Nous quatre
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 328 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.6
- • L'ensemble des récits érotiques de Fabriss34 ont reçu un total de 3 271 246 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2014 dans la catégorie A dormir debout
Cette histoire de sexe a été affichée 7 404 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Nous quatre
La solidité de notre couple n'est pas à démontrer, même si nous nous amusons souvent avec un couple d'amis. Décidés de partir en vacances nous nous retrouvons dans le même hôtel. Je suis pressée de retrouver Agnès et Pierre. Déjà l'an dernier nous étions liés par nos plaisirs. Une fois dans l'année j'ai retrouvé Pierre un après midi, dans un hôtel. La queue de mon mari ne suffisait plus, il m'en fallait une autre et celle de mon amant du jour était providentiellement bonne. Nous n'étions même pas nus quand je l'ai pris dans la bouche. Il commençais simplement à bander. J'étais accroupie, les jambes écartées pour me branler. Mes doigts entraient dans la chatte, la cyprine coulait entre mes jointures. J'ai joui un peu avant lui : ma mouille coulait pendant que son sperme arrosait la bouche. Délicieux comme début.
Par la suite nous décidions de nous « débaucher ». C'est mon mari qui a eu l'idée de baiser Agnès devant moi. J'étais d'accord, je tenais à la voir nue, son con ouvert. Il le lui a proposé devant Pierre qui en retour voulais me baiser aussi devant les autres, non plus en privé. Je connaissais bien la queue de Pierre avec son gland brillant dans un peu de lumière, ses couilles grosses faciles à caresser. J'aimais voir le prépuce descendre quand je le branlais pendant qu'il me rendais la politesse avec deux ou trois doigts.
Quand mon mari a commencé à la baiser j'étais toute mouillée. Mes lèvres étaient sur la bouche de mon époux. Nos langues jouaient pendant que sa queue fouillait le ventre de la femme de mon amant. Dès que je pouvais je regardais bien la pine entrer et sortir du con. Comment dire que j'étais fière de ce qui arrivait ? Me donner aussi à Pierre. J'ai donné mon cul, comme ça pour la première fois à mon amant devant sa femme et mon mari.
En sentant la queue entrer dans l'anus j'étais heureuse de jouir enfin de cet endroit insolite pour la plus part des femmes. J'étais presque sur Agnès. Son regard fixait ou la pine ou le cul, je ne sais pas. Pourquoi sa main est venu sur moi ? Certainement pour participer. Moi, j'en ai eu un plus dans le ravissement. Ses doigts ont pris mes tétons, les ont tordu, m'ont fait gémir de douleur avant de me donner un surcroît d'excitation. J'ai pu rendre au moins en parti ce qu'elle me faisait. C'est encore elle qui est venu m'embrasser sur la bouche, devant son mari et le mien. Je sentais sa salive venir dans le fond de ma bouche, sa langue taquiner la mienne.
Je me suis laissée aller sur le sol, abandonnant par là la queue en moi. Elle aussi oubliait la queue de mon mari. Je la voyais pleine de sa cyprine, avec un reste de sperme. Elle s'est retournée, m'a donné sa chatte sur la bouche. Ignorante de cette façon de faire, je sortais ma langue, la tendais vers ce sexe féminin. Elle m'aidait en plissant son ventre. Je voyais bien qu'elle avant envie que je la lèche.
J'étais à peine au début du cunnilingus que je voyais une belle queue venir vers son cul. Elle enfonçait les replis du cul, elle allait loin dans les boyaux. Quand elle ressortait à peine, je voyais le cul ressortir en même temps. Et plus la sodomie durait, plus j'avais envie de jouir. C'était certainement la pine de mon mari. J'ai eu droit moi aussi, en même temps qu'elle à la bite de son mari.
Agnès en a profité pour prendre le clitoris dans ses lèvres. Charmant 69 de femmes. Les quatre corps étaient intimement liés. Seuls les orgasmes reçus comptaient.
Cette première nuit de débauche était parfaite.
Après un sommeil réparateur en couple, chacun dans sa chambre nous étions sur la plage. Le soleil semblait être avec nous. Dans le creux de la dune nous nous sommes mis nus. Quel délice de sentir l'air sur nos corps. J'avais comme un courant d'air entre les fesses : c'était la main d'Agnès qui venait aux nouvelles. Je me laissais faire. Elle était sacrément agile. Je mouillais encore d'avantage, surtout quand les regards ces hommes étaient sur moi. Sur un simple signe elle était sur l'anus. J'étais encore sèche de ce coté : elle a prit ma cyprine, l'a étalé entre les fesses. J'étais sur le ventre, je me suis relevée juste pour aller m'encastrer sur le premier vit venu. C'était heureusement pour la morale la queue de mon mari. Il était dur comme je l'aime. J'allais et venait autour de cette queue. Je pouvais facilement jouir quand la main d'Agnès s'est retirée. J'ai senti autour de mes hanches les jambes de son mari. Sa queue est venue dans le cul. Joie de cette double pénétration. Le cul et le con pleins, voilà le bonheur.
Mon corps suivait les mouvements de cette baise d'enfer. J'ai eu la chance d'avoir deux amant accomplis : ils n'ont joui que plus tard.J'ai eu ma dose de sperme à ce moment là. J'en avait tellement qu'Agnès a pu en recueillir ce qu'elle voulait sur et dans le con. Je l'ai faite jouir quand elle me donnait sa chatte. C'est encore la bite de mon mari qui est venu dans l'anus, juste à coté de ma langue.
Il nous arrivent souvent de nous contenter entre femmes. C'est bon de sentir son goût de sa chatte gourmande. J'adore avoir son clitoris dans mes lèvres quand le bout de ma langue arrive à le lécher lentement, pour la faire sursauter. J'aime quand mes mains arrivent sur ses fesses que je passe ainsi dans la raie. Mon nez est presque sur son cul, je peux ainsi tout voir, surtout quand elle jouit. Je puis jouir à mon tour.
Par la suite nous décidions de nous « débaucher ». C'est mon mari qui a eu l'idée de baiser Agnès devant moi. J'étais d'accord, je tenais à la voir nue, son con ouvert. Il le lui a proposé devant Pierre qui en retour voulais me baiser aussi devant les autres, non plus en privé. Je connaissais bien la queue de Pierre avec son gland brillant dans un peu de lumière, ses couilles grosses faciles à caresser. J'aimais voir le prépuce descendre quand je le branlais pendant qu'il me rendais la politesse avec deux ou trois doigts.
Quand mon mari a commencé à la baiser j'étais toute mouillée. Mes lèvres étaient sur la bouche de mon époux. Nos langues jouaient pendant que sa queue fouillait le ventre de la femme de mon amant. Dès que je pouvais je regardais bien la pine entrer et sortir du con. Comment dire que j'étais fière de ce qui arrivait ? Me donner aussi à Pierre. J'ai donné mon cul, comme ça pour la première fois à mon amant devant sa femme et mon mari.
En sentant la queue entrer dans l'anus j'étais heureuse de jouir enfin de cet endroit insolite pour la plus part des femmes. J'étais presque sur Agnès. Son regard fixait ou la pine ou le cul, je ne sais pas. Pourquoi sa main est venu sur moi ? Certainement pour participer. Moi, j'en ai eu un plus dans le ravissement. Ses doigts ont pris mes tétons, les ont tordu, m'ont fait gémir de douleur avant de me donner un surcroît d'excitation. J'ai pu rendre au moins en parti ce qu'elle me faisait. C'est encore elle qui est venu m'embrasser sur la bouche, devant son mari et le mien. Je sentais sa salive venir dans le fond de ma bouche, sa langue taquiner la mienne.
Je me suis laissée aller sur le sol, abandonnant par là la queue en moi. Elle aussi oubliait la queue de mon mari. Je la voyais pleine de sa cyprine, avec un reste de sperme. Elle s'est retournée, m'a donné sa chatte sur la bouche. Ignorante de cette façon de faire, je sortais ma langue, la tendais vers ce sexe féminin. Elle m'aidait en plissant son ventre. Je voyais bien qu'elle avant envie que je la lèche.
J'étais à peine au début du cunnilingus que je voyais une belle queue venir vers son cul. Elle enfonçait les replis du cul, elle allait loin dans les boyaux. Quand elle ressortait à peine, je voyais le cul ressortir en même temps. Et plus la sodomie durait, plus j'avais envie de jouir. C'était certainement la pine de mon mari. J'ai eu droit moi aussi, en même temps qu'elle à la bite de son mari.
Agnès en a profité pour prendre le clitoris dans ses lèvres. Charmant 69 de femmes. Les quatre corps étaient intimement liés. Seuls les orgasmes reçus comptaient.
Cette première nuit de débauche était parfaite.
Après un sommeil réparateur en couple, chacun dans sa chambre nous étions sur la plage. Le soleil semblait être avec nous. Dans le creux de la dune nous nous sommes mis nus. Quel délice de sentir l'air sur nos corps. J'avais comme un courant d'air entre les fesses : c'était la main d'Agnès qui venait aux nouvelles. Je me laissais faire. Elle était sacrément agile. Je mouillais encore d'avantage, surtout quand les regards ces hommes étaient sur moi. Sur un simple signe elle était sur l'anus. J'étais encore sèche de ce coté : elle a prit ma cyprine, l'a étalé entre les fesses. J'étais sur le ventre, je me suis relevée juste pour aller m'encastrer sur le premier vit venu. C'était heureusement pour la morale la queue de mon mari. Il était dur comme je l'aime. J'allais et venait autour de cette queue. Je pouvais facilement jouir quand la main d'Agnès s'est retirée. J'ai senti autour de mes hanches les jambes de son mari. Sa queue est venue dans le cul. Joie de cette double pénétration. Le cul et le con pleins, voilà le bonheur.
Mon corps suivait les mouvements de cette baise d'enfer. J'ai eu la chance d'avoir deux amant accomplis : ils n'ont joui que plus tard.J'ai eu ma dose de sperme à ce moment là. J'en avait tellement qu'Agnès a pu en recueillir ce qu'elle voulait sur et dans le con. Je l'ai faite jouir quand elle me donnait sa chatte. C'est encore la bite de mon mari qui est venu dans l'anus, juste à coté de ma langue.
Il nous arrivent souvent de nous contenter entre femmes. C'est bon de sentir son goût de sa chatte gourmande. J'adore avoir son clitoris dans mes lèvres quand le bout de ma langue arrive à le lécher lentement, pour la faire sursauter. J'aime quand mes mains arrivent sur ses fesses que je passe ainsi dans la raie. Mon nez est presque sur son cul, je peux ainsi tout voir, surtout quand elle jouit. Je puis jouir à mon tour.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Fabriss34
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je doit baise se fille
Je doit baise se te fille
Un des meilleurs textes de toi ! Bravo j'en suis sortie toute mouillée !!!