Nous, plus un !
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2023 dans la catégorie Plus on est
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Nous, plus un !
Je ne suis pas mécontent de me retrouver tout seul chez moi. Ma femme accompagnée de sa marraine viennent de partir pour une journée de shopping, fête de fin d’année oblige.
Tout tremblant, je quitte ma place pour aller rejoindre la chambre qu’occupe la marraine pour son séjour parmi nous. Je pousse la porte, la pièce est inondée de son parfum. Je rentre et me dirige comme la veille du côté de la valise qui est posée sur le fauteuil et dont le couvercle est ouvert, laissant apparaître un tas d’habits, parfaitement plié. Mais ce n’est pas là le sujet de mon intéressement, mais bien se qui se trouve dans la poche du couvercle. Là où la marraine entrepose sa lingerie sale. Et comme la veille j’y sors une culotte en boule. Tandis que celle de hier était rose, celle-là est noir et en dentelle. Dont l’entrejambe me certifie si seulement j’ai encore un doute, qu’elle a été belle et bien mise. Tous les stigmates y sont. C’est donc excité comme une puce que je me rends à nouveau devant l’ordinateur. Mais avant de m’y installé, je me mets à poil.
C’est seulement après que j’y pose mon cul. Le froid du cuir me brûle les fesses. Passant ce désagrément au second degré, j’encagoule la culotte. Prenant soin de coller la surface souillée par sa chatte contre mon tarin de pervers. Je ne suis pas à ma première reniflette, ni à ma dernière d’ailleurs mais celle-là est très alléchant. Du même que celle de hier. Dont les odeurs stimulantes m’ont poussé à avoir une relation sexuelle avec mon épouse.
Dans un premier temps je lui es ordonné de me sucer dans le noir, alors que j’ai mon nez enfouis dans la culotte de sa marraine. Puis je lui es rendu la monnaie de sa pièce, en suçant sa moule chaude et tendre. Très vit sa liqueur d’amour sourde et se répand dans ma bouche et à la commissure de mes lèvres, me laissant pressentir l’approche de son orgasme. L’entendre crier son plaisir me force de en lui donner un peu plus. Je devine que sa marraine de l’autre côté en prend plein les oreilles. Encouragé par ce fait, et connaissant ma femme, étant très friande de caresse, je me mets à la branler. Et cela jusqu’à ce qu’elle atteigne son deuxième orgasme. Pas le temps de la laisser respirer que déjà je la baise. Notre cavalcade dure. Bientôt ses mouvements deviennent plus courts et saccadés, elle se met à gémir de plus en plus fort. Je sens la liqueur couler de son huitre, suivre son chemin le long de ma verge, puis sur mes couilles. Soudain elle se tend, hurle longuement, ses mouvements deviennent complètement désordonnés. Sous le coup de fouet de sa jouissance, les hurlements de ma femme se font plus forts.
Une fois le plaisir cuvé, on en a bien rigolé avec ma femme. Ce demandant comment la marraine allait réagir et prendre cela.
Comment ne pas repenser à hier soir, alors que nous sommes tous trois, tablés devant notre petit déjeuner. Nos craintes se dissipent assez vite, la marraine fait preuve d’un naturel et d’un enjouement qui désarment toute gêne.
Donc je suis à présent assis devant mon ordinateur, je respire à plein poumon les senteurs sauvages que laisse échapper la petite lingerie, et cela m’inspire. A un tel point, que cela me donne envie d’écrire mon récit.
Avec ma femme nous avons décidé de mettre un peu de piment dans notre relation. D’un commun accord nous avons tranché pour qu’une tiers personne vienne filmer nos débats. Notre choix s’est porté sur le jeune poissonnier. Un rouquin, à peine la vingtaine, très réservé et pas mal physiquement, enfin, l’avis de ma femme. Une cible idéale !
Je n’ai pas mis longtemps à mettre le jeunot dans ma poche. Si bien, que quelques jours plus tard devant un verre dans un bar, je lui ai exposé ce que j’attendais de lui. Il n’a, ni accepté, ni refusé, il a seulement demandé un temps de réflexion.
Je pense que notre couple ne le laisse pas insensible, puisque le lendemain je reçois un SMS, confirmant son accord. Avec ma femme nous avons sauté de joie.
Le jour dit, avec ma femme, nous lui transmettons nos souhaits. Et c’est seulement après ça, que nous nous déshabillons, entièrement. Puis nous prenons place sur le divan. Nous nous enlaçons, puis nous échangeons un long baiser, très sensuel, nos bouches ouvertes permettre à notre réalisateur du jour de filmer nos langues se caresser mutuellement. Bientôt, nos désir s’éveille, mais on fait en sorte de nous maîtriser.
Ma femme prend mon sexe bandé. Elle se met à flatter mes couilles. Me branle. Je ferme mes yeux, pour essayer de calmer mes sens. Le spectacle qu’offre ma femme à la l’objectif est un puissant aiguillon qui menace de provoquer mon plaisir plus vite que je le souhaitais.
J’éjacule brusquement, en giclées qui atterrissent sur les coussins. Ma femme pousse un cri de surprise émerveillée. Un large sourire se dessine sur ses lèvres. Puis elle approche les lèvres, se met à lécher les traces de mon plaisir qui sont restées sur le gland. Elle englobe ma verge avec sa bouche, et comment la fellation. Ses lèvres vont et viennent, sa main plus bas accompagne le mouvement, en parfaite synchronisation. Le jeune homme filme, muet, fasciné par ce qui se joue devant ses yeux. Le silence n’est rompu que par le bruit de succion que fait parfois la bouche de ma femme quand elle relâche le phallus. Les joues creusées par le traitement qu’elle m’administre. Elle parait se délecter, et roucoule de temps à autre, très doucement.
Le jeune homme m’offre le spectacle croustillant de son érection. De toute évidence, il est très excité par ce qu’il filme. Au bout d’un moment, n’y tenant plus, comme hypnotisé et visiblement incapable de se retenir plus longtemps, il laisse sa main gauche ouvrir sa braguette. Il atteint sa queue et la branle tout en filmant.
Ma femme ne remarque pas le jeu polisson auquel le jeune homme se livre, et continue de me prodiguer ses soins avec grande conviction. Je l’arrête un instant, la fait se retourner. Elle sourit malicieusement à la vu de notre branleur puis reprend son action fellatrice.
Je sens mon orgasme arriver. Ma femme le sens elle-aussi, car elle accélère ses mouvements, en même temps qu’elle accentue sa succion. J’éjacule dans sa bouche. elle se met à avaler goulûment ma jouissance, en soulignant chaque giclée d’un grognement de plaisir, mais ne peux empêcher un surplus de sperme de s’échapper à la commissure de ses lèvres et de couler le long de son menton.
Je place le jeune homme sur le fauteuil. Je glisse ma bouche entre ses cuisses et la rapproche de sa verge toute gluante.
Sa verge est bien dur, bien tendue. Sur l’instant, je me contente de chapeauter le champignon et le bout de la bite avec la bouche. D’une main, je masse le reste de la colonne, presque jusqu’à la racine. Je serre très fort et résiste à la douleur qui me crispe alors le poignet.
Je devine les vibrations qui parcourent la bite du poissonnier. Ses râles me guident aussi. Alors j’insinue l’autre main par en dessous et tripote les couilles bien lourdes, aussi grosses que des prunes, que je fais rouler dans ma paume. Immanquablement, un grognement d’ours m’avertit plusieurs secondes à l’avance que son orgasme est tout proche. Et pourtant la giclée me surprend. C’est fort, épais et chaud. Le sperme s’étale au fond de ma gorge et dans une seconde salve, son plaisir emplit ma bouche. ça glisse partout, sous les lèvres, le long de mes gencives sous ma langue entre mes dents.
Je m’avance du côté de ma femme qui pose la caméra sur la table basse. Elle a immortalisé ma fellation. Je m’agenouille devant elle, entre ses cuisses, mets mon sexe en contact avec le sien et en un léger mouvement du ventre, frotte doucement les lèvres et le clitoris avec mon gland le dessous de ma verge. La sensation nous fait gémir tous les deux.
Doucement, lentement, je pénètre ma femme, prenant le temps de jouir de la délicieuse invasion. Le regard du jeune homme est rivé sur nos sexes. Il semble fasciné par le mouvement du piston de chair dans le moelleux réceptacle.
Je vais et viens dans le fourreau chaud et soyeux. Le ventre de ma femme bouge en une houle sensuelle qui rend nos sensations encore plus poignantes.
Je prends ses jambes et les fais reposer sur mes épaules, accentuant ainsi la pénétration et permettant au jeune homme de mieux filmer la joute amoureuse. Les seins de ma femme oscillent lourdement à chacun de mes coups de reins, de plus en plus vite au fur et à mesure que la tension monte. Ma queue s’enfonce profondément à chaque coup de reins. Et ma femme donne à nos mouvements une grande amplitude, comme si elle veut en profiter au maximum. Je vois mon sexe disparaître jusqu’à la racine, puis ressortir presque en entier, enduit de la liqueur qui sourde du sexe de ma femme. Son vagin est maintenant très lubrifié, ma sensation est quelque peu émoussée.
Mais le plus grand stimulant est la présence du jeune homme. Je me répands dans le vagin de ma femme qui presque simultanément se raidit en un nouvel orgasme, tandis que nos cris et nos décharges se mêlent.
Je sens qu’on m’écarte les cuisses et me lèche le cul. Je dois cela au poissonnier. Cette expérience avec notre couple lui a exacerbé des pulsions viriles. Dès qu’il fout sa langue bien à l’intérieur de mon cul, il m’oblige à m’allonger lui sur moi, en me maintenant les cuisses bien écartées. Il comprend que dans l’état où se trouve mon anus il peut m’enculer sur-le-champ. Sans ménagement, il donne un coup de reins en avant et, en l’espace d’une demi-seconde, je me sens complètement troué ! Sa verge m’enfile à fond et le poissonnier remue en moi comme un excité. Je me mets à pousser des plaintes entrecoupées de cris de jouissance.
Bientôt vient me museler la bouche avec sa chatte. Tout en la suçant, j’encaisse les coups terribles du poissonnier. Seul un son étouffé sort de ma bouche bâillonnée. Notre jeu dure longtemps. Mon ventre s’enflamme, une brûlure qui part des fesses irradie dans tout l’abdomen.
Alors qu’ils récupèrent, moi je bande. à mon tour, j’inverse les rôles et j’encule le poissonnier de la même façon qu’il m’a enculé. Avec force, remuant jusqu’au fond de ses tripes. Il se met à râler. Ma femme lui colle le gode de sa ceinture qu’elle vient de s’installer autour de la taille. Nous le suçons même, ensemble pendant que j’encule toujours le jeune homme. Puis voilà que ma femme m’attrape par derrière. Cela s’appelle le petit train !
C’est merveilleux ! D’être au milieu. Je me laisse aller sauvagement dans le cul du jeune homme. Ma femme redoublée la puissance de mes coups de reins par les siens. Nos convulsions et nos cris indiquent à chacun de nous que l’autre jouit. Nous baignons dans une volupté sans fin. Nous restons plusieurs secondes l’un sur l’autre à jouir de nos contact total.
Tout tremblant, je quitte ma place pour aller rejoindre la chambre qu’occupe la marraine pour son séjour parmi nous. Je pousse la porte, la pièce est inondée de son parfum. Je rentre et me dirige comme la veille du côté de la valise qui est posée sur le fauteuil et dont le couvercle est ouvert, laissant apparaître un tas d’habits, parfaitement plié. Mais ce n’est pas là le sujet de mon intéressement, mais bien se qui se trouve dans la poche du couvercle. Là où la marraine entrepose sa lingerie sale. Et comme la veille j’y sors une culotte en boule. Tandis que celle de hier était rose, celle-là est noir et en dentelle. Dont l’entrejambe me certifie si seulement j’ai encore un doute, qu’elle a été belle et bien mise. Tous les stigmates y sont. C’est donc excité comme une puce que je me rends à nouveau devant l’ordinateur. Mais avant de m’y installé, je me mets à poil.
C’est seulement après que j’y pose mon cul. Le froid du cuir me brûle les fesses. Passant ce désagrément au second degré, j’encagoule la culotte. Prenant soin de coller la surface souillée par sa chatte contre mon tarin de pervers. Je ne suis pas à ma première reniflette, ni à ma dernière d’ailleurs mais celle-là est très alléchant. Du même que celle de hier. Dont les odeurs stimulantes m’ont poussé à avoir une relation sexuelle avec mon épouse.
Dans un premier temps je lui es ordonné de me sucer dans le noir, alors que j’ai mon nez enfouis dans la culotte de sa marraine. Puis je lui es rendu la monnaie de sa pièce, en suçant sa moule chaude et tendre. Très vit sa liqueur d’amour sourde et se répand dans ma bouche et à la commissure de mes lèvres, me laissant pressentir l’approche de son orgasme. L’entendre crier son plaisir me force de en lui donner un peu plus. Je devine que sa marraine de l’autre côté en prend plein les oreilles. Encouragé par ce fait, et connaissant ma femme, étant très friande de caresse, je me mets à la branler. Et cela jusqu’à ce qu’elle atteigne son deuxième orgasme. Pas le temps de la laisser respirer que déjà je la baise. Notre cavalcade dure. Bientôt ses mouvements deviennent plus courts et saccadés, elle se met à gémir de plus en plus fort. Je sens la liqueur couler de son huitre, suivre son chemin le long de ma verge, puis sur mes couilles. Soudain elle se tend, hurle longuement, ses mouvements deviennent complètement désordonnés. Sous le coup de fouet de sa jouissance, les hurlements de ma femme se font plus forts.
Une fois le plaisir cuvé, on en a bien rigolé avec ma femme. Ce demandant comment la marraine allait réagir et prendre cela.
Comment ne pas repenser à hier soir, alors que nous sommes tous trois, tablés devant notre petit déjeuner. Nos craintes se dissipent assez vite, la marraine fait preuve d’un naturel et d’un enjouement qui désarment toute gêne.
Donc je suis à présent assis devant mon ordinateur, je respire à plein poumon les senteurs sauvages que laisse échapper la petite lingerie, et cela m’inspire. A un tel point, que cela me donne envie d’écrire mon récit.
Avec ma femme nous avons décidé de mettre un peu de piment dans notre relation. D’un commun accord nous avons tranché pour qu’une tiers personne vienne filmer nos débats. Notre choix s’est porté sur le jeune poissonnier. Un rouquin, à peine la vingtaine, très réservé et pas mal physiquement, enfin, l’avis de ma femme. Une cible idéale !
Je n’ai pas mis longtemps à mettre le jeunot dans ma poche. Si bien, que quelques jours plus tard devant un verre dans un bar, je lui ai exposé ce que j’attendais de lui. Il n’a, ni accepté, ni refusé, il a seulement demandé un temps de réflexion.
Je pense que notre couple ne le laisse pas insensible, puisque le lendemain je reçois un SMS, confirmant son accord. Avec ma femme nous avons sauté de joie.
Le jour dit, avec ma femme, nous lui transmettons nos souhaits. Et c’est seulement après ça, que nous nous déshabillons, entièrement. Puis nous prenons place sur le divan. Nous nous enlaçons, puis nous échangeons un long baiser, très sensuel, nos bouches ouvertes permettre à notre réalisateur du jour de filmer nos langues se caresser mutuellement. Bientôt, nos désir s’éveille, mais on fait en sorte de nous maîtriser.
Ma femme prend mon sexe bandé. Elle se met à flatter mes couilles. Me branle. Je ferme mes yeux, pour essayer de calmer mes sens. Le spectacle qu’offre ma femme à la l’objectif est un puissant aiguillon qui menace de provoquer mon plaisir plus vite que je le souhaitais.
J’éjacule brusquement, en giclées qui atterrissent sur les coussins. Ma femme pousse un cri de surprise émerveillée. Un large sourire se dessine sur ses lèvres. Puis elle approche les lèvres, se met à lécher les traces de mon plaisir qui sont restées sur le gland. Elle englobe ma verge avec sa bouche, et comment la fellation. Ses lèvres vont et viennent, sa main plus bas accompagne le mouvement, en parfaite synchronisation. Le jeune homme filme, muet, fasciné par ce qui se joue devant ses yeux. Le silence n’est rompu que par le bruit de succion que fait parfois la bouche de ma femme quand elle relâche le phallus. Les joues creusées par le traitement qu’elle m’administre. Elle parait se délecter, et roucoule de temps à autre, très doucement.
Le jeune homme m’offre le spectacle croustillant de son érection. De toute évidence, il est très excité par ce qu’il filme. Au bout d’un moment, n’y tenant plus, comme hypnotisé et visiblement incapable de se retenir plus longtemps, il laisse sa main gauche ouvrir sa braguette. Il atteint sa queue et la branle tout en filmant.
Ma femme ne remarque pas le jeu polisson auquel le jeune homme se livre, et continue de me prodiguer ses soins avec grande conviction. Je l’arrête un instant, la fait se retourner. Elle sourit malicieusement à la vu de notre branleur puis reprend son action fellatrice.
Je sens mon orgasme arriver. Ma femme le sens elle-aussi, car elle accélère ses mouvements, en même temps qu’elle accentue sa succion. J’éjacule dans sa bouche. elle se met à avaler goulûment ma jouissance, en soulignant chaque giclée d’un grognement de plaisir, mais ne peux empêcher un surplus de sperme de s’échapper à la commissure de ses lèvres et de couler le long de son menton.
Je place le jeune homme sur le fauteuil. Je glisse ma bouche entre ses cuisses et la rapproche de sa verge toute gluante.
Sa verge est bien dur, bien tendue. Sur l’instant, je me contente de chapeauter le champignon et le bout de la bite avec la bouche. D’une main, je masse le reste de la colonne, presque jusqu’à la racine. Je serre très fort et résiste à la douleur qui me crispe alors le poignet.
Je devine les vibrations qui parcourent la bite du poissonnier. Ses râles me guident aussi. Alors j’insinue l’autre main par en dessous et tripote les couilles bien lourdes, aussi grosses que des prunes, que je fais rouler dans ma paume. Immanquablement, un grognement d’ours m’avertit plusieurs secondes à l’avance que son orgasme est tout proche. Et pourtant la giclée me surprend. C’est fort, épais et chaud. Le sperme s’étale au fond de ma gorge et dans une seconde salve, son plaisir emplit ma bouche. ça glisse partout, sous les lèvres, le long de mes gencives sous ma langue entre mes dents.
Je m’avance du côté de ma femme qui pose la caméra sur la table basse. Elle a immortalisé ma fellation. Je m’agenouille devant elle, entre ses cuisses, mets mon sexe en contact avec le sien et en un léger mouvement du ventre, frotte doucement les lèvres et le clitoris avec mon gland le dessous de ma verge. La sensation nous fait gémir tous les deux.
Doucement, lentement, je pénètre ma femme, prenant le temps de jouir de la délicieuse invasion. Le regard du jeune homme est rivé sur nos sexes. Il semble fasciné par le mouvement du piston de chair dans le moelleux réceptacle.
Je vais et viens dans le fourreau chaud et soyeux. Le ventre de ma femme bouge en une houle sensuelle qui rend nos sensations encore plus poignantes.
Je prends ses jambes et les fais reposer sur mes épaules, accentuant ainsi la pénétration et permettant au jeune homme de mieux filmer la joute amoureuse. Les seins de ma femme oscillent lourdement à chacun de mes coups de reins, de plus en plus vite au fur et à mesure que la tension monte. Ma queue s’enfonce profondément à chaque coup de reins. Et ma femme donne à nos mouvements une grande amplitude, comme si elle veut en profiter au maximum. Je vois mon sexe disparaître jusqu’à la racine, puis ressortir presque en entier, enduit de la liqueur qui sourde du sexe de ma femme. Son vagin est maintenant très lubrifié, ma sensation est quelque peu émoussée.
Mais le plus grand stimulant est la présence du jeune homme. Je me répands dans le vagin de ma femme qui presque simultanément se raidit en un nouvel orgasme, tandis que nos cris et nos décharges se mêlent.
Je sens qu’on m’écarte les cuisses et me lèche le cul. Je dois cela au poissonnier. Cette expérience avec notre couple lui a exacerbé des pulsions viriles. Dès qu’il fout sa langue bien à l’intérieur de mon cul, il m’oblige à m’allonger lui sur moi, en me maintenant les cuisses bien écartées. Il comprend que dans l’état où se trouve mon anus il peut m’enculer sur-le-champ. Sans ménagement, il donne un coup de reins en avant et, en l’espace d’une demi-seconde, je me sens complètement troué ! Sa verge m’enfile à fond et le poissonnier remue en moi comme un excité. Je me mets à pousser des plaintes entrecoupées de cris de jouissance.
Bientôt vient me museler la bouche avec sa chatte. Tout en la suçant, j’encaisse les coups terribles du poissonnier. Seul un son étouffé sort de ma bouche bâillonnée. Notre jeu dure longtemps. Mon ventre s’enflamme, une brûlure qui part des fesses irradie dans tout l’abdomen.
Alors qu’ils récupèrent, moi je bande. à mon tour, j’inverse les rôles et j’encule le poissonnier de la même façon qu’il m’a enculé. Avec force, remuant jusqu’au fond de ses tripes. Il se met à râler. Ma femme lui colle le gode de sa ceinture qu’elle vient de s’installer autour de la taille. Nous le suçons même, ensemble pendant que j’encule toujours le jeune homme. Puis voilà que ma femme m’attrape par derrière. Cela s’appelle le petit train !
C’est merveilleux ! D’être au milieu. Je me laisse aller sauvagement dans le cul du jeune homme. Ma femme redoublée la puissance de mes coups de reins par les siens. Nos convulsions et nos cris indiquent à chacun de nous que l’autre jouit. Nous baignons dans une volupté sans fin. Nous restons plusieurs secondes l’un sur l’autre à jouir de nos contact total.
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tres bien