Nouveau curé
Récit érotique écrit par de la taille [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Nouveau curé
Nouveau curé
Cette histoire remonte il y a trois ans.
Je viens d’être nommé curé dans une paroisse d’une petite sous-préfecture bourgeoise. Quelques semaines après mon installation, je fais la connaissance d’un couple très sympathique et assez engagé au sein de la paroisse. Je discute et échange très souvent tant avec madame, qu’avec monsieur. Très gentiment ce couple m’a invité à déjeuner ou dîner simplement chez eux. Lui Edouard, est venu déjà se confesser pour me confier lors de l’échange qu’il aime beaucoup son épouse Isabelle, mais il n’a plus de rapports conjugaux, celle-ci n’étant absolument pas demandeuse ni attirée par cet acte quel que soit sa forme, et, cela lui manque beaucoup. Je suis tout de même assez mal placé pour lui donner quelque conseil que ce soit, à part se faire plaisir seul.
Quelques semaines plus tard, je suis invité chez eux avec un autre couple. Ce couple, Chantal et Hervé sont de leurs amis, de passage et ont également dans la quarantaine. Le diner se déroule de façon très chaleureuse et plaisante ; à la fin du repas les deux femmes s’éclipsent proba-blement pour aller au salon et avec le temps qui passe, elles montent se coucher. Nous, les hommes, sommes autour de la table avec notre verre de cognac. Au bout d’un moment Edouard, soit avec la fatigue, soit à cause des bons crus que nous avons profités, de nouveau se plaint vis-à-vis d’Hervé qu’il ne touche plus Chantal, qu’elle ne veut plus faire l’amour et qu’elle ne se donne même pas la peine de le masturber. Je suis surpris par ce début de conversation lancée par Edouard. Tout cramoisi Hervé me regarde avec un très léger sourire. Interloqué, Hervé s’adressant à Edouard : « écoute, je ne vais pas te donner des conseils devant monsieur le curé, lui qui est toujours seul, comment fait-il » ? C’est à mon tour d’avoir les joues rouges par l’interrogation de cette fin de phrase.
Après quelques minutes, je les informe que je vais les quitter n’étant pas apte à répondre à ces questions. Mais ces échanges commencent tout de même à m’exciter. Pour vous dire, au quotidien, je ne suis pas en soutane, mais en clergyman (costume civil et col romain) Je suis légèrement plus jeune que ces deux hommes mariés, j’ai trente-cinq ans, un mètre quatre-vingt-cinq et soixante-dix kilos. Les cheveux châtain clair assez courts, pour un laïc on peut dire ’’un beau mec’’. Même avant le séminaire, je n’ai jamais eu de relations avec des filles ou des femmes, elles ne m’attirent pas, pas plus que leur chatte.
Je regarde Edouard qui a l’air soucieux pour réitérer que je ne peux répondre, ni donner d’avis comme je lui avais dit en confession. Edouard me répond : « Non, non, restez Père Gérard, je sais, mais vous êtes un réconfort avec Hervé que je connais depuis longtemps. Lui aussi a eu des
difficultés conjugales à un moment ». Pendant que l’on échange, Edouard, a mis une main sous la table. Vous ne pouvez pas savoir comme je me sens en confiance avec vous deux, mais cela ne m’empêche pas d’avoir des envies qui me triturent. Hervé prend la bouteille et nous ressert un peu, et dit à son ami, « calme-toi, calme-toi, çà ne fait que trois mois, c’est pas une éternité tout de même. Et il faut que tu reséduises progressivement Isabelle, c’est tout !» A la fin de cette phrase Edouard nous invite à passer à côté qui n’est qu’un petit salon où ne nous sommes pas très éloignés les uns des autres. En me levant, ma main dans la poche discrètement je positionne mon sexe se développant, pas comme Edouard qui une réelle bosse, qui ne peut être qu’une violente érection. Nous prenons place et déposons notre verre sur une tablette à côté de chaque fauteuil. Edouard, continue de nous expliquer son désarroi, quand Hervé qui a observé la proéminente bosse du pantalon d’Edouard pose d’un geste sa main sur celle-ci. « Eh bien je vois que tu es manque ». Edouard avec sa tête fait signe que oui. Agilement de ses longs doigts Hervé fait glisser la fermeture éclair du pantalon. Quant à moi, mon sexe continue de s’allonger et de grossir, j’ai du mal à la contenir, et je pose ma main sur ma braguette. Pendant ce temps, Hervé extirpe la verge de mon pécheur. Oh ! il a un beau morceau. Pour ce que je vois un morceau d’au moins vingt centimètres, le gland bien déculotté et de quatre centimètres de diamètre, eh bien, et elle n’est pas contente avec çà. . Je suis assez stupéfait par ce sans gêne (qui me plait tout de même). Je n’ai pas le temps de réaliser qu’Hervé se penche et englouti le sexe de son ami en bouche. Sans enlever la bite de sa bouche, Hervé se met à genoux entre les jambes écartées d’Edouard et commence une fellation aux succions sonores. Avec ses mains Hervé, pendant ses va et vient de la tête fait descendre jusqu’au chevilles le pantalon et le sous-vêtement d’Edouard. Je comprends maintenant pourquoi Hervé était timide ou gêné devant moi à table. Maintenant, il ne s’occupe pas de ma présence avec le service qu’il donne à Edouard. Au bout trois, quatre minutes l sort la queue de sa bouche entourée de salive et regarde Edouard : « tu vois, il y a toujours une solution pour cela – Tout à l’heure tu as été discret avec le Père Gérard que j’ai eu le même problème avec Chantal que j’aime beaucoup et j’ai sauvé mon couple avec un collègue » Et bien le mec n’est pas celui que je crois coincer. Edouard tout rouge ôte ses chaussures puis pantalon et slip CK. Il relève la tête et s’adresse à Hervé : « eh bien mon salaud, tu me suce vachement bien, je croyais qu’Isabelle était bonne, çà n’a rien à voir, continue s’il te plaît » C’est qu’il y prend goût. Je ne veux pas rester en reste devant une telle scène. Je dégrafe ma ceinture, et pourquoi pas plus, j’enlève mes chaussures, pantalon et boxer. Enfin, j’ai mon bâton à l’air, il a enfin de la place. Je peux tranquillement saisir ma verge devint centimètre, mais surtout de six de diamètre avec un gland qui ressemble à un champignon de Paris. Là chez Edouard, je peux me relâcher momentanément. Depuis que je suis arrivé dans cette foutue ville je n’ai rien fait et il n’y a rien à faire. Profitons de cet instant convivial inattendu. La queue à la main je m’approche de ce tableau si excitant. Edouard par moment
pousse des soupirs ou des gémissements de satisfaction. Sur le parquet s’est répandue la salive d’Hervé. Les bruits de succions s’intensifient, les joues d’Hervé se creusent au rythme des va et vient. Quelques interruptions pour des coups de langue sur le gland, le méat et le frein ce qui fait sursauter Edouard qui pousse des Oh oui ! Oh oui ! C’est trop bon ! Timidement j’approche ma main de la tête d’Hervé pour lui caresser, et lui glisser : « tu devrais lui faire une gorge profonde, il va hurler surement » inconsciemment je l‘ai tutoyé.
Après avoir terminé ma phrase, Hervé tourne et lève sa tête vers moi et constater ma tenue. « Eh bien mon Père, que faites-vous avec tout ça entre vos jambes et vous ne vous en servez pas » « Oh ! que trop peu ; aujourd’hui je suis heureux de profiter et voir tout cela, vous, tu peux le constater » pendant cet échange, Hervé se lève et en un éclair se dévêt complètement. Il est complètement glabre même le pubis et les couilles. C’est un très très bel homme de quarante-trois ans. « Il faut que je continue mon travail pour soulager notre Edouard » Hervé, au lieu de se mettre à genoux, maintenant se penche en avant pour donner des coups de langue le long du sexe d’Edouard puis mouille son majeur et caresse la rosette d’Edouard qui pousse un cri de satisfaction qui s’amplifie lorsque la queue rentre dans la bouche happeuse d’Hervé. A mon avis la position d’Hervé, n’est pas si innocente que cela.
Je m’approche pour l’encourage à cette pompe magistrale, je crache dans le creux de ma main pour bien enduire de ma salive mon gland et ma tige. Doucement, un peu tremblant je m’approche du muscle fessier d’Hervé qui est presque offert pas sa position. J’écarte un lobe, il ne dit rien, j’admire sa rosette nette, qui me semble doit être épilée à la cire tellement c’est impeccable, je mets de ma salive et position mon gland « Oh. Père fais attention, t’es vachement gros, je n’ai jamais eu un tel cylindre » je ne réponds pas mais commence à pousser lentement et doucement. Il s’ouvre sans forcer, la rosette se développe pour bien laisser le passage de ce diamètre que beaucoup refusent. Centimètre par centimètre je sens sa chaleur sur la peau de ma queue. Pour moi que c’est bon, ce fourrage de cul est tellement rare. A certains moments il relève la tête et j’entends « tu encules vachement bien, tu sais t’y prendre, je ‘ai pas mal, c’est bon ! – va s’ y prends moi bien». Mes mains s’accrochent à ses hanches pour prendre un meilleur appui et entreprendre des va et vient un peu plus rapides et plus insistants. De son côté j’accélère le rythme. J’arrive facilement à lu percuter la prostate ce qui le fait gémir et pousser des cris. J’espère que ceux-ci ne réveilleront pas les épouses. Maintenant, je donne de bons coups de reins qu’il apprécie par ses interjections d’encouragement. De son côté la fellation est très bruyante la salive au sol fait une flaque, mais aussi son doigt s’agite énergiquement dans le cul d’Edouard, il doit vouloir lui faire découvrir l’immense orgasme prostatique inconnu des hétéros. Allons-nous peut être jouir, éjaculer ensemble. Un cadeau du ciel petit-être ! !
Le doigt d’Hervé rentre et sort de plus en plus rapidement, ce qui fait gémir, crier et d’un seul coup carrément hurler «OUIIII OUIII ! mais qu’est-ce qui m’arrive ? ? C’est boonn !! c’est booonnn !!! » Hervé a enlevé la queue de sa bouche, et la tient bien en main d’où un geyser de sperme s’échappe pour se répandre sur le fauteuil et sur le sol. Les jambes et tout le corps d’Edouard se met à trembler et rentre en trance tellement son orgasme est monumental, inattendu et inconnu. Ce que je vois et j’entends me déclenchent une plus forte excitation en faisant écraser mes couilles-abricots contre les fesses d’Hervé ; Le bout de mon gland frappe sa prostate et sans se toucher son beau sexe se redresse et il éjacule son sperme épis au sol pendant que mes cinq jets de sublime semence se répand dans les entrailles d’Hervé.
Edouard, revient progressivement à lui en nous avouant qu’il n’avait jamais eu une telle quantité de sperme, de tels orgasmes de sa vie aussi violents et qu’il découvrait cet incomparable plaisir anal. Hervé lui répond : « tu vois, tu as eu du plaisir et tu as pu te vider » De mon côté, depuis de longs mois ma queue ne connaissait que ma main. Je suis resté neuf ans dans cette paroisse. Isabelle et Edouard sont toujours ensemble. Il vient au presbytère, nous ‘’nous rendons service’’ et tous les deux mois leur couple d’amis vient pour profiter de cette belle ville, de mon église. Il y a toujours quelque chose à faire au presbytère pour qu’Edouard, Hervé et moi-même nous nous retrouvions enlacés. Mes paroissiens n’ont jamais rien su.
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Cette histoire remonte il y a trois ans.
Je viens d’être nommé curé dans une paroisse d’une petite sous-préfecture bourgeoise. Quelques semaines après mon installation, je fais la connaissance d’un couple très sympathique et assez engagé au sein de la paroisse. Je discute et échange très souvent tant avec madame, qu’avec monsieur. Très gentiment ce couple m’a invité à déjeuner ou dîner simplement chez eux. Lui Edouard, est venu déjà se confesser pour me confier lors de l’échange qu’il aime beaucoup son épouse Isabelle, mais il n’a plus de rapports conjugaux, celle-ci n’étant absolument pas demandeuse ni attirée par cet acte quel que soit sa forme, et, cela lui manque beaucoup. Je suis tout de même assez mal placé pour lui donner quelque conseil que ce soit, à part se faire plaisir seul.
Quelques semaines plus tard, je suis invité chez eux avec un autre couple. Ce couple, Chantal et Hervé sont de leurs amis, de passage et ont également dans la quarantaine. Le diner se déroule de façon très chaleureuse et plaisante ; à la fin du repas les deux femmes s’éclipsent proba-blement pour aller au salon et avec le temps qui passe, elles montent se coucher. Nous, les hommes, sommes autour de la table avec notre verre de cognac. Au bout d’un moment Edouard, soit avec la fatigue, soit à cause des bons crus que nous avons profités, de nouveau se plaint vis-à-vis d’Hervé qu’il ne touche plus Chantal, qu’elle ne veut plus faire l’amour et qu’elle ne se donne même pas la peine de le masturber. Je suis surpris par ce début de conversation lancée par Edouard. Tout cramoisi Hervé me regarde avec un très léger sourire. Interloqué, Hervé s’adressant à Edouard : « écoute, je ne vais pas te donner des conseils devant monsieur le curé, lui qui est toujours seul, comment fait-il » ? C’est à mon tour d’avoir les joues rouges par l’interrogation de cette fin de phrase.
Après quelques minutes, je les informe que je vais les quitter n’étant pas apte à répondre à ces questions. Mais ces échanges commencent tout de même à m’exciter. Pour vous dire, au quotidien, je ne suis pas en soutane, mais en clergyman (costume civil et col romain) Je suis légèrement plus jeune que ces deux hommes mariés, j’ai trente-cinq ans, un mètre quatre-vingt-cinq et soixante-dix kilos. Les cheveux châtain clair assez courts, pour un laïc on peut dire ’’un beau mec’’. Même avant le séminaire, je n’ai jamais eu de relations avec des filles ou des femmes, elles ne m’attirent pas, pas plus que leur chatte.
Je regarde Edouard qui a l’air soucieux pour réitérer que je ne peux répondre, ni donner d’avis comme je lui avais dit en confession. Edouard me répond : « Non, non, restez Père Gérard, je sais, mais vous êtes un réconfort avec Hervé que je connais depuis longtemps. Lui aussi a eu des
difficultés conjugales à un moment ». Pendant que l’on échange, Edouard, a mis une main sous la table. Vous ne pouvez pas savoir comme je me sens en confiance avec vous deux, mais cela ne m’empêche pas d’avoir des envies qui me triturent. Hervé prend la bouteille et nous ressert un peu, et dit à son ami, « calme-toi, calme-toi, çà ne fait que trois mois, c’est pas une éternité tout de même. Et il faut que tu reséduises progressivement Isabelle, c’est tout !» A la fin de cette phrase Edouard nous invite à passer à côté qui n’est qu’un petit salon où ne nous sommes pas très éloignés les uns des autres. En me levant, ma main dans la poche discrètement je positionne mon sexe se développant, pas comme Edouard qui une réelle bosse, qui ne peut être qu’une violente érection. Nous prenons place et déposons notre verre sur une tablette à côté de chaque fauteuil. Edouard, continue de nous expliquer son désarroi, quand Hervé qui a observé la proéminente bosse du pantalon d’Edouard pose d’un geste sa main sur celle-ci. « Eh bien je vois que tu es manque ». Edouard avec sa tête fait signe que oui. Agilement de ses longs doigts Hervé fait glisser la fermeture éclair du pantalon. Quant à moi, mon sexe continue de s’allonger et de grossir, j’ai du mal à la contenir, et je pose ma main sur ma braguette. Pendant ce temps, Hervé extirpe la verge de mon pécheur. Oh ! il a un beau morceau. Pour ce que je vois un morceau d’au moins vingt centimètres, le gland bien déculotté et de quatre centimètres de diamètre, eh bien, et elle n’est pas contente avec çà. . Je suis assez stupéfait par ce sans gêne (qui me plait tout de même). Je n’ai pas le temps de réaliser qu’Hervé se penche et englouti le sexe de son ami en bouche. Sans enlever la bite de sa bouche, Hervé se met à genoux entre les jambes écartées d’Edouard et commence une fellation aux succions sonores. Avec ses mains Hervé, pendant ses va et vient de la tête fait descendre jusqu’au chevilles le pantalon et le sous-vêtement d’Edouard. Je comprends maintenant pourquoi Hervé était timide ou gêné devant moi à table. Maintenant, il ne s’occupe pas de ma présence avec le service qu’il donne à Edouard. Au bout trois, quatre minutes l sort la queue de sa bouche entourée de salive et regarde Edouard : « tu vois, il y a toujours une solution pour cela – Tout à l’heure tu as été discret avec le Père Gérard que j’ai eu le même problème avec Chantal que j’aime beaucoup et j’ai sauvé mon couple avec un collègue » Et bien le mec n’est pas celui que je crois coincer. Edouard tout rouge ôte ses chaussures puis pantalon et slip CK. Il relève la tête et s’adresse à Hervé : « eh bien mon salaud, tu me suce vachement bien, je croyais qu’Isabelle était bonne, çà n’a rien à voir, continue s’il te plaît » C’est qu’il y prend goût. Je ne veux pas rester en reste devant une telle scène. Je dégrafe ma ceinture, et pourquoi pas plus, j’enlève mes chaussures, pantalon et boxer. Enfin, j’ai mon bâton à l’air, il a enfin de la place. Je peux tranquillement saisir ma verge devint centimètre, mais surtout de six de diamètre avec un gland qui ressemble à un champignon de Paris. Là chez Edouard, je peux me relâcher momentanément. Depuis que je suis arrivé dans cette foutue ville je n’ai rien fait et il n’y a rien à faire. Profitons de cet instant convivial inattendu. La queue à la main je m’approche de ce tableau si excitant. Edouard par moment
pousse des soupirs ou des gémissements de satisfaction. Sur le parquet s’est répandue la salive d’Hervé. Les bruits de succions s’intensifient, les joues d’Hervé se creusent au rythme des va et vient. Quelques interruptions pour des coups de langue sur le gland, le méat et le frein ce qui fait sursauter Edouard qui pousse des Oh oui ! Oh oui ! C’est trop bon ! Timidement j’approche ma main de la tête d’Hervé pour lui caresser, et lui glisser : « tu devrais lui faire une gorge profonde, il va hurler surement » inconsciemment je l‘ai tutoyé.
Après avoir terminé ma phrase, Hervé tourne et lève sa tête vers moi et constater ma tenue. « Eh bien mon Père, que faites-vous avec tout ça entre vos jambes et vous ne vous en servez pas » « Oh ! que trop peu ; aujourd’hui je suis heureux de profiter et voir tout cela, vous, tu peux le constater » pendant cet échange, Hervé se lève et en un éclair se dévêt complètement. Il est complètement glabre même le pubis et les couilles. C’est un très très bel homme de quarante-trois ans. « Il faut que je continue mon travail pour soulager notre Edouard » Hervé, au lieu de se mettre à genoux, maintenant se penche en avant pour donner des coups de langue le long du sexe d’Edouard puis mouille son majeur et caresse la rosette d’Edouard qui pousse un cri de satisfaction qui s’amplifie lorsque la queue rentre dans la bouche happeuse d’Hervé. A mon avis la position d’Hervé, n’est pas si innocente que cela.
Je m’approche pour l’encourage à cette pompe magistrale, je crache dans le creux de ma main pour bien enduire de ma salive mon gland et ma tige. Doucement, un peu tremblant je m’approche du muscle fessier d’Hervé qui est presque offert pas sa position. J’écarte un lobe, il ne dit rien, j’admire sa rosette nette, qui me semble doit être épilée à la cire tellement c’est impeccable, je mets de ma salive et position mon gland « Oh. Père fais attention, t’es vachement gros, je n’ai jamais eu un tel cylindre » je ne réponds pas mais commence à pousser lentement et doucement. Il s’ouvre sans forcer, la rosette se développe pour bien laisser le passage de ce diamètre que beaucoup refusent. Centimètre par centimètre je sens sa chaleur sur la peau de ma queue. Pour moi que c’est bon, ce fourrage de cul est tellement rare. A certains moments il relève la tête et j’entends « tu encules vachement bien, tu sais t’y prendre, je ‘ai pas mal, c’est bon ! – va s’ y prends moi bien». Mes mains s’accrochent à ses hanches pour prendre un meilleur appui et entreprendre des va et vient un peu plus rapides et plus insistants. De son côté j’accélère le rythme. J’arrive facilement à lu percuter la prostate ce qui le fait gémir et pousser des cris. J’espère que ceux-ci ne réveilleront pas les épouses. Maintenant, je donne de bons coups de reins qu’il apprécie par ses interjections d’encouragement. De son côté la fellation est très bruyante la salive au sol fait une flaque, mais aussi son doigt s’agite énergiquement dans le cul d’Edouard, il doit vouloir lui faire découvrir l’immense orgasme prostatique inconnu des hétéros. Allons-nous peut être jouir, éjaculer ensemble. Un cadeau du ciel petit-être ! !
Le doigt d’Hervé rentre et sort de plus en plus rapidement, ce qui fait gémir, crier et d’un seul coup carrément hurler «OUIIII OUIII ! mais qu’est-ce qui m’arrive ? ? C’est boonn !! c’est booonnn !!! » Hervé a enlevé la queue de sa bouche, et la tient bien en main d’où un geyser de sperme s’échappe pour se répandre sur le fauteuil et sur le sol. Les jambes et tout le corps d’Edouard se met à trembler et rentre en trance tellement son orgasme est monumental, inattendu et inconnu. Ce que je vois et j’entends me déclenchent une plus forte excitation en faisant écraser mes couilles-abricots contre les fesses d’Hervé ; Le bout de mon gland frappe sa prostate et sans se toucher son beau sexe se redresse et il éjacule son sperme épis au sol pendant que mes cinq jets de sublime semence se répand dans les entrailles d’Hervé.
Edouard, revient progressivement à lui en nous avouant qu’il n’avait jamais eu une telle quantité de sperme, de tels orgasmes de sa vie aussi violents et qu’il découvrait cet incomparable plaisir anal. Hervé lui répond : « tu vois, tu as eu du plaisir et tu as pu te vider » De mon côté, depuis de longs mois ma queue ne connaissait que ma main. Je suis resté neuf ans dans cette paroisse. Isabelle et Edouard sont toujours ensemble. Il vient au presbytère, nous ‘’nous rendons service’’ et tous les deux mois leur couple d’amis vient pour profiter de cette belle ville, de mon église. Il y a toujours quelque chose à faire au presbytère pour qu’Edouard, Hervé et moi-même nous nous retrouvions enlacés. Mes paroissiens n’ont jamais rien su.
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