NAthalie 3
Récit érotique écrit par JefCostello [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-09-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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NAthalie 3
- Il va falloir m’obéir, tu as remarqué que j’aimais bien diriger ?
- Oui, effectivement ! Je te rappelle que je n’ai pas aimé quand tu as sorti ton sexe dans la voiture…
- Je pense que nous devons mettre des règles entre nous. Il faut vraiment que tu sois obéissante, sinon, je devrai te punir. Tu comprends ?
- Obéissante, jusqu'où ?
- C’est moi qui en décide. Je te propose un code entre nous. Si tu dis non, stop, arrête, ou autre chose, je vais continuer. Si tu me supplies, je vais continuer. Mais si tu dis le code, je saurai qu’il faut arrêter. Normalement, ça n’arrivera jamais, je sens les limites. Mais on ne sait jamais !
Je souriais, elle me regardait, je sentais qu’elle réfléchissait.
- Je suis d’accord, tu proposes quoi comme code ?
- Je te propose “Robert Redford”. Tu vois qui c’est ?
- Bien sur
- Tu te souviendras ? Sinon, tu peux dire acteur américain, Robert quelque chose, tout ce qui peut me rapprocher de Robert Redford, je comprendrai.
- Je suis d’accord, j’ai envie de te suivre sur ces nouveaux chemins !
- Parfait, tu ne le regretteras pas !
Elle s’est accrochée à moi et m’a demandé “ Fais moi l’amour ! “
Je l’ai repoussée doucement.
- Ça ne se passe pas comme ça, c'est moi qui décide ce que je fais, ce que tu fais. Tu dois obéir, tu ne dois pas demander. Je suis contrarié. Il faut que tu comprennes.
Je me suis assis dans le fauteuil et j’ai mis mes mains jointes sur ma bouche et mon nez.
- Je crois que j’ai trouvé, retires ton pantalon et ta culotte et mets toi à genoux, ton cul vers moi.
Elle a fait ce que je lui demandais et s’est retrouvée offerte sur le canapé. Elle pensait sûrement que j’allais la prendre et lui faire l’amour comme elle me l’avait demandé. J’ai pris ses bras et je les ai posés en croix sur le dossier du canapé.
- Ne bouge pas.
J’ai glissé ma main entre ses fesses et j’ai senti sa chatte ouverte et dégoulinante.Elle était dans un état d’excitation incroyable.
- Humm, tu es chaude, tu es une vraie salope !
- Baise-moi Jef !
J’ai caressé ses fesses et j’ai claqué de toutes mes forces sa fesse gauche. Elle a hurlé, j’ai claqué l’autre fesse, puis encore après chaque cris. Ces fesses étaient rouges, la marque de mes doigts apparaissait entre les rougeurs. J’étais en furie, je claquais sans m'arrêter. Elle s’est tournée vers moi, une larme coulait sur son œil et j’ai arrêté. Je l’ai embrassé et je lui ai glissé à l’oreille.
- Je crois que tu as compris ?
- Ne bouge pas, je reviens.
Je suis allé dans la salle de bain prendre une crème et j’ai massé ses fesses. Le bien que lui faisait la fraîcheur de la crème était bon.
- Ne bouge pas, remets tes bras sur le rebord du canapé.
J’ai retiré tranquillement mon pantalon, mon caleçon et je me suis approché de son cul, mon sexe en érection. J’ai caressé sa chatte avec mon gland et je l’ai pénétrée. J’étais bien, elle soupirait à chaque mouvement. Je sentais qu’elle avait mal aux fesses à chaque fois que mon bas ventre tapait et je souriais.
J’ai senti son plaisir venir, j’ai senti son cri de jouissance. J’ai vu sa main caresser son clito mais je n'étais pas satisfait.
J’avais sous les yeux son petit trou qui se dilatait avec le mouvement. J’ai profité de la crème apaisante pour introduire une phalange. Elle a poussé un cri de plaisir. Elle a posé ses mains sur ses fesses et elle a tiré, écarté ses fesses mais ça ne dilatait pas plus ce petit trou. J’ai profité de la vigueur de mon sexe pour le plaquer sur ce petit trou. Je suis toujours etonné de voir la différence entre mon sexe et l’endroit par lequel il va passer. Mais ça passe!
J’ai poussé, elle accompagnait de “allez!”, je devais guider, maintenir mon sexe bien aligné et c’est rentré. Le gland a disparu, elle a crié et j’ai attendu un peu, j'étais aussi essoufflé, ça demande beaucoup de concentration. Alors j’ai poussé lentement et mon sexe a disparu. J’ai commencé à le retirer et j’ai senti qu’elle souffrait, la muqueuse était trop sèche. J’ai versé alors de la crème hydratante et je me suis introduit rapidement. Il a suffit de quelques mouvements pour me faire jouir. Je suis resté pour éjaculer profondément et la tension de mon sexe à ce moment l’a fait jouir.
Je suis resté en elle, je me suis couché sur son dos, je l’ai embrassée. Son maquillage avait coulé, les larmes de douleur, de plaisir, le sperme et le champagne, elle était défigurée. Je suis sorti, elle a crié, je l’ai embrassé dans le cou et je suis allé vers la salle de bain. Je me suis complètement déshabillé, je suis rentré dans la douche et je l’ai appelé.
- Viens !
-Viens sous la douche !
Elle m’a rejoint, elle m’a savonné, massé, moi aussi. Nous étions bien !
- Oui, effectivement ! Je te rappelle que je n’ai pas aimé quand tu as sorti ton sexe dans la voiture…
- Je pense que nous devons mettre des règles entre nous. Il faut vraiment que tu sois obéissante, sinon, je devrai te punir. Tu comprends ?
- Obéissante, jusqu'où ?
- C’est moi qui en décide. Je te propose un code entre nous. Si tu dis non, stop, arrête, ou autre chose, je vais continuer. Si tu me supplies, je vais continuer. Mais si tu dis le code, je saurai qu’il faut arrêter. Normalement, ça n’arrivera jamais, je sens les limites. Mais on ne sait jamais !
Je souriais, elle me regardait, je sentais qu’elle réfléchissait.
- Je suis d’accord, tu proposes quoi comme code ?
- Je te propose “Robert Redford”. Tu vois qui c’est ?
- Bien sur
- Tu te souviendras ? Sinon, tu peux dire acteur américain, Robert quelque chose, tout ce qui peut me rapprocher de Robert Redford, je comprendrai.
- Je suis d’accord, j’ai envie de te suivre sur ces nouveaux chemins !
- Parfait, tu ne le regretteras pas !
Elle s’est accrochée à moi et m’a demandé “ Fais moi l’amour ! “
Je l’ai repoussée doucement.
- Ça ne se passe pas comme ça, c'est moi qui décide ce que je fais, ce que tu fais. Tu dois obéir, tu ne dois pas demander. Je suis contrarié. Il faut que tu comprennes.
Je me suis assis dans le fauteuil et j’ai mis mes mains jointes sur ma bouche et mon nez.
- Je crois que j’ai trouvé, retires ton pantalon et ta culotte et mets toi à genoux, ton cul vers moi.
Elle a fait ce que je lui demandais et s’est retrouvée offerte sur le canapé. Elle pensait sûrement que j’allais la prendre et lui faire l’amour comme elle me l’avait demandé. J’ai pris ses bras et je les ai posés en croix sur le dossier du canapé.
- Ne bouge pas.
J’ai glissé ma main entre ses fesses et j’ai senti sa chatte ouverte et dégoulinante.Elle était dans un état d’excitation incroyable.
- Humm, tu es chaude, tu es une vraie salope !
- Baise-moi Jef !
J’ai caressé ses fesses et j’ai claqué de toutes mes forces sa fesse gauche. Elle a hurlé, j’ai claqué l’autre fesse, puis encore après chaque cris. Ces fesses étaient rouges, la marque de mes doigts apparaissait entre les rougeurs. J’étais en furie, je claquais sans m'arrêter. Elle s’est tournée vers moi, une larme coulait sur son œil et j’ai arrêté. Je l’ai embrassé et je lui ai glissé à l’oreille.
- Je crois que tu as compris ?
- Ne bouge pas, je reviens.
Je suis allé dans la salle de bain prendre une crème et j’ai massé ses fesses. Le bien que lui faisait la fraîcheur de la crème était bon.
- Ne bouge pas, remets tes bras sur le rebord du canapé.
J’ai retiré tranquillement mon pantalon, mon caleçon et je me suis approché de son cul, mon sexe en érection. J’ai caressé sa chatte avec mon gland et je l’ai pénétrée. J’étais bien, elle soupirait à chaque mouvement. Je sentais qu’elle avait mal aux fesses à chaque fois que mon bas ventre tapait et je souriais.
J’ai senti son plaisir venir, j’ai senti son cri de jouissance. J’ai vu sa main caresser son clito mais je n'étais pas satisfait.
J’avais sous les yeux son petit trou qui se dilatait avec le mouvement. J’ai profité de la crème apaisante pour introduire une phalange. Elle a poussé un cri de plaisir. Elle a posé ses mains sur ses fesses et elle a tiré, écarté ses fesses mais ça ne dilatait pas plus ce petit trou. J’ai profité de la vigueur de mon sexe pour le plaquer sur ce petit trou. Je suis toujours etonné de voir la différence entre mon sexe et l’endroit par lequel il va passer. Mais ça passe!
J’ai poussé, elle accompagnait de “allez!”, je devais guider, maintenir mon sexe bien aligné et c’est rentré. Le gland a disparu, elle a crié et j’ai attendu un peu, j'étais aussi essoufflé, ça demande beaucoup de concentration. Alors j’ai poussé lentement et mon sexe a disparu. J’ai commencé à le retirer et j’ai senti qu’elle souffrait, la muqueuse était trop sèche. J’ai versé alors de la crème hydratante et je me suis introduit rapidement. Il a suffit de quelques mouvements pour me faire jouir. Je suis resté pour éjaculer profondément et la tension de mon sexe à ce moment l’a fait jouir.
Je suis resté en elle, je me suis couché sur son dos, je l’ai embrassée. Son maquillage avait coulé, les larmes de douleur, de plaisir, le sperme et le champagne, elle était défigurée. Je suis sorti, elle a crié, je l’ai embrassé dans le cou et je suis allé vers la salle de bain. Je me suis complètement déshabillé, je suis rentré dans la douche et je l’ai appelé.
- Viens !
-Viens sous la douche !
Elle m’a rejoint, elle m’a savonné, massé, moi aussi. Nous étions bien !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C’est chaud … et bien écrit !
J’adore !
Une suite ?
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