Nos femmes nous découvre BI
Récit érotique écrit par Auteur anonyme 016 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-05-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Nos femmes nous découvre BI
Ma femme sait que je suis bi et que j'ai pratiqué dans le passé. Ce qu'elle ne savais pas, c'est que je continuai de temps à autre. J'ai connu, dans un sauna sympa de la capital un mec très sympa, comme moi marié. Il venait de temps en temps diner avec sa femme. Dans ces soirées, on arrivait toujours à s'échapper quelques minutes, moi passif avec l'envie dingue de le sucer pour qu'il décharge dans ma bouche.
Ce soir là, Ils larrivent, on discute, appérot chargéune demi heure plsu tard, je lui prétexte que je veux lui faire voir un noubvel outils au sous-sol. Il me suis, les 2 nans restant dans le sé jour. Nous arrivons au sous-sol avant même que je ne me retourne, il me pousse vers le fond, m'attrape par les cheveux et me dit suce moi ma salope. DE l'autre mains il ouvrait son pentalon et me baisse la tête. Il était dur comme du bois. A peine embouché, il se met à gémir, en quelques alller et retour, sa queue prend une tension annonciatrice, et il m'innode le palais et la gorge de foutre en me plantant sa queue jusqu'au fond de la gorge. Il finit de se vider et se libère de ma bouche. J'ai la bouche pleine, je profite de son jus épais et sucré, et j'avale.
Il se remet et nous remontons. Je ne sais pas pourquoi je fais ça, mais en arrivant dans le séjour, j'embrasse ma femme et je pousse ma langue contre la sienne. Son visage marque un temps d'arrêt ses yeux sont tout rond. Et je me dit, zute, elle a sentie le gout. Je m'assoi. Elle se lève et va dans la cuisine. Elle m'appelle, j'y vais. Elle me regarde bizarrement. Me prend la tête et m'embrasse avec fougue en rentrant sa langue aussi loin qu'elle le peu. Puis elle se dégage, me regarde et me dit, tu sens le sperme à plein nez et ta langue c'est encore pire. Tu lui as fait une pipe ??. Je lui dit mais non et je me sens rouge comme une pivoine. Elle me dit "et en plus tu me baratine". Je la prend par les épaules, je suis surpris, elle n'a pas l'air faché du tout et me dit " Putain, tu lui as fait une pipe et il se vide les couilles dans ta bouche". Je ne sais quoi dire. Elle reprend "vous faite ça souvent ??? il t'encule". Je suis tremblant, elle le sent, et redit "Putain, et plus il t'encule". La seule chose que je réussi à lui dire "arrête de dire putain tout le temps". Son regard à quelque chose d'indéfinissable. Je n'ai aucune idée de comment tout ça va tourner. et me dit, aller dans le séjour, en me mettant une petite clauqe sur les fesses. De retour dans le séjour, Je m'assois et on discute, ma femme nous reojoint comme si de rien n'était. Et ressert les verrres. LE repas commence et elle fait dévier la conversation sur le sexe. Insidieusement, elle ammène l'échange sur les bi et les homos, mon pote ne sais plus ou se foutre. Sa femme, bien chauffée par l'alcol lui répond. La soirée avance, la soirée et gaie et très décoincée. Ma femme se lève et me dit, vient m'aider pour le dessert. Je me lève et la suis. DAns la cuisine elle me dit qu'elle veut me voir en action, je lui dit que non. Elle me dit que sinon, elle dit tout à la femme de mon pote. Et reprend la direction des opérations, je veux te voir le sucer et t'enculer. Je suis stupéfait par sa réflexion.
Nous retournons à table, nous mangeons le dessert. A la fin je dit à mon pote, tient j'ai eu une fuite d'eau cette après-imid, je vais voir si ça tient, tu viens avec moi, J'ai pris bien soin de frotter ma jambe contre la sienne en le disant. Il me dit d'accord et ait déjà debout. Ma femme me regarde, les yeux comme exiter et electrique. Nous partons au sous-sol. Arrivé au sous-sol, il me dit "avec la conversation de ta femme, tu vas voir ce que je vais te mettre", Elle sait ou quoi. Je ne répond rien et lui dit viens. Nosu avançons vers la pièces du fond, j'entre et je m'organise pour qu'il reste le dos à la porte. Je me retourne, il a déjà sortie sa queue. Il bande comme un taureau. Je me met à genoux et me met à l'ouvrage. Je le pousse pour qu'il s'appuis sur le mur, sans qu'il ne puisse voir ce qui peu venir de derrière lui. Il est très exité et moi au moins autant. J'apperçoi des ombres derrière lui, je jete un oeil. Je vois ma femme qui nous regarde et j'ai une groose imquiétude, elle tient la femme de mon pote par la taille. elle a les yeux écarquillée. Les 2 femmes regardent sans bouger. La surprise est totale pour la femme de mon pote, la mienne semble exitée par ce qu'elle voit. Et, mon pote gémi, me traite de salope qui adore sa queue. Puis il m'attrape par les cheveux et je l'attend dire, "tourne toi ma pute, que je t'encule. Il me pousse sur le petit établi, baisse mon pentalon, je me sens mouillé du trou. Il appuis son gland et s'enfonce en moi. Sa poussée est forte, j'ai mal. Je tourne la tete et je vois les femmes qui se sont approchée pour regarder la queue qui s'enfonce en moi. Lui, il est en rut, il n'a rien vu.
Il me défonce de ses 20 centimètres, la douleur à fait place au plaisirs.Je lui dit de m'enculer plsu fort. Il en rajoute un coup. Je sens à son accélération et aux coup de boutoir que je reçois qu'il va jouir et, il tire sur mes hanches de toutes ses forces pour se planter au plus profond de mon ventre, je le sens exploser en moi dans un râle bruyant. D'un seul coup, je le sent s'éjecter de moi, je tourne la tête, il a vu les 2 femmes. Il est pétrifié. Sa femme à les larmes au yeux. Ma femme ne dit rien, elle s'approche de moi, je me suis assis, elle ne dit rien. Puis elle rpart, prend la femme de mon pote par la taille et remonte vers la maison. Elle lui parle.
Nous on ose pas remonter. Et je prend les devant. Arirvé en haut, l'atmosphère est lourde. Ma femme me dit : Dans Quinze jours, punition. La femme de mon pote lui dit, même chose pour toi. Dans quinze jours puintion.
Ma femme à passé quelques années à travailler en étroite collaboration avec la Côte d'Ivoire et y a fait plusieurs amis que nous voyons de temps en temps sur Paris.
Quinze jours plus tard, nous faisons un nouveau repas. et pendant l'appérôt, la porte sonne, ma femme va ouvrir. 4 blacks format XXL nous rejoignent. Je comprenais globalement la punition qui nous attendait, mon pote à ce moment là beaucoup moins. Il avait omis de dire à sa femme qu'il était essentiellement actif. Les blacks ne se sont occupé de ce "détail". C'était il y a quinze jours, je sens encore leurs passages...
Ce soir là, Ils larrivent, on discute, appérot chargéune demi heure plsu tard, je lui prétexte que je veux lui faire voir un noubvel outils au sous-sol. Il me suis, les 2 nans restant dans le sé jour. Nous arrivons au sous-sol avant même que je ne me retourne, il me pousse vers le fond, m'attrape par les cheveux et me dit suce moi ma salope. DE l'autre mains il ouvrait son pentalon et me baisse la tête. Il était dur comme du bois. A peine embouché, il se met à gémir, en quelques alller et retour, sa queue prend une tension annonciatrice, et il m'innode le palais et la gorge de foutre en me plantant sa queue jusqu'au fond de la gorge. Il finit de se vider et se libère de ma bouche. J'ai la bouche pleine, je profite de son jus épais et sucré, et j'avale.
Il se remet et nous remontons. Je ne sais pas pourquoi je fais ça, mais en arrivant dans le séjour, j'embrasse ma femme et je pousse ma langue contre la sienne. Son visage marque un temps d'arrêt ses yeux sont tout rond. Et je me dit, zute, elle a sentie le gout. Je m'assoi. Elle se lève et va dans la cuisine. Elle m'appelle, j'y vais. Elle me regarde bizarrement. Me prend la tête et m'embrasse avec fougue en rentrant sa langue aussi loin qu'elle le peu. Puis elle se dégage, me regarde et me dit, tu sens le sperme à plein nez et ta langue c'est encore pire. Tu lui as fait une pipe ??. Je lui dit mais non et je me sens rouge comme une pivoine. Elle me dit "et en plus tu me baratine". Je la prend par les épaules, je suis surpris, elle n'a pas l'air faché du tout et me dit " Putain, tu lui as fait une pipe et il se vide les couilles dans ta bouche". Je ne sais quoi dire. Elle reprend "vous faite ça souvent ??? il t'encule". Je suis tremblant, elle le sent, et redit "Putain, et plus il t'encule". La seule chose que je réussi à lui dire "arrête de dire putain tout le temps". Son regard à quelque chose d'indéfinissable. Je n'ai aucune idée de comment tout ça va tourner. et me dit, aller dans le séjour, en me mettant une petite clauqe sur les fesses. De retour dans le séjour, Je m'assois et on discute, ma femme nous reojoint comme si de rien n'était. Et ressert les verrres. LE repas commence et elle fait dévier la conversation sur le sexe. Insidieusement, elle ammène l'échange sur les bi et les homos, mon pote ne sais plus ou se foutre. Sa femme, bien chauffée par l'alcol lui répond. La soirée avance, la soirée et gaie et très décoincée. Ma femme se lève et me dit, vient m'aider pour le dessert. Je me lève et la suis. DAns la cuisine elle me dit qu'elle veut me voir en action, je lui dit que non. Elle me dit que sinon, elle dit tout à la femme de mon pote. Et reprend la direction des opérations, je veux te voir le sucer et t'enculer. Je suis stupéfait par sa réflexion.
Nous retournons à table, nous mangeons le dessert. A la fin je dit à mon pote, tient j'ai eu une fuite d'eau cette après-imid, je vais voir si ça tient, tu viens avec moi, J'ai pris bien soin de frotter ma jambe contre la sienne en le disant. Il me dit d'accord et ait déjà debout. Ma femme me regarde, les yeux comme exiter et electrique. Nous partons au sous-sol. Arrivé au sous-sol, il me dit "avec la conversation de ta femme, tu vas voir ce que je vais te mettre", Elle sait ou quoi. Je ne répond rien et lui dit viens. Nosu avançons vers la pièces du fond, j'entre et je m'organise pour qu'il reste le dos à la porte. Je me retourne, il a déjà sortie sa queue. Il bande comme un taureau. Je me met à genoux et me met à l'ouvrage. Je le pousse pour qu'il s'appuis sur le mur, sans qu'il ne puisse voir ce qui peu venir de derrière lui. Il est très exité et moi au moins autant. J'apperçoi des ombres derrière lui, je jete un oeil. Je vois ma femme qui nous regarde et j'ai une groose imquiétude, elle tient la femme de mon pote par la taille. elle a les yeux écarquillée. Les 2 femmes regardent sans bouger. La surprise est totale pour la femme de mon pote, la mienne semble exitée par ce qu'elle voit. Et, mon pote gémi, me traite de salope qui adore sa queue. Puis il m'attrape par les cheveux et je l'attend dire, "tourne toi ma pute, que je t'encule. Il me pousse sur le petit établi, baisse mon pentalon, je me sens mouillé du trou. Il appuis son gland et s'enfonce en moi. Sa poussée est forte, j'ai mal. Je tourne la tete et je vois les femmes qui se sont approchée pour regarder la queue qui s'enfonce en moi. Lui, il est en rut, il n'a rien vu.
Il me défonce de ses 20 centimètres, la douleur à fait place au plaisirs.Je lui dit de m'enculer plsu fort. Il en rajoute un coup. Je sens à son accélération et aux coup de boutoir que je reçois qu'il va jouir et, il tire sur mes hanches de toutes ses forces pour se planter au plus profond de mon ventre, je le sens exploser en moi dans un râle bruyant. D'un seul coup, je le sent s'éjecter de moi, je tourne la tête, il a vu les 2 femmes. Il est pétrifié. Sa femme à les larmes au yeux. Ma femme ne dit rien, elle s'approche de moi, je me suis assis, elle ne dit rien. Puis elle rpart, prend la femme de mon pote par la taille et remonte vers la maison. Elle lui parle.
Nous on ose pas remonter. Et je prend les devant. Arirvé en haut, l'atmosphère est lourde. Ma femme me dit : Dans Quinze jours, punition. La femme de mon pote lui dit, même chose pour toi. Dans quinze jours puintion.
Ma femme à passé quelques années à travailler en étroite collaboration avec la Côte d'Ivoire et y a fait plusieurs amis que nous voyons de temps en temps sur Paris.
Quinze jours plus tard, nous faisons un nouveau repas. et pendant l'appérôt, la porte sonne, ma femme va ouvrir. 4 blacks format XXL nous rejoignent. Je comprenais globalement la punition qui nous attendait, mon pote à ce moment là beaucoup moins. Il avait omis de dire à sa femme qu'il était essentiellement actif. Les blacks ne se sont occupé de ce "détail". C'était il y a quinze jours, je sens encore leurs passages...
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