Noémie la renifleuse de queue à la FAC - LE GARDIEN A LA BITE SALE Partie 3
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2023 dans la catégorie Fétichisme
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Noémie la renifleuse de queue à la FAC - LE GARDIEN A LA BITE SALE Partie 3
Bonjour à tous,
Je m’appelle Noémie j’ai trente-cinq ans et je suis ici pour vous relater toutes les frasques sexuelles que j’ai vécues et que mon mari m’impose de livrer pour son plus grand plaisir. C’est un véritable obsédé et il aime m’utiliser ou me prêter à des vieux pervers. Ma spécialité ? Tailler des pipes. Mon péché mignon ? Les bonnes odeurs de bites sales !
Aujourd’hui je vous raconte la suite de l’histoire où le beau gosse de FAC m’avait fait sucer sa bite puante jusqu’à ce que le gardien rentre dans les toilettes et me trouve le visage inonder de foutre…
Noémie la renifleuse de queue à la FAC
Partie 3
LE GARDIEN A LA BITE SALE
Je restai figé devant l’homme qui tenait à peine dans l’encablure de la porte. Sa bedaine était coincée dans une chemise rouge à carreaux noirs. Ses dents jaunies ricanaient sous sa barbe grise et hirsute. Il restait quelques cheveux autour de son gros crâne brillant. Il faisait sale et sentait la sueur. Je ne le regardais jamais et ne lui disais jamais bonjour quand je le croisais et il me trouvait dans une posture de trainée.
— Alors c’est donc toi la petite souillon dont j’ai entendu parler et qui laisse des traces de foutre trainer dans mes toilettes ?
Mes yeux bleus tremblaient devant son regard pervers alors que je sentais le sperme couler sur mes joues.
— Réponds !
— Oui… répondis-je d’une voix honteuse.
— Oui Monsieur Robert ! Répète !
— Oui Monsieur Robert…
Depuis trois mois que je suçais des bites presque tous les soirs il fallait bien qu’un jour cela arrive. J’étais démasquée et quelque chose me disait que l’homme en face de moi se préparait à me tourmenter.
— Putain tout ce qu’il t’a mis sur ton joli petit minois.
J’allais passer mes doigts sur mon visage, mais il m’en dissuada sèchement. Il s’approcha de moi et caressa ma chevelure chiffonnés comme à un gentil animal.
— J’adore tes cheveux doux ma petite Noémie. Alors que vais-je faire de toi ?
Je tremblai en constatant qu’il connaissait mon prénom. Je relevai la tête et me trouva à quelque centimètre de son pantalon de velours kaki. Une odeur émana de son entre-jambes. La renifleuse de bite que j’étais reconnu les effluves de sexe négligé, mais il ne me laissa pas le temps de savourer et m’attrapa par les cheveux.
— Sortons de là. Pour ce que je te réserve je vais avoir besoin de place et de laver un peu ta frimousse si innocente. Tu ne payes pas de mine comme ça, on dirait pas que tu es une grosse putain. Aller vient.
— Aie !
Il me tira de la cabine la jupe retroussée sur la taille, le dos courbé, je devais paraitre ridicule en glissant mes ballerines sur le carrelage blanc. Il me positionna à genoux entre deux pissotières à l’odeur d’urine fraiche que je détestais contrairement à la vieille qui émoustillait mon clito.
Il se dirigea vers la porte principale pour la fermer à clé. Je l’observai revenir vers moi avec un sourire carnassier. Il dégageait une telle perversité que je mouillais. Je préférai les jeunes jusque là, mais ce vieux bedonnant attisait tous mes sens de salope d’étudiante. Et son odeur dégageait une sexualité que j’avais envie de m’offrir à lui tout entière.
Face à moi il débraguetta son pantalon. À cinq centimètres de mon nez des senteurs de vieille bite sale s’évaporèrent. Il sortit un gros morceau court, mais très large, foncé et broussailleux à la base. Son prépuce recouvrait tout le gland qui laissait juste le trou de son urètre apparaitre.
— Mets ta gueule au-dessus des chiottes !
Je le regardai d’un air dégouté.
— Non, s’il vous plaît pas ça…
— Dépêche ! Et c’est monsieur Robert !
— Mais Monsieur Robert…
— Y a pas de maïs. Je vais me fâcher ! Place ta face de pute au-dessus j’ai dit !
Son ton ne laissait aucune alternative. Je n’aimais pas du tout l’uro et ce vieux salaud s’apprêta à me souiller de son urine dégueulasse.
— Voilà, c’est bien, ne bouge plus, ferme pas les yeux et tiens tes jolis cheveux. J’ai pas envie de les salir.
La tête au-dessus d’une flaque jaune je m’exécutai.
— Ah… voilà, ça soulage
Je sentis la pisse chaude couler sur ma joue.
— Mmmm voilà tiens on nettoie bien tout ce foutre…
Il faisait aller venir le jet de haut en bas et de gauche à droite. C’était chaud et puant, des gouttes coulaient sur le bord de mes lèvres, mais par chance il ne me demandait pas de boire.
— Change de côté, magne-toi ! Voilà, allez on fait l’autre joue maintenant.
J’étais humiliée comme jamais, mais jamais ma chatte n’avait autant bouillonné. Ce pervers m’excitait avec ses mots crus et à se servir de moi comme une vulgaire chiotte.
Petit à petit le flot s’atténuait et il me laissa redresser ma tête hors de la puanteur du fond en céramique.
— Voilà toute propre la demoiselle. Merci qui ?
— Merci monsieur Robert.
Il rangea son énorme engin sans me laisser le contempler en entier et vint me caresser le visage. Je reconnus aussitôt l’odeur de sa bite. Adoratrice de parfums de queue, tous mes sens se trouvaient en éveil. Je sentais ma chatte couler d’excitation pour ce gros dégueulasse. Il me saisit par ma tignasse pour m’amener devant le miroir. Courbé sur le lavabo, la jupe relevée, il avait un accès direct à mes deux trous de chienne en chaleur. Je sentis le bout de ses ongles glisser le long de ma fente recouverte de mon tanga. Je fus pris d’un souffle court quand il exerça une pression sur mon clito. Il retira ses doigts et dans le reflet de la glace je le vis les porter sous son nez.
— Mais c’est que tu pus de la chagatte petite cochonne
Mes joues marquées par la pisse et le vieux foutre se mirent à rougir.
— Tu as de la chance j’adore les p’tites chattes odorantes comme la tienne.
Il reporta son attention vers mon vagin et glissa sous l’étoffe où il trifouilla mes lèvres mouillées. Je sursautai en gémissant au contact de sa phalange qui pénétrait mon trou brulant sans prévenir.
— Ah… mmm.
— Tu es trempée jeune chienne.
Il reporta sa main sous ses narines.
— C’que tu pus. C’est pas possible, tu dois aimer les odeurs pour puer comme ça ! Hein salope ?
Je restais muette regardant le lavabo sous es yeux quand une gifle s’abattit sur mes fesses.
— Aïe !
— Tu aimes ça quand a pue ? Réponds ! Et me mens pas !
J’hésitai, mais je ne pouvais nier que je laissais ma chatte sentir pour mieux me délecter de ses effluves lors de mes caresses nocturnes, alors la tête baissée, je répondis.
— Oui monsieur Robert.
Il tira mes cheveux et me plaça face au miroir en me faisant crisser de douleur.
— Plus fort salope !
Sa poigne m’excitait. Il me regardait droit dans les yeux et je mouillai sous ce regard de sadique. L’odeur de ses doigts sur mon visage avait attisé mon désir de renifler sa grosse queue. Sans vraiment me contrôler je ma lâcha complètement et je voulais m’offrir a lui comme un jouet.
— Oui Monsieur Robert, j’adore les quand çe sent. J’aime quand les bites sentent fort et qu’elles sont sales. Je mouille quand j’en renifle une ou que je sens ma chatte qui pue monsieur Robert…
Un ravissement pervers se dessina sur son visage embroussaillé. Je regrettai ce que je venais de dire en imaginant ce qu’il était capable de m’infliger.
Il me relâcha pour glisser la main dans son pantalon d’où il éprouva quelques difficultés à ressortir ses doigts
— Ferme les yeux, petite Noémie.
L’entendre prononcer mon prénom me faisait couler davantage. Je m’exécutai et je le sentis se rapprocher de mon visage. Je ressentais ses doigts se balader sous mon nez en même temps qu’une odeur terrible se diffusa. Cela sentait la marée mélangée d’odeurs de sueur d’urine et de vieux foutre. La cyprine s’écoulait sur mes cuisses et je ne pus retenir un long gémissement de plaisir.
— Mmmmmmmmmm.
— Je savais que tu aimerais ça. Savoure jeune salope, vas-y.
Les senteurs flottait sous mon nez pendant qu’il frottait ses doigts l’un contre l’autre.
— Mmmm.
J’imaginai l’état de sa bite pour qu’elle dégage une telle puanteur. Il ne devait pas la laver souvent et si cela rebutait la plupart des filles, moi, cela m’excitait outrageusement. Il me pinça le nez et je ressentis comme une trace collée sur mes narines où les effluves de sa queue persistaient. En parallèle il faisait aller et venir deux doigts dans ma chatte inondée avant de se repaitre de nouveau de ses senteurs nauséabondes. Je gémissais comme une catin sous ses caresses et profitait de l’odeur qui ne me quittait plus.
— Oh putain tu aimes ça hein. Tu va voir tu va aimer sentir ma bite après. Dis merci !
— Oh oui merci monsieur Robert ? Je suis impatiente de renifler votre grosse queue dégueulasse, monsieur Robert.
Ses yeux pétillaient devant l’enthousiasme que je montrais. Cette odeur constante sous mon nez me faisait perdre toute retenue. Il accéléra les va et viens de ses deux doigts boudinés dans mon fondement et provoqua le raisonnement des clapotis dans la pièce.
— Ah ah ah… c’est bon monsieur Robert…mmmmm.
Il enfonça trois doigts, je gémissais de plus en plus fort.
— T’aimes ça que je défonce ta chatte hein salope !
— Ooohhhh… Ouiiiii… Monsieur Roobbert…
— Tiens, tiens ! Faut vraiment être une sacrée chienne pour aime les odeurs de bites tu sais ça ?
Il ralentissait, mais avec un quatrième doigt il me fouillait l’intérieur me provoquant des spasmes
— Mouiii Mosieur Roert, je suis une bonne chienne. Oui j’aime quand ça puuuuu….
— Tu va être ma gentille pute hein Noémie…
Il retira sa main gluante de ma chatte endolorie et je repris mon souffle.
— Oui monsieur Robert, tout ce que vous voulez. Je serai votre jeune pute. Mais s’il vous plait, faites-moi encore sentir l’odeur de votre grosse matraque puante…
A suivre...
Je m’appelle Noémie j’ai trente-cinq ans et je suis ici pour vous relater toutes les frasques sexuelles que j’ai vécues et que mon mari m’impose de livrer pour son plus grand plaisir. C’est un véritable obsédé et il aime m’utiliser ou me prêter à des vieux pervers. Ma spécialité ? Tailler des pipes. Mon péché mignon ? Les bonnes odeurs de bites sales !
Aujourd’hui je vous raconte la suite de l’histoire où le beau gosse de FAC m’avait fait sucer sa bite puante jusqu’à ce que le gardien rentre dans les toilettes et me trouve le visage inonder de foutre…
Noémie la renifleuse de queue à la FAC
Partie 3
LE GARDIEN A LA BITE SALE
Je restai figé devant l’homme qui tenait à peine dans l’encablure de la porte. Sa bedaine était coincée dans une chemise rouge à carreaux noirs. Ses dents jaunies ricanaient sous sa barbe grise et hirsute. Il restait quelques cheveux autour de son gros crâne brillant. Il faisait sale et sentait la sueur. Je ne le regardais jamais et ne lui disais jamais bonjour quand je le croisais et il me trouvait dans une posture de trainée.
— Alors c’est donc toi la petite souillon dont j’ai entendu parler et qui laisse des traces de foutre trainer dans mes toilettes ?
Mes yeux bleus tremblaient devant son regard pervers alors que je sentais le sperme couler sur mes joues.
— Réponds !
— Oui… répondis-je d’une voix honteuse.
— Oui Monsieur Robert ! Répète !
— Oui Monsieur Robert…
Depuis trois mois que je suçais des bites presque tous les soirs il fallait bien qu’un jour cela arrive. J’étais démasquée et quelque chose me disait que l’homme en face de moi se préparait à me tourmenter.
— Putain tout ce qu’il t’a mis sur ton joli petit minois.
J’allais passer mes doigts sur mon visage, mais il m’en dissuada sèchement. Il s’approcha de moi et caressa ma chevelure chiffonnés comme à un gentil animal.
— J’adore tes cheveux doux ma petite Noémie. Alors que vais-je faire de toi ?
Je tremblai en constatant qu’il connaissait mon prénom. Je relevai la tête et me trouva à quelque centimètre de son pantalon de velours kaki. Une odeur émana de son entre-jambes. La renifleuse de bite que j’étais reconnu les effluves de sexe négligé, mais il ne me laissa pas le temps de savourer et m’attrapa par les cheveux.
— Sortons de là. Pour ce que je te réserve je vais avoir besoin de place et de laver un peu ta frimousse si innocente. Tu ne payes pas de mine comme ça, on dirait pas que tu es une grosse putain. Aller vient.
— Aie !
Il me tira de la cabine la jupe retroussée sur la taille, le dos courbé, je devais paraitre ridicule en glissant mes ballerines sur le carrelage blanc. Il me positionna à genoux entre deux pissotières à l’odeur d’urine fraiche que je détestais contrairement à la vieille qui émoustillait mon clito.
Il se dirigea vers la porte principale pour la fermer à clé. Je l’observai revenir vers moi avec un sourire carnassier. Il dégageait une telle perversité que je mouillais. Je préférai les jeunes jusque là, mais ce vieux bedonnant attisait tous mes sens de salope d’étudiante. Et son odeur dégageait une sexualité que j’avais envie de m’offrir à lui tout entière.
Face à moi il débraguetta son pantalon. À cinq centimètres de mon nez des senteurs de vieille bite sale s’évaporèrent. Il sortit un gros morceau court, mais très large, foncé et broussailleux à la base. Son prépuce recouvrait tout le gland qui laissait juste le trou de son urètre apparaitre.
— Mets ta gueule au-dessus des chiottes !
Je le regardai d’un air dégouté.
— Non, s’il vous plaît pas ça…
— Dépêche ! Et c’est monsieur Robert !
— Mais Monsieur Robert…
— Y a pas de maïs. Je vais me fâcher ! Place ta face de pute au-dessus j’ai dit !
Son ton ne laissait aucune alternative. Je n’aimais pas du tout l’uro et ce vieux salaud s’apprêta à me souiller de son urine dégueulasse.
— Voilà, c’est bien, ne bouge plus, ferme pas les yeux et tiens tes jolis cheveux. J’ai pas envie de les salir.
La tête au-dessus d’une flaque jaune je m’exécutai.
— Ah… voilà, ça soulage
Je sentis la pisse chaude couler sur ma joue.
— Mmmm voilà tiens on nettoie bien tout ce foutre…
Il faisait aller venir le jet de haut en bas et de gauche à droite. C’était chaud et puant, des gouttes coulaient sur le bord de mes lèvres, mais par chance il ne me demandait pas de boire.
— Change de côté, magne-toi ! Voilà, allez on fait l’autre joue maintenant.
J’étais humiliée comme jamais, mais jamais ma chatte n’avait autant bouillonné. Ce pervers m’excitait avec ses mots crus et à se servir de moi comme une vulgaire chiotte.
Petit à petit le flot s’atténuait et il me laissa redresser ma tête hors de la puanteur du fond en céramique.
— Voilà toute propre la demoiselle. Merci qui ?
— Merci monsieur Robert.
Il rangea son énorme engin sans me laisser le contempler en entier et vint me caresser le visage. Je reconnus aussitôt l’odeur de sa bite. Adoratrice de parfums de queue, tous mes sens se trouvaient en éveil. Je sentais ma chatte couler d’excitation pour ce gros dégueulasse. Il me saisit par ma tignasse pour m’amener devant le miroir. Courbé sur le lavabo, la jupe relevée, il avait un accès direct à mes deux trous de chienne en chaleur. Je sentis le bout de ses ongles glisser le long de ma fente recouverte de mon tanga. Je fus pris d’un souffle court quand il exerça une pression sur mon clito. Il retira ses doigts et dans le reflet de la glace je le vis les porter sous son nez.
— Mais c’est que tu pus de la chagatte petite cochonne
Mes joues marquées par la pisse et le vieux foutre se mirent à rougir.
— Tu as de la chance j’adore les p’tites chattes odorantes comme la tienne.
Il reporta son attention vers mon vagin et glissa sous l’étoffe où il trifouilla mes lèvres mouillées. Je sursautai en gémissant au contact de sa phalange qui pénétrait mon trou brulant sans prévenir.
— Ah… mmm.
— Tu es trempée jeune chienne.
Il reporta sa main sous ses narines.
— C’que tu pus. C’est pas possible, tu dois aimer les odeurs pour puer comme ça ! Hein salope ?
Je restais muette regardant le lavabo sous es yeux quand une gifle s’abattit sur mes fesses.
— Aïe !
— Tu aimes ça quand a pue ? Réponds ! Et me mens pas !
J’hésitai, mais je ne pouvais nier que je laissais ma chatte sentir pour mieux me délecter de ses effluves lors de mes caresses nocturnes, alors la tête baissée, je répondis.
— Oui monsieur Robert.
Il tira mes cheveux et me plaça face au miroir en me faisant crisser de douleur.
— Plus fort salope !
Sa poigne m’excitait. Il me regardait droit dans les yeux et je mouillai sous ce regard de sadique. L’odeur de ses doigts sur mon visage avait attisé mon désir de renifler sa grosse queue. Sans vraiment me contrôler je ma lâcha complètement et je voulais m’offrir a lui comme un jouet.
— Oui Monsieur Robert, j’adore les quand çe sent. J’aime quand les bites sentent fort et qu’elles sont sales. Je mouille quand j’en renifle une ou que je sens ma chatte qui pue monsieur Robert…
Un ravissement pervers se dessina sur son visage embroussaillé. Je regrettai ce que je venais de dire en imaginant ce qu’il était capable de m’infliger.
Il me relâcha pour glisser la main dans son pantalon d’où il éprouva quelques difficultés à ressortir ses doigts
— Ferme les yeux, petite Noémie.
L’entendre prononcer mon prénom me faisait couler davantage. Je m’exécutai et je le sentis se rapprocher de mon visage. Je ressentais ses doigts se balader sous mon nez en même temps qu’une odeur terrible se diffusa. Cela sentait la marée mélangée d’odeurs de sueur d’urine et de vieux foutre. La cyprine s’écoulait sur mes cuisses et je ne pus retenir un long gémissement de plaisir.
— Mmmmmmmmmm.
— Je savais que tu aimerais ça. Savoure jeune salope, vas-y.
Les senteurs flottait sous mon nez pendant qu’il frottait ses doigts l’un contre l’autre.
— Mmmm.
J’imaginai l’état de sa bite pour qu’elle dégage une telle puanteur. Il ne devait pas la laver souvent et si cela rebutait la plupart des filles, moi, cela m’excitait outrageusement. Il me pinça le nez et je ressentis comme une trace collée sur mes narines où les effluves de sa queue persistaient. En parallèle il faisait aller et venir deux doigts dans ma chatte inondée avant de se repaitre de nouveau de ses senteurs nauséabondes. Je gémissais comme une catin sous ses caresses et profitait de l’odeur qui ne me quittait plus.
— Oh putain tu aimes ça hein. Tu va voir tu va aimer sentir ma bite après. Dis merci !
— Oh oui merci monsieur Robert ? Je suis impatiente de renifler votre grosse queue dégueulasse, monsieur Robert.
Ses yeux pétillaient devant l’enthousiasme que je montrais. Cette odeur constante sous mon nez me faisait perdre toute retenue. Il accéléra les va et viens de ses deux doigts boudinés dans mon fondement et provoqua le raisonnement des clapotis dans la pièce.
— Ah ah ah… c’est bon monsieur Robert…mmmmm.
Il enfonça trois doigts, je gémissais de plus en plus fort.
— T’aimes ça que je défonce ta chatte hein salope !
— Ooohhhh… Ouiiiii… Monsieur Roobbert…
— Tiens, tiens ! Faut vraiment être une sacrée chienne pour aime les odeurs de bites tu sais ça ?
Il ralentissait, mais avec un quatrième doigt il me fouillait l’intérieur me provoquant des spasmes
— Mouiii Mosieur Roert, je suis une bonne chienne. Oui j’aime quand ça puuuuu….
— Tu va être ma gentille pute hein Noémie…
Il retira sa main gluante de ma chatte endolorie et je repris mon souffle.
— Oui monsieur Robert, tout ce que vous voulez. Je serai votre jeune pute. Mais s’il vous plait, faites-moi encore sentir l’odeur de votre grosse matraque puante…
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