Notre notaire confisque ma petite culotte (Episode 6)
Récit érotique écrit par Camille_CBT [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 6 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.1 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Camille_CBT ont reçu un total de 83 637 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 19 632 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Notre notaire confisque ma petite culotte (Episode 6)
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je m'appelle Camille, je viens tout juste de réussir mon examen de maturité (Baccalauréat) cession d’hiver avec une mention Très Bien et une moyenne générale de 5.6. J’espère maintenant être définitivement retenue pour un stage d'été dans un important office notarial de Lausanne. Pour cela, Il me faut encore réussir un dernier entretien avec Maître Duriez, le dernier et le plus âgé des trois associés de l'office.
J'ai bon espoir. Sans le connaître personnellement, je sais que Maître Duriez a longtemps travaillé avec mon grand père, mais avant tout, je crois que mes deux précédents entretiens ont été assez concluants (voir épisodes précédents) et qu’à ce jour ces messieurs ont pris conscience de mon potentiel et de tout le bénéfice qu’ils peuvent tirer d’une jeune étudiante consciencieuse et très perfectionniste.
Une fois de plus, mon rendez-vous, prévu pour le sur lendemain, fut annulé et mon entrevue avec Maître Duriez reportée d'une semaine. Cette fois-ci, je reçus les directives, non pas par SMS, mais par mail avec accusé de lecture. Après tout, ils étaient notaires, alors pas de quoi s'étonner et la prochaine fois qu'ils auraient besoin de mon cul, je pouvais aussi bien m'attendre à recevoir une lettre recommandée avec A.R.
Le courriel précisait que je devais me présenter à Maître Duriez en jupe courte, escarpins et bas maintenus par des jarretelles, pas de collants ni de bas auto-fixant. J’étais également informée, qu’au cours de cette visite, je devrais faire tout le nécessaire pour mesurer leur sexe en érection, prendre des photos témoins de preuve sur mon mobile et enregistrer leurs dimensions respectives. Il me faudrait également prévoir de faire la même chose avec mon petit ami Julien. Leur intention étant de me posséder très prochainement, ils souhaitaient que j’aie connaissance des différences de proportion de chacun au moment des différentes pénétrations.
Je cite :« Camille, à chaque fois que tu prendras une nouvelle bitte dans le cul, il sera essentiel que tu puisses la situer en volume, proportions et pourcentage par rapport à l’ensemble de tes autres partenaires. Tu devras pouvoir, sur simple demande et publiquement, fournir ces informations au moment de chaque prise. En particulier, tu devras systématiquement informer chacun de tes nouveaux partenaires de ses proportions par rapport à celles de ton fiancé et lui communiquer ton ressenti par rapport à cette comparaison. Il te faudra, en outre, pour chaque rapport, en consigner tous les paramètres par écrit, en regard des caractéristiques de chacun de tes partenaires. Taille du sexe, orifice utilisé, durée de l’acte, résultats, éjaculation, intensité de la jouissance, rougeurs, présence de cris, de couinements, paroles échangées…Cette présentation devra obligatoirement figurer dans ton journal annexé à ton compte rendu de stage et comptera dans ta note finale. »Pour cela, ils me conseillaient de réfléchir sans plus tarder à la méthode et de penser à réaliser le tableau Excel approprié dés maintenant. Je devais également prévoir les possibilités de rajouter dynamiquement de nouvelles variables et de ne pas me limiter en nombre de participants. Des allusions lors de ma précédente visite m’avaient fait comprendre que mon rapport de stage pourrait être largement diffusé. C’était peut être là une raison de plus pour désirer se rapprocher des standards de présentation classique, en proposant une étude académique accompagnée par un nombre impressionnant de graphiques, camemberts et autres courbes, tous basés autour de l’exploitation de mon cul de jeune pucelle. J’avoue que le sens de la démarche m’échappait un peu. Je voyais seulement qu’il était prévu qu’une grande quantité d’hommes allaient m’avoir et cela m’excitait.
Il est vrai que, sur le moment, je n’avais pas la moindre idée de l'ampleur des écarts que j'allais être amenée à constater chez mes futurs partenaires, tant au niveau des exigences sexuelles que des performances. Comment imaginer à 17 ans autant de perversions et de manières différentes d’utiliser un cul de femme ?
J’avais ouvert ce mail sur mon portable, dans ma chambre. En le découvrant, j’avais immédiatement commencé à mouiller. J’écartais les cuisses pour me toucher, sans me soucier de ma sœur qui venait d’arriver et me parlait depuis le couloir. Je m’imaginais déjà, à poil à faire la salope et à tortiller du cul dans les couloirs de l’étude, simplement vêtue de mes bas et d’un porte-jarretelles. Dans ma vision, je n’avais aucune difficulté à faire bander mes petits vieux comme des ânes. Lequel d’entre eux allait il être le premier à m’enfoncer sa grosse bitte dans le cul ? Cela me titillait vraiment. Depuis le début, je savais que j’allais y passer et que ces gros cochons allaient tous m’enculer. Après tout ce qui m’était déjà arrivé à l’étude, j’étais bien certaine que ces vieux dégueulasses s’étaient mis d’accord pour se servir et jouir de mon petit derrière en premier. Ils allaient commencer par me dépuceler du cul. J’allais devenir une petite enculée. Leur petite enculée de stagiaire. J’enfonçais deux doigts dans ma chatte et demandais à ma sœur de me laisser tranquille. Je continuais ma lecture.
Le courriel précisait également qu'un modèle de contrat de stage était joint en pièce attachée pour signature. Il m’en faudrait approuver toutes les clauses en paraphant toutes les pages avec mention lue et approuvée manuscrite et date et signature en dernière page. Une copie était jointe en pièce attachée. Je me préparais à l’enregistrer dans Mes Documents, quand, dans ma hâte, je lançais l’édition par erreur. Je me précipitais dans la chambre de ma sœur ou était installée l’imprimante partagée. Par chance, elle s’était contentée de lire la page de garde : Contrat de Stage Camille … étudiante … du 16 mai au 15 novembre…Mes explications lui donnant satisfaction, elle n’avait pas cherché à en savoir davantage, je récupérais les feuillets et retournais dans ma chambre.
Il s’agissait d’un document d’une bonne vingtaine de page. Je me contenterais d’en reprendre quelques passages. Des clauses particulièrement vicieuses et perverses étaient dissimulées au milieu d’un texte tout ce qu’il y a de plus standard.
Ainsi, le préambule décrivait classiquement le lieu de travail, mes horaires, ma fonction, la durée du stage, puis d’un coup, une petite phrase inattendue mentionnée comme clause principale dite d’exclusivité spécifique précisait que je devais m'engager à être leur pute et à satisfaire tous leurs besoins pendant toute la durée de ma formation. Je devais également accepter la publication de photos et vidéos sur internet. Cette première clause précisait, en outre, qu’Il me faudrait tenir un journal détaillé sur lequel tout devais être consigné. Plus précisément, ce journal, annexé à mon rapport de stage pourrait servir de base à une publication privée sur internet, publication agrémentée de photos et de vidéos pour lesquelles je devais donner mon accord par avance. Il pourrait également servir de référence pour justifier de ma note de stage finale qui dépendrait de la manière dont mes mentors allaient apprécier mon évolution et mes progrès.
En tout début de contrat était également précisée ma tenue vestimentaire pendant la durée du stage. Je devais m'engager à me présenter sur mon lieu de travail en jupe ou robe courte chaussée obligatoirement d'escarpins à talons hauts (surtout pas de baskets). Mes sous-vêtements étaient également imposés. Pendant toute la durée du stage : uniquement des bas avec porte-jarretelles ou guêpière et une petite culotte blanche taille haute en coton.
Cette clause « tenue vestimentaire sur le lieu de travail » était complétée par une longue annexe en caractères minuscules. Un paragraphe « petite culotte » y était particulièrement détaillé. Je trouvais tout cela parfaitement ridicule et hors propos, même si, depuis le début cela m’excitait de me plier aux fantasmes de ces vieux pervers. En résumé, ils me voulaient habillée en pute avec une culotte de petite fille. Il était même mentionné que je pouvais me procurer ces culottes de qualité par correspondance en choisissant uniquement des modèles qui arrivaient légèrement en dessus ou en dessous du nombril. Je pouvais également, si je le souhaitais, me fournir en culottes grande fille à fleurs ou en coton rose chez Petit Bateau ou Vert Baudet. Pour terminer, il était précisé que je devais toujours avoir au moins une petite culotte en réserve dans mon sac. La robe ou la jupe pouvait être plissée et ample ou très ajustée avec dans ce cas une fermeture éclair sur toute la longueur, mais, toujours courte, juste à la limite des bas, de manière a ce que je sois en permanence obligée de me tortiller et de tirer dessus pour éviter que l’on puisse voir mes jarretelles. Je pouvais également, à l’occasion, porter une petite jupette écossaise d’écolière à condition d’enfiler des chaussettes blanches par-dessus mes bas.
Par ailleurs, le document insistait à de nombreuses reprises sur la conduite et l’attitude que je devrais adopter. Docilité totale serait de mise. Je m'engageais à être leur chienne obéissante prête à passer sous leur bureau à la moindre sollicitation. Il me faudrait également, sur simple demande, me mettre à disposition des meilleurs clients de l’office et ne pas hésiter à leur montrer mes mamelles ou leur laisser visiter mon cul tout à leur convenance. En lisant ces lignes, je tentais d’estimer le nombre de clients de ce gros cabinet et je ne pu m’empêcher de me demander combien ils seraient à avoir la pleine jouissance de mon cul pendant les six mois de stage. Cela me fit tout chaud dans le bas du ventre et je délaissais un instant mon clitoris, que je n’avais pas arrêté de titiller depuis le début de ma lecture, pour essayer de m’enfoncer ma main toute entière dans la chatte.
Je me concentrai ensuite assez longuement sur un paragraphe intitulé « clause de productivité » ou clause d’engagement de production de lait par la stagiaire, le relisant plusieurs fois. Je dois dire, qu’entre temps, je m’étais informée sur un site wikihow en tapant simplement « comment sécréter du lait » sur un moteur de recherche. J’avais ainsi pu constater qu’il est effectivement possible que les femmes qui ne sont pas ou n'ont pas été enceintes produisent du lait maternel.
Ce paragraphe traitait, en détail, la manière dont ma lactation provoquée.était sensée se dérouler, pour aboutir au bout de quelques semaines seulement à une production de lait quotidienne supérieure à un litre. La méthode choisie était la plus simple, pas de tire-lait, pas d’hormones, le résultat serait obtenu en me triturant et en me pompant les mamelles toutes les 2-3 heures pendant 15 à 20 minutes.
Il était bien précisé qu’il y avait plusieurs méthodes mais que produire du lait maternel de cette façon prendrait plus de temps et nécessiterait de plus gros efforts. Je retenais que pour atteindre cet objectif, Il me faudrait être prête à me laisser sucer les mamelons et caresser les seins par de parfaits inconnus et ceci tous les jours, jusqu’à ma montée de lait. Utiliser la méthode de succion pour provoquer la lactation demande des partenaires qui sachent bien téter et ceci, selon un emploi du temps très strict. Ils pourraient également s’y mettre à plusieurs et me masser aussi les seins tout entier en utilisant chacun leurs deux mains. Il était écrit que cette autre méthode consistait à stimuler mes mamelons et mes aréoles en utilisant les doigts et les pouces, en les massant et en les faisant rouler entre les doigts. C’est bien cette technique qu’il me faudrait également appliquer moi-même pour au moins une séance de nuit. En lisant ce dernier passage, Je réalisais alors, qu’insensiblement et sans m’en rendre compte j’avais déjà pris une certaine avance en commençant au fil de ma lecture, à me toucher et à presser mes aréoles tout en tirant sur mes mamelons. J'arrêtais et essayais de me concentrer. Je repris ma lecture en relisant ce dernier passage qui se terminait ainsi :« La clause « Lactation de Camille » est une composante obligatoire de cette prestation de stage. Elle sera sanctionnée par une note calculée à partir d’un barème basé sur sa production de lait. (Un bonus étant prévu pour une production supérieure à 1300 ml) mais également sur sa capacité de stockage. A savoir : une majoration de 10% sera attribuée pour une Camille arrivant le matin à l’étude avec des seins bien gonflés, à savoir, avec une rétention de 500 ml par nichon pouvant lui permettre de donner immédiatement le sein ou de les faire gicler à la demande. »Le dernier point était que j’étais dans l’interdiction de me faire prescrire la pilule et, dans le cas ou je la prendrais déjà, il me faudrait impérativement l’arrêter dés le début de mon stage. Les pilules contraceptives contiennent de l'œstrogène, un inhibiteur de lactation. Il était précisé que cette interruption ne me donnerait, en aucun cas, le droit de me soustraire à des rapports potentiellement fécondants même en pleine période d’ovulation. Je mouillais ma culotte à la seule pensée d’être engrossée par l’un de ces cochons ou un vieux client inconnu. Je me souviens aussi qu’à l’issue de la lecture de ce paragraphe, je m’interrogeais sur le fait qu’il puisse y avoir autant de messieurs que ça pour se porter candidat à me téter quotidiennement. Quelle naïve je faisais. J’étais bien loin du compte.
Le courriel se terminait en précisant la date et l'heure de mon rendez-vous. Je serai attendue pour venir faire la salope à partir de 17 heures. Ce nouveau délai me laissait le temps de commander des sous-vêtements sur Amazon. Cela m’éviterait de me servir, une fois de plus, dans les tiroirs de ma mère qui allait bien finir par s'apercevoir un jour de la disparition de ses sous-vêtements les plus affriolants. Je commandais une guêpière courte satin et dentelle avec armature « modèle Bleu et noir Beauty night », en promotion à 29,90 euros ainsi que trois paires de bas : une paire rose et deux noires. Le tout pour moins de 50 euros. Pour plus de discrétion et éviter les questions gênantes, j'optais pour un point relais à Divonne les Bains qui se trouverait sur notre route pour Lausanne.
J'avais l'intention de demander à Julien de me conduire à ce rendez-vous en lui proposant, pour l'occasion, une virée à la patinoire-piscine de Montchoisi toute proche. Je savais qu'il ne pourrait pas refuser cette occasion de me voir en maillot de bains. Tout était calculé : je retire mon colis en chemin, un soit disant cadeau pour mon père et ensuite nous nous rendons directement à la piscine. Ensuite, après le bain, je n'aurais plus qu'à passer mes sous-vêtements de salope dans les vestiaires qui proposaient des cabines individuelles. Il serait alors bien temps de prévenir Julien de mon intention de passer à l'étude pour régler quelques formalités relatives à mon stage.
Le mercredi, en sortant de notre séance de cinéma hebdomadaire, je l'invitais chez moi. Je l'avais juste émoustillé ce qu'il faut. Il était très chaud pour ne pas dire fou de désir en arrivant dans ma chambre. J'avais préparé le terrain en lui posant plusieurs questions sur son sexe : était-il vrai que les garçons s'inquiétaient autant de la taille de leur sexe, faisaient-ils des comparaisons ? etc... Finalement, il avait accepté le principe de me le montrer mais je ne voyais pas vraiment comment faire pour qu'il se prête à une séance de prise de mesures.
Nous chahutons un peu sur mon lit, il est en confiance mais comme à son habitude, il n'ose pas aller très loin. Je propose de jouer aux mots interdits, histoire de pimenter un peu les choses. Il perd régulièrement, mes gages sont anodins au début puis je me lance : il doit me laisser lui cracher dans la bouche ce qu'il accepte sans rechigner, le suivant est d'enlever son pantalon, puis de me lécher le bout des chaussures. Visiblement il prend plaisir à me laisser le dominer. Il aime que je l'humilie. Bien sûr, je m'en doutais mais pas à ce point. Je comprends qu'il fait exprès de perdre. Je réalise que je vais pouvoir faire de lui absolument tout ce que je veux et cela va bien me simplifier la tâche. Depuis le début j'ai ma petite idée, en arrivant, j'ai pris la peine de glisser dans mon soutien-gorge le petit mètre en papier récupéré lors de mon dernier passage à l' Ikea d'Aubone.
Maintenant, à moi de jouer. J'ai un mal fou à le laisser gagner. Il me demande de lui montrer mes seins et bien sûr je refuse. En échange je lui propose de lui montrer ma culotte. Julien est tout content, il n'en revient pas que je le laisse me caresser un peu les fesses, il est aux anges. Puis, nous nous embrassons et je le laisse me mettre la langue. Je la lui suçote.
L'instant d'après, j'enlève ma culotte et m'assoie tout de go sur le visage de mon petit copain. Tout en défaisant sa braguette je lui donne mes instructions sur comment utiliser sa langue. Il bande très fort, je le traite de petit cochon en la lui sortant. Je n'ai aucune difficulté à le mesurer sans qu'il ne s'en aperçoive, occupé qu’il est, à se demander ce qu’il peut faire entre mes fesses. Je mémorise sa longueur : 11,5 cm et j’entaille le fragile ruban aux dimensions de sa circonférence. Son gland est tout petit. Je prends tout mon temps en comprenant qu’il ne cherchera pas à se dégager.
En me penchant vers lui, je sens son souffle entre mes cuisses. Je baisse son pantalon et son slip et reprend une série de mesures plus précises cette fois. Tout juste 11 cm et ses couilles me paraissent minuscules. On dirait juste deux petites balles de ping-pong Je n'en reviens pas mais cela m'excite. Il me parait vraiment tout petit comparé aux proportions de mes deux notaires. Comment de tels écarts sont ils possibles ?
Je n'aurais jamais pensé qu’il puisse exister de telles différences entre hommes. Il faudra que je vérifie sur internet. Je parviens en me tortillant à saisir mon mobile posé sur la table de nuit et je prends une série de clichés en maintenant tout près le petit ruban de papier gradué le long de son sexe. Je frotte bien tout mon entre-jambe contre son visage en me balançant d'avant en arrière. J'empoigne mes fesses à pleines mains et les écarte au maximum en lui intimant d'enfoncer sa langue dans mon trou du cul et aussitôt, je deviens très grossière :« Ah oui vas y continue mon salaud, je la sens, comme ça, vas y encore, fait la bien frétiller, enfonce là encore plus dans mon trou du cul. »« Encore, plus fort. J’adore me faire enculer avec ta langue »…En même temps je me doigte frénétiquement puis je me penche en avant. J'ai sa petite queue sous le nez, je laisse couler un long filet de salive, je me racle le fond de la gorge et crache à petits coups sur son mignon petit gland tout rose, puis, je me mets à lui souffler sur sa queue complètement détrempée. Aussitôt, Il frémit, trésaille, un nouveau crachat, puis mon souffle. Le chaud et le froid font leur effet, beaucoup plus que ce que je n'aurais pu l’imaginer.
Encore quelques secondes et il éjacule en l'air, tout droit, sans que j'ai eu même besoin de le toucher. Je le sens suffoquer. Il a du mal à reprendre sa respiration entre mes fesses que je ne cesse d'agiter. Comme il fait mine de se dégager, je l'attrape par ses petites couilles pour le maintenir et je l'oblige à continuer à me lécher tout en l'insultant. Je vois bien qu'il aime ça. Malheureusement, je sens une envie pressante qui va m'obliger à couper court à cette séance. Je lui en parle et Il accepte même l'idée de me nettoyer avec sa langue une fois que je serais allée aux cabinets.
A mon retour, il est toujours allongé conformément à ma demande. Je commence à réaliser à quel point je le domine.
Ce pauvre Julien est totalement sous mon emprise. Je peux faire de lui tout ce que je veux. Je lui demande d'écarter les cuisses, je me penche et lui enfonce mon index dans le cul, puis je le touille sur son ventre ramassant au mieux les quelques gouttes de sperme qui commencent à sécher. Je lui demande de tirer sa langue puis de venir lécher mon doigt. Je recommence plusieurs fois l'opération avec tous mes autres doigts qu'il suce docilement avec application, puis j'enlève ma culotte toute trempée et je lui enfourne dans la bouche. Pendant que j’étais aux toilettes, je me suis reculottée exprès pour faire pipi dedans. J'ai pris beaucoup de plaisir à uriner longuement dans ma petite culotte en pensant à mon petit ami et maintenant le spectacle de mon urine lui dégoulinant sur le menton me fait monter la température. Cette chaleur qui commence à monter et à envahir le bas de mon ventre... Je soulève ma jupette et la tenant relevée coincée entre mes dents je m'approche du lit, je fléchis, les cuisses écartées, au plus prés de son visage qui dépasse du lit. Je m'approche encore pour que ma chatte soit bien au niveau de ses yeux. J'écarte mes lèvres.
« Regarde bien Julien, je veux que tu saches quoi faire pour bien me téter le clitoris la prochaine fois. »« C'est très facile, avec une main tu places un doigt de chaque côté du clito, par exemple l'index et l'annulaire, tu places le majeur juste au dessus du clito, et tu fais coulisser tout en appuyant un peu, et là tu vois apparaître le clito. Plus tu tires fort avec tes doigts, et plus mon clito va se découvrir. Il ne te reste plus qu'à le caresser avec l'autre main ou avec le bout de ta langue. Voilà, je te montre. Je te conseille de bien humecter tes doigts de mouille ou de salive ou même de pipi. » Et, joignant le geste à la parole je récupère ma pisse qui goutte de son menton jusque dans son cou.
« Tu sais quoi Julien ? Je vais faire de toi un petit lèche cul. Tu vas devenir mon lèche cul attitré. Tu devras répondre immédiatement à mes sms et venir t'exécuter. Tu tiendras un journal détaillé de tes interventions. Lieu, heure durée, conditions tout devra être consigné et mis à disposition dans le Cloud.
Emportée par l'excitation, je ne réalisais qu'après coup ce que je venais de dire. J’étais en train de mettre en pratique pour mon compte des pratiques vicieuses inspirées des cochonneries que j’avais pu lire sur mon contrat de stage. J'allais le regretter. Mais, contre toute attente, Julien restait sans réaction. Je lui demandais d'approuver et de donner son accord.
« Oui Camille, je suis d'accord pour devenir ton petit lèche cul. Je ferai tout ce que tu commanderas. »Sa servilité, sans trop m'étonner, me remplissait d'aise. J'allais faire de lui tout ce que je voudrais. Je lui demandais de me laisser le filmer en train de déclarer qu'il était un petit cochon. Pendant qu'il s'exécutait des pensées folles me traversaient l'esprit. J'allais lui faire passer mon collant rose et l’obliger à rentrer chez lui avec, ensuite je l’obligerais à le porter à chacune de nos rencontres. Ou mieux encore, j'allais le photographier en train d'essayer les sous-vêtements de ma mère. J’étais sûre qu'il accepterait de se laisser féminiser et que ce petit vicieux allait adorer renifler les petites culottes de maman.
Je me voyais ensuite passer dans la cuisine pour lui faire récurer les plats que ma mère m’avait demandé de nettoyer en partant au travail ce matin. Puis, je le sodomiserais avec tout ce que je pourrais sortir du grand bac à légumes du frigo. Une carotte, puis une grosse courgette pour commencer. Il se mettrait à quatre pattes et se laisserait faire. Est-ce que j’irais jusqu’à le photographier ainsi habillé en femme avec un gros poireau dans le cul ? Après ça, Je pourrais en faire ma chose.
En attendant je me contentais de le regarder s’habiller. J’avais voulu faire un test et à ma demande, il avait accepté d’enfiler de vieux collants roses un peu trop petit pour lui sans discuter. Je savais que mes parents n’allaient pas tarder et, il me semblait que ma sœur était déjà arrivée. Il était temps qu’il parte. Je l’empêchais de remettre son slip par-dessus mes collants transparents qui ne cachaient pas sa toute petite bistouquette déjà toute raide. J’attendis qu’il soit complètement habillé pour me remettre à l’astiquer. Je l’accompagnais dehors sans cesser de caresser sa queue au travers de son pantalon et là une fois dans la cage d’escalier je m’appliquais une fois de plus à passer et repasser mes mains sur son bas-ventre. Je réalisais que j’étais sortie simplement vêtue d’un débardeur blanc qui m’arrivait au ras des fesses et pas de culotte. Se balader ainsi dans les parties communes… J’étais vraiment devenue une petite putain exhibitionniste en l’espace de quelques semaines. Je remontais mon débardeur jusque sous la poitrine et le derrière complètement à l’air, je me collais de dos contre Julien. Je me penchais légèrement en avant et frottais son bas-ventre en faisant tourner mon cul comme une roue. Il y avait du bruit dans la cage d’escaliers, des gens parlaient deux étages plus bas. Je le sentis attraper les bords de mon débardeur. Je pensais une seconde qu’il allait me l’enlever et me foutre complètement à poil sur le palier ou bien me sortir les nichons. J’étais terriblement chaude. A cet instant précis, s’il l’avait voulu, cet idiot aurait pu me baiser et me dépuceler mais il se contenta de tirer mon débardeur vers le bas pour essayer de me couvrir au maximum. Moins de trente secondes et je le sentis qu’il éjaculait balançant tout son jus dans mes collants roses de petite fille. Je l’embrassais et le poussais dans l’ascenseur qui venait d’arriver. Mon Julien chéri allait une fois de plus rentrer chez lui tout poisseux.
Je m'appelle Camille, je viens tout juste de réussir mon examen de maturité (Baccalauréat) cession d’hiver avec une mention Très Bien et une moyenne générale de 5.6. J’espère maintenant être définitivement retenue pour un stage d'été dans un important office notarial de Lausanne. Pour cela, Il me faut encore réussir un dernier entretien avec Maître Duriez, le dernier et le plus âgé des trois associés de l'office.
J'ai bon espoir. Sans le connaître personnellement, je sais que Maître Duriez a longtemps travaillé avec mon grand père, mais avant tout, je crois que mes deux précédents entretiens ont été assez concluants (voir épisodes précédents) et qu’à ce jour ces messieurs ont pris conscience de mon potentiel et de tout le bénéfice qu’ils peuvent tirer d’une jeune étudiante consciencieuse et très perfectionniste.
Une fois de plus, mon rendez-vous, prévu pour le sur lendemain, fut annulé et mon entrevue avec Maître Duriez reportée d'une semaine. Cette fois-ci, je reçus les directives, non pas par SMS, mais par mail avec accusé de lecture. Après tout, ils étaient notaires, alors pas de quoi s'étonner et la prochaine fois qu'ils auraient besoin de mon cul, je pouvais aussi bien m'attendre à recevoir une lettre recommandée avec A.R.
Le courriel précisait que je devais me présenter à Maître Duriez en jupe courte, escarpins et bas maintenus par des jarretelles, pas de collants ni de bas auto-fixant. J’étais également informée, qu’au cours de cette visite, je devrais faire tout le nécessaire pour mesurer leur sexe en érection, prendre des photos témoins de preuve sur mon mobile et enregistrer leurs dimensions respectives. Il me faudrait également prévoir de faire la même chose avec mon petit ami Julien. Leur intention étant de me posséder très prochainement, ils souhaitaient que j’aie connaissance des différences de proportion de chacun au moment des différentes pénétrations.
Je cite :« Camille, à chaque fois que tu prendras une nouvelle bitte dans le cul, il sera essentiel que tu puisses la situer en volume, proportions et pourcentage par rapport à l’ensemble de tes autres partenaires. Tu devras pouvoir, sur simple demande et publiquement, fournir ces informations au moment de chaque prise. En particulier, tu devras systématiquement informer chacun de tes nouveaux partenaires de ses proportions par rapport à celles de ton fiancé et lui communiquer ton ressenti par rapport à cette comparaison. Il te faudra, en outre, pour chaque rapport, en consigner tous les paramètres par écrit, en regard des caractéristiques de chacun de tes partenaires. Taille du sexe, orifice utilisé, durée de l’acte, résultats, éjaculation, intensité de la jouissance, rougeurs, présence de cris, de couinements, paroles échangées…Cette présentation devra obligatoirement figurer dans ton journal annexé à ton compte rendu de stage et comptera dans ta note finale. »Pour cela, ils me conseillaient de réfléchir sans plus tarder à la méthode et de penser à réaliser le tableau Excel approprié dés maintenant. Je devais également prévoir les possibilités de rajouter dynamiquement de nouvelles variables et de ne pas me limiter en nombre de participants. Des allusions lors de ma précédente visite m’avaient fait comprendre que mon rapport de stage pourrait être largement diffusé. C’était peut être là une raison de plus pour désirer se rapprocher des standards de présentation classique, en proposant une étude académique accompagnée par un nombre impressionnant de graphiques, camemberts et autres courbes, tous basés autour de l’exploitation de mon cul de jeune pucelle. J’avoue que le sens de la démarche m’échappait un peu. Je voyais seulement qu’il était prévu qu’une grande quantité d’hommes allaient m’avoir et cela m’excitait.
Il est vrai que, sur le moment, je n’avais pas la moindre idée de l'ampleur des écarts que j'allais être amenée à constater chez mes futurs partenaires, tant au niveau des exigences sexuelles que des performances. Comment imaginer à 17 ans autant de perversions et de manières différentes d’utiliser un cul de femme ?
J’avais ouvert ce mail sur mon portable, dans ma chambre. En le découvrant, j’avais immédiatement commencé à mouiller. J’écartais les cuisses pour me toucher, sans me soucier de ma sœur qui venait d’arriver et me parlait depuis le couloir. Je m’imaginais déjà, à poil à faire la salope et à tortiller du cul dans les couloirs de l’étude, simplement vêtue de mes bas et d’un porte-jarretelles. Dans ma vision, je n’avais aucune difficulté à faire bander mes petits vieux comme des ânes. Lequel d’entre eux allait il être le premier à m’enfoncer sa grosse bitte dans le cul ? Cela me titillait vraiment. Depuis le début, je savais que j’allais y passer et que ces gros cochons allaient tous m’enculer. Après tout ce qui m’était déjà arrivé à l’étude, j’étais bien certaine que ces vieux dégueulasses s’étaient mis d’accord pour se servir et jouir de mon petit derrière en premier. Ils allaient commencer par me dépuceler du cul. J’allais devenir une petite enculée. Leur petite enculée de stagiaire. J’enfonçais deux doigts dans ma chatte et demandais à ma sœur de me laisser tranquille. Je continuais ma lecture.
Le courriel précisait également qu'un modèle de contrat de stage était joint en pièce attachée pour signature. Il m’en faudrait approuver toutes les clauses en paraphant toutes les pages avec mention lue et approuvée manuscrite et date et signature en dernière page. Une copie était jointe en pièce attachée. Je me préparais à l’enregistrer dans Mes Documents, quand, dans ma hâte, je lançais l’édition par erreur. Je me précipitais dans la chambre de ma sœur ou était installée l’imprimante partagée. Par chance, elle s’était contentée de lire la page de garde : Contrat de Stage Camille … étudiante … du 16 mai au 15 novembre…Mes explications lui donnant satisfaction, elle n’avait pas cherché à en savoir davantage, je récupérais les feuillets et retournais dans ma chambre.
Il s’agissait d’un document d’une bonne vingtaine de page. Je me contenterais d’en reprendre quelques passages. Des clauses particulièrement vicieuses et perverses étaient dissimulées au milieu d’un texte tout ce qu’il y a de plus standard.
Ainsi, le préambule décrivait classiquement le lieu de travail, mes horaires, ma fonction, la durée du stage, puis d’un coup, une petite phrase inattendue mentionnée comme clause principale dite d’exclusivité spécifique précisait que je devais m'engager à être leur pute et à satisfaire tous leurs besoins pendant toute la durée de ma formation. Je devais également accepter la publication de photos et vidéos sur internet. Cette première clause précisait, en outre, qu’Il me faudrait tenir un journal détaillé sur lequel tout devais être consigné. Plus précisément, ce journal, annexé à mon rapport de stage pourrait servir de base à une publication privée sur internet, publication agrémentée de photos et de vidéos pour lesquelles je devais donner mon accord par avance. Il pourrait également servir de référence pour justifier de ma note de stage finale qui dépendrait de la manière dont mes mentors allaient apprécier mon évolution et mes progrès.
En tout début de contrat était également précisée ma tenue vestimentaire pendant la durée du stage. Je devais m'engager à me présenter sur mon lieu de travail en jupe ou robe courte chaussée obligatoirement d'escarpins à talons hauts (surtout pas de baskets). Mes sous-vêtements étaient également imposés. Pendant toute la durée du stage : uniquement des bas avec porte-jarretelles ou guêpière et une petite culotte blanche taille haute en coton.
Cette clause « tenue vestimentaire sur le lieu de travail » était complétée par une longue annexe en caractères minuscules. Un paragraphe « petite culotte » y était particulièrement détaillé. Je trouvais tout cela parfaitement ridicule et hors propos, même si, depuis le début cela m’excitait de me plier aux fantasmes de ces vieux pervers. En résumé, ils me voulaient habillée en pute avec une culotte de petite fille. Il était même mentionné que je pouvais me procurer ces culottes de qualité par correspondance en choisissant uniquement des modèles qui arrivaient légèrement en dessus ou en dessous du nombril. Je pouvais également, si je le souhaitais, me fournir en culottes grande fille à fleurs ou en coton rose chez Petit Bateau ou Vert Baudet. Pour terminer, il était précisé que je devais toujours avoir au moins une petite culotte en réserve dans mon sac. La robe ou la jupe pouvait être plissée et ample ou très ajustée avec dans ce cas une fermeture éclair sur toute la longueur, mais, toujours courte, juste à la limite des bas, de manière a ce que je sois en permanence obligée de me tortiller et de tirer dessus pour éviter que l’on puisse voir mes jarretelles. Je pouvais également, à l’occasion, porter une petite jupette écossaise d’écolière à condition d’enfiler des chaussettes blanches par-dessus mes bas.
Par ailleurs, le document insistait à de nombreuses reprises sur la conduite et l’attitude que je devrais adopter. Docilité totale serait de mise. Je m'engageais à être leur chienne obéissante prête à passer sous leur bureau à la moindre sollicitation. Il me faudrait également, sur simple demande, me mettre à disposition des meilleurs clients de l’office et ne pas hésiter à leur montrer mes mamelles ou leur laisser visiter mon cul tout à leur convenance. En lisant ces lignes, je tentais d’estimer le nombre de clients de ce gros cabinet et je ne pu m’empêcher de me demander combien ils seraient à avoir la pleine jouissance de mon cul pendant les six mois de stage. Cela me fit tout chaud dans le bas du ventre et je délaissais un instant mon clitoris, que je n’avais pas arrêté de titiller depuis le début de ma lecture, pour essayer de m’enfoncer ma main toute entière dans la chatte.
Je me concentrai ensuite assez longuement sur un paragraphe intitulé « clause de productivité » ou clause d’engagement de production de lait par la stagiaire, le relisant plusieurs fois. Je dois dire, qu’entre temps, je m’étais informée sur un site wikihow en tapant simplement « comment sécréter du lait » sur un moteur de recherche. J’avais ainsi pu constater qu’il est effectivement possible que les femmes qui ne sont pas ou n'ont pas été enceintes produisent du lait maternel.
Ce paragraphe traitait, en détail, la manière dont ma lactation provoquée.était sensée se dérouler, pour aboutir au bout de quelques semaines seulement à une production de lait quotidienne supérieure à un litre. La méthode choisie était la plus simple, pas de tire-lait, pas d’hormones, le résultat serait obtenu en me triturant et en me pompant les mamelles toutes les 2-3 heures pendant 15 à 20 minutes.
Il était bien précisé qu’il y avait plusieurs méthodes mais que produire du lait maternel de cette façon prendrait plus de temps et nécessiterait de plus gros efforts. Je retenais que pour atteindre cet objectif, Il me faudrait être prête à me laisser sucer les mamelons et caresser les seins par de parfaits inconnus et ceci tous les jours, jusqu’à ma montée de lait. Utiliser la méthode de succion pour provoquer la lactation demande des partenaires qui sachent bien téter et ceci, selon un emploi du temps très strict. Ils pourraient également s’y mettre à plusieurs et me masser aussi les seins tout entier en utilisant chacun leurs deux mains. Il était écrit que cette autre méthode consistait à stimuler mes mamelons et mes aréoles en utilisant les doigts et les pouces, en les massant et en les faisant rouler entre les doigts. C’est bien cette technique qu’il me faudrait également appliquer moi-même pour au moins une séance de nuit. En lisant ce dernier passage, Je réalisais alors, qu’insensiblement et sans m’en rendre compte j’avais déjà pris une certaine avance en commençant au fil de ma lecture, à me toucher et à presser mes aréoles tout en tirant sur mes mamelons. J'arrêtais et essayais de me concentrer. Je repris ma lecture en relisant ce dernier passage qui se terminait ainsi :« La clause « Lactation de Camille » est une composante obligatoire de cette prestation de stage. Elle sera sanctionnée par une note calculée à partir d’un barème basé sur sa production de lait. (Un bonus étant prévu pour une production supérieure à 1300 ml) mais également sur sa capacité de stockage. A savoir : une majoration de 10% sera attribuée pour une Camille arrivant le matin à l’étude avec des seins bien gonflés, à savoir, avec une rétention de 500 ml par nichon pouvant lui permettre de donner immédiatement le sein ou de les faire gicler à la demande. »Le dernier point était que j’étais dans l’interdiction de me faire prescrire la pilule et, dans le cas ou je la prendrais déjà, il me faudrait impérativement l’arrêter dés le début de mon stage. Les pilules contraceptives contiennent de l'œstrogène, un inhibiteur de lactation. Il était précisé que cette interruption ne me donnerait, en aucun cas, le droit de me soustraire à des rapports potentiellement fécondants même en pleine période d’ovulation. Je mouillais ma culotte à la seule pensée d’être engrossée par l’un de ces cochons ou un vieux client inconnu. Je me souviens aussi qu’à l’issue de la lecture de ce paragraphe, je m’interrogeais sur le fait qu’il puisse y avoir autant de messieurs que ça pour se porter candidat à me téter quotidiennement. Quelle naïve je faisais. J’étais bien loin du compte.
Le courriel se terminait en précisant la date et l'heure de mon rendez-vous. Je serai attendue pour venir faire la salope à partir de 17 heures. Ce nouveau délai me laissait le temps de commander des sous-vêtements sur Amazon. Cela m’éviterait de me servir, une fois de plus, dans les tiroirs de ma mère qui allait bien finir par s'apercevoir un jour de la disparition de ses sous-vêtements les plus affriolants. Je commandais une guêpière courte satin et dentelle avec armature « modèle Bleu et noir Beauty night », en promotion à 29,90 euros ainsi que trois paires de bas : une paire rose et deux noires. Le tout pour moins de 50 euros. Pour plus de discrétion et éviter les questions gênantes, j'optais pour un point relais à Divonne les Bains qui se trouverait sur notre route pour Lausanne.
J'avais l'intention de demander à Julien de me conduire à ce rendez-vous en lui proposant, pour l'occasion, une virée à la patinoire-piscine de Montchoisi toute proche. Je savais qu'il ne pourrait pas refuser cette occasion de me voir en maillot de bains. Tout était calculé : je retire mon colis en chemin, un soit disant cadeau pour mon père et ensuite nous nous rendons directement à la piscine. Ensuite, après le bain, je n'aurais plus qu'à passer mes sous-vêtements de salope dans les vestiaires qui proposaient des cabines individuelles. Il serait alors bien temps de prévenir Julien de mon intention de passer à l'étude pour régler quelques formalités relatives à mon stage.
Le mercredi, en sortant de notre séance de cinéma hebdomadaire, je l'invitais chez moi. Je l'avais juste émoustillé ce qu'il faut. Il était très chaud pour ne pas dire fou de désir en arrivant dans ma chambre. J'avais préparé le terrain en lui posant plusieurs questions sur son sexe : était-il vrai que les garçons s'inquiétaient autant de la taille de leur sexe, faisaient-ils des comparaisons ? etc... Finalement, il avait accepté le principe de me le montrer mais je ne voyais pas vraiment comment faire pour qu'il se prête à une séance de prise de mesures.
Nous chahutons un peu sur mon lit, il est en confiance mais comme à son habitude, il n'ose pas aller très loin. Je propose de jouer aux mots interdits, histoire de pimenter un peu les choses. Il perd régulièrement, mes gages sont anodins au début puis je me lance : il doit me laisser lui cracher dans la bouche ce qu'il accepte sans rechigner, le suivant est d'enlever son pantalon, puis de me lécher le bout des chaussures. Visiblement il prend plaisir à me laisser le dominer. Il aime que je l'humilie. Bien sûr, je m'en doutais mais pas à ce point. Je comprends qu'il fait exprès de perdre. Je réalise que je vais pouvoir faire de lui absolument tout ce que je veux et cela va bien me simplifier la tâche. Depuis le début j'ai ma petite idée, en arrivant, j'ai pris la peine de glisser dans mon soutien-gorge le petit mètre en papier récupéré lors de mon dernier passage à l' Ikea d'Aubone.
Maintenant, à moi de jouer. J'ai un mal fou à le laisser gagner. Il me demande de lui montrer mes seins et bien sûr je refuse. En échange je lui propose de lui montrer ma culotte. Julien est tout content, il n'en revient pas que je le laisse me caresser un peu les fesses, il est aux anges. Puis, nous nous embrassons et je le laisse me mettre la langue. Je la lui suçote.
L'instant d'après, j'enlève ma culotte et m'assoie tout de go sur le visage de mon petit copain. Tout en défaisant sa braguette je lui donne mes instructions sur comment utiliser sa langue. Il bande très fort, je le traite de petit cochon en la lui sortant. Je n'ai aucune difficulté à le mesurer sans qu'il ne s'en aperçoive, occupé qu’il est, à se demander ce qu’il peut faire entre mes fesses. Je mémorise sa longueur : 11,5 cm et j’entaille le fragile ruban aux dimensions de sa circonférence. Son gland est tout petit. Je prends tout mon temps en comprenant qu’il ne cherchera pas à se dégager.
En me penchant vers lui, je sens son souffle entre mes cuisses. Je baisse son pantalon et son slip et reprend une série de mesures plus précises cette fois. Tout juste 11 cm et ses couilles me paraissent minuscules. On dirait juste deux petites balles de ping-pong Je n'en reviens pas mais cela m'excite. Il me parait vraiment tout petit comparé aux proportions de mes deux notaires. Comment de tels écarts sont ils possibles ?
Je n'aurais jamais pensé qu’il puisse exister de telles différences entre hommes. Il faudra que je vérifie sur internet. Je parviens en me tortillant à saisir mon mobile posé sur la table de nuit et je prends une série de clichés en maintenant tout près le petit ruban de papier gradué le long de son sexe. Je frotte bien tout mon entre-jambe contre son visage en me balançant d'avant en arrière. J'empoigne mes fesses à pleines mains et les écarte au maximum en lui intimant d'enfoncer sa langue dans mon trou du cul et aussitôt, je deviens très grossière :« Ah oui vas y continue mon salaud, je la sens, comme ça, vas y encore, fait la bien frétiller, enfonce là encore plus dans mon trou du cul. »« Encore, plus fort. J’adore me faire enculer avec ta langue »…En même temps je me doigte frénétiquement puis je me penche en avant. J'ai sa petite queue sous le nez, je laisse couler un long filet de salive, je me racle le fond de la gorge et crache à petits coups sur son mignon petit gland tout rose, puis, je me mets à lui souffler sur sa queue complètement détrempée. Aussitôt, Il frémit, trésaille, un nouveau crachat, puis mon souffle. Le chaud et le froid font leur effet, beaucoup plus que ce que je n'aurais pu l’imaginer.
Encore quelques secondes et il éjacule en l'air, tout droit, sans que j'ai eu même besoin de le toucher. Je le sens suffoquer. Il a du mal à reprendre sa respiration entre mes fesses que je ne cesse d'agiter. Comme il fait mine de se dégager, je l'attrape par ses petites couilles pour le maintenir et je l'oblige à continuer à me lécher tout en l'insultant. Je vois bien qu'il aime ça. Malheureusement, je sens une envie pressante qui va m'obliger à couper court à cette séance. Je lui en parle et Il accepte même l'idée de me nettoyer avec sa langue une fois que je serais allée aux cabinets.
A mon retour, il est toujours allongé conformément à ma demande. Je commence à réaliser à quel point je le domine.
Ce pauvre Julien est totalement sous mon emprise. Je peux faire de lui tout ce que je veux. Je lui demande d'écarter les cuisses, je me penche et lui enfonce mon index dans le cul, puis je le touille sur son ventre ramassant au mieux les quelques gouttes de sperme qui commencent à sécher. Je lui demande de tirer sa langue puis de venir lécher mon doigt. Je recommence plusieurs fois l'opération avec tous mes autres doigts qu'il suce docilement avec application, puis j'enlève ma culotte toute trempée et je lui enfourne dans la bouche. Pendant que j’étais aux toilettes, je me suis reculottée exprès pour faire pipi dedans. J'ai pris beaucoup de plaisir à uriner longuement dans ma petite culotte en pensant à mon petit ami et maintenant le spectacle de mon urine lui dégoulinant sur le menton me fait monter la température. Cette chaleur qui commence à monter et à envahir le bas de mon ventre... Je soulève ma jupette et la tenant relevée coincée entre mes dents je m'approche du lit, je fléchis, les cuisses écartées, au plus prés de son visage qui dépasse du lit. Je m'approche encore pour que ma chatte soit bien au niveau de ses yeux. J'écarte mes lèvres.
« Regarde bien Julien, je veux que tu saches quoi faire pour bien me téter le clitoris la prochaine fois. »« C'est très facile, avec une main tu places un doigt de chaque côté du clito, par exemple l'index et l'annulaire, tu places le majeur juste au dessus du clito, et tu fais coulisser tout en appuyant un peu, et là tu vois apparaître le clito. Plus tu tires fort avec tes doigts, et plus mon clito va se découvrir. Il ne te reste plus qu'à le caresser avec l'autre main ou avec le bout de ta langue. Voilà, je te montre. Je te conseille de bien humecter tes doigts de mouille ou de salive ou même de pipi. » Et, joignant le geste à la parole je récupère ma pisse qui goutte de son menton jusque dans son cou.
« Tu sais quoi Julien ? Je vais faire de toi un petit lèche cul. Tu vas devenir mon lèche cul attitré. Tu devras répondre immédiatement à mes sms et venir t'exécuter. Tu tiendras un journal détaillé de tes interventions. Lieu, heure durée, conditions tout devra être consigné et mis à disposition dans le Cloud.
Emportée par l'excitation, je ne réalisais qu'après coup ce que je venais de dire. J’étais en train de mettre en pratique pour mon compte des pratiques vicieuses inspirées des cochonneries que j’avais pu lire sur mon contrat de stage. J'allais le regretter. Mais, contre toute attente, Julien restait sans réaction. Je lui demandais d'approuver et de donner son accord.
« Oui Camille, je suis d'accord pour devenir ton petit lèche cul. Je ferai tout ce que tu commanderas. »Sa servilité, sans trop m'étonner, me remplissait d'aise. J'allais faire de lui tout ce que je voudrais. Je lui demandais de me laisser le filmer en train de déclarer qu'il était un petit cochon. Pendant qu'il s'exécutait des pensées folles me traversaient l'esprit. J'allais lui faire passer mon collant rose et l’obliger à rentrer chez lui avec, ensuite je l’obligerais à le porter à chacune de nos rencontres. Ou mieux encore, j'allais le photographier en train d'essayer les sous-vêtements de ma mère. J’étais sûre qu'il accepterait de se laisser féminiser et que ce petit vicieux allait adorer renifler les petites culottes de maman.
Je me voyais ensuite passer dans la cuisine pour lui faire récurer les plats que ma mère m’avait demandé de nettoyer en partant au travail ce matin. Puis, je le sodomiserais avec tout ce que je pourrais sortir du grand bac à légumes du frigo. Une carotte, puis une grosse courgette pour commencer. Il se mettrait à quatre pattes et se laisserait faire. Est-ce que j’irais jusqu’à le photographier ainsi habillé en femme avec un gros poireau dans le cul ? Après ça, Je pourrais en faire ma chose.
En attendant je me contentais de le regarder s’habiller. J’avais voulu faire un test et à ma demande, il avait accepté d’enfiler de vieux collants roses un peu trop petit pour lui sans discuter. Je savais que mes parents n’allaient pas tarder et, il me semblait que ma sœur était déjà arrivée. Il était temps qu’il parte. Je l’empêchais de remettre son slip par-dessus mes collants transparents qui ne cachaient pas sa toute petite bistouquette déjà toute raide. J’attendis qu’il soit complètement habillé pour me remettre à l’astiquer. Je l’accompagnais dehors sans cesser de caresser sa queue au travers de son pantalon et là une fois dans la cage d’escalier je m’appliquais une fois de plus à passer et repasser mes mains sur son bas-ventre. Je réalisais que j’étais sortie simplement vêtue d’un débardeur blanc qui m’arrivait au ras des fesses et pas de culotte. Se balader ainsi dans les parties communes… J’étais vraiment devenue une petite putain exhibitionniste en l’espace de quelques semaines. Je remontais mon débardeur jusque sous la poitrine et le derrière complètement à l’air, je me collais de dos contre Julien. Je me penchais légèrement en avant et frottais son bas-ventre en faisant tourner mon cul comme une roue. Il y avait du bruit dans la cage d’escaliers, des gens parlaient deux étages plus bas. Je le sentis attraper les bords de mon débardeur. Je pensais une seconde qu’il allait me l’enlever et me foutre complètement à poil sur le palier ou bien me sortir les nichons. J’étais terriblement chaude. A cet instant précis, s’il l’avait voulu, cet idiot aurait pu me baiser et me dépuceler mais il se contenta de tirer mon débardeur vers le bas pour essayer de me couvrir au maximum. Moins de trente secondes et je le sentis qu’il éjaculait balançant tout son jus dans mes collants roses de petite fille. Je l’embrassais et le poussais dans l’ascenseur qui venait d’arriver. Mon Julien chéri allait une fois de plus rentrer chez lui tout poisseux.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Camille_CBT
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...