Nouveaux Horizons - Episodes 2 - Les choses sérieuses ?
Récit érotique écrit par Stephtoy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nouveaux Horizons - Episodes 2 - Les choses sérieuses ?
Il s’est écoulé environ 1 mois depuis le défi de l’hôtel. Il y a eu un long débriefing du défi, qui a engendré une longue séance de sexe par écran interposé. Marion ç pris plaisir à revivre la séance, à se montrer dans les positions qu’elle a pris, dans la même tenue, elle lui a fait une vidéo sensuelle où elle se caresse en gémissant, et n’a même pas hésitée avant de lui envoyer. Cette séance à déclenché un déclic, comme un avant et un après. De nouveaux fantasmes et de nouvelles envies….
Elle avait envie de plus, de plus concret ? Elle aime leur relation virtuelle, et surtout elle aime qu’elle le reste, mais il devait sentir son envie car il suggère de plus en plus souvent ce moment où leurs corps vont se découvrir, sentir les langues léchouiller, mordiller, titiller. Elle n’a pas été choquée quand il lui a dit qu’il voulait la prendre et lui démonter la chatte, au contraire, elle s’est doigtée comme une folle en imaginant la scène…
Le nouveau défi est alors arrivé, de but en blanc, sans que cela provienne d’une longue séance d’échange coquin :
Nous sommes mardi, je te propose un défis dans un bar ce vendredi. Tu m’as dit que tu sortais entre copine, je serais dans le même bar et je te lancerais des défis au cours de la soirée, de plus en plus coquins… Tu as jusqu’à demain soir minuit pour accepter ou refuser…
Elle a eu des battements de cœur en moins en lisant la proposition et aussitôt son esprit a tenté de deviner les défis… Allait-il lui demander de se montrer ? De le sucer peut être ? C’est direct, même pour lui, et pourtant elle sait qu’il a envie d’elle, que sa queue a envie de son corps en vrai.
Elle a eu du mal à s’endormir ce soir là, tentée de se toucher, de lui demander plus de détails. Mais elle est restée silencieuse, elle n’a rien écrit, s’est vite endormis et à rêvée de position obscène et de sexe intense..
Le lendemain fut long au travail, elle a même du s’éclipser pour se toucher, sa dentelle était déjà trempée, cette dentelle qui a vécue tant de défi… elle l’a mise machinalement car au fond d’elle, elle le sait, pourquoi dire non à ce qui lui procure autant de plaisir… Dans les WC, le string à la cheville, deux doigts en elle, et dans son autre main son téléphone laissant échapper un simple e-mail :
J’accepte…
Le reste de la semaine fut interminable, elle trépignait d’être vendredi. D’habitude elle ressentait une légère angoisse, mais cette fois ci c’était plus diffus, l’excitation prenait clairement le pas. Elle aime son coté timide, mais là elle doit bien admettre que cette attente est interminable et qu’elle a envie encore une fois de se lâcher, de s’abandonner.
Elle lui a donné l’adresse du bar et il ne lui a pas donné de consigne particulière autre que d’attendre ses messages.
Le vendredi soir arrive enfin….
Elle essaye de ne pas trop y penser, elle passe rapidement par chez elle se changer après le boulot, puis file rejoindre ses copines au bar. Elle se prend un cocktail, et scrute son téléphone avec une attente non dissimulée, puis essaye de se calmer un peu, elle s’imagine peu discrète et ne voudrais pas que l’une de ses amie soit trop curieuse. Le bar se rempli doucement et l’ambiance monte doucement, elle se laisse doucement porté.
Son portable vibre :
- Je te vois… J’aime bien ton haut…
Elle essaye de scruter la foule le plus discrètement possible, et elle le repère, au bar avec un verre de vin. Il ne se cache même pas et luis sourit. Il prend une gorgé puis se lève. Le cœur battant elle imagine qu’il va s’approcher mais il tourne dans une autre direction. Elle essaye de le suivre dans la foule mais finie par le perdre de vue. Son portable vibre de nouveau :
- Prête pour ton premier défi ?
-Oui… dit moi tout ;)
- On va commencer classique, j’ai bien envie que tu te ballade sans ton tanga en dentelle pendant disons un bon quart d’heure… Je vais apprécier de savoir que tu n’as rien dessous…
- Qui te dit que je n’ai pas rien déjà ?
- Tu aurais loupé ton occasion de me chauffer avec ta dentelle sexy ? Tu peux toujours me le prouver via une photo… ou de visu..
Cette dernière remarque lui a fait monter le rouge aux joues, finalement elle n’est pas aussi à l’aise qu’elle l’aimerait.
- Tu as raison, j’ai de quoi te faire baver… Si tu es sage tu pourras admirer ça…
- Tu veux dire si tu n’es pas sage ?
Elle se contenta de sourire, s’imaginant observée, plus se glissa vers les WC. Elle y retira sa dentelle noire, constatant déjà que la situation l’excitait et ne peut s’empêcher d’effleurer son clito ce qui la fit soupirer… Elle remit en hâte son Jean sans oublier une petite photo de la dentelle qu’elle mit dans sa poche puis elle sorti. Elle le vis alors, la suivant des yeux, et pris un malin plaisir à lui tourner le dos pour le laisser admirer ses fesses…
Elle revint vers son groupe d’amis, en essayer de conserver une attitude neutre, alors qu’elle tremblait presque d’excitation. Elle sent ses fesses nues, elle se dit que tout le monde doit la voir et se rassure en se disant qu’ils ne sont que deux dans ce bar à le savoir, et cette simple pensée l’électrise. Elle le croise de temps en temps du regard, essayant de sonder ses intentions. Elle imagine la suite des défit, à quoi est-ce qu’il pense… ou bien ce qu’elle fantasme secrètement de faire en attendant qu’on l’y pousse.
Il disparait de son regard, il s’écoule quelques minutes et elle reçoit le défi suivant :
- Dans les WC, il y a deux cabines, entre et prends celle de droite. Tu va te doigter et moi je vais t’écouter depuis la cabine d’à coté….
Elle rougie instantanément, plusieurs de ses copines l’ont vu et elle part aux WC rapidement. Elle voit les deux cabines, fermées, séparées par un fin mur, celle de gauche est fermé, mais à priori il est dedans… Elle hésite, pour le moment il n’y a personne mais c’est risqué. Elle entre tout de même. Elle entend frapper trois coups contre le mur, et son téléphone vibre :
- C’est bien moi, je suis en boxer si tu veux tout savoir. Je t’entends un peu, n’hésites pas à gémir si tu as envie. En attendant, je frapperais des coups, plus ils sont rapprochés, plus je me caresse fort. Je t’invite à faire pareil…
Elle baisse son jean et se caresse, humm elle est déjà trempée et frappe quelques coups contre le mur sans réfléchir, ça commence à l’exciter de plus en plus. Le portable vibre, elle vient de recevoir une photo du boxer, il est rouge, déformé par sa queue bien dure…Elle a envie de le sucer, là, bien dur dans sa bouche, pendant qu’elle se doigte.
Elle gémit sans s’en rendre compte, et reçoit trois coups contre le mur en guise de réponse. Elle sort son téléphone pour lui montrer son excitation, lui montrer sa petite chatte trempée. Il y a encore quelques mois jamais elle n’aurais fait çà, mais là elle s’abandonne, elle imagine sa réaction, elle fantasme qu’il jouisse de surprise, et se dit quelle voudrais l’avoir en bouche à ce moment….
Les coups contre le mur sont de plus en plus nombreux, elle se doigte et gémis, elle l’entend aussi gémir, son sang ne fait qu’un tour, elle sent ses tétons dur et pointé, mais elle s’en fiche, elle veut juste jouir comme une folle. Elle remarque à peine la photo de sa queue qu’elle reçoit, elle s’imagine juste en levrette, seins et visage contre le mur, à ce faire prendre par se bel inconnu, à laisse un doigt s’égarer dans son petit trou.
C’est cette imagine, obscène, excitante et pourtant presque romantique qui l’à fait jouir dans un demi cri de surpris qu’elle contient de justesse… mais elle sait qu’il a entendu…
Elle reste immobile, haletante, pendant une minute avant de recevoir un message :
- Remet ton tanga, j’ai d’autres idées…
La soirée se poursuis avec de plus en plus d’excitation, mais il faut préserver les apparences, les passages aux WC ne sont donc pas recommandé. Marion a du mal à se concentrer sur son groupe d’amis, elle le cherche du regards, le trouve souriant puis le perds de nouveaux…
Son téléphone vibre :
- Dernier défis de se soir, mais il est osé, toujours d’attaque ?
- Oui… Tu ne me fais pas peur !!
- Le défis sera peut être d’être raisonnable…
- Avoir toi, ça m’étonnerais.
Elle reçoit la photo d’une porte dans le couloir des WC, elle est à code et il est écrit réservé dessus.
- Le code est 268569. C’est une réserve, plutôt tranquille à cette heure là, je t’y attends déjà. Ton défi, c’est de me rejoindre pour une session de masturbation l’un en face de l’autre… Le défi bonus c’est de ne pas se toucher, je réserve ça pour une autre idée que j’ai en tête.
- Qu’elle idée ?
- Tu verras bien gourmande.
- Ton caleçon va exploser… j’arrive…
Elle s’éclipse sans rien dire, discrètement espérons le et arrive à la porte de la réserve. Elle compose le code et entre. Il y fait sombre, mais une lampe éclaire un coin de la pièce.
Il est là, planqué derrière deux étagères remplies de fut. Il y a un vieux canapé déglingué, il est assis dessus, une main dans le pantalon, il lui sourit. Elle peut le voir malgré la pénombre. La situation l’excite terriblement, elle sent son tanga déjà trempé, elle imagine la suite et le rouge lui monte au joues…
Il lance les hostilités :
-Approche, je ne vais pas te mordre… pas aujourd’hui, ajoute-t-il d’un sourire carnassier.
Elle n’a pas envie de se laisser faire, et se lance dans quelques pas de danse sensuels, elle se caresse les fesses et les seins pour faire tomber son assurance, et pour se donner un peu confiance il faut l’avouer. Mais rapidement la situation l’excite, et elle se lance dans la suite logique, un strip tease.
Elle effleure sa queue avec ses fesses, puis se relève, fait mine de s’agenouiller puis se penche vers lui, offrant une vue plongeante sur son décolleté. Elle se prend au jeu de la coquine, et guette chaque réaction, chaque sourire comme une victoire…
Elle retire le haut, dévoilant la dentelle noire, elle voit sa main qui se fige dans son jean, elle adore ça… Son jean glisse lentement, le cul bombé, la langue sur les lèvres, une vrai pose de salope… si elle se voyait !
Puis une fois au niveau des genoux, elle se met à genoux sur le canapé à coté de lui, il peut admirer ses fesses mises en valeurs et elle commence à se caresser elle aussi, par-dessus le tanga puis sa main plongée dedans. Elle se met à gémir doucement et il l’accompagne, baissant son pantalon, sa main dans on boxer rouge qui caresse sa queue avec vigueur. Ils se regardent l’un l’autre, gémissant, soupirant, et surtout résistant à l’envie d’aller plus loin…
Il approche sa bouche du tanga, elle frémit, un éclair glacée lui parcours le creux des reins. Va-t-il succomber, lui qui prend un malin plaisir à la faire languir alors que sa seule envie serait qu’il la prenne en levrette, là, maintenant, sans plus de romantisme…
Ses lèvres sont à quelques mm de sa peau, vers le bord de sa dentelle, elle sent son souffle chaud, elle frémit, et accélère sa caresse sans même s’en rendre compte… Elle jouie en quelques secondes de plus, rien que d’imaginer la suite…
Il a sa queue en main, dure, si tentante.. Elle meurt d’envie de la gouter, la sucer jusqu’à le faire jouir, elle sait ce qu’il aime, elle sait comment le rendre fou… Mais ce n’est pas dans le jeu, pas encore… Elle sait que ce gage bonus pourrait être une chose inoubliable…
Mais se veux joueuse tout de même, et s’agenouille devant lui. Elle est dans une position de soumission, un classique de la fellation, une position qu’il adore et elle en joue, elle sourit dans la pénombre en se doigtant, sa bouche approche de cette queue si dure mais sans même l’effleurer. Il joue les impassible, mais elle sait que lui aussi doit avoir bien dur mal à résister à ces lèvres rouges…
Elle dégrafe son soutif, dévoilant ses seins rond et ses tétons dardant d’excitation, si dur qu’elle en a presque mal. Désormais uniquement vêtue de dentelle cachant à peine sa chatte trempée, elle prend ses seins en mains, mimant une branlette espagnole en le regardant dans les yeux pour le défier d’y glisser sa queue. A son tour à lui de devoir résister… Ses seins en mains, elle les fait monter et descendre d’un rythme lent, accélère un peu en soupirant puis reprend un rythme lent en se mordant la lèvre. Elle feint un gémissement de plaisir, ce n’est pas dur tellement son cerveau est noyé de désir.
Il se branle frénétiquement, elle lâche un sein pour se doigter elle aussi, tanga écarté, il peut tout voir d’elle, ils gémissent ensemble, ne se touchant pas car malgré se désir incroyable, le jeu reste le plus important…
Elle a envie de le faire jouir, elle a envie qu’il perde le contrôle, tant pis si elle doit perdre se bonus. Elle ne se rend plus compte de ses paroles :
- Vas hummm plus fort, je veux que tu gicles sur moi, mon visage ? Mes seins ?
- Humm arrête vile tentatrice, c’est moi qui dirige !
- A bon ? on ne dirait pas. On dirait plutôt que je te mène par le bout de la quuueue humm
- Tu va bientôt jouir je crois…
- Normal, tu as fait de moi ta salope…
A ces mots savamment calculé, elle le vois se raidir, elle connaissait son point faible, elle a elle aussi accentué sa pénétration en le voyant se figer et gicler de longues trainées de plaisir sur ses gros seins, deux belles pour chaque tétons humm c’est chaud, elle a souris en gloussant car l’orgasme l’a atteint elle aussi, à peine quelques secondes plus tard…
Les deux presque amants ont pris quelques minutes pour souffler, avant de se nettoyer et se rhabiller. Elle lui a demandé en souriant :
- Le sperme ça compte comme un toucher ?
- On va dire que non, tu as envie comme moi du bonus.
- Et c’est quoi ?
Il lui a peine laisser le temps de terminer sa phrase qu’il l’a plaquée contre un mur et l’a embrassée avec passion, une main dans la sienne contre le mur et l’autre sur ses fesses. Son cœur n’a fait qu’un tour, son ventre s’est creusé d’envie. Pendant 5 à 6 secondes d’éternité, les yeux fermés, elle a gouté à un baiser à la fois tendre et fougueux, la laissant sans voix quand il est sorti de la pièce en souriant.
Elle est restée immobile environ une minute pour se remettre puis est sortie à son tour. Il ne lui a plus envoyé de sms de la soirée, et elle a eu bien du mal à rester neutre devant ses amies pendant le reste de la soirée. Elle n’avait qu’une envie : rentrer chez elle pour un moment de plaisir de plus, prolonger un peu cette nuit mémorable…
Elle avait envie de plus, de plus concret ? Elle aime leur relation virtuelle, et surtout elle aime qu’elle le reste, mais il devait sentir son envie car il suggère de plus en plus souvent ce moment où leurs corps vont se découvrir, sentir les langues léchouiller, mordiller, titiller. Elle n’a pas été choquée quand il lui a dit qu’il voulait la prendre et lui démonter la chatte, au contraire, elle s’est doigtée comme une folle en imaginant la scène…
Le nouveau défi est alors arrivé, de but en blanc, sans que cela provienne d’une longue séance d’échange coquin :
Nous sommes mardi, je te propose un défis dans un bar ce vendredi. Tu m’as dit que tu sortais entre copine, je serais dans le même bar et je te lancerais des défis au cours de la soirée, de plus en plus coquins… Tu as jusqu’à demain soir minuit pour accepter ou refuser…
Elle a eu des battements de cœur en moins en lisant la proposition et aussitôt son esprit a tenté de deviner les défis… Allait-il lui demander de se montrer ? De le sucer peut être ? C’est direct, même pour lui, et pourtant elle sait qu’il a envie d’elle, que sa queue a envie de son corps en vrai.
Elle a eu du mal à s’endormir ce soir là, tentée de se toucher, de lui demander plus de détails. Mais elle est restée silencieuse, elle n’a rien écrit, s’est vite endormis et à rêvée de position obscène et de sexe intense..
Le lendemain fut long au travail, elle a même du s’éclipser pour se toucher, sa dentelle était déjà trempée, cette dentelle qui a vécue tant de défi… elle l’a mise machinalement car au fond d’elle, elle le sait, pourquoi dire non à ce qui lui procure autant de plaisir… Dans les WC, le string à la cheville, deux doigts en elle, et dans son autre main son téléphone laissant échapper un simple e-mail :
J’accepte…
Le reste de la semaine fut interminable, elle trépignait d’être vendredi. D’habitude elle ressentait une légère angoisse, mais cette fois ci c’était plus diffus, l’excitation prenait clairement le pas. Elle aime son coté timide, mais là elle doit bien admettre que cette attente est interminable et qu’elle a envie encore une fois de se lâcher, de s’abandonner.
Elle lui a donné l’adresse du bar et il ne lui a pas donné de consigne particulière autre que d’attendre ses messages.
Le vendredi soir arrive enfin….
Elle essaye de ne pas trop y penser, elle passe rapidement par chez elle se changer après le boulot, puis file rejoindre ses copines au bar. Elle se prend un cocktail, et scrute son téléphone avec une attente non dissimulée, puis essaye de se calmer un peu, elle s’imagine peu discrète et ne voudrais pas que l’une de ses amie soit trop curieuse. Le bar se rempli doucement et l’ambiance monte doucement, elle se laisse doucement porté.
Son portable vibre :
- Je te vois… J’aime bien ton haut…
Elle essaye de scruter la foule le plus discrètement possible, et elle le repère, au bar avec un verre de vin. Il ne se cache même pas et luis sourit. Il prend une gorgé puis se lève. Le cœur battant elle imagine qu’il va s’approcher mais il tourne dans une autre direction. Elle essaye de le suivre dans la foule mais finie par le perdre de vue. Son portable vibre de nouveau :
- Prête pour ton premier défi ?
-Oui… dit moi tout ;)
- On va commencer classique, j’ai bien envie que tu te ballade sans ton tanga en dentelle pendant disons un bon quart d’heure… Je vais apprécier de savoir que tu n’as rien dessous…
- Qui te dit que je n’ai pas rien déjà ?
- Tu aurais loupé ton occasion de me chauffer avec ta dentelle sexy ? Tu peux toujours me le prouver via une photo… ou de visu..
Cette dernière remarque lui a fait monter le rouge aux joues, finalement elle n’est pas aussi à l’aise qu’elle l’aimerait.
- Tu as raison, j’ai de quoi te faire baver… Si tu es sage tu pourras admirer ça…
- Tu veux dire si tu n’es pas sage ?
Elle se contenta de sourire, s’imaginant observée, plus se glissa vers les WC. Elle y retira sa dentelle noire, constatant déjà que la situation l’excitait et ne peut s’empêcher d’effleurer son clito ce qui la fit soupirer… Elle remit en hâte son Jean sans oublier une petite photo de la dentelle qu’elle mit dans sa poche puis elle sorti. Elle le vis alors, la suivant des yeux, et pris un malin plaisir à lui tourner le dos pour le laisser admirer ses fesses…
Elle revint vers son groupe d’amis, en essayer de conserver une attitude neutre, alors qu’elle tremblait presque d’excitation. Elle sent ses fesses nues, elle se dit que tout le monde doit la voir et se rassure en se disant qu’ils ne sont que deux dans ce bar à le savoir, et cette simple pensée l’électrise. Elle le croise de temps en temps du regard, essayant de sonder ses intentions. Elle imagine la suite des défit, à quoi est-ce qu’il pense… ou bien ce qu’elle fantasme secrètement de faire en attendant qu’on l’y pousse.
Il disparait de son regard, il s’écoule quelques minutes et elle reçoit le défi suivant :
- Dans les WC, il y a deux cabines, entre et prends celle de droite. Tu va te doigter et moi je vais t’écouter depuis la cabine d’à coté….
Elle rougie instantanément, plusieurs de ses copines l’ont vu et elle part aux WC rapidement. Elle voit les deux cabines, fermées, séparées par un fin mur, celle de gauche est fermé, mais à priori il est dedans… Elle hésite, pour le moment il n’y a personne mais c’est risqué. Elle entre tout de même. Elle entend frapper trois coups contre le mur, et son téléphone vibre :
- C’est bien moi, je suis en boxer si tu veux tout savoir. Je t’entends un peu, n’hésites pas à gémir si tu as envie. En attendant, je frapperais des coups, plus ils sont rapprochés, plus je me caresse fort. Je t’invite à faire pareil…
Elle baisse son jean et se caresse, humm elle est déjà trempée et frappe quelques coups contre le mur sans réfléchir, ça commence à l’exciter de plus en plus. Le portable vibre, elle vient de recevoir une photo du boxer, il est rouge, déformé par sa queue bien dure…Elle a envie de le sucer, là, bien dur dans sa bouche, pendant qu’elle se doigte.
Elle gémit sans s’en rendre compte, et reçoit trois coups contre le mur en guise de réponse. Elle sort son téléphone pour lui montrer son excitation, lui montrer sa petite chatte trempée. Il y a encore quelques mois jamais elle n’aurais fait çà, mais là elle s’abandonne, elle imagine sa réaction, elle fantasme qu’il jouisse de surprise, et se dit quelle voudrais l’avoir en bouche à ce moment….
Les coups contre le mur sont de plus en plus nombreux, elle se doigte et gémis, elle l’entend aussi gémir, son sang ne fait qu’un tour, elle sent ses tétons dur et pointé, mais elle s’en fiche, elle veut juste jouir comme une folle. Elle remarque à peine la photo de sa queue qu’elle reçoit, elle s’imagine juste en levrette, seins et visage contre le mur, à ce faire prendre par se bel inconnu, à laisse un doigt s’égarer dans son petit trou.
C’est cette imagine, obscène, excitante et pourtant presque romantique qui l’à fait jouir dans un demi cri de surpris qu’elle contient de justesse… mais elle sait qu’il a entendu…
Elle reste immobile, haletante, pendant une minute avant de recevoir un message :
- Remet ton tanga, j’ai d’autres idées…
La soirée se poursuis avec de plus en plus d’excitation, mais il faut préserver les apparences, les passages aux WC ne sont donc pas recommandé. Marion a du mal à se concentrer sur son groupe d’amis, elle le cherche du regards, le trouve souriant puis le perds de nouveaux…
Son téléphone vibre :
- Dernier défis de se soir, mais il est osé, toujours d’attaque ?
- Oui… Tu ne me fais pas peur !!
- Le défis sera peut être d’être raisonnable…
- Avoir toi, ça m’étonnerais.
Elle reçoit la photo d’une porte dans le couloir des WC, elle est à code et il est écrit réservé dessus.
- Le code est 268569. C’est une réserve, plutôt tranquille à cette heure là, je t’y attends déjà. Ton défi, c’est de me rejoindre pour une session de masturbation l’un en face de l’autre… Le défi bonus c’est de ne pas se toucher, je réserve ça pour une autre idée que j’ai en tête.
- Qu’elle idée ?
- Tu verras bien gourmande.
- Ton caleçon va exploser… j’arrive…
Elle s’éclipse sans rien dire, discrètement espérons le et arrive à la porte de la réserve. Elle compose le code et entre. Il y fait sombre, mais une lampe éclaire un coin de la pièce.
Il est là, planqué derrière deux étagères remplies de fut. Il y a un vieux canapé déglingué, il est assis dessus, une main dans le pantalon, il lui sourit. Elle peut le voir malgré la pénombre. La situation l’excite terriblement, elle sent son tanga déjà trempé, elle imagine la suite et le rouge lui monte au joues…
Il lance les hostilités :
-Approche, je ne vais pas te mordre… pas aujourd’hui, ajoute-t-il d’un sourire carnassier.
Elle n’a pas envie de se laisser faire, et se lance dans quelques pas de danse sensuels, elle se caresse les fesses et les seins pour faire tomber son assurance, et pour se donner un peu confiance il faut l’avouer. Mais rapidement la situation l’excite, et elle se lance dans la suite logique, un strip tease.
Elle effleure sa queue avec ses fesses, puis se relève, fait mine de s’agenouiller puis se penche vers lui, offrant une vue plongeante sur son décolleté. Elle se prend au jeu de la coquine, et guette chaque réaction, chaque sourire comme une victoire…
Elle retire le haut, dévoilant la dentelle noire, elle voit sa main qui se fige dans son jean, elle adore ça… Son jean glisse lentement, le cul bombé, la langue sur les lèvres, une vrai pose de salope… si elle se voyait !
Puis une fois au niveau des genoux, elle se met à genoux sur le canapé à coté de lui, il peut admirer ses fesses mises en valeurs et elle commence à se caresser elle aussi, par-dessus le tanga puis sa main plongée dedans. Elle se met à gémir doucement et il l’accompagne, baissant son pantalon, sa main dans on boxer rouge qui caresse sa queue avec vigueur. Ils se regardent l’un l’autre, gémissant, soupirant, et surtout résistant à l’envie d’aller plus loin…
Il approche sa bouche du tanga, elle frémit, un éclair glacée lui parcours le creux des reins. Va-t-il succomber, lui qui prend un malin plaisir à la faire languir alors que sa seule envie serait qu’il la prenne en levrette, là, maintenant, sans plus de romantisme…
Ses lèvres sont à quelques mm de sa peau, vers le bord de sa dentelle, elle sent son souffle chaud, elle frémit, et accélère sa caresse sans même s’en rendre compte… Elle jouie en quelques secondes de plus, rien que d’imaginer la suite…
Il a sa queue en main, dure, si tentante.. Elle meurt d’envie de la gouter, la sucer jusqu’à le faire jouir, elle sait ce qu’il aime, elle sait comment le rendre fou… Mais ce n’est pas dans le jeu, pas encore… Elle sait que ce gage bonus pourrait être une chose inoubliable…
Mais se veux joueuse tout de même, et s’agenouille devant lui. Elle est dans une position de soumission, un classique de la fellation, une position qu’il adore et elle en joue, elle sourit dans la pénombre en se doigtant, sa bouche approche de cette queue si dure mais sans même l’effleurer. Il joue les impassible, mais elle sait que lui aussi doit avoir bien dur mal à résister à ces lèvres rouges…
Elle dégrafe son soutif, dévoilant ses seins rond et ses tétons dardant d’excitation, si dur qu’elle en a presque mal. Désormais uniquement vêtue de dentelle cachant à peine sa chatte trempée, elle prend ses seins en mains, mimant une branlette espagnole en le regardant dans les yeux pour le défier d’y glisser sa queue. A son tour à lui de devoir résister… Ses seins en mains, elle les fait monter et descendre d’un rythme lent, accélère un peu en soupirant puis reprend un rythme lent en se mordant la lèvre. Elle feint un gémissement de plaisir, ce n’est pas dur tellement son cerveau est noyé de désir.
Il se branle frénétiquement, elle lâche un sein pour se doigter elle aussi, tanga écarté, il peut tout voir d’elle, ils gémissent ensemble, ne se touchant pas car malgré se désir incroyable, le jeu reste le plus important…
Elle a envie de le faire jouir, elle a envie qu’il perde le contrôle, tant pis si elle doit perdre se bonus. Elle ne se rend plus compte de ses paroles :
- Vas hummm plus fort, je veux que tu gicles sur moi, mon visage ? Mes seins ?
- Humm arrête vile tentatrice, c’est moi qui dirige !
- A bon ? on ne dirait pas. On dirait plutôt que je te mène par le bout de la quuueue humm
- Tu va bientôt jouir je crois…
- Normal, tu as fait de moi ta salope…
A ces mots savamment calculé, elle le vois se raidir, elle connaissait son point faible, elle a elle aussi accentué sa pénétration en le voyant se figer et gicler de longues trainées de plaisir sur ses gros seins, deux belles pour chaque tétons humm c’est chaud, elle a souris en gloussant car l’orgasme l’a atteint elle aussi, à peine quelques secondes plus tard…
Les deux presque amants ont pris quelques minutes pour souffler, avant de se nettoyer et se rhabiller. Elle lui a demandé en souriant :
- Le sperme ça compte comme un toucher ?
- On va dire que non, tu as envie comme moi du bonus.
- Et c’est quoi ?
Il lui a peine laisser le temps de terminer sa phrase qu’il l’a plaquée contre un mur et l’a embrassée avec passion, une main dans la sienne contre le mur et l’autre sur ses fesses. Son cœur n’a fait qu’un tour, son ventre s’est creusé d’envie. Pendant 5 à 6 secondes d’éternité, les yeux fermés, elle a gouté à un baiser à la fois tendre et fougueux, la laissant sans voix quand il est sorti de la pièce en souriant.
Elle est restée immobile environ une minute pour se remettre puis est sortie à son tour. Il ne lui a plus envoyé de sms de la soirée, et elle a eu bien du mal à rester neutre devant ses amies pendant le reste de la soirée. Elle n’avait qu’une envie : rentrer chez elle pour un moment de plaisir de plus, prolonger un peu cette nuit mémorable…
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