais en en tout huit ans à Toulouse, en France, où je poursuivis des études d’ingéniorat en
génie chimique qui me menèrent jusqu’au doctorat. Toutes ces années là, j’avais petit à petit oublié
Natacha et le désir fou d’en faire ma maîtresse qu’elle avait mis en moi. Les études, ainsi que les
quelques petites amies que j’eues au cours de toute cette période, m’avaient progressivement éloigné
de mon obsession pour ma belle-sœur. Elle était devenue une espèce d’image floue dans ma mémoire,
sans pour autant avoir totalement disparu.
Une fois mes études terminées, j’avais décidé de rentrer au pays –malgré les réelles possibilités
qui m’étaient offertes d’intégrer un laboratoire de recherche à l’Université de Toulouse. Mais il me
fallait, avant d’intégrer l’université de Bab Ezzouar où un poste intéressant d’enseignant chercheur
m’attendait, que je passasse mes deux années obligatoires de service militaire, qui venait juste
d’être institué. Pour je ne sais quelle obscure raison, je décidais de rejoindre directement
l’Académie Interarmes de Cherchell, sans passer par la case maison. J’y passais les premiers
quarante-cinq jours sans une seule journée de permission (c’était la règle !). Et au bout de cette
période d’acclimatation à la vie militaire, l’Ecole nous accorda quatre jours de permission qui
commençaient un mercredi soir et devait se terminer le dimanche suivant à minuit. Je décidais donc
de passer ces journées de liberté dans la maison d’Alger.
Allez savoir pourquoi, je n’avais pas décidé de rejoindre mes parents en Kabylie ! Pour être tout à
fait honnête, au cours des quarante-cinq jours où j’étais enfermé dans la caserne, sans aucune
possibilité de sortie, je me suis remis à penser à Natacha, que je sentais géographiquement proche.
Je m’étais remis à rêver d’elle. C’était certainement l’effet de l’absence de relations sexuelles
pendant ces dures journées d’instruction militaire. J’avais même fait – avec deux camarades - le mur
un soir pour aller à la maison close de la ville, mais nous nous étions très vite fait attraper par
la police militaire qui patrouillait autour de l’endroit. Nous nous sommes finalement retrouvés au
trou (la cellule de la prison militaire de la caserne) pour huit nuits d’affilée.
…/…
L’histoire qui suit peut être très justement considérée comme une histoire de bistrot. Elle m’a été
racontée par un homme – la soixantaine bien sonnée – qui buvait seul à la terrasse d’un bar-
restaurant dans la petite station balnéaire du Figuier, à une cinquantaine de kilomètre à l’est
d’Alger. J’avais mes habitudes dans cet établissement dans lequel, je venais souvent m’évader pour
regarder la mer et boire quelques bières avec des amis.
Ce jour-là, j’étais seul. En arrivant - vers quatorze heures, bien plus tôt qu’à mon habitude -
j’avais remarqué un homme seul, attablé devant les restes d’un repas et sirotant un ballon de vin.
Je ne sais pas trop pourquoi, mais j’avais été immédiatement attiré par cet homme : peut-être parce
qu’il était seul ; peut-être parce qu’il avait l’air un peu perdu ; peut-être aussi parce qu’il
semblait totalement plongé dans des pensées qui ne devaient être toutes roses. Je voyais qu’il ne
s’intéressait à rien d’autre qu’à ses pensées et au contenu de son verre de vin qu’il sirotait
lentement. La mer, qui pourtant, était d’une beauté à couper le souffle, ne semblait pas
l’intéresser.
Je vins m’assoir à la table à côté de la sienne et ne put m’empêcher de le questionner sur la
qualité du vin qu’il buvait.
- Il est vraiment divin ! Je vous le conseille ! Vous m’en direz des nouvelles ! D’ailleurs
vous pouvez le goutter immédiatement !
Et sans autre forme de procès, il remplit un des verres à vin non utilisés qui se trouvaient sur sa
table, le remplit à moitié et me le tendit.
- Goûtez-moi ce nectar !
Et effectivement, il était délicieux. Moi qui ne suis pas un grand buveur de vin – je préférais la
bière – je commandais, à la grande surprise du serveur qui connaissait mes goûts et qui était sur
le point de me servir ma bière préférée, la même bouteille de vin que mon voisin. Ce fut comme cela
que s’enclencha entre Alilou et moi, la discussion qui l’amena, au bout d’une heure environ, à se
lancer dans la narration de l’histoire qui va suivre. Je n’en ai pratiquement rien changé, si ce
n’est quelques broderies concernant les scènes sexuelles que la pudeur de l’homme empêchait de
décrire.
Je n’en garantis pas la véracité totale de l’histoire – peut-être que les vapeurs d’alcool ont pu
déformer quelques unes des scènes racontées – mais je suis convaincu que l’aventure dans ses grandes
lignes – et même dans la plupart de ses détails – est véridique.
Au lecteur d’en juger.
Gérache
Quand Natacha (tout le monde, son mari en premier, l’appelait toujours comme cela, alors que ce
n’était que le diminutif de Natalia son véritable prénom) m’apparut pour la première fois – c’était
au début de l’été 1969 - je reçus une espèce de gifle, tant elle était belle et bandante. Elle était
fièrement accrochée au bras de Djaffar mon grand frère. Ils venaient de débarquer de Leningrad
(l’actuelle Saint Petersburg) en Russie – Alors URSS - où il venait de terminer des études
d’ingénieur et où il avait rencontré et épousé Natacha.
J’avais immédiatement flashé sur elle; bien que je comprisse, tout aussi immédiatement que j’étais
entrain de franchir une ligne rouge en ayant de mauvaises pensées envers celle qui était ma belle
sœur, la femme de mon frère. Mais aucune force au monde n’aurait pu m’empêcher d’admirer cette belle
plante que le hasard avait transformé en ma belle-sœur et avait transporté en Algérie, dans la
maison de mes parents.
Elle était excessivement belle; une vraie beauté slave : grande, blonde, plantureuse à souhait, avec
des rondeurs à faire bander un aveugle et…le nez en trompette, si caractéristique des slaves.
J’avais toujours trouvé que les nez retroussés dépareillaient les visages des femmes et les
enlaidissaient. Mais chez Natacha, c’était lui qui donnait du caractère à son visage ovale, avec
des pommettes saillantes, une grande bouche gourmande entourée de lèvres admirablement ourlée et
pleines. Elle avait aussi un menton nettement dessiné, donnant à la femme une très forte impression
de volonté et de vigueur. Elle avait aussi un long cou gracieux, blanc et lisse, négligemment posé
entre deux superbes épaules larges et rondes. Et sa peau était lumineuse, d’un blanc presque laiteux
et dont j’imaginais qu’elle était d’une douceur de soie.
Ils étaient venus habiter dans la grande maison familiale d’Alger dans laquelle nous vivions mes
parents et moi. Mes parents avaient gardé la chambre de Djaffar et l’avaient réaménagée pour qu’elle
accueille le couple. Il s’y installa jusqu’au moment où mon père qui venait de terminer la
construction d’une immense villa au village en Kabylie, et avait décidé d’y emménager avec ma mère
et d’y passer le reste de leur existence. Ils avaient laissé la maison d’Alger sous la
responsabilité de Djaffar et de sa femme. Moi j’étais encore trop jeune –j’étais encore lycéen -
pour pouvoir assumer la moindre responsabilité.
Tout le temps que mes parents étaient encore là, tout le monde vécut en parfaite harmonie. Enfin pas
si parfaite que cela, puisque dans la discrétion de mes nuits, la beauté aguichante de ma belle-sœur
m’avait amené très souvent à faire des rêves érotiques dans lesquelles elle était le personnage
principal. Je me réveillais baignant dans la sueur, avec le slip souillé. Au réveil, j’en éprouvais
de la honte, tout en ayant en moi la bizarre impression d’avoir été très heureux dans mon rêve. Et
pratiquement toutes les nuits, je m’endormais avec le secret espoir de rêver encore de Natacha.
…/…
Les choses avaient commencé à réellement mal tourner quand mes parents avaient déménagé et que je me
suis retrouvé seul face à Natacha. Pendant toute l’année qu’elle avait passée avec mes parents,
Natacha avait été très discrète dans sa manière de s’habiller à la maison ; elle ne portait que des
peignoirs ou des survêtements amples qui gommaient quelque peu ses formes aguichantes. Et même dans
son comportement avec son mari, elle évitait toutes formes d’exhibition. Elle avait été certainement
briefée par Djaffar qui lui avait expliqué que la pudeur était une des règles de base de notre
société.
Mais dès le lendemain du jour où mes parents avaient quitté les lieux, le comportement de Natacha
devenait volontairement – et pour des raisons, qu’aujourd’hui encore j’ignore - de plus en plus
aguichant. Elle ne portait plus que des robes d’intérieur très courtes, et très moulantes qui
laissaient entrevoir pratiquement tous ses appâts – et quels appâts ! Plus grave encore, pour mes
sens à fleur de peau, elle était devenue très bruyante quand elle faisait l’amour avec son mari.
Elle ne me laissait absolument rien ignorer de tout ce qu’ils faisaient au lit son mari et elle.
Elle parlait (la plupart du temps en russe !) et criait de manière à ce que j’entende absolument
tout. J’avais le sentiment qu’elle le faisait exprès pour que j’entende tout. Et que cela n’avait
d’autre but que de m’exciter et mettre mes nerfs à fleur de peau. J’entendais son mari – beaucoup
plus discret – lui demander de baisser la voix pour ne pas être entendue, mais cela ne produisait
aucun effet, sinon un effet pervers qui la faisait crier encore plus fort. Je ne comprenais pas
pourquoi elle faisait cela ; pourquoi elle aimait m’exciter comme cela. Mon frère était beaucoup
plus beau et plus fort que moi. Il savait certainement mieux faire l’amour que moi, qui était encore
un novice en la matière ; presque un puceau.
Je me disais qu’il s’agissait chez elle d’un jeu pervers qu’elle jouait pour m’exciter et m’amener à
penser à elle autrement que comme une parente intouchable. Elle voulait m’amener à penser à elle
comme à une femme fatale, un symbole sexuel, auquel je ne pouvais plus penser sans avoir envie
d’elle. Et de fait, je passais presque toutes mes nuits à me masturber énergiquement, en pensant à
elle ; rien qu’à elle. J’avais bien essayé quelques fois de penser à une autre femme – une copine de
classe, une belle cousine à qui je faisais la cour, ou même une vamp de cinéma – rien n’y faisait ;
Natacha revenait obstinément occuper mes pensées. Et même quand je m’endormais, c’était encore elle
qui venait squatter les rêves érotiques que je faisais à profusion.
Et les draps du lit portaient invariablement les stigmates de mes rêves érotiques et de mes
masturbations effrénées. Chaque matin, honteux, je mettais les draps dans la machine à laver,
espérant que Natacha, avant de la mettre en marche n’allait pas les en sortir pour admirer les
traces de souillures qui lui prouveraient le pouvoir qu’elle avait sur moi. Mais j’étais convaincu
qu’elle le faisait systématiquement et qu’elle jubilait en voyant le résultat de ses machinations
machiavéliques.
En effet, j’avais souvent remarqué qu’elle me regardait avec un sourire ironique et un regard en
coin provoquant. Je ne savais absolument pas comment me comporter avec elle. Chaque fois que je
pensais à elle, je bandais comme un âne. Et j’en avais honte. Et puis, goutte d’eau qui avait fait
déborder le vase – du moins en ce qui me concernait – un matin, après le départ de mon frère pour
son travail, elle était venue me provoquer dans ma chambre, vêtue d’une toute petite tenue – je me
appelle encore aujourd’hui de cette nuisette violette et transparente qui laissait absolument tout
voir de son merveilleux corps.
Dans son français encore approximatif elle m’avait dit qu’elle s’ennuyait à ne rien faire de toute
la journée. Elle ne m’avait pas dit directement qu’elle cherchait à avoir une aventure avec moi
mais, tout jeune et naïf que je fus, je savais qu’il ne pouvait s’agir que de cela. J’avais une
folle envie de céder à mes plus bas instincts : je voulais faire l’amour avec cette femme. Je
voulais la tirer comme une chienne. Je connaissais – pour l’avoir entendue presque toutes les nuits,
crier son désir et son plaisir à son mari, combien elle était chaude et combien elle adorait se
faire tirer en puissance. Je l’avais entendue gémir et hurler de plaisir tant de fois que je
connaissais absolument tout ce qu’elle aimait faire et qu’on lui fasse quand elle faisait l’amour.
J’étais convaincu que j’étais en mesure de la contenter et de la faire jouir au moins aussi bien que
mon frère.
Mais, je n’arrivais pas à oublier qu’elle était la femme de Djaffar, mon frère, et qu’il m’était
moralement interdit de faire quoi que ce soit avec elle. Pas même en pensée. Je me levai donc d’un
bond. Je dormais toujours torse nu et en pantalon de pyjama et je savais qu’elle ne pouvait pas ne
pas avoir vu – à la bosse indécente que faisait mon sexe sur le devant du pantalon de pyjama – que
je bandais très fortement pour elle. Je me sauvai littéralement vers la salle de bain, pour y
prendre une douche très froide pour me calmer et je revins en vitesse dans ma chambre pour y
chercher de quoi m’habiller. Natacha était encore dans la chambre, assise sur le bord du lit, les
jambes écartées pour me montrer qu’elle n’avait même pas mis de culotte et qu’elle était en chaleur.
Elle avait un sourire ironique sur les lèvres. Je ne pus m’empêcher de regarder cette superbe
chatte, offerte à mon regard d’adolescent encore boutonneux, que je voyais briller et palpiter sous
mes yeux exorbités. Je n’avais encore jamais rien vu de plus beau. La seule chatte que je voyais
assez régulièrement était celle de la petite amie que j’avais à cette époque. Mais elle n’avait rien
de comparable avec la vulve, longue, brune et totalement épilée de Natacha. Celle de ma petite amie
était encore une chatte de jeune fille, cachée totalement par sa toison noire et drue.
- Pourquoi toi fuir Natacha ? Pourquoi pas vouloir faire amour avec moi ?
- Tu es la femme de mon frère ! Je ne peux pas baiser ma belle-sœur !
- Toi vouloir baiser ! Toi bander très fort ! Toi vouloir chatte Natacha ! Regarde ! Très
belle ! Très mouillée ! Viens !
Je ne sais toujours pas d’où j’avais pu tirer la force de résister à mes pulsions sexuelles. Je
voulais vraiment lui faire l’amour; autant pour la satisfaire, elle, que pour prendre mon plaisir en
elle. J’avais ressenti cet appel à venir la tirer comme une prière : j’avais ressenti chez elle
comme un besoin irrépressible de faire l’amour, pour éteindre un incendie qui était entrain de la
consumer. Elle avait vraiment besoin d’un homme pour l’emmener vers les plus hauts sommets du
plaisir sexuel. Je plaignais secrètement mon frère qui n’arrivait pas à satisfaire complètement sa
femme. Peut-être me dis-je que Natacha était une nymphomane et qu’il était impossible à un homme
normalement constitué de la satisfaire. J’avais recommencé à bander très fortement. Mais ma
conscience prit le dessus : je ramassai en vitesses mes habits qui traînaient à côté de mon lit,
retournai dans la salle de bain pour m’habiller à l’abri du regard de Natacha et quittai
précipitamment la maison.
Depuis, je vécus un véritable enfer pour mes sens. Je n’arrêtais pas de penser au corps et à la
chatte de Natacha, dont l’image était restée profondément gravée dans mon esprit. Je bandais presque
en permanence et ne trouvais de repos que dans la masturbation effrénée, en ne pensant qu’à la femme
de mon frère. Mes draps étaient constamment souillés et je devais les changer quotidiennement. Je
continuais à les jeter chaque matin dans la machine à laver le linge, tout en sachant que c’était ma
belle-sœur qui la ferait marcher, et quelle découvrirait ainsi chaque jour combien, elle m’excitait
et combien j’avais, encore et toujours, envie d’elle.
J’évitais de me retrouver seul avec elle et je sortais très tôt le matin – en même temps que Djaffar
– et ne rentrais que tard le soir. Je vécus ainsi toute une année – l’année du bac – jusqu’au moment
où je partis en France faire des études d’ingéniorat. Pendant toute cette année, j’avais fait en
sorte de ne jamais me retrouver seul avec Natacha. Je n’avais donc pas eu à réprimer mon désir de
la sauter. Mais cela ne m’empêchait pas de penser constamment à elle et de ressentir un désir de
plus en plus fort pour ma belle-sœur. Cela devenait parfois insoutenable.
A l’époque j’avais une petite amie – une lycéenne comme moi – qui me trouvait à son goût et avec
laquelle je flirtais beaucoup. Chaque fois que cela était possible (quand elle acceptait de m’amener
chez elle, en l’absence de ses parents) j’essayais de prendre un peu de plaisir en la caressant et
en éjaculant sur elle, après une séance de pinceau (une sorte de masturbation de la chatte de la
fille avec mon engin) et une fellation d’enfer. Mais le plaisir, réel, que je prenais avec ma petite
amie n’arrivait pas à chasser de mon esprit l’image de la superbe chatte de Natacha et ne me
satisfaisait que très imparfaitement. Elle était toujours présente dans mon esprit et continuait à
mettre le feu à mes sens.
Natacha était entretemps tombée enceinte et avait mis au monde – deux mois à peine avant que je ne
parte en France – un petit garçon. Deux années plus tard, j’appris qu’elle venait de donner
naissance à un deuxième bébé : cette fois-ci, c’était une fille.
…/…
Je passais en en tout huit ans à Toulouse, en France, où je poursuivis des études d’ingéniorat en
génie chimique qui me menèrent jusqu’au doctorat. Toutes ces années là, j’avais petit à petit oublié
Natacha et le désir fou d’en faire ma maîtresse qu’elle avait mis en moi. Les études, ainsi que les
quelques petites amies que j’eues au cours de toute cette période, m’avaient progressivement éloigné
de mon obsession pour ma belle-sœur. Elle était devenue une espèce d’image floue dans ma mémoire,
sans pour autant avoir totalement disparu.
Une fois mes études terminées, j’avais décidé de rentrer au pays –malgré les réelles possibilités
qui m’étaient offertes d’intégrer un laboratoire de recherche à l’Université de Toulouse. Mais il me
fallait, avant d’intégrer l’université de Bab Ezzouar où un poste intéressant d’enseignant chercheur
m’attendait, que je passasse mes deux années obligatoires de service militaire, qui venait juste
d’être institué. Pour je ne sais quelle obscure raison, je décidais de rejoindre directement
l’Académie Interarmes de Cherchell, sans passer par la case maison. J’y passais les premiers
quarante-cinq jours sans une seule journée de permission (c’était la règle !). Et au bout de cette
période d’acclimatation à la vie militaire, l’Ecole nous accorda quatre jours de permission qui
commençaient un mercredi soir et devait se terminer le dimanche suivant à minuit. Je décidais donc
de passer ces journées de liberté dans la maison d’Alger.
Allez savoir pourquoi, je n’avais pas décidé de rejoindre mes parents en Kabylie ! Pour être tout à
fait honnête, au cours des quarante-cinq jours où j’étais enfermé dans la caserne, sans aucune
possibilité de sortie, je me suis remis à penser à Natacha, que je sentais géographiquement proche.
Je m’étais remis à rêver d’elle. C’était certainement l’effet de l’absence de relations sexuelles
pendant ces dures journées d’instruction militaire. J’avais même fait – avec deux camarades - le mur
un soir pour aller à la maison close de la ville, mais nous nous étions très vite fait attraper par
la police militaire qui patrouillait autour de l’endroit. Nous nous sommes finalement retrouvés au
trou (la cellule de la prison militaire de la caserne) pour huit nuits d’affilée.
…/…
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Les avis des lecteurs
Histoire très bien écrite et captivante : j'attends la suite avec impatience!