Noémie 4 - histoire érotique

Je toquai à la porte, légèrement impatient. Noémie m'avait invité chez elle, elle voulait me faire réviser quelques matières dans lesquelles j'avais des lacunes. Ma première année de fac venait de se terminer, et si j'avais réussi mes examens, il fallait que je m'améliore. Cependant, je n'avais guère envie de réviser : j'avais surtout envie de Noémie. Cela faisait longtemps que l'on ne s'était pas vus, et nos parties de jambes en l'air m'avaient manqué.

Lorsque Noémie m'ouvrit, je sentis qu'il serait encore plus dur de me concentrer sur nos révisions : Noémie m'accueillit en tenue très sexy, un petit haut en débardeur qui dévoilait son ventre plat et moulait sa belle poitrine, et un mini short qui moulait son beau fessier. De quoi vous déconcentrer? Après nous êtres salués, nous nous mîmes au travail.

Une heure plus tard, rien ne s'était passé. Je tentais de me concentrer pour répondre aux questions de Noémie, mais c'était mission impossible. Je ne cessais de reluquer Noémie et de divaguer devant sa tenue sexy.

« Bon tu te concentres un peu ? Dit Noémie agacée après une énième réponse fausse de ma part. »

« Désolé je trouve ça un peu dur... J'ai connu des séances de révisions plus agréables avec toi... Ajout-ai-je. »

Je faisais référence à notre première fois à tous les deux, c'était à l'occasion de révisions en vue du bac deux ans plus tôt. Noémie rougit un peu, mais répliqua d'un ton ferme.

« Ok on baisera... Dés que j'estimerai que tu seras au point dans tes révisions. »

Son ton autoritaire me déplut. Je saisis les feuilles de révision qu'elle tenait en main, les lui arracha et les jeta par terre. Le tout en la regardant droit dans les yeux avec un petit sourire coquin. Je sens la tensions sexuelle s'emparer d'elle, mais elle me répond d'un ton sec :

« C'est gamin ça... »

« Et ça c'est gamin ? Dis je en l'embrassant langoureusement. »

Noémie répondit à mon baiser, et nous augmentons le rythme si vite que l'on se retrouva hors d'haleine très tôt. Je la saisis par les épaules, et la plaqua contre le matelas. Je lui arrachai son mini-short, et son shorty, avant de me débarrasser de pantalon et caleçon. Puis dans la foulée, je la pénétrai d'un coup sec. J'entamai alors des va-et-vient puissants la baisant en missionnaire d'avant en arrière. Je lui tenais les mains tout en la pilonnant et la regardais dans les yeux. J'allais tout de suite à un rythme élevé, car j'étais très excité. Je la culbutais contre le matelas, lui embrassais le cou, lui léchait le buste, prenais possession de son corps. Par moments, je me collai contre elle, l'écrasant à moitié contre le matelas, elle adorait ça, si j'en juge par ses gémissements. « Alors tu penses que je suis au point dans mes révisions ? » lui demandai-je à l'oreille d'un ton moqueur en me collant contre elle. Noémie enroula ses jambes autour de mes hanches, et d'un coup, me renversa. Elle était à présent sur moi.

« Je pense que j'ai encore deux trois petites choses à t'apprendre... répliqua-t-elle. »

Et elle se mit à me donner de puissants coups de reins d'avant en arrière. Elle allait à un rythme très élevé, me baisant en andromaque comme une passionnée. Elle me tenait par le torse, et activait ses hanches magnifiquement, m'administrant de puissants coups de reins, qui me secouaient délicieusement. Elle saisit ensuite mon t-shirt, et me le retira, avant de se déshabiller à son tour, libérant sa magnifique poitrine. Elle reprit ensuite ses va-et-vient, plus sauvagement que jamais. Nous ne tardâmes pas à gémir tous les deux, et Noémie eut un sourire de satisfaction en voyant à quel point elle me faisait du bien. Encouragé par mes cris, elle se mit à encore accélérer le rythme, me baisant encore plus fort et plus délicieusement. Elle se mit ensuite à se déhancher magnifiquement, allant de gauche à droite, secouant mon engin dans toutes les directions, le malmenant merveilleusement. Tout en me baisant, elle se pencha sur moi et m'embrassa langoureusement. Elle me saisit le menton et me dit : « regarde moi, regarde ta prof entrain de te baiser ». Tout en prenant mon pied, je pouffai car elle n'avait rien d'une prof, mais les coups de reins qu'elle m'administra m'empêchèrent de la narguer. Je poussai plutôt un cri de plaisir, et me mis à vibrer sous ses assauts. Mais Noémie poussa son avantage un peu trop loin. Elle me baisait si bien, qu'elle perdait un peu la tête, et me donna une claque qui me fit réagir promptement.

Je la saisis par les hanches, et la renversai. Elle poussa un petit cri de surprise et d'excitation. Je décidai de lui prodiguer un traitement spécial. Je saisis mon engin, et l'insérai le plus doucement possible dans son cul. Noémie poussa un petit gémissement, dans lequel on entendait nettement plus de plaisir que de douleur. Ca ne devait pas être sa première sodomie. Parfait. J'entamai de doux va-et-vient, ne souhaitant pas brusquer les choses. Je prenais lentement possession de son cul. Le plaisir montait lentement en nous deux, et je sentis que tout était parfait du côté de Noémie : je pouvais accélérer. Je me mis à aller et venir sur un rythme très élevé, la pilonnant comme un sauvage, la tenant fermement par les hanches pour l'avoir bien en main. Elle gémissait à pleine voix, et criait : « oooh bon sang c'est super, va plus vite, je t'en supplie va plus vite ! » En gentleman accompli, j'obéis à ses désirs, et me mis à la baiser avec encore plus de force, la culbutant si fort, qu'elle en était ballottée de tous côtés. Elle se mit à hurler, et à me supplier : « noooon non c'est trooop stooop s'il te plaît c'est trop bon je peux plus... STOP ! » mais je savais que si je m'arrêtais elle m'en voudrait à mort, aussi je continuais implacablement la limant avec une nouvelle vigueur. Je sentais l'orgasme approcher, alors je m'activais pour le sprint final. Nous eûmes en même temps un monstrueux et dévastateur orgasme, qui nous laissa écroulés sur le lit.

Inutile de dire qu'après une si délicieuse détente, je fus parfaitement concentré pour mes révisions, et que Noémie en fut ravie... Ceci dit, je pense que le bonheur de Noémie cette après midi là n'était pas uniquement dû à mon talent pour les révisions...