Nos premières baises - histoire érotique

Nous nous sommes rencontré par le plus pur des hasards dans un bureau de poste, je venais chercher un colis et lui en envoyait un. Nous avons sympathisé sans plus. Je le trouvais à mon goût pour aller là où j’aime aller : dans un lit pour baiser. Je sais ce langage dans la bouche d’une femme n’est pas des plus correct……. Je sortais d’une aventure féminine, et changer de sexe pour jouir devenait une nécessité. La nuit suivante, je me réveillais avec son visage dans ma tête. Je me suis calmée en me branlant comme j’aime le faire souvent.
Par la suite sans doute une semaine plus tard, à nouveau nous étions ensemble: c’était la fête du quartier. Il m’a invité à danser un slow. J’ai accepté. Il essayait de me draguer. Serrée contre lui je me laissais faire. Je ne répondais pas aux fadaises qu’il débitait. Je me contentais de me serrer contre lui, surtout le bas ventre. Je ne tardais pas à le faire bander. J’étais fière de moi. Je sentais sa bite contre mon ventre et j’en profitais lâchement pour le faire jouir dans son pantalon.
Je sentais bien sa jouissance. Nous sommes partis chez moi. Là, j’ai mis ma bouche sur la sienne.
Notre baiser était très, très chaud. J’étais encore contre lui. J’arrivais à le faire bander encore.
Il commençait enfin à me caresser. Il était doué pour caresser les femmes. Il me semble sentir encore ses mains sur moi, d’abord les seins, puis les fesses, les jambes. Il me faisait mouiller tellement qu’il me semblait en avoir jusqu’au genoux.
C’est lui qui a commencé à me déshabiller lentement. Il m’embrassait partout, chaque endroit de mon corps qu’il mettait nu. Il me tardait qu’il me fasse les pires choses qu’une femme puisse souhaiter. Il me l’a fait plus tard. Il m’a mise au lit comme une enfant. Je me trouvais les jambes ouvertes. Il en profitait pour mettre sa tête dans cet endroit très intime. Je sentais sa langue lécher partout, surtout qu’il commençait par un anulingus en entrant presque la moitié de sa langue dans mon anus que je n’arrivais pas à ouvrir plus. Ensuite il a léché les lèvres de mon sexe, enfin encore sa langue dans mon vagin. Je ne sais pas exactement ce qu’il y a fait, en tout cas il m’a faite jouir.
J’avais un peu honte d’avoir cédé si vite. Pour qui allait il me prendre ?
Pour moi le paradis arrivait quand il m’a léché le clitoris. C’était presque aussi bon qu’avec une fille.
Enfin le grand moment était là, il venait entre mes cuisses. Je prenais sa queue, que je trouvais assez grosse en la comparant à d’autres que j’ai connues, pour la diriger vers mon vagin. Il entrait très lentement comme si j’étais une jeune vierge. Je donnais un coup de rein pour qu’il soit vite au fond de moi. Je lui demandais de rester un moment sans bouger pour que nous profitions de notre union.
Ensuite il me la mettait comme il voulait. En tout cas c’était bon et pour moi et pour lui. J’ai jouis deux fois quand il me baisait. Je ne sais comment il faisait, en tout cas il ne débandait pas.
C’était pour moi une affaire. Je le faisais sortir de ma chatte, me mettais en levrette en lui présentant mes fesses. Il avait compris, il venait poser sa bite sur mon cul. Heureusement que j’avais pu y mettre un peu de cyprine: il me la mise directement. Au début, il m’a fait mal. J’ai commencé à jouir quand il était au fond et que je sentais ses poils contre mes fesses. Pour accentuer mon plaisir il a passé une main contre mon pubis à la recherche de mon clitoris. Il me branlait plutôt bien. Cette masturbation ajoutée à ma sodomie a fait que j’ai jouis encore plusieurs fois. Il est sorti de mon cul sans encore avoir joui. Maintenant il commandait: suces moi. Réticente au début, j’ai du me plier à sa demande. Et là je l’ai bien sucé en commençant par le gland qu’il avait sensible. J’avalais la moitié de sa queue. Cette fois j’arrivais à le faire jouir. Je gardais son sperme dans ma bouche un moment pour m’imprégner de son goût. J’avalais la dose.
Nous nous sommes endormis. Je me suis réveillée vers 4 heures du matin. Je le trouvais reposant près de moi. Je lui prenais la bite pour le faire bander. Quand j’y suis arrivée il ne se réveillait pas encore. Par contre dans les premières secondes des allers et venus sur la pine, il se réveillait bien: il me laisser le branler. Je faisais attention de ne pas le faire jouir trop vite.
Ma main avait des mouvements lents au début et rapides vers la fin. Quand je sentais qu’il allait jouir, j’approchais ma bouche. Je réussissais à boire encore sa semence. Il bandait encore. Il m’a retournée sur le ventre et me la mise encore au cul. J’étais plus étroite par cette entrée.
Après un autre court sommeil, c’est lui qui m’a réveillée par un baiser sur la bouche. Cette fois il voulait me baiser. Il m’a remise sur le ventre, m’a fait écarter les jambes. Il a passé sa bite juste à coté de mon cul. Quand il m’a pénétrée avec lenteur, il m’a faite jouir trois ou quatre fois. Je sentais son sperme jaillir dans ma moule.
Depuis, nous avons vécu ensemble sans que je cesse de m’intéresser aux filles. Nous nous sommes mariés : deux fêlés de la baise: nous formions un couple parfait, je sais qu’il couche de droite ou de gauche: je n’en fait pas une maladie...