Nos enfants et nous
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2024 dans la catégorie Plus on est
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Nos enfants et nous
Bon, je vais faire court :
1) La chronologie de mes récits n'est plus respectée et je m'en excuse.
2) Mettez un préservatif !
3) J'espère que vous allez kiffer ce texte.
Voici la suite :
Samedi 28 mai 2022
Caline se réveille et s’étire comme une femelle repue de sexe, sa chatte est toute souillée par le sperme qu'elle avait su notre traire avec agilité et toit le savoir faire d'une salope expérimentée. Sur ses cuisses on peut aisément voir des traces blanchâtres.
Je réalise que c’est le sperme de notre fils car je n'ai eu droit qu'à posséder son trou du cul, après qu'elle se soit offerte à notre fils comme une chienne en chaleur et moi... Moi qui l’ai suivie sur sa folie, moi qui n'ai pas su distinguer cette limite entre le moralement acceptable (baiser avec des personnes consentantes) et le moralement répréhensible (jouir avec ses enfants) et apprécier cet amour physique avec notre fille... Choc et entrechoc dans ma tête. Il y a le sentiment de ce "plaisir" d'avoir fait connaître à son fils et sa fille, un plaisir universel (une jouissance sexuelle) et un plaisir coupable (une jouissance sexuelle avec ses enfants).
Nous sommes attablés finissant notre petit-déjeuner.
— Tu as réfléchi à ta conduite, à notre conduite, d’hier soir, tu ne penses pas avoir été un peu loin ?
— Je n’ai pas pensé aux conséquences, j’étais, d'abord, tellement excitée par le plan qui par la suite, était tombé à l'eau et puis me retrouver face à un couple qui baise en regardant leur mère se faire tringler comme la dernière des salopes, et, pour rien arranger, quand j'ai vu la queue en érection de Fares, je n’ai eu qu'une seule envie... L’avoir dans ma chatte... L'aimer... Le conduire, là où il ne peut qu'apprécier de jouir... N'empêche... Il est comme toi, très doué pour faire jouir une femme, il a été fougueux comme tu l'étais il y a quelques années... Me dit-elle.
— Je ne suis plus fougueux ? Que je lui demande plus que surpris.
— Non... Tu n'es plus aussi fougueux comme avant... La maîtrise de ton pénis, l'harmonie de tes coups de reins, les orgasmes donnés, ont eu raison de cette fougue, et c'est tant mieux... On appelle cela : Être sage !
— Et toi... Tu es devenue un sexe sur pattes qui ne pense qu’à baiser.
— Ouais... Si tu veux... Je suis une salope et tu connais mes pulsions et mes envies sexuelles car tu as étais mon guide, et tu m’as bien encouragée au début aux débuts de notre relation... Et toi Ô monsieur Hamed, toi pas hésité avec Beya !
Nous cessons notre conversation avec l’arrivée des enfants, et comme cela est de coutume depuis plus ou moins une vingtaine d'années, nous sommes tous les 4 nus.
Et comme cela ne s'était produit que très rarement auparavant, je vois qu'une belle érection s'est développée chez Fares lorsque ses yeux se sont posés sur sa mère.
— Ce qui s’est passé cette nuit doit rester secret et doit, surtout, être défini comme un accident de parcours et qu’il faut oublier, pour éviter que cela se reproduise, c’est mon point de vue, maintenant dites-moi votre opinion ? Dis-je.
— Moi je trouve que ces moments partagés avec nos enfants ont étés super et je suis d’avis de recommencer.
Je suis abasourdi par les paroles de Caline... J'y comprends rien... Elle trouve cela naturel et elle est prête à recommencer ? bahhh...
— Moi j’ai eu beaucoup de plaisir avec toi paa... Je pense que tu peux m’apprendre comme c'était le cas avec maman pour que je devienne aussi salope qu'elle... Elle qui avait crié son orgasme encore une fois lorsqu'on s'était retiré après avoir commis cet accident !
— Moi... Foutu pour foutu... J’ai trouvé qu'avec maman c'était beaucoup plus... Différent... Fort... Interdit... Qu’avec ma sœur, sorry sœurette... J’ai envie d’en connaître, de le vivre, plus pour savoir comment je me dois de faire pour donner du plaisir à une femme !
— Je vois que vous êtes tous les trois décidés à poursuivre l’expérience de cette nuit... Donc, étant un fervent démocrate... Je ne me vois pas m’y opposer, mais par contre, je vous recommande, beaucoup de discrétion... Car, cela doit rester entre les murs de cette maison. Et connaissant l’appétit sexuel de votre mère, je sais qu’elle aurait continué en cachette même si je m'y opposais. D’ailleurs, elle m'a juré qu'elle n'a jamais imaginé vivre une telle aventure, mais comme elle a toujours une idée coquine derrière la tête... Elle a fait exprès de laisser la porte ouverte hier au soir et qu'elle a un peu exagéré ses cris pour que vous l’entendiez jouir !
Beya qui est un peu réservée d’habitude s'avance doucement en tirant son frangin par sa queue toute raide.
— Je suppose que tu ne vas pas vouloir laisser ton fils dans cet état et que tu as envie de recommencer avec lui ? Dit-elle en fixant sa mère d'un regard pervers.
— Effectivement, dit la maman avec un marge sourire, Et... Merci, ma chérie, de me l'offrir ainsi... Je t’aime très fort !
Caline se lève, prend la queue de Fares dans sa main et le traîne vers notre chambre.
Beya vient alors s’asseoir sur mes cuisses me faisant face... Sa bouche se colle à la mienne, et nos langues prennent le temps de se découvrir en bonne et due forme. Ma queue ne tarde point à se développer, lentement mais sûrement, jusqu’à l’obtention d’une belle dimension que ma fille saisit de la main droite et la guide dans sa chatte aux lèvres gonflées et luisante d'une bonne dose de cyprine.
Elle se dresse sur ses pieds, amenant mon gland au bord de ses lèvres et se laisse tomber de tout son poids sur ke pieu dresser de son paternel. Mon gland percute son utérus à chaque descente et elle exprime le bonheur d'un bien-être que j'ai rarement vu.
Bientôt ma verge me rappelle à l'ordre en faisant tactiquement savoir qu'elle est prête à cracher mon lait.
— Beya... Tu me fais perdre les pédales, il y a longtemps que j'n'ai pas jouis aussi vite ! Ahhhh Beyaaaa !
Elle se retire rapidement et à genoux gobe ma "zboubinette" qui lui remplit la bouche de mon jus de c.ouille qu’elle avale avec délectation non feinte.
— Hum il est bon ton sperme paa ! C’est un délicieux petit-déjeuner que tu m'offre là... J’adore... Je t'adore ! Me dit-elle.
Après qu'elle ait vidé les coquilles du papa, je lui dit :
— Viens chérie, allons au soleil en bord de piscine, et attendons les autres !
Après avoir fait un petit tour aux W.C, Beya me rejoint et vient s’allonger sur le transat qui se trouve à ma gauche, les cuisses grandes ouvertes.
Je vois que sa chatte est toute mouiller. Ni une, ni deux, je me place et je prends un malin plaisir à récupérer avec ma langue son miel pour le déguster... Elle est plus sucrée, plus douce, plus pétillante que celui de sa mère.
Ma langue papillonne entre sa chatte et son clito et Beya commence à jouir, ne se souciant pas de savoir si présence il y a, dans la maison de mes beaux-parents, ses cris sont bien plus puissants qu’hier. Moi aussi, étant emporté par la singularité de cet union, de cette situation, je ne lui interdit pas d'exprimer sa jouissance et lui relève les jambes pour poser ma langue sur son œillet, le léchant, l'agaçant de la pointe de ma langue et en l’enfonçant légèrement.
— Vas y paa, sodomise-moi !
— Pas encore ma chérie... La porte de ton temple secret n’est pas assez souple... Attends... Moi revenir vite !
"Moi revenir vite" je le dis à la façon du petit... oui d'accord, on n'a plus le "droit" d'utiliser ce terme donc je vais dire... je le dis à la façon du petit rebeu du bled.
À plus pour une autre épisode emplie d'autres épreuves !
1) La chronologie de mes récits n'est plus respectée et je m'en excuse.
2) Mettez un préservatif !
3) J'espère que vous allez kiffer ce texte.
Voici la suite :
Samedi 28 mai 2022
Caline se réveille et s’étire comme une femelle repue de sexe, sa chatte est toute souillée par le sperme qu'elle avait su notre traire avec agilité et toit le savoir faire d'une salope expérimentée. Sur ses cuisses on peut aisément voir des traces blanchâtres.
Je réalise que c’est le sperme de notre fils car je n'ai eu droit qu'à posséder son trou du cul, après qu'elle se soit offerte à notre fils comme une chienne en chaleur et moi... Moi qui l’ai suivie sur sa folie, moi qui n'ai pas su distinguer cette limite entre le moralement acceptable (baiser avec des personnes consentantes) et le moralement répréhensible (jouir avec ses enfants) et apprécier cet amour physique avec notre fille... Choc et entrechoc dans ma tête. Il y a le sentiment de ce "plaisir" d'avoir fait connaître à son fils et sa fille, un plaisir universel (une jouissance sexuelle) et un plaisir coupable (une jouissance sexuelle avec ses enfants).
Nous sommes attablés finissant notre petit-déjeuner.
— Tu as réfléchi à ta conduite, à notre conduite, d’hier soir, tu ne penses pas avoir été un peu loin ?
— Je n’ai pas pensé aux conséquences, j’étais, d'abord, tellement excitée par le plan qui par la suite, était tombé à l'eau et puis me retrouver face à un couple qui baise en regardant leur mère se faire tringler comme la dernière des salopes, et, pour rien arranger, quand j'ai vu la queue en érection de Fares, je n’ai eu qu'une seule envie... L’avoir dans ma chatte... L'aimer... Le conduire, là où il ne peut qu'apprécier de jouir... N'empêche... Il est comme toi, très doué pour faire jouir une femme, il a été fougueux comme tu l'étais il y a quelques années... Me dit-elle.
— Je ne suis plus fougueux ? Que je lui demande plus que surpris.
— Non... Tu n'es plus aussi fougueux comme avant... La maîtrise de ton pénis, l'harmonie de tes coups de reins, les orgasmes donnés, ont eu raison de cette fougue, et c'est tant mieux... On appelle cela : Être sage !
— Et toi... Tu es devenue un sexe sur pattes qui ne pense qu’à baiser.
— Ouais... Si tu veux... Je suis une salope et tu connais mes pulsions et mes envies sexuelles car tu as étais mon guide, et tu m’as bien encouragée au début aux débuts de notre relation... Et toi Ô monsieur Hamed, toi pas hésité avec Beya !
Nous cessons notre conversation avec l’arrivée des enfants, et comme cela est de coutume depuis plus ou moins une vingtaine d'années, nous sommes tous les 4 nus.
Et comme cela ne s'était produit que très rarement auparavant, je vois qu'une belle érection s'est développée chez Fares lorsque ses yeux se sont posés sur sa mère.
— Ce qui s’est passé cette nuit doit rester secret et doit, surtout, être défini comme un accident de parcours et qu’il faut oublier, pour éviter que cela se reproduise, c’est mon point de vue, maintenant dites-moi votre opinion ? Dis-je.
— Moi je trouve que ces moments partagés avec nos enfants ont étés super et je suis d’avis de recommencer.
Je suis abasourdi par les paroles de Caline... J'y comprends rien... Elle trouve cela naturel et elle est prête à recommencer ? bahhh...
— Moi j’ai eu beaucoup de plaisir avec toi paa... Je pense que tu peux m’apprendre comme c'était le cas avec maman pour que je devienne aussi salope qu'elle... Elle qui avait crié son orgasme encore une fois lorsqu'on s'était retiré après avoir commis cet accident !
— Moi... Foutu pour foutu... J’ai trouvé qu'avec maman c'était beaucoup plus... Différent... Fort... Interdit... Qu’avec ma sœur, sorry sœurette... J’ai envie d’en connaître, de le vivre, plus pour savoir comment je me dois de faire pour donner du plaisir à une femme !
— Je vois que vous êtes tous les trois décidés à poursuivre l’expérience de cette nuit... Donc, étant un fervent démocrate... Je ne me vois pas m’y opposer, mais par contre, je vous recommande, beaucoup de discrétion... Car, cela doit rester entre les murs de cette maison. Et connaissant l’appétit sexuel de votre mère, je sais qu’elle aurait continué en cachette même si je m'y opposais. D’ailleurs, elle m'a juré qu'elle n'a jamais imaginé vivre une telle aventure, mais comme elle a toujours une idée coquine derrière la tête... Elle a fait exprès de laisser la porte ouverte hier au soir et qu'elle a un peu exagéré ses cris pour que vous l’entendiez jouir !
Beya qui est un peu réservée d’habitude s'avance doucement en tirant son frangin par sa queue toute raide.
— Je suppose que tu ne vas pas vouloir laisser ton fils dans cet état et que tu as envie de recommencer avec lui ? Dit-elle en fixant sa mère d'un regard pervers.
— Effectivement, dit la maman avec un marge sourire, Et... Merci, ma chérie, de me l'offrir ainsi... Je t’aime très fort !
Caline se lève, prend la queue de Fares dans sa main et le traîne vers notre chambre.
Beya vient alors s’asseoir sur mes cuisses me faisant face... Sa bouche se colle à la mienne, et nos langues prennent le temps de se découvrir en bonne et due forme. Ma queue ne tarde point à se développer, lentement mais sûrement, jusqu’à l’obtention d’une belle dimension que ma fille saisit de la main droite et la guide dans sa chatte aux lèvres gonflées et luisante d'une bonne dose de cyprine.
Elle se dresse sur ses pieds, amenant mon gland au bord de ses lèvres et se laisse tomber de tout son poids sur ke pieu dresser de son paternel. Mon gland percute son utérus à chaque descente et elle exprime le bonheur d'un bien-être que j'ai rarement vu.
Bientôt ma verge me rappelle à l'ordre en faisant tactiquement savoir qu'elle est prête à cracher mon lait.
— Beya... Tu me fais perdre les pédales, il y a longtemps que j'n'ai pas jouis aussi vite ! Ahhhh Beyaaaa !
Elle se retire rapidement et à genoux gobe ma "zboubinette" qui lui remplit la bouche de mon jus de c.ouille qu’elle avale avec délectation non feinte.
— Hum il est bon ton sperme paa ! C’est un délicieux petit-déjeuner que tu m'offre là... J’adore... Je t'adore ! Me dit-elle.
Après qu'elle ait vidé les coquilles du papa, je lui dit :
— Viens chérie, allons au soleil en bord de piscine, et attendons les autres !
Après avoir fait un petit tour aux W.C, Beya me rejoint et vient s’allonger sur le transat qui se trouve à ma gauche, les cuisses grandes ouvertes.
Je vois que sa chatte est toute mouiller. Ni une, ni deux, je me place et je prends un malin plaisir à récupérer avec ma langue son miel pour le déguster... Elle est plus sucrée, plus douce, plus pétillante que celui de sa mère.
Ma langue papillonne entre sa chatte et son clito et Beya commence à jouir, ne se souciant pas de savoir si présence il y a, dans la maison de mes beaux-parents, ses cris sont bien plus puissants qu’hier. Moi aussi, étant emporté par la singularité de cet union, de cette situation, je ne lui interdit pas d'exprimer sa jouissance et lui relève les jambes pour poser ma langue sur son œillet, le léchant, l'agaçant de la pointe de ma langue et en l’enfonçant légèrement.
— Vas y paa, sodomise-moi !
— Pas encore ma chérie... La porte de ton temple secret n’est pas assez souple... Attends... Moi revenir vite !
"Moi revenir vite" je le dis à la façon du petit... oui d'accord, on n'a plus le "droit" d'utiliser ce terme donc je vais dire... je le dis à la façon du petit rebeu du bled.
À plus pour une autre épisode emplie d'autres épreuves !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vous ne comprendrez rien à cette histoire car HDS a refusé de publier les deux parties qui précédent ce "témoignage" !
Je m'en excuse !
Je m'en excuse !