Nouvel an de notre jeunesse, quelques jours plus tard - histoire érotique

Quelques jours après le fameux « 31 décembre », j’ai appelé mon amant avec qui j’avais baisé debout contre un arbre pour savoir quand je pouvais venir chez lui récupérer ma petite culotte qu'il avait gardée en trophée de guerre. Il était ravi et sans doute étonné de mon appel aussi rapide, il était célibataire et pouvait me consacrer n’importe quelle soirée de mon choix. 2 soirs plus tard, mon mari n’étant pas en déplacement professionnel s'est proposé de rester à la maison pour garder notre enfant et je suis parti vers celui qui allait être une nouvelle fois mon amant je n’étais plus en tenue de réveillon mais le froid ayant fait son retour j’étais chaudement vêtue et beaucoup moins sexy. Nos retrouvailles ont marqué une petite gêne qui ne dura pas très longtemps dès lors qu’il me prit dans ses bras pour m’embrasser profondément. Avant de le laisser m’entraîner vers sa chambre j’ai exigé qu’il me rende ma petite culotte confisquée la nuit du réveillon, c’était un cadeau de mon chéri et assorti à un de mes soutien-gorge, il aurait aimé la garder comme de nombreuses autres de ses précédentes conquêtes mais lorsque j’ai fait mine de repartir, il est parti la chercher et j’ai pu la mettre dans une poche de mon sac à main difficilement récupérable. Ensuite je l’ai suivi sans problème jusqu’à son lit king-side.
Mon manteau était resté dans le salon, les bottes et grosses chaussettes le pull, le chemisier etle jean ont atterri sur la carpette et c’est en slip et petite culotte que je suis passé sous les draps pour finir de me réchauffer ( même jeune et avec un amant je restais frileuse). Au pied du lit, Richard a simulé un strip-tease avant de me rejoindre nu et la queue déjà à l’horizontale. Couché à mes côtés il m’a rapidement enlevé mon soutien-gorge et ma culotte, moi, j’ai pris sa verge dans la main puis je me suis penchée vers elle. Lors de notre unique coït, je n’avais pas eu l’occasion de la voir, je l’avais juste tenue dans une main, juste caressée un peu avant de la guider en moi, là, je voulais en profiter, je l’ai caressée doucement avant de commencer à déposer des petits baisers le long de la tige puis sur le gland. Après avoir énervé le gland j’ai sucé sa verge sur la longueur, serrant mes lèvres tout du long. Celui où celle qui n’a jamais fait de fellation ne peut savoir l’excitation que l’on a lorsqu’on la fait sur un nouveau phallus, le sentir réagir lorsqu’il s’enfonce sans ta bouche… Je n’aime pas que mon partenaire du moment commence par me faire un cunnilingus car après avoir joui avec langue j’ai envie d’être baisée à fond et non de lui faire une fellation. Par contre, lorsque je l’ai bien sucé que je le sens près à jouir, j’aime le sentir poser sa bouche sur ma chatte, j’écarte alors les cuisses au maximum pour m’offrir sans pudeur, tous les cunnis me font jouir très fort mais celui d’un nouvel amant est particulièrement intense, surtout lorsqu’il sait prendre soin de chaque centimètres de mon sexe, j’aime sentir sa langue passer du clito à ma petite étoile en s’occupant de mes grandes et petites lèvres, j’aime sentir sa langue bien raide essayer de pénétrer mon vagin. Lorsque ma jouissance est retombée un peu, je l’attire sur moi, lors de cette 1ere pénétration j’aime aussi baiser en missionnaire pour pouvoir l’embrasser et le regarder dans les yeux au moment du feu d’artifice final. Avec cette fausse 1ère fois avec Richard ,le feu d’artifice est arrivé très vite pour nous deux. Le plus dur lorsqu’on ne connaît pas bien son partenaire, c’est « l’after » une fois la tension charnelle retombée, il faut trouver un sujet de conversation un peu banal, on ne va pas parler politique, philosophie ou foot, j’ai prétexté mon fils seul chez moi avec mon mari pour écourter cet après, avant de se quitter, il m’a dit avoir envie de me revoir, de jour ou de nuit et de ne pas hésiter à le contacter.
En rentrant, mon chéri m’attendait, on passa directement sous la couette, je lui ai raconté ma partie de jambes en l’air avec Richard et on a baisé aussitôt avant de s’endormir enlacé et amoureux.
J’ai appelé Richard quelques jours plus tard, je lui ai dit que c’était plus facile pour moi de me libérer en journée, mon mari au travail je pouvais confier mon enfant à la crèche de notre commune pour passer l’après-midi avec lui. Il avait des heures de travail flexibles, en commençant tôt le matin il pouvait de temps en temps être chez lui à 14 h. Je ne voulais pas lui proposer de venir chez nous par manque de discrétion vis-à-vis des voisins.
Au total, j’ai du aller baiser avec mon amant une petite dizaine fois, au lit, on était en osmose mais pour le reste, on n’avait pas beaucoup de choses en commun et je ne n’attardais jamais bien longtemps après notre coït.
Un après-midi je savais que c’était la dernière fois que je venais le voir, en cadeau de rupture, je lui ai proposé de me sodomiser ce qu’il s’est empressé de faire. Je ne suis pas super fan, je n’ai pas de jouissance physique, ce qui m’excite c’est de me dire pendant la sodomie « punaise, je me fais enculer » Richard savait s’y prendre, il me prépara bien en me mettant un doigt lubrifié me laissant m’habituer à sa présence puis il enduisit son gland avant de l’appuyer sur ma petite rondelle, il s’enfonça lentement mais régulièrement, les obstacles furent vaincu et j’ai su que sa bite était entièrement dans mon cul lorsque j’ai senti ses couilles contre mes fesses. J’ai pu avoir un orgasme grâce à mon majeur et mon clitoris qui s’étaient trouvé.
Les portables n’existaient pas, c’est moi qui le contactais toujours, lorsque je lui ai dit que je ne reviendrai plus le voir, nous savions tous les deux qu’il n’avait aucun moyen de me contacter si ce n’est compter sur le hasard, chose qui n’est jamais arrivé.
J.C. mon amant occasionnel et ami de mon mari était tout content que je sois disponible à nouveau, une semaine après ma rupture, sachant mon mari absent, il s’est arrangé pour se libérer un après-midi et passer à la maison pendant la sieste de mon enfant, 5 mn après son arrivée nous étions en train de faire un très beau 69. Nous étions amis, sa femme ignorait notre liaison, mon mari bien sur, savait. Depuis déjà 5 ans qu’on était amants, on se connaissait parfaitement sur le plan sexuel. Lorsque je prenais un autre amant, il s’effaçait pour revenir dès la liaison consommée, au total, nos baises ont durée 11 ans avec parfois des interruptions très longues. Notre relation s’est arrêtée lorsqu’un soir chez nous, au moment où on partait dans une chambre, il a vu sa femme faire la même chose avec mon mari. La tromper, oui, qu’elle fasse pareil, impossible pour lui, peu après cette soirée il a demandé le divorce et ensuite on l’a perdu de vue, restant ami avec son ex femme.