NE NOUS FÂCHONS PAS
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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NE NOUS FÂCHONS PAS
Sarah déverrouilla la porte d'entrée et pénétra chez Hélène, sa voisine et meilleure amie, une divorcée de 29 ans. Sarah avait promis de s'occuper de son chat pendant son absence. Sarah remit des croquettes et de l'eau fraîche mais ne vit le chat nulle part. "Il sortira de sa cachette quand il aura faim!" pensa-t-elle.
Son mari, Jean, étant également absent pour le weekend, Sarah profita de son absence pour choisir une vidéo dans la collection d'Hélène. Elle a pris Casablanca car elle adorait ce vieux film. "C'est un film à regarder seule. Je pourrai pleurer sans être gênée" pensa-t-elle en retournant chez elle ...
Même s'il était tôt l'après-midi, Sarah a pris un soda et quelques biscuits, a chargé la vidéo et s'est assise pour la regarder. L'image a clignoté pendant quelques instants puis l'image s'est finalement affichée, mais ce n'était pas un film. C'était une vidéo tournée à la maison. Sarah a vu Hélène, les seins pressés autour d'une bite, un homme la baisant entre les seins. Passer la première surprise et la gêne de voir son amie en plein coït, Sarah s'amusa de la situation. Le mec poussait sa bite vers le haut mais son sexe atteignait difficilement le menton d'Hélène. Sarah pouvait voir son amie tirer la langue au maximum pour lui lécher le gland. Ensuite, elle a vu la queue du mec décharger son sperme sur le visage d'Hélène. Sarah a éclaté de rire avant de se sermonner pour sa méchanceté.
Puis, elle marmonna: "Zut, pour une bonne copine, elle aurait pu me dire qu'elle avait quelqu'un!"Sa curiosité l'emporta sur ses scrupules: "Bon sang, je pourrais aussi bien regarder. Je saurais peut-être qui c'est?" et Sarah remit le magnétoscope en marche. La scène suivante montrait Hélène en train de sucer la queue du mec, puis celui-ci éjacula de nouveau sur son visage. Les scènes avaient été filmées à différentes époques, et la succession d'évènements avait été assemblé sur cette bande. Parfois, une date et une heure apparaissait dans le coin de l'image. Sarah prenait une gorgée de soda quand la scène suivante a commencé. Hélène était à califourchon sur les genoux du mec, la queue bien enfoncée dans la chatte, et ils faisaient face tous deux à la caméra. Surprise, Sarah faillit s'étouffer avec le soda et se mit à tousser. Quand elle maîtrisa sa toux, la scène avait changé.
Sarah ne pouvait en croire ses yeux. Elle rembobina rapidement la bande, mettant en pause sur l'image des deux amants.
"Le fils de pute!" articula-t-elle, saisie d'émotion. C'était son mari, Jean, qui baisait Hélène.
Passé les premiers instants de colère, Sarah se mit à pleurer en se lamentant: "Les salauds! Mon mari! Ma meilleure amie! Comment ont-ils pu?" Après quelques minutes à pleurnicher, sa colère lui revint, sa colère contre Jean et Hélène. Elle a relancé la vidéo pour regarder les minutes restantes de Jean et Hélène en train de se donner du bon temps. Sa colère est montée d'un cran en voyant la dernière scène qui datait de jeudi soir dernier, alors qu'elle était en réunion avec son club, réunion à laquelle Hélène n'avait pas pu participer.
Sarah éteignit la vidéo, décrocha le téléphone et composa le numéro de l'hôtel que Jean avait laissé près du téléphone.
"Bonjour, ici l'hôtel Ambassadeur. Que puis-je pour votre service?"En essayant de garder son calme, Sarah demanda: "Pouvez-vous me mettre en communication avec la chambre de Mme Hélène Ferrant, s'il vous plaît?" L’opérateur lui demanda un instant, puis Sarah entendit le cliquetis de la connexion, puis deux sonneries, et la voix d’Hélène dire: "Bonjour". Sarah raccrocha le téléphone: "Salope, salope, salope! Cette salope est dans le même hôtel que Jean!""Je vais prendre la peau de son cul pour en faire un tambour!" fulmina Sarah. "Dix ans. Dix ans de mariage et ce salaud et cette pute me font ça! Je lui ai donné les meilleures années de ma vie! Je vais leur faire payer ça. Leur faire payer cher, très cher!" Ses pensées furent interrompues par le carillon de la porte d'entrée: "Qui vient me faire chier un dimanche après-midi?"Ouvrant la porte à la volée, Sarah se trouva nez-à-nez avec Rudy, l'étudiant qui entretenait leur piscine.
"Ah, Rudy, c'est toi! C'est quoi ton problème?""Oh, je ... vous m'avez oublié ... vous m'avez appelé hier. Vous avez dit que ce serait bien de faire la piscine aujourd'hui.""Oh merde!" s'exclama Sarah. "Je suis désolée, Rudy ... J'ai oublié. Excuse mon langage ... s'il te plaît, je suis énervée. Ce n'est pas après toi que je suis en colère!""Je pourrais venir …?""Non ... Non, vas-y, fais-le maintenant. Je t'ai dérangé pour ça ... mais j'avais d'autres soucis.""Merci Mme Ermont. Je suis désolé de venir au mauvais moment. D'ici une heure je serai dehors!"Sarah se tenait accoudée contre la porte vitrée de la cuisine et regardait Rudy travailler. C'était un beau garçon, âgé d'une vingtaine d'années, en première année de STAPS. En short et débardeur, sa musculature brillante de sueur luisait au soleil de l'après-midi. Elle digérait sa colère, lorsqu'une pensée lui traversa l'esprit. Elle sourit en se remémorant le dicton: "Qui t'a mordu sans que tu le mordes, celui-là dira de toi que tu n'as pas de dents" elle tenait sa vengeance!
Elle se regarda dans le miroir. Elle avait enfilé son maillot de bain le plus minimaliste, celui qu'elle n'avait jamais osé porter en public, qui dormait au fond de son tiroir. Les bonnets du soutien-gorge couvraient à peine les tétons et leurs aréoles; le string était un minuscule triangle de tissu qui ne couvrait pas la totalité des poils de sa chatte et qui était maintenu en place par trois lanières. "Merde, ça m'excite de penser à ça!" pensa-t-elle en sentant l'humidité suinter de sa chatte.
"Mon Dieu, et si je lui fais du rentre-dedans et qu'il ne me veuille pas? J'ai la trentaine. Vais-je intéresser ce gamin?" Elle regarda son reflet d'un œil critique: une brune aux reflets roux, cheveux coupés courts, qui aurait aimé avoir une poitrine plus grosse. Elle prit ses seins dans ses mains en grimaçant, essayant plusieurs mimiques de séduction.
En se dirigeant vers la piscine, elle pensait: "Je n'ai jamais connu d'autres hommes.C'est Jean qui m'a dépucelée." Rudy était au bord de la piscine quand Sarah l'appela: "Hé Rudy! Fais une pause! J'ai de la bière fraîche. Il fait chaud aujourd'hui!" Elle posa la bière en s'allongeant sur la double chaise longue, celle pour deux personnes. Elle le regarda s'approcher d'elle. Il regardait sa tenue et elle crut percevoir un renflement apparaître dans son short.
"Ce sera peut-être plus facile que prévu" pensa-t-elle.
Il s'allongea à côté d'elle et ils discutèrent un moment. Elle se retourna sur le ventre, exposant son cul nu avec la ficelle du string qui disparaissait entre ses fesses. Quand elle détacha la ficelle de son soutien-gorge, le renflement dans son short devint clairement visible. Elle prit la crème solaire et lui tendit le flacon: "Rudy, voudrais-tu me frotter le dos avant que brûle?""Euh ... ouais ... bien sûr, Mme Ermont!" balbutia-t-il en se soulevant et s'asseyant de côté, tout près d'elle.
Alors qu'il étalait la lotion sur son dos, elle lui demanda: "Appelle-moi Sarah, Mme Ermont, ça fait vieille peau." En cambrant le dos, elle tapota ses fesses. "Mets-en une grande quantité ici ... mes fesses ne voient pas souvent le soleil!" Elle l'entendit vaguement murmurer, ses mains descendirent lui masser le cul et l'arrière des cuisses, étalant la lotion.
Sa chatte était inondée de chaleur et d'humidité, elle devait être en train de tremper son string.
"Ooh Rudy! Tes mains sont tellement douces, c'est si agréable, tu vas me faire la face avant aussi!" dit-elle doucement en se retournant sur le dos, laissant son soutien-gorge glisser de ses seins.
Il était assis sur le côté de la chaise longue, à côté de sa hanche, tout près d'elle. Elle posa un bras sur la cuisse du garçon, laissant sa main glisser doucement sur l'intérieur de sa jambe, ses doigts le caressant légèrement. Son short était tendu, clairement inconfortable. "Mon Dieu" pensa Sarah "je torture ce gamin comme Mme Robinson dans Le Lauréat!"Sarah s'approcha encore, collant sa hanche contre la cuisse du garçon, se débarrassant de son soutien-gorge en le faisant tomber au sol. Elle glissa sa main à l'intérieur de sa cuisse jusque dans la jambe de son short.
"Tu dois être mal à l'aise avec ce gros truc qui essaie de sortir" lui susurra-t-elle doucement tandis que ses doigts enveloppaient ses couilles et la base de sa queue.
"Personne ne peut nous voir ... il n'y a personne dans la maison d'à côté ... enlève ton short, je veux te voir ... te toucher!" Elle ne s'était jamais comportée comme une catin, auparavant. Elle ressentait une excitation sexuelle, une chaleur dans les reins et un bouillonnement dans sa chatte qu'elle n'avait jamais ressentie auparavant.
"Ooh ... Mme Ermont ...""Sarah ... c'est Sarah", murmura-t-elle en le regardant se tortiller pour se déshabiller. Lorsqu'il dégagea sa queue de son slip, Sarah prit une profonde inspiration en la regardant. Sa première pensée fut: "Bon sang, c'est un grand garçon ... beaucoup plus grand que Jean ... Je me demande quelle sensation une chose aussi grande va me procurer dans ma chatte!" Elle saisit la queue dans sa main pour l'attirer doucement près elle, la guidant vers sa bouche. Elle embrassa le gland en faisant tournoyer sa langue autour de la bête, chatouillant le frein puis glissant dans le méat. Elle glissa la grosse bite dans sa bouche, caressant le pourtour avec sa langue agile. Elle pouvait sentir sa chatte s'émouvoir et réclamer de l'attention. Ôtant la queue de sa bouche, elle enleva rapidement son string et s'allongea sur le dos, écartant largement ses jambes. "OK, Rudy, mets-moi cette belle bite dans ma chatte ... Je la veux en moi!"Alors qu’il s'installait entre ses jambes, elle saisit sa queue pour la frotter de haut en bas entre les lèvres gonflées de sa chatte, la recouvrant de son jus. Juste au moment où elle terminait un mouvement ascendant en tapotant son clitoris gonflé de désir, elle sentit la queue palpiter dans sa main et l'entendit gémir, "Ooh, merde ..... putain!" Il éjaculait! Le jet de sperme a atterri sur elle, de son pubis jusqu'à son menton.
"Oh putain ... je suis désolée Mme ... je veux dire, Sarah. Je ne pouvais plus ..."Sarah l'attira contre elle et l'embrassa pour le faire taire:"Chéri, ce n'est pas de ta faute." Elle rit, "C'est de la mienne ... Je me comporte comme une idiote depuis que je suis arrivée ici." Utilisant son doigt, elle préleva du sperme de sa poitrine et le lécha en le fixant, les yeux dans les yeux:"Nous avons tout l'après-midi. Tu ne partiras pas d'ici avant de m'avoir baisé avec ta grosse bite ... peut-être plusieurs fois." Tenant toujours sa queue dans sa main, elle le caressait en l'embrassant, un long baiser passionné qui les laissa tous deux hors d'haleine. Bouche contre bouche, elle lui murmura: "Tu es redevenu raide… et aussi dur qu'avant!""Ouais, quand je suis vraiment excité, je peux jouir comme ça ... très vite. Alors … je redémarre aussi vite!"Sarah eut un gloussement: "OK, ne perdons pas de temps! Mets-la au chaud en moi!" Elle posa le gland à l'entrée de sa chatte trempée de cyprine, la glissant entre ses lèvres gonflées de désir, espérant et redoutant la pénétration de la grosse bite dans sa petite chatte: "Ooh! mon Dieu ... Rudy, quel grand garçon! Ooh! Doucement, sois doux, chéri, tu es très gros!" Elle gémissait en s'ouvrant quand il enfonça sa queue profondément dans sa chatte palpitante. Elle souleva son cul contre le membre qui étirait sa chatte, s'offrant, cuisses ouvertes, au mâle qui la pénétrait jusqu'au fond de sa vulve, là où aucun autre sexe n'avait pénétré. En enserrant les reins du garçon avec ses jambes, elle essayait de ralentir l'assaut pour profiter plus longtemps de la sensation, mais une houle venue du fond de son ventre l'obligea à s'offrir aux coups de boutoir qui la transportaient vers l'extase.
Se frottant contre lui, en essayant de faire pénétrer sa queue encore plus profondément en elle, sentant les spasmes arriver du fond de sa chatte: "Ooh ..... je vais jouir! Ooh! OUI! OUI! je jouis!"Il enfonça sa queue au plus profond de la chatte offerte et se bloqua, attendant la fin de ses spasmes. Il sentait sa queue pressée par les muscles vaginaux de sa partenaire. "Non ... Ooh! Non, n'arrête pas! Continue, s'il te plaît, continue, c'est trop bon!" le suppliait Sarah.
Elle riait, pleurait, haletante et heureuse: "Ne t'arrête pas. Ne t'arrête plus. Baise-moi, chéri! Baise-moi de toutes les façons, comme tu veux ... Je veux jouir encore!" Elle le serrait dans ses bras, lui offrant sa bouche, son ventre, tout ce qu'elle avait, éperdue de désir pour ce jeune homme si beau, si puissant, et qui la faisait si bien jouir. Elle l'embrassait passionnément en essayant de ranimer la flamme qui les propulserait au septième ciel.
Rudy allongeait ses coups de rien dans la chatte maintenant bien ouverte. Il retirait sa queue presque complètement, ne laissant que son gland à l'intérieur, puis replongeait ensuite sa queue dans les profondeurs de sa chatte. Elle n'avait jamais rien ressenti qui étirait sa chatte de cette façon, aussi profond ni aussi large. "Mon Dieu, ça ne s'est jamais passé comme ça avant, jamais!"Elle remonta ses jambes aussi haut qu'elle le pouvait, s'offrant, impudique, cuisses ouvertes, ouvrant sa chatte soumise aux coups de boutoir qui l'enflammaient. Elle pouvait sentir la vibration des chocs transmise à son clitoris et se frottait contre le pubis du garçon, quand il s'enfonçait profondément dans sa chatte. Ses gémissements rauques se transformèrent en cris aigus quand cette belle grosse queue augmenta le rythme de ses coups: "Ooh … c'est ça … Oui … baise-moi … fort ... Ooh, Rudy, viens … maintenant … je viens… Ooh … OUI, OUI!"Il accéléra encore et, gémissant bruyamment, s'épancha dans la chatte offerte.
Sarah resserra ses jambes autour de lui pour le retenir en elle, agrippant ses fesses à deux mains, se frottant contre lui. Elle plantait ses ongles dans la chair de son cul sans pouvoir s'en empêcher. Elle mordait et suçait la chair tendre au creux de son épaule sans pouvoir s'arrêter. La tension qui vibrait dans son corps, les spasmes de sa chatte inondée de foutre, elle avait totalement perdu le contrôle de ses actes.
Rudy s'était arrêté, la bite enfoncée dans la chatte, la douleur se mêlant au plaisir. Sans comprendre ce qui lui arrivait, et pour la première fois de sa vie, il est resté dur après avoir éjaculé!
Alors, machinalement, sans réelle conscience de ses actes, Rudy reprit ses longs mouvements lents dans l'orifice rempli de sperme.
Elle pouvait ressentir, entendre, le foutre et le jus de sa chatte expulsés par la grosse queue, ruisselants le long de son cul.
Après quelques minutes de pénétration lente et régulière, Rudy reprit ses esprits et accéléra son rythme, pour prendre de plus en plus de vitesse. Il la pénétrait durement, profondément, en toquant son gland contre le fond de sa chatte, pressant son pubis sur son clitoris. Un nouveau frisson s'est formé au fond de son ventre, déclenchant une nouvelle vague de sensations dans sa chatte. Elle serra Rudy dans ses bras en criant: "Ooh mon dieu! Je jouis ... je jouis encore!" Rudy s'effondra sur elle et resta inerte, essayant de reprendre son souffle. Sa queue ramollissante s'échappa de sa chatte. Leurs liquides mélangés ruisselaient entre ses cuisses.
Sarah, épuisée, à bout de souffle, mais comblée, lui murmura: "Ooh, Rudy ... Rudy … je pensais que ces histoires ... d'orgasmes multiples n'étaient que ... des inventions! J'ignorais que je pouvais jouir de la sorte!" Elle rêvassait dans sa rémanence, essayant de reprendre ses esprits. Elle le serra très fort dans ses bras, couvrant son visage de petits baisers: "Je vais avoir besoin de tes services pour la piscine plus souvent; elle en a besoin ... et j'en ai besoin!"Rudy éclata de rire et se releva. Il se pencha sur elle et l'embrassa doucement: "Je n'ai pas fini aujourd'hui. Je pense que je devrais revenir la semaine prochaine, peut-être mardi?"Elle le serra contre elle en l'embrassant, mangeant sa bouche, glissant sa langue profondément dedans. Elle enroula ses jambes autour du garçon penché sur elle. Son ventre et sa chatte étaient douloureux à cause des coups reçus, mais c'était une bonne et satisfaisante fatigue. "Reste contre moi ... serre moi fort. Je me sens tellement bien dans tes bras que je ne veux plus bouger."Rudy s'allongea de nouveau contre elle: "C'est vrai, je n'ai rien d'urgent à faire ... nous avons tout l'après-midi!"Sarah enfouit son visage dans son cou et l'embrassa. Elle pensait que sa vengeance était bien douce, et qu'elle allait continuer de se venger, longtemps et souvent. Elle ne voulait plus divorcer, elle voulait juste continuer à se venger. Se venger était bien plus amusant et bien plus satisfaisant. Maintenant, sa seule préoccupation, c'était de trouver un moyen pour se venger d'Hélène. Quelque chose de vraiment bien!
Son mari, Jean, étant également absent pour le weekend, Sarah profita de son absence pour choisir une vidéo dans la collection d'Hélène. Elle a pris Casablanca car elle adorait ce vieux film. "C'est un film à regarder seule. Je pourrai pleurer sans être gênée" pensa-t-elle en retournant chez elle ...
Même s'il était tôt l'après-midi, Sarah a pris un soda et quelques biscuits, a chargé la vidéo et s'est assise pour la regarder. L'image a clignoté pendant quelques instants puis l'image s'est finalement affichée, mais ce n'était pas un film. C'était une vidéo tournée à la maison. Sarah a vu Hélène, les seins pressés autour d'une bite, un homme la baisant entre les seins. Passer la première surprise et la gêne de voir son amie en plein coït, Sarah s'amusa de la situation. Le mec poussait sa bite vers le haut mais son sexe atteignait difficilement le menton d'Hélène. Sarah pouvait voir son amie tirer la langue au maximum pour lui lécher le gland. Ensuite, elle a vu la queue du mec décharger son sperme sur le visage d'Hélène. Sarah a éclaté de rire avant de se sermonner pour sa méchanceté.
Puis, elle marmonna: "Zut, pour une bonne copine, elle aurait pu me dire qu'elle avait quelqu'un!"Sa curiosité l'emporta sur ses scrupules: "Bon sang, je pourrais aussi bien regarder. Je saurais peut-être qui c'est?" et Sarah remit le magnétoscope en marche. La scène suivante montrait Hélène en train de sucer la queue du mec, puis celui-ci éjacula de nouveau sur son visage. Les scènes avaient été filmées à différentes époques, et la succession d'évènements avait été assemblé sur cette bande. Parfois, une date et une heure apparaissait dans le coin de l'image. Sarah prenait une gorgée de soda quand la scène suivante a commencé. Hélène était à califourchon sur les genoux du mec, la queue bien enfoncée dans la chatte, et ils faisaient face tous deux à la caméra. Surprise, Sarah faillit s'étouffer avec le soda et se mit à tousser. Quand elle maîtrisa sa toux, la scène avait changé.
Sarah ne pouvait en croire ses yeux. Elle rembobina rapidement la bande, mettant en pause sur l'image des deux amants.
"Le fils de pute!" articula-t-elle, saisie d'émotion. C'était son mari, Jean, qui baisait Hélène.
Passé les premiers instants de colère, Sarah se mit à pleurer en se lamentant: "Les salauds! Mon mari! Ma meilleure amie! Comment ont-ils pu?" Après quelques minutes à pleurnicher, sa colère lui revint, sa colère contre Jean et Hélène. Elle a relancé la vidéo pour regarder les minutes restantes de Jean et Hélène en train de se donner du bon temps. Sa colère est montée d'un cran en voyant la dernière scène qui datait de jeudi soir dernier, alors qu'elle était en réunion avec son club, réunion à laquelle Hélène n'avait pas pu participer.
Sarah éteignit la vidéo, décrocha le téléphone et composa le numéro de l'hôtel que Jean avait laissé près du téléphone.
"Bonjour, ici l'hôtel Ambassadeur. Que puis-je pour votre service?"En essayant de garder son calme, Sarah demanda: "Pouvez-vous me mettre en communication avec la chambre de Mme Hélène Ferrant, s'il vous plaît?" L’opérateur lui demanda un instant, puis Sarah entendit le cliquetis de la connexion, puis deux sonneries, et la voix d’Hélène dire: "Bonjour". Sarah raccrocha le téléphone: "Salope, salope, salope! Cette salope est dans le même hôtel que Jean!""Je vais prendre la peau de son cul pour en faire un tambour!" fulmina Sarah. "Dix ans. Dix ans de mariage et ce salaud et cette pute me font ça! Je lui ai donné les meilleures années de ma vie! Je vais leur faire payer ça. Leur faire payer cher, très cher!" Ses pensées furent interrompues par le carillon de la porte d'entrée: "Qui vient me faire chier un dimanche après-midi?"Ouvrant la porte à la volée, Sarah se trouva nez-à-nez avec Rudy, l'étudiant qui entretenait leur piscine.
"Ah, Rudy, c'est toi! C'est quoi ton problème?""Oh, je ... vous m'avez oublié ... vous m'avez appelé hier. Vous avez dit que ce serait bien de faire la piscine aujourd'hui.""Oh merde!" s'exclama Sarah. "Je suis désolée, Rudy ... J'ai oublié. Excuse mon langage ... s'il te plaît, je suis énervée. Ce n'est pas après toi que je suis en colère!""Je pourrais venir …?""Non ... Non, vas-y, fais-le maintenant. Je t'ai dérangé pour ça ... mais j'avais d'autres soucis.""Merci Mme Ermont. Je suis désolé de venir au mauvais moment. D'ici une heure je serai dehors!"Sarah se tenait accoudée contre la porte vitrée de la cuisine et regardait Rudy travailler. C'était un beau garçon, âgé d'une vingtaine d'années, en première année de STAPS. En short et débardeur, sa musculature brillante de sueur luisait au soleil de l'après-midi. Elle digérait sa colère, lorsqu'une pensée lui traversa l'esprit. Elle sourit en se remémorant le dicton: "Qui t'a mordu sans que tu le mordes, celui-là dira de toi que tu n'as pas de dents" elle tenait sa vengeance!
Elle se regarda dans le miroir. Elle avait enfilé son maillot de bain le plus minimaliste, celui qu'elle n'avait jamais osé porter en public, qui dormait au fond de son tiroir. Les bonnets du soutien-gorge couvraient à peine les tétons et leurs aréoles; le string était un minuscule triangle de tissu qui ne couvrait pas la totalité des poils de sa chatte et qui était maintenu en place par trois lanières. "Merde, ça m'excite de penser à ça!" pensa-t-elle en sentant l'humidité suinter de sa chatte.
"Mon Dieu, et si je lui fais du rentre-dedans et qu'il ne me veuille pas? J'ai la trentaine. Vais-je intéresser ce gamin?" Elle regarda son reflet d'un œil critique: une brune aux reflets roux, cheveux coupés courts, qui aurait aimé avoir une poitrine plus grosse. Elle prit ses seins dans ses mains en grimaçant, essayant plusieurs mimiques de séduction.
En se dirigeant vers la piscine, elle pensait: "Je n'ai jamais connu d'autres hommes.C'est Jean qui m'a dépucelée." Rudy était au bord de la piscine quand Sarah l'appela: "Hé Rudy! Fais une pause! J'ai de la bière fraîche. Il fait chaud aujourd'hui!" Elle posa la bière en s'allongeant sur la double chaise longue, celle pour deux personnes. Elle le regarda s'approcher d'elle. Il regardait sa tenue et elle crut percevoir un renflement apparaître dans son short.
"Ce sera peut-être plus facile que prévu" pensa-t-elle.
Il s'allongea à côté d'elle et ils discutèrent un moment. Elle se retourna sur le ventre, exposant son cul nu avec la ficelle du string qui disparaissait entre ses fesses. Quand elle détacha la ficelle de son soutien-gorge, le renflement dans son short devint clairement visible. Elle prit la crème solaire et lui tendit le flacon: "Rudy, voudrais-tu me frotter le dos avant que brûle?""Euh ... ouais ... bien sûr, Mme Ermont!" balbutia-t-il en se soulevant et s'asseyant de côté, tout près d'elle.
Alors qu'il étalait la lotion sur son dos, elle lui demanda: "Appelle-moi Sarah, Mme Ermont, ça fait vieille peau." En cambrant le dos, elle tapota ses fesses. "Mets-en une grande quantité ici ... mes fesses ne voient pas souvent le soleil!" Elle l'entendit vaguement murmurer, ses mains descendirent lui masser le cul et l'arrière des cuisses, étalant la lotion.
Sa chatte était inondée de chaleur et d'humidité, elle devait être en train de tremper son string.
"Ooh Rudy! Tes mains sont tellement douces, c'est si agréable, tu vas me faire la face avant aussi!" dit-elle doucement en se retournant sur le dos, laissant son soutien-gorge glisser de ses seins.
Il était assis sur le côté de la chaise longue, à côté de sa hanche, tout près d'elle. Elle posa un bras sur la cuisse du garçon, laissant sa main glisser doucement sur l'intérieur de sa jambe, ses doigts le caressant légèrement. Son short était tendu, clairement inconfortable. "Mon Dieu" pensa Sarah "je torture ce gamin comme Mme Robinson dans Le Lauréat!"Sarah s'approcha encore, collant sa hanche contre la cuisse du garçon, se débarrassant de son soutien-gorge en le faisant tomber au sol. Elle glissa sa main à l'intérieur de sa cuisse jusque dans la jambe de son short.
"Tu dois être mal à l'aise avec ce gros truc qui essaie de sortir" lui susurra-t-elle doucement tandis que ses doigts enveloppaient ses couilles et la base de sa queue.
"Personne ne peut nous voir ... il n'y a personne dans la maison d'à côté ... enlève ton short, je veux te voir ... te toucher!" Elle ne s'était jamais comportée comme une catin, auparavant. Elle ressentait une excitation sexuelle, une chaleur dans les reins et un bouillonnement dans sa chatte qu'elle n'avait jamais ressentie auparavant.
"Ooh ... Mme Ermont ...""Sarah ... c'est Sarah", murmura-t-elle en le regardant se tortiller pour se déshabiller. Lorsqu'il dégagea sa queue de son slip, Sarah prit une profonde inspiration en la regardant. Sa première pensée fut: "Bon sang, c'est un grand garçon ... beaucoup plus grand que Jean ... Je me demande quelle sensation une chose aussi grande va me procurer dans ma chatte!" Elle saisit la queue dans sa main pour l'attirer doucement près elle, la guidant vers sa bouche. Elle embrassa le gland en faisant tournoyer sa langue autour de la bête, chatouillant le frein puis glissant dans le méat. Elle glissa la grosse bite dans sa bouche, caressant le pourtour avec sa langue agile. Elle pouvait sentir sa chatte s'émouvoir et réclamer de l'attention. Ôtant la queue de sa bouche, elle enleva rapidement son string et s'allongea sur le dos, écartant largement ses jambes. "OK, Rudy, mets-moi cette belle bite dans ma chatte ... Je la veux en moi!"Alors qu’il s'installait entre ses jambes, elle saisit sa queue pour la frotter de haut en bas entre les lèvres gonflées de sa chatte, la recouvrant de son jus. Juste au moment où elle terminait un mouvement ascendant en tapotant son clitoris gonflé de désir, elle sentit la queue palpiter dans sa main et l'entendit gémir, "Ooh, merde ..... putain!" Il éjaculait! Le jet de sperme a atterri sur elle, de son pubis jusqu'à son menton.
"Oh putain ... je suis désolée Mme ... je veux dire, Sarah. Je ne pouvais plus ..."Sarah l'attira contre elle et l'embrassa pour le faire taire:"Chéri, ce n'est pas de ta faute." Elle rit, "C'est de la mienne ... Je me comporte comme une idiote depuis que je suis arrivée ici." Utilisant son doigt, elle préleva du sperme de sa poitrine et le lécha en le fixant, les yeux dans les yeux:"Nous avons tout l'après-midi. Tu ne partiras pas d'ici avant de m'avoir baisé avec ta grosse bite ... peut-être plusieurs fois." Tenant toujours sa queue dans sa main, elle le caressait en l'embrassant, un long baiser passionné qui les laissa tous deux hors d'haleine. Bouche contre bouche, elle lui murmura: "Tu es redevenu raide… et aussi dur qu'avant!""Ouais, quand je suis vraiment excité, je peux jouir comme ça ... très vite. Alors … je redémarre aussi vite!"Sarah eut un gloussement: "OK, ne perdons pas de temps! Mets-la au chaud en moi!" Elle posa le gland à l'entrée de sa chatte trempée de cyprine, la glissant entre ses lèvres gonflées de désir, espérant et redoutant la pénétration de la grosse bite dans sa petite chatte: "Ooh! mon Dieu ... Rudy, quel grand garçon! Ooh! Doucement, sois doux, chéri, tu es très gros!" Elle gémissait en s'ouvrant quand il enfonça sa queue profondément dans sa chatte palpitante. Elle souleva son cul contre le membre qui étirait sa chatte, s'offrant, cuisses ouvertes, au mâle qui la pénétrait jusqu'au fond de sa vulve, là où aucun autre sexe n'avait pénétré. En enserrant les reins du garçon avec ses jambes, elle essayait de ralentir l'assaut pour profiter plus longtemps de la sensation, mais une houle venue du fond de son ventre l'obligea à s'offrir aux coups de boutoir qui la transportaient vers l'extase.
Se frottant contre lui, en essayant de faire pénétrer sa queue encore plus profondément en elle, sentant les spasmes arriver du fond de sa chatte: "Ooh ..... je vais jouir! Ooh! OUI! OUI! je jouis!"Il enfonça sa queue au plus profond de la chatte offerte et se bloqua, attendant la fin de ses spasmes. Il sentait sa queue pressée par les muscles vaginaux de sa partenaire. "Non ... Ooh! Non, n'arrête pas! Continue, s'il te plaît, continue, c'est trop bon!" le suppliait Sarah.
Elle riait, pleurait, haletante et heureuse: "Ne t'arrête pas. Ne t'arrête plus. Baise-moi, chéri! Baise-moi de toutes les façons, comme tu veux ... Je veux jouir encore!" Elle le serrait dans ses bras, lui offrant sa bouche, son ventre, tout ce qu'elle avait, éperdue de désir pour ce jeune homme si beau, si puissant, et qui la faisait si bien jouir. Elle l'embrassait passionnément en essayant de ranimer la flamme qui les propulserait au septième ciel.
Rudy allongeait ses coups de rien dans la chatte maintenant bien ouverte. Il retirait sa queue presque complètement, ne laissant que son gland à l'intérieur, puis replongeait ensuite sa queue dans les profondeurs de sa chatte. Elle n'avait jamais rien ressenti qui étirait sa chatte de cette façon, aussi profond ni aussi large. "Mon Dieu, ça ne s'est jamais passé comme ça avant, jamais!"Elle remonta ses jambes aussi haut qu'elle le pouvait, s'offrant, impudique, cuisses ouvertes, ouvrant sa chatte soumise aux coups de boutoir qui l'enflammaient. Elle pouvait sentir la vibration des chocs transmise à son clitoris et se frottait contre le pubis du garçon, quand il s'enfonçait profondément dans sa chatte. Ses gémissements rauques se transformèrent en cris aigus quand cette belle grosse queue augmenta le rythme de ses coups: "Ooh … c'est ça … Oui … baise-moi … fort ... Ooh, Rudy, viens … maintenant … je viens… Ooh … OUI, OUI!"Il accéléra encore et, gémissant bruyamment, s'épancha dans la chatte offerte.
Sarah resserra ses jambes autour de lui pour le retenir en elle, agrippant ses fesses à deux mains, se frottant contre lui. Elle plantait ses ongles dans la chair de son cul sans pouvoir s'en empêcher. Elle mordait et suçait la chair tendre au creux de son épaule sans pouvoir s'arrêter. La tension qui vibrait dans son corps, les spasmes de sa chatte inondée de foutre, elle avait totalement perdu le contrôle de ses actes.
Rudy s'était arrêté, la bite enfoncée dans la chatte, la douleur se mêlant au plaisir. Sans comprendre ce qui lui arrivait, et pour la première fois de sa vie, il est resté dur après avoir éjaculé!
Alors, machinalement, sans réelle conscience de ses actes, Rudy reprit ses longs mouvements lents dans l'orifice rempli de sperme.
Elle pouvait ressentir, entendre, le foutre et le jus de sa chatte expulsés par la grosse queue, ruisselants le long de son cul.
Après quelques minutes de pénétration lente et régulière, Rudy reprit ses esprits et accéléra son rythme, pour prendre de plus en plus de vitesse. Il la pénétrait durement, profondément, en toquant son gland contre le fond de sa chatte, pressant son pubis sur son clitoris. Un nouveau frisson s'est formé au fond de son ventre, déclenchant une nouvelle vague de sensations dans sa chatte. Elle serra Rudy dans ses bras en criant: "Ooh mon dieu! Je jouis ... je jouis encore!" Rudy s'effondra sur elle et resta inerte, essayant de reprendre son souffle. Sa queue ramollissante s'échappa de sa chatte. Leurs liquides mélangés ruisselaient entre ses cuisses.
Sarah, épuisée, à bout de souffle, mais comblée, lui murmura: "Ooh, Rudy ... Rudy … je pensais que ces histoires ... d'orgasmes multiples n'étaient que ... des inventions! J'ignorais que je pouvais jouir de la sorte!" Elle rêvassait dans sa rémanence, essayant de reprendre ses esprits. Elle le serra très fort dans ses bras, couvrant son visage de petits baisers: "Je vais avoir besoin de tes services pour la piscine plus souvent; elle en a besoin ... et j'en ai besoin!"Rudy éclata de rire et se releva. Il se pencha sur elle et l'embrassa doucement: "Je n'ai pas fini aujourd'hui. Je pense que je devrais revenir la semaine prochaine, peut-être mardi?"Elle le serra contre elle en l'embrassant, mangeant sa bouche, glissant sa langue profondément dedans. Elle enroula ses jambes autour du garçon penché sur elle. Son ventre et sa chatte étaient douloureux à cause des coups reçus, mais c'était une bonne et satisfaisante fatigue. "Reste contre moi ... serre moi fort. Je me sens tellement bien dans tes bras que je ne veux plus bouger."Rudy s'allongea de nouveau contre elle: "C'est vrai, je n'ai rien d'urgent à faire ... nous avons tout l'après-midi!"Sarah enfouit son visage dans son cou et l'embrassa. Elle pensait que sa vengeance était bien douce, et qu'elle allait continuer de se venger, longtemps et souvent. Elle ne voulait plus divorcer, elle voulait juste continuer à se venger. Se venger était bien plus amusant et bien plus satisfaisant. Maintenant, sa seule préoccupation, c'était de trouver un moyen pour se venger d'Hélène. Quelque chose de vraiment bien!
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