Nico et Matteo, par delà les épreuves (06) - histoire érotique

Suite des aventures de Matteo et Nicolas. N’hésitez pas à m’envoyer un message si vous avez aimé, pour partager vos commentaires, ou si vous souhaitez des photos des personnages. Je réponds toujours. Bonne lecture (sylvainerotic@yahoo.com).

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Nicolas jette un dernier regard face au vide et saute par la fenêtre. Il n’est qu’au première étage, mais quand même. Heureusement pour lui, l’herbe, plutôt épaisse, amortit bien sa chute.

Malgré une douleur à la cheville, il se met à courir…courir… loin du pensionnat... sans se retourner. Des flashes lui reviennent. Il se revoit courir après avoir été surpris par le père de Matteo… le destin se répète.

Quand il se retourne, les grands bâtiments ne sont plus que des petites constructions, nichées dans les montagnes. Que va-t-il faire ? Il se sent plus en sécurité maintenant. Et il est majeur, personne ne peut le forcer à faire quoi que ce soit.

Il marche le long d’une petite départementale. Il n’a sur lui qu’un léger pull. Heureusement qu’il ne fait pas froid. Il avait heureusement son portefeuille sur lui. Pas de téléphone. Il n’en a plus depuis qu’il a quitté ses parents. Que va-t-il faire maintenant ? Chercher un travail ? Plus fragile que Matteo, car moins livre à lui-même dans son enfance, il est vulnérable. Où passer la nuit ? Il croit savoir qu’il y a des foyers pour Sdf…
Il réfléchit aussi à l’argent. Il en a un peu. Il a aussi une carte bancaire avec un peu d’argent. Des économies d’argent de poche et d’étrennes. Il avait un peu économisé aussi. Ça ne va pas durer longtemps, en tout cas quelques jours pour dormir.

Il marche jusqu’au village le plus proche. Pas grand-chose. Surement pas un foyer pour SDF. Il s’achète à manger et reprend sa route. Il arrive au village suivant alors que la nuit commence à tomber. Sans autre solution il s’endort sous un abris bus. Il parvient à dormir jusqu’à l’aube, mais l’humidité et la fraicheur du matin le réveillent. Il a froid.

Il aperçoit un panneau routier « Toulouse ». Une grande ville… probablement plus facile. Pour économiser le peu d’argent qu’il a, il décide de marcher et de faire du stop. Un peu effrayé, il rencontre quand même un routier sympa, Michel, qui le dépose en périphérie.

Mais il est déjà tard. Ne sachant où aller, il passe la nuit dans un hôtel bon marché. Cela lui permet de prendre enfin une douche et de se reposer.

Le lendemain, il achète quelques vêtements de rechange au supermarché. Il parvient à trouver l’adresse d’un foyer, mais malheureusement il est complet. Et on lui explique qu’il n’est pas en situation « d’urgence ». Il n’est pas sûr de savoir ce que ça signifie, mais, par éducation, il n’est pas habitué à négocier, encore moins à contester ce qu’on lui dit. Il se rend au distributeur de billets, mais sa carte est avalée... il a dépassé sa modeste limite.

Il passe une seconde nuit à l’hôtel. Il se promène en ville et décide de ne pas manger aujourd’hui, histoire d’economiser un peu. Comment faire pour gagner de l’argent ? Où sont les petits boulots ? Il passe devant un pôle emploi mais il n’y a que des annonces pour personnes qualifiées… alors qu’il a tout juste son bac.

Il passe une nouvelle nuit à l’hôtel. La dernière… après il n’aura plus assez d’argent. Il est trop fier pour faire la manche. Il commence à paniquer. Il erre dans les rues, comme une âme en peine. Il sait déjà qu’il va dormir dehors ce soir. Heureusement qu’il ne fait pas froid. Que faire après ? Appeler ses parents ? Non… Revenir au pensionnat ? Hors de question…
Il se retrouve en banlieue, en se disant qu’il y trouvera peut-être un hôtel moins cher… L’endroit est glauque. Il commence à faire nuit. Un parking en bordure d’une route nationale, qui sert d’aire de repos. Quelques jeunes qui trainent par ci par là.

L’envie d’aller aux toilettes le pousse vers le petit bâtiment du fond du parking, qui sert de toilettes publiques. Quand il pénètre, le spectacle qui se déroule sous ses yeux le cloue sur place : un homme d’une cinquante d’années est en train de se faire sucer par un jeune d’une vingtaine d’années. Les deux hommes ont à peine le temps de se retourner vers lui que Nicolas est déjà sorti. Mais il vient directement buter contre un autre type d’une vingtaine d’années, bien plus grand que lui, mate de peau, avec un regard de braise, d’une intensité exceptionnelle. Un type impressionnant, magnétique
- Qu’est-ce que tu fous ici ? T’es venu consommer ?

- Euh…non pardon… je cherchais les toilettes
- Oui, bien sûr… la bonne excuse.

Le type en question dévisage Nicolas. Mal fagoté, les traits tirés, ce dernier n’a pas belle allure
- Remarque, vu ton âge et ta dégaine, t’aurais plutôt la tête à ramener un client…
Nicolas est statufié… il comprend très bien de quoi il s’agit. Il ne sait pas très bien ce qui lui arrive. Est-ce l’instinct de survie qui le cloue sur place ? Son estomac lui tire. Il est affamé. Il n’a pas mangé depuis 24 heures. Il n’a nulle part où aller. C’est l’inconnu qui va se charger de répondre à ses questions, celles qu’il n’ose pas poser, mais que sa présence silencieuse et immobile, implique
- Si t’es nouveau et veut tapiner ici, ça me dérange pas. Sache juste les règles : je prends la moitie et en échange je te protège. Si t’as un problème tu m’appelles
Nicolas bouge doucement la tête. L’idée qu’on le protège le rassure. Il se dit qu’en mettant son honneur de côté, il aura assez d’argent pour manger. Il n’a pas le choix, en fait.

- Ok, moi c’est Radu
Nicolas se présente en tendant une main molle
- Bon, tu m’as l’air vraiment paumé… Attends juste ici sur le parking, et quand un client te chope, tu peux soit monter dans sa voiture ici sur le parking, ou utiliser les chiottes. Tu te fais payer d’avance, et tu me donnes ma part en fin de journée. Essaie pas de me niquer ok ?

Resigné, les mains dans les poches, Nicolas attend debout, en tournant en rond au fond du parking. D’autres garçons, un peu plus âgés sont là aussi. C’est sinistre. Des voitures passent au ralenti. Il ne faut pas longtemps pour qu’une voiture s’arrête devant lui. Son allure jeune, ses cheveux blonds, son aspect minet le différencie des autres.

La suite est un peu comme un film au ralenti pour Nicolas. Il monte dans la voiture comme un zombie et repère à peine le visage du conducteur. Un visage quelconque, entre deux âges. Deux phrases échangées. La voiture qui avance doucement vers le fond du parking. Le conducteur qui sort sa bite, déjà bandée. Nicolas se penche et suce, les yeux fermés. Il suce sans réfléchir. A peine entend il le conducteur soupirer. Puis il sent le sperme couler dans sa bouche et avale. Le client se resape, sort quelques billets et les tend à Nicolas. A-t-il dit merci ou autre chose ? Peu importe. Nicolas descend de la voiture et retourne prendre sa place au fond du parking.

Il fait nuit. Nicolas reste… D’autres clients passent. Ils les sucent dans leur voiture ou aux toilettes. Quand il réalise qu’il lui restera assez, après avoir payé Radu pour manger et dormir à l’hôtel du coin, il se rend aux toilettes pour payer son dû. Radu fait le compte…
- Pas mal pour quelques heures…Certains clients voudront probablement te baiser. Tu peux demander plus pour ça.

Il lui tend des préservatifs, du gel et un sachet de cachets bleus.

- Demande-leur de mettre des capotes. Certains voudront te baiser sans capote, tu peux demander plus pour ça. Je te donne du PrEP aussi
Nicolas lance un discret « merci »
- Tu veux te shooter avec moi ?

Il sort de sa poche un sachet rempli de cristaux blancs. Un autre instinct, celui de protection, pousse Nicolas à dire « non » cette fois.

- Comme tu veux… mais sache que je peux t’en procurer si tu veux
Nicolas bredouille qu’il est fatigué et doit s’en aller… Affamé, il se rend au fast food du coin, ouvert toute la nuit. Des SDF sont attablés devant des plateaux vides. Il dévore son menu et paie une chambre à l’hôtel crasseux en bordure de la nationale.

Extenué, désireux d’effacer une journée d’humiliation, il s’effondre sur son lit et s’endort


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Après sa première scène, Matteo s’achète un nouveau smartphone. Il est content de son nouveau jouet. Il se demande comment va Nicolas. Il aurait honte de lui annoncer qu’il vient de tourner du porno… mais il aimerait lui dire qu’il n’est plus à la rue… et s’assurer que celui-ci va bien. Mais ses SMS restent sans réponse.

Matteo s’installe aussi chez Steve. Il a sa propre chambre… même si Steve l’invite dans son lit régulièrement. Il se rend à Paris aussi, où Steve est assez occupé, ce qui permet de visiter Paris.

Matteo tourne quelques scènes dans les semaines qui suivent. Nourri, logé, et avec de l’argent de poche, il se dit qu’il a eu beaucoup de chance de rencontrer Steve. Il est reconnaissant… il pourrait être SDF aujourd’hui. Oui, il fait du porno, et alors. Qui va le reconnaitre ? Sa famille ? Ses amis ? Il n’en a plu… Il avait un amour, mais il l’a perdu.

A la fin de l’été, Steve vient lui parler :
- Ça te dirait une petite semaine de vacances sur la côte d’Azur ?

- Oh, oui !

- Eh bien on part tourner une semaine avec l’équipe et quelques acteurs… dont toi… si tu es partant
- Bien sûr que oui !

Un amant, de l’argent de poche… et maintenant des vacances !

L’équipe s’envole pour Nice quelques jours après. C’est la première fois que Matteo prend l’avion. Son père n’a jamais eu les moyens. Les vacances en Italie, c’était toujours des heures de voiture… Cinq autres acteurs sont du voyage : Adrien, Lucas, Hugo, Elliot et Leo. Que des beaux minets.

Il est grisé par l’expérience. A ses côtés, Steve le regarde en souriant, satisfait de l’enthousiasme de Matteo.

L’équipe débarque à Nice et se rend dans une villa louée pour la semaine.

Là encore, Matteo est émerveillé. La villa est magnifique, avec une piscine, et un beau jardin sans vis-à-vis.

Steve fait le briefing : « Bon, vous avez tous reçu vos scripts. Vous avez tous deux scènes au moins, plus la partouze le dernier jour. On va démarrer tout de suite par les photos solos en extérieur. Entre vos scènes, profitez bien de la piscine, sauf si on y tourne. Restez aussi à poil le plus possible pour effacer vos marques de maillot. »
Matteo est déjà prévenu : il a sa première scène à 3 avec Hugo et Leo, une scène avec Elliot, puis la partouze. Un programme bien excitant.

Les jeunes profitent un peu de la piscine. Tous à poil. Matteo nage nu pour la première fois. Sensation nouvelle de bien-être et de liberté, la caresse de l’eau sur la peau intégralement nue.

Les acteurs défilent un par un pour des photos individuelles sur la terrasse ou dans le jardin. Ils posent nus dans différentes positions. Soft puis plus provocant, avec le sexe bandé. Matteo se prête au jeu. Puis quand son tour est fini, il retourne profiter de la piscine et bronze nu sur une chaise longue.

Les contacts commencent à se nouer entre les acteurs. Lucas est un peu la star du groupe. Il tourne depuis deux ans maintenant. Adrien est en fait un petit gosse de riche, fils à papa, qui fait ça pour son propre plaisir. Leo et Hugo sont en couple. C’est Leo qui a démarré, puis il a convaincu Hugo de tourner avec lui. Ils ne sont pas jaloux, et tournent parfois ensemble. Elliot, lui, est plus silencieux. Comme Matteo, il est en rupture avec sa famille, et était en foyer. Il tourne depuis quelques mois seulement.

Le groupe dine ensemble sur la terrasse le soir, avec toute l’équipe et les techniciens. L’ambiance est bonne c’est un peu comme une grande famille.

Le soir, Matteo partage la chambre de Steve. Il retire son short et ses tongs pour se glisser nu sous les draps. Steve ménage Matteo : il le veut bien disponible pour demain.

Première scène pour Matteo le lendemain matin, avec Leo et Hugo. Le script a quelques préliminaires. Les garçons jouent dans l’eau comme des gamins, à s’éclabousser, et se mettre la tête sous l’eau. Puis cela tourne au tirage de maillots. Ces derniers finissent par être jetés à l’extérieur du bassin. Puis les acteurs se tirent les fesses et les bites en rigolant, avant de sortir de la piscine les uns à la suite des autres en courant pour rejoindre la chambre attenante.

- Coupez !

Les acteurs se sèchent pour pouvoir commencer à tourner. L’idée est d’avoir un minimum d’interruptions. Matteo bande déjà rien qu’à l’idée de son premier plan à trois. Il est intéressé par l’idée qu’Hugo et Leo forment un couple…
Comme convenu, Leo commence à embrasser Matteo. Ils se tiennent debout, côte à côte, et s’embrassent en montrant leurs langues tout en se caressant les torses et les épaules. Hugo se met à genoux et commence à sucer son copain, tandis que la queue bandée de Matteo effleure son visage. Il la saisit pour la branler. Puis il alterne. Matteo est excité. Embrasser et se faire sucer en même temps. Son corps ressent du plaisir à différents endroits. Hugo est doué : il alterne les coups de langue, les succions, les branles, passe sa langue sous les couilles des deux autres.

Ces derniers finissent par lui tendre la main pour le relever, et les trois amants partagent un baiser. Les langues se battent à trois pendant un moment, tandis que les mains se baladent sur les fesses.

Leo pousse gentiment Hugo qui tombe sur le lit sur ses fesses. Ce dernier s’assoit, et son amant se glisse entre ses jambes pour prendre dans sa bouche la bite bien raide qui l’attend. Sur ses coudes, Hugo soupire, ferme les yeux, et penche la tête en arrière. La caméra filme les deux amants, le corps en entier. Matteo apparait sur la droite, et monte sur le lit. A genoux, il embrasse Hugo passionnément et caresse son torse imberbe. Il reste comme ça un moment à l’embrasser et le caresser. Puis il approche sa queue pour se faire sucer. Hugo suce tout en se faisant sucer. Les mains de Leo et de Matteo lui caressent le corps. Il est le centre des attentions. La caméra se promène partout, filmant les trois sur tous les angles, notamment les queues qui glissent dans les bouches en gros plan. Hugo attrape Matteo pour la nuque et l’embrasse. Comme écrit dans le scenario, il lui lance : « à ton tour de m’sucer »
Hugo grimpe sur le lit, à genoux, et Matteo se met à quatre pattes pour le sucer. Plan éloigné pour montrer les corps entiers. Hugo, nu à genoux, qui caresse les cheveux de Matteo, dont le corps à quatre pattes, la courbure des fesses envahit le reste du champ.

La tête de Leo s’approche. Il embrasse les fesses qui sont face à lui. Donne des coups de langue, puis écarte les fesses pour lécher la raie. Gros plan sur le visage de Matteo qui a lâché la queue d’Hugo pour se retourne et lâcher un « oh oui lèche moi ». Gros plan sur le visage de Leo enfouie dans la raie, puis le trou qui est consciencieusement léché. La caméra s’éloigne pour filmer les trois corps imberbes connectés, les têtes de Leo et Matteo qui s’affairent. Puis elle capture les peaux, les visages.

- Ok, coupez, pause !

Matteo est content : la position à quatre pattes est dure à tenir. La pause permet à Leo de se lubrifier la bite, et à Matteo de se mettre du gel sur l’anus puis un doigt pour se préparer. Ils reprennent ensuite leur position comme si de rien n’était.

Gros plan sur la queue luisante qui force le trou imberbe. Bruits de gémissements. Puis le corps immobile de Matteo filmé en entier. Une queue qui commence à glisser dans son cul et une dans sa bouche. Matteo en rêvait depuis un moment. Savoir comment ça fait… Et ça fait du bien. Être pénétré par devant et derrière. Il sent les mains caresser son dos lisse. La caméra filme tour à tour les regards complices de Leo et Hugo. Ils se penchent pour s’embrasser au-dessus du corps de Matteo. Hugo redresse ce dernier pour l’embrasser puis le fait redescendre pour continuer à sucer. Leo a attrapé les hanches de Matteo pour l’enculer un peu plus vite. La caméra se place derrière pour filmer les petites fesses s’agiter.

Au signal, les acteurs changent de positon. Leo s’allonge sur le dos et tient sa queue verticale. Hugo embrasse longuement Matteo et le fait assoir. Il glisse la queue de son mec dans les fesses de Matteo. La caméra est collée pour filmer de près la pénétration puis les fesses de Matteo qui commencent à monter et descendre. Puis le champ s’élargit. Matteo de dos qui monte et descend et Hugo qui l’a repris par la nuque et l’embrasse. Plan sur le visage et le torse de Leo, son sourire. Ses mains caressent les cuisses de Matteo puis ses fesses. Hugo a donné sa bite à sucer à Matteo. Il est le centre d’intérêt. Gros plan sur son corps. La caméra s’attarde sur sa queue, complétement bandée, presque verticale. Un filet de sperme s’en échappe. Après un moment comme cela, Matteo suit le script : « tu veux prendre ma place »
Sans couper, la caméra capture Hugo qui se met du gel sur le cul, Matteo qui se retire, et Hugo qui le remplace. Il se penche pour embrasser tandis que Matteo lui caresse le dos. Puis il se redresse et s’active. Matteo s’est approché pour embrasser Leo, puis lui faire sucer sa queue. Puis il retourne embrasser Hugo puis descend pour le sucer, car il bande bien lui aussi quand on le pénètre. Il arrive à maintenir la queue dans sa bouche malgré les mouvements de bassin.

« Laisse-moi te sucer » lance Hugo. Matteo se lève. Hugo tourne la tête et suce Matteo goulument tout en continuant à se déhancher sur la queue de Leo.

« Baise moi ». Hugo se détache et s’installe sur le dos jambes écartées. Leo l’embrasse. Matteo se lubrifie la bite puis se glisse en lui. Gros plan sur les fesses de Matteo qui pousse. Hugo tourne la tête et suce Leo. Matteo se penche. La queue de Leo vient glisser entre ses lèvres et celles d’Hugo. La baise continue comme ça pendant un moment, filmée dans tous les angles
Matteo finit par glisser à Leo : « j’ai envie de t’enculer aussi ». La scène est interrompue car ils vont faire une chaine. Les queues et les culs sont de nouveau graissés. Leo est debout au bord du lit. C’est d’abord Matteo qui le pénètre, puis Hugo pénètre Matteo. La chaine est formée. Nouvelle sensation pour Matteo. Pénétré, baisé, le corps serré entre deux amants. Face à la caméra, les visages se tournent pour s’embrasser. C’est Matteo qui donne la cadence et se reculant sur Hugo puis en avançant sur Leo.

Le cameraman vient se glisser entre leurs jambes pour filmer par-dessous…
La chaine est déplacée sur le lit, elle se reforme dans le même ordre, avec les 3 acteurs sur le flanc. La caméra est collée aux bites et au cul. Gros plan sur ces corps qui se pénètrent.

On coupe pour filmer les éjac. Les bites glissent en dehors et Hugo se branlent pour jouir sur la raie de Matteo. Ce dernier fait la même chose sur Leo, et celui-ci jouit sur le lit. Les visages se tournent pour s’embrasser pour le plan final.

- Coupez !

Les techniciens sont satisfaits. Les acteurs aussi. Hugo et Leo s’embrassent. Matteo est content de son premier plan à trois.

A suivre…