NORFOLK
Récit érotique écrit par MJnavyman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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NORFOLK
Le temps était plutôt gris en ce lundi matin. Le fond de l’air était frais, mais la mer était plutôt belle, de petits clapotis venaient s’écraser contre la coque du bâtiment qui fendait l’eau à moins de 10 nœuds. Un peu plus loin, les silhouettes des immenses bâtiments de guerre américains se dessinaient dans la brume. Nous avions beau être un très grand navire, nous faisions pâle figure face à ces monstres des mers. Le pilote américain assistait l’officier de quart dans la manœuvre d’accostage. Et voilà on y était enfin : Norfolk, le plus grand port militaire du monde. La base navale était une ville à elle seule où 60 000 personnes venaient travailler chaque jour.
Notre escale était assez courte, mais très dense au niveau du programme. Comme à chaque arrivée dans un port étranger, une cérémonie aurait lieu en fin de matinée, suivie d’un déjeuner officiel au carré du commandant. Ce soir, un cocktail serait donné pour plus de 200 invités dans les hangars hélicoptères. Tout le gratin serait réuni autour de coupes de champagne et de petits fours maisons. Bref, pas le temps de rester rêver, j’avais du pain sur la planche : prendre contact avec les autorités locales, régler les différents problèmes et aléas de dernière minute afin que tout soit parfait. Voilà, les aussières étaient passées, la coupée mise en place. De l’aileron près de la passerelle, je devinais plusieurs personnes qui attendaient sur le quai près de voitures officielles, parfait, je pouvais me mettre au boulot. Je traverse le bateau, passe la coupée, descend quelques marches et mets enfin le pied sur le sol américain. Un officier français s’avance vers moi, nous nous saluons et échangeons quelques banalités puis il me présente au lieutenant James Walter, officier de liaison pour la marine américaine.
Le lieutenant Walter est un jeune officier d’une trentaine d’années environ, grand, châtain aux yeux noisette et à la carrure impressionnante. Après un salut militaire, s’en suit une poignée de mains ferme mais chaleureuse qui semble durer quelques secondes de trop. Ce superbe militaire éveille en moi des envies inavouables mais je garde mon calme et ne laisse absolument rien transparaître.
- « Bonjour lieutenant, merci de nous accueillir à Norfolk, c’est un honneur. »
- « Tout le plaisir est pour moi capitaine. » Son regard me transperce de part en part, est-ce moi qui suis en train de rêver ou ce James a-t-il du mal à détourner ses yeux de moi ? Après ces longues semaines passées en mer, je dois être en train de me faire des films.
- « Si vous voulez bien me suivre, je vous montre où va se dérouler la cérémonie tout à l’heure et le cocktail de ce soir puis je vous accompagnerai chez le commandant. »
- « C’est parfait, allons-y, je suis impatient de découvrir votre bâtiment ». Une fois encore il me semble déceler dans sa voix et dans le vocabulaire choisi une pointe de je-ne-sais-quoi qui me laisse songeur. Le beau James me suit, je lui montre rapidement les lieux des différents événements de la journée, il rencontre enfin le commandant avec qui il règle les dernières incertitudes du programme des jours à venir puis je le raccompagne à la coupée.
- « Eh bien merci pour tout et je vous dis à tout à l’heure pour la cérémonie, le temps d’aller me changer et je reviens d’ici une bonne demi-heure. »
- « Ah je ne savais pas que vous participiez à la cérémonie, je serai également présent. A tout à l’heure alors. »
Je regarde le lieutenant Walter descendre la coupée puis s’éloigner sur le quai.
- « Attendez ! »
- « Oui ? » Le lieutenant s’est retourné et me regarde, l’air interrogateur.
- « Vous participez aussi au déjeuner officiel et au cocktail ce soir ? »
- « Non je ne fais pas partie des invités du déjeuner mais ce soir je serai des vôtres en effet ! »
- « Ça vous fait faire de nombreux aller-retour ! Je vous propose de rester déjeuner au carré ce midi puis de visiter le bâtiment avant le cocktail si votre programme le permet !? » J’ai à peine terminé ma phrase que la honte s’empare de moi. Je sais qu’il est d’usage de bien recevoir les officiers d’échange, mais là je viens carrément de l’invité à déjeuner et de rester à bord ! J’ai intérêt à assurer du coup.
- « C’est vraiment très gentil, mais je ne voudrais pas m’imposer, surtout comme ça à la dernière minute ! »
- « Il n’y a aucun problème je vous assure, si ça vous tente… »
- « Eh bien c’est d’accord alors ! Merci beaucoup je suis ravi. A tout à l’heure alors ! »
Je reste le regarder s’éloigner de sa démarche élégante. Merde alors, il faut que je me ressaisisse. Je suis quasiment en train de faire du rentre-dedans à un officier de la « Navy » que je connais à peine ! Même si les hormones travaillent, va falloir rester bien sage. Sur ces belles pensées je retourne à mes occupations, supervise la mise en place de la cérémonie, briefe le commandant sur les invités VIP, etc. Je m’assois à peine à mon bureau que l’on me diffuse à la coupée. C’est reparti pour une traversée du bateau. Lorsque j’arrive, je vois près du factionnaire qui garde l’accès à bord, le lieutenant de Walter, un sac et une housse à vêtements à la main, il se met à sourire lorsque j’approche.
- « Je suis un petit peu en avance car j’ai apporté mon uniforme de cérémonie sur cintre afin de pouvoir me changer à bord dans la journée en fonction des activités. Est-ce que je peux déposer mes affaires quelque part ? »
- « Oui bien évidemment ! Vous avez bien fait. Suivez-moi jusqu’à ma chambre, vos affaires y seront en sécurité et vous pourrez vous changer là-bas si ça vous convient. »
- « C’est parfait merci, je vous suis. »
Excité par la situation, je m’engouffre dans les coursives en direction de ma chambre suivi par le lieutenant Walter. Enfin arrivés, je lui montre où il peut poser ses affaires. Il me sourit à nouveau, l’endroit semble lui convenir, aussi petit soit-il ! Un coup d’œil à ma montre, la cérémonie commence dans un petit quart d’heure, il est grand temps de se changer. C’est sans aucune pudeur que nous commençons à nous changer côte à côte. Evidemment je fais mine de m’occuper de mes affaires mais je ne résiste pas au fait de jeter de discrets coups d’œil dans la direction de mon voisin qui semble ne pas s’en rendre compte. Je suis en caleçon et fait semblant de chercher des vêtements dans mon armoire, James lui est torse nu, ceinture de pantalon ouverte, mais il est de dos. Je tremble d’excitation à la vue de ce corps splendide. Il enlève à son tour son pantalon et se retrouve en slip blanc, je suis à deux doigts de me jeter sur lui pour le lui arracher, mais je garde mon sang froid. Il se tourne vers moi, un petit sourire au coin des lèvres et me demande si je peux lui prêter un peu de déodorant. Je le détaille rapidement, avant de lui passer la bombe de déo. J’ai le temps de voir un paquet qui semble bien fourni, parfaitement moulé par ce slip blanc Calvin Klein. Puis je termine de me changer. Nous nous dépêchons afin de ne pas être en retard.
La mise en place de la cérémonie est terminée, chacun est à sa place. D’où je suis, je vois en face de moi le jeune lieutenant qui regarde à droite et à gauche. Sans s’en rendre compte, il se remet en place le paquet dans un geste lent. Il répète l’opération dans les minutes qui suivent et, bien que j’aie du mal à voir précisément, j’ai l’impression de voir la forme d’une queue gonflée sous le tissu de son pantalon. Soudain il lève les yeux dans ma direction. Comme pris en flagrant délit de matage, je ne trouve d’autre chose à faire que de lui sourire niaisement. Il me rend mon sourire et se touche à nouveau le paquet, je ne sais comment interpréter ce geste. La cérémonie est longue et un peu ennuyeuse, mais elle est tout de même rythmée par les coups d’œil réguliers qu’on se jette. 11h45, fin de la cérémonie. Un rafraîchissement est servi, les gens discutent par petits groupes. Peu attentif à la conversation des gens qui m’entourent, je cherche des yeux où est passé mon bel éphèbe lorsque j’entends derrière moi :
- « Vous cherchez quelqu’un capitaine ? »
- « Ah lieutenant, vous voilà, je croyais que vous aviez pris vos jambes à votre coup ! »
- « Certainement pas, j’ai bien trop faim… Au fait, moi c’est James. Il serait peut-être plus simple de se tutoyer peut-être non ? »
- « Excellente idée James, moi c’est Mickaël, enfin Mike en général. »
- « Enchanté Mike, trinquons à cette belle journée alors ! »
Effectivement, les nuages gris avaient laissé la place à un magnifique ciel bleu dans lequel brillait un soleil bien rond. Une fois les invités partis, nous nous sommes dirigés vers le carré pour déjeuner. James est assis à ma gauche et semble apprécier l’endroit, les discussions avec mes collègues et la gastronomie française. Le déjeuner dure plus d’une heure et demie et nous sortons de là repus. Nous faisons quelques pas dehors afin de digérer puis nous regagnons nos quartiers. Sur le chemin James me demande de lui indiquer où se trouvent les toilettes. Je l’y accompagne ayant également besoin de me soulager. Il n’y a que deux pissotières et un cabinet de toilette séparé. Je m’installe devant un urinoir, attendant de voir la réaction de mon collègue. Immédiatement, il se place à côté de moi. Les fermetures éclair s’ouvrent et nous attrapons nos sexes. Après quelques instants je tente de jeter un œil vers mon voisin. Sa bite semble de belle taille. Les dernières gouttes d’urine s’en échappent et il commence à le secouer. J’en fais de même mais je commence à bander de façon incontrôlable. Encore un petit coup d’œil, sa bite aussi a pris du volume. Mon cœur s’accélère, je ne sais pas quoi faire. Dans le doute, je range ma queue et me dirige vers le lavabo, me lave les mains puis sort dans la coursive. Il me rejoint et nous regagnons ma chambre. Il est encore tôt, nous avons du temps devant nous, je lui propose de nous poser un peu ce qu’il accepte volontiers en s’affalant dans mon fauteuil.
Un peu agacé d’être resté sur ma faim, je décide de le provoquer un peu. Je commence à me changer. Quitte chemise et cravate puis enlève mon pantalon d’uniforme, tout ça face à lui. Ma queue n’est pas totalement revenue au repos et ça se voit à travers mon boxer. Un silence, personne ne bouge… Puis son bras de décolle de l’accoudoir, sa main se dirige vers moi et vient se poser directement sur mon paquet, ce qui m’arrache un petit cri de bien-être. D’une main il commence à malaxer ma queue qui gonfle immédiatement. En quelques instants je suis dur comme du bois, bandé au maximum. D’un coup il baisse mon boxer, libère ma queue et la fourre directement dans sa bouche. Whaou, le choc. Il m’excite comme un fou. Pendant qu’il me suce, je me mets à lui caresser le torse puis je descends vers la grosse bosse qui se dessine sur son pantalon. Je fais coulisser la fermeture éclair, fait sauter le bouton et lui descends le pantalon jusqu’aux genoux. Son petit slip ne peut contenir toute sa bite bien raide. Le gland s’échappe par l’élastique, je pose mes doigts dessus et commence à jouer avec. Il est en train de me rendre dingue. Je retire ma teub de sa bouche, n’ayant pas été « vidangé » depuis plusieurs jours, je sens la sauce monter rapidement ! A la place j’y fourre ma langue et nous nous roulons une grosse pelle bien baveuse qui m’excite encore plus. Il se relève alors qu’on continue à s’embrasser, on se débarrasse de nos sous-vêtements et nous branlons mutuellement. Soudain il me pousse sur mon lit, se jette à genoux par terre et recommence à me sucer vigoureusement. J’ai envie de rugir de plaisir mais je me retiens car les murs sont très fins sur le bateau !! Il grimpe sur le lit et vient se mettre à quatre patte au-dessus de moi, mais dans l’autre sens, me présentant son cul et ses couilles qui pendent au-dessus de mon visage. La vision de son corps parfaitement musclé m’enivre. Il prend ma queue à pleine main et se remet à me sucer et me branler en même temps. De mon côté, ma langue entre en contact avec ses couilles puis se ballade de sa tige dure à son trou humide et imberbe. Je sens la sève monter rapidement tant il m’excite. Je le préviens mais il ne s’arrête pas pour autant, ses lèvres continuent à coulisser autour de ma bite qui commence à tressauter et je lui décharge six ou sept longs jets de sperme au fond de la gorge. Il n’en perd pas une goutte. Pour étouffer mon cri de jouissance, j’enfouis mon visage entres les deux magnifiques lobes musclés de ses fesses et enfonce ma langue dans son anus. Il semble beaucoup aimer vu la façon dont il se tortille. Rassasié par ce dont je lui ai rempli la bouche, il s’est redressé et s’assois sur ma bouche qui s’active sur sa rondelle. Mes bras l’encerclent et ma main droite attrape sa bite au bord de l’explosion. Je n’ai pas besoin de le masturber longtemps pour qu’il se mette à cracher sur son torse. Putain que c’était bon !!!
On reste dans cette position quelques minutes, essoufflés et étourdis par ce qui vient de se passer. Je crois que ni lui ni moi ne réalisons ce qui vient d’arriver et ne comprenons comment tout a commencé ! La scène s’est passée en quelques minutes à peine ! Sans un mot, j’attrape une serviette, on s’essuie et on se rhabille rapidement. Un peu gênés, je lui propose de visiter le bâtiment et d’aller voir où en est la mise en place pour le cocktail de ce soir. Il me dit que c’est parfait alors on quitte ma chambre et partons à l’assaut des coursives et des différents ponts du bateau. Nous n’arrivons pas à nous regarder dans les yeux, comme intimidés suite à cette escapade sexuelle des plus courtes pourtant ! Puis au fur et à mesure de la visite, l’atmosphère se détend entre nous, tout semble revenir à la normale.
19 heures, les premiers invités arrivent, passent la coupée, saluent le commandant et l’état-major avant de se regrouper par affinités, dégustant les toasts, cuillères apéritives, canapés, etc… Très rapidement le hangar hélicoptère se remplit, les invités sont nombreux et la soirée bat son plein. James s’est un peu éloigné, retrouvant des collègues à lui de la Navy. De mon côté j’en fais de même, je me régale avec le punch maison fait par les cuisiniers et les petits toasts de foie gras. Il est près de minuit lorsque les derniers invités quittent le bateau. James est toujours là lui, je l’ai vu me jeter quelques coups d’œil, de plus en plus insistants plus l’heure avançait, accompagnés de sourire qui étaient loin de me laisser indifférents. Ce jeune lieutenant était vraiment très beau, svelte et élégant. Il avait de la prestance, du savoir vivre, beaucoup d’humour et un excellent relationnel. Mais il avait aussi un magnifique petit cul musclé qui me faisait bander comme un âne, une magnifique queue et un corps musclé à souhait, juste comme il fallait.
- « Je ne vais pas tarder à y aller, le temps passe vite et nous bossons demain ! D’ailleurs à ce sujet, je te propose une visite de mon « petit bateau » si tu es libre ! »
- « Je suis partant évidemment ! On parle bien du porte-avions USS W. Bush ?! »
- « C’est bien ça ! Super, je suis ravi que tu puisses venir. La bouffe y est très certainement moins bonne que chez vous, mais je te propose de venir pour 11h30 demain, nous déjeunerons ensemble au carré puis on visitera le bateau. »
- « C’est parfait, merci beaucoup, ça me fait très plaisir ! »
- « Tu fais quelques pas avec moi le long des quais ? Je te montre en même temps où nous sommes amarrés pour demain ! »
Nous franchissons la coupée en même temps, saluant au passage le pavillon français qui flotte à la poupe dans la légère brise de soir. Les quais sont déserts à cette heure-ci. La base navale ressemble à une ville abandonnée : pas de circulation, pas de lumière aux fenêtres, les portes des hangars sont fermées. Tout en marchant, nous plaisantons sur tout et sur rien, parlant de la journée qu’on vient de passer, des gens qu’on a rencontrés, etc… Sur notre droite, les bâtiments américains sont amarrés les uns à côté des autres, immenses. Sur notre gauche d’immenses bâtiments, hangars et terrains de sport disparaissent dans la nuit noire. Au bout d’une centaine de mètres de marche, James m’attrape le bras et m’attire dans le renfoncement de porte de garage. Il s’adosse au mur, prend mes mains dans les siennes et me tire contre lui, nos lèvres se rejoignent dans un baiser tendre et langoureux. Mes bras s’enroulent autour de sa taille tandis que ses mains se posent derrière mon crâne, caressant mes cheveux. Nous prenons à peine le temps de reprendre notre respiration, ne voulant plus décoller nos lèvres. Puis il me murmure à l’oreille qu’il a encore très envie de moi. Ici ? Maintenant ? Mais mon excitation l’emporte sur la raison. Mes mains pétrissent ses fesses à travers son pantalon d’uniforme, les siennes sont déjà en train de défaire ma ceinture. Mon pantalon tombe sur mes chevilles, rejoint immédiatement par mon caleçon. Ma bite est déjà bien raide et frémit au contact de ses mains fraîches. A mon tour j’ouvre son pantalon et y glisse ma main pour attraper sa queue. Je sens la mouille qui s’échappe de son gland se coller à la paume de ma main. Nous nous branlons ainsi mutuellement de longues minutes sans jamais cesser notre baiser langoureux, j’adore sentir sa langue chaude s’enrouler autour de la mienne. Sans lâcher ma bite, il quitte mes lèvres, ses baisers se posent maintenant sur mon cou, puis mon torse, James s’accroupi face à moi et ma queue vient se loger au fond de sa gorge. Ce petit enfoiré suce comme un dieu. Ses lèvres fines coulissent le long de ma tige, ce qui m’arrache de petits cris de bonheur. C’est à mon tour de lui caresser les cheveux pendant que je regarde mon membre disparaît dans sa bouche. Il s’applique vraiment dans ce qu’il fait, sa langue s’enroule autour de mon gland, lèche ma hampe, ses lèvres forment un anneau parfait. De temps en temps sa langue vient se poser sur mes grosses couilles pendantes, je profite de cet instant magique en présence de mon beau militaire américain. James se redresse et me dit qu’en tant que militaires on est certainement « clean » tous les deux, je lui confirme que oui. C’est alors qu’il se tourne face au mur et m’invite à me coller à lui. Ma queue s’est plantée dans la raie de ses fesses, douce et accueillante. Il recule un peu le bassin, c’est bien ça, il veut que je le prenne ! Avant, je crache un maximum de salive dans ma main et commence à lui travailler le cul. Mes doigts s’insèrent sans grande difficultés pendant qu’il commence à gémir de plaisir. J’attrape ma bite et présente mon gland à l’entrée de sa rosette qui ne demande qu’à être remplie. Je pousse à peine que ça rentre comme dans du beurre. Un long soupir s’échappe de nos deux bouches simultanément. Je me mets à lui embrasser et mordiller la nuque tout en le limant de plus en plus vite. Mon membre est comme aspiré dans ce cul ferme et musclé. Je m’insère en lui le plus profond possible, mes burnes claquent contre ses fesses douces. Il se penche bien en avant dans une posture que je qualifierai malgré tout de très sexy et masculine. Mes mains agrippent fermement ses hanches pendant que je lui envoie de bon coups de bite. Je le baise ainsi pendant presque un quart d’heure puis, ne tenant plus je ralentis le rythme et lui dit que je vais bientôt jouir. Alors, contre toute attente, il empoigne sa bite, se met à se branler frénétiquement et me demande de continuer à le prendre, plus fort, plus vite. Je ne réfléchis pas et accélère à nouveau le mouvement. La jouissance n’est pas loin. Rapidement, tous ses muscles se contractent et il se met à gémir très fort ce qui déclenche chez moi l’expulsion des premiers jets de sperme au fond de ses entrailles, au même moment lui aussi balance la sauce et arrose le mur en face de lui. De longues coulures blanchâtres apparaissent, dégoulinant vers le sol. Mes coups de reins ralentissent et ma queue poisseuse sort de son cul béant et rempli.
Après s’être rhabillés, on s’embrasse de nouveau, plus tendrement cette fois-ci. Je n’ai aucune envie de le laisser partir, mais impossible de faire autrement. Dans un dernier sourire, il me dit de bien me reposer et de reprendre des forces pour demain car il me réserve une petite surprise… Songeur mais heureux de ce moment coquin, je rentre vers mon bateau et file directement sous la douche avant d’aller me coucher. Je suis en train de penser à lui et rêve de mes lèvres contre les siennes lorsque je tombe dans les bras de Morphée. J’ai l’impression que je viens à peine de m’endormir lorsque j’entends retentir le réveil. Oh non pas déjà ! Aucune envie de me lever, le réveil est dur. Dur dans tous les sens du terme d’ailleurs, j’ai une gaule d’enfer. J’attrape ma bite pour en vérifier l’état : dure comme du bois. Doucement je décalotte puis recalotte mon gland, les images d’hier me reviennent d’un coup, j’ai dû en rêver toute la nuit pour me réveiller dans cet état. Puis ses dernières paroles me reviennent en tête « … je te réserve une surprise… » et immédiatement je mets fin à ce début de branlette et essaye de faire retomber tout ça avant de me lever. Douche prise, petit déjeuner avalé, direction mon bureau. C’est une journée libre pour l’équipage mais je passe quand même vérifier mes mails pour m’assurer que le commandant n’a pas besoin de moi ou qu’il n’y a pas de soucis de dernière minute à régler. Je regarde l’heure, j’ai le temps de régler un ou deux dossiers en souffrance avant de me diriger vers l’USS W. Bush.
11h30 pétantes je suis au pied de la coupée « visiteurs » du porte-avions américain. Le filtreur prend mon badge militaire, passe un coup de fil et me demande de patienter. Quelques minutes plus tard, James apparaît dans le sas d’entrée, chemisette blanche, pantalon bleu marine, décorations sur la poitrine. Son sourire dévoile une rangée de dents blanches impeccablement alignées, mon cœur chavire, je le trouve de plus en plus beau à chaque fois que je le vois. Je grimpe jusqu’à lui, poignée de main franche, les yeux dans les yeux, aucun doute, on mourrait d’envie de se revoir. Bien que nous devons être entourés de plusieurs centaines d’autres marins, je n’ai qu’une envie : me jeter sur lui et l’embrasser à pleine bouche. Malheureusement il va falloir patienter un peu. Je suis James de prêt dans ce labyrinthe de coursives. Après un très rapide passage par son bureau où il dépose un délicat baiser sur mes lèvres, il ne me laisse même pas le temps de réagir que nous marchons en direction du carré des officiers subalternes. Là-bas nous retrouvons quelques-uns de ses collègues à qui il me présente. Les autres officiers sont très sympathiques mais pas aussi sexy. Après avoir pris un verre au bar nous passons à table et déjeunons ensemble. Les discussions vont bon train et la nourriture est franchement très correcte, bien au-delà de ce que j’avais imaginé. Après le déjeuner nous prenons un café, bien moins bon celui-ci et chacun regagne ses quartiers. J’apprends que plus de la moitié de l’équipage est en permissions et que l’activité est très calme. Un sourire ravageur ne quitte plus le visage de James qui a quelque chose en tête mais ne veut rien me dire. Nous entrons dans son bureau, je referme la porte derrière moi, attrape mon beau blond par les hanches et l’attire contre moi. Nous nous embrassons avec beaucoup de douceur et d’envie mais au bout de quelques secondes James se détache de moi, part s’installer derrière son bureau et m’invite à m’asseoir dans un petit fauteuil un peu en retrait, toujours aussi souriant. Sans poser de question je m’exécute, d’où je suis assis j’ai une vue sur l’ensemble du bureau. James décroche son téléphone et demande à son interlocuteur de faire venir ses « jeunes ». Je ne porte pas plus d’importance à ce qu’il vient de dire, ce que j’attends impatiemment c’est qu’on se retrouve tous les deux. Au même moment j’entends une diffusion générale dans tout le bord : « Le matelot Adams et le quartier maître Agosto sont demandés dans le bureau du lieutenant Walter ». Quelques minutes plus tard, alors que James ne dit toujours rien, quelqu’un frappe à la porte.
- « Entrez !»- « Bonjour lieutenant. » deux jeunes marins en tenue de camouflage pénètrent dans la pièce en refermant la porte derrière eux puis se mettent au garde à vous devant le bureau de leur supérieur. Le premier doit être le quartier maître Agosto, entre 20 et 25 ans je pense, brun et un peu typé hispanique, probablement d’origine mexicaine. Sans être réellement un canon de beauté il a beaucoup de charme. Le second, le matelot Adams semble bien plus jeune, je ne sais pas s’il a 20 ans ! Peut-être 18 ou 19… mais à la musculature déjà bien développée. Son treillis lui moule les biceps et lui fait un p’tit cul d’enfer.
- « Agosto, ferme le verrou de la porte s’il te plaît. » Le jeune soldat s’exécute. « Très bien, merci. Maintenant les gars, à poil ! »
Je manque de faire un bon sur mon siège. Mais qu’est ce qui se passe ?! Les deux jeunes garçons font glisser la fermeture éclair qui ferme leurs treillis, ôtent leurs t-shirts dévoilant ainsi deux torses bien dessinés et totalement imberbes. Les uniformes tombent aux chevilles, alors ils enlèvent leurs chaussures coquées et quittent enfin leurs tenues. Debout au milieu du bureau, vêtus d’un simple caleçon, Agosto et Adams échangent un regard complice avant de faire descendre lentement leurs sous-vêtements le long de leurs jambes musclées. Mon cœur bat à tout rompre, c’était donc ça la surprise dont James m’avait parlé ! Je ne contrôle rien et sens ma bite gonfler sous mon uniforme. De mon angle de vue je vois leurs fesses bien rebondies et appétissantes. Au signe de la main de leur chef, ils pivotent sur eux-mêmes me permettant ainsi de détailler leur anatomie. Agosto possède un beau membre, lourd et massif qui pend entre ses cuisses musclées, Adams lui a un sexe plus petit et plus fin également au repos. Après leur tour ils se placent face à face et chacun attrape la bite de l’autre qu’il commence à branler. Leurs sexes grossissent rapidement, derrière le bureau je vois James sortir sa bite bien dure par sa braguette et commencer à se branler doucement en regardant ses deux subordonnés en train de se faire du bien. N’y tenant plus j’imite mon amant et sors mon sexe dur. Adams contourne alors le bureau et commence à sucer son chef goulument. Agosto s’approche de moi et prend ma bite dans sa main, il commence à me branler et me sucer. La scène est incroyable, James se fait toujours sucer mais ne perd pas une miette d’Agosto qui s’affaire sur ma teub. J’aimerais que ce moment ne s’arrête jamais tellement je me sens bien. Je ne sais pas si j’ai déjà été aussi excité de toute ma vie.
James se lève, quitte l’ensemble de ses vêtements et s’approche de nous. Il me tend la main m’invitant à me relever également. J’attrape sa main et me met debout. Il s’approche de moi et commence à m’embrasser sauvagement. Nos deux sexes réunis sont parcourus par la langue d’Agosto. Adams lui s’est mis à terre et gobe la bite de son jeune ami qui semble apprécier. D’une main je caresse le torse de James et de l’autre je lui caresse les fesses, insistant de plus en plus sur sa raie. Je vais même jusqu’à lui introduire mon index qui pénètre sans aucune difficulté. Au bout d’un moment, le lieutenant interpelle le plus jeune des deux marins qui se relève. Ensemble ils se dirigent vers le bureau où, côte à côte, ils se penchent nous offrant la vision de leurs culs prêts pour nous. Il n’en faut pas plus pour qu’Agosto et moi bondissions les rejoindre. Le quartier-maître attrape sur le bureau un petit flacon de gel lubrifiant, m’en met une bonne dose au creux des mains et se sert ensuite. Les membres lubrifiés à souhait on se met à travailler les anus devant nous. Les gémissements ne sont pas feints et nous excitent de plus belle. Ça y est nous sommes prêts à combler les intimités qui s’ouvrent sous nos yeux ébahis. En même temps nous présentons nos glands à l’entrée des anus ouverts. Premier coup de hanche, nos bites disparaissent à l’intérieur de nos amants dont les gémissements redoublent d’intensité. James et son jeune Adams commencent à s’emballer tout en subissant nos assauts. Nous, on continue à les limer sans retenue, faisant claquer nos couilles pleines contre leurs culs. Je sens une main se poser sur mon épaule, c’est Agosto qui me regarde avec un sourire timide. Je le laisse commencer à me caresser, sa main parcours mon torse puis le dos de James avant de remonter vers mon visage qu’il attire vers lui et me dépose un baiser qui me surprend un peu. Comprenant ma surprise il allait se reculer quand je lui rend son baiser, glissant ma langue à l’intérieur de sa bouche à la recherche de la sienne. Alors que nos bites et nos langues sont occupées, Agosto prend mes mains qu’il vient déposer sur son torse, je comprends qu’il veut que je titille ses tétons, ce qui semble l’envoyer au septième ciel ou encore plus haut s’il y était déjà ! Dans une symphonie de gémissements de bien-être et d’excitation, moi et mon jeune compère continuons à démonter les deux magnifiques petits culs qui s’offraient à nous. L’excitation est à son maximum, Agosto prévient qu’il ne va pas tarder à cracher, j’indique qu’il en est de même pour moi. Je m’attendais à devoir accélérer le rythme comme hier soir mais à ma grand surprise, les deux passifs se dégagent de notre assaut, se tournent face à nous et se laissent tomber à terre. Agosto attrape sa queue et commence à s’astiquer, je l’imite immédiatement tandis que James et Adams, à genoux par terre nous caressent les cuisses et les boules, le bouches ouvertes et les langues tirées. Le quartier-maître se met à rugir et décharge sa semence sur la langue et le visage de Adams puis frotte son gland encore gluant sur les joues du plus jeune qui semble s’en délecter. James semble ne plus tenir suite à cette vision, il repousse ma main et attrape mon sexe qui tressaute d’excitation. Il se met à me branler frénétiquement, je me mets à crier quand je sens mon jus remonter le long de ma grosse tige et s’expulser en de gros et puissants jets directement sur le visage de James et dans sa bouche, il n’en perd pas une goutte. Vidé, je me laisse tomber dans le fauteuil. Adams et James s’échangent nos jus dans une grosse pelle baveuse toujours à genoux mais face à face maintenant. Ils s’attrapent mutuellement la bite, continuent à se branler, l’autre main vient cherche le cul de l’autre. Ils se doigtent et se branlent en râlant comme des bêtes. L’explosion ne tarde pas à venir. Les jets de sperme se croisent et s’écrasent sur les torses et sur le sol du bureau.
Satisfaits de cette délicieuse petite partouze, tout le monde embrasse tout le monde en toute simplicité. Rien d’exceptionnel après ce qu’on vient de partager ! Chacun s’essuie et se rhabille, les deux jeunes quittent le bureau le sourire jusqu’aux oreilles. James referme à clé derrière eux et vient s’asseoir sur mes genoux sur le fauteuil, il passe ses bras autour de mon cou et m’embrasse langoureusement. Nous restons pas loin d’une heure ainsi à nous embrasser et nous caresser avec beaucoup de tendresse. Finalement, mon beau lieutenant me demande si je souhaite toujours visiter son bâtiment. Je lui réponde qui oui évidemment et après un ultime baiser d’une infinie douceur nous nous levons et quittons le lieu du crime.
Ce sera la dernière fois que je toucherai les lèvres du lieutenant James Walter. Après une visite fort intéressante il me raccompagne à la coupée. Je quitte le porte-avions heureux de ces deux superbes journées très pimentées, mais il est maintenant l’heure de retourner à bord. Ce soir nous reprenons la mer, vers d’autres ports, et d’autres aventures.
FIN
Notre escale était assez courte, mais très dense au niveau du programme. Comme à chaque arrivée dans un port étranger, une cérémonie aurait lieu en fin de matinée, suivie d’un déjeuner officiel au carré du commandant. Ce soir, un cocktail serait donné pour plus de 200 invités dans les hangars hélicoptères. Tout le gratin serait réuni autour de coupes de champagne et de petits fours maisons. Bref, pas le temps de rester rêver, j’avais du pain sur la planche : prendre contact avec les autorités locales, régler les différents problèmes et aléas de dernière minute afin que tout soit parfait. Voilà, les aussières étaient passées, la coupée mise en place. De l’aileron près de la passerelle, je devinais plusieurs personnes qui attendaient sur le quai près de voitures officielles, parfait, je pouvais me mettre au boulot. Je traverse le bateau, passe la coupée, descend quelques marches et mets enfin le pied sur le sol américain. Un officier français s’avance vers moi, nous nous saluons et échangeons quelques banalités puis il me présente au lieutenant James Walter, officier de liaison pour la marine américaine.
Le lieutenant Walter est un jeune officier d’une trentaine d’années environ, grand, châtain aux yeux noisette et à la carrure impressionnante. Après un salut militaire, s’en suit une poignée de mains ferme mais chaleureuse qui semble durer quelques secondes de trop. Ce superbe militaire éveille en moi des envies inavouables mais je garde mon calme et ne laisse absolument rien transparaître.
- « Bonjour lieutenant, merci de nous accueillir à Norfolk, c’est un honneur. »
- « Tout le plaisir est pour moi capitaine. » Son regard me transperce de part en part, est-ce moi qui suis en train de rêver ou ce James a-t-il du mal à détourner ses yeux de moi ? Après ces longues semaines passées en mer, je dois être en train de me faire des films.
- « Si vous voulez bien me suivre, je vous montre où va se dérouler la cérémonie tout à l’heure et le cocktail de ce soir puis je vous accompagnerai chez le commandant. »
- « C’est parfait, allons-y, je suis impatient de découvrir votre bâtiment ». Une fois encore il me semble déceler dans sa voix et dans le vocabulaire choisi une pointe de je-ne-sais-quoi qui me laisse songeur. Le beau James me suit, je lui montre rapidement les lieux des différents événements de la journée, il rencontre enfin le commandant avec qui il règle les dernières incertitudes du programme des jours à venir puis je le raccompagne à la coupée.
- « Eh bien merci pour tout et je vous dis à tout à l’heure pour la cérémonie, le temps d’aller me changer et je reviens d’ici une bonne demi-heure. »
- « Ah je ne savais pas que vous participiez à la cérémonie, je serai également présent. A tout à l’heure alors. »
Je regarde le lieutenant Walter descendre la coupée puis s’éloigner sur le quai.
- « Attendez ! »
- « Oui ? » Le lieutenant s’est retourné et me regarde, l’air interrogateur.
- « Vous participez aussi au déjeuner officiel et au cocktail ce soir ? »
- « Non je ne fais pas partie des invités du déjeuner mais ce soir je serai des vôtres en effet ! »
- « Ça vous fait faire de nombreux aller-retour ! Je vous propose de rester déjeuner au carré ce midi puis de visiter le bâtiment avant le cocktail si votre programme le permet !? » J’ai à peine terminé ma phrase que la honte s’empare de moi. Je sais qu’il est d’usage de bien recevoir les officiers d’échange, mais là je viens carrément de l’invité à déjeuner et de rester à bord ! J’ai intérêt à assurer du coup.
- « C’est vraiment très gentil, mais je ne voudrais pas m’imposer, surtout comme ça à la dernière minute ! »
- « Il n’y a aucun problème je vous assure, si ça vous tente… »
- « Eh bien c’est d’accord alors ! Merci beaucoup je suis ravi. A tout à l’heure alors ! »
Je reste le regarder s’éloigner de sa démarche élégante. Merde alors, il faut que je me ressaisisse. Je suis quasiment en train de faire du rentre-dedans à un officier de la « Navy » que je connais à peine ! Même si les hormones travaillent, va falloir rester bien sage. Sur ces belles pensées je retourne à mes occupations, supervise la mise en place de la cérémonie, briefe le commandant sur les invités VIP, etc. Je m’assois à peine à mon bureau que l’on me diffuse à la coupée. C’est reparti pour une traversée du bateau. Lorsque j’arrive, je vois près du factionnaire qui garde l’accès à bord, le lieutenant de Walter, un sac et une housse à vêtements à la main, il se met à sourire lorsque j’approche.
- « Je suis un petit peu en avance car j’ai apporté mon uniforme de cérémonie sur cintre afin de pouvoir me changer à bord dans la journée en fonction des activités. Est-ce que je peux déposer mes affaires quelque part ? »
- « Oui bien évidemment ! Vous avez bien fait. Suivez-moi jusqu’à ma chambre, vos affaires y seront en sécurité et vous pourrez vous changer là-bas si ça vous convient. »
- « C’est parfait merci, je vous suis. »
Excité par la situation, je m’engouffre dans les coursives en direction de ma chambre suivi par le lieutenant Walter. Enfin arrivés, je lui montre où il peut poser ses affaires. Il me sourit à nouveau, l’endroit semble lui convenir, aussi petit soit-il ! Un coup d’œil à ma montre, la cérémonie commence dans un petit quart d’heure, il est grand temps de se changer. C’est sans aucune pudeur que nous commençons à nous changer côte à côte. Evidemment je fais mine de m’occuper de mes affaires mais je ne résiste pas au fait de jeter de discrets coups d’œil dans la direction de mon voisin qui semble ne pas s’en rendre compte. Je suis en caleçon et fait semblant de chercher des vêtements dans mon armoire, James lui est torse nu, ceinture de pantalon ouverte, mais il est de dos. Je tremble d’excitation à la vue de ce corps splendide. Il enlève à son tour son pantalon et se retrouve en slip blanc, je suis à deux doigts de me jeter sur lui pour le lui arracher, mais je garde mon sang froid. Il se tourne vers moi, un petit sourire au coin des lèvres et me demande si je peux lui prêter un peu de déodorant. Je le détaille rapidement, avant de lui passer la bombe de déo. J’ai le temps de voir un paquet qui semble bien fourni, parfaitement moulé par ce slip blanc Calvin Klein. Puis je termine de me changer. Nous nous dépêchons afin de ne pas être en retard.
La mise en place de la cérémonie est terminée, chacun est à sa place. D’où je suis, je vois en face de moi le jeune lieutenant qui regarde à droite et à gauche. Sans s’en rendre compte, il se remet en place le paquet dans un geste lent. Il répète l’opération dans les minutes qui suivent et, bien que j’aie du mal à voir précisément, j’ai l’impression de voir la forme d’une queue gonflée sous le tissu de son pantalon. Soudain il lève les yeux dans ma direction. Comme pris en flagrant délit de matage, je ne trouve d’autre chose à faire que de lui sourire niaisement. Il me rend mon sourire et se touche à nouveau le paquet, je ne sais comment interpréter ce geste. La cérémonie est longue et un peu ennuyeuse, mais elle est tout de même rythmée par les coups d’œil réguliers qu’on se jette. 11h45, fin de la cérémonie. Un rafraîchissement est servi, les gens discutent par petits groupes. Peu attentif à la conversation des gens qui m’entourent, je cherche des yeux où est passé mon bel éphèbe lorsque j’entends derrière moi :
- « Vous cherchez quelqu’un capitaine ? »
- « Ah lieutenant, vous voilà, je croyais que vous aviez pris vos jambes à votre coup ! »
- « Certainement pas, j’ai bien trop faim… Au fait, moi c’est James. Il serait peut-être plus simple de se tutoyer peut-être non ? »
- « Excellente idée James, moi c’est Mickaël, enfin Mike en général. »
- « Enchanté Mike, trinquons à cette belle journée alors ! »
Effectivement, les nuages gris avaient laissé la place à un magnifique ciel bleu dans lequel brillait un soleil bien rond. Une fois les invités partis, nous nous sommes dirigés vers le carré pour déjeuner. James est assis à ma gauche et semble apprécier l’endroit, les discussions avec mes collègues et la gastronomie française. Le déjeuner dure plus d’une heure et demie et nous sortons de là repus. Nous faisons quelques pas dehors afin de digérer puis nous regagnons nos quartiers. Sur le chemin James me demande de lui indiquer où se trouvent les toilettes. Je l’y accompagne ayant également besoin de me soulager. Il n’y a que deux pissotières et un cabinet de toilette séparé. Je m’installe devant un urinoir, attendant de voir la réaction de mon collègue. Immédiatement, il se place à côté de moi. Les fermetures éclair s’ouvrent et nous attrapons nos sexes. Après quelques instants je tente de jeter un œil vers mon voisin. Sa bite semble de belle taille. Les dernières gouttes d’urine s’en échappent et il commence à le secouer. J’en fais de même mais je commence à bander de façon incontrôlable. Encore un petit coup d’œil, sa bite aussi a pris du volume. Mon cœur s’accélère, je ne sais pas quoi faire. Dans le doute, je range ma queue et me dirige vers le lavabo, me lave les mains puis sort dans la coursive. Il me rejoint et nous regagnons ma chambre. Il est encore tôt, nous avons du temps devant nous, je lui propose de nous poser un peu ce qu’il accepte volontiers en s’affalant dans mon fauteuil.
Un peu agacé d’être resté sur ma faim, je décide de le provoquer un peu. Je commence à me changer. Quitte chemise et cravate puis enlève mon pantalon d’uniforme, tout ça face à lui. Ma queue n’est pas totalement revenue au repos et ça se voit à travers mon boxer. Un silence, personne ne bouge… Puis son bras de décolle de l’accoudoir, sa main se dirige vers moi et vient se poser directement sur mon paquet, ce qui m’arrache un petit cri de bien-être. D’une main il commence à malaxer ma queue qui gonfle immédiatement. En quelques instants je suis dur comme du bois, bandé au maximum. D’un coup il baisse mon boxer, libère ma queue et la fourre directement dans sa bouche. Whaou, le choc. Il m’excite comme un fou. Pendant qu’il me suce, je me mets à lui caresser le torse puis je descends vers la grosse bosse qui se dessine sur son pantalon. Je fais coulisser la fermeture éclair, fait sauter le bouton et lui descends le pantalon jusqu’aux genoux. Son petit slip ne peut contenir toute sa bite bien raide. Le gland s’échappe par l’élastique, je pose mes doigts dessus et commence à jouer avec. Il est en train de me rendre dingue. Je retire ma teub de sa bouche, n’ayant pas été « vidangé » depuis plusieurs jours, je sens la sauce monter rapidement ! A la place j’y fourre ma langue et nous nous roulons une grosse pelle bien baveuse qui m’excite encore plus. Il se relève alors qu’on continue à s’embrasser, on se débarrasse de nos sous-vêtements et nous branlons mutuellement. Soudain il me pousse sur mon lit, se jette à genoux par terre et recommence à me sucer vigoureusement. J’ai envie de rugir de plaisir mais je me retiens car les murs sont très fins sur le bateau !! Il grimpe sur le lit et vient se mettre à quatre patte au-dessus de moi, mais dans l’autre sens, me présentant son cul et ses couilles qui pendent au-dessus de mon visage. La vision de son corps parfaitement musclé m’enivre. Il prend ma queue à pleine main et se remet à me sucer et me branler en même temps. De mon côté, ma langue entre en contact avec ses couilles puis se ballade de sa tige dure à son trou humide et imberbe. Je sens la sève monter rapidement tant il m’excite. Je le préviens mais il ne s’arrête pas pour autant, ses lèvres continuent à coulisser autour de ma bite qui commence à tressauter et je lui décharge six ou sept longs jets de sperme au fond de la gorge. Il n’en perd pas une goutte. Pour étouffer mon cri de jouissance, j’enfouis mon visage entres les deux magnifiques lobes musclés de ses fesses et enfonce ma langue dans son anus. Il semble beaucoup aimer vu la façon dont il se tortille. Rassasié par ce dont je lui ai rempli la bouche, il s’est redressé et s’assois sur ma bouche qui s’active sur sa rondelle. Mes bras l’encerclent et ma main droite attrape sa bite au bord de l’explosion. Je n’ai pas besoin de le masturber longtemps pour qu’il se mette à cracher sur son torse. Putain que c’était bon !!!
On reste dans cette position quelques minutes, essoufflés et étourdis par ce qui vient de se passer. Je crois que ni lui ni moi ne réalisons ce qui vient d’arriver et ne comprenons comment tout a commencé ! La scène s’est passée en quelques minutes à peine ! Sans un mot, j’attrape une serviette, on s’essuie et on se rhabille rapidement. Un peu gênés, je lui propose de visiter le bâtiment et d’aller voir où en est la mise en place pour le cocktail de ce soir. Il me dit que c’est parfait alors on quitte ma chambre et partons à l’assaut des coursives et des différents ponts du bateau. Nous n’arrivons pas à nous regarder dans les yeux, comme intimidés suite à cette escapade sexuelle des plus courtes pourtant ! Puis au fur et à mesure de la visite, l’atmosphère se détend entre nous, tout semble revenir à la normale.
19 heures, les premiers invités arrivent, passent la coupée, saluent le commandant et l’état-major avant de se regrouper par affinités, dégustant les toasts, cuillères apéritives, canapés, etc… Très rapidement le hangar hélicoptère se remplit, les invités sont nombreux et la soirée bat son plein. James s’est un peu éloigné, retrouvant des collègues à lui de la Navy. De mon côté j’en fais de même, je me régale avec le punch maison fait par les cuisiniers et les petits toasts de foie gras. Il est près de minuit lorsque les derniers invités quittent le bateau. James est toujours là lui, je l’ai vu me jeter quelques coups d’œil, de plus en plus insistants plus l’heure avançait, accompagnés de sourire qui étaient loin de me laisser indifférents. Ce jeune lieutenant était vraiment très beau, svelte et élégant. Il avait de la prestance, du savoir vivre, beaucoup d’humour et un excellent relationnel. Mais il avait aussi un magnifique petit cul musclé qui me faisait bander comme un âne, une magnifique queue et un corps musclé à souhait, juste comme il fallait.
- « Je ne vais pas tarder à y aller, le temps passe vite et nous bossons demain ! D’ailleurs à ce sujet, je te propose une visite de mon « petit bateau » si tu es libre ! »
- « Je suis partant évidemment ! On parle bien du porte-avions USS W. Bush ?! »
- « C’est bien ça ! Super, je suis ravi que tu puisses venir. La bouffe y est très certainement moins bonne que chez vous, mais je te propose de venir pour 11h30 demain, nous déjeunerons ensemble au carré puis on visitera le bateau. »
- « C’est parfait, merci beaucoup, ça me fait très plaisir ! »
- « Tu fais quelques pas avec moi le long des quais ? Je te montre en même temps où nous sommes amarrés pour demain ! »
Nous franchissons la coupée en même temps, saluant au passage le pavillon français qui flotte à la poupe dans la légère brise de soir. Les quais sont déserts à cette heure-ci. La base navale ressemble à une ville abandonnée : pas de circulation, pas de lumière aux fenêtres, les portes des hangars sont fermées. Tout en marchant, nous plaisantons sur tout et sur rien, parlant de la journée qu’on vient de passer, des gens qu’on a rencontrés, etc… Sur notre droite, les bâtiments américains sont amarrés les uns à côté des autres, immenses. Sur notre gauche d’immenses bâtiments, hangars et terrains de sport disparaissent dans la nuit noire. Au bout d’une centaine de mètres de marche, James m’attrape le bras et m’attire dans le renfoncement de porte de garage. Il s’adosse au mur, prend mes mains dans les siennes et me tire contre lui, nos lèvres se rejoignent dans un baiser tendre et langoureux. Mes bras s’enroulent autour de sa taille tandis que ses mains se posent derrière mon crâne, caressant mes cheveux. Nous prenons à peine le temps de reprendre notre respiration, ne voulant plus décoller nos lèvres. Puis il me murmure à l’oreille qu’il a encore très envie de moi. Ici ? Maintenant ? Mais mon excitation l’emporte sur la raison. Mes mains pétrissent ses fesses à travers son pantalon d’uniforme, les siennes sont déjà en train de défaire ma ceinture. Mon pantalon tombe sur mes chevilles, rejoint immédiatement par mon caleçon. Ma bite est déjà bien raide et frémit au contact de ses mains fraîches. A mon tour j’ouvre son pantalon et y glisse ma main pour attraper sa queue. Je sens la mouille qui s’échappe de son gland se coller à la paume de ma main. Nous nous branlons ainsi mutuellement de longues minutes sans jamais cesser notre baiser langoureux, j’adore sentir sa langue chaude s’enrouler autour de la mienne. Sans lâcher ma bite, il quitte mes lèvres, ses baisers se posent maintenant sur mon cou, puis mon torse, James s’accroupi face à moi et ma queue vient se loger au fond de sa gorge. Ce petit enfoiré suce comme un dieu. Ses lèvres fines coulissent le long de ma tige, ce qui m’arrache de petits cris de bonheur. C’est à mon tour de lui caresser les cheveux pendant que je regarde mon membre disparaît dans sa bouche. Il s’applique vraiment dans ce qu’il fait, sa langue s’enroule autour de mon gland, lèche ma hampe, ses lèvres forment un anneau parfait. De temps en temps sa langue vient se poser sur mes grosses couilles pendantes, je profite de cet instant magique en présence de mon beau militaire américain. James se redresse et me dit qu’en tant que militaires on est certainement « clean » tous les deux, je lui confirme que oui. C’est alors qu’il se tourne face au mur et m’invite à me coller à lui. Ma queue s’est plantée dans la raie de ses fesses, douce et accueillante. Il recule un peu le bassin, c’est bien ça, il veut que je le prenne ! Avant, je crache un maximum de salive dans ma main et commence à lui travailler le cul. Mes doigts s’insèrent sans grande difficultés pendant qu’il commence à gémir de plaisir. J’attrape ma bite et présente mon gland à l’entrée de sa rosette qui ne demande qu’à être remplie. Je pousse à peine que ça rentre comme dans du beurre. Un long soupir s’échappe de nos deux bouches simultanément. Je me mets à lui embrasser et mordiller la nuque tout en le limant de plus en plus vite. Mon membre est comme aspiré dans ce cul ferme et musclé. Je m’insère en lui le plus profond possible, mes burnes claquent contre ses fesses douces. Il se penche bien en avant dans une posture que je qualifierai malgré tout de très sexy et masculine. Mes mains agrippent fermement ses hanches pendant que je lui envoie de bon coups de bite. Je le baise ainsi pendant presque un quart d’heure puis, ne tenant plus je ralentis le rythme et lui dit que je vais bientôt jouir. Alors, contre toute attente, il empoigne sa bite, se met à se branler frénétiquement et me demande de continuer à le prendre, plus fort, plus vite. Je ne réfléchis pas et accélère à nouveau le mouvement. La jouissance n’est pas loin. Rapidement, tous ses muscles se contractent et il se met à gémir très fort ce qui déclenche chez moi l’expulsion des premiers jets de sperme au fond de ses entrailles, au même moment lui aussi balance la sauce et arrose le mur en face de lui. De longues coulures blanchâtres apparaissent, dégoulinant vers le sol. Mes coups de reins ralentissent et ma queue poisseuse sort de son cul béant et rempli.
Après s’être rhabillés, on s’embrasse de nouveau, plus tendrement cette fois-ci. Je n’ai aucune envie de le laisser partir, mais impossible de faire autrement. Dans un dernier sourire, il me dit de bien me reposer et de reprendre des forces pour demain car il me réserve une petite surprise… Songeur mais heureux de ce moment coquin, je rentre vers mon bateau et file directement sous la douche avant d’aller me coucher. Je suis en train de penser à lui et rêve de mes lèvres contre les siennes lorsque je tombe dans les bras de Morphée. J’ai l’impression que je viens à peine de m’endormir lorsque j’entends retentir le réveil. Oh non pas déjà ! Aucune envie de me lever, le réveil est dur. Dur dans tous les sens du terme d’ailleurs, j’ai une gaule d’enfer. J’attrape ma bite pour en vérifier l’état : dure comme du bois. Doucement je décalotte puis recalotte mon gland, les images d’hier me reviennent d’un coup, j’ai dû en rêver toute la nuit pour me réveiller dans cet état. Puis ses dernières paroles me reviennent en tête « … je te réserve une surprise… » et immédiatement je mets fin à ce début de branlette et essaye de faire retomber tout ça avant de me lever. Douche prise, petit déjeuner avalé, direction mon bureau. C’est une journée libre pour l’équipage mais je passe quand même vérifier mes mails pour m’assurer que le commandant n’a pas besoin de moi ou qu’il n’y a pas de soucis de dernière minute à régler. Je regarde l’heure, j’ai le temps de régler un ou deux dossiers en souffrance avant de me diriger vers l’USS W. Bush.
11h30 pétantes je suis au pied de la coupée « visiteurs » du porte-avions américain. Le filtreur prend mon badge militaire, passe un coup de fil et me demande de patienter. Quelques minutes plus tard, James apparaît dans le sas d’entrée, chemisette blanche, pantalon bleu marine, décorations sur la poitrine. Son sourire dévoile une rangée de dents blanches impeccablement alignées, mon cœur chavire, je le trouve de plus en plus beau à chaque fois que je le vois. Je grimpe jusqu’à lui, poignée de main franche, les yeux dans les yeux, aucun doute, on mourrait d’envie de se revoir. Bien que nous devons être entourés de plusieurs centaines d’autres marins, je n’ai qu’une envie : me jeter sur lui et l’embrasser à pleine bouche. Malheureusement il va falloir patienter un peu. Je suis James de prêt dans ce labyrinthe de coursives. Après un très rapide passage par son bureau où il dépose un délicat baiser sur mes lèvres, il ne me laisse même pas le temps de réagir que nous marchons en direction du carré des officiers subalternes. Là-bas nous retrouvons quelques-uns de ses collègues à qui il me présente. Les autres officiers sont très sympathiques mais pas aussi sexy. Après avoir pris un verre au bar nous passons à table et déjeunons ensemble. Les discussions vont bon train et la nourriture est franchement très correcte, bien au-delà de ce que j’avais imaginé. Après le déjeuner nous prenons un café, bien moins bon celui-ci et chacun regagne ses quartiers. J’apprends que plus de la moitié de l’équipage est en permissions et que l’activité est très calme. Un sourire ravageur ne quitte plus le visage de James qui a quelque chose en tête mais ne veut rien me dire. Nous entrons dans son bureau, je referme la porte derrière moi, attrape mon beau blond par les hanches et l’attire contre moi. Nous nous embrassons avec beaucoup de douceur et d’envie mais au bout de quelques secondes James se détache de moi, part s’installer derrière son bureau et m’invite à m’asseoir dans un petit fauteuil un peu en retrait, toujours aussi souriant. Sans poser de question je m’exécute, d’où je suis assis j’ai une vue sur l’ensemble du bureau. James décroche son téléphone et demande à son interlocuteur de faire venir ses « jeunes ». Je ne porte pas plus d’importance à ce qu’il vient de dire, ce que j’attends impatiemment c’est qu’on se retrouve tous les deux. Au même moment j’entends une diffusion générale dans tout le bord : « Le matelot Adams et le quartier maître Agosto sont demandés dans le bureau du lieutenant Walter ». Quelques minutes plus tard, alors que James ne dit toujours rien, quelqu’un frappe à la porte.
- « Entrez !»- « Bonjour lieutenant. » deux jeunes marins en tenue de camouflage pénètrent dans la pièce en refermant la porte derrière eux puis se mettent au garde à vous devant le bureau de leur supérieur. Le premier doit être le quartier maître Agosto, entre 20 et 25 ans je pense, brun et un peu typé hispanique, probablement d’origine mexicaine. Sans être réellement un canon de beauté il a beaucoup de charme. Le second, le matelot Adams semble bien plus jeune, je ne sais pas s’il a 20 ans ! Peut-être 18 ou 19… mais à la musculature déjà bien développée. Son treillis lui moule les biceps et lui fait un p’tit cul d’enfer.
- « Agosto, ferme le verrou de la porte s’il te plaît. » Le jeune soldat s’exécute. « Très bien, merci. Maintenant les gars, à poil ! »
Je manque de faire un bon sur mon siège. Mais qu’est ce qui se passe ?! Les deux jeunes garçons font glisser la fermeture éclair qui ferme leurs treillis, ôtent leurs t-shirts dévoilant ainsi deux torses bien dessinés et totalement imberbes. Les uniformes tombent aux chevilles, alors ils enlèvent leurs chaussures coquées et quittent enfin leurs tenues. Debout au milieu du bureau, vêtus d’un simple caleçon, Agosto et Adams échangent un regard complice avant de faire descendre lentement leurs sous-vêtements le long de leurs jambes musclées. Mon cœur bat à tout rompre, c’était donc ça la surprise dont James m’avait parlé ! Je ne contrôle rien et sens ma bite gonfler sous mon uniforme. De mon angle de vue je vois leurs fesses bien rebondies et appétissantes. Au signe de la main de leur chef, ils pivotent sur eux-mêmes me permettant ainsi de détailler leur anatomie. Agosto possède un beau membre, lourd et massif qui pend entre ses cuisses musclées, Adams lui a un sexe plus petit et plus fin également au repos. Après leur tour ils se placent face à face et chacun attrape la bite de l’autre qu’il commence à branler. Leurs sexes grossissent rapidement, derrière le bureau je vois James sortir sa bite bien dure par sa braguette et commencer à se branler doucement en regardant ses deux subordonnés en train de se faire du bien. N’y tenant plus j’imite mon amant et sors mon sexe dur. Adams contourne alors le bureau et commence à sucer son chef goulument. Agosto s’approche de moi et prend ma bite dans sa main, il commence à me branler et me sucer. La scène est incroyable, James se fait toujours sucer mais ne perd pas une miette d’Agosto qui s’affaire sur ma teub. J’aimerais que ce moment ne s’arrête jamais tellement je me sens bien. Je ne sais pas si j’ai déjà été aussi excité de toute ma vie.
James se lève, quitte l’ensemble de ses vêtements et s’approche de nous. Il me tend la main m’invitant à me relever également. J’attrape sa main et me met debout. Il s’approche de moi et commence à m’embrasser sauvagement. Nos deux sexes réunis sont parcourus par la langue d’Agosto. Adams lui s’est mis à terre et gobe la bite de son jeune ami qui semble apprécier. D’une main je caresse le torse de James et de l’autre je lui caresse les fesses, insistant de plus en plus sur sa raie. Je vais même jusqu’à lui introduire mon index qui pénètre sans aucune difficulté. Au bout d’un moment, le lieutenant interpelle le plus jeune des deux marins qui se relève. Ensemble ils se dirigent vers le bureau où, côte à côte, ils se penchent nous offrant la vision de leurs culs prêts pour nous. Il n’en faut pas plus pour qu’Agosto et moi bondissions les rejoindre. Le quartier-maître attrape sur le bureau un petit flacon de gel lubrifiant, m’en met une bonne dose au creux des mains et se sert ensuite. Les membres lubrifiés à souhait on se met à travailler les anus devant nous. Les gémissements ne sont pas feints et nous excitent de plus belle. Ça y est nous sommes prêts à combler les intimités qui s’ouvrent sous nos yeux ébahis. En même temps nous présentons nos glands à l’entrée des anus ouverts. Premier coup de hanche, nos bites disparaissent à l’intérieur de nos amants dont les gémissements redoublent d’intensité. James et son jeune Adams commencent à s’emballer tout en subissant nos assauts. Nous, on continue à les limer sans retenue, faisant claquer nos couilles pleines contre leurs culs. Je sens une main se poser sur mon épaule, c’est Agosto qui me regarde avec un sourire timide. Je le laisse commencer à me caresser, sa main parcours mon torse puis le dos de James avant de remonter vers mon visage qu’il attire vers lui et me dépose un baiser qui me surprend un peu. Comprenant ma surprise il allait se reculer quand je lui rend son baiser, glissant ma langue à l’intérieur de sa bouche à la recherche de la sienne. Alors que nos bites et nos langues sont occupées, Agosto prend mes mains qu’il vient déposer sur son torse, je comprends qu’il veut que je titille ses tétons, ce qui semble l’envoyer au septième ciel ou encore plus haut s’il y était déjà ! Dans une symphonie de gémissements de bien-être et d’excitation, moi et mon jeune compère continuons à démonter les deux magnifiques petits culs qui s’offraient à nous. L’excitation est à son maximum, Agosto prévient qu’il ne va pas tarder à cracher, j’indique qu’il en est de même pour moi. Je m’attendais à devoir accélérer le rythme comme hier soir mais à ma grand surprise, les deux passifs se dégagent de notre assaut, se tournent face à nous et se laissent tomber à terre. Agosto attrape sa queue et commence à s’astiquer, je l’imite immédiatement tandis que James et Adams, à genoux par terre nous caressent les cuisses et les boules, le bouches ouvertes et les langues tirées. Le quartier-maître se met à rugir et décharge sa semence sur la langue et le visage de Adams puis frotte son gland encore gluant sur les joues du plus jeune qui semble s’en délecter. James semble ne plus tenir suite à cette vision, il repousse ma main et attrape mon sexe qui tressaute d’excitation. Il se met à me branler frénétiquement, je me mets à crier quand je sens mon jus remonter le long de ma grosse tige et s’expulser en de gros et puissants jets directement sur le visage de James et dans sa bouche, il n’en perd pas une goutte. Vidé, je me laisse tomber dans le fauteuil. Adams et James s’échangent nos jus dans une grosse pelle baveuse toujours à genoux mais face à face maintenant. Ils s’attrapent mutuellement la bite, continuent à se branler, l’autre main vient cherche le cul de l’autre. Ils se doigtent et se branlent en râlant comme des bêtes. L’explosion ne tarde pas à venir. Les jets de sperme se croisent et s’écrasent sur les torses et sur le sol du bureau.
Satisfaits de cette délicieuse petite partouze, tout le monde embrasse tout le monde en toute simplicité. Rien d’exceptionnel après ce qu’on vient de partager ! Chacun s’essuie et se rhabille, les deux jeunes quittent le bureau le sourire jusqu’aux oreilles. James referme à clé derrière eux et vient s’asseoir sur mes genoux sur le fauteuil, il passe ses bras autour de mon cou et m’embrasse langoureusement. Nous restons pas loin d’une heure ainsi à nous embrasser et nous caresser avec beaucoup de tendresse. Finalement, mon beau lieutenant me demande si je souhaite toujours visiter son bâtiment. Je lui réponde qui oui évidemment et après un ultime baiser d’une infinie douceur nous nous levons et quittons le lieu du crime.
Ce sera la dernière fois que je toucherai les lèvres du lieutenant James Walter. Après une visite fort intéressante il me raccompagne à la coupée. Je quitte le porte-avions heureux de ces deux superbes journées très pimentées, mais il est maintenant l’heure de retourner à bord. Ce soir nous reprenons la mer, vers d’autres ports, et d’autres aventures.
FIN
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