Notre rencontre.
Récit érotique écrit par Bricoc [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Notre rencontre.
Voilà 6 mois que mon Amour, mon Amie, mon Amante, Florence est décédée des suites d’un cancer. 6 mois de manque, de tristesse, et de souvenirs merveilleux. J’ai juste eu envie de la faire revivre un peu à travers mes écrits et de partager avec vous nos aventures sexuelles. Je vous demanderai beaucoup d’indulgence étant tout à fait novice dans l’écriture. Toutes les histoires que je vais raconter, sont toutes réelles et vécues, seuls les prénoms sont changés.
Mariés l’un et l’autre, nous nous sommes rencontrés il y a 14 ans ! Un lundi de janvier 2010. J’étais à une exposition de peinture à Bruxelles. Elle y était seule, particulièrement jolie, habillée très sexy, et un je-ne-sais-quoi qui m’a attiré tout de suite. D’un naturel d’ordinaire très réservé, je me suis surpris à l’aborder, lui demandant ce qui l’attirait sur cette toile que nous regardions l’un et l’autre. Le courant est passé tout naturellement, commentant les œuvres, plaisantant sur certaines, sa voix etait grave et suave, un delice à écouter ,nous avons passé 2 heures à parler de tout et de rien,une chose était certaine , j’avais une attirance irrépressible pour elle. L’horloge tournait, la galerie allait fermer, il allait être temps de nous séparer, même si je n’en avais nullement envie. Elle allait partir quand je lui dis : « Je peux vous demander votre numéro de téléphone ? » Elle me répondit qu’elle n’attendait qu’une chose, que je le lui demande. Nous avons échangé nos numéros et sommes partis chacun de notre côté. Je me suis retourné pour la voir s’éloigner. Elle était belle. Elle en fit de même et me fit un petit signe de la main pour me dire au revoir. J’étais aux anges.
Je m’appelle Benoît,(46 ans à l'époque)je suis profession libérale dans une petite ville de province du nord de la France. Florence (48 ans à l'époque)etait professeur de français en promotion sociale dans la région des hauts pays en Belgique.
A l’époque les smartphones n’étaient pas encore aussi repandus, il fallait être un expert des doigts pour envoyer qqs mots par message sur un téléphone , le mercredi matin après notre première rencontre, entre deux patients ,je lui ai envoyé mon premier SMS, lui écrivant qu’elle avait été mon rayon de soleil dans cette journée bien grise de l’hiver.
A l’instant d’envoyer le message mon cœur battait la chamade, j’étais en couple avec 2 enfants, un garçon, une fille. Installé dans une routine sexuelle et sociale bien établie, la famille, les potes ,le boulot, le golf,l’amour avec Madame une fois par semaine et encore si elle n’avait pas la migraine ! Toujours dans le lit et sans aucun désir ou passion.
Je savais juste que Florence était également mariée,et avait deux filles. Alors, envoyer un message à une inconnue ou presque, mariée de surcroît, que j’avais rencontrée par hasard deux jours plus tôt dans une exposition à Bruxelles, me paraissait un peu surréaliste.
Nous sommes mercredi soir, aucune réponse. Jeudi matin arrive, toujours rien, pas bon signe, je me dis qu'elle m'a Zappé. Quand ! jeudi après-midi ! Je sens mon téléphone vibrer dans ma poche, c’est Florence qui me répond. Elle me demande de lui téléphoner le plus vite possible avant qu'elle ne rentre chez elle . C’est parfait, je ne travaille pas le jeudi après-midi. Je suis seul en voiture, mon cœur bat à 100 à l’heure. Je me gare, me calme un peu et lui téléphone. J’ai des papillons dans le ventre de l’entendre. Elle me raconte qu’elle a été troublée par notre rencontre ,qu'elle serait heureuse de me revoir ,nous convenons alors de nous retrouver le lundi suivant en début d’après-midi dans un bar de Mons . La fin de semaine se passe, avec pour moi une idée fixe : lundi 14h00, j'ai rendez-vous avec une fille qui m’attire terriblement. Mon cœur est en fête,je n’ai jamais ressenti une telle excitation,je me souviens de chacun de ses mots au téléphone,ils sont comme une friandise que je déguste à chaque instant.
Le lundi est là, il est 14h00, je rentre dans le bar,c’ est un pub Irlandais, il est assez sombre, il y a plusieurs salles et assise dans un sorte de petite alcove ,Florence !
Elle est là, lumineuse, solaire, la quarantaine éclatante, une jolie femme châtain clair cendré,les cheveux en carré plongeant ,habillée d'une petite jupe grise très courte ,des collants et cuissardes à talons hauts en daim noir,un chemisier largement ouvert laissant entrevoir sa poitrine,juste cachée par un joli soutien gorge balconnet en dentelle. Elle est magnifique ,1m65 tres fine 48 kg,un cul d'enfer ,une taille fine et de jolis petits seins tout rond 85B.
Nous nous faisons la bise et nous nous asseyons l’un en face de l’autre de chaque côté d’un petit guéridon. Nous commandons deux whiskys japonais, dont nous sommes friands l’un et l’autre. Nous discutons. Les fauteuils sont très bas, ce qui me permet de voir qu’au lieu de collants, ce sont en fait des bas up et qu’elle porte un très joli petit string noir ,cachant sa petite chatte . Elle remarque bien vite que je mate son entre jambe et elle me dit ,"tu aimes? " que ouiiii, je la complimente sur sa lingerie et je lui raconte que j’adore en acheter. Elle me répond qu’elle adore en porter, que c’est pour elle un des plus beaux artifices de séduction de la femme . Que même si personne ne la voit,elle se sent plus belle quand elle en porte. Elle me provoque du coup en écartant les cuisses pour me laisser admirer, son parfum fleuri m'enivre a chacun de ses gestes, je respire tel un homme en manque d'oxygène, je commence même à bander ,j'ai bien du mal à le cacher, alors elle s'approche de moi ,m'embrasse d'un baiser sauvage, presque animal, je ne sais combien de temps il dure, elle me mordille maintenant la lèvre inférieure, les gestes ne sont plus vraiment contrôlés, ils deviennent instinctifs ,elle pose sa main sur mon entre jambes ,ma queue est raide comme un I,d'un léger va et vient elle me branle presque à travers le jeans . Je glisse ma main sous ses vêtements, m'impregnant au touché de la douceur de sa peau, elle parcoure ses cuisses en se dirigeant vers son intimité, sa fente est déjà toute humide. Nous ne parlons plus,mais nos envies sont les même ,un besoin irrépressible de faire l'amour, rompant le baiser, elle me dit, je te veux en moi ! il y a pas très loin d'ici un hôtel de jour, où nous pourrions prendre une chambre pour quelques heures.
J'acquiesce immédiatement, je vais régler nos consommations et nous quittons le bar,pour rejoindre nos voitures.
La laissant passer devant , j'admire son cul ferme et rebondi, hasard ou destin nous étions garés l'un à côté de l'autre, elle monte dans sa voiture, ce qui me permet de mater encore ses magnifiques dessous et ses bas up qui galbent ses cuisses fines et musclées.
• Je la suis avec ma voiture, ne connaissant pas la route, le trajet n'est pas très long. Mon esprit est obnubilé par cette femme avec qui je vais aller faire l'amour à l'hôtel, une première pour moi. Mon esprit est ailleurs, il faut que je me reprenne. Je viens de brûler un stop, heureusement personne. Je suis entrain de me dire que je n'ai même de préservatif, impossible d’en acheter. Elle vient de mettre son clignotant et entre dans une grosse maison au milieu d’un petit parc. Elle se gare à l’arrière du bâtiment. L’entrée, pour des raisons de discrétion, est située derrière. Elle sort de sa voiture. Je l’imite et la suis.Elle marche lentement, vers la porte d'entrée, elle ne se retourne pas,à cet instant elle pourrait m'emmener où elle le désire, juste avant d'ouvrir la porte, elle se retourne et me lance : « Ça va ? Je te conviens ? » Elle passe la porte, je la referme. Une sonnette retentit la femme qui tient l'hôtel arrive et nous demande combien de temps nous comptons rester, elle nous donne un numéro de chambre et nous montons,je la trouve très à l'aise, moi un peu moins..( J'appris par la suite,qu'elle etait déjà venue ici ,avec au moins 2 autres amants)
En montant l'escalier je me délecte de la vue sur ses jambes et son cul de rêve, nous entrons dans la chambre, il n'y a pas de paroles prononcées ,ce n'est plus l'heure des mots, la tension est forte, mon cœur bas la chamade,je sens que le sien également, nous nous jetons l'un sur l’autre tels des animaux. Je la plaque contre le mur de la chambre, elle pose ses lèvres sur les miennes, nos langues se mélangent,je passe mes mains sous sa jupe et pelote à pleine main ses fesses, je bande comme un taureau, elle enlève son blouson,son chemisier, moi mon manteau et mon pull ,je sors ses seins de leur bel emballage de dentelle et entreprends de les dévorer, une main quitte ses fesses pour s'occuper de sa chatte, je la passe sous son string ,je la sens trempée et sa chatte toute lisse ,elle sursaute a l'instant ou j'introduis mon doigt dans sa fente, je pince et frotte son petit bouton que je sens gonfler sous mes doigts.
" continue sens tu comme je mouille?"
" Oui! Et as tu idée a quel point je bande? "
J'accélère le rythme, elle est magnifique et je sens une onde parcourir tout son corps, ma main est trempée maintenant, quand l'orgasme l'envahit complètement elle est encore plus belle à regarder
Lui laissant quelques secondes pour reprendre son souffle, j'enlève mon pantalon et mon caleçon et lui dit,
" viens me sucer"
[ ] Je m'allonge sur le lit, et la c'est la furie déchaînée, elle me suce la bite comme une folle en manque de sexe, je pousse un râle de plaisir en sentant sa bouche aller et venir autour de ma queue ,ses lèvres se serrent sur mon gland, sa langue me titille le prépuce, elle me regarde d'un air coquin aspirant ma tub complètement dans sa bouche ,a d'autres moments sa langue vient me lécher les couilles ,je n'ai jamais reçu une pipe pareille,je n'en peux plus, il faut que je la prenne, je relève sa jupe écarte son string,elle se met sur moi et me dis "prends moi ,je la veux " A ces mots,je m'enfonce d'un coup dans son sexe trempé, j'ai peur de craquer de suite, tellement je suis excite,je reste enfouis au plus profond d'elle tout en l'embrassant a pleine bouche,savourant la chaleur de son vagin et ne bougeant pas histoire de calmer un peu popol. Après quelques secondes je commence un va et vient dans son antre des plaisirs elle gemit,se tortille, j'accélère en la prenant plus fort, mes boules claquent contre ses fesses, ses gémissements se transforment en râle, Elle crie,son sexe se comprime autour de ma bite, une fois ,deux fois,ça continue, je n'arrête pas le mouvement, elle repart dans un orgasme encore plus fort que le premier. Impossible de tenir plus longtemps, je me retire, l'allonge sur le dos,et fourre ma queue dans sa bouche, la je jouis d'un long râle lâchant des jets de sperme sur son visage et sa langue, elle n'en laisse pas perdre une goutte et avale toute ma semence,et me dis tu as bon goût …
[ ] Je me couche à ses côtés, l'embrassant dans le cou,et restons qqs instants sans rien dire, juste pour reprendre nos esprits après de tels instants. Mais il est 18h00! Vite nous devons rentrer chez nous! Nous nous rhabillons rapidement et rentrons chacun chez soi , non sans avoir convenu de se retrouver dès jeudi .
[ ]
De Cet après-midi-là, et au fil des nombreuses autres qui ont suivi, est née une complicité formidable. Nous étions comme les deux pièces d'un puzzle, totalement complémentaires, d'une complicité intellectuelle et physique extraordinaire. Ce que l'un n'avait pas, l'autre lui apportait. L'un sans l'autre, nous n'étions pas grand-chose. Mais le simple fait de savoir que l'autre était là, pas loin (nous n'avons jamais vécu ensemble), nous suffisait. À chaque rencontre, c’était la fête, comme une première fois qui se renouvelait éternellement. Notre amour était passionné, notre amitié indéfectible, notre appétit sexuel sans tabous et insatiable. Nous avons fréquenté les clubs libertins, sommes partis souvent en vacances, en city trips ou de longs week-ends dans le Sud où j'ai un appartement et un bateau,faisant souvent des rencontres très chaudes ,nous nous lancions des défis très sexe à réaliser, suivi de gages très hots s'ils ne l’étaient pas.Nous nous sommes inscrit sur un site libertin ,avons fait l'amour presque partout....Florence et moi avons exploré presque toutes les voies de la sexualité qui pouvaient s'offrir à nous,avec très peu de tabous et de nombreuses histoires que j'essaierais de vous relater au fil des prochains écrits.
Mariés l’un et l’autre, nous nous sommes rencontrés il y a 14 ans ! Un lundi de janvier 2010. J’étais à une exposition de peinture à Bruxelles. Elle y était seule, particulièrement jolie, habillée très sexy, et un je-ne-sais-quoi qui m’a attiré tout de suite. D’un naturel d’ordinaire très réservé, je me suis surpris à l’aborder, lui demandant ce qui l’attirait sur cette toile que nous regardions l’un et l’autre. Le courant est passé tout naturellement, commentant les œuvres, plaisantant sur certaines, sa voix etait grave et suave, un delice à écouter ,nous avons passé 2 heures à parler de tout et de rien,une chose était certaine , j’avais une attirance irrépressible pour elle. L’horloge tournait, la galerie allait fermer, il allait être temps de nous séparer, même si je n’en avais nullement envie. Elle allait partir quand je lui dis : « Je peux vous demander votre numéro de téléphone ? » Elle me répondit qu’elle n’attendait qu’une chose, que je le lui demande. Nous avons échangé nos numéros et sommes partis chacun de notre côté. Je me suis retourné pour la voir s’éloigner. Elle était belle. Elle en fit de même et me fit un petit signe de la main pour me dire au revoir. J’étais aux anges.
Je m’appelle Benoît,(46 ans à l'époque)je suis profession libérale dans une petite ville de province du nord de la France. Florence (48 ans à l'époque)etait professeur de français en promotion sociale dans la région des hauts pays en Belgique.
A l’époque les smartphones n’étaient pas encore aussi repandus, il fallait être un expert des doigts pour envoyer qqs mots par message sur un téléphone , le mercredi matin après notre première rencontre, entre deux patients ,je lui ai envoyé mon premier SMS, lui écrivant qu’elle avait été mon rayon de soleil dans cette journée bien grise de l’hiver.
A l’instant d’envoyer le message mon cœur battait la chamade, j’étais en couple avec 2 enfants, un garçon, une fille. Installé dans une routine sexuelle et sociale bien établie, la famille, les potes ,le boulot, le golf,l’amour avec Madame une fois par semaine et encore si elle n’avait pas la migraine ! Toujours dans le lit et sans aucun désir ou passion.
Je savais juste que Florence était également mariée,et avait deux filles. Alors, envoyer un message à une inconnue ou presque, mariée de surcroît, que j’avais rencontrée par hasard deux jours plus tôt dans une exposition à Bruxelles, me paraissait un peu surréaliste.
Nous sommes mercredi soir, aucune réponse. Jeudi matin arrive, toujours rien, pas bon signe, je me dis qu'elle m'a Zappé. Quand ! jeudi après-midi ! Je sens mon téléphone vibrer dans ma poche, c’est Florence qui me répond. Elle me demande de lui téléphoner le plus vite possible avant qu'elle ne rentre chez elle . C’est parfait, je ne travaille pas le jeudi après-midi. Je suis seul en voiture, mon cœur bat à 100 à l’heure. Je me gare, me calme un peu et lui téléphone. J’ai des papillons dans le ventre de l’entendre. Elle me raconte qu’elle a été troublée par notre rencontre ,qu'elle serait heureuse de me revoir ,nous convenons alors de nous retrouver le lundi suivant en début d’après-midi dans un bar de Mons . La fin de semaine se passe, avec pour moi une idée fixe : lundi 14h00, j'ai rendez-vous avec une fille qui m’attire terriblement. Mon cœur est en fête,je n’ai jamais ressenti une telle excitation,je me souviens de chacun de ses mots au téléphone,ils sont comme une friandise que je déguste à chaque instant.
Le lundi est là, il est 14h00, je rentre dans le bar,c’ est un pub Irlandais, il est assez sombre, il y a plusieurs salles et assise dans un sorte de petite alcove ,Florence !
Elle est là, lumineuse, solaire, la quarantaine éclatante, une jolie femme châtain clair cendré,les cheveux en carré plongeant ,habillée d'une petite jupe grise très courte ,des collants et cuissardes à talons hauts en daim noir,un chemisier largement ouvert laissant entrevoir sa poitrine,juste cachée par un joli soutien gorge balconnet en dentelle. Elle est magnifique ,1m65 tres fine 48 kg,un cul d'enfer ,une taille fine et de jolis petits seins tout rond 85B.
Nous nous faisons la bise et nous nous asseyons l’un en face de l’autre de chaque côté d’un petit guéridon. Nous commandons deux whiskys japonais, dont nous sommes friands l’un et l’autre. Nous discutons. Les fauteuils sont très bas, ce qui me permet de voir qu’au lieu de collants, ce sont en fait des bas up et qu’elle porte un très joli petit string noir ,cachant sa petite chatte . Elle remarque bien vite que je mate son entre jambe et elle me dit ,"tu aimes? " que ouiiii, je la complimente sur sa lingerie et je lui raconte que j’adore en acheter. Elle me répond qu’elle adore en porter, que c’est pour elle un des plus beaux artifices de séduction de la femme . Que même si personne ne la voit,elle se sent plus belle quand elle en porte. Elle me provoque du coup en écartant les cuisses pour me laisser admirer, son parfum fleuri m'enivre a chacun de ses gestes, je respire tel un homme en manque d'oxygène, je commence même à bander ,j'ai bien du mal à le cacher, alors elle s'approche de moi ,m'embrasse d'un baiser sauvage, presque animal, je ne sais combien de temps il dure, elle me mordille maintenant la lèvre inférieure, les gestes ne sont plus vraiment contrôlés, ils deviennent instinctifs ,elle pose sa main sur mon entre jambes ,ma queue est raide comme un I,d'un léger va et vient elle me branle presque à travers le jeans . Je glisse ma main sous ses vêtements, m'impregnant au touché de la douceur de sa peau, elle parcoure ses cuisses en se dirigeant vers son intimité, sa fente est déjà toute humide. Nous ne parlons plus,mais nos envies sont les même ,un besoin irrépressible de faire l'amour, rompant le baiser, elle me dit, je te veux en moi ! il y a pas très loin d'ici un hôtel de jour, où nous pourrions prendre une chambre pour quelques heures.
J'acquiesce immédiatement, je vais régler nos consommations et nous quittons le bar,pour rejoindre nos voitures.
La laissant passer devant , j'admire son cul ferme et rebondi, hasard ou destin nous étions garés l'un à côté de l'autre, elle monte dans sa voiture, ce qui me permet de mater encore ses magnifiques dessous et ses bas up qui galbent ses cuisses fines et musclées.
• Je la suis avec ma voiture, ne connaissant pas la route, le trajet n'est pas très long. Mon esprit est obnubilé par cette femme avec qui je vais aller faire l'amour à l'hôtel, une première pour moi. Mon esprit est ailleurs, il faut que je me reprenne. Je viens de brûler un stop, heureusement personne. Je suis entrain de me dire que je n'ai même de préservatif, impossible d’en acheter. Elle vient de mettre son clignotant et entre dans une grosse maison au milieu d’un petit parc. Elle se gare à l’arrière du bâtiment. L’entrée, pour des raisons de discrétion, est située derrière. Elle sort de sa voiture. Je l’imite et la suis.Elle marche lentement, vers la porte d'entrée, elle ne se retourne pas,à cet instant elle pourrait m'emmener où elle le désire, juste avant d'ouvrir la porte, elle se retourne et me lance : « Ça va ? Je te conviens ? » Elle passe la porte, je la referme. Une sonnette retentit la femme qui tient l'hôtel arrive et nous demande combien de temps nous comptons rester, elle nous donne un numéro de chambre et nous montons,je la trouve très à l'aise, moi un peu moins..( J'appris par la suite,qu'elle etait déjà venue ici ,avec au moins 2 autres amants)
En montant l'escalier je me délecte de la vue sur ses jambes et son cul de rêve, nous entrons dans la chambre, il n'y a pas de paroles prononcées ,ce n'est plus l'heure des mots, la tension est forte, mon cœur bas la chamade,je sens que le sien également, nous nous jetons l'un sur l’autre tels des animaux. Je la plaque contre le mur de la chambre, elle pose ses lèvres sur les miennes, nos langues se mélangent,je passe mes mains sous sa jupe et pelote à pleine main ses fesses, je bande comme un taureau, elle enlève son blouson,son chemisier, moi mon manteau et mon pull ,je sors ses seins de leur bel emballage de dentelle et entreprends de les dévorer, une main quitte ses fesses pour s'occuper de sa chatte, je la passe sous son string ,je la sens trempée et sa chatte toute lisse ,elle sursaute a l'instant ou j'introduis mon doigt dans sa fente, je pince et frotte son petit bouton que je sens gonfler sous mes doigts.
" continue sens tu comme je mouille?"
" Oui! Et as tu idée a quel point je bande? "
J'accélère le rythme, elle est magnifique et je sens une onde parcourir tout son corps, ma main est trempée maintenant, quand l'orgasme l'envahit complètement elle est encore plus belle à regarder
Lui laissant quelques secondes pour reprendre son souffle, j'enlève mon pantalon et mon caleçon et lui dit,
" viens me sucer"
[ ] Je m'allonge sur le lit, et la c'est la furie déchaînée, elle me suce la bite comme une folle en manque de sexe, je pousse un râle de plaisir en sentant sa bouche aller et venir autour de ma queue ,ses lèvres se serrent sur mon gland, sa langue me titille le prépuce, elle me regarde d'un air coquin aspirant ma tub complètement dans sa bouche ,a d'autres moments sa langue vient me lécher les couilles ,je n'ai jamais reçu une pipe pareille,je n'en peux plus, il faut que je la prenne, je relève sa jupe écarte son string,elle se met sur moi et me dis "prends moi ,je la veux " A ces mots,je m'enfonce d'un coup dans son sexe trempé, j'ai peur de craquer de suite, tellement je suis excite,je reste enfouis au plus profond d'elle tout en l'embrassant a pleine bouche,savourant la chaleur de son vagin et ne bougeant pas histoire de calmer un peu popol. Après quelques secondes je commence un va et vient dans son antre des plaisirs elle gemit,se tortille, j'accélère en la prenant plus fort, mes boules claquent contre ses fesses, ses gémissements se transforment en râle, Elle crie,son sexe se comprime autour de ma bite, une fois ,deux fois,ça continue, je n'arrête pas le mouvement, elle repart dans un orgasme encore plus fort que le premier. Impossible de tenir plus longtemps, je me retire, l'allonge sur le dos,et fourre ma queue dans sa bouche, la je jouis d'un long râle lâchant des jets de sperme sur son visage et sa langue, elle n'en laisse pas perdre une goutte et avale toute ma semence,et me dis tu as bon goût …
[ ] Je me couche à ses côtés, l'embrassant dans le cou,et restons qqs instants sans rien dire, juste pour reprendre nos esprits après de tels instants. Mais il est 18h00! Vite nous devons rentrer chez nous! Nous nous rhabillons rapidement et rentrons chacun chez soi , non sans avoir convenu de se retrouver dès jeudi .
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De Cet après-midi-là, et au fil des nombreuses autres qui ont suivi, est née une complicité formidable. Nous étions comme les deux pièces d'un puzzle, totalement complémentaires, d'une complicité intellectuelle et physique extraordinaire. Ce que l'un n'avait pas, l'autre lui apportait. L'un sans l'autre, nous n'étions pas grand-chose. Mais le simple fait de savoir que l'autre était là, pas loin (nous n'avons jamais vécu ensemble), nous suffisait. À chaque rencontre, c’était la fête, comme une première fois qui se renouvelait éternellement. Notre amour était passionné, notre amitié indéfectible, notre appétit sexuel sans tabous et insatiable. Nous avons fréquenté les clubs libertins, sommes partis souvent en vacances, en city trips ou de longs week-ends dans le Sud où j'ai un appartement et un bateau,faisant souvent des rencontres très chaudes ,nous nous lancions des défis très sexe à réaliser, suivi de gages très hots s'ils ne l’étaient pas.Nous nous sommes inscrit sur un site libertin ,avons fait l'amour presque partout....Florence et moi avons exploré presque toutes les voies de la sexualité qui pouvaient s'offrir à nous,avec très peu de tabous et de nombreuses histoires que j'essaierais de vous relater au fil des prochains écrits.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Excellente histoire !
Je me réjouis aussi de lire lasuite des rencontres entre ces amants epanouis
Super bien écrit il y aura Une suite