Natacha, La belle-sœur russe - 2/2
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Natacha, La belle-sœur russe - 2/2
Quand je sonnais à la porte de l’appartement, ce fut Natacha qui m’ouvrit. D’un coup, tout m’était
revenu : sa beauté, son corps de Vénus et l’image, toujours aussi présente dans ma mémoire, de sa
superbe chatte ! Et avec ces souvenirs, l’envie d’elle qui était redevenue oppressante. Elle avait
autant de chien qu’auparavant ! Elle était vêtue d’un fin peignoir en soie, très moulant, qui lui
arrivait à mi-cuisse et qui laissait nues ses magnifiques jambes. Il moulait son corps qui n’avait
rien perdu de ses appâts d’autrefois. Certes elle avait un peu empâté au niveau de la taille – à
cause de ses deux grossesses et de la cuisine algérienne trop riche en calories – mais elle n’avait
ni trop grossi (peut-être un peu des hanches, qui s’étaient élargies) ni n’avait pris de rides. Elle
était restée exactement la même femme que celle qui était arrivée une dizaine d’années auparavant,
fièrement accrochée aux bras de son mari.
- Bonjour Rafik ! Tu es superbe ! Cela fait longtemps que je ne t’ai vu. L’armée te réussit
très bien ! Entre ! Djaffar est à son travail, il ne rentrera que vers vingt et une heures. Je te
présente tes neveux : Sofiane, il a huit ans ! Shéhérazade, six ans. Dites bonjour à votre tonton !
Ils dirent bonjours en m’embrassant puis partirent chacun dans sa chambre faire leurs devoirs, nous
laissant seuls, leur maman et moi. Natacha parlait maintenant très correctement le français. En
huit ans elle avait fait d’énormes progrès ; y compris dans l’accent qui avait perdu son aspect
rocailleux. Je la félicitais pour ses progrès. Elle prit cela pour un vrai compliment et m’apprit
qu’elle parlait aussi très bien l’arabe algérien.
Je ne savais pas exactement ce que je ressentais à ce moment là. Tout était flou en moi. J’avais le
cœur qui battait très vite au moment où j’avais appuyé sur la sonnette et encore plus vite quand
elle m’ouvrit la porte. Je la dévorais des yeux, presque de manière impudique et gênante. Elle me
regardait aussi avec la même intensité. Je venais de découvrir qu’elle avait encore le pouvoir de
m’émouvoir et de me mettre mal à l’aise. Et je sentais qu’elle aussi était très émue.
Elle me prit par la main et m’emmena vers le salon qu’elle avait décoré avec beaucoup de goût. Elle
avait remplacé l’ancien mobilier par de nouveaux meubles en chêne massif, de style berbère. Contre
le mur du fond, trônait un immense canapé vers lequel Natacha m’entraîna et me fit assoir. Je lui
obéissais comme un automate, sans rien dire. J’avais l’esprit complètement brumeux et la volonté
partie à la dérive. Elle vint s’assoir à côté de moi, sans lâcher ma main qu’elle tenait depuis que
les enfants étaient partis dans leurs chambres. Elle me regardait franchement avec ses immenses yeux
bleus. Elle avait la bouche entrouverte, comme si elle quémandait un baiser et je voyais ses narines
palpiter. J’étais aussi ému qu’un jeune collégien qui se retrouvait pour la première fois seul avec
sa dulcinée. Elle me dévisageait de manière presque impudique et souriait en me parlant.
- Tu es devenu encore plus beau ! J’avais gardé de toi une image de jeune homme déjà très bien
de sa personne et voila que tu es devenu un magnifique homme mûr, fort et viril. Tu es à croquer !
Tu me plais encore plus qu’avant ! J’ai mis beaucoup de temps à me remettre de ton dédain d’il y a
huit ou neuf ans. Et je me suis remise à penser à toi, quand Djaffar m’a annoncé ton retour. Je me
suis remise à mouiller pour toi ! Tu veux voir ?
- Allons, tu ne vas pas recommencer ! N’oublie pas que tu es toujours la femme de mon frère !
Je lui dois du respect ! Et toi aussi !
- Bien sûr que nous lui devons du respect ! Mais cela n’empêche pas que tu as envie de moi !
Je sais lire dans tes yeux ! Tu as autant envie de moi, maintenant, que quand tu vivais ici ! Je
sais que je te plais ! Que tu me trouves belle et bandante ! que tu bandes comme un âne rien qu’en
pensant moi ! Tu as envie de me sauter ici, tout de suite ! Il n’y a que ta conscience qui
t’empêche de le faire ! Je suis sûre que si je tâte le devant de ton pantalon, je découvrirais que
tu bandes comme un âne ! Ose dire non !
- Vraiment tu me gênes ! Je crois que je vais m’en aller ! Ce serait beaucoup plus sage pour
nous deux ! Je vais aller passer ma permission en Kabylie chez mes parents !
- Non ! Il n’en est pas question ! Je ne vais pas te laisser partir ! Je ne referais pas la
même chose qu’il y a des années ! Je te tiens et je ne te lâcherai pas ! Tu resteras avec moi et tu
passeras toutes tes autres permissions avec moi ! Et tu me feras l’amour ! E t tu me donneras tout
le plaisir que j’attends de toi !
- Tu es vraiment folle ! Il est impossible que tu deviennes ma maîtresse ! Et moi ton amant !
Tout l’interdit ! La loi et surtout la morale ! Je ne peux pas faire cela à mon propre frère ! Il ne
mérite pas ça !
- Dis-moi que je ne te plais pas ! C’est la seule chose qui fera que j’abandonne l’idée de
faire l’amour ave toi ! Ose me dire, en me regardant droit dans les yeux, que tu n’as pas envie de
moi ! Que tu ne bandes pas pour moi ! En ce moment même je sens que ta queue est entrain de
frétiller d’impatience.
Je n’eus pas le loisir de lui répondre. D’ailleurs, je ne sais pas ce que j’aurais bien pu
développer comme arguments et comme mensonges pour l’amener à plus de sagesse. Djaffar venait
d’entrer dans la maison. Nous avions entendu le bruit de la clé dans la serrure, puis celui de la
porte qui s’ouvrait et qui se refermait et en quelques secondes, nous aperçûmes mon frère qui
pénétrait dans le salon. Je me levai d’un bond et courus vers lui pour l’embrasser. Je crois que
c’était la première fois que j’embrassais ainsi mon frère. J’étais content de le voir.
- L’armée te va très bien ! Tu semble avoir la forme olympique ! Tu devrais t’engager !
- Toi aussi tu sembles avoir la forme ! Content de te voir ! Et merci pour les colis que tu
m’as envoyés à la caserne !
Nous continuâmes à papoter ainsi, pendant que Natacha – qui avait gardée sa tenue aguichante – était
allée dans la cuisine s’occuper du dîner. Au bout de quelques minutes, elle réapparut pour nous
annoncer que la table était mise et que devions passer à table. Dans la cuisine, il y avait déjà les
enfants qui avaient commencé à manger. Le repas fut on ne peut plus étrange. Je n’arrêtais pas de
surveiller Natacha du coin de l’œil, pendant qu’elle aussi me dévorait de ses immenses yeux bleus,
avec sur les lèvres un sourire ironique.
Djaffar mangeait de bon appétit et avait l’humeur joyeuse. Il riait de tout et de n’importe quoi. Il
parlait avec les enfants de leurs devoirs et leur expliquait ce qu’ils n’avaient compris. Il
prenait de temps en temps la main de sa femme, qu’il caressait sans aucune gêne devant moi, et lui
lançait un sourire lumineux de mari heureux. Elle lui rendait le même sourire ; le sourire d’une
épouse comblée. Je me posais toutes sortes de questions sur ce couple bizarre. Je savais que mon
frère était vraiment heureux ave sa femme. Mais je me demandais si elle, elle l’était autant. J’en
doutais beaucoup en repensant à ses tentatives de faire de moi son amant. Mais quand je les voyais
ensemble, elle semblait réellement aimer son mari et être vraiment satisfaite de sa vie de couple.
Ce fut Djaffar qui le premier aborda le sujet de sa relation avec son épouse.
- Tu sais, Natacha est ce qui m’est arrivé de mieux dans ma vie ! Je n’ai jamais été aussi
heureux que depuis qu’elle est devenue ma femme ! Et puis regarde les beaux enfants qu’elle nous a
donnés ! Je ne dois pas te dire cela devant elle, parce qu’elle va prendre la grosse tête, mais tout
cela est vrai ! N’est-ce pas chérie !
- Toi aussi tu es un bon mari ! Un bon père ! Tu vois Rafik, ton frère est trop modeste ! Il
s’occupe des enfants beaucoup mieux que moi ! C’est lui qui les emmène tous les matins à l’école !
Rien que pour ne pas avoir à me réveiller ! Il surveille leur toilette du matin, les habits qu’ils
mettent, les affaires de l’école ! Et il leur prépare même leur petit déjeuner ! N’est-il pas
merveilleux ?
La discussion continua sur le même ton pendant tout le repas et même après, pour le thé que nous
prîmes dans le salon. Ils s’assirent en face de moi sur le grand fauteuil et se tenaient enlacés
pendant tout le temps que dura notre discussion. Vers minuit, nous allâmes tous dormir. Je repris
avec émotion, possession de ma chambre. Rien n’y avait été changé. J’essayais de m’endormir, mais le
sommeil me fuyait obstinément. Je n’arrêtais pas de penser à Natacha. J’étais vraiment perdu. D’un
côté je voulais cette femme et j’étais prêt à n’importe quelle bassesse pour l’avoir. D’un autre
côté, je pensais à mon frère qui était encore très amoureux de son épouse et qui ne méritait pas que
je lui fasse cette crasse de coucher avec elle. Et puis, soudain, j’entendis – comme il y avait plus
de huit ans maintenant – Natacha gémir et crier pendant qu’elle se faisait tirer par son mari.
Voila que cela recommençait ! La garce s’amusait à m’exciter et à mettre mes nerfs à bout. Et elle y
réussissait au-delà de tout ce qu’elle espérait. J’entendais mon frère qui essayait de la faire
taire pour ne pas me réveiller – et accessoirement réveiller les enfants. Mais rien n’y fit. Elle
continuait de hurler – en arabe – de continuer de la baiser de plus en plus fort. Et encore plus
fort ! Jusqu’au moment où elle poussa un râle d’enfer, signe - qui, j’en étais convaincu, m’était
adressé - qu’elle venait de jouir très fort.
Inutile de décrire dans quel état les ébats de Natacha et Djaffar m’avaient mis. Je me rendais
compte que j’étais entrain de devenir jaloux de mon frère, parce qu’il baisait et faisait jouir sa
femme ! Je voulais être à sa place ! Je voulais sa place ! La garce savait ce qu’elle faisait ! Elle
savait qu’elle avait gagnée ! Que plus jamais je ne refuserais de lui faire l’amour ! Que j’allais
devenir son esclave ! Et que je n’allais pas pouvoir m’endormir de toute la nuit, parce que
j’attendrais le matin pour qu’elle vienne me rejoindre ! Elle me l’avait indirectement annoncé dans
la cuisine, en m’expliquant que le matin, elle faisait la grasse matinée, pendant que son mari
s’occupait de tout et accompagnait les enfants à l’école, avant de se rendre lui-même à son travail.
Qu’elle allait donc être seule avec moi dans la maison pendant presque toute la journée !
…/…
Je réussis à m’endormir aux premières lueurs de l’aube. Ce fut Natacha qui me réveilla vers huit
heures, juste après que Djaffar et les enfants fussent partis. Ce fut la sensation du drap qui se
soulevait et d’un corps qui se glissait en dessous pour venir se coller à moi, qui me réveilla. Je
crus un moment que j’étais entrain de rêver. De rêver que Natacha, complètement nue, était entrain
de coller son merveilleux corps contre le mien et de glisser sa jambe droite entre mes cuisses pour
la frotter contre mon pubis et mon sexe enfermé dans le pantalon du pyjama que je portais. J’avais
la queue qui frétillait sous l’effet du frottement de la jambe. J’ouvris les yeux et je découvris la
réalité - encore plus belle que le rêve – de Natacha, complètement nue, allongée à mes côtés et
était entrain de me caresser avec tout son corps.
Je la vis, appuyée sur son avant bras gauche qui me regardait avec ses magnifiques yeux bleus et qui
me souriait, tout en continuant de me caresser l’entrecuisse avec sa cuisse droite. Quand elle vit
que j’avais ouvert les yeux, elle approcha sa tête de la mienne et me donna un léger baiser sur la
bouche. Elle avait l’haleine fraiche et agréable d’une femme qui venait de se brosser les dents et
dégageait une superbe odeur de propre – l’odeur très caractéristique d’une savonnette de luxe de
fabrication locale, qui avait un grand succès en ces temps là – indiquant qu’elle venait de prendre
une douche ou même un bain. Ses caresses sur mon entrecuisse et mon sexe se firent plus insistantes.
Elle me donna un deuxième baiser sur la bouche et se mit à parler.
- J’aime les hommes beaux et forts comme toi ! Il n’y a pas une seule trace de graisse sur toi
! Et tu as la peau très douce ! Je vais me régaler ! Je sais que ce matin tu ne me refuseras rien !
Tu nous as certainement entendus faire l’amour cette nuit ! Et je suis sûr que tu as bandé très fort
et que tu voulais être à la place de Djaffar !
- Oui ! J’ai même été jaloux et je n’ai pas pu dormir de toute la nuit ! Je ne veux plus qu’il
te touche ! Je veux que tu sois à moi ! Rien qu’à moi ! Tu es entrain de me rendre fou !
- Tu es entrain de bander très fort ! J’adore faire cet effet à un homme ! Depuis dix ans je
n’ai fait l’amour qu’avec mon mari ! Les hommes me manquent !
- Tu parles comme une pute !
- Qahba ! Dis-moi que je suis une qahba ! J’aime ce mot ! Je me sens l’âme d’une qahba ! Dis-
moi que tu vas me baiser comme une pute ! Une qahba !
J’étais perdu. Je ne savais pas quoi penser de cette femme. J’avais une telle envie d’elle ! D’un
autre part, le côté pute qu’elle était entrain de me montrer me gênait beaucoup. Je voulais bien
qu’elle couche avec moi, mais je refusais qu’elle me dise qu’elle avait envie d’autres hommes (que
moi, et à la rigueur, que mon frère). Elle vit, au visage fermé que je lui présentais, que j’étais
très fortement contrarié.
- Tu n’apprécies pas ce que je te dis ! Tu ne veux pas que je me comporte comme une pute ! Tu
sais ce n’est qu’un fantasme érotique chez moi ! Cela ne veut pas dire que je me donne à droite et à
gauche ! Je n’ai encore jamais trompé Djaffar ! Tu es le premier – et certainement le dernier ! Mais
j’ai, comme toutes les femmes des fantasmes ! Et être considérée et traitée comme une qahba, fait
partie de mes fantasmes les plus forts. Dis-moi que tu vas me traiter comme une pute ! Comme une
chienne ! Montre-moi ta belle queue ! Je la sens se trémousser sur ma cuisse ! Enlève ton pantalon
de pyjama ! Wahhhhhh ! Ach’hal kbiiiiiiir ! Ki el ghoul ! Ki t’aa el h’mar ! (Comme il est grand !
C’est un monstre ! C’est comme celui d’un âne !) Je vais bien le sentir ! Je le veux tout de suite
dans mon hatchoune !
Tout en parlant, elle tâtait et palpait l’engin qui n’arrêtait pas de frémir dans sa main. J’avais
effectivement un bel engin; les quelques femmes qui avaient été mes maîtresses l’avaient beaucoup
apprécié. Mais il me semblait (ce n’était certainement qu’une vue de l’esprit) que ce jour là mon
sexe avait encore grandi et qu’il avait atteint des mensurations monstrueuses. Inutile de dire que
j’en étais aussi fier qu’un coq !
- Je voudrais d’abord que tu me fasses une pipe !
- Nous avons tout le temps pour faire tout ce que tu voudras ! Et ce que je voudrais ! Mais
maintenant je veux absolument m’empaler sur « zebek » ! Je veux le chevaucher comme une amazone ! Je
veux le sentir me pénétrer jusqu’au fond et me faire mal ! Bghit i wedj‘aani ! (Je veux qu’il me
fasse mal !)
Et sans attendre de réponse, elle vint, dans sa formidable nudité, chevaucher mes cuisses et
positionner sa chatte luisante de manière à placer le gland tuméfié de mon dard entre ses grandes
lèvres, qu’elle ouvrit en faisant aller et venir le gland le long de la fente. Elle produisait un
liquide abondant et visqueux qui venait lubrifier la vulve et faciliter le glissement du gland le
long de la fente.
Natacha gémissait doucement en préparant ainsi la pénétration. Elle avait les yeux rivés sur le
spectacle que faisaient mon engin, qui continuait de frémir, et sa chatte qui s’ouvrait
graduellement. Elle avait sur la bouche ce fameux sourire de louve montrant ses canines et bavant à
l’avance sur tout plaisir qu’elle allait prendre. Et puis d’un seul coup elle se laissa tomber sur
le haut de mes cuisses en poussant un « ahhhhhhhhhh ! » de plaisir, qui provenait des tréfonds de sa
poitrine.
Elle avait posé ses mains sur ma poitrine pour avoir une assise plus stable et commença un mouvement
montant et descendant – et parfois tournant – faisant pénétrer mon dard au plus profond de ses
entrailles. Elle remontait très haut – jusqu’à ce qu’elle aperçoive le gland qui ressortait
complètement d’entre ses grandes lèvres, et se relaissait tomber. Le spectacle qui s’offrait moi –
acteur pour le moment passif – était sublime. Je voyais une farouche amazone chevaucher un fier
destrier, qu’elle cherchait à mater. Elle montait et descendait ses hanches à une vitesse de plus en
plus rapide et s’empalait sur mon glaive, qui commençait à sentir arriver l’orgasme. Je ne voulais
pas jouir tant que Natacha n’aura pas joui. Je m’efforçais – difficilement - de résister au torrent
qui s’apprêtait à déferler sur moi.
Ma belle-sœur, pendant ce temps s’était enfermée dans son plaisir. Je la voyais qui gémissait et qui
tordait sa bouche – pour essayer de retarder le moment où elle allait être submergée par l’orgasme –
et qui bavait sur moi. Ses yeux s’étaient voilés et ses narines palpitaient. J’aurais aimé fixer ce
spectacle pour l’éternité sur de la pellicule, tant il était bandant ! Et puis je la vis qui
n’arrivait plus à retenir sa tête qui dodelinait de droite à gauche, et de haut en bas, comme si son
cou n’arrivait plus à la retenir.
- Da ! Da ! Daaaaaaa ! Ouiiiiiiiii ! M’lih ! Zid ! Ziiiiiiiid! Natacha qahba! Dis: Natacha
qahba! Dis-le! Goul! Goul : en’hab en-nik qahba! Goul : en’hab en-nik Natacha! (Dis: je veux niquer
une pute ! Dis : je veux niquer Natacha !) Je vais jouiiiiiiiiiiiiir ! Daaaaaaaa ! Daaaaaaaaaa !
Et elle déchargea en poussant un très long râle de jouissance et en remplissant mon bas ventre de
tout le jus brulant que sa chatte en feu avait produit pendant l’acte. Elle s’effondra, complètement
essoufflée, sur ma poitrine en continuant à produire une forte quantité de salive, qui finit en
grande partie sur les draps du lit. J’étais heureux qu’elle ait joui avant moi. Cela m’aurait mis la
honte, si cela avait été le contraire. Mon engin était encore dans son état maximal d’érection. Mais
il ne fallait plus que quelques va-et-vient dans la merveilleuse chatte gluante, brulante et
moulante comme une main qui le masturbait, pour que lui aussi lâche tout son foutre dans un râle de
bonheur. Et j’éjaculai – en plusieurs bordées successives- au fonds de son vagin une quantité
incroyable d’un sperme épais, brulant et visqueux qui ressortit presque aussitôt, éjecté à
l’extérieur par les va-et-vient de mon dard.
Je sentis le sperme qui s’écoulait de la chatte de mon amie et qui venait se mélanger, sur mon
pubis, au jus qu’elle avait déversé dans sa jouissance. Je mes fis la réflexion que les draps du lit
étaient bons pour une séance de lavage à l’eau brulante. Natacha avait posé sa tête au creux de mon
épaule droite et tentait de reprendre son souffle. Son corps était complètement collé au mien : sa
poitrine contre la mienne; son ventre contre le mien ; sa chatte était encore occupé par mon dard
qui, bien que repu, n’avait rien perdu de son érection ; et ses cuisses contre les miennes. Nos deux
corps enlacés ne faisaient plus qu’un.
Au bout de quelques minutes, elle releva la tête et me fixa de ses magnifiques yeux bleus, avec sur
les lèvres un sourire de femme satisfaite.
- Il ne faut pas me juger mal ! J’avais tellement envie de toi ! Et je ne suis pas déçue ! Tu
es vraiment un super amant !
- Mais je n’ai encore rien fait ! C’est toi qui a tout fait ! L’homme, dans cette affaire,
c’était était toi! C’est toi qui m’as baisé ! Et non le contraire !
- Tu n’as pas aimé ?
- Oh, si ! J’ai adoré ! Mais ma fierté de mâle veut qu’on ne peut pas s’arrêter là ! Il faut
que je reprenne les rênes du combat ! Que tu sois mon esclave et non pas mon maître !
- Ordonne à ta « qahba » et elle obéit. Elle est en attente de la suite. Tu veux maintenant
que je te suce ?
- Une fellation ! Merveilleux ! Avec la bouche, les lèvres et la langue que tu as, je suis sûr
que ce sera paradisiaque !
Et me fit une fellation d’enfer qui se termina par une éjaculation dans la bouche. Je sus ainsi que
Natacha avait un goût immodéré pour le sperme. Non seulement elle aimait en être rempli, mais elle
adorait l’avaler. Et du sperme, je lui en avais fourni en quantité industrielle, ce jour là et les
jours qui suivirent. Et au cours des permissions suivantes. Et au cours des dix-huit mois de service
civile que je passais à l’université. Et…
revenu : sa beauté, son corps de Vénus et l’image, toujours aussi présente dans ma mémoire, de sa
superbe chatte ! Et avec ces souvenirs, l’envie d’elle qui était redevenue oppressante. Elle avait
autant de chien qu’auparavant ! Elle était vêtue d’un fin peignoir en soie, très moulant, qui lui
arrivait à mi-cuisse et qui laissait nues ses magnifiques jambes. Il moulait son corps qui n’avait
rien perdu de ses appâts d’autrefois. Certes elle avait un peu empâté au niveau de la taille – à
cause de ses deux grossesses et de la cuisine algérienne trop riche en calories – mais elle n’avait
ni trop grossi (peut-être un peu des hanches, qui s’étaient élargies) ni n’avait pris de rides. Elle
était restée exactement la même femme que celle qui était arrivée une dizaine d’années auparavant,
fièrement accrochée aux bras de son mari.
- Bonjour Rafik ! Tu es superbe ! Cela fait longtemps que je ne t’ai vu. L’armée te réussit
très bien ! Entre ! Djaffar est à son travail, il ne rentrera que vers vingt et une heures. Je te
présente tes neveux : Sofiane, il a huit ans ! Shéhérazade, six ans. Dites bonjour à votre tonton !
Ils dirent bonjours en m’embrassant puis partirent chacun dans sa chambre faire leurs devoirs, nous
laissant seuls, leur maman et moi. Natacha parlait maintenant très correctement le français. En
huit ans elle avait fait d’énormes progrès ; y compris dans l’accent qui avait perdu son aspect
rocailleux. Je la félicitais pour ses progrès. Elle prit cela pour un vrai compliment et m’apprit
qu’elle parlait aussi très bien l’arabe algérien.
Je ne savais pas exactement ce que je ressentais à ce moment là. Tout était flou en moi. J’avais le
cœur qui battait très vite au moment où j’avais appuyé sur la sonnette et encore plus vite quand
elle m’ouvrit la porte. Je la dévorais des yeux, presque de manière impudique et gênante. Elle me
regardait aussi avec la même intensité. Je venais de découvrir qu’elle avait encore le pouvoir de
m’émouvoir et de me mettre mal à l’aise. Et je sentais qu’elle aussi était très émue.
Elle me prit par la main et m’emmena vers le salon qu’elle avait décoré avec beaucoup de goût. Elle
avait remplacé l’ancien mobilier par de nouveaux meubles en chêne massif, de style berbère. Contre
le mur du fond, trônait un immense canapé vers lequel Natacha m’entraîna et me fit assoir. Je lui
obéissais comme un automate, sans rien dire. J’avais l’esprit complètement brumeux et la volonté
partie à la dérive. Elle vint s’assoir à côté de moi, sans lâcher ma main qu’elle tenait depuis que
les enfants étaient partis dans leurs chambres. Elle me regardait franchement avec ses immenses yeux
bleus. Elle avait la bouche entrouverte, comme si elle quémandait un baiser et je voyais ses narines
palpiter. J’étais aussi ému qu’un jeune collégien qui se retrouvait pour la première fois seul avec
sa dulcinée. Elle me dévisageait de manière presque impudique et souriait en me parlant.
- Tu es devenu encore plus beau ! J’avais gardé de toi une image de jeune homme déjà très bien
de sa personne et voila que tu es devenu un magnifique homme mûr, fort et viril. Tu es à croquer !
Tu me plais encore plus qu’avant ! J’ai mis beaucoup de temps à me remettre de ton dédain d’il y a
huit ou neuf ans. Et je me suis remise à penser à toi, quand Djaffar m’a annoncé ton retour. Je me
suis remise à mouiller pour toi ! Tu veux voir ?
- Allons, tu ne vas pas recommencer ! N’oublie pas que tu es toujours la femme de mon frère !
Je lui dois du respect ! Et toi aussi !
- Bien sûr que nous lui devons du respect ! Mais cela n’empêche pas que tu as envie de moi !
Je sais lire dans tes yeux ! Tu as autant envie de moi, maintenant, que quand tu vivais ici ! Je
sais que je te plais ! Que tu me trouves belle et bandante ! que tu bandes comme un âne rien qu’en
pensant moi ! Tu as envie de me sauter ici, tout de suite ! Il n’y a que ta conscience qui
t’empêche de le faire ! Je suis sûre que si je tâte le devant de ton pantalon, je découvrirais que
tu bandes comme un âne ! Ose dire non !
- Vraiment tu me gênes ! Je crois que je vais m’en aller ! Ce serait beaucoup plus sage pour
nous deux ! Je vais aller passer ma permission en Kabylie chez mes parents !
- Non ! Il n’en est pas question ! Je ne vais pas te laisser partir ! Je ne referais pas la
même chose qu’il y a des années ! Je te tiens et je ne te lâcherai pas ! Tu resteras avec moi et tu
passeras toutes tes autres permissions avec moi ! Et tu me feras l’amour ! E t tu me donneras tout
le plaisir que j’attends de toi !
- Tu es vraiment folle ! Il est impossible que tu deviennes ma maîtresse ! Et moi ton amant !
Tout l’interdit ! La loi et surtout la morale ! Je ne peux pas faire cela à mon propre frère ! Il ne
mérite pas ça !
- Dis-moi que je ne te plais pas ! C’est la seule chose qui fera que j’abandonne l’idée de
faire l’amour ave toi ! Ose me dire, en me regardant droit dans les yeux, que tu n’as pas envie de
moi ! Que tu ne bandes pas pour moi ! En ce moment même je sens que ta queue est entrain de
frétiller d’impatience.
Je n’eus pas le loisir de lui répondre. D’ailleurs, je ne sais pas ce que j’aurais bien pu
développer comme arguments et comme mensonges pour l’amener à plus de sagesse. Djaffar venait
d’entrer dans la maison. Nous avions entendu le bruit de la clé dans la serrure, puis celui de la
porte qui s’ouvrait et qui se refermait et en quelques secondes, nous aperçûmes mon frère qui
pénétrait dans le salon. Je me levai d’un bond et courus vers lui pour l’embrasser. Je crois que
c’était la première fois que j’embrassais ainsi mon frère. J’étais content de le voir.
- L’armée te va très bien ! Tu semble avoir la forme olympique ! Tu devrais t’engager !
- Toi aussi tu sembles avoir la forme ! Content de te voir ! Et merci pour les colis que tu
m’as envoyés à la caserne !
Nous continuâmes à papoter ainsi, pendant que Natacha – qui avait gardée sa tenue aguichante – était
allée dans la cuisine s’occuper du dîner. Au bout de quelques minutes, elle réapparut pour nous
annoncer que la table était mise et que devions passer à table. Dans la cuisine, il y avait déjà les
enfants qui avaient commencé à manger. Le repas fut on ne peut plus étrange. Je n’arrêtais pas de
surveiller Natacha du coin de l’œil, pendant qu’elle aussi me dévorait de ses immenses yeux bleus,
avec sur les lèvres un sourire ironique.
Djaffar mangeait de bon appétit et avait l’humeur joyeuse. Il riait de tout et de n’importe quoi. Il
parlait avec les enfants de leurs devoirs et leur expliquait ce qu’ils n’avaient compris. Il
prenait de temps en temps la main de sa femme, qu’il caressait sans aucune gêne devant moi, et lui
lançait un sourire lumineux de mari heureux. Elle lui rendait le même sourire ; le sourire d’une
épouse comblée. Je me posais toutes sortes de questions sur ce couple bizarre. Je savais que mon
frère était vraiment heureux ave sa femme. Mais je me demandais si elle, elle l’était autant. J’en
doutais beaucoup en repensant à ses tentatives de faire de moi son amant. Mais quand je les voyais
ensemble, elle semblait réellement aimer son mari et être vraiment satisfaite de sa vie de couple.
Ce fut Djaffar qui le premier aborda le sujet de sa relation avec son épouse.
- Tu sais, Natacha est ce qui m’est arrivé de mieux dans ma vie ! Je n’ai jamais été aussi
heureux que depuis qu’elle est devenue ma femme ! Et puis regarde les beaux enfants qu’elle nous a
donnés ! Je ne dois pas te dire cela devant elle, parce qu’elle va prendre la grosse tête, mais tout
cela est vrai ! N’est-ce pas chérie !
- Toi aussi tu es un bon mari ! Un bon père ! Tu vois Rafik, ton frère est trop modeste ! Il
s’occupe des enfants beaucoup mieux que moi ! C’est lui qui les emmène tous les matins à l’école !
Rien que pour ne pas avoir à me réveiller ! Il surveille leur toilette du matin, les habits qu’ils
mettent, les affaires de l’école ! Et il leur prépare même leur petit déjeuner ! N’est-il pas
merveilleux ?
La discussion continua sur le même ton pendant tout le repas et même après, pour le thé que nous
prîmes dans le salon. Ils s’assirent en face de moi sur le grand fauteuil et se tenaient enlacés
pendant tout le temps que dura notre discussion. Vers minuit, nous allâmes tous dormir. Je repris
avec émotion, possession de ma chambre. Rien n’y avait été changé. J’essayais de m’endormir, mais le
sommeil me fuyait obstinément. Je n’arrêtais pas de penser à Natacha. J’étais vraiment perdu. D’un
côté je voulais cette femme et j’étais prêt à n’importe quelle bassesse pour l’avoir. D’un autre
côté, je pensais à mon frère qui était encore très amoureux de son épouse et qui ne méritait pas que
je lui fasse cette crasse de coucher avec elle. Et puis, soudain, j’entendis – comme il y avait plus
de huit ans maintenant – Natacha gémir et crier pendant qu’elle se faisait tirer par son mari.
Voila que cela recommençait ! La garce s’amusait à m’exciter et à mettre mes nerfs à bout. Et elle y
réussissait au-delà de tout ce qu’elle espérait. J’entendais mon frère qui essayait de la faire
taire pour ne pas me réveiller – et accessoirement réveiller les enfants. Mais rien n’y fit. Elle
continuait de hurler – en arabe – de continuer de la baiser de plus en plus fort. Et encore plus
fort ! Jusqu’au moment où elle poussa un râle d’enfer, signe - qui, j’en étais convaincu, m’était
adressé - qu’elle venait de jouir très fort.
Inutile de décrire dans quel état les ébats de Natacha et Djaffar m’avaient mis. Je me rendais
compte que j’étais entrain de devenir jaloux de mon frère, parce qu’il baisait et faisait jouir sa
femme ! Je voulais être à sa place ! Je voulais sa place ! La garce savait ce qu’elle faisait ! Elle
savait qu’elle avait gagnée ! Que plus jamais je ne refuserais de lui faire l’amour ! Que j’allais
devenir son esclave ! Et que je n’allais pas pouvoir m’endormir de toute la nuit, parce que
j’attendrais le matin pour qu’elle vienne me rejoindre ! Elle me l’avait indirectement annoncé dans
la cuisine, en m’expliquant que le matin, elle faisait la grasse matinée, pendant que son mari
s’occupait de tout et accompagnait les enfants à l’école, avant de se rendre lui-même à son travail.
Qu’elle allait donc être seule avec moi dans la maison pendant presque toute la journée !
…/…
Je réussis à m’endormir aux premières lueurs de l’aube. Ce fut Natacha qui me réveilla vers huit
heures, juste après que Djaffar et les enfants fussent partis. Ce fut la sensation du drap qui se
soulevait et d’un corps qui se glissait en dessous pour venir se coller à moi, qui me réveilla. Je
crus un moment que j’étais entrain de rêver. De rêver que Natacha, complètement nue, était entrain
de coller son merveilleux corps contre le mien et de glisser sa jambe droite entre mes cuisses pour
la frotter contre mon pubis et mon sexe enfermé dans le pantalon du pyjama que je portais. J’avais
la queue qui frétillait sous l’effet du frottement de la jambe. J’ouvris les yeux et je découvris la
réalité - encore plus belle que le rêve – de Natacha, complètement nue, allongée à mes côtés et
était entrain de me caresser avec tout son corps.
Je la vis, appuyée sur son avant bras gauche qui me regardait avec ses magnifiques yeux bleus et qui
me souriait, tout en continuant de me caresser l’entrecuisse avec sa cuisse droite. Quand elle vit
que j’avais ouvert les yeux, elle approcha sa tête de la mienne et me donna un léger baiser sur la
bouche. Elle avait l’haleine fraiche et agréable d’une femme qui venait de se brosser les dents et
dégageait une superbe odeur de propre – l’odeur très caractéristique d’une savonnette de luxe de
fabrication locale, qui avait un grand succès en ces temps là – indiquant qu’elle venait de prendre
une douche ou même un bain. Ses caresses sur mon entrecuisse et mon sexe se firent plus insistantes.
Elle me donna un deuxième baiser sur la bouche et se mit à parler.
- J’aime les hommes beaux et forts comme toi ! Il n’y a pas une seule trace de graisse sur toi
! Et tu as la peau très douce ! Je vais me régaler ! Je sais que ce matin tu ne me refuseras rien !
Tu nous as certainement entendus faire l’amour cette nuit ! Et je suis sûr que tu as bandé très fort
et que tu voulais être à la place de Djaffar !
- Oui ! J’ai même été jaloux et je n’ai pas pu dormir de toute la nuit ! Je ne veux plus qu’il
te touche ! Je veux que tu sois à moi ! Rien qu’à moi ! Tu es entrain de me rendre fou !
- Tu es entrain de bander très fort ! J’adore faire cet effet à un homme ! Depuis dix ans je
n’ai fait l’amour qu’avec mon mari ! Les hommes me manquent !
- Tu parles comme une pute !
- Qahba ! Dis-moi que je suis une qahba ! J’aime ce mot ! Je me sens l’âme d’une qahba ! Dis-
moi que tu vas me baiser comme une pute ! Une qahba !
J’étais perdu. Je ne savais pas quoi penser de cette femme. J’avais une telle envie d’elle ! D’un
autre part, le côté pute qu’elle était entrain de me montrer me gênait beaucoup. Je voulais bien
qu’elle couche avec moi, mais je refusais qu’elle me dise qu’elle avait envie d’autres hommes (que
moi, et à la rigueur, que mon frère). Elle vit, au visage fermé que je lui présentais, que j’étais
très fortement contrarié.
- Tu n’apprécies pas ce que je te dis ! Tu ne veux pas que je me comporte comme une pute ! Tu
sais ce n’est qu’un fantasme érotique chez moi ! Cela ne veut pas dire que je me donne à droite et à
gauche ! Je n’ai encore jamais trompé Djaffar ! Tu es le premier – et certainement le dernier ! Mais
j’ai, comme toutes les femmes des fantasmes ! Et être considérée et traitée comme une qahba, fait
partie de mes fantasmes les plus forts. Dis-moi que tu vas me traiter comme une pute ! Comme une
chienne ! Montre-moi ta belle queue ! Je la sens se trémousser sur ma cuisse ! Enlève ton pantalon
de pyjama ! Wahhhhhh ! Ach’hal kbiiiiiiir ! Ki el ghoul ! Ki t’aa el h’mar ! (Comme il est grand !
C’est un monstre ! C’est comme celui d’un âne !) Je vais bien le sentir ! Je le veux tout de suite
dans mon hatchoune !
Tout en parlant, elle tâtait et palpait l’engin qui n’arrêtait pas de frémir dans sa main. J’avais
effectivement un bel engin; les quelques femmes qui avaient été mes maîtresses l’avaient beaucoup
apprécié. Mais il me semblait (ce n’était certainement qu’une vue de l’esprit) que ce jour là mon
sexe avait encore grandi et qu’il avait atteint des mensurations monstrueuses. Inutile de dire que
j’en étais aussi fier qu’un coq !
- Je voudrais d’abord que tu me fasses une pipe !
- Nous avons tout le temps pour faire tout ce que tu voudras ! Et ce que je voudrais ! Mais
maintenant je veux absolument m’empaler sur « zebek » ! Je veux le chevaucher comme une amazone ! Je
veux le sentir me pénétrer jusqu’au fond et me faire mal ! Bghit i wedj‘aani ! (Je veux qu’il me
fasse mal !)
Et sans attendre de réponse, elle vint, dans sa formidable nudité, chevaucher mes cuisses et
positionner sa chatte luisante de manière à placer le gland tuméfié de mon dard entre ses grandes
lèvres, qu’elle ouvrit en faisant aller et venir le gland le long de la fente. Elle produisait un
liquide abondant et visqueux qui venait lubrifier la vulve et faciliter le glissement du gland le
long de la fente.
Natacha gémissait doucement en préparant ainsi la pénétration. Elle avait les yeux rivés sur le
spectacle que faisaient mon engin, qui continuait de frémir, et sa chatte qui s’ouvrait
graduellement. Elle avait sur la bouche ce fameux sourire de louve montrant ses canines et bavant à
l’avance sur tout plaisir qu’elle allait prendre. Et puis d’un seul coup elle se laissa tomber sur
le haut de mes cuisses en poussant un « ahhhhhhhhhh ! » de plaisir, qui provenait des tréfonds de sa
poitrine.
Elle avait posé ses mains sur ma poitrine pour avoir une assise plus stable et commença un mouvement
montant et descendant – et parfois tournant – faisant pénétrer mon dard au plus profond de ses
entrailles. Elle remontait très haut – jusqu’à ce qu’elle aperçoive le gland qui ressortait
complètement d’entre ses grandes lèvres, et se relaissait tomber. Le spectacle qui s’offrait moi –
acteur pour le moment passif – était sublime. Je voyais une farouche amazone chevaucher un fier
destrier, qu’elle cherchait à mater. Elle montait et descendait ses hanches à une vitesse de plus en
plus rapide et s’empalait sur mon glaive, qui commençait à sentir arriver l’orgasme. Je ne voulais
pas jouir tant que Natacha n’aura pas joui. Je m’efforçais – difficilement - de résister au torrent
qui s’apprêtait à déferler sur moi.
Ma belle-sœur, pendant ce temps s’était enfermée dans son plaisir. Je la voyais qui gémissait et qui
tordait sa bouche – pour essayer de retarder le moment où elle allait être submergée par l’orgasme –
et qui bavait sur moi. Ses yeux s’étaient voilés et ses narines palpitaient. J’aurais aimé fixer ce
spectacle pour l’éternité sur de la pellicule, tant il était bandant ! Et puis je la vis qui
n’arrivait plus à retenir sa tête qui dodelinait de droite à gauche, et de haut en bas, comme si son
cou n’arrivait plus à la retenir.
- Da ! Da ! Daaaaaaa ! Ouiiiiiiiii ! M’lih ! Zid ! Ziiiiiiiid! Natacha qahba! Dis: Natacha
qahba! Dis-le! Goul! Goul : en’hab en-nik qahba! Goul : en’hab en-nik Natacha! (Dis: je veux niquer
une pute ! Dis : je veux niquer Natacha !) Je vais jouiiiiiiiiiiiiir ! Daaaaaaaa ! Daaaaaaaaaa !
Et elle déchargea en poussant un très long râle de jouissance et en remplissant mon bas ventre de
tout le jus brulant que sa chatte en feu avait produit pendant l’acte. Elle s’effondra, complètement
essoufflée, sur ma poitrine en continuant à produire une forte quantité de salive, qui finit en
grande partie sur les draps du lit. J’étais heureux qu’elle ait joui avant moi. Cela m’aurait mis la
honte, si cela avait été le contraire. Mon engin était encore dans son état maximal d’érection. Mais
il ne fallait plus que quelques va-et-vient dans la merveilleuse chatte gluante, brulante et
moulante comme une main qui le masturbait, pour que lui aussi lâche tout son foutre dans un râle de
bonheur. Et j’éjaculai – en plusieurs bordées successives- au fonds de son vagin une quantité
incroyable d’un sperme épais, brulant et visqueux qui ressortit presque aussitôt, éjecté à
l’extérieur par les va-et-vient de mon dard.
Je sentis le sperme qui s’écoulait de la chatte de mon amie et qui venait se mélanger, sur mon
pubis, au jus qu’elle avait déversé dans sa jouissance. Je mes fis la réflexion que les draps du lit
étaient bons pour une séance de lavage à l’eau brulante. Natacha avait posé sa tête au creux de mon
épaule droite et tentait de reprendre son souffle. Son corps était complètement collé au mien : sa
poitrine contre la mienne; son ventre contre le mien ; sa chatte était encore occupé par mon dard
qui, bien que repu, n’avait rien perdu de son érection ; et ses cuisses contre les miennes. Nos deux
corps enlacés ne faisaient plus qu’un.
Au bout de quelques minutes, elle releva la tête et me fixa de ses magnifiques yeux bleus, avec sur
les lèvres un sourire de femme satisfaite.
- Il ne faut pas me juger mal ! J’avais tellement envie de toi ! Et je ne suis pas déçue ! Tu
es vraiment un super amant !
- Mais je n’ai encore rien fait ! C’est toi qui a tout fait ! L’homme, dans cette affaire,
c’était était toi! C’est toi qui m’as baisé ! Et non le contraire !
- Tu n’as pas aimé ?
- Oh, si ! J’ai adoré ! Mais ma fierté de mâle veut qu’on ne peut pas s’arrêter là ! Il faut
que je reprenne les rênes du combat ! Que tu sois mon esclave et non pas mon maître !
- Ordonne à ta « qahba » et elle obéit. Elle est en attente de la suite. Tu veux maintenant
que je te suce ?
- Une fellation ! Merveilleux ! Avec la bouche, les lèvres et la langue que tu as, je suis sûr
que ce sera paradisiaque !
Et me fit une fellation d’enfer qui se termina par une éjaculation dans la bouche. Je sus ainsi que
Natacha avait un goût immodéré pour le sperme. Non seulement elle aimait en être rempli, mais elle
adorait l’avaler. Et du sperme, je lui en avais fourni en quantité industrielle, ce jour là et les
jours qui suivirent. Et au cours des permissions suivantes. Et au cours des dix-huit mois de service
civile que je passais à l’université. Et…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Comme la 1ère partie, la description de la baise est trop coure par rapports au reste...
Je veux la suite avec une Natacha plus salope et un amant plus salaud
Je veux la suite avec une Natacha plus salope et un amant plus salaud