nos petits cousins en pension
Récit érotique écrit par Cocu heureux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-08-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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nos petits cousins en pension
Cette année nous avons proposé de garder Margot et Jérémie, jeunes cousin et cousine de ma femme, durant juillet et août.
Avec Sylvie nous sommes partis les chercher en région parisienne et les ramenons en voiture. Nous sommes d’accord pour nous amuser avec eux et les initier. Pour Jérémie, ce ne sera pas un problème vu la façon dont il regarde habituellement Sylvie, par contre Margot posera peut-être plus de difficultés.
Départ 23 heures. Dans la voiture, ma femme s’installe à l’arrière avec son jeune cousin tandis que Margot me tient compagnie à l’avant.
Dès l’entrée sur l’autoroute, nous nous arrêtons pour prendre une boisson. Celle de Margot est « arrangée ». Dix kilomètres plus loin elle dort. Ma femme m’a informé que Jérémie avait déjà commencé à lui caresser les cuisses. En effet, tandis que sa sœur dort innocemment à l’avant, je vois dans le rétro le gamin collé contre Sylvie. Il lui caresse les seins et ma femme le laisse faire. Bientôt ils s’embrassent sur la bouche et j’entends les bruits humides de leur baiser. J’entends ma femme lui dire : « doucement, ne fais pas de bruit… ». Comme si je ne savais pas qu’il pelotait ma femme. Je suis excité et je me branle en regardant le rétro. Je vois les cuisses nues de la jeune Margot. Elle dort profondément. Je les caresse et remonte sur elles. Quel dommage, elle est en short et j’ai du mal à aller très loin. Si seulement elle avait mis une petite robe d’été. Tandis que je me bas avec la fermeture éclair du short, à l’arrière, Jérémie n’a pas ce problème. Ma femme est nue sous sa robe qui elle-même se boutonne ou plutôt se déboutonne sur le devant. Un coup d’œil rapide m’informe d’ailleurs que la robe est ouverte et que le gamin embrasse le ventre de Sylvie et continue de descendre poussé par ma femme dont les doigts s’enfouissent dans ses cheveux. Jérémie est trop occupé avec ma femme pour voir ce que je fais avec sa sœur. Son short est maintenant ouvert et ma main glisse sous son slip. Ses poils sont encore soyeux, rien à voir avec les poils durs des femmes d’âge mûr. J’ai empoigné sa petite chatte et je la « malaxe » en écoutant ma femme inviter Jérémie à venir entre ses cuisses. Il baisse son short et à genoux se loge entre les cuisses de ma femme. Il se frotte maladroitement contre elle tandis que Sylvie l’attire pour un long baiser…
Jérémie a baisé ma femme. Entre Paris et Tours, ils n’ont pas arrêté. Il a fallu que je les prévienne que l’on arrivait au péage pour qu’ils se rhabillent.
Il y en a encore pour deux à trois heures de routes et excité comme je le suis, il n’est pas question que je reprenne le volant. Sur l’aire de repos suivante, nous intervertissons les places. Ma femme conduira, Jérémie à ses côtés et Margot et moi irons à l’arrière. Jérémie se rend compte de la tenue de sa sœur. « Mais Daniel qu’est-ce que tu lui a fais ? »
Il est mal placé pour me faire la leçon et je lui fais remarquer. J’aide Margot à passer à l’arrière. Elle dort à moitié et ne se rend compte de rien. On démarre. Je me penche sur Margot et l’embrasse tendrement sur les lèvres. Elle sent bon, elle est douce, fraîche. Je sens que le trajet va me sembler bien court. Margot gémit, je soulève son teeshirt et Jérémie n’en perd pas une miette. Il regarde les petits seins de sa sœur et se touche en même temps. Margot se laisse embrasser et dans son demi sommeil semble y prendre plaisir. Encore vierge, je ne peux me permettre de la dépuceler sur le siège arrière mais il faut bien que je me soulage aussi je la couche sur la banquette et commence à promener mon gland sur la bouche. J’écarte ses lèvres. Je pousse pour introduire ma bite. Ca y est je peux limer dans sa bouche. Je sens sa petite langue vibrer sous ma queue. Je maintiens sa nuque fine dans ma main, elle m’excite, j’accélère, oui ! hummm j’ai giclé. Mon sperme coule des commissures de ses lèvres. Je l’embrasse pour lui nettoyer ce sperme qui coule sur ses joues. Jérémie n’en revient pas. Je pense que sa petite sœur est à son goût…
En effet, le lendemain je vois apparaitre Margot tout excitée. « Daniel, Jérémie vient de baisser mon short ! ».
Je m’approche d’elle et lui descends le short jusqu’à mi-cuisses. « comme ça ? ».
Interloquée elle balbutie « heu oui… »
« Et après il a baissé ta culotte comme ça ? »
Margot, le pubis à l’air ne répond plus.
J’approche mon visage et embrasse son petit pubis. « et il a fait ça ? »
Margot tente de reculer mais mes mains lui tiennent solidement les fesses et je l’embrasse plus loin sur sa petite fente.
Je l’attire sur le canapé et l’embrasse dans le cou. Je suis trop confiant et la petite en profite pour s’échapper. Elle me regarde d’un air de reproche et s’enfuit dans le jardin.
Le soir au dîner, Margot m’évite mais elle doit également éviter son frère. D’un commun accord, Sylvie, ce soir, ira occuper Jérémie afin que je puisse prendre soin de Margot.
Le dîner terminé, ma femme prend son jeune cousin par la main et l’entraîne dans notre chambre.
Je reste seul avec Margot devant la télé. Tendrement, patiemment, je lui explique que je suis allé trop loin mais qu’elle est si désirable que je ne peux m’empêcher de penser à elle.
Je la compare à ma femme, je la flatte et doucement je me rapproche d’elle.
J’ai enfin mon bras autour de ses épaules, une main sur son genoux et je me penche sur elle pour l’embrasser dans le cou. Je continue à la flatter et Margot se détend.
Ma main est remontée en haut de sa cuisse et je l’embrasse à la commissure de ses lèvres.
Je lui prends le menton et fais pivoter sa tête pour l’embrasser sur la bouche. Doucement, longuement je l’embrasse. D’abord sagement puis avec la langue. Margot est encore maladroite mais ne demande qu’à se perfectionner.
Sans cesser de l’embrasser, je remonte ma main sous son maillot et emprisonne ses petits seins juvéniles. Elle me prend dans ses bras et se colle contre moi. Ma main descend sur son ventre et glisse sous son short.
« Non, pas ça ! » me dit-elle.
« J’ai envie de toi Margot »
« Oui, je sais, mais sois patient. Je te promets de faire l’amour avec toi mais pas aujourd’hui »
« Pourquoi ? »
« Tu sais bien... » Elle hésite « je ne peux pas… »
Je viens de comprendre. Bien que cela ne me gênerait pas, il est compréhensible qu’une jeune vierge répugne à se montrer dans ce moment peu engageant.
« Tu as mis un tampon ? »
« Oui. »
« Alors je vais tout de même pouvoir te caresser sans aller plus loin pour aujourd’hui »
Margot me laisse faire. Et bientôt nous sommes nus sur le canapé. A me frotter sur elle ainsi je ne tarde pas à éjaculer sur son ventre. Je lui mets ses doigts dans le liquide visqueux et les lui fais lécher.
Elle me regarde effrontément. Je la saisis derrière la tête :
« Suce ! »
Elle hésite mais je ne cède pas et lui attire le visage contre ma queue.
Je lui réitère l’ordre : « suce Margot ! »
Elle s’exécute et me nettoie consciencieusement la queue. La soirée s’achève mais la nuit commence. Je l’entraîne dans sa chambre où nous nous allongeons sur le lit. Je la quitte un instant. Quand je reviens, Margot constate que c’est armé du caméscope que j’installe sur son pied à côté du lit.
Elle rougit mais me laisse la rejoindre après avoir branché l’appareil.
« Tu ne me pénètres pas Daniel ! »
« Non, juste ton petit cul… »
Avec Sylvie nous sommes partis les chercher en région parisienne et les ramenons en voiture. Nous sommes d’accord pour nous amuser avec eux et les initier. Pour Jérémie, ce ne sera pas un problème vu la façon dont il regarde habituellement Sylvie, par contre Margot posera peut-être plus de difficultés.
Départ 23 heures. Dans la voiture, ma femme s’installe à l’arrière avec son jeune cousin tandis que Margot me tient compagnie à l’avant.
Dès l’entrée sur l’autoroute, nous nous arrêtons pour prendre une boisson. Celle de Margot est « arrangée ». Dix kilomètres plus loin elle dort. Ma femme m’a informé que Jérémie avait déjà commencé à lui caresser les cuisses. En effet, tandis que sa sœur dort innocemment à l’avant, je vois dans le rétro le gamin collé contre Sylvie. Il lui caresse les seins et ma femme le laisse faire. Bientôt ils s’embrassent sur la bouche et j’entends les bruits humides de leur baiser. J’entends ma femme lui dire : « doucement, ne fais pas de bruit… ». Comme si je ne savais pas qu’il pelotait ma femme. Je suis excité et je me branle en regardant le rétro. Je vois les cuisses nues de la jeune Margot. Elle dort profondément. Je les caresse et remonte sur elles. Quel dommage, elle est en short et j’ai du mal à aller très loin. Si seulement elle avait mis une petite robe d’été. Tandis que je me bas avec la fermeture éclair du short, à l’arrière, Jérémie n’a pas ce problème. Ma femme est nue sous sa robe qui elle-même se boutonne ou plutôt se déboutonne sur le devant. Un coup d’œil rapide m’informe d’ailleurs que la robe est ouverte et que le gamin embrasse le ventre de Sylvie et continue de descendre poussé par ma femme dont les doigts s’enfouissent dans ses cheveux. Jérémie est trop occupé avec ma femme pour voir ce que je fais avec sa sœur. Son short est maintenant ouvert et ma main glisse sous son slip. Ses poils sont encore soyeux, rien à voir avec les poils durs des femmes d’âge mûr. J’ai empoigné sa petite chatte et je la « malaxe » en écoutant ma femme inviter Jérémie à venir entre ses cuisses. Il baisse son short et à genoux se loge entre les cuisses de ma femme. Il se frotte maladroitement contre elle tandis que Sylvie l’attire pour un long baiser…
Jérémie a baisé ma femme. Entre Paris et Tours, ils n’ont pas arrêté. Il a fallu que je les prévienne que l’on arrivait au péage pour qu’ils se rhabillent.
Il y en a encore pour deux à trois heures de routes et excité comme je le suis, il n’est pas question que je reprenne le volant. Sur l’aire de repos suivante, nous intervertissons les places. Ma femme conduira, Jérémie à ses côtés et Margot et moi irons à l’arrière. Jérémie se rend compte de la tenue de sa sœur. « Mais Daniel qu’est-ce que tu lui a fais ? »
Il est mal placé pour me faire la leçon et je lui fais remarquer. J’aide Margot à passer à l’arrière. Elle dort à moitié et ne se rend compte de rien. On démarre. Je me penche sur Margot et l’embrasse tendrement sur les lèvres. Elle sent bon, elle est douce, fraîche. Je sens que le trajet va me sembler bien court. Margot gémit, je soulève son teeshirt et Jérémie n’en perd pas une miette. Il regarde les petits seins de sa sœur et se touche en même temps. Margot se laisse embrasser et dans son demi sommeil semble y prendre plaisir. Encore vierge, je ne peux me permettre de la dépuceler sur le siège arrière mais il faut bien que je me soulage aussi je la couche sur la banquette et commence à promener mon gland sur la bouche. J’écarte ses lèvres. Je pousse pour introduire ma bite. Ca y est je peux limer dans sa bouche. Je sens sa petite langue vibrer sous ma queue. Je maintiens sa nuque fine dans ma main, elle m’excite, j’accélère, oui ! hummm j’ai giclé. Mon sperme coule des commissures de ses lèvres. Je l’embrasse pour lui nettoyer ce sperme qui coule sur ses joues. Jérémie n’en revient pas. Je pense que sa petite sœur est à son goût…
En effet, le lendemain je vois apparaitre Margot tout excitée. « Daniel, Jérémie vient de baisser mon short ! ».
Je m’approche d’elle et lui descends le short jusqu’à mi-cuisses. « comme ça ? ».
Interloquée elle balbutie « heu oui… »
« Et après il a baissé ta culotte comme ça ? »
Margot, le pubis à l’air ne répond plus.
J’approche mon visage et embrasse son petit pubis. « et il a fait ça ? »
Margot tente de reculer mais mes mains lui tiennent solidement les fesses et je l’embrasse plus loin sur sa petite fente.
Je l’attire sur le canapé et l’embrasse dans le cou. Je suis trop confiant et la petite en profite pour s’échapper. Elle me regarde d’un air de reproche et s’enfuit dans le jardin.
Le soir au dîner, Margot m’évite mais elle doit également éviter son frère. D’un commun accord, Sylvie, ce soir, ira occuper Jérémie afin que je puisse prendre soin de Margot.
Le dîner terminé, ma femme prend son jeune cousin par la main et l’entraîne dans notre chambre.
Je reste seul avec Margot devant la télé. Tendrement, patiemment, je lui explique que je suis allé trop loin mais qu’elle est si désirable que je ne peux m’empêcher de penser à elle.
Je la compare à ma femme, je la flatte et doucement je me rapproche d’elle.
J’ai enfin mon bras autour de ses épaules, une main sur son genoux et je me penche sur elle pour l’embrasser dans le cou. Je continue à la flatter et Margot se détend.
Ma main est remontée en haut de sa cuisse et je l’embrasse à la commissure de ses lèvres.
Je lui prends le menton et fais pivoter sa tête pour l’embrasser sur la bouche. Doucement, longuement je l’embrasse. D’abord sagement puis avec la langue. Margot est encore maladroite mais ne demande qu’à se perfectionner.
Sans cesser de l’embrasser, je remonte ma main sous son maillot et emprisonne ses petits seins juvéniles. Elle me prend dans ses bras et se colle contre moi. Ma main descend sur son ventre et glisse sous son short.
« Non, pas ça ! » me dit-elle.
« J’ai envie de toi Margot »
« Oui, je sais, mais sois patient. Je te promets de faire l’amour avec toi mais pas aujourd’hui »
« Pourquoi ? »
« Tu sais bien... » Elle hésite « je ne peux pas… »
Je viens de comprendre. Bien que cela ne me gênerait pas, il est compréhensible qu’une jeune vierge répugne à se montrer dans ce moment peu engageant.
« Tu as mis un tampon ? »
« Oui. »
« Alors je vais tout de même pouvoir te caresser sans aller plus loin pour aujourd’hui »
Margot me laisse faire. Et bientôt nous sommes nus sur le canapé. A me frotter sur elle ainsi je ne tarde pas à éjaculer sur son ventre. Je lui mets ses doigts dans le liquide visqueux et les lui fais lécher.
Elle me regarde effrontément. Je la saisis derrière la tête :
« Suce ! »
Elle hésite mais je ne cède pas et lui attire le visage contre ma queue.
Je lui réitère l’ordre : « suce Margot ! »
Elle s’exécute et me nettoie consciencieusement la queue. La soirée s’achève mais la nuit commence. Je l’entraîne dans sa chambre où nous nous allongeons sur le lit. Je la quitte un instant. Quand je reviens, Margot constate que c’est armé du caméscope que j’installe sur son pied à côté du lit.
Elle rougit mais me laisse la rejoindre après avoir branché l’appareil.
« Tu ne me pénètres pas Daniel ! »
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
vivement la suite
une suite? bientot?
J'adore ! J'espere qu'il y aura une suite...
bien tres tres bien vive la suite