Nouveau patron... nouveaux plaisirs... - histoire érotique

Jour 3

3ème jour, décidément je ne vois pas le temps passer dans ce nouveau travail. Moi qui craignais de m'y ennuyer, je passe maintenant le plus clair de mon temps libre à réfléchir à la façon dont je pourrai chauffer mon boss en douceur. Pour aujourd'hui, ça sera pantalon en cuir noir, bottines à talon aiguilles, avec un chemisier rouge sombre, un look sexy qui reste classe.
J'arrive un peu en avance, il n'y a encore pas grand monde dans le bâtiment. Je pose mon sac, jette un coup d'oeil furtif en direction de son bureau, il est au téléphone, j'entends sa voix. Il m'avait demandé hier soir de venir lui déposer un dossier sur lequel il devra travailler aujourd'hui avant de partir en déplacement.
J'entre doucement, attend un signe de tête de sa part pour entrer, et amène le dossier sur son bureau. Je me penche vers lui, ma bouche a frôlé sa joue, je lui murmure à l'oreille "Le dossier que tu m'avais demandé, Patron". Je retire mon visage lentement, nous restons ainsi quelques secondes, à sentir le souffle de l'autre sur notre visage. Il arrête sa conversation quelques secondes, puis me quitte du regard et reprend.

Je sors, et le regarde sortir une heure plus tard, me faisant un signe de la main. Il est en discussion avec un autre collègue avec lequel il part, ils semblent très occupés. J'ai pour ma part peu de travail ce matin, et réfléchis à ce que je pourrai lui réserver comme surprise pour son retour. J'opte finalement pour quelques photos, que je prends avec mon téléphone, des zones de mon corps très ciblées, on ne peut me reconnaître. Mon décolleté, ma chute de reins, mes lèvres, mes épaules... Seuls mes tatouages me trahissent. Je crée un dossier sur son ordinateur pendant la pause de midi, que je nomme "à ouvrir à ton retour", et colle un post-it sur son clavier sur lequel je note "un petit cadeau sur le bureau de ton PC"

Satisfaite, je retourne travailler, me concentrant sur mes dossiers, sachant qu'il ne va pas tarder à rentrer. Je lève les yeux, il sort de l'ascenseur. Il file directement dans son bureau, son collègue part dans le sien. Il est donc seul. Décrochant le téléphone, je profite de la discussion pour observer de loin ce qu'il fait, il a le post-it dans les mains. Je le vois attraper sa souris, d'où je suis je ne peux voir que son corps penché en avant, je ne vois pas son visage. Il semble rester figé, puis fini par s'asseoir, un geste de la main vers sa braguette trahi l'effet que j'ai pu lui faire. Qu'est-ce que j'aime ça, sentir le désir que j'arrive à créer chez un homme...

Il va être l'heure de partir, je ne suis toujours pas retournée le voir, puis une secrétaire entre dans son bureau avec une pile épaisse de dossiers. J'entre à sa suite, nous évitant ainsi de nous retrouver tous les deux.

"J'espère que votre rendez-vous s'est bien passé, j'ai avancé les dossiers que vous m'avez demandé..."

Il me regarde un instant, ce regard fixe, qu'est-ce que ça me plait!

"ça s'est bien passé, et le retour a été plutôt plaisant."

Il joue avec le post-it tout en disant ça, il finit par le froisser et le jeter à la poubelle.

"Sophie vient de m'amener les dossiers de l'an dernier à archiver, vous viendrez directement ici demain à votre arrivée vous vous en occuperez et les classerez dans mon casier"

"Bien Patron, bonne fin de journée, ne restez pas trop tard au travail vous avez mérité de vous reposer!"

Jour 4

J'entre dans l'immeuble, essoufflée d'avoir dû marcher si vite, mais j'avais vraiment du mal à choisir ma tenue du jour. J'ai finalement opté pour une jupe en jean, arrivant à mi-cuisses, des bas couleur chair, et un chemisier noir en satin cintré au niveau de la taille. Je remarque les regards de plus en plus appuyés de mes collègues masculins, et peux percevoir la jalousie dans les yeux de leurs homologues féminins. Peu importe, lui seul compte, c'est son coeur que je veux faire accélérer, je veux voir dans un tremblement de lèvre son désir. Pour ne pas "en faire trop", j'ai fait très sobre pour ce qui est des chaussures, et arbore des ballerines noires, agrémentées d'ondulations argentées, qui rappellent un peu les volutes de mes tatouages.

Après avoir été me chercher un thé, histoire de me permettre de reprendre mon souffle, je rentre dans son bureau. Il porte aujourd'hui un jean, légèrement moulé, qui lui fait des fesses sublimes quand on a la chance de le voir se tourner, et une chemise blanche, que je rêve déjà de déboutonner.

"Bonjour, ça va? On a pas mal de boulot, donc je vais t'expliquer ce qu'il faut faire puis j'ai quelques coups de fil à passer, tu me diras s’il y a des choses que tu ne comprends pas"

"Bien Patron, juste le temps d'aller accrocher ma veste et je suis à vous..."

Qu'est-ce que j'aime ces quelques mots plein de sous-entendus. Je sens son regard tandis que je me dirige vers le fond de la pièce. Il a réuni sur une table dans le coin de la pièce différentes piles de dossiers, de différentes couleurs. Rien qu'à regarder cette table, je sais que ça n'est pas le travail qui me passionnera aujourd'hui... Après quelques explications pour savoir quel dossier mettre dans quelle boîte archive et sur quelle étagère, il retourner à son bureau passer son premier coup de fil.

J'agrafe les dossiers qui vont ensemble, tout en le regardant travailler. Il est encore plus beau dans la concentration, je me demande quelle allure il a dans l'effort. Un "ça va?" suite à mon regard trop insistant me fait sortir de mes rêveries. Je commence à ranger les dossiers sur les étagères du haut. Feignant avoir chaud, je déboutonne un peu mon chemisier, ainsi mes mouvements me dévoileront un peu plus.

Nous sommes l'après-midi, l'archivage continue, les regards que nous nous jetons furtivement par moments trahissent nos envies respectives, mais le va-et-vient régulier de collègues ré freine nos ardeurs. Alors qu'il est depuis quelques minutes au téléphone, je tombe à court d'agrafes. Je lui fais un geste pour attirer son attention, et murmure "agrafes?" en lui montrant l'agrafeuse. Il me montre du doigt les cartons situés tout en bas de l'armoire. Je me mets donc à genoux et commence à chercher dans le premier carton, bercé par le son de la conversation. Après quelques minutes, je passe au deuxième, me disant qu'avec la chance que j'ai ça sera le troisième. Je sens soudain sa présence à côté de moi, et réalise qu'il n'est plus au téléphone.

" Dans la boîte rouge qui est à côté des cartons, et dépêchez-vous de vous relever vous allez me donner des idées"

Je réalise que mon visage est, redressée ainsi, au niveau de sa braguette, et d'un coup à moi aussi ça me donne des idées. Je n'aurai qu'à tendre les mains, et le libérer de cette prison de jean pour le prendre en bouche. Quelqu’un frappe à la porte, il s'éloigne rapidement tandis que je prends mes agrafes et me relève. Leur discussion dure un moment, je finis mes dossiers. Il est déjà 17h. Je prends ma veste, et nous quittons l'immeuble tous les trois. Juste avant de partir, il me dit : "Demain à 14h vous viendrez dans mon bureau, nous allons faire le bilan de cette semaine, c'est une formalité pour voir si le contrat continue, ne vous inquiétez pas trop!"

"D'accord, à demain Patron!"

Jour 5

Dernier jour de la semaine, et jour d'évaluation. Un peu stressée à cette idée, mais ravie de me retrouver enfin seule avec lui. J'enfile un ensemble en dentelle noire, string et porte jarretelles. Pas de soutien-gorge, j'enfile un bustier, que je couvre d'une chemise fine. en bas, une jupe moulante, arrivant au dessus du genou, qui lui permettra s'il est observateur de voir les reliefs de mon porte-jarretelle.

Arrivée matinale, histoire d'essayer encore une fois de faire bonne impression. Je passe la matinée à travailler studieusement à mon bureau, le voyant faire des allers et retours pressés, prenant peu de temps pour me transmettre les infos. Je n'aime pas le sentir aussi distant, la pression monte. C'est bientôt la pause déjeuner. Je pars aux toilettes, retire mon string. Je marche dans le couloir, la boule de tissu serrée dans mon poing. Alors que je passe à côté de lui, je fais mine de le bousculer et en profiter pour le glisser dans la poche de sa veste et sort déjeuner.

Il rentre après moi, juste avant 14h, il va voir sa secrétaire et demande à ce que l'on ne nous dérange pas, puis, prenant un air sévère, me demande d'entrer dans son bureau, je me lève rapidement et le suis. Il ferme la porte derrière moi, se tourne et me sourit. Pas mal le plan, faire croire que je vais me faire passer un savon pour que personne ne nous dérange, du moins j'espère que c'est juste ça.

"Je te laisse t'asseoir", il me montre un fauteuil, et s'assied en face de moi. Je le regarde dans les yeux. Il se racle la gorge. J'ai envie de lui.

"Bon, ça fait une semaine que tu es là. Y a pas mal de choses que tu ne maîtrises pas encore, mais dans l'ensemble c'est plutôt pas mal, et toi qu'est-ce que t'en penses?"

"Franchement j'ai un peu ramé sur les débuts, les budgets ça m'a mis la pression, mais j'ai un très bon patron!"

"Alors, j'ai plusieurs points à noter, alors je vais remplir ce doc, j'en ai pour 5 minutes et après on fait le point pour que je fasse ma synthèse"

Je le regarde remplir son papier, il fronce légèrement le front. J'en profite pour retirer ma chemise, mes cheveux caressent mes épaules nues. Je croise mes jambes et me cale dans mon fauteuil, attendant le moment où il relèvera la tête...

Après quelques minutes qui semblent interminables, il pose son calepin sur la table. Il s'enfonce dans son fauteuil, me regardant.

"Je ne sais pas quoi penser de toi, j'aimerai que tu me dises ce que tu recherches exactement..."

"Euh, je veux être une bonne assistante patron, pouvoir répondre à toutes vos demandes..."

Il glisse la main dans sa poche et jette sur la table mon string. Il me regarde fixement et l'espace d'une seconde, je me dis que je n'aurai pas dû.

"Il y a encore des domaines dans lesquelles tu dois progresser, il y avait quelques erreurs dans les derniers bilans, mais tu sembles pleine de ressources et j'ai hâte de voir ce que tu peux faire..."

"S'il n'y a que ça je peux vous faire une démonstration."

Sur ces paroles, je me lève, et m'assied sur ses genoux. Ma jupe remonte, il aperçoit le haut de mes bas. Je prends sa tête entre mes mains et l'embrasse, et il se laisse faire, en fait il n'attendait que ça. A peine mes fesses ont-elles atteint ses genoux que j'ai pu sentir une bosse se former dans son jean. Je me place maintenant à cheval sur lui, il plaque ses mains sur mes fesses. Je lui murmure alors à l'oreille : "Si je n'ai pas été assez bonne patron, il va falloir me punir..." Je lui lèche le lobe de l'oreille, et déboutonne sa chemise pour embrasser son torse.

Ses bras me saisissent, je sens toute la tension des derniers jours dans ce geste, toute cette retenue qui n’est enfin plus nécessaire. Ses mains remontent sur mon bustier, sa langue se promène sur mes seins, puis il les libère, dégrafant le vêtement devenu gênant pour nos ébats. Il peut alors mordiller mes seins, profiter de mes tétons déjà durcis de désir. Le sentant de plus en plus à l’étroit dans ce jean, je me lève, le prenant par les mains pour qu’il se lève lui aussi. Tout en l’embrassant, je déboutonne son jean, le laisse tomber à ses pieds, et voit son boxer prêt à exploser sous la pression d’un sexe qui semble énorme ainsi retenu, je sens immédiatement que je m’humidifie à cette vue, et le liquide ne met pas longtemps à me glisser entre les cuisses.

Je défais la fermeture de ma jupe, me tenant maintenant devant lui avec pour seuls vêtements mon porte-jarretelles et mes bas. Perchée ainsi sur mes talons aiguilles, j’ai la sensation de n’être plus qu’un corps avide de sexe, comme s’il en avait été privé depuis bien trop longtemps. Je descends lentement à genoux, emportant son boxer avec moi, le visage maintenant à hauteur de ce sexe que je meurs d’envie de goûter. Je suce d’abord délicatement le gland, laissant la bille de mon piercing tournoyer autour de lui, le gobant par moments dans ma bouche. Je balade ma langue sur toute la longueur de cette hampe tendue vers moi, m’implorant de ne pas la laisser en cet état. Je commence alors à l’engouffrer, et l’avale de quelques millimètres supplémentaires à chaque va-et-vient. Je sens maintenant son gland tout au fond de ma gorge, et la sensation d’étouffer ne rend cela que plus excitant, ayant envie de le prendre entièrement. Il place alors ses mains dans mes cheveux, emporté dans cet élan, il dirige maintenant, je me laisse pénétrer ainsi, le regardant le visage tendu, l’excitation se dessinant sur son visage. Je ne suis plus qu’un objet destiné à le soulager, et j’aime cette scène, aussi crue qu’elle puisse être… Mes mains caressent ses testicules, qui sont dures, je joue avec, caresse l’intérieur de ses cuisses, masse la partie de son sexe que je ne peux avaler malgré nos efforts conjoints. Je le sens soudain se plaquer, tenant ma tête fermement, et son sperme chaud s’écoule dans ma bouche. Je ne peux retenir un gémissement de plaisir, cela me faisant jouir à chaque fois ! J’avale le précieux liquide, et prend le temps de lécher ce sexe qui a été si bon pour moi, ne voulant pas en laisser une goutte.

Il ne me laisse que quelques secondes pour me remettre et me dit "Il va falloir trouver comment te punir chère collègue..."
Je lui souris, m'installe devant son bureau et attrape sa règle. "Je dois mériter une bonne fessée Patron!" Je m'allonge à plat ventre sur le bureau, lui tend mes fesses et il me prend la règle des mains. Il caresse ma fesse, puis le bout de plastique s'abat sur ma chair qui rougit instantanément.
"Tu vas être bien obéissante?"
"Oui Patron"

Ces quelques minutes auront suffit à ce qu'il reprenne de la vigueur, et je le sens se glisser derrière moi, prêt à me prendre dans cette position. Il attrape mes hanches et me pénètre profondément. Mes seins sont écrasés sur le bois du bureau, sa main tenant fermement ma nuque. Le rythme est tout d'abord lent, puis il s'accélère peu à peu. Mes halètements suivent ce rythme, retenant mes cris pour ne pas attirer l'attention. Puis, voulant assouvir un désir que j'ai en tête depuis plusieurs jours déjà, je le repousse pour me tourner, mes fesses au bord du bureau, je place mes pieds dans son dos et le tire vers moi. J'aime voir son visage dans l'effort, cette lueur dans son regard, qui aime à cet instant ce que je lui donne, sans aucun jugement, juste pour le plaisir de l'acte... Les bras tendus, me maintenant assise, nous restons ainsi jusqu'à ce que, emporté par son désir, il s'abandonne en moi, léchant mes seins tandis qu'il se déverse.

"Il faudra que l'on remette ça dans un espace plus confortable... C'était bon merci!!"
"Merci à toi patron, j'espère avoir réussi mon évaluation..."
"Je trouverai les journées de travail bien moins intéressantes si tu n'étais pas là, alors oui ne t'en fais pas, on se revoit lundi... à moins que je ne t'appelle avant!"