Nouvel An
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nouvel An
Je me réveillais entre Nina et Émilie. Je n’avais pas entendu celle-ci nous rejoindre. Après avoir répondu aux demandes de Nina une dernière fois, nous avions joui ensemble et nous nous étions endormis enlacés. Le bruit de nos amis baisant dans le salon nous avait à peine dérangés. Si un moment Nina avait proposé de les rejoindre, bien vite le sommeil fut plus fort et leurs cris de plaisir nous bercèrent.
Il était presque midi quand je me levais. Le salon était un champ de bataille dans lequel se mêlaient bouteilles vides, vêtements froissés et capotes usagées. Le drap dont nous avions recouvert les fauteuil et canapé portait les stigmates de nos ébats. Je me fis couler un café et après avoir enfilé un pantalon et une chemise j’allais le boire sur le balcon. L’air était doux pour un 1er janvier. Je regardais la ville se réveiller dans la nouvelle année.en repensant à notre soirée de réveillon. Étions-nous des obsédés ? Des pervers ? J’avais fait l’amour avec deux mecs et deux femmes. Je m’étais fait sucer et enculer par deux mecs que j’avais sucés et enculés en retour, dépucelé le cul de Nina et pris Svetlana en levrette sauvage. Seule Émilie n’avait pas subi mes assauts et ne m’avait pas touché. J’imaginais que les autres avaient eux aussi testé de multiples combinaisons et positions.
Erwann fut le premier à me rejoindre. En simple caleçon il frissonna en venant m’embrasser. Il se serra contre moi pour se réchauffer et je sentis son sexe contre ma cuisse. La folle nuit que nous avions passée ne l’avait pas refroidi et je sentis son érection pointer sous le tissu de son caleçon. De mon côté aussi je bandais et s’il n’avait pas eu si froid je lui aurais demandé de me sucer sur le balcon. Oui, définitivement j’étais un obsédé.
Nous rentrâmes et découvrîmes le reste de nos amis dans la cuisine autour d’un petit déjeuner. Si Émilie et Nina avaient enfilé culotte et teeshirt, Svetlana se baladait toujours nue et prenait des poses suggestives. Félix était déjà habillé et après avoir bu un café prit congé. Il devait déjeuner avec sa famille. Il regrettait de ne pas pouvoir rester, se doutant que nous allions bientôt nous retrouver tous nus et reprendre ce que le sommeil avait interrompu.
Il n’avait pas tort. Une fois son café bu, Émilie vint vers moi, m’embrassa à pleine bouche, et me dit:
— Tu ne m’as pas baisé hier soir, il est temps que tu te rattrapes.
Nous laissâmes nos amis dans la cuisine, et partîmes dans notre chambre. Il flottait encore dans l’air l’odeur de nos ébats entre hommes, et celle des corps d’Erwann et Félix dans les draps. Émilie s’assit sur le bord de lit, ôta son teeshirt blanc me révélant ses petits seins ronds que je ne me lassais pas de voir, toucher, sucer. Je fis glisser mon pantalon. Émilie attrapa ma bite en pleine érection. Elle me branla doucement, m’attirant vers elle et sa bouche gourmande qui m’avala, me suca, me lècha, joua avec ma queue, mes couilles.
— Je préfère ta bite à celle de Félix pour la sucer. La sienne est trop grosse. Avec toi je peux jouer, m’amuser sans avoir l’impression de m’étouffer.
Pour avoir moi aussi sucé Félix, je ne pouvais qu’approuver.
— Mais quand tu la prends, lui dis-je, après la douleur initiale c’est un vrai délice, une jouissance absolue.
Elle me sourit sans rien dire, mais je lu dans es yeux qu’elle savait de quoi je parlais. Nous devions tous les deux avoir mal au cul ce matin. Une douleur bien négligeable en comparaison au plaisir que nous avions pris.
Nous nous retrouvâmes en 69. Et je dégustais son sexe, premier repas de la journée. Son parfum était fort. Reste de ses nombreuses jouissances. Je léchais au plus profond que pouvais aller la langue pour en tirer tout le jus. J’aimais ce gout fort, âpre, excitant. Émilie tout a son plaisir arrêta de me sucer, se laissa transporter par mes caresses et joui dans ma bouche. Un fin jet de son nectar me coula dans la gorge.
Elle se redressa, se mit à quatre pattes et m’offrit sa croupe.
— Mon cul ou ma chatte, comme tu veux.
Je commençais par sa chatte bien chaude dans laquelle mon sexe gorgé de désir s’introduit sans peine. Je pris mon temps. Je sentais mon orgasme proche, mais voulais faire durer au maximum cette baise du Nouvel An. Émilie gémissait et m’encourageait.
Baise-moi, baise-moi fort. Défonce-moi. Fais-moi jouir encore et encore.
Nous transpirions à grosses gouttes. Déchaines, assoiffes de sexe comme si nous n’avions pas baise depuis des jours. Je retournais Émilie, la fit glisse jusqu’au bord du lit et plantant mes yeux dans les siens je l’enculais d’un coup sec. Son petit trou qui avait vu passer la grosse bite de Felix n’eut aucun mal à accueillir la mienne. Elle cria et jouit une nouvelle fois. Sa chatte pulsait de plaisir, dégoulinante de jus que je regrettais de ne pas boire. Je lui baisais le cul avec force et fougue. Dans un grand coup de reins, je le vidais en elle avant de retomber sur son corps vibrant et chaud. Nous nous embrassâmes longuement avant de nous glisser sous les draps.
— Tu crois que les autres baisent, me demanda Émilie ?
— Ils auraient tort de ne pas le faire. Avec Svetlana à poil je crois que de toute façon ils n’ont pas le choix.
— Nina n’est pas en reste côté cul, elle aime ça, et elle sait s’y prendre. Une belle petite salope. Tu l’as enculée ?
— Oui, et elle aime ça. Elle en redemandait.
— Tu vois, au début je pensais que notre vie de débauche lui ferait peur, et qu’elle s’enfuirait, mais maintenant je suis contente qu’elle soit aussi libérée que moi. J’adore baiser avec elle.
Je l’embrassais. Moi aussi j’étais heureux de vivre avec ces deux femmes. Chanceux surtout.
Il était presque midi quand je me levais. Le salon était un champ de bataille dans lequel se mêlaient bouteilles vides, vêtements froissés et capotes usagées. Le drap dont nous avions recouvert les fauteuil et canapé portait les stigmates de nos ébats. Je me fis couler un café et après avoir enfilé un pantalon et une chemise j’allais le boire sur le balcon. L’air était doux pour un 1er janvier. Je regardais la ville se réveiller dans la nouvelle année.en repensant à notre soirée de réveillon. Étions-nous des obsédés ? Des pervers ? J’avais fait l’amour avec deux mecs et deux femmes. Je m’étais fait sucer et enculer par deux mecs que j’avais sucés et enculés en retour, dépucelé le cul de Nina et pris Svetlana en levrette sauvage. Seule Émilie n’avait pas subi mes assauts et ne m’avait pas touché. J’imaginais que les autres avaient eux aussi testé de multiples combinaisons et positions.
Erwann fut le premier à me rejoindre. En simple caleçon il frissonna en venant m’embrasser. Il se serra contre moi pour se réchauffer et je sentis son sexe contre ma cuisse. La folle nuit que nous avions passée ne l’avait pas refroidi et je sentis son érection pointer sous le tissu de son caleçon. De mon côté aussi je bandais et s’il n’avait pas eu si froid je lui aurais demandé de me sucer sur le balcon. Oui, définitivement j’étais un obsédé.
Nous rentrâmes et découvrîmes le reste de nos amis dans la cuisine autour d’un petit déjeuner. Si Émilie et Nina avaient enfilé culotte et teeshirt, Svetlana se baladait toujours nue et prenait des poses suggestives. Félix était déjà habillé et après avoir bu un café prit congé. Il devait déjeuner avec sa famille. Il regrettait de ne pas pouvoir rester, se doutant que nous allions bientôt nous retrouver tous nus et reprendre ce que le sommeil avait interrompu.
Il n’avait pas tort. Une fois son café bu, Émilie vint vers moi, m’embrassa à pleine bouche, et me dit:
— Tu ne m’as pas baisé hier soir, il est temps que tu te rattrapes.
Nous laissâmes nos amis dans la cuisine, et partîmes dans notre chambre. Il flottait encore dans l’air l’odeur de nos ébats entre hommes, et celle des corps d’Erwann et Félix dans les draps. Émilie s’assit sur le bord de lit, ôta son teeshirt blanc me révélant ses petits seins ronds que je ne me lassais pas de voir, toucher, sucer. Je fis glisser mon pantalon. Émilie attrapa ma bite en pleine érection. Elle me branla doucement, m’attirant vers elle et sa bouche gourmande qui m’avala, me suca, me lècha, joua avec ma queue, mes couilles.
— Je préfère ta bite à celle de Félix pour la sucer. La sienne est trop grosse. Avec toi je peux jouer, m’amuser sans avoir l’impression de m’étouffer.
Pour avoir moi aussi sucé Félix, je ne pouvais qu’approuver.
— Mais quand tu la prends, lui dis-je, après la douleur initiale c’est un vrai délice, une jouissance absolue.
Elle me sourit sans rien dire, mais je lu dans es yeux qu’elle savait de quoi je parlais. Nous devions tous les deux avoir mal au cul ce matin. Une douleur bien négligeable en comparaison au plaisir que nous avions pris.
Nous nous retrouvâmes en 69. Et je dégustais son sexe, premier repas de la journée. Son parfum était fort. Reste de ses nombreuses jouissances. Je léchais au plus profond que pouvais aller la langue pour en tirer tout le jus. J’aimais ce gout fort, âpre, excitant. Émilie tout a son plaisir arrêta de me sucer, se laissa transporter par mes caresses et joui dans ma bouche. Un fin jet de son nectar me coula dans la gorge.
Elle se redressa, se mit à quatre pattes et m’offrit sa croupe.
— Mon cul ou ma chatte, comme tu veux.
Je commençais par sa chatte bien chaude dans laquelle mon sexe gorgé de désir s’introduit sans peine. Je pris mon temps. Je sentais mon orgasme proche, mais voulais faire durer au maximum cette baise du Nouvel An. Émilie gémissait et m’encourageait.
Baise-moi, baise-moi fort. Défonce-moi. Fais-moi jouir encore et encore.
Nous transpirions à grosses gouttes. Déchaines, assoiffes de sexe comme si nous n’avions pas baise depuis des jours. Je retournais Émilie, la fit glisse jusqu’au bord du lit et plantant mes yeux dans les siens je l’enculais d’un coup sec. Son petit trou qui avait vu passer la grosse bite de Felix n’eut aucun mal à accueillir la mienne. Elle cria et jouit une nouvelle fois. Sa chatte pulsait de plaisir, dégoulinante de jus que je regrettais de ne pas boire. Je lui baisais le cul avec force et fougue. Dans un grand coup de reins, je le vidais en elle avant de retomber sur son corps vibrant et chaud. Nous nous embrassâmes longuement avant de nous glisser sous les draps.
— Tu crois que les autres baisent, me demanda Émilie ?
— Ils auraient tort de ne pas le faire. Avec Svetlana à poil je crois que de toute façon ils n’ont pas le choix.
— Nina n’est pas en reste côté cul, elle aime ça, et elle sait s’y prendre. Une belle petite salope. Tu l’as enculée ?
— Oui, et elle aime ça. Elle en redemandait.
— Tu vois, au début je pensais que notre vie de débauche lui ferait peur, et qu’elle s’enfuirait, mais maintenant je suis contente qu’elle soit aussi libérée que moi. J’adore baiser avec elle.
Je l’embrassais. Moi aussi j’étais heureux de vivre avec ces deux femmes. Chanceux surtout.
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