Nini, la « grenouille de bénitier » chez les Tékés au Congo. 1/3

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Nini, la « grenouille de bénitier » chez les Tékés au Congo. 1/3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nini, la « grenouille de bénitier » chez les Tékés au Congo. 1/3
Julie était toujours à la recherche d'un scénario afin de mettre en scène sa mère dans des histoires de sexe peu banale ? J’ai essayé de satisfaire son fantasme.
Depuis la disparition malheureuse de son mari voilà près de dix ans, Nicole cette veuve déplorée de 56 ans, vivait seule. Si avant son veuvage, elle était une bonne chrétienne mais peu pratiquante. Dès le décès tragique de son époux, elle s'était réfugiée dans une pratique fervente de la foi et s'impliquait énormément au service de Dieu, unanimement reconnue pour son dévouement au sein de l’église. Pour bon nombres de paroissiens et de paroissiennes, elle est considérée comme étant le bras droit de l'Abbé Boutin. À tel point qu’aujourd’hui, elle était devenue ce que l'on appelle familièrement une véritable « grenouille de bénitier », certaines très mauvaises langues disaient que le curé du village la baisait dans la sacristie avant de faire sa messe.

En définitive, ce n’étaient que ragots colportés, Nini était une veuve d'une fidélité exemplaire à la mémoire de son défunt époux, ayant fait le choix de renoncer définitivement à toute nouvelle relation affective et sexuelle. Elle était très prude, voire littéralement coincée du cul comme il n’était pas permis. Le seul homme qu’elle pouvait regarder dans les yeux et qu’elle servait sans compter, c’était le représentant du seigneur, l’abbé Boutin. Physiquement cette « bigote » aux cheveux châtains et au teint de peau très blanc était considérée comme grosse. Du haut de ses 1m68, elle ne pesait pas moins de 103 kg, avait des seins lourds, des hanches larges, doté d’un très gros fessier et pour couronner le tout, elle avait une pilosité pubienne très fournie, voire envahissante.

L’abbé André Boutin, était encore en grande forme pour ses 71 ans, c’était le curé de la paroisse, il avait prévu d’organiser une longue expédition à but humanitaire comme il avait déjà fait deux ans plus tôt et recherchait des bénévoles pour l’accompagner. Bien entendu, la première personne à qui, il avait pensé était la femme qu’il désirait en secret : Nini. Celle-ci lui avait déjà refusé deux fois mais il ne désespérait pas. En effet, ils devaient se rendre au Congo, un pays d'Afrique centrale dotée de réserves et de forêts tropicales abritant encore des gorilles en liberté. Sa capitale Brazzaville fait face à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo, de l'autre côté du fleuve Congo.

Mbé où devait se rendre la délégation chrétienne de l’abbé André Boutin, est une petite localité, située au sud dans le département du Pool, à environ 150 km de Brazzaville. Dans cette région, Mbé était jadis la capitale du royaume des Téké qui s’étendait sur les plateaux situés sur la rive gauche du fleuve Congo où cette peuplade, fort bien organisée vivait là depuis fort longtemps. Aujourd’hui encore près de trois-cent-mille Téké y sont encore installés, disséminés en tribus dans des tout petits villages dans la forêt.

À leur tête il y avait le Makoko (Roi) Ngono Kubwa vivant à Ngabé dans un de ces villages se trouvant au milieu de la forêt sacrée d’Ebala. Cette réserve alimentaire où la source royale sacrée procure l’eau de boisson réservée au roi, lui apportant sa longévité mais aussi sa force sexuelle grâce à son pénis hors normes et où l’eau puisée sur la rivière Lefini provenant du lieu sacré des chutes du Nkouembali, est utilisée uniquement pour le Makoko, lors de son intronisation et pendant les « Jumapili » (Fêtes du Dimanche). Selon la légende, cette eau sacrée donnait au roi le pouvoir de satisfaire pleinement ses épouses jusqu’à sa mort. Le Makoko serait capable d’éjaculer trois fois en trente minutes en restant en érection. Ses jets de sperme pouvaient atteindre jusqu’à 2 mètres et la quantité éjectée à chaque fois était de 12 centilitres.

Toujours suivant cette légende, les jours de « Jumapili » était la fête du sexe pour Ngono Kubwa. Les chefs de chaque petite tribu de Téké lui envoyaient les jeunes femelles qui devaient se marier afin que le Makoko les dépucèle avec uniquement son gland, avant de les arroser de son incroyable éjaculation. Le futur mari enduisait de ses propres mains, les seins et le ventre de sa promise, de ce sperme soi-disant magique qui avait le pouvoir de les rendre fertiles avant de prendre en saillie sa future femelle lui-même devant l’assistance en ébullition.

La fête du « Jumapili » permettait aussi au Makoko Ngono Kubwa de récompenser la meilleure de ses épouses en profitant de sa bouche afin qu’elle avale cette boisson magique amère et visqueuse, sans en perdre une seule goutte, ce qui leur permettaient de jouir plus fort et plus longtemps. Ces jours-là, n’étaient pas réservés qu’aux plaisirs sexuels, selon la même légende, les punitions en public y étaient fréquemment administrées. Lorsqu’une de leur femelle était désobéissante, les maris amenaient la fautive au Makoko qui se faisait un plaisir de la sodomiser pénétrant ainsi son énorme pénis jusqu’à la garde, devant toute l’assistance et se vidait allégrement dans son rectum pour un lavement salvateur.

L'Église catholique en République du Congo comporte plus de deux millions de fidèles, soit environ la moitié de la population du pays. Les travaux importants de la basilique Saint-Anne à Brazzaville, endommagée au cours des guerres civiles, étant achevés et inauguré le 25 mars 2011 par le Président de la République lui-même, soulignait l'importance de lieux de culte pour le Congo et l'Afrique centrale. L’heure était maintenant, afin de convertir beaucoup plus de congolais à la religion catholique, de construire un peu partout dans le pays des églises. À Mbé le clergé et la commune prévoyaient d’en ériger une petite mais l’endroit idéal pour construire cet édifice se trouvait sur un territoire que possédait le Makoko proche du village de Ngabé.

Il fallait donc convaincre cet homme afin qu’il accepte l’offre des autorités congolaise. Le Makoko Ngono Kubwa était un homme âgé de 104 ans, il était très grand avec ses 1,90m mais squelettique, il semblait n'avoir que la peau sur les os, son visage était osseux orné d'une barbe épaisse, ses cheveux assez longs et clairsemés étaient devenus tout blanc. La particularité que ce chef, était son sexe surdimensionné, disait le Maire de Mbé. Celui-ci était si long, qu'on pouvait le deviner sous le rudimentaire vêtement qui le couvrait de la taille aux genoux.

L’expédition des membres de la délégation pour le Congo était prévue dans une semaine mais cette mission destinée au départ humanitaire, par la volonté du Clergé, elle devait être aussi d’apporter au sein de cette peuplade isolée en pleine forêt sacrée d'Ebala la parole du Christ. C'est l'Abbé Boutin, qui avait passé pour son sacerdoce plusieurs années en Afrique, qui fut choisi pour mener à bien cette mission capitale. Les autorités congolaises ayant débloqués les fonds, le curé devait concrétiser la vente du terrain afin que la construction d’une église sur les plateaux au-dessus de Mbé dans la forêt sacrée se réalise.

Ce roi ne voulait négocier qu’avec des hommes ou femmes de couleur blanche, avait dit Monsieur le Maire, il n’en avait jamais vu et c’était pour lui l’occasion d’en approcher avant sa mort. Pour le Père André Boutin, c’était une aubaine, il avait une bonne excuse pour que Nicole soit du voyage et l'accompagne :
— Nini, le seigneur nous envoie un message, il faut vraiment que tu l’aides, je ne pourrai pas le faire seul.
— Monsieur le curé, je suis vraiment désolée mais je n’ai pas de congé.
— Allez Nini, fais ça pour ton Seigneur et Maitre, il te le rendra.
— Monsieur le curé ! Bien sûr que j’aimerais le faire…
— Alors viens avec moi, c’est Dieu qui te l’ordonne, sache l’écouter.

Lui dit-il en caressant le visage de Nicole. Surprise par cet attouchement, Nini rougit et céda à sa demande. L’abbé Boutin était le seul homme avec lequel elle s’entendait bien, elle se confiait à lui et lui faisait confiance. Pour le curé, il avait tellement eu l’habitude d’avoir Nini à ses côtés qu’il la considérait comme une épouse, elle lui faisait à manger, lavait son linge, l’aidait dans toutes ses démarches et l’assistait tous les jours, simplement il ne l’avait jamais baisé et plus l’âge avançait, plus il en rêvait, il en avait marre de se masturber après que Nini ait quitté le presbytère.

À ce moment-là, l'Abbé André Boutin était en pleine réflexion : « Peut-être que ce voyage de quinze jours au moins, pourrait être l’occasion pour lui de se dépuceler, il était grand temps à 71 ans. » Il fit une génuflexion devant le christ et s’excusa à voix basse de ses pensées malsaines et obscènes puis vint faire une bise sur la joue de Nicole qui rougit de plus belle en faisant un signe de croix :
— Monsieur l’abbé !!!
— Ce n’est rien mon enfant, c’est de la part du Christ, je suis si heureux que tu viennes avec moi à Mbé, ma Nini.

Suivant la tradition, le Makoko pouvait avoir autant de femelles qu’il le désirait. Néanmoins, le dernier mariage du roi devait être prononcé lorsque celui-ci n’éjaculait plus au-delà de trois pas (environ 2 mètres). Tous les ans, après la saison des pluies, le sorcier étant le garant de cette tradition, mesurait les jets après que le Makoko ait contenté au moins six de ses femelles. Deux d’entre elles le masturbaient avec application à quatre mains et après avoir éjaculé, le sorcier prononçait sa sentence. Cette année-là, Ngono Kubwa venait d’avoir soixante ans et n’avait pas atteint pour quelques centimètres la cible. Le sorcier choisit Fula Mampuya âgée de 20 ans à l’époque comme sa dernière femelle.

Malheureusement, le Makoko ruminait, tellement sûr et fier de ses performances qu’il n’avait pas bu son aphrodisiaque. Aujourd’hui, vu ses 104 ans, Ngono Kubwa avait perdu ses huit dernières femelles, il ne lui restait que Fula Mampuya qui allait sur ses 64 ans. Elle avait beaucoup de difficultés à le satisfaire. Par le passé, c’était trois fois le matin, trois fois à la sieste et trois fois avant d’aller se coucher, depuis ses 100 ans le Makoko ne le faisait plus que quatre fois, le matin au réveil, le midi et deux fois le soir. Elle était obligée d’utiliser sa bouches plusieurs fois avant de s’affaler épuisée dans sa couche. D’autant plus qu’elle était devenue depuis un bon moment, sèche du vagin.

Heureusement que le sorcier avait trouvé un remède. Avec un mélange d’aphrodisiaque, deux sortes de champignons et de l’eau sacrée réservé au roi, les femmes qui buvaient cette potion, augmentaient considérablement la sécrétion de cyprine, leur excitation était décuplée, elles ruisselaient, ce qui facilitait le rapport sexuel et lorsqu’elles atteignaient l’orgasme, elles expulsaient une quantité phénoménale de jouissance. Le problème que le sorcier n’avait pu résoudre, était que Fula Mampuya à force de jouir, se vidait, elle en perdait du poids.

Le sorcier dut trouver une parade, il expliqua au Makoko qu’il devait prendre en saillie sa femelle qu’une fois par jour mais autant de fois qu’il le désirait par la bouche. Pour le reste, il devait se contenter des jeunes femmes du village à tour de rôle mais Ngono Kubwa les trouvait bien trop maigres et sans forme pour lui, il n’en voulait pas il lui fallait des femelles avec un gros cul, afin d’assouvir ses fortes pulsions sexuelles. Son arrière-petit-fils allait donc chercher des femmes à gros fessiers dans les tribus dépendantes de leur Makoko, afin qu’elles viennent contenter Ngono Kubwa.

Tous les jours, c’était le même rituel, le matin après que Fula Mampuya avait avalé son petit déjeuner, le gland du Makoko en bouche, il sortait de sa case pour rejoindre la place du village où une jeune femelle l’attendait nue à quatre-patte, sous le regard envieux de son futur successeur Mjukuu Ngono, de 18 ans un adolescent qui comme lui avait un pénis de la même taille. Avec la potion que le sorcier lui avait fait boire cette femelle était impatiente, le futur Makoko pouvait voir couler d’entre ses jambes ce liquide ruisselant le long de ses cuisses.

Ngono Kubwa préparait la saillie et prenait ces femmes comme les gorilles le faisaient avec leurs femelles. Mais ces célibataires se faisaient de plus en plus rares, elles avaient toutes un mari et son sexe leur faisait peur. Lorsque le petit fils Mjukuu Ngono revenait bredouille c’était sa vieille épouse Fula Mampuya qui recevait ses coups de boutoir, elle ne pouvait pas y échapper et à son âge, elle avait très mal et en avait assez de ce sexe monstrueux qui lui déchirait les chairs sèches. Lorsque le Makoko n’avait pas de femelle, ça ne le dérangeait pas de sodomiser certains mâles qui se proposaient à lui et ceux-ci repartaient pleinement satisfaits et étaient depuis quelques temps de plus en plus nombreux.

Pierre Mbo Tabafula Maire de Mbé avait rencontré pour la seconde fois le Makoko Ngono Kubwa pour le convaincre de lui vendre ce terrain qu’il ne lui servait pas mais le roi était têtu et s’obstinait, il exigeait que le Maire lui trouve ce qu’il recherchait tous les jours une femme digne de lui, qui aime son gros sexe et qui sache lui donner du plaisir. Pierre Mbo Tabafula allait chercher des prostitués à Brazzaville ayant un gros fessier mais certaines ne plaisaient pas au vieil homme, elles étaient épilées et avait le vagin tel une enfant. D’autres commençaient à refuser prétextant que le voyage était bien trop long et qu’elles perdaient de l’argent pour venir tous les jours se faire baiser dans une jungle hostile, par un vieil homme chétif dont la queue ressemblait à celle d’un cheval.

Enfin, le jour J est arrivé, une fois que l’avion d’air France atterrit sur l’aéroport de Brazzaville, l'Abbé Boutin demanda au diacre et à deux de ses bénévoles de réaliser la distribution des nombreux dons de vêtements, de médicaments, de nourriture et autres, récoltés lors des journées de kermesse paroissiale, pendant que lui et Nicole quittaient la capitale pour se diriger à Mbé. Après un long périple, ils arrivent à Mbé, où ils furent accueillis chaleureusement par le Maire, Pierre Mbo Tabafula qui les avertit que leur mission ne serait pas de tout repos et que le village de Ngabé était sur des terres sacrées où personnes ne pouvait y accéder sans représailles et qu’aucun visiteurs blancs n’y avaient mis les pieds :
— Le Makoko est prévenu de votre visite, il vous attend.
— Il est si méchant que cela. Demanda Nini naïvement.
— N’essayez surtout pas de vous enfuir, les indigènes vous pourchasseraient et vous violeraient sur place avant de vous manger, comme ils le faisaient depuis toujours.

Il poursuivit en disant que le vieux Ngono Kubwa détestait que l’on puisse le contredire et qu’il valait mieux dire que Nini soit présentée comme la propriété de Monsieur le curé car le Makoko ne comprendrait pas et cela risquait de compromettre sérieusement la mission :
— Il en est hors de question protesta Nicole.

Le curé accepta et improvisera le moment venu. Ne voulant pas expliquer ce qu’il savait de la perversité de Ngono Kubwa devant Nini, le Maire avait pris à part l’abbé André Boutin pour raconter tout ce que la légende disait de lui. Celui-ci étonné ne regrettait pas d’avoir amené sa bigote chérie, il allait sans doute être le témoin d’une saillie phénoménale en bonne et due forme. Lui aussi n’était pas insensible aux fortes rondeurs de sa paroissienne la plus dévouée mais n'avait jamais eu le courage de lui faire la moindre avance, il en bandait déjà d’avance :
— Ne lui refusez jamais rien, il ne veut discuter qu’avec des blancs.

Après avoir gravi le chemin de terre pendant plusieurs kilomètres menant sur le haut plateau, aux portes du territoire des Téké avec leur 4x4, ils durent laisser le véhicule sur place où trois guides et le sorcier du village, les attendaient. Nini et l’abbé avaient marché derrière eux pendant plus de deux heures et demi, elle était épuisée et en sueur, sa petite robe d’été était à tordre, elle lui collait à la peau. Lorsqu’ils arrivèrent enfin à Ngabé, ils furent reçus comme il se doit par le géant, ce vieux chef décrépi et d’une maigreur sans pareille, torse nu, vêtu uniquement d’un long pagne jaune.

Son sourire permettait de s’apercevoir qu’il lui manquait un certain nombre de dents mais cela ne semblait pas le perturber. Le prête se présente en disant :
— Je suis Monsieur le curé, voilà Nini, une chrétienne très dévouée, veuve et sans homme depuis plus de dix ans.
— Makoko, Ngono Kubwa, heureux de vous recevoir. Dit-il dans un français parfait.

Il faut dire qu’à 104 ans, il avait eu le temps d’apprendre la langue officielle du pays, même s’il parlait régulièrement à son peuple en lingala ou en swahili suivant la région où il se trouvait. Surpris de voir cette femelle dont le tissu de sa robe toute mouillée, dévoilait ainsi toutes ses formes, le Makoko avant de les inviter dans sa case pour le repas de bienvenue, l’admira quelques minutes en souriant et s’approcha d’elle. Il profita que cette femelle n’appartienne à personne pour lui soulever sa chevelure en admirant sa peau blanche et laiteuse, la renifla plusieurs fois puis passa ses deux mains sur sa poitrine opulente en soupesant ses gros seins. Nicole apeurée, regarda le sorcier qui lui dit :
— Ne vous inquiétez pas, c’est notre tradition.

Le Makoko avait vraiment l’air satisfait, il continua son inspection en mettant ses mains sur ses larges hanches, faisant toujours face à Nini. Celle-ci remarqua que le pagne de Ngono Kubwa s’était tout d’un coup levé à l’horizontal. Elle n’osait même pas imaginer ce qu’il y avait dessous, tellement la bosse formée par son érection était énorme. Il lui souleva sa robe et vit par transparence sous sa culotte blanche trempée par la sueur, une grosse touffe de poils bien plus foncée, puis afin de vérifier à l’intérieur, il tira sur l’élastique et regarda sous sa petite culotte.

Nicole était horrifiée, elle baissa la tête, elle était devenue rouge de honte, elle se rappelait ce qu’avait dit le Maire, elle n’osait plus bouger et prit peur. Ngono Kubwa passa derrière elle et admira son fessier quelques seconde avant de le toucher, il passa sa main sur toutes les surfaces de son gros cul dont il avait toujours désiré. Une nouvelle fois, il lui souleva sa robe qu’il décolla de sa peau et lui pelotait désormais ses grosses fesses avec ses deux mains et dit simplement au prêtre :
— Dommage que Nini n’est pas tienne curé. C’est ça ton nom n’est-ce pas ? La femelle est tout ce qu’il y a de mieux ici-bas. Et en s’adressant toujours à l’ecclésiastique il lui dit :
— Allons dans ma case, vous devez avoir soif et faim.

La suite dans un prochain récit.

Chères lectrices et chers lecteurs, cette histoire n’est pas réelle, elle fut entièrement inventée par l’auteur qui l’a écrite pour mon plus grand bonheur. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Julie, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Nicole va enfin pouvoir faire le deuil de son defain mari. Le roi du village va en faire la
reine de la débauche. il faut juste qu'elle se dise que c'est le seigneur qui lui lance une
épreuve

Roulio



Texte coquin : Nini, la « grenouille de bénitier » chez les Tékés au Congo. 1/3
Histoire sexe : Une rose rouge
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