Notre notaire confisque ma petite culotte (Episode 2)
Récit érotique écrit par Camille_CBT [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Notre notaire confisque ma petite culotte (Episode 2)
J’avais passé une bonne partie de la nuit à ressasser. Devais-je me rendre ou pas à ce rendez-vous le lendemain ? Une part de moi était résolument contre : quel macho pour s’imaginer un instant que je pouvais avoir envie de le revoir après ce qu’il s’était passé entre nous ! Ce type n’était qu’un vieux pervers qui ne me méritait pas. Et pourtant je n’avais pu m’empêcher de repenser au plaisir qu’il m’avait donné et que j’avais ressentie bien malgré moi au moment ou il m’avait rempli la bouche.
C’était moi la vicieuse et puis, il y avait aussi toutes ces pensées qui m’avaient agitées une partie de la nuit. Ce soir là, mon cinéma intérieur, les histoires que je me racontais parfois avant de m’endormir, tout en frictionnant l’une contre l’autre les lèvres de ma vulve étaient revenues en force.
Des histoires que j’avais conçues d’une manière bien mystérieuse, bien longtemps avant d’avoir mon premier rapport sexuel. Pourquoi choisir précisément le scénario « Salle de Cinéma » pour m’exciter en repensant à mon notaire, je l’ignore.
Sans doute le fait que lors de notre dernière rencontre Julien et moi avions envisagé d’aller voir un film pour notre prochaine sortie.
Ce scénario était en fait plutôt banal. Dans un premier temps, je me retrouvais seule à monter les marches du Centre Courier. Beaucoup de monde faisait la queue. Tout à coup, quelqu’un commençait à me presser le derrière. Là encore, tous mes voisins dans la queue suivaient l’exemple, et, quand j’arrivais devant le guichet, la caissière voyait qu’on m’avait retroussé la jupe et je lui parlais pendant que quelqu’un se frottait sur mes fesses ; je n’avais pas de culotte. L’échauffement gagnait. Je me retrouvais à moitié dépoitraillée le temps de traverser le hall.
Pour la suite, j’avais imaginé plusieurs variantes, dans l’une, une fois arrivée dans la salle, je retrouvais comme par hasard (!!!) Maître Berney accompagné de Maître Imbert que je ne connaissais pas encore. Dans l’autre, ma préférée, j’étais également accompagnée par mon fiancé qui ne s’était aperçu de rien pendant la queue. Une fois installés dans la salle, les deux notaires venaient nous rejoindre. Après les présentations mon fiancé laissait la place à Maître Imbert qui voulait faire ma connaissance, je me retrouvais ainsi encadrée par les deux notaires, mon fiancé relégué à l’écart préférant passer sur la rangée de devant. Et aussitôt les deux vieux cochons de passer les mains sous mes jupes et de m’enfoncer directement les doigts en s’apercevant que je n’avais pas de culotte. Ils me pelotaient ainsi pendant toute la première partie du film. Pendant que je m’affairais avec l’un, que nous nous embrassions goulûment, l’autre me caressait. Puis j’opérais un demi-tour pour embrasser ce dernier, mais le premier ne lâchait pas son étreinte, et ainsi de suite, je basculais sans cesse de droite et de gauche. Ensuite je quittais mon siège, ma jupe toujours enroulée autour de ma taille et me déplaçais pour me mettre à gigoter, coincée contre l’un ou l’autre sur un même fauteuil. Mon fiancé ne semblait se rendre de compte de rien. Je m’imaginais qu’il n’osait rien dire ou que cela l’excitait de voir que je me laissais faire par ces deux gros vicieux. Finalement, m’ayant enfiévrée au maximum, j’allais aux toilettes et un va-et-vient s’installait entre celles-ci et la salle.
J’avais mis des bas ce soir là, des bas noirs avec un minuscule porte-jarretelles que j’avais dénichés planqués au fond du tiroir à sous-vêtements de ma mère. Cette tenue mise en valeur par ma jupe courte et moulante qui remontait et découvrait la lisière des bas au moindre mouvement avait eu beaucoup de succès lorsque nous faisions la queue.
Dans les toilettes on me mettait complètement nue, ne me laissant que les bas et on me pelotait. Maître Berney et maître Imbert avaient été les premiers à me rejoindre et à me foutre à poil. Puis devinant le manége d’autres hommes nous avaient rejoint. Le groupe était dense et formait un cercle autour de moi, des messieurs très bien pouvaient quitter leur siège à côté de leur femme soupçonneuse pour traverser la salle dans le noir et venir eux aussi. Un à un, les hommes se détachaient du cercle pour venir contre moi et me peloter sans vergogne les nichons et le cul. Je m’aperçu que mon petit ami était là, lui aussi, mais il se tenait à l’écart et se contentait de regarder.
Toujours est il, qu’au matin, après une nuit plus qu’agitée par mes fantasmes, je n’avais pris aucune décision quant à la conduite à tenir. En tout cas, force m’était d’admettre que je n’avais pas mi longtemps pour intégrer avec perversité Maître Berney au centre de mon imagerie de pucelle vicieuse. J’avais même fait une place à son associé, l’imaginant lui aussi petit et bedonnant et bien sûr avec un très gros sexe. J’ai toujours été attirée par les hommes enveloppés en pensant qu’il serait agréable de se sentir bien couverte et complètement entourée pendant la possession.
En tout cas, mes hésitations n’étaient que façade. J’étais bel et bien en train de chercher comment m’habiller pour me rendre à l’étude lorsque j’avais reçu un SMS de maître Imberrt. Les deux notaires me prévenaient simplement qu’ils ne pourraient pas être disponible de toute la journée et qu’ils me contacteraient pour un autre rendez-vous.
Sans trop vouloir me l’avouer j’étais déçue et trouvais cela très vexant. Sans réfléchir, j’appelais aussitôt mon petit ami pour qu’il vienne me rejoindre au centre commercial pour déjeuner. Je lui laissais le soin de choisir le film que nous irions voir ensuite. Comme d’habitude, Julien était d’accord pour tout.
Toujours autant excitée, j’avais simplement remis la petite jupette écossaise blanche et noire que je portais la veille et j’étais partie sans mettre de culotte. Bien sûr, mon petit ami ne s’était aperçu de rien. Il n’avait rien remarqué, même pas au moment de notre passage, juchés sur les hauts tabourets blancs du Mezzo di Pasta, pour une restauration rapide. Il faut dire qu’Il y avait du monde. Un groupe de jeunes collégiens fascinés par ma longue crinière rousse et mes jambes découvertes n’avait pas arrêté de me reluquer avec espoir. Malgré mon envie de les écarter, je gardais les cuisses bien serrées pendant tout notre repas.
Heureusement le complexe cinéma était toute proche. Aussitôt installés dans nos fauteuils je commençais à frotter ma main gauche sur la bosse rugueuse du jean.de Julien. Le gonflement entravé par le tissu raide et serré était à chaque fois pour moi un stimulant efficace. Insensiblement Je me mis à gigoter sur mon siège que je sentais râpeux à souhait. J’augmentais progressivement la cadence de mes vas et viens. Quelques secondes encore et je sentis les premiers spasmes de Julien.
A peine une minute lui avait suffit. Ce n’était pas la première fois que je lui faisais tout faire dans son pantalon pendant une séance de cinéma mais cette fois-ci, il avait mis la dose, sept ou huit contractions, peut être plus. Tout en approchant ma bouche de ses lèvres, je passais un doigt dans sa braguette pour constater à quel point sa culotte était trempée par ses grosses giclées. Je lui dardais ma langue dans la bouche le plus profondément possible, et, aussitôt qu’il me répondit je saisis la sienne entre mes dents et la mordillais frénétiquement en pensant à ce que je venais juste de faire. Je venais de faire éjaculer mon petit ami dans sa culotte et il allait sortir du cinéma avec une grosse tâche sombre au niveau de la braguette alors que j’avais avalé toute la semence de notre vieux notaire.
Décidément, quelle salope je faisais. Une onde de plaisir mêlé de honte m’envahit et je sentis que je mouillais mon siège. Je retirais mon index de la braguette trempée pour me l’enfoncer aussitôt profondément dans la chatte. Je me soulevais légèrement sur mon siège sans cesser de lui rouler une pelle d’enfer. En un instant mon majeur avait suivi le même chemin alors que mon annulaire essayait de s’enfoncer dans mon cul.
Je recommençais plusieurs fois et à chaque coup mon petit copain léchait et suçait, l’un après l’autre, les trois doigts que je lui offrais. Cela était une habitude qui faisait parti de notre rituel « Masturbation Cinéma ». Même si visiblement il n’appréciait pas trop la chose, il n’osait rien dire et à chaque fois, il s’exécutait invariablement. Le plus incroyable est qu’avec ça, il ne me touchait pratiquement pas de toute la séance. Jamais au-dessous de la taille. A cette époque, tout juste s’il osait me presser un peu les seins au travers de ma blouse. Une prochaine fois il faudrait que je me décide à m’asseoir carrément sur sa figure pour le récompenser de sa retenue et de son assiduité. Comme si c’était fait, je me voyais en train de regarder sa petite bite de jeune homme bien élevé, devenir toute raide au fur et à mesure qu’il me boufferait la chatte. Je me dis qu’il faudrait que j’en profite pour essayer de faire éjaculer mon petit chéri sans même le toucher ou alors, juste du bout des ongles !
Les jours suivant je me consacrais à mes révisions des épreuves d’admission dans l’année de maturité. J’avais presque oublié mes incartades notariales lorsque je reçu un nouvel SMS de Maître Imbert.
Cette fois-ci, ils m’attendaient pour le lendemain. Je devais me présenter entre 9 et 10 heures à l’étude. Une condition était impérative : au réveil, je ne devais pas passer aux toilettes. Son SMS était très clair : ma petite Camille, tu viens dans nos bureaux exactement comme si tu devais te rendre à un laboratoire d’analyses pour faire un examen d’urine sur place.
J’avais bien une petite idée de ce qui m’attendait mais j’avais du mal à le croire et à imaginer jusqu'où tout cela pourrait aller.
C’était moi la vicieuse et puis, il y avait aussi toutes ces pensées qui m’avaient agitées une partie de la nuit. Ce soir là, mon cinéma intérieur, les histoires que je me racontais parfois avant de m’endormir, tout en frictionnant l’une contre l’autre les lèvres de ma vulve étaient revenues en force.
Des histoires que j’avais conçues d’une manière bien mystérieuse, bien longtemps avant d’avoir mon premier rapport sexuel. Pourquoi choisir précisément le scénario « Salle de Cinéma » pour m’exciter en repensant à mon notaire, je l’ignore.
Sans doute le fait que lors de notre dernière rencontre Julien et moi avions envisagé d’aller voir un film pour notre prochaine sortie.
Ce scénario était en fait plutôt banal. Dans un premier temps, je me retrouvais seule à monter les marches du Centre Courier. Beaucoup de monde faisait la queue. Tout à coup, quelqu’un commençait à me presser le derrière. Là encore, tous mes voisins dans la queue suivaient l’exemple, et, quand j’arrivais devant le guichet, la caissière voyait qu’on m’avait retroussé la jupe et je lui parlais pendant que quelqu’un se frottait sur mes fesses ; je n’avais pas de culotte. L’échauffement gagnait. Je me retrouvais à moitié dépoitraillée le temps de traverser le hall.
Pour la suite, j’avais imaginé plusieurs variantes, dans l’une, une fois arrivée dans la salle, je retrouvais comme par hasard (!!!) Maître Berney accompagné de Maître Imbert que je ne connaissais pas encore. Dans l’autre, ma préférée, j’étais également accompagnée par mon fiancé qui ne s’était aperçu de rien pendant la queue. Une fois installés dans la salle, les deux notaires venaient nous rejoindre. Après les présentations mon fiancé laissait la place à Maître Imbert qui voulait faire ma connaissance, je me retrouvais ainsi encadrée par les deux notaires, mon fiancé relégué à l’écart préférant passer sur la rangée de devant. Et aussitôt les deux vieux cochons de passer les mains sous mes jupes et de m’enfoncer directement les doigts en s’apercevant que je n’avais pas de culotte. Ils me pelotaient ainsi pendant toute la première partie du film. Pendant que je m’affairais avec l’un, que nous nous embrassions goulûment, l’autre me caressait. Puis j’opérais un demi-tour pour embrasser ce dernier, mais le premier ne lâchait pas son étreinte, et ainsi de suite, je basculais sans cesse de droite et de gauche. Ensuite je quittais mon siège, ma jupe toujours enroulée autour de ma taille et me déplaçais pour me mettre à gigoter, coincée contre l’un ou l’autre sur un même fauteuil. Mon fiancé ne semblait se rendre de compte de rien. Je m’imaginais qu’il n’osait rien dire ou que cela l’excitait de voir que je me laissais faire par ces deux gros vicieux. Finalement, m’ayant enfiévrée au maximum, j’allais aux toilettes et un va-et-vient s’installait entre celles-ci et la salle.
J’avais mis des bas ce soir là, des bas noirs avec un minuscule porte-jarretelles que j’avais dénichés planqués au fond du tiroir à sous-vêtements de ma mère. Cette tenue mise en valeur par ma jupe courte et moulante qui remontait et découvrait la lisière des bas au moindre mouvement avait eu beaucoup de succès lorsque nous faisions la queue.
Dans les toilettes on me mettait complètement nue, ne me laissant que les bas et on me pelotait. Maître Berney et maître Imbert avaient été les premiers à me rejoindre et à me foutre à poil. Puis devinant le manége d’autres hommes nous avaient rejoint. Le groupe était dense et formait un cercle autour de moi, des messieurs très bien pouvaient quitter leur siège à côté de leur femme soupçonneuse pour traverser la salle dans le noir et venir eux aussi. Un à un, les hommes se détachaient du cercle pour venir contre moi et me peloter sans vergogne les nichons et le cul. Je m’aperçu que mon petit ami était là, lui aussi, mais il se tenait à l’écart et se contentait de regarder.
Toujours est il, qu’au matin, après une nuit plus qu’agitée par mes fantasmes, je n’avais pris aucune décision quant à la conduite à tenir. En tout cas, force m’était d’admettre que je n’avais pas mi longtemps pour intégrer avec perversité Maître Berney au centre de mon imagerie de pucelle vicieuse. J’avais même fait une place à son associé, l’imaginant lui aussi petit et bedonnant et bien sûr avec un très gros sexe. J’ai toujours été attirée par les hommes enveloppés en pensant qu’il serait agréable de se sentir bien couverte et complètement entourée pendant la possession.
En tout cas, mes hésitations n’étaient que façade. J’étais bel et bien en train de chercher comment m’habiller pour me rendre à l’étude lorsque j’avais reçu un SMS de maître Imberrt. Les deux notaires me prévenaient simplement qu’ils ne pourraient pas être disponible de toute la journée et qu’ils me contacteraient pour un autre rendez-vous.
Sans trop vouloir me l’avouer j’étais déçue et trouvais cela très vexant. Sans réfléchir, j’appelais aussitôt mon petit ami pour qu’il vienne me rejoindre au centre commercial pour déjeuner. Je lui laissais le soin de choisir le film que nous irions voir ensuite. Comme d’habitude, Julien était d’accord pour tout.
Toujours autant excitée, j’avais simplement remis la petite jupette écossaise blanche et noire que je portais la veille et j’étais partie sans mettre de culotte. Bien sûr, mon petit ami ne s’était aperçu de rien. Il n’avait rien remarqué, même pas au moment de notre passage, juchés sur les hauts tabourets blancs du Mezzo di Pasta, pour une restauration rapide. Il faut dire qu’Il y avait du monde. Un groupe de jeunes collégiens fascinés par ma longue crinière rousse et mes jambes découvertes n’avait pas arrêté de me reluquer avec espoir. Malgré mon envie de les écarter, je gardais les cuisses bien serrées pendant tout notre repas.
Heureusement le complexe cinéma était toute proche. Aussitôt installés dans nos fauteuils je commençais à frotter ma main gauche sur la bosse rugueuse du jean.de Julien. Le gonflement entravé par le tissu raide et serré était à chaque fois pour moi un stimulant efficace. Insensiblement Je me mis à gigoter sur mon siège que je sentais râpeux à souhait. J’augmentais progressivement la cadence de mes vas et viens. Quelques secondes encore et je sentis les premiers spasmes de Julien.
A peine une minute lui avait suffit. Ce n’était pas la première fois que je lui faisais tout faire dans son pantalon pendant une séance de cinéma mais cette fois-ci, il avait mis la dose, sept ou huit contractions, peut être plus. Tout en approchant ma bouche de ses lèvres, je passais un doigt dans sa braguette pour constater à quel point sa culotte était trempée par ses grosses giclées. Je lui dardais ma langue dans la bouche le plus profondément possible, et, aussitôt qu’il me répondit je saisis la sienne entre mes dents et la mordillais frénétiquement en pensant à ce que je venais juste de faire. Je venais de faire éjaculer mon petit ami dans sa culotte et il allait sortir du cinéma avec une grosse tâche sombre au niveau de la braguette alors que j’avais avalé toute la semence de notre vieux notaire.
Décidément, quelle salope je faisais. Une onde de plaisir mêlé de honte m’envahit et je sentis que je mouillais mon siège. Je retirais mon index de la braguette trempée pour me l’enfoncer aussitôt profondément dans la chatte. Je me soulevais légèrement sur mon siège sans cesser de lui rouler une pelle d’enfer. En un instant mon majeur avait suivi le même chemin alors que mon annulaire essayait de s’enfoncer dans mon cul.
Je recommençais plusieurs fois et à chaque coup mon petit copain léchait et suçait, l’un après l’autre, les trois doigts que je lui offrais. Cela était une habitude qui faisait parti de notre rituel « Masturbation Cinéma ». Même si visiblement il n’appréciait pas trop la chose, il n’osait rien dire et à chaque fois, il s’exécutait invariablement. Le plus incroyable est qu’avec ça, il ne me touchait pratiquement pas de toute la séance. Jamais au-dessous de la taille. A cette époque, tout juste s’il osait me presser un peu les seins au travers de ma blouse. Une prochaine fois il faudrait que je me décide à m’asseoir carrément sur sa figure pour le récompenser de sa retenue et de son assiduité. Comme si c’était fait, je me voyais en train de regarder sa petite bite de jeune homme bien élevé, devenir toute raide au fur et à mesure qu’il me boufferait la chatte. Je me dis qu’il faudrait que j’en profite pour essayer de faire éjaculer mon petit chéri sans même le toucher ou alors, juste du bout des ongles !
Les jours suivant je me consacrais à mes révisions des épreuves d’admission dans l’année de maturité. J’avais presque oublié mes incartades notariales lorsque je reçu un nouvel SMS de Maître Imbert.
Cette fois-ci, ils m’attendaient pour le lendemain. Je devais me présenter entre 9 et 10 heures à l’étude. Une condition était impérative : au réveil, je ne devais pas passer aux toilettes. Son SMS était très clair : ma petite Camille, tu viens dans nos bureaux exactement comme si tu devais te rendre à un laboratoire d’analyses pour faire un examen d’urine sur place.
J’avais bien une petite idée de ce qui m’attendait mais j’avais du mal à le croire et à imaginer jusqu'où tout cela pourrait aller.
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