NOTRE EXPÉRIENCES CANDAU - histoire érotique

Bonjour à tous, aujourd'hui je vous propose quelque chose qui change complètement de mes textes habituels en vous racontant cette fois-ci ma vie ou devrais-je dire notre vie.

Peu le savent, mais avec mon compagnon, nous sommes libertins et plus précisément candaulistes. Je vais vous raconter notre parcours depuis le tout début jusqu'à aujourd'hui.

C'était tout juste mon deuxième copain, je n'étais plus vierge depuis quelques mois seulement, mais je ne connaissais encore rien au sexe. C'était pareil pour lui, mais il semblait pourtant déjà plus expert (merci Dorcel!). J'ai eu mon bac à 18 ans alors que David avait redoublé. J'ai fait ensuite une fac de sport pendant un an où j'ai plus appris à picoler qu'à courir...

Après cette année de beuverie... de sport pardon, je suis rentrée en école d'infirmière pendant que mon copain terminait sa formation professionnelle au lycée. Nous n'avions pas encore de chez nous alors nous nous voyions principalement les week-ends et les vacances chez l'un ou l'autre quand nos parents respectifs n'étaient pas présents, pour réviser... l'anatomie.

Avec Bybou (oui c'est son surnom) nous faisions du volley dans ce club où nous nous étions rencontrés. Nous étions le petit couple du club, les bébés chouchoutés par les membres, pour la plupart plus âgés. Sauf que les bébés... ils avaient faim de sexe. Nous faisions l'amour n'importe où : dans la voiture, dans les champs, dans les forêts, les parkings, etc. de vrais affamés. Nous étions plutôt classiques dans la pratique et surtout dans la découverte de nos corps. Pour vous dire, je n'avais jamais sucé avant lui.

Plusieurs mois ont passé, nous étions très heureux ensemble, mais une petite routine s'installait, bien que nous vivions respectivement chez nos parents.

Un jour où mon chéri avait un match en déplacement, comme à mon habitude, je suis venue avec lui pour le supporter. Nous étions tous les deux au fond du minibus de neuf places avec un de ses amis et coéquipiers que je vais nommer Bob. Bob avait 27 ans (nous en avions 19), plutôt bel homme, avec du style et surtout très drôle! Lui et mon Bybou étaient très proches, c'était pour lui un peu comme un grand frère.

Durant le trajet, les discussions vont bon train, les joueurs parlent entre eux de stratégie, du dernier match et, bien évidemment... de cul (aaah les mecs).

Nous discutons tous les deux avec Bob quand celui-ci, sur le ton de l'humour, nous dit :

— Sophie, si l'équipe gagne, tu fais une pipe à David devant nous!!

Les joueurs rigolent et quelques réflexions salaces fusent, mais ça reste bon enfant. Je réponds qu'étant donné les performances des derniers matchs, je ne risque pas grand-chose...

Le match commencé, les deux équipes se sont affrontées pendant presque trois heures et, au coup de sifflet final... la nôtre l'avait emporté contre une équipe pourtant meilleure sur le papier... wow!!!

Les joueurs sont super heureux et moi aussi! Je rejoins mon chéri sur le terrain pour l'embrasser et le féliciter :

— Bravo mon cœur, je t'aime!!

Les joueurs partent à la douche et à leur sortie, il y a la traditionnelle troisième mi-temps organisée par le club qui accueille : on refait le match, le tout arrosé à la bière. Je suis bien, détendue.

De retour dans le bus, nous nous retrouvons au fond avec Bybou et Bob, moi au milieu... Et c'est parti pour deux heures de route. Nous discutons, la plupart des joueurs s'endorment et Bob en profite pour revenir sur le pari.

— Alors Soso? Tu as un pari à honorer!

— Mais bien sûr, tu as vraiment cru que j'allais le faire?! Tu peux rêver.

Mais Bob n'a pas envie de lâcher l'affaire et propose plein de compromis pour que je cède jusqu'à dire :

— OK, j'embrasse ton copain et en échange tu le branles vite fait. OK?

Je réfléchis un peu à la situation qui peut être drôle de les voir s'embrasser. Surtout que pour moi, il suffit juste de branler mon copain sous le survêtement. Rien de très compromettant.

— D'accord marché conclu.

Ils ont fait tant de chichis pour s'embrasser, ça les dégoûtait tellement de faire cela, qu'ils ont mis trois plombes avant d'y arriver, c'était hilarant!

Le bisou exécuté je dois répondre de mon pari. Je glisse donc ma main sous le pantalon de mon copain et je commence à le branler. Il ne porte aucun sous-vêtement (c'est une habitude après un match, il est plus confortable sans). Bob se penche pour essayer de voir bien sûr, mais il est déçu, car il ne voit qu'un mouvement de ma main sous le pantalon. Mon chéri a du mal à bander, son sexe grandit un peu dans ma main, mais il reste bien mou. Après quelques minutes de mouvements sans grand résultat Bob, qui n'en loupe pas une, nous dit :

— Bah tu as qu'à le sucer. Personne ne nous voit d'ici...

J'ai bloqué quelques secondes sur cette proposition : je le fais ou pas? Je suis à la fois terrifiée à l'idée de sucer alors qu'il y a des gens autour de moi et pourtant l'idée m'excite. L'alcool a joué un rôle dans ma décision, je pense. J'ai jeté un regard vers l'avant du minibus, voir s'il y avait du mouvement... rien. Ils dorment ou en tout cas sont immobiles et concentrés sur la route. Alors je me penche, je tire l'élastique du survêtement, je sors le sexe mou de mon copain et je prends son gland entre mes lèvres. Je caresse tout le pourtour du gland en coulissant avec mes lèvres, pour le faire durcir. Je suis tellement concentrée à faire durcir la queue de mon copain que je ne me rends pas compte que mon cul est offert à la vue de Bob.

Je porte une robe avec des collants. Et pendant que je suce le sexe de mon chéri qui a du mal à durcir, j'entends quelques messes basses entre les deux comparses. Mon amoureux acquiesce de la tête et je sens alors la main de Bob se poser sur ma fesse droite. Surprise, je relève la tête en direction de Bob qui la retire immédiatement :

— Ça te dérange? Je suis désolé!

Je ne sais pas comment réagir. Je regarde mon chéri qui ne bouge pas et, sans trop savoir pourquoi, sans dire un mot, je me remets à la sucer à pleine bouche.

Il est bien dur désormais mon Bybou... et Bob prend mon silence pour une autorisation. Il repose sa main sur mon cul en le caressant de façon plus ferme. Je me sens toute bizarre. Une sensation étrange où la gêne et l'excitation se partagent mon corps. Mais pourtant je sens mon vagin se réchauffer et s'humidifier. Bob l'a peut-être senti aussi, car il relève ma robe pour passer sous mon collant. Je sens sa main chaude sur ma fesse droite. C'est improbable comme situation, n'importe qui à l'intérieur du bus peut me voir en train de sucer et me faire caresser. Et étrangement, je suis encore plus excitée...

En prenant conscience de ce qui m'arrive, un frisson me parcourt tout le corps. Mais Bob a de la suite dans les idées. Il enfonce sa main encore plus loin sous mon collant pour arriver jusqu'à mon vagin protégé par mon string gris et d'un mouvement maîtrisé, il passe deux doigts pour continuer la progression au-delà de ce dernier rempart. Je suis très excitée et mon vagin le fait vite comprendre à mon agresseur qui d'une voix douce, mais sûre me dit :

— C'est qu'elle aime avoir deux hommes pour elle, la Sophie...

Je pousse sans le vouloir un petit gémissement lorsqu'il entre un doigt dans ma vulve humide. Un flash traverse mon esprit : je vois Bob me prendre par-derrière pendant que je suce David. Je veux que Bob me prenne, là maintenant, mais le destin en voudra autrement... Un équipier qui était devant s'est réveillé puis s'est retourné vers nous, je suis pétrifiée... immobile. Étonnamment celui-ci ne comprend pas vraiment ce qui est en train de se jouer, certainement à cause de l'obscurité :

— Sophie s'est endormie?

Oh que non... je suis tétanisée, mais on ne peut plus réveillée... Je ne bouge plus, le sexe de mon chéri ramollit dans ma bouche et Bob retire sa main délicatement pour qu'il ne devine pas ce qui se passe. Les coéquipiers se remettent à parler entre eux et nous nous stoppons tout.

Arrivés au gymnase nous nous disons au-revoir avec une certaine gêne et Bob nous propose de venir prendre un verre chez lui un jour prochain. Nous acceptons avec plaisir.

Après cette journée forte en émotions nous sommes rentrés chacun chez nous et bien sûr, nous avons débriefé de cette soirée et de ce retour plus qu'étrange. Nous avons parlé de nos ressentis, de nos envies, nos peurs... David m'a avoué qu'il fantasmait beaucoup sur un plan à trois avec un autre homme ce qui m'a un peu surprise quand même. Bah oui, les mecs c'est plus avec deux filles pour eux, non? Bref, nous en discutons pas mal le soir même et nous en restons là.

Plusieurs jours passent et je réfléchis à tout ça... « C'est quand même fou cette soirée dans le bus, pourquoi j'ai fait ça?? Pourquoi ne pas répondre à l'invitation de Bob?? Que faire? »

Une semaine passe et Bob revient à la charge avec des messages pour un apéro. Avec mon chéri nous trouvons un accord. Nous acceptons le rendez-vous et je m'habille sexy. Nous verrons bien ce qu'il se passera. Hop, rendez-vous est pris pour le samedi soir et pour moi direction « préparation de combat ». Le reste de la semaine, je ne pense qu'à cet apéro qui approche et je suis impatiente.

Samedi le grand jour!! Direction la douche, rasage, épilation, sortie de douche et go... la chambre.

Alors, alors... quoi mettre??? Bon Bon bon..... J'ai trouvé!!!!

Je me prépare et là je commence à sentir le stress monter. Merde nous faisons peut-être une connerie!

J'appelle David et lui demande s'il est toujours sûr de vouloir aller à cet apéro. Il me répond que oui, que ça n'engage à rien.

J'opte donc pour une jupe rouge et un débardeur noir, un string à dentelle noir, un soutif noir et des bas autofixants montés de talons noirs.

Arrivés chez Bob, il a déjà préparé l'apéro. Nous passons une bonne soirée à rire, discuter et je vois mon copain m'envoyer des regards appuyés pour que je me lance. Mais je veux le faire languir et je dois l'avouer j'ai le trac. Bob a souvent le regard qui se perd sur mes cuisses.

Les deux mecs sont sur le canapé et moi dans un fauteuil en face quand mon chéri part aux w.c.. Nous nous retrouvons tous les deux, Bob et moi, et il doit voir ça comme une ouverture, car il lance :

— Dis-moi Sophie, tes bas tiennent comment?

Dans ma tête je me dis : mais c'est complètement nul comme approche!, mais il a de la suite dans les idées... Il me demande de lui montrer et je relève donc légèrement ma jupe pour lui montrer mes bas...

Mais monsieur ne voit pas bien, soi-disant, et me demande de m'approcher.

À ce moment-là, mon cœur s'accélère (l'alcool doit un peu aider). Je me lève et je remonte ma jupe à la limite de mes bas quand je sens ses mains attraper la jupe et la remonter complètement! Me voilà debout dans le salon, jupe relevée, en string, bas et talons!!!! Un frisson traverse tout mon corps. Mon chéri revient à ce moment et autant vous dire qu'il est surpris du changement de situation. Mais son arrivée ne décourage pas Bob et ses mains commencent à caresser mon cul, c'est... waouh... Mon cerveau doit faire un court circuit car j'ai comme un trou noir.

Oui, oui! Un trou noir... comme un court instant où j'ai tout coupé là haut, car je me retrouve le string décalé par les doigts de Bob en train de me frotter le clitoris. La situation est bien lancée et plus rien ne peut la stopper, je crois...

Mon vagin réagit très bien aux assauts de Bob, car il est trempé. Il m'a descendu le string aux chevilles, m'a retournée et m'a penchée en avant, les mains sur la table basse, jambes tendues et il dit :

— Quel cul, c'est fou! tout en écartant mes fesses. Je sens deux doigts rentrer dans mon intimité sans difficulté, ce qui me fait pousser un gémissement. Bob se lève et me pousse gentiment sur le canapé pour que je m'assoie. Il se place devant moi et sort son sexe. Tout va extrêmement vite. Je ne comprends rien et sans réagir je me retrouve à moitié nue avec le sexe d'un ami de mon copain dans la bouche.

Je suce le sexe de Bob sans vraiment réfléchir. Il pousse des petits soupirs ponctués de « C'est bon continue... » Je tourne la tête et vois mon Bybou, sexe sorti, à regarder la scène. Les mains de Bob commencent à bouger et il cherche une solution pour me retirer le haut. En quelques mouvements, me voilà presque nue, les seins à l'air avec juste mes bas et mes talons, et un sexe dans la bouche.

Mon copain en profite pour se rapprocher. Bob m'allonge sur le canapé et m'écarte les jambes pour commencer à me faire un cunni. J'en profite pour prendre en bouche mon copain qui est au niveau de ma tête. Pour la première fois de ma vie, j'ai deux bites pour moi, rien que pour moi!!!! Quelle sensation... Le cunni de Bob est génial, mais il s'arrête pour inverser les rôles, et me revoilà avec en bouche ce sexe encore inconnu il y a dix minutes.

La position ne doit pas plaire à notre ami, car il me demande de me mettre en levrette sur le canapé. Lui s'assoit à l'extrémité et une fois en position, il remet sa bite dans ma bouche pendant que mon copain se positionne en dessous de moi pour me lécher. Bob commence à prendre confiance et il se laisse aller à des commentaires du genre « J'adore voir tes seins bouger dans le vide » « Je ne te pensais pas aussi cochonne » « Tu suces comme une reine »...

Il interpelle mon chéri en lui disant :

— Vas-y, prends-la

Je sens David se positionner derrière moi, et mon cœur s'emballe. J'attends en levrette, le sexe de Bob en bouche. J'attends, j'attends..... mais rien ne vient, il ne bande pas. Le stress sûrement... Bob, très classe, rassure mon chéri et lui dit que ça arrive. Sauf que moi j'ai la chatte en feu. Notre ami propose de remplacer mon chéri et de me prendre, si nous sommes d'accord bien entendu. J'avoue que sur le moment, je veux me faire baiser, mon vagin n'en peut plus, il coule à flots. Mais mon chéri, dans la déception de sa non érection, préfère dire non pour aujourd'hui.

Un peu déçu, mais toujours classe, Bob demande à mon chéri s'il peut finir sur moi. Il me demande donc de me mettre accroupie et je me touche en même temps que je le suce. Puis il sort son sexe de ma bouche et se branle frénétiquement jusqu'à un grand gémissement accompagné d'une éjaculation sur mes seins.

On a alors un moment de pause où personne ne parle. Ensuite je m'essuie et nous finissons la soirée comme si de rien n'était sauf que nous sommes nus.

Cette soirée a marqué l'un des tournants de notre vie de couple et de ma vie de femme.

Nous avons quitté Bob à 2 heures du matin et nous nous sommes arrêtés sur un parking pour reprendre nos esprits et en discuter. Mais la conversation a tourné très court, car David m'a bondi dessus pour me faire l'amour dans la voiture. Moi assise sur lui côté passager après quelques va-et-vient et un râle, nous nous sommes serrés l'un contre l'autre.

Puis nous sommes rentrés chacun chez nous pour terminer cette nuit.