Nini et sa maitresse - histoire érotique

Depuis notre journée de bain chez nos amis, les images de sexe avec Marie revenaient souvent dans nos conversations ; Selon notre habitude, nous avions pris beaucoup de plaisir à nous voir faire l’amour et jean avait essayé de me fister, sans succès. C’était la première fois qu’une femme me faisait jouir et mon plaisir s’en était ressenti. J’avais envie de recommencer, mais la présence d’Hervé et son manque de finesse ne faisait reculer. Plusieurs fois, Marie nous avait téléphoné et j’avais décliné ; quand à nouveau, elle nous appela, j’étais seule, Jean étant parti pour deux jours« Je suis seule moi aussi, viens passer l’après-midi ; il fait encore bon dans la piscine » En effet, le temps était au beau et une bonne bronzette me fera du bien et pas de risque de rencontrer son mari ; c’est gaiement que je me rends chez elle ; elle est déjà en maillot et son bronzage, intégral, fait ressortir sa beauté. En effet à 60 ans Marie est une belle femme, grande, plantureuse, mais pas grosse, des formes harmonieuses et une paire de seins à faire pâlir ; à côté d’elle je suis menue avec mes 50 kilos et mon 95b de poitrine ; je plais aux hommes et dans son regard, je découvre que je plais aussi aux femmes ; un petit baiser sur le coin de mes lèvres et nous voilà installées, nues sur les matelas de bains ; après une séance de nage et de retour sur les matelas, marie me propose de m’étaler la crème solaire ; tout en parlant, ses mains se promènent sur mon dos et sur mes fesses ; après les banalités, les propos reviennent sur notre dernière entrevue : « J’ai beaucoup apprécié notre aventure, et toi ? »« J’ai pris beaucoup de plaisir, mais je reconnais que Hervé est un peu brutal »« C’est vrai et je dois dire que ton jean m’a bien fais jouir ; cela fait longtemps que vous faites l’amour à plusieurs ?
« Depuis plusieurs mois et jean prend son pied quand il me voit avec un autre homme et c’est réciproque« Et de te voir avec moi ? Et toi cela t’a plu ? Ces paroles réveillent des sensations et je mouille« Il a aimé et moi aussi ! Elle écarte mes cuisses et assise entre mes jambe, elle peut voir ma chatte qui dégouline ; je me tais ; ses mains glissent le long de mes cuisses et en remontant frôlent de plus en plus mes lèvres et quand sa main touche ma raie, je ferme les yeux tout au plaisir naissant ; doucement ses doigts pénètrent dans ma chatte et en tournant, elle me doigte en douceur, quelques minutes de ce traitement divin et je jouis en silence, laissant couler ma cyprine sur ces doigts ravageurs. Elle me fait tourner et un fois sur le dos, m’écarte à nouveau les cuisses en pliant mes genoux ; j’ai le sexe béant ; elle se penche sur moi et sa bouche se pose sur un téton, tandis qu’un doigt vient titiller mon clito ; puis sa bouche glisse sur mon ventre et quand elle se pose sur ma chatte une décharge me parcourt le corps ; elle me lèche l’entrée et sa langue descend jusqu’au sillon et s’enroule sur mon anneau, puis revient sur ma fente et fouille l’intérieur plein de mouille provoquant un nouvel orgasme .
Puis changeant de position elle se place tête bèche et je découvre son sexe, ses lèvres sont grandes ouvertes et un liquide s’en échappe ; baisant son bassin, elle me plaque ses lèvres sur ma bouche et me prenant la main, elle la plaque sur son clito« Lèche moi le clito, met ta langue dans ma chatte Pour la première fois, je vois un sexe de femme de près, et ma langue vient au contact de ses lèvres, un gout amer me surprend, mais j’essaie de suivre le rythme de marie ; j’écarte les lèvres et je pointe ma langue, au plus profond possible ; puis je reviens sur le Clito, le suçant ou le mordillant, ce qui tire un cri à marie ; je m’arrête croyant lui avoir fait mal, et contraire elle me demande de continuer ; maintenant je prends du plaisir à lui lécher le sexe ; soudain elle jouit et je reçois sa liqueur ; sous le traitement de sa langue qui vient me titiller l’anus je ne tarde pas et je hurle mon plaisir ; je découvre le plaisir des amours lesbiens et je lui avoue mon inexpérience « Tu es une bonne élève, j’ai pris un pied super et j’en mouille encore « et prenant ma main, elle la porte à sa chatte, qui en effet est pleine de jute ; à nouveau ses doigts courent sur moi et viennent m’écarter les fesses, ouvrant le chemin vers mon anneau ; elle a pleine vue sur mon cul et rapidement sa langue vient coller sur mon anneau ; elle joue avec et sa langue s’insinue de plus en plus ; lubrifiée par mes sécrétions qui s’écoule de mon ventre, je gémis, je couine , mon ventre ondule et quand ses doigts remplacent sa langue, je m’empale dessus et me laisse fouiller ; un plaisir fulgurant me submerge ;vaincue par se plaisir pervers, je perds conscience.
Quand je reviens à la réalité, je m’aperçois qu’elle a mis un gode culotte et que le sexe qui sort n’a rien à envier à la réalité ; une vingtaine de cm, taille moyenne, elle le brandit et me caresse le ventre avec« je vais te baiser, je sais que tu vas aimer » me retournant sur le ventre, elle introduit son sexe entre les lèvres et d’une poussée, entre dans mon vagin ; les chaires écartées, le gode me remplit la vulve ; ressortant son gode, pour le renfoncer au plus profond, elle joue avec mon corps, le pilonnant de toutes ses forces ; mon sexe est en feu ;je subis les assauts répétés de marie qui m’enserre les hanches pour me pénétrer plus au fond ; je ahane , , je la supplie de me baiser à fond, puis un orgasme monte dans mon ventre et je me libère d’un grand rugissement ; le plaisir me déborde et me rejette en arrière, ma mouille dégoulinant qui me domine.
Après un repos bain bienfaiteur, elle décide que je passerai la nuit avec elle et que je serai à sa disposition afin de lui rendre le plaisir qu’elle m’avait donné. Avant d’aller plus loin, j’appelle mon jean, comme à l’habitude et je lui annonce que marie m’a possédé et que je passe la nuit avec elle ; avec son accord, je raccroche et je me love dans les bras de ma nouvelle maitresse.
A SUIVRE