Noémie la renifleuse de queue à la FAC - Le gardien baise ma bouche
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Noémie la renifleuse de queue à la FAC - Le gardien baise ma bouche
Bonjour à tous,
Je m’appelle Noémie j’ai trente-cinq ans et je suis ici pour vous relater toutes les frasques sexuelles que j’ai vécues et que mon mari m’impose de livrer pour son plus grand plaisir. C’est un véritable obsédé et il aime m’utiliser ou me prêter à des vieux pervers. Ma spécialité ? Tailler des pipes. Mon péché mignon ? Les bonnes odeurs de bites sales !
Partie 4
Le gardien baise ma bouche
Je devenais folle tant ce vieux pervers m’excitait. Ses senteurs nauséabondes me faisaient divaguer. Je voulais avoir sa bite au bout de mon nez et profond dans ma chatte. Il m’attrapa par les cheveux en me faisant couiner pour me jeter à ses pieds.
— Tu veux sentir l’odeur de ma bite, tu vas l’avoir ma petite renifleuse !
Il frotta ma tête contre son bassin. Je ressentais toute la grosseur de son membre sur mes lèvres, mes joues, mon front. Cela humait fort même à travers le tissu en velours. Sa poigne combinée à ses effluves me donnait envie de lui bouffer sa queue.
— J’adore votre paquet, Monsieur Robert Hummmm, hummmmmm.
Je tâtais son morceau à travers l’étoffe et mouillais en devinant l’épaisseur ?
— Gémis chienne, tu vas pas être déçue du voyage.
Il m’écarta en tirant mes cheveux en arrière comme un vulgaire chiffon.
— Ferme les yeux sale pute !
— À vos ordres monsieur Robert.
Il me cracha un jet de salive méprisant au visage. Les mains posées sur les genoux, la poitrine gonflée » sous mon t-shirt trempé de pisse je l’entendais s’affairer sur sa braguette. Après le bruit du frottement du tissu, une odeur pestilentielle se propagea tout autour de nous.
— Olalalala ce que ça sent fort monsieur Robert !
— Attends, tu as rien vu !
Son gland effleura mes narines affutées. Même pour une adepte de bite crade comme moi cette odeur frôlait l’insoutenable. L’air se chargea d’effluves de sexe qui me transcendait. Cette puanteur me rendait dingue.
— Sniff, hummm, sniff, hummm
— Tu aimes hein. Je rêvais de tomber sur une belle cochonne comme toi !
— Oh oui elle pu beaucoup votre queue monsieur Robert. Je n’ai jamais senti une chose pareille. hummm, snifff.. Puis-je la renifler de près s’il vous plait, monsieur Robert ? demandai-je d’un air ingénu.
— Gourmande ! Vas-y ; colle tes naseaux sur mon manche !
Je me jetai dessus les yeux fermés.
— Hummm snif.. Hummm ce qu’elle sent fort ! Hummm… snif snif… hummm je kiffe…
Jamais de ma vie je n’avais senti une odeur pareille. Même quand je ne lavais pas ma chatte pendant deux jours. Je savourai mon plaisir et me fier seulement à mon sens de l’odorat décuplait mon excitation.
— Allez, ouvre les yeux chienne.
J’obtempérai, m’attendant à trouver une surprise à la manière d’une fillette devant un paquet cadeau. Je découvrais enfin de près son bâton puant qui sortait de sa braguette. Foncé, court, aussi large qu’une canette de coca.
Il remarqua mon émoi dans mon regard inquiet.
— T’en as jamais vu des grosses comme ça hein ?
— Oh que non, monsieur Robert.
— Elle te plaît ?
— Oui, mais… Elle me fait peur. J’en ai jamais vu une si épaisse…
Il remua sa bedaine d’un rire gras.
— Approche ton nez ma petite Noémie chérie.
Je me penchai vers son gland rose recouvert par son prépuce.
— Hummm, sniff, hummm, oh la vache ! Ce qu’elle sent… Merci monsieur Robert.
Mon nez courra le long de son membre parfumé au foutre séché. Je le regardais de me yeux bleus en respirant son fumet dégueulasse. Il attrapa sa bite et tira la peau vers le bas. Au fur et à mesure les émanations pestilentielles s’intensifiaient, je scrutais son gland se découvrir et me délectais des effluves de marée remonter quand des traces blanches apparurent. Au summum de l’odeur, j’eus un geste de recul et d’écœurement.
— Fais pas ta chochotte. Tu aimes l’odeur non ?
Je fixai d’un regard dégouté cette bite recouverte de smegma nauséabond.
— Réponds !
— Oui, mais…
Il m’envoya une gifle qui me sortir de ma torpeur
— Oui j’aime les odeurs de bite sale, monsieur Robert !
— Frotte-la sur ton visage et étale bien ma crème sous ton nez ! C’est pas du Dior, mais tu verras ça fait des miracles.
Il éclata de rire. Je le suppliais du regard, mais après sa pisse je me doutais qu’il ne montrerait aucune pitié.
— Tu veux la nettoyer avec ta bouche peut-être ? Alors exécution, barbouille-toi. Tu vas aimer après…
Je saisis le gros lombric qui me rebutait et m’excitait en même temps. Je l’appuyais sur mes joues en fermant les yeux pour me concentrer sur les arômes de cette immondice. Ça sentait énormément et je m’en imprégnais sur tout mon visage. Je frottai le gland sous mes narines en gémissant. Je glissais l’odeur sur mon front. Je puais la bite.
— Monsieur Robert ça me rend folle. Hummm, snif…
Passé le dégout, les fragrances s’incrustaient dans ma peau et je devenais lubrique tant ma chatte de jeune salope coulait.
— Hummm, ça put monsieur Robert et je raffole de ça… Je n’ai jamais senti une queue aussi sale.
J’en avais étalé partout et ouvris les yeux. Il demeurait quelques traces blanches sur sa tige complètement dure.
— Allez lèche le reste cochonne !
Je pris mon courage à deux mains et glissai un coup de langue sur la trainée crémeuse et puante en poussant un long gémissement.
— Oui ça m’excite quand tu gémis ma mignonne.
— Hummmm, hummmm, hummmm.
Mes lèvres de suceuse jouait avec le bout de son pruneau ou une goutte perlait. Je passais et repassais de bas en haut léchant les restes de fromage de bite comme une chienne léchait un os. Je me régalais telle une belle trainée avide de toutes expériences, jusqu’à nettoyer un zob immonde.
— Descends mon pantalon et occupe-toi de mes boules !
— Oui monsieur Robert.
Je défis sa boutonnière autour de son mastard. Je baissai le pantalon suivi de son vieux caleçon pour découvrir une paire de couilles énorme cachée sous une touffe de poils gris. Je détestais la pilosité, mais l’odeur qui s’en diffusait me fit vite changer de gout et je léchais ses calots. Je dégustais ses grosses boules que je suçotais comme des petites bites.
— Gobe les mois. Oui c’est ça.
— Slurp slurp
— Ahhh quelle bonne gobeuse de couilles tu fais.
— Merci Monsieur Robert.
— Maintenant tu vas t’occuper de mon gros nœud p’tite suceuse.
Je me demandai comment j’allais m’y prendre pour la rentrer dans mon étroite cavité buccale. J’ouvris en grand pour faire passer cette bite au diamètre hors du commun. J’avais l’impression que mes lèvres allaient se déchirer quand il enfonça son chibre.
— Hummm, oui… Elle est bonne ta petite bouche. C’est bien, allez, vas-y pompe salope. Et regarde-moi !
Je levai un regard soumis vers lui, la bouche distendue et la joue déformée. J’allais et venais en plantant mes yeux bleus dans les siens. Les fragrances de bite sur mon visage faisaient dégouliner ma chatte. La salive s’accumulait sur mon menton et je ne rentrais que les trois quarts de sa queue. Il posa son immense paluche sur mon crâne pour m’aider à l’engloutir en entier.
— Slurp slurp, hummm.
— Allez enfonce chienne, fais un effort !
Sa pression s’accentua et d’un coup, son barreau venait pousser sur ma glotte.
— Ummpff, umpfff, slurp, slurp, hummm.
— C’est bien ma salope, respire un peu.
Il me libéra et un long filet de salive s’étirait de ma bouche à son gland trempé de ma bave.
— Elle est bonne ?
— Oh oui monsieur Robert, je n’ai jamais sucé une aussi grosse bite. Et elle a un gout prononcé comme j’aime…
— Tes vraiment une belle petite garce. Tu vas voir je vais bien m’occuper de toi !
Je caressais ses couilles pendant que je mouillais sous ses insultes.
— Miam, elles sont bien remplies.
— Oui tu vas les vider sale pute !
— Avec plaisir, hummm. Surp slurp.
Il m’attira à lui de nouveau, cette fois avec une poigne brutale et son gros machin se logea immédiatement au fond de ma gorge complètement déboitée. J’essayai de me dégager de la violence de l’attaque. Je frappai mes mains sur ses cuisses de bucheron. Il secoua ma tête de droite à gauche, d’avant en arrière. Il me gérait comme sa marionnette sexuelle. Je décidai de me laisser faire et subir ses fantasmes comme sa femme-objet.
— Bouge pas ma pute ! Allez, je vais baiser ta gorge maintenant.
Il tira sur mon nez qui s’enfonça dans son pubis aux odeurs chargées.
— Umpfff, umpfff, glop, glop
— Voilà… humm.
Il me maintint une poignée de seconde et mon visage se transforma en tomate. En apnée j’avais peur de perdre connaissance. Heureusement il me laissa prendre l’air alors que la bile coulait le long de mon cou pour tomber sur mon top taché du sperme du bogoss de l’amphi. Il me maltraita pendant de longues minutes. J’étais brulante de désir. On ne m’avait jamais traité ainsi. Je me sentais comme une véritable salope, moi la suceuse et renifleuse de bite de la FAC. J’avais mal à la mâchoire et j’avais envie de son braquemart dans ma chatte pour apprécier la sensation de recevoir un tel monstre ;
— Allez suce suce, gémit catin, bave bien crache
Je m’exécutai
— hummm, hummm hummm, slurp, slurp, slurp.
Je suçais et suçais. Je crachai sur sa grosse queue. Je tentai de l’avaler jusqu’au bout et il restait encore de la place pour ma main. Je lui dévorais son membre, léchait comme une goulue sa volumineuse hampe veinée avant de replonger sur so gland baveux de ma bile de chienne en chaleur.
Il me tira les cheveux pour me relever et me faire assoir face à lui sur le lavabo. Ayez, il allait me baiser. J’allais enfin sentir son immense queue dans ma chatte serrée. De près, son visage était encore plus gras et suant, mais il m’excitait ce vieux porc. Il retira mon slip et le rangea dans sa poche après l’avoir reniflé en plantant ses yeux sadiques dans les miens.
— Écarte les cuisses, sale trainée.
Un air frais passa sur ma chatte mouillée et ardente. Il se pencha et renifla ma chatte odorante.
— Humm, ce que tu pus petite négligée. Un délice cette chatte toute rasée.
Ma respiration se coupa, quand son nez effleura mon clito tout lisse. Je sentais son souffle chaud courir sur mes lèvres dilatées. Il se releva pour m’offrir une vue sur sa barre à mine.
— Tu es prête salope. Je vais de démonter ta p’tite chatte.
— Oui, mais monsieur Robert doucement s’il vous plait, je n’en ai jamais pris une pareille.
— N’aie pas peur, je vais y aller en douceur et après je te ferai couiner comme un animal fragile.
À suivre…
Je m’appelle Noémie j’ai trente-cinq ans et je suis ici pour vous relater toutes les frasques sexuelles que j’ai vécues et que mon mari m’impose de livrer pour son plus grand plaisir. C’est un véritable obsédé et il aime m’utiliser ou me prêter à des vieux pervers. Ma spécialité ? Tailler des pipes. Mon péché mignon ? Les bonnes odeurs de bites sales !
Partie 4
Le gardien baise ma bouche
Je devenais folle tant ce vieux pervers m’excitait. Ses senteurs nauséabondes me faisaient divaguer. Je voulais avoir sa bite au bout de mon nez et profond dans ma chatte. Il m’attrapa par les cheveux en me faisant couiner pour me jeter à ses pieds.
— Tu veux sentir l’odeur de ma bite, tu vas l’avoir ma petite renifleuse !
Il frotta ma tête contre son bassin. Je ressentais toute la grosseur de son membre sur mes lèvres, mes joues, mon front. Cela humait fort même à travers le tissu en velours. Sa poigne combinée à ses effluves me donnait envie de lui bouffer sa queue.
— J’adore votre paquet, Monsieur Robert Hummmm, hummmmmm.
Je tâtais son morceau à travers l’étoffe et mouillais en devinant l’épaisseur ?
— Gémis chienne, tu vas pas être déçue du voyage.
Il m’écarta en tirant mes cheveux en arrière comme un vulgaire chiffon.
— Ferme les yeux sale pute !
— À vos ordres monsieur Robert.
Il me cracha un jet de salive méprisant au visage. Les mains posées sur les genoux, la poitrine gonflée » sous mon t-shirt trempé de pisse je l’entendais s’affairer sur sa braguette. Après le bruit du frottement du tissu, une odeur pestilentielle se propagea tout autour de nous.
— Olalalala ce que ça sent fort monsieur Robert !
— Attends, tu as rien vu !
Son gland effleura mes narines affutées. Même pour une adepte de bite crade comme moi cette odeur frôlait l’insoutenable. L’air se chargea d’effluves de sexe qui me transcendait. Cette puanteur me rendait dingue.
— Sniff, hummm, sniff, hummm
— Tu aimes hein. Je rêvais de tomber sur une belle cochonne comme toi !
— Oh oui elle pu beaucoup votre queue monsieur Robert. Je n’ai jamais senti une chose pareille. hummm, snifff.. Puis-je la renifler de près s’il vous plait, monsieur Robert ? demandai-je d’un air ingénu.
— Gourmande ! Vas-y ; colle tes naseaux sur mon manche !
Je me jetai dessus les yeux fermés.
— Hummm snif.. Hummm ce qu’elle sent fort ! Hummm… snif snif… hummm je kiffe…
Jamais de ma vie je n’avais senti une odeur pareille. Même quand je ne lavais pas ma chatte pendant deux jours. Je savourai mon plaisir et me fier seulement à mon sens de l’odorat décuplait mon excitation.
— Allez, ouvre les yeux chienne.
J’obtempérai, m’attendant à trouver une surprise à la manière d’une fillette devant un paquet cadeau. Je découvrais enfin de près son bâton puant qui sortait de sa braguette. Foncé, court, aussi large qu’une canette de coca.
Il remarqua mon émoi dans mon regard inquiet.
— T’en as jamais vu des grosses comme ça hein ?
— Oh que non, monsieur Robert.
— Elle te plaît ?
— Oui, mais… Elle me fait peur. J’en ai jamais vu une si épaisse…
Il remua sa bedaine d’un rire gras.
— Approche ton nez ma petite Noémie chérie.
Je me penchai vers son gland rose recouvert par son prépuce.
— Hummm, sniff, hummm, oh la vache ! Ce qu’elle sent… Merci monsieur Robert.
Mon nez courra le long de son membre parfumé au foutre séché. Je le regardais de me yeux bleus en respirant son fumet dégueulasse. Il attrapa sa bite et tira la peau vers le bas. Au fur et à mesure les émanations pestilentielles s’intensifiaient, je scrutais son gland se découvrir et me délectais des effluves de marée remonter quand des traces blanches apparurent. Au summum de l’odeur, j’eus un geste de recul et d’écœurement.
— Fais pas ta chochotte. Tu aimes l’odeur non ?
Je fixai d’un regard dégouté cette bite recouverte de smegma nauséabond.
— Réponds !
— Oui, mais…
Il m’envoya une gifle qui me sortir de ma torpeur
— Oui j’aime les odeurs de bite sale, monsieur Robert !
— Frotte-la sur ton visage et étale bien ma crème sous ton nez ! C’est pas du Dior, mais tu verras ça fait des miracles.
Il éclata de rire. Je le suppliais du regard, mais après sa pisse je me doutais qu’il ne montrerait aucune pitié.
— Tu veux la nettoyer avec ta bouche peut-être ? Alors exécution, barbouille-toi. Tu vas aimer après…
Je saisis le gros lombric qui me rebutait et m’excitait en même temps. Je l’appuyais sur mes joues en fermant les yeux pour me concentrer sur les arômes de cette immondice. Ça sentait énormément et je m’en imprégnais sur tout mon visage. Je frottai le gland sous mes narines en gémissant. Je glissais l’odeur sur mon front. Je puais la bite.
— Monsieur Robert ça me rend folle. Hummm, snif…
Passé le dégout, les fragrances s’incrustaient dans ma peau et je devenais lubrique tant ma chatte de jeune salope coulait.
— Hummm, ça put monsieur Robert et je raffole de ça… Je n’ai jamais senti une queue aussi sale.
J’en avais étalé partout et ouvris les yeux. Il demeurait quelques traces blanches sur sa tige complètement dure.
— Allez lèche le reste cochonne !
Je pris mon courage à deux mains et glissai un coup de langue sur la trainée crémeuse et puante en poussant un long gémissement.
— Oui ça m’excite quand tu gémis ma mignonne.
— Hummmm, hummmm, hummmm.
Mes lèvres de suceuse jouait avec le bout de son pruneau ou une goutte perlait. Je passais et repassais de bas en haut léchant les restes de fromage de bite comme une chienne léchait un os. Je me régalais telle une belle trainée avide de toutes expériences, jusqu’à nettoyer un zob immonde.
— Descends mon pantalon et occupe-toi de mes boules !
— Oui monsieur Robert.
Je défis sa boutonnière autour de son mastard. Je baissai le pantalon suivi de son vieux caleçon pour découvrir une paire de couilles énorme cachée sous une touffe de poils gris. Je détestais la pilosité, mais l’odeur qui s’en diffusait me fit vite changer de gout et je léchais ses calots. Je dégustais ses grosses boules que je suçotais comme des petites bites.
— Gobe les mois. Oui c’est ça.
— Slurp slurp
— Ahhh quelle bonne gobeuse de couilles tu fais.
— Merci Monsieur Robert.
— Maintenant tu vas t’occuper de mon gros nœud p’tite suceuse.
Je me demandai comment j’allais m’y prendre pour la rentrer dans mon étroite cavité buccale. J’ouvris en grand pour faire passer cette bite au diamètre hors du commun. J’avais l’impression que mes lèvres allaient se déchirer quand il enfonça son chibre.
— Hummm, oui… Elle est bonne ta petite bouche. C’est bien, allez, vas-y pompe salope. Et regarde-moi !
Je levai un regard soumis vers lui, la bouche distendue et la joue déformée. J’allais et venais en plantant mes yeux bleus dans les siens. Les fragrances de bite sur mon visage faisaient dégouliner ma chatte. La salive s’accumulait sur mon menton et je ne rentrais que les trois quarts de sa queue. Il posa son immense paluche sur mon crâne pour m’aider à l’engloutir en entier.
— Slurp slurp, hummm.
— Allez enfonce chienne, fais un effort !
Sa pression s’accentua et d’un coup, son barreau venait pousser sur ma glotte.
— Ummpff, umpfff, slurp, slurp, hummm.
— C’est bien ma salope, respire un peu.
Il me libéra et un long filet de salive s’étirait de ma bouche à son gland trempé de ma bave.
— Elle est bonne ?
— Oh oui monsieur Robert, je n’ai jamais sucé une aussi grosse bite. Et elle a un gout prononcé comme j’aime…
— Tes vraiment une belle petite garce. Tu vas voir je vais bien m’occuper de toi !
Je caressais ses couilles pendant que je mouillais sous ses insultes.
— Miam, elles sont bien remplies.
— Oui tu vas les vider sale pute !
— Avec plaisir, hummm. Surp slurp.
Il m’attira à lui de nouveau, cette fois avec une poigne brutale et son gros machin se logea immédiatement au fond de ma gorge complètement déboitée. J’essayai de me dégager de la violence de l’attaque. Je frappai mes mains sur ses cuisses de bucheron. Il secoua ma tête de droite à gauche, d’avant en arrière. Il me gérait comme sa marionnette sexuelle. Je décidai de me laisser faire et subir ses fantasmes comme sa femme-objet.
— Bouge pas ma pute ! Allez, je vais baiser ta gorge maintenant.
Il tira sur mon nez qui s’enfonça dans son pubis aux odeurs chargées.
— Umpfff, umpfff, glop, glop
— Voilà… humm.
Il me maintint une poignée de seconde et mon visage se transforma en tomate. En apnée j’avais peur de perdre connaissance. Heureusement il me laissa prendre l’air alors que la bile coulait le long de mon cou pour tomber sur mon top taché du sperme du bogoss de l’amphi. Il me maltraita pendant de longues minutes. J’étais brulante de désir. On ne m’avait jamais traité ainsi. Je me sentais comme une véritable salope, moi la suceuse et renifleuse de bite de la FAC. J’avais mal à la mâchoire et j’avais envie de son braquemart dans ma chatte pour apprécier la sensation de recevoir un tel monstre ;
— Allez suce suce, gémit catin, bave bien crache
Je m’exécutai
— hummm, hummm hummm, slurp, slurp, slurp.
Je suçais et suçais. Je crachai sur sa grosse queue. Je tentai de l’avaler jusqu’au bout et il restait encore de la place pour ma main. Je lui dévorais son membre, léchait comme une goulue sa volumineuse hampe veinée avant de replonger sur so gland baveux de ma bile de chienne en chaleur.
Il me tira les cheveux pour me relever et me faire assoir face à lui sur le lavabo. Ayez, il allait me baiser. J’allais enfin sentir son immense queue dans ma chatte serrée. De près, son visage était encore plus gras et suant, mais il m’excitait ce vieux porc. Il retira mon slip et le rangea dans sa poche après l’avoir reniflé en plantant ses yeux sadiques dans les miens.
— Écarte les cuisses, sale trainée.
Un air frais passa sur ma chatte mouillée et ardente. Il se pencha et renifla ma chatte odorante.
— Humm, ce que tu pus petite négligée. Un délice cette chatte toute rasée.
Ma respiration se coupa, quand son nez effleura mon clito tout lisse. Je sentais son souffle chaud courir sur mes lèvres dilatées. Il se releva pour m’offrir une vue sur sa barre à mine.
— Tu es prête salope. Je vais de démonter ta p’tite chatte.
— Oui, mais monsieur Robert doucement s’il vous plait, je n’en ai jamais pris une pareille.
— N’aie pas peur, je vais y aller en douceur et après je te ferai couiner comme un animal fragile.
À suivre…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
A quand la suite ? J'espère qu'il va bien la remplir.
Vu comme ça pue le moisi quand les gens ne se lavent pas, il faut etre completement à la ramasse pour aimer, avaler , des bites sachant les risques encourus d'autant plus que les mecs puent comme c'est pas permis.
Tu dois etre 1 morte de faim ou 1 folle en plein à voir.
Bref rien de nouveau.
Tu dois etre 1 morte de faim ou 1 folle en plein à voir.
Bref rien de nouveau.