Nathalie en vacances - histoire érotique

Nous avions loué en cette période estivale un appartement dans une cité balnéaire du sud de la France.
Il était situé au deuxième étage d’une résidence relativement calme.
L’appartement était équipé d’une petite cuisine ouverte sur une petite salle à manger salon, une chambre, d’une salle de bain et d’un petit balcon donnant sur la mer.
Nathalie, ma femme avait 39 ans et moi 42.
Elle est un peu ronde, une poitrine très opulente, des jambes bien galbées malgré sa petite taille (1m62), une bouche qui fait fantasmer pas mal de mec, bref assez jolie et tout au moins à mon goût ce qui est le principal.
Nous passions des vacances « normal » : plage, bronzette, baignade, promenade, restaurant et bar de nuit, bref la dure vie d’un couple en vacances.
Nous avions découvert non loin de là, une plage naturiste pas très grande et à laquelle on avait accès par une petit chemin qui y descendait depuis la route.
Nous avions pris l’habitude de nous installer en bout de la plage pour y être plus tranquille.
Il y avait toujours un peu de monde mais nous n’étions pas les uns sur les autres.
Au gré des personnes présente dans notre périmètre, Nathalie parfois provoquait légèrement les hommes installés près de nous.
Il y avait souvent des hommes seuls et de tout âge.
Elle écartait parfois les jambes pour leurs donner une vue excitante de son sexe rasé, parfois se mettait sur le ventre en offrant une vue de son magnifique fessier bien rebondi, parfois leurs offrait un grand sourire avant de se retourner sur sa serviette, bref elle allumait un peu les hommes sans jamais les éteindre.
J’ai eu l’occasion d’apercevoir que, sur certains hommes, cela faisait son effet car leur sexe se redressait et ils se retournaient pour cacher leur érection.
N’allant jamais aux mêmes heures sur cette plage nous n’avons vu que peu de fois les mêmes hommes.
Ce petit jeu nous plaisait à tous les deux et cela nous excitais de voir parfois l’état dans lequel se trouvait nos voyeurs.
Le soir après avoir diner soit au restaurant soit à l’appartement, nous allions nous balader sur la plage ou sur le port, nous allions aussi de temps en temps boire un verre dans un des pub qui faisaient face au port.
Un de ces pub, qui était plus grand que les autres, avait une terrasse.
A l’intérieur il y avait une salle avec des tables et des fauteuils pour y consommer des boissons et cocktails et au fond une piste de danse assez grande qui était souvent bondées de monde.
La musique était sympa, les cocktails aussi nous avons décidé d’y aller boire un verre.
Il devait être environ 22h30 ou 23h car il faisait déjà nuit.
Plus de place en terrasse, le serveur nous installe sur une table le long d’un mur vers le centre de la salle.
Nathalie et moi commandons un cocktail assez fort en alcool, ce qui n’était pas grave car nous étions à pied et non loin de l’appartement.
Nous sirotons tranquillement notre boisson.
La musique étant assez forte, il était difficile de se parler.
Ma femme m’a demandée si cela ne me gênait pas si elle allait danser un peu car la musique lui plaisait bien.
N’aimant pas trop danser je la laisse y aller seule.
Elle se dirige vers la piste et commence à danser.
Sa jupe étant très courte, on pouvait voir la naissance de ses fesses lorsqu’elle se trémoussait un peu trop.
Au fur et à mesure des musiques, elle se trouvait de plus en plus éloignée du bord de la piste.
Je l’apercevais moins bien mais gardais un œil sur elle quand même.
A un moment j’ai aperçu deux mecs qui dansaient près d’elle et qui la collaient de plus en plus.
Je les voyais tour à tour se pencher vers elle pour lui parler, surtout un.
A un moment ils semblaient collé un devant et un derrière elle tout en se penchant près de son cou pour lui parler.
Je voyais mal ce qui se passait mais Nathalie m’a racontée après.
En fait en dansant ils ont commencé à la coller de plus en plus en lui parlant.
Puis des mains se sont promenées tout doucement sur ses hanches, puis sa taille et voyant qu’elle ne disait rien, les mains se sont aventurées plus loin, les cuisses, les fesses, les seins.
Ils se penchaient pour lui faire des bisous dans le cou tout en la caressant.
La salle était sombre et pleine de monde donc cela passait inaperçu, personne ne faisait attention à se trio qui se formait.
Le plus grand qui était devant ma femme est remonté en faisant des bisous de son cou vers sa bouche et lui a enfourné sa langue pour l’embrasser longuement.
L’autre, derrière, la tripotait de partout, il avait l’air très excité, il frottait son sexe contre les fesses de ma femme pour bien lui faire sentir son érection.
Nathalie à passer sa main entre ses fesses et le jeans du mec, l’objet tout gonflé en dessous avait l’air assez conséquent.
Avant que cela ne dévie de trop sur la piste de danse, la main de celui qui lui roulait une pelle prit celle de ma femme pour l’entrainer vers les toilettes le deuxième mec ne voulant pas être en reste les suivit.
Arrivée dans les toilettes le premier a décidé de s’enfermer avec Nathalie dans un des WC.
L’espace étant limité, le deuxième à dû attendre son tour.
Un fois enfermé, la lumière des WC allumée, ma femme voyait mieux son amant d’un soir.
Pas mal en fait, une belle gueule, il embrasse pas mal donc un bon choix se dit-elle.
Mais très vite il s’est collé contre elle pour l’embrasser à nouveau et la caresser de partout.
Il a alors baissé son pantalon pour sortir sa bite toute bander.
Une bite de taille normal mais qui avait l’air bien dure.
Ma femme s’est alors assise sur le toilette pour être à la hauteur et le prendre en bouche.
Elle lui a bien léchée la hampe tout du long puis a pris le gland décalotté entre ses lèvres pour le titiller, elle a ensuite passée sa langue tout autour du gland puis et redescendue le long de sa hampe pour remonter et enfourner sa bite complétement dans sa bouche.
Elle l’a léché, aspiré, titillé, sucé, branlé pendant de longues minutes.
Elle était excitée aussi de sucer un inconnu dans les toilettes d’un bar.
Au bout d’un moment, ne tenant plus il lui a dit qu’il allait jouir.
Nathalie à sortie la bite de sa bouche pour le branler de plus belle jusqu’à ce qu’il éjacule dans les mains de ma femme.
A peine fini il se rhabille et sort.
Son compère se précipite alors pour prendre sa place avec ma femme dans le WC.
Oups celui-là est moins beau, mais bon c’est trop tard pour revenir en arrière surtout qu’a peine rentré il retourne ma femme en lui faisant mettre les mains contre le mur, lui écarte et les jambes et le string, baisse son pantalon, enfile une capote et pénètre ma femme sans autres préliminaires.
Il commence à la limer aussitôt, en enfournant sa bite au plus profond à chaque coup de rein.
Sa bite est assez grosse et longue, elle remplie bien la chatte de ma femme qui se dit que même s’il n’est pas très beau elle va certainement bien prendre son pied avec.
Après quelques minutes de long va et viens, elle sent son corps frémir avant de jouir une première fois.
Lui, continu à la limer comme un forcené en la tenant fermement par les hanches.
Une deuxième jouissance la submerge et bien qu’elle essaie de ne pas faire trop de bruit un feulement qu’elle ne peut contrôler sort de sa bouche au moment de sa jouissance.
Lui toujours en forme continu ses grands va et viens.
Elle le sent d’un coup accélérer le rythme et lui serrer encore plus fort les hanches, lorsque soudain avec un grognement presque inhumain il explose en elle.
Malgré le préservatif elle sent bien le sperme giclé par saccades, ce qui a pour effet de la faire jouir une nouvelle fois.
Après avoir repris leurs esprits, il se retire, met le préservatif dans la poubelle et se rhabille.
Ils sortent alors ensemble du WC sous les yeux ébahi des deux ou trois personne présente aux toilettes.
Ils retrouvent alors le deuxième, échange de numéro et petit bisous pour se dire à bientôt peut-être.
Nathalie vient alors me rejoindre à la table pour finir son verre avec moi.
Je lui dis alors que j’avais vu deux mecs lui tourner autour et qu’après elle était partie longtemps et que commençais à m’inquiéter.
« J’ai un truc très excitant à te raconter » me dit-elle« Et j’ai pris leurs numéros, on ne sait jamais » …